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  1. Nickad

    Raspoutine le patriote tome 2

    Yuki répond aux interrogatoires du procureur tous les jours. Il ne se laisse pas faire, non seulement il tient bon, ne cède pas à la pression mais il réfléchit aussi à tout ce qui se trame ou pourrait se tramer en arrière-plan. Cela lui permet de garder son calme et d’attaquer également le procureur. C’est alors que Tsuzuki est à son tour arrêté. Au départ je me suis demandé pourquoi Junji Itô était dessinateur dans cette série politique assez loin de son univers. Finalement son graphisme fait excessivement bien ressortir les émotions des personnages et toute la pression qu’il y a dans ces attaques verbales. De son côté le scénario retraçant une histoire vraie rappelons-le, est bien travaillé, on suit le déroulé de l’enquête au travers des interrogatoires. On voit les réflexions de Yuki qui passe en revue ses souvenirs pour analyser la situation et qui n’a aucun moyen de savoir si ce que l’on dit est vrai ou non. C’est un manga qui demande à réfléchir et à comprendre. D’un autre côté, on y dépeint aussi une justice manipulatrice et dérangeante où l’on ne peut que revenir à un questionnement universel : la fin justifie-t-elle les moyens ?
  2. Titre de l'album : Raspoutine le patriote tome 2 Scenariste de l'album : NAGASAKI Takashi Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Celui qu'on appelle le Raspoutine du ministère des affaires étrangères a été arrêté par la brigade spéciale du ministère public de Tokyo. Pourquoi ce diplomate semble-t-il impliqué dans la rétrocession des îles du nord de Hokkaido par la Russie? Basé sur l'expérience personnelle de l'ancien diplomate Masaru Satô, ce récit présente son combat contre un procureur de la brigade spéciale au cours de ses interrogatoires quotidiens Critique : Yuki répond aux interrogatoires du procureur tous les jours. Il ne se laisse pas faire, non seulement il tient bon, ne cède pas à la pression mais il réfléchit aussi à tout ce qui se trame ou pourrait se tramer en arrière-plan. Cela lui permet de garder son calme et d’attaquer également le procureur. C’est alors que Tsuzuki est à son tour arrêté. Au départ je me suis demandé pourquoi Junji Itô était dessinateur dans cette série politique assez loin de son univers. Finalement son graphisme fait excessivement bien ressortir les émotions des personnages et toute la pression qu’il y a dans ces attaques verbales. De son côté le scénario retraçant une histoire vraie rappelons-le, est bien travaillé, on suit le déroulé de l’enquête au travers des interrogatoires. On voit les réflexions de Yuki qui passe en revue ses souvenirs pour analyser la situation et qui n’a aucun moyen de savoir si ce que l’on dit est vrai ou non. C’est un manga qui demande à réfléchir et à comprendre. D’un autre côté, on y dépeint aussi une justice manipulatrice et dérangeante où l’on ne peut que revenir à un questionnement universel : la fin justifie-t-elle les moyens ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raspoutine-le-patriote-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Adieu Eri

    Il y a plusieurs histoires dans Adieu Eri, on ne sait pas vraiment ce qui est vrai, ce qui ne l’est pas et peu importe à vrai dire. Car ce qui est important c’est l’histoire, les images, ce que l’on peut en faire. Là où le scénario peut nous emmener. Et Le manga est riche de possibilités, les histoires sont imbriquées, comme si chacune incluait la précédente. On est d’abord un peu spectateur puis on est touché, submergé par l’émotion du scénario. Le sujet est délicat (filmer la fin d’un proche) et le propos interroge. Puis on revient vers une tranche de vie qui ressemble à un épilogue mais qui finalement ne l’est pas. Le manga est comme un film, ou plutôt comme plusieurs courts métrages, il est monté comme un storyboard, avec l’enchainement des plans, la mise au point des images, le jeu des acteurs. On ne sait jamais vraiment ce qui est filmé ou ce qui ne l’est pas, ce qui est histoire ou vérité. Adieu Eri est une expérience intéressante, d’abord déroutante et assez bouleversante car l’auteur est bon et sait nous emmener là où il veut. C’est un bel hommage au 7e art !
  4. Nickad

