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  1. Titre de l'album : My home hero tome 16 Scenariste de l'album : YAMAKAWA Naoki Dessinateur de l'album : ASAKI Masashi Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Que seriez-vous prêt à faire pour protéger votre famille ? Eh bien, cela a fini par arriver... La route fut longue et pénible pour en arriver là... Critique : Une critique de Y_Kanzaki Alors qu'elle tentait de fuir aux côtés de Tetsuo, Kasen est rattrapée par les villageois et est contrainte de revenir au village. Pendant ce temps, les villageois poursuivent Kubo, persuadés que c'est lui qui a assassiné leur guide spirituel. Tetsuo, lui, est à bout de forces. Ce 16e tome est dans la même veine que le précédent: fuir du village natal de Kasen. Malheureusement, on se lasse un peu car les retournements de situation font que l'histoire stagne dans le village. Ce tome est néanmoins intéressant puisque l'on en apprend plus sur Kubo, sur son objectif et sur son passé, éléments restés très vagues jusqu'à présent. En clair, une série toujours aussi sympathique à lire et palpitante, bien que l'arc dans le village commence à être long. Mais vivement la suite !!!!! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-home-hero-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Je te love dans les plumes tome 1

    Inusaki a un don peu commun : il comprend le langage des oiseaux ! Quand il était petit, il a essayé de communiquer avec un pigeon qui lui a répondu « Qu’est-ce que tu me veux sale gamin ? J’vais t’crever » ; depuis, il les a en horreur. Mais un jour il se lie d’amitié avec un corbeau. Premier tome d’un diptyque, le manga est étrangement agréable à la lecture. Jusqu’à présent, il y avait beaucoup de livres avec des chats, quelques titres où les personnages pouvaient lire dans les pensées et/ou objets mais rien qui ressemble à celui-là. Le personnage d’Inusaki est intéressant car malgré son aversion envers les oiseaux, il ne peut pas s’empêcher d’être gentil. Sa rencontre avec le corbeau va changer beaucoup de choses, ses sentiments d’abord puis son côté social ensuite qui va lui permettre d’apprendre à connaitre mieux le fils de son employeur. Il y a un autre aspect un peu fantastique qui est sous-jacent et qui devrait être dévoilé dans le second tome. Une lecture vraiment plaisante accessible à tous, en tout cas pour ce premier volume.
  3. Titre de l'album : Je te love dans les plumes tome 1 Scenariste de l'album : YAMAMOTO Kotetsuko Dessinateur de l'album : YAMAMOTO Kotetsuko Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Nozomi Inusaki est détective privé, et mène une vie tout ce qu'il y a de plus normale, à chercher des animaux de compagnie perdus et à promener des chiens. Une seule particularité le distingue de la plupart de ses pairs : il est capable de comprendre la langue des oiseaux, et de la parler, ou plutôt, de la gazouiller. De ce fait, il maintient depuis son plus jeune âge une distance raisonnable avec la gent aviaire, s'étant déjà fait insulter plus que sèchement par un pigeon. Mais un jour, il rencontre un élégant corbeau. Critique : Inusaki a un don peu commun : il comprend le langage des oiseaux ! Quand il était petit, il a essayé de communiquer avec un pigeon qui lui a répondu « Qu’est-ce que tu me veux sale gamin ? J’vais t’crever » ; depuis, il les a en horreur. Mais un jour il se lie d’amitié avec un corbeau. Premier tome d’un diptyque, le manga est étrangement agréable à la lecture. Jusqu’à présent, il y avait beaucoup de livres avec des chats, quelques titres où les personnages pouvaient lire dans les pensées et/ou objets mais rien qui ressemble à celui-là. Le personnage d’Inusaki est intéressant car malgré son aversion envers les oiseaux, il ne peut pas s’empêcher d’être gentil. Sa rencontre avec le corbeau va changer beaucoup de choses, ses sentiments d’abord puis son côté social ensuite qui va lui permettre d’apprendre à connaitre mieux le fils de son employeur. Il y a un autre aspect un peu fantastique qui est sous-jacent et qui devrait être dévoilé dans le second tome. Une lecture vraiment plaisante accessible à tous, en tout cas pour ce premier volume. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-te-love-dans-les-plumes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kuroe est née avec une étrange maladie : quand elle se laisse submergée par ses émotions, des parties de son corps se transforme en kaijû. Pour pallier à ce problème, elle porte des vêtements amples et essaye de rester le plus possible éloignée de ses camarades de classe. Un jour, le garçon le plus populaire de l’école lui adresse la parole, malgré elle, elle commence à ressentir de l’attirance pour lui. Une chose en entrainant une autre, elle finit par se transformer complétement en kaijû de très grande taille, ce qui ne passe pas du tout inaperçu et sème la panique dans la ville. A la lecture du résumé, je n’étais pas forcément convaincue par ce concept mais finalement, l’histoire est plutôt sympathique et amusante. L’autrice est habituée des shojos, elle a lancé l’idée sur un coup de tête, elle a d’abord essayé un style shonen et finalement elle est restée sur un rendu shojo car au bout du compte, il s’agit bien d’une histoire d’amour. Il faut dire qu’elle a eu raison, son graphisme est très fleur bleue avec des personnages aux grands yeux et plein d’étoiles dedans. C’est assez marrant de voir Kuroe au prise avec ses sentiments et ne sachant jamais quelle partie de son corps va se transformer ; de l’autre côté, il y a le Arata le beau gosse qui a beau avoir déjà vu plusieurs phénomènes, ne fait toujours pas le rapprochement avec le kaijû. Un bon début de série agréable à lire et distrayant. 6 tomes en cours.
  5. Titre de l'album : Kaijû girl carameliser tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : AOKI Spica Dessinateur de l'album : AOKI Spica Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Kuroe est une lycéenne qui a deux soucis, dans la vie. Le premier souci : elle est amoureuse d´Arata Minami, le beau gosse du lycée. Le deuxième souci : quand son cœur bat la chamade, elle se transforme en monstre gigantesque, avec des écailles, des cornes, des griffes, des ailes, et une queue capable de facilement raser un pâté de maison sur un malentendu. Solitaire et évitant tout contact superflu avec autrui afin d´éviter toute transformation inopinée, sa vie va prendre un nouveau tournant quand le garçon de ses rêves se met à s´intéresser à elle. Critique : Kuroe est née avec une étrange maladie : quand elle se laisse submergée par ses émotions, des parties de son corps se transforme en kaijû. Pour pallier à ce problème, elle porte des vêtements amples et essaye de rester le plus possible éloignée de ses camarades de classe. Un jour, le garçon le plus populaire de l’école lui adresse la parole, malgré elle, elle commence à ressentir de l’attirance pour lui. Une chose en entrainant une autre, elle finit par se transformer complétement en kaijû de très grande taille, ce qui ne passe pas du tout inaperçu et sème la panique dans la ville. A la lecture du résumé, je n’étais pas forcément convaincue par ce concept mais finalement, l’histoire est plutôt sympathique et amusante. L’autrice est habituée des shojos, elle a lancé l’idée sur un coup de tête, elle a d’abord essayé un style shonen et finalement elle est restée sur un rendu shojo car au bout du compte, il s’agit bien d’une histoire d’amour. Il faut dire qu’elle a eu raison, son graphisme est très fleur bleue avec des personnages aux grands yeux et plein d’étoiles dedans. C’est assez marrant de voir Kuroe au prise avec ses sentiments et ne sachant jamais quelle partie de son corps va se transformer ; de l’autre côté, il y a le Arata le beau gosse qui a beau avoir déjà vu plusieurs phénomènes, ne fait toujours pas le rapprochement avec le kaijû. Un bon début de série agréable à lire et distrayant. 6 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-girl-carameliser-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Beast complex tome 3 (fin)

