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  1. Nickad

    Boy meets Maria

    Excellente surprise que ce one-shot !! Taiga, un jeune homme extrêmement positif, voir naïf qui a décidé de tout prendre de façon superficielle a le coup de foudre pour Maria à la fête de l’école. Il lui fait sa déclaration dans la foulée et se fait refouler car Maria n’est pas vraiment une fille, c’est un garçon ou plutôt un iel, quelqu’un qui se cherche et ne sait pas où est sa place. Au 1er abord, on pourrait penser que Maria est non-binaire ou souffre de dysphorie de genre (c’est comme cela qu’il est perçu dans le livre), mais ce n’est pas vraiment cela, Arima (ou Maria) est un garçon qui a été élevé comme une fille à cause des envies de sa mère, il n’a jamais pu agir comme un garçon. Arrivé au lycée, il aimerait avoir le choix et qu’on lui laisse la possibilité d’être un garçon ! Seulement voilà, après une quinzaine d’années passées à être une fille, il ne sait ni comment faire ni si être un garçon lui conviendrait. A côté de lui, il y a Taiga, un garçon qui a choisi de ne pas se poser de questions (suite à un événement du passé traumatisant), il a un regard innocent sur ce qui se passe et du coup, il est ouvert à tout. On pourrait dire qu’il a le regard d’un enfant qui va grandir et poser des questions sur le monde comme « pourquoi un garçon ne peut pas aimer un autre garçon ? ». Au fur et à mesure, ils vont se découvrir et affronter le monde. Boy meets Maria est un livre à lire et à savourer, bien qu’abordant de nombreux sujets sérieux, l’autrice a su y amener une saveur particulière, parfois dans l’émotion, parfois dans l’humour. Tout y est très juste : la narration, le graphisme et les sentiments. Pour information, PEYO de son vrai nom Kôsei Eguchi est décédée en aout 2020 à l’âge de 23 ans, boy meets Maria est sa seule œuvre achevée.
  2. Nickad

    Adabana tome 1

    Titre de l'album : Adabana tome 1 Scenariste de l'album : NON Dessinateur de l'album : NON Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : La tranquillité d’une petite ville japonaise, recouverte de neige, est brutalement perturbée par un meurtre odieux. Le corps démembré d’une lycéenne du nom de Mako Igarashi, est retrouvé près d’un lac. Bientôt, Mizuki Aikawa, élève au même lycée que la victime, revendique les faits auprès des forces de police locales. Cependant, alors qu’elle relate les événements, le doute s’invite progressivement dans la tête de ses avocats. Quels lourds secrets Mako et Mizuki partageaient-elle ? Critique : Mizuki est une jeune lycéenne qui subit les récriminations incessantes de sa mère, un matin au lieu d’aller au lycée, elle se rend au commissariat pour avouer le meurtre de sa meilleure amie. Qu’est-ce qui a pu la conduire à une telle extrémité ? Si la police ne semble pas vouloir en chercher plus, ce n’est pas le cas de son avocat commis d’office qui pense que Mizuki cache quelque chose ou protège quelqu’un. L’enquête commence… Adabana est un thriller en 3 tomes, une série éditée en format A5 qui permet de mieux apprécier les différentes expressions des personnages, le graphisme et l’emploi des trames y sont particulièrement bien maitrisés et on ressent bien les différentes émotions qui se dégage des protagonistes. Si l’histoire semble simple au début, plus on avance dans l’intrigue, plus elle devient complexe nous laissant entrevoir plusieurs motifs possibles. Ce sentiment est d’autant plus renforcé que les policiers, journalistes, avocats… ne sont pas du même avis. Ce qui est sûr, c’est que l’histoire est prenante et que l’on veut connaître la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adabana-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Adabana tome 1