    Adieu Eri

    Titre de l'album : Adieu Eri Scenariste de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : « Je veux que tu me filmes jusqu'à ma mort. » Yûta, adolescent mordu de cinéma, accomplit cette dernière volonté de sa mère avec un brio... explosif. Dépité par la réception de son court-métrage, il s'apprête à en finir à son tour. Lorsqu'il rencontre Eri. Cinéphile, comme lui, la mystérieuse jeune fille va inspirer Yûta et l'aider à réaliser un nouveau film... Après Look Back, Tatsuki Fujimoto revient explorer la frontière floue entre le réel et la fiction, pour livrer, dans ce troublant court-métrage dessiné, une vibrante déclaration d'amour au septième art. Critique : Il y a plusieurs histoires dans Adieu Eri, on ne sait pas vraiment ce qui est vrai, ce qui ne l’est pas et peu importe à vrai dire. Car ce qui est important c’est l’histoire, les images, ce que l’on peut en faire. Là où le scénario peut nous emmener. Et Le manga est riche de possibilités, les histoires sont imbriquées, comme si chacune incluait la précédente. On est d’abord un peu spectateur puis on est touché, submergé par l’émotion du scénario. Le sujet est délicat (filmer la fin d’un proche) et le propos interroge. Puis on revient vers une tranche de vie qui ressemble à un épilogue mais qui finalement ne l’est pas. Le manga est comme un film, ou plutôt comme plusieurs courts métrages, il est monté comme un storyboard, avec l’enchainement des plans, la mise au point des images, le jeu des acteurs. On ne sait jamais vraiment ce qui est filmé ou ce qui ne l’est pas, ce qui est histoire ou vérité. Adieu Eri est une expérience intéressante, d’abord déroutante et assez bouleversante car l’auteur est bon et sait nous emmener là où il veut. C’est un bel hommage au 7e art ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adieu-eri?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    lost children tome 10 (Fin)