    Dernier volume pour les petites histoires annexes de l’univers de Beastars. 8 histoires toujours centrées sur les différences entre espèces mais qui, pour certaines, montrent plus le côté obscur des rapports entre carnivores et herbivores. On découvrira ainsi une panthère qui, influencé, par son rôle de comédien, a dévoré un pauvre canard, une jeune femme poulpe transformée en brochettes et un crocodile addict à l’eau du bain de son ami bœuf (et oui un bon bouillon de bœuf c’est bon !). A côté de ça, il y a 2 chapitres où l’on retrouve les personnages de Beastars dont Legoshi. Comme pour les deux autres volumes de la série, il y a toujours plusieurs niveaux de lecture : le 1er raconte des petites histoires et le second s’attarde sur les instincts animaux et la nature profonde des êtres. Un volume agréable à lire même si toutes les histoires ne sont pas au même niveau.
  7. Titre de l'album : Beast complex tome 3 (fin) Scenariste de l'album : ITAGAKI Paru Dessinateur de l'album : https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9791032711941_1_75.jpg Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Dans la cohabitation entre herbivores et carnivores, les relations inter-espèces sont souvent complexes, parfois intenses. Quelles que soient les règles adoptées, les barrières restent difficiles à faire tomber, et chacun tente à sa manière de faire voler en éclat le carcan des idées reçues. Critique : Dernier volume pour les petites histoires annexes de l’univers de Beastars. 8 histoires toujours centrées sur les différences entre espèces mais qui, pour certaines, montrent plus le côté obscur des rapports entre carnivores et herbivores. On découvrira ainsi une panthère qui, influencé, par son rôle de comédien, a dévoré un pauvre canard, une jeune femme poulpe transformée en brochettes et un crocodile addict à l’eau du bain de son ami bœuf (et oui un bon bouillon de bœuf c’est bon !). A côté de ça, il y a 2 chapitres où l’on retrouve les personnages de Beastars dont Legoshi. Comme pour les deux autres volumes de la série, il y a toujours plusieurs niveaux de lecture : le 1er raconte des petites histoires et le second s’attarde sur les instincts animaux et la nature profonde des êtres. Un volume agréable à lire même si toutes les histoires ne sont pas au même niveau. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beast-complex-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Endroll back tome 3 (fin)

    Voici le dernier tome de la série après 2 tomes intéressants. A force de démêler les situations dans laquelle se trouvent ses élèves, Asaharu se demande si sa seule motivation reste le sort de sa sœur, pensant avoir plutôt bien mené cette boucle, il croit être prêt du dénouement. C’est sans compter un revirement de dernière minute : tous les petits secrets des élèves sont dévoilés et Asaharu risque de perdre ses alliés. Le dénouement de la série était attendu, si on a l’explication des problèmes de harcèlement, on finit sur une ouverture, libre au lecteur d’imaginer la suite. Il est un peu dommage que l’on n’ait pas un épilogue sur la vie de la fratrie quand on sait qu’Asaharu a perdu la majorité de son espérance de vie. En ce qui concerne les raisons du harcèlement, c’est plutôt intelligent et bien ficelé, on pouvait se douter d’une partie mais cela reste quand même surprenant. Il reste cependant quelques zones d’ombre, concernant notamment les motivations de l’ange. Endroll back est un bon manga qui pousse (si on le souhaite) à réfléchir sur plusieurs thématiques dont la principale est : jusqu’où est-on prêt à aller pour ceux que l’on aime ? Il y a aussi beaucoup de réflexions sur les comportements sociétaux. Une série intéressante que je vous invite à découvrir.
  9. Titre de l'album : Endroll back tome 3 (fin) Scenariste de l'album : NAKAZATO Haruna Dessinateur de l'album : https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782490453320_1_75.jpg Coloriste : Editeur de l'album : ChattoChatto Note : Résumé de l'album : Après d'innombrables boucles, le corps d'Asaharu atteint ses limites. Mais il réussit finalement à trouver la personne responsable du sms. Le coupable lui dévoile alors la vérité cachée derrière ce harcèlement ciblé.... Comment Asaharu réussira-t-il à gagner ce jeu? Assistez à la conclusion de ce thriller haletant, dans un déferlement d'égoïsme. Critique : Voici le dernier tome de la série après 2 tomes intéressants. A force de démêler les situations dans laquelle se trouvent ses élèves, Asaharu se demande si sa seule motivation reste le sort de sa sœur, pensant avoir plutôt bien mené cette boucle, il croit être prêt du dénouement. C’est sans compter un revirement de dernière minute : tous les petits secrets des élèves sont dévoilés et Asaharu risque de perdre ses alliés. Le dénouement de la série était attendu, si on a l’explication des problèmes de harcèlement, on finit sur une ouverture, libre au lecteur d’imaginer la suite. Il est un peu dommage que l’on n’ait pas un épilogue sur la vie de la fratrie quand on sait qu’Asaharu a perdu la majorité de son espérance de vie. En ce qui concerne les raisons du harcèlement, c’est plutôt intelligent et bien ficelé, on pouvait se douter d’une partie mais cela reste quand même surprenant. Il reste cependant quelques zones d’ombre, concernant notamment les motivations de l’ange. Endroll back est un bon manga qui pousse (si on le souhaite) à réfléchir sur plusieurs thématiques dont la principale est : jusqu’où est-on prêt à aller pour ceux que l’on aime ? Il y a aussi beaucoup de réflexions sur les comportements sociétaux. Une série intéressante que je vous invite à découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/endroll-back-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Bon maintenant, c'est clair, la pression des lecteurs a fini par avoir raison et le scenario est reparti tambour battant ! Ce tome 21 ne nous livre rien de moins que le combat final contre Kyo mais aussi la fin de ce passage dans un autre monde et le retour au... vagues de monstres. Vous vous souvenez les vagues ? Ce concept qui est la base de The Rising of the shield hero mais qui a disparu depuis 10 tomes... Et bien, on y revient ! enfin ! ET ca fait plaisir et fait de ce tome 21, je l'espère, une des pierres angulaires de l'histoire ! En espérant sincèrement que les tomes suivants suivent le mouvement !
  11. Titre de l'album : The rising of the shield hero t21 Scenariste de l'album : Yusagi Aneko Dessinateur de l'album : Kyû Aiya Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Aust voulait mener Kyo à la mort... et son souhait est sur le point d'être exaucé !Le combat contre Kyo arrive enfin à sa conclusion ! Ne me dis pas que tu viens de déclencher une vague ?!Naofumi et ses compagnons arrivent enfin au laboratoire de Kyo, où ils découvrent des clones humains appelés Homonculus, destinés à être utilisés comme réceptacles d'âmes. Déterminé à mener son plan diabolique à terme, Kyo va jusqu'à manipuler le héros au miroir clanique pour attaquer ses adversaires. Pour lui, tous les coups sont permis, même les plus bas ! Et il s'apprête à en faire la terrible démonstration... Critique : Bon maintenant, c'est clair, la pression des lecteurs a fini par avoir raison et le scenario est reparti tambour battant ! Ce tome 21 ne nous livre rien de moins que le combat final contre Kyo mais aussi la fin de ce passage dans un autre monde et le retour au... vagues de monstres. Vous vous souvenez les vagues ? Ce concept qui est la base de The Rising of the shield hero mais qui a disparu depuis 10 tomes... Et bien, on y revient ! enfin ! ET ca fait plaisir et fait de ce tome 21, je l'espère, une des pierres angulaires de l'histoire ! En espérant sincèrement que les tomes suivants suivent le mouvement ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rising-of-the-shield-hero-tome-21?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    La nouvelle vie de Lili tome 1