    C’est le dernier tome de la série et c’est le combat final, celui où l’on sait qui va survivre et qui va mourir. Un tome intense au milieu d’une bataille qui fait rage et où l’on reste en suspens jusqu’au bout en espérant que tous survivent. Mais c’est une guerre et il n’y a pas toujours de miracle… enfin, pas pour tout le monde. Une bien belle première œuvre pour Tomomi SUMIYAMA et une création Ki-oon, exportée au Japon depuis 2020. Lost Children aura su être une série forte tout le long des 10 tomes, une série avec des personnages attachants, des propos intéressants et un graphisme époustouflant. Une série émouvante et intelligente avec une fin cohérente et légitime.
  6. Titre de l'album : lost children tome 10 (Fin) Scenariste de l'album : SUMIYAMA Tomomi Dessinateur de l'album : SUMIYAMA Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Alhuma n'est plus qu'un champ de bataille... Révolutionnaires et villageois se sont alliés pour faire face à l'armée, mais leurs ennemis les submergent et les pertes sont lourdes. Les assiégés ne sont cependant pas sans soutiens?: l'arrivée de troupes menées par Itoku puis par Tahn Oulrajir pourrait leur permettre de tenir... Loin du front, c'est un autre combat qui se joue, car Uro s'est rebellé contre les prêtres décidés à tuer le kussuf. Le pauvre homme choisit de se sacrifier pour mettre fin à la sinistre tradition des meurtres rituels, libérant Yuri de cette influence néfaste... et le laissant seul avec ses démons. Critique : C’est le dernier tome de la série et c’est le combat final, celui où l’on sait qui va survivre et qui va mourir. Un tome intense au milieu d’une bataille qui fait rage et où l’on reste en suspens jusqu’au bout en espérant que tous survivent. Mais c’est une guerre et il n’y a pas toujours de miracle… enfin, pas pour tout le monde. Une bien belle première œuvre pour Tomomi SUMIYAMA et une création Ki-oon, exportée au Japon depuis 2020. Lost Children aura su être une série forte tout le long des 10 tomes, une série avec des personnages attachants, des propos intéressants et un graphisme époustouflant. Une série émouvante et intelligente avec une fin cohérente et légitime. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-children-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Difficile de critiquer ce genre de manga tellement il parait essentiel de remettre ce manga dans son contexte historique alors même qu'il est impossible d'éviter la comparaison avec ses successeurs. C'est encore plus dur pour Baki quand on sait que peu de temps avant la sortie de cette Perfect Edition, est fini rien de moins de Kengan Ashura(27 tomes terminés chez Meian), une version "au gout du jour" des combats sans règles. On peut donc se demander ce que va apporter ce Baki aux nouveaux lecteurs, car on comprend bien l'aspect nostalgie des anciens. Et bien autant vous dire que je n'ai pas encore la réponse... La ou je peux vous rassurer, c'est sur le dessin qui n'est tant dépassé que cela. Un peu old school avec des musculations qui contredisent les manuels de biologie, mais rien de bien étonnant pour un manga de baston. Par contre, niveau scenario et après "seulement deux tomes", on n'en sait pas assez pour se prononcer. Enfin pour savoir s'il y aura autre chose que l'éternelle quête du père/mentor et l'enchainement de combattant tous plus fort les uns que les autres. Une demi critique au final mais qui va s'affiner car je vais bientôt attaquer les deux prochains tomes..... on se donne donc rendez-vous dans 10 jours !:
  8. Titre de l'album : Baki, the grappler - perfect edition T1&2 Scenariste de l'album : Keisuke Itagaki Dessinateur de l'album : Keisuke Itagaki Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La référence absolue du manga d'arts martiaux !! La saga culte débarque en Perfect Edition !! Prêt à tout pour vaincre l'être le plus fort du monde... son père !! Sorti de nulle part, un mystérieux adolescent élimine un à un tous les meilleurs combattants d'un grand tournoi de karaté... Mais parviendra-t-il à remporter la finale ? Son nom est Baki Hanma et il commence tout juste à écrire sa légende !! Le mastodonte du manga de baston !! Le coeur sur la main et la victoire au bout des poings !! La quête d'un fils pour laver les péchés de son père ! Critique : Difficile de critiquer ce genre de manga tellement il parait essentiel de remettre ce manga dans son contexte historique alors même qu'il est impossible d'éviter la comparaison avec ses successeurs. C'est encore plus dur pour Baki quand on sait que peu de temps avant la sortie de cette Perfect Edition, est fini rien de moins de Kengan Ashura(27 tomes terminés chez Meian), une version "au gout du jour" des combats sans règles. On peut donc se demander ce que va apporter ce Baki aux nouveaux lecteurs, car on comprend bien l'aspect nostalgie des anciens. Et bien autant vous dire que je n'ai pas encore la réponse... La ou je peux vous rassurer, c'est sur le dessin qui n'est tant dépassé que cela. Un peu old school avec des musculations qui contredisent les manuels de biologie, mais rien de bien étonnant pour un manga de baston. Par contre, niveau scenario et après "seulement deux tomes", on n'en sait pas assez pour se prononcer. Enfin pour savoir s'il y aura autre chose que l'éternelle quête du père/mentor et l'enchainement de combattant tous plus fort les uns que les autres. Une demi critique au final mais qui va s'affiner car je vais bientôt attaquer les deux prochains tomes..... on se donne donc rendez-vous dans 10 jours !: Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baki-the-grappler-perfect-edition-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Deux émissaires étrangères sont au palais pour des négociations mais sans soute aussi pour essayer de se rapprocher de l’empereur. Se sentant supérieures aux concubines, Mao Mao et Jinshi montent un plan pour les remettre à leur place. La deuxième partie du tome reprend l’enquête autour des huiles parfumées. Le manga oscille toujours entre les petites affaires du quotidien du palais impérial et la trame principale qui est un complot à plus grande envergure au cœur du palais intérieur. Les petites affaires pouvant prendre vite un aspect important car le mode de vie des concubines et de leurs servantes ne laisse que peu de place à la liberté : chacune a une place qu’elle doit tenir et faire changer les choses n’est pas aisé. De son côté, Mao Mao, sous la protection de Jinshi, bénéficie de plus de marge de manœuvre, d’autant plus qu’elle a déjà fait ses preuves dans plusieurs affaires. Elle continue d’être attentive aux petits détails inhabituels. Les carnets de l’apothicaire reste une œuvre très bien faite avec un graphisme agréable et détaillé. Les informations historiques sont distillées avec parcimonie, de quoi en apprendre plus sur la vie des concubines sans être plombés par trop d’informations. Le scenario sait se renouveler pour notre plus grand plaisir, on ne s’en lasse pas.
  10. Titre de l'album : Les carnets de l'apothicaire tome 10 Scenariste de l'album : NANAO Itsuki Dessinateur de l'album : NEKOKURAGE Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un nouveau défi attend Mao Mao?: pour satisfaire l'émissaire d'un pays étranger, elle doit retrouver une danseuse à la splendeur telle qu'elle ressemblait à une déesse de la lune. Hélas, aujourd'hui, la femme en question n'est autre que la tenancière du palais vert-de-gris, dont la beauté a quelque peu fané... Heureusement, la jeune apothicaire n'est jamais à court d'idées ! Grâce à ses ressources et à son imagination, elle organise un spectacle dont les invitées d'honneur se souviendront longtemps... Critique : Deux émissaires étrangères sont au palais pour des négociations mais sans soute aussi pour essayer de se rapprocher de l’empereur. Se sentant supérieures aux concubines, Mao Mao et Jinshi montent un plan pour les remettre à leur place. La deuxième partie du tome reprend l’enquête autour des huiles parfumées. Le manga oscille toujours entre les petites affaires du quotidien du palais impérial et la trame principale qui est un complot à plus grande envergure au cœur du palais intérieur. Les petites affaires pouvant prendre vite un aspect important car le mode de vie des concubines et de leurs servantes ne laisse que peu de place à la liberté : chacune a une place qu’elle doit tenir et faire changer les choses n’est pas aisé. De son côté, Mao Mao, sous la protection de Jinshi, bénéficie de plus de marge de manœuvre, d’autant plus qu’elle a déjà fait ses preuves dans plusieurs affaires. Elle continue d’être attentive aux petits détails inhabituels. Les carnets de l’apothicaire reste une œuvre très bien faite avec un graphisme agréable et détaillé. Les informations historiques sont distillées avec parcimonie, de quoi en apprendre plus sur la vie des concubines sans être plombés par trop d’informations. Le scenario sait se renouveler pour notre plus grand plaisir, on ne s’en lasse pas. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-carnets-de-l-apothicaire-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Keiji tome 10