    Hop, nouvel isekai ! Une femme qui a bien vécu entourée de l’amour de sa famille, se réincarne en nourrisson dans une famille douée de magie mais extrêmement froide : chacun des membres semble manquer cruellement d’amour et la mère de Lili (notre réincarnée), décédée, a laissé un vide dans le cœur de son père et de son frère. Peu à peu, Lili va réussir à faire changer les choses mais sa capacité magique latente fait des envieux… Même si Lili a gardé ses souvenirs et connaissances de sa vie passée, elle est obligée de suivre la nature et l’évolution normale de son corps, du coup, elle ne s’exprime pas super bien dès le début et ne fait rien d’extraordinaire par rapport à un bébé normal et ça c’est bien. La première partie de l’histoire se concentre sur les relations familiales, l’acceptation d’un enfant né au moment où sa mère mourrait, le père comprend peu à peu ce qu’est l’amour et comment se comporter avec ses enfants. Il y a beaucoup de tendresse dans cette partie sans tomber dans l’apitoiement. Ensuite arrive la magie et l’aventure mais c’est la suite du manga qui nous montrera si c’est bien fait ou non, en attendant les premières informations à ce sujet tendent à montrer que l’histoire va devenir intéressante. Un bon 1er tome.
  13. Titre de l'album : La nouvelle vie de Lili tome 1 Scenariste de l'album : KAYA Dessinateur de l'album : MIKABE Sesuna / MO Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Lilia s'est réincarnée au sein des Albans, une puissante famille de nobles. Toutefois, sa naissance s'est faite au détriment de la vie de sa mère et depuis son père la néglige totalement. Sa nouvelle vie démarre dans des conditions difficiles, mais pas question d'abandonner ! La jeune Lilia va devoir faire preuve de ténacité et de charme pour trouver le bonheur et affronter les embûches que la vie lui réserve ! Critique : Hop, nouvel isekai ! Une femme qui a bien vécu entourée de l’amour de sa famille, se réincarne en nourrisson dans une famille douée de magie mais extrêmement froide : chacun des membres semble manquer cruellement d’amour et la mère de Lili (notre réincarnée), décédée, a laissé un vide dans le cœur de son père et de son frère. Peu à peu, Lili va réussir à faire changer les choses mais sa capacité magique latente fait des envieux… Même si Lili a gardé ses souvenirs et connaissances de sa vie passée, elle est obligée de suivre la nature et l’évolution normale de son corps, du coup, elle ne s’exprime pas super bien dès le début et ne fait rien d’extraordinaire par rapport à un bébé normal et ça c’est bien. La première partie de l’histoire se concentre sur les relations familiales, l’acceptation d’un enfant né au moment où sa mère mourrait, le père comprend peu à peu ce qu’est l’amour et comment se comporter avec ses enfants. Il y a beaucoup de tendresse dans cette partie sans tomber dans l’apitoiement. Ensuite arrive la magie et l’aventure mais c’est la suite du manga qui nous montrera si c’est bien fait ou non, en attendant les premières informations à ce sujet tendent à montrer que l’histoire va devenir intéressante. Un bon 1er tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nouvelle-vie-de-lili-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Theogonia tome 1