    Une fois n’est pas coutume, le tome entier suit une seule histoire : la prise du château de Kawarada. Le clan Uesugi fait le siège du château mais ne progresse pas du tout. La faute à Samanosuke Honma qui joue en fait sur les deux tableaux : il fait mine d’être fidèle à Uesugi mais aide l’autre partie. Keiji, en bon Kabuki-mono qui n’en fait qu’à sa tête et qui vite sa vie à fond, lance une attaque frontale aidé de prisonniers et de vieux paysans prêts à mourir dans l’honneur. On appréciera de voir un combat assez long, à la façon de l’époque, avec des seigneurs hautains qui traitent les autres comme de la chair à canon. Des traitrises, des alliances, des couardises mais aussi de la bravoure et un sens de l’honneur sans égal. Keiji est sérieux, compatissant et sait tirer le meilleur de ses hommes : c’est une présence forte que l’on ressent aussi à la lecture. Un tome différent pour un combat sans pitié.
  12. Nickad

    Keiji tome 10

    Titre de l'album : Keiji tome 10 Scenariste de l'album : RYU Keiichiro Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Si la vie a une fin, la gloire, elle, est éternelle ! »Keiji s'est rendu sur l'île de Sado pour épauler son ami Kanetsugu sur le champ de bataille. Le clan Honma, maître des lieux, s'est en effet scindé en deux factions : une loyale au clan Uesugi, l'autre qui lui est opposée. Alors que le conflit s'enlise devant le château de Kawarada, où sont retenus en otage les enfants des habitants, Keiji prend la tête d'un bataillon haut en couleur pour saisir la forteresse. Le kabuki-mono saura-t-il prouver, une fois de plus, que l'habit ne fait pas le moine ? Critique : Une fois n’est pas coutume, le tome entier suit une seule histoire : la prise du château de Kawarada. Le clan Uesugi fait le siège du château mais ne progresse pas du tout. La faute à Samanosuke Honma qui joue en fait sur les deux tableaux : il fait mine d’être fidèle à Uesugi mais aide l’autre partie. Keiji, en bon Kabuki-mono qui n’en fait qu’à sa tête et qui vite sa vie à fond, lance une attaque frontale aidé de prisonniers et de vieux paysans prêts à mourir dans l’honneur. On appréciera de voir un combat assez long, à la façon de l’époque, avec des seigneurs hautains qui traitent les autres comme de la chair à canon. Des traitrises, des alliances, des couardises mais aussi de la bravoure et un sens de l’honneur sans égal. Keiji est sérieux, compatissant et sait tirer le meilleur de ses hommes : c’est une présence forte que l’on ressent aussi à la lecture. Un tome différent pour un combat sans pitié. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    No Gun's life t13 (fin)

    Difficile exercice de clôturer un manga aussi exigeant que ce No Gun's Life. Exigeant car bien plus compliqué que la grande majorité des mangas. Plus compliqué que la grande majorité des parutions je dirais. Quasiment un scenario à la Remender, ce n'est pas peu dire. Et si l'on ne pourra reprocher à Tasuku Karasuma d'avoir dilué son manga, on pourra par contre lui reprocher de ne pas avoir pris assez de temps pour conclure. La première partie de ce tome 13 est quasi parfaite, avec une belle explication des motivations de Honnest, mais la conclusion est elle un tout petit peu trop rapide. On aurait aimé que l'opposition entre Testuo et Honest soit plus détaillée. Tasuku Karasuma laisse un peu trop de part à l'imagination, comme s'il lui manquait des idées pour clarifier ce combat. Reste que ce tome 13 conclu une série d'anticipation ambitieuse qui prendra tout son sens à la relecture des 13 tomes d'affilé.
  14. Titre de l'album : No Gun's life t13 (fin) Scenariste de l'album : Tasuku Karasuma Dessinateur de l'album : Tasuku Karasuma Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Honest a pris le contrôle des extends de toute la ville en déclenchant le dispositif harmonie à large spectre. Jûzô, qui est parvenu à y échapper grâce à la dangereuse stratégie de son ancien camarade Suiso, part affronter Honest. Parviendra-t-il à accomplir l'ultime mission qui lui a été confiée ? Critique : Difficile exercice de clôturer un manga aussi exigeant que ce No Gun's Life. Exigeant car bien plus compliqué que la grande majorité des mangas. Plus compliqué que la grande majorité des parutions je dirais. Quasiment un scenario à la Remender, ce n'est pas peu dire. Et si l'on ne pourra reprocher à Tasuku Karasuma d'avoir dilué son manga, on pourra par contre lui reprocher de ne pas avoir pris assez de temps pour conclure. La première partie de ce tome 13 est quasi parfaite, avec une belle explication des motivations de Honnest, mais la conclusion est elle un tout petit peu trop rapide. On aurait aimé que l'opposition entre Testuo et Honest soit plus détaillée. Tasuku Karasuma laisse un peu trop de part à l'imagination, comme s'il lui manquait des idées pour clarifier ce combat. Reste que ce tome 13 conclu une série d'anticipation ambitieuse qui prendra tout son sens à la relecture des 13 tomes d'affilé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-guns-life-tome-13?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Grand blue t11-12

    C'est vraiment étonnant comme ce manga peut être clivant. Durant ma "pose" de Grand Blue, j'ai essayé de le faire lire à plusieurs personnes... et soit les gens ont rigolé comme jamais, soit ils n'ont pas pu finir le premier tome. Le côté potache est tellement présent que certains lecteurs n'arrivent pas à le dépasser pour voir au-delà. Si c'est dommage, je peux comprendre. Moi j'étais... en manque. Manque de cet esprit de camaraderie. Manque de cet esprit étudiant qui place le degré d'humour en fonction des personnes à qui ils parlent. Bref j'ai retrouvé mon moment de détente et camaraderie. La préparation d'une fête pour les départs des 3ieme année m'a aussi rappelé les soirées étudiantes de départ des "anciens" et le tome 12 sur la famille de Iori et sa petite sœur est... mais complètement débile et sans retenu. Mon cerveau a pu se reposer durant plus d'une heure. Rien que cela m'avait manqué !
  16. Titre de l'album : Grand blue t11-12 Scenariste de l'album : Kenji Inoue Dessinateur de l'album : Kimitake Yoshioka Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : T11 : Pourquoi ne puis-je pas franchir cet écran minuscule qui nous sépare ?! Partis s'amuser sur une île déserte, Iori et ses camarades se retrouvent coincés sur place ! Sans aucun moyen de contacter les autres, ils vont devoir trouver comment survivre... T12 : Oooh... C'est un don du ciel...Iori doit récupérer son passeport chez ses parents. C'est alors qu'il rencontre deux touristes allemands, encore plus pervers et cinglés que les membres du PAB... ! Critique : C'est vraiment étonnant comme ce manga peut être clivant. Durant ma "pose" de Grand Blue, j'ai essayé de le faire lire à plusieurs personnes... et soit les gens ont rigolé comme jamais, soit ils n'ont pas pu finir le premier tome. Le côté potache est tellement présent que certains lecteurs n'arrivent pas à le dépasser pour voir au-delà. Si c'est dommage, je peux comprendre. Moi j'étais... en manque. Manque de cet esprit de camaraderie. Manque de cet esprit étudiant qui place le degré d'humour en fonction des personnes à qui ils parlent. Bref j'ai retrouvé mon moment de détente et camaraderie. La préparation d'une fête pour les départs des 3ieme année m'a aussi rappelé les soirées étudiantes de départ des "anciens" et le tome 12 sur la famille de Iori et sa petite sœur est... mais complètement débile et sans retenu. Mon cerveau a pu se reposer durant plus d'une heure. Rien que cela m'avait manqué ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grand-blue-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Contes merveilleux du printemps