    L’histoire se déroule dans un monde de fantasy où les humains doivent défendre leur territoire face à l’invasion de ce qu’ils nomment des « semi-humains ». Au cours d’un combat contre les hommes-singe, une jeune homme, Kai, se cogne la tête et voit des images qui semblent lui venir d’une vie antérieure. A partir de là, certaines de ses réflexions et vocabulaires lui viennent à l’esprit comme qu’il avait été touché par la grâce divine ? Il se met alors en tête de faire de la magie. Non dit clairement dans ce 1er tome, il s’agit effectivement d’un isekai mais comme cela ne se manifeste qu’au travers de « souvenirs » plutôt flous, ce n’est pas très important. Theogenia nous présente un nouveau monde où certaines créatures, humaines ou non, se voient bénéficier d’une protection divine qui leur apporte force et dextérité et font d’eux les meneurs de leur groupe. Le contexte de l’histoire est assez brut : il s’agit juste de survivre et de garder son territoire, il y a donc des entrainements, du combat et entre les deux, du temps pour l’agriculture. Peu à peu, on sent que Kai se dirige vers une autre vie et va s’éloigner de cette routine mais ce 1er tome n’en dévoile pas plus. Un volume qui est clairement une introduction et qui est facile d’accès, surtout pour la compréhension de ce nouveau monde. A suivre.
  15. Nickad

    Theogonia tome 1

    Titre de l'album : Theogonia tome 1 Scenariste de l'album : TANIMAI Tsukasa Dessinateur de l'album : AOYAMA Shunsuke Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Des terres hostiles et envahies de monstres : c´est là que vit Kai, un jeune homme assurant la défense de son village. Risquer sa vie pour vaincre les monstres, découvrir des pierres divines dans leurs entrailles, les consommer pour gagner en puissance : voilà son quotidien. Mais un jour lui viennent en tête d´étranges souvenirs, ceux d´un monde différent : le nôtre... Critique : L’histoire se déroule dans un monde de fantasy où les humains doivent défendre leur territoire face à l’invasion de ce qu’ils nomment des « semi-humains ». Au cours d’un combat contre les hommes-singe, une jeune homme, Kai, se cogne la tête et voit des images qui semblent lui venir d’une vie antérieure. A partir de là, certaines de ses réflexions et vocabulaires lui viennent à l’esprit comme qu’il avait été touché par la grâce divine ? Il se met alors en tête de faire de la magie. Non dit clairement dans ce 1er tome, il s’agit effectivement d’un isekai mais comme cela ne se manifeste qu’au travers de « souvenirs » plutôt flous, ce n’est pas très important. Theogenia nous présente un nouveau monde où certaines créatures, humaines ou non, se voient bénéficier d’une protection divine qui leur apporte force et dextérité et font d’eux les meneurs de leur groupe. Le contexte de l’histoire est assez brut : il s’agit juste de survivre et de garder son territoire, il y a donc des entrainements, du combat et entre les deux, du temps pour l’agriculture. Peu à peu, on sent que Kai se dirige vers une autre vie et va s’éloigner de cette routine mais ce 1er tome n’en dévoile pas plus. Un volume qui est clairement une introduction et qui est facile d’accès, surtout pour la compréhension de ce nouveau monde. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/theogonia-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. De nombreux webtoon et mangas parlent de Murim, mais qu’est-ce que c’est ? Il s’agit du monde des arts martiaux coréens mais n’allez pas vous imaginez une pratique comme on la connaît à l’heure actuelle, non le Murim est un monde dur, violent, sanglant où règne la loi du plus fort. L’univers du Murim à un visuel assez facilement reconnaissable : le plus souvent, il y a de longues tuniques, des épées, des cheveux longs. A la lecture d’une première œuvre dans ce genre, plein de vocabulaire arrive aussi, on peut s’y sentir perdu alors voilà quelques termes redondants Dantian : un noyau situé dans le corps où s’accumule le mana ou l’énergie Méridien : les vaisseaux où circulent le mana Cultivation : l’art d’améliorer son mana et sa manipulation, souvent réalisé au travers de la méditation, cela permet également d’augmenter son dantian ou d’en avoir plusieurs. Pour information un artiste qui n’a plus de dantian ne peut plus pratiquer les arts martiaux. Quel est l’objectif d’un artiste ? tout simplement devenir le plus fort, cultiver son art pour atteindre un niveau approchant celui des dieux, la manipulation des énergies permet de réaliser des techniques de projection qui pourraient ressembler à une sorte de magie pour les non-initiés. Le monde du Murim est souvent partagé entre les factions orthodoxe et non-orthodoxe, cette dernière voit souvent ses dirigeants être appelés démons (c’est juste qu’ils sont très forts et que pour y arriver ils ont utilisé des techniques pas très morales). Chaque faction peut être divisée en clans, souvent appelés sectes, parmi les plus connues, il y a la secte du mont Hua et la secte Emei (uniquement féminine) et chaque secte a ses propres techniques. Pourquoi est-ce violent ? D’abord parce qu’il y a des combats tout le temps mais il y a surtout le fait que le monde du Murim n’a pas de justice, si vous vous prenez la tête avec quelqu’un et que vous le tuez, vous ne serez pas jugé, vous risquez seulement d’avoir un autre artiste qui vienne vous attaquer pour se venger. C’est œil pour œil, dent pour dent et souvent il n’y a pas de seconde chance, ça dégomme dans tous les sens. Donc à part pour les personnages principaux, il est inutile de s’attacher aux autres protagonistes car ils ne restent jamais très longtemps. La liste des œuvres abordant ce thème est longue mais voici quelques titres que j’ai expérimentés : Return of immortal emperor : Un jeune homme revient chez lui après 3 ans d’absence, il a vécu dans le monde céleste où il a développé son art au maximum. Quand il revient, la situation de sa famille n’est pas au beau fixe et il décide de reprendre la situation en main. 363 épisodes à ce jour, une histoire typique du genre où le héros finit par trucider tous les gens qui se mettent en travers de son chemin, peu importe l’âge et peu importe le sexe, le scenario est un peu vague, j’ai abandonné vers le chapitre 150 Star instructor, master Baek (Best teacher baek, webtoon) : Un membre de la faction non-orthodoxe se réincarne en fils d’un artiste martial, il a des problèmes avec ses méridiens et son père semble s’être réfugié à la campagne pour se faire oublier. Ne voulant pas mourir jeune, il décide de se soigner et d’utiliser ses anciennes connaissances pour y parvenir, il décide donc de devenir professeur dans l’une des plus prestigieuses académies. Un webtoon bien mené avec un vrai scenario, un personnage séduisant qui ne manque pas d’humour. La seconde saison vient juste de commencer (chapitre 52) I reincarnated as the crazy heir : Un artiste doué de la faction orthodoxe se fait assassiné et se réincarne dans le corps d’un jeune homme membre de la faction non-orthodoxe mais pas n’importe lequel : il s’agit de l’héritier de la secte, connu pour sa vie dissolue et son manque de capacité. Il va non seulement améliorer son niveau mais aussi déjouer des complots qui existent. Il y a un bon graphisme, de beaux combats et surtout un scenario : le personnage principal est d’abord gêné car ses convictions sont mises à mal mais il va découvrir peu à peu que la faction orthodoxe a condamné un peu vite les autres et que les deux factions ne sont pas si différentes. Return of the Mount Hua sect : Lors d’un combat contre les démons, l’une des stars de la secte du mont Hua voit tous les siens mourir et périt à son tour, il se réincarne en un jeune mendiant des années plus tard. Il décide de faire revivre sa secte qui a non seulement perdu beaucoup de membres mais aussi perdu les techniques légendaires. Reaper of the drifting moon (la faucheuse de la lune errante, piccoma): de mon point de vue, l’un des plus intéressant. En plein cœur du monde du Murim, de jeunes enfants ont été kidnappés, isolés, ils découvrent qu’ils doivent subir des épreuves et des entrainements qui feront d’eux des assassins hors pair, seulement tous ne survivront pas. Un webtoon sombre, terrible et violent mais avec un scenario de qualité et de beaux combats. Sword fanatic wanders through the night : Un jeune homme quitte ses maitres pour retrouver sa famille après de nombreuses années. Il découvre que son clan n’existe plus et qu’un autre s’est installé à la place. Il décide de le faire revivre et de retrouver ses anciens membres, et compte bien reprendre de force ce qui lui appartient. Le personnage principal est très charismatique, très séduisant, et il a plus d’un atout dans sa poche. Un webtoon de combats dans la plus pure tradition du Murim.
  17. poseidon2