    Le manga contient 4 histoires, chacune met en scène deux femmes liées par de sentiments très forts, de l’amitié qui dévie souvent vers une sorte d’amour confus entre passion et destin. Des histoires qui parlent de fantastique, de fantômes, de malédictions, qui sont parfois ancrées dans d’anciennes légendes ou croyances. On retrouve le dessin doux et agréable de Monday Recover que l’on avait découvert avec le one shot 9 lives man. Un graphisme qui ne fait pas toujours de séparation bien nette entre les chapitres au point de penser que l’on suit les mêmes personnages. Les histoires sont toutes un peu dramatiques avec des contextes sociaux difficiles (mariage arrangé, deuil…). Il est parfois difficile de bien cerné l’objectif du récit, comme si le lecteur était témoin d’une scène dans une histoire sans avoir ni le début ni la fin. Mais le propos peut amener à des réflexions, il y a beaucoup à analyser, comprendre les métaphores plus ou moins claires, saisir la symbolique… pour celui qui aurait envie d’aller plus loin. Un manga original qui peut apporter beaucoup mais qui est parfois confus.
  18. Titre de l'album : Contes merveilleux du printemps Scenariste de l'album : Monday Recover Dessinateur de l'album : Monday Recover Coloriste : Editeur de l'album : Mahô Note : Résumé de l'album : Est-ce l'amour qui fait éclore les fleurs du printemps ? Ces pétales d'amour s'envoleront-ils loin au vent ? Ô toi, mon être magique, laisse-moi espérer un futur à tes côtés. Car ce court printemps en ta compagnie m'a enivrée d'une trace parfumée. Critique : Le manga contient 4 histoires, chacune met en scène deux femmes liées par de sentiments très forts, de l’amitié qui dévie souvent vers une sorte d’amour confus entre passion et destin. Des histoires qui parlent de fantastique, de fantômes, de malédictions, qui sont parfois ancrées dans d’anciennes légendes ou croyances. On retrouve le dessin doux et agréable de Monday Recover que l’on avait découvert avec le one shot 9 lives man. Un graphisme qui ne fait pas toujours de séparation bien nette entre les chapitres au point de penser que l’on suit les mêmes personnages. Les histoires sont toutes un peu dramatiques avec des contextes sociaux difficiles (mariage arrangé, deuil…). Il est parfois difficile de bien cerné l’objectif du récit, comme si le lecteur était témoin d’une scène dans une histoire sans avoir ni le début ni la fin. Mais le propos peut amener à des réflexions, il y a beaucoup à analyser, comprendre les métaphores plus ou moins claires, saisir la symbolique… pour celui qui aurait envie d’aller plus loin. Un manga original qui peut apporter beaucoup mais qui est parfois confus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/contes-merveilleux-du-printemps?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Sounds of life tomes 1 et 2

    Le koto est un instrument traditionnel japonais, il n’est clairement pas à la mode auprès des lycéens. Takezô est le dernier membre du club de koto de son lycéen, il faut absolument qu’il trouve des membres pour éviter sa fermeture. Pour le moment il subit plus la présence des voyous de l’établissement qui squatte la salle. C’est alors qu’arrive Kudô, qui traine derrière lui une réputation de délinquant ultime et qui a déjà eu affaire à la police. Il souhaite sincèrement apprendre le koto. Arriveront-ils à sauver le club ? Un club à sauver, des jeunes qui subissent une image que l’on a attribué, et un instrument passé de mode, voilà les ingrédients de ce manga. Chacun des membres a rejoint le club pour des raisons différentes et au bout du compte, la musique finira par les réunir. Le graphisme est agréable, le rythme ne traine pas, l’histoire est bien menée et nous donne envie de continuer la lecture. De ce côté, il y a de quoi faire car la série compte 27 tomes et elle est toujours en cours. Les personnages, certains au caractère bien trempé, mettent de l’animation dans ce club et nous pousse à nous intéresser au koto. Un peu comme dans l’anime those snow white notes qui remet le shamisen au goût du jour, on est entrainé par ces jeunes qui veulent aller au bout de leurs rêves, il ne manque qu’un fond musical pour que tout soit parfait. Un très bon début. Extrait
  20. Titre de l'album : Sounds of life tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : AMU Dessinateur de l'album : AMU Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis la rentrée et le départ de ses aînées pour l'université, Takezô est devenu le seul membre du club de koto. Passionné par cet instrument, il refuse de laisser le club disparaître faute de nouvelles recrues. Mais sa salle est déjà envahie de délinquants, et aucun de ses camarades ne semble s'intéresser à une activité musicale aussi traditionnelle... jusqu'au jour où Chika, un élève à la mauvaise réputation, demande à s'inscrire. Critique : Le koto est un instrument traditionnel japonais, il n’est clairement pas à la mode auprès des lycéens. Takezô est le dernier membre du club de koto de son lycéen, il faut absolument qu’il trouve des membres pour éviter sa fermeture. Pour le moment il subit plus la présence des voyous de l’établissement qui squatte la salle. C’est alors qu’arrive Kudô, qui traine derrière lui une réputation de délinquant ultime et qui a déjà eu affaire à la police. Il souhaite sincèrement apprendre le koto. Arriveront-ils à sauver le club ? Un club à sauver, des jeunes qui subissent une image que l’on a attribué, et un instrument passé de mode, voilà les ingrédients de ce manga. Chacun des membres a rejoint le club pour des raisons différentes et au bout du compte, la musique finira par les réunir. Le graphisme est agréable, le rythme ne traine pas, l’histoire est bien menée et nous donne envie de continuer la lecture. De ce côté, il y a de quoi faire car la série compte 27 tomes et elle est toujours en cours. Les personnages, certains au caractère bien trempé, mettent de l’animation dans ce club et nous pousse à nous intéresser au koto. Un peu comme dans l’anime those snow white notes qui remet le shamisen au goût du jour, on est entrainé par ces jeunes qui veulent aller au bout de leurs rêves, il ne manque qu’un fond musical pour que tout soit parfait. Un très bon début. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sounds-of-life-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    The eminence in shadow t7

    On continue le presque parfait avec ce tome 7 de the Eminence in shadow. Je trouvais, au début, que ce tome 7 descendait un peu en pression avec la fin du tournoi et l'entrée de Rose au sein de Shadow Garden. Mais cette baisse de pression est en fait louable, car elle permet de se recentrer sur ce qui fait le sel de cette histoire : la façade peureuse de Cid qui cache son côté "super puissant". Ce tome 7 retourne en plein dans cette partie de l'histoire ! On s'éloigne un peu de la machination des Picolos pour se concentrer sur le personnage de Cid ce qui donne lieu à encore plus de quiproquos vu que sa sœur est persuadée que Cid est un trouillard de première. Encore un excellent tome pour série qui n'en finie plus de me detendre.
  22. Titre de l'album : The eminence in shadow t7 Scenariste de l'album : Daisuke Aizawa Dessinateur de l'album : Anri Sakano / Tozai Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Il est prêt à tout pour devenir une Éminence de l'ombre... mais ses plus gros mensonges vont le rattraper! Après avoir été propulsé dans un monde parallèle suite à un accident, Cid prend un malin plaisir à interpréter son rôle d'Éminence de l'Ombre, un personnage mystérieux qui influence le cours des événements depuis les coulisses et qui possède d'incroyables pouvoirs.Cid accompagne sa soeur Claire à la Cité de l'Anarchie, où les magelames se sont donné rendez-vous pour éliminer la maîtresse d'un groupe de vampires connue sous le nom de Reine Sanglante. Il ne lui faut pas longtemps pour comprendre que la ville est un véritable coupe-gorge et qu'il risque d'attirer l'attention en jouant son rôle habituel de citoyen lambda. Il décide donc de se faire passer pour un garçon mystérieux qui sourit sournoisement devant la sauvagerie qui l'entoure. Et finalement, le séjour se révèle plutôt agréable pour le jeune homme... mais la lune rouge qui se lève dans le ciel nocturne pourrait bien être un très mauvais présage ! Les malentendus et les fausses idées sur fond d'isekai continuent à se déverser dans ce septième volume d'Eminence in Shadow ! Critique : On continue le presque parfait avec ce tome 7 de the Eminence in shadow. Je trouvais, au début, que ce tome 7 descendait un peu en pression avec la fin du tournoi et l'entrée de Rose au sein de Shadow Garden. Mais cette baisse de pression est en fait louable, car elle permet de se recentrer sur ce qui fait le sel de cette histoire : la façade peureuse de Cid qui cache son côté "super puissant". Ce tome 7 retourne en plein dans cette partie de l'histoire ! On s'éloigne un peu de la machination des Picolos pour se concentrer sur le personnage de Cid ce qui donne lieu à encore plus de quiproquos vu que sa sœur est persuadée que Cid est un trouillard de première. Encore un excellent tome pour série qui n'en finie plus de me detendre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-eminence-in-shadow-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Witch watch tome 3