    Bucket list of the dead tome 7

    Notre fine équipe est repartie sur les routes pour notre plus grand plaisir. Après un épisode sérieux, on repart dans le vrai et pur WTF. Cette fois nos héros décident de courir un marathon de plus de 200km... oubliant qu'il y a des zombies partout. Marathon qui les amène se réfugier dans un étrange hôtel contrôlé... par des robots. Ce tome est vraiment un condensé de déconne. Une partie de l'album est réalisé en format album de photo de voyage dans des régions dévastées et au milieu des zombies. L'insouciance et le bonheur que prennent nos personnages est aussi rafraichissant que délirant et fait, encore une fois, de ce tome un petit ilot de détente à une époque où l'on en manque !
  18. Titre de l'album : Bucket list of the dead tome 7 Scenariste de l'album : Haro Asô Dessinateur de l'album : Haro Asô Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Depuis 3 ans Akira travaille pour une société dans des conditions abominables : centaines d’heures sup’ par mois, l’impossibilité de rentrer chez soi tous les jours, l’abus de pouvoir des supérieurs, le stress, l’épuisement physique et psychologique.... Le cocktail parfait pour un burn-out. Mais un jour, éclate une épidémie zombie. Empêché par les créatures d’aller au travail, Akira a la révélation : “Ça veut dire que je ne dois plus aller bosser !” C’est alors la délivrance pour Akira : un monde sans contrainte, sans chef tyrannique, sans préoccupations financières, sans jugement, s’ouvre à lui. Il est désormais libre de faire ce qu’il veut et n’a aucune intention de s’en priver. Les zombies n’y changeront rien. Carpe Diem, les Zombies débarquent ! Critique : Notre fine équipe est repartie sur les routes pour notre plus grand plaisir. Après un épisode sérieux, on repart dans le vrai et pur WTF. Cette fois nos héros décident de courir un marathon de plus de 200km... oubliant qu'il y a des zombies partout. Marathon qui les amène se réfugier dans un étrange hôtel contrôlé... par des robots. Ce tome est vraiment un condensé de déconne. Une partie de l'album est réalisé en format album de photo de voyage dans des régions dévastées et au milieu des zombies. L'insouciance et le bonheur que prennent nos personnages est aussi rafraichissant que délirant et fait, encore une fois, de ce tome un petit ilot de détente à une époque où l'on en manque ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bucket-list-of-the-dead-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Dai Dark tome 3