    L’arrivée de Kanshi dans la maisonnée apporte un coup de folie : il est sociable, enjoué et dépensier, le voilà qui doit participer à un show pour gagner de l’argent. Seulement, comme il n’est pas d’accord avec le scenario, il bouleverse la représentation. La petite équipe continue son quotidien tout en faisant attention à la menace qui pèse sur Nico. Le manga oscille entre gags et fantastique, le chapitre où ils font des vidéos amateurs et particulièrement amusante. Witch watch est un manga qui ne se prend pas au sérieux et qui apporte aventure et bonne humeur, il se lit bien et il est distrayant.
  24. Nickad

    Witch watch tome 3

    Titre de l'album : Witch watch tome 3 Scenariste de l'album : SHINOHARA Kenta Dessinateur de l'album : SHINOHARA Kenta Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Afin d'obéir à un antique serment, Morihito Otogi, un lycéen à la force surhumaine des ogres doit cohabiter avec son amie d'enfance, la sorcière Nico ! À peine revenue de sa formation en sorcellerie, elle rêve à de romantiques retrouvailles. Quant à lui, devenu le familier de la jeune sorcière, il préfère se concentrer sur sa mission : la protéger d'un désastre qui lui a été prophétisé... Critique : L’arrivée de Kanshi dans la maisonnée apporte un coup de folie : il est sociable, enjoué et dépensier, le voilà qui doit participer à un show pour gagner de l’argent. Seulement, comme il n’est pas d’accord avec le scenario, il bouleverse la représentation. La petite équipe continue son quotidien tout en faisant attention à la menace qui pèse sur Nico. Le manga oscille entre gags et fantastique, le chapitre où ils font des vidéos amateurs et particulièrement amusante. Witch watch est un manga qui ne se prend pas au sérieux et qui apporte aventure et bonne humeur, il se lit bien et il est distrayant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/witch-watch-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Talento seven t2

    Deuxième tome de l'étonnant Talento Seven et suite de notre découverte de l'univers obscure et, quelque part, assez malsain des Streamers. Je dis assez malsain, car ce tome deux nous montre que c'est un vrai monde de requin. Un monde ou tout est permis pour faire des likes et des followers. De la triche pure et simple au sujet racoleur, on passe par tous les sujets du monde des streamer. On voit aussi que la guerre entre streamer est importante et que l'argent dégagé peu en pousser certains à mettre leur indépendance de côté. Un poil verbeux pour les fans de manga de base, ce Talento seven tome 2 ravira ceux qui, comme moi, veulent en savoir plus sur cet univers. Pour dynamiser tout ça, nos auteurs orchestrent une vraie belle bataille et une progression de notre héros dans sa lutte contre son stress mais ils ont surtout parsemé le manga de clin d'oeil divers et varié, comme celui au manga français Vanupieds sur la couverture ! Ca donne envie de tout relire et de faire plus attention !
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