    Suite des aventures de Sanko : maintenant qu’il a un vaisseau, encore en aménagement d’ailleurs il continue son périple en compagnie de son amie Death Delamort. En explorant un vaisseau de Photoforce, ils découvrent le corps d’un autre fléau Tocard Primus et se retrouvent aux prises avec Les voilà qui se retrouve aux prises avec les illuminés de Lightforce prêts à tout pour obtenir les os de Sanko. Il faut reconnaitre que le graphisme accentue le côté glauque et obscur de l’histoire qui est déjà, en toute honnêteté, bien sordide : nos héros sont considérés comme les fléaux de cet univers et il faut reconnaitre que s’ils ont un bon fond ils ont quand même des passe-temps peu communs : Sanko adore récupérer les os des cadavres et Death dévore les âmes. Autant dire qu’ils sèment des cadavres sur leur route ! Le manga est toujours égal à lui-même et nous entraine dans une drôle d’aventure
  20. Nickad

    Dai Dark tome 3

    Titre de l'album : Dai Dark tome 3 Scenariste de l'album : Q-HAYASHIDA Dessinateur de l'album : Q-HAYASHIDA Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sanko Zaha, un ado qui adore les spaghettis, voyage dans les ténèbres de l'espace infini. On raconte que ses os exauceraient n'importe quel souhait. C'est pourquoi les pires malfrats de l'univers veulent lui faire la peau ! Heureusement, toujours accompagné d'Avakian, son fidèle compère, il n'hésitera pas à désosser gaiement tous ses assaillants. Critique : Suite des aventures de Sanko : maintenant qu’il a un vaisseau, encore en aménagement d’ailleurs il continue son périple en compagnie de son amie Death Delamort. En explorant un vaisseau de Photoforce, ils découvrent le corps d’un autre fléau Tocard Primus et se retrouvent aux prises avec Les voilà qui se retrouve aux prises avec les illuminés de Lightforce prêts à tout pour obtenir les os de Sanko. Il faut reconnaitre que le graphisme accentue le côté glauque et obscur de l’histoire qui est déjà, en toute honnêteté, bien sordide : nos héros sont considérés comme les fléaux de cet univers et il faut reconnaitre que s’ils ont un bon fond ils ont quand même des passe-temps peu communs : Sanko adore récupérer les os des cadavres et Death dévore les âmes. Autant dire qu’ils sèment des cadavres sur leur route ! Le manga est toujours égal à lui-même et nous entraine dans une drôle d’aventure Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dai-dark-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    The ice guy & the cool girl tome 3

    Mais qu’ils sont à se déclarer ces deux-là ! Quand on voit que leurs collègues sont plus entreprenants on aurait envie de les secouer un peu ! Mais bon, cela permet de profiter plus longtemps de tous les côtés mignons du manga, car oui, le manga est kawaii, fleur bleue et romantique. Et le graphisme est à la hauteur, beau, fin avec des personnages séduisants. On aime la partie fantastique, avec des héros descendants de créatures mystiques : la femme des neiges, le phénix ; l’homme loup… Il faut reconnaitre que les tempêtes de neige que produit Himuro sont assez amusantes ainsi que les réactions de ses amis. Bref, on ne se lasse pas de cette ambiance et on en redemande.
  22. Titre de l'album : The ice guy & the cool girl tome 3 Scenariste de l'album : TONOGAYA Miyuki Dessinateur de l'album : TONOGAYA Miyuki Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Himuro, descendant moderne d'une femme des neiges, est collègue avec la gentille et discrète Fuyutsuki. Lors d'un voyage au ski, Himuro réussit progressivement mais sûrement à se rapprocher de celle qu'il aime. Au fur et à mesure du temps passé ensemble, leurs souvenirs s'accumulent, tout comme leurs sentiments...The Ice Guy & The Cool Girl est un manga publié originellement sur le compte Twitter de Miyuki Tonogaya. Grâce à son dessin magnifique et à ses personnages charismatiques, la mangaka nous offre une romance aussi chaleureuse que mignonne. Critique : Mais qu’ils sont à se déclarer ces deux-là ! Quand on voit que leurs collègues sont plus entreprenants on aurait envie de les secouer un peu ! Mais bon, cela permet de profiter plus longtemps de tous les côtés mignons du manga, car oui, le manga est kawaii, fleur bleue et romantique. Et le graphisme est à la hauteur, beau, fin avec des personnages séduisants. On aime la partie fantastique, avec des héros descendants de créatures mystiques : la femme des neiges, le phénix ; l’homme loup… Il faut reconnaitre que les tempêtes de neige que produit Himuro sont assez amusantes ainsi que les réactions de ses amis. Bref, on ne se lasse pas de cette ambiance et on en redemande. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-ice-guy-the-cool-girl-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    La déesse de 3000 ans tome 2

    En sortant du monde à l’envers, Mitama et Jûzô se retrouvent face au père de Mitama qui soupçonne fortement sa fille de vouloir abandonner sa divinité. Ce dieu tout puissant est en fait un papa gâteau et même s’il n’a pas encore accepté Jûzô, il accepte de les laisser continuer leur voyage à la recherche du sceau de Mitama. Côté scenario, ce n’est pas très compliqué, une ligne directrice simple, des personnages qui ne se posent pas trop de question et prennent les choses comme elles viennent. Le manga est plus un prétexte à la créativité artistique de l’autrice qu’à une histoire extraordinaire. Ayant fait des études de décoration intérieure et s’être lancée dans le domaine artistique des jeux vidéo, on ressent bien toute son implication dans la confection de ses décors : il y a beaucoup d’imagination, de détails et parfois même on se demande s’il ne s’agit pas de photo (et non c’est bien du dessin !). Le manga n’est pas désagréable à lire mais il est surtout intéressant à explorer et à regarder.
  24. Titre de l'album : La déesse de 3000 ans tome 2 Scenariste de l'album : KATO Fumitaka Dessinateur de l'album : KATO Fumitaka Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : À la recherche du sceau de Mitama, nécessaire à la signature des papiers du mariage, le petit groupe tombe sur un dieu effrayant : le père de Mitama ! Surprotecteur envers s­a fille, celui-ci exprime mentalement tous s­es sentiments. Et bizarrement seul Jûzô peut les entendre. Avec ce nouveau don, parviendra-t-il à survivre à cette confrontation ? Critique : En sortant du monde à l’envers, Mitama et Jûzô se retrouvent face au père de Mitama qui soupçonne fortement sa fille de vouloir abandonner sa divinité. Ce dieu tout puissant est en fait un papa gâteau et même s’il n’a pas encore accepté Jûzô, il accepte de les laisser continuer leur voyage à la recherche du sceau de Mitama. Côté scenario, ce n’est pas très compliqué, une ligne directrice simple, des personnages qui ne se posent pas trop de question et prennent les choses comme elles viennent. Le manga est plus un prétexte à la créativité artistique de l’autrice qu’à une histoire extraordinaire. Ayant fait des études de décoration intérieure et s’être lancée dans le domaine artistique des jeux vidéo, on ressent bien toute son implication dans la confection de ses décors : il y a beaucoup d’imagination, de détails et parfois même on se demande s’il ne s’agit pas de photo (et non c’est bien du dessin !). Le manga n’est pas désagréable à lire mais il est surtout intéressant à explorer et à regarder. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-deesse-de-3000-ans-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Keiji tome 9

    Après avoir fini son combat contre le chef du clan Fuma, Keiji passe quelques moments en galante compagnie ; on apprend alors quels sont les élans de son cœur. Dommage que cette histoire se finisse sans une vraie chute et conclusion et que l’on passe directement au champ de bataille. Ce sera d’ailleurs le point négatif du volume car on ne sait pas ce que devient la belle Kana ni ce qui se passe pour Sukeemon pris entre son meilleur ami et sa sœur. La bataille qui suit est dans la veine de l’univers de Keiji : des dessins travaillés et détaillés, des personnages imposants, des trahisons et un Keiji fidèle à lui-même entre puissance et nonchalance et surtout prêt à vivre comme il veut. Le manga est toujours plaisant, quelques exagérations propres à Hara sur la représentation de certains personnages mais rien qui rebute car le livre sait passer de scènes de combats à des passages plus tranquilles et a toujours son humour qui apporte de la légèreté à l’œuvre.
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