    Mizuki est une jeune lycéenne qui subit les récriminations incessantes de sa mère, un matin au lieu d’aller au lycée, elle se rend au commissariat pour avouer le meurtre de sa meilleure amie. Qu’est-ce qui a pu la conduire à une telle extrémité ? Si la police ne semble pas vouloir en chercher plus, ce n’est pas le cas de son avocat commis d’office qui pense que Mizuki cache quelque chose ou protège quelqu’un. L’enquête commence… Adabana est un thriller en 3 tomes, une série éditée en format A5 qui permet de mieux apprécier les différentes expressions des personnages, le graphisme et l’emploi des trames y sont particulièrement bien maitrisés et on ressent bien les différentes émotions qui se dégage des protagonistes. Si l’histoire semble simple au début, plus on avance dans l’intrigue, plus elle devient complexe nous laissant entrevoir plusieurs motifs possibles. Ce sentiment est d’autant plus renforcé que les policiers, journalistes, avocats… ne sont pas du même avis. Ce qui est sûr, c’est que l’histoire est prenante et que l’on veut connaître la suite !
  4. Titre de l'album : Les enfants d'Hippocrate tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Dessinateur de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Maco Suzukake est un jeune pédiatre, qui adore son métier, bien qu'il ne soit pas des plus évidents. Dans un pays où la baisse de la natalité se fait de plus en plus ressentir, il doit faire face à des parents surprotecteurs qui exigent un service immédiat. Cependant, il en faut plus pour décourager Maco, qui décide de se dévouer corps et âme pour aider ses petits patients.Après Le Bateau de Thésée, Toshiya Higashimoto revient avec une nouvelle oeuvre pleine d'humanité, portée par un héros sincère au grand coeur. Critique : Des mangas sur le monde hospitalier, il y en a déjà eu plusieurs, certains étaient centrés sur les services d’urgence, sur les équipes d’intervention sur les lieux des accidents, sur des chirurgiens, sur des infirmières… Celui-ci se penche sur le domaine de la pédiatrie : on y suit le quotidien d’un jeune pédiatre, un peu étrange, ses relations avec ses patients, sa conception de son métier mais aussi une partie sur sa vie privée et les relations compliquées avec sa famille. Ce qui frappe d’abord, et c’est un aspect que j’avais déjà noté dans d’autres livres : c’est l’aspect financier des hôpitaux. Au Japon, il est possible de fermer un service parce que celui-ci n’est pas rentable même si ce service existe pour sauver des vies ! Le service administratif est également très regardant sur tout ce qui peut lui apporter des problèmes : par exemple, on ne va s’occuper d’un patient si le risque que la famille porte plainte est trop important. Il y a un passage très marquant dans le livre où des médecins parlent entre eux « Quand on est dans un avion et qu’on demande s’il y a un médecin à bord, est-ce qu’on lève la main ? Ben non ! Parce que le faire, ça revient à prendre ses responsabilités. » L’autre thème important est bien sûr autour de l’enfant : sa façon d’exprimer sa douleur ou plutôt de ne pas l’exprimer, ce qui apporte de la difficulté pour établir des diagnostics. Le rôle du pédiatre est également mis à l’honneur, son comportement vis-à-vis de l’enfant pour le rassurer et aussi par rapport aux parents pour arriver à s’imposer et à faire comprendre la maladie. Et en plus de tout ça, il y a aussi les relations parents-enfants qui sont abordées et comment celles-ci peuvent mettre l’enfant en danger. Avec son drôle de médecin, les enfants d’Hippocrate aborde pleins d’aspects autour de l’enfance et de la santé mais parle aussi de relations familiales. C’est un récit qui se lit bien et qui interpelle quand il le faut, il y a une leçon à tirer dans chaque histoire. Un très bon début. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-d-hippocrate-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Des mangas sur le monde hospitalier, il y en a déjà eu plusieurs, certains étaient centrés sur les services d’urgence, sur les équipes d’intervention sur les lieux des accidents, sur des chirurgiens, sur des infirmières… Celui-ci se penche sur le domaine de la pédiatrie : on y suit le quotidien d’un jeune pédiatre, un peu étrange, ses relations avec ses patients, sa conception de son métier mais aussi une partie sur sa vie privée et les relations compliquées avec sa famille. Ce qui frappe d’abord, et c’est un aspect que j’avais déjà noté dans d’autres livres : c’est l’aspect financier des hôpitaux. Au Japon, il est possible de fermer un service parce que celui-ci n’est pas rentable même si ce service existe pour sauver des vies ! Le service administratif est également très regardant sur tout ce qui peut lui apporter des problèmes : par exemple, on ne va s’occuper d’un patient si le risque que la famille porte plainte est trop important. Il y a un passage très marquant dans le livre où des médecins parlent entre eux « Quand on est dans un avion et qu’on demande s’il y a un médecin à bord, est-ce qu’on lève la main ? Ben non ! Parce que le faire, ça revient à prendre ses responsabilités. » L’autre thème important est bien sûr autour de l’enfant : sa façon d’exprimer sa douleur ou plutôt de ne pas l’exprimer, ce qui apporte de la difficulté pour établir des diagnostics. Le rôle du pédiatre est également mis à l’honneur, son comportement vis-à-vis de l’enfant pour le rassurer et aussi par rapport aux parents pour arriver à s’imposer et à faire comprendre la maladie. Et en plus de tout ça, il y a aussi les relations parents-enfants qui sont abordées et comment celles-ci peuvent mettre l’enfant en danger. Avec son drôle de médecin, les enfants d’Hippocrate aborde pleins d’aspects autour de l’enfance et de la santé mais parle aussi de relations familiales. C’est un récit qui se lit bien et qui interpelle quand il le faut, il y a une leçon à tirer dans chaque histoire. Un très bon début.
  6. Titre de l'album : Zone fantôme tome 1 Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Recueil de quatre nouvelles : - Le coteau aux pleureuses. - Maudite madone. - La rivière spectrale de Aokigahara. - Léthargie. À la suite d'un voyage improvisé, une jeune femme est prise de sanglots incontrôlables, un internat catholique au fonctionnement obscur semble vénérer la Sainte Vierge comme une divinité à part entière, la forêt tristement célèbre pour ses suicides qui s'étend au pied du mont Fuji devient le théâtre d'un déferlement d'âmes errantes et un étudiant en droit se demande s'il ne serait pas le tueur en série qui défraie la chronique depuis plusieurs jours... Critique : Zone fantôme est le dernier manga en date de Junji Itô, d’abord publié sous forme de nouvelles sur l’application Line Manga, il est ensuite sorti en version reliée en mars 2021 au Japon. Le 1er aspect à noter c’est le format de ces 4 histoires, en changeant de mode de publication (en partie dû au coronavirus), Junji Itô a pu prendre plus de temps sur les planches de zone fantôme, il n’a pas eu de contraintes quant aux nombres de pages à respecter, ce qui selon ses dires lui a permis de finir ses nouvelles sans avoir besoin de les remanier pour respecter un format imposé. Il a pu ainsi aller au bout de ses envies. L’autres aspect et qui ne se ressent absolument pas, c’est qu’il a travaillé uniquement en numérique. Zone fantôme regroupe 4 nouvelles autour de phénomènes plus ou moins psychiques/paranormaux. Les deux premières le coteau aux pleureuses et maudite madone sont particulièrement réussies : contenant des aspects fantastiques et inexplicables, ces histoires arrivent à nous captiver, on est à la fois dérouté et fasciné. La 3eme est plus mystique avec une recherche transcendantale de l’être. En ce qui me concerne, la dernière est un peu à part car elle relève moins du fantomatique que de la manipulation psychologique, l’histoire est très bien mais un peu moins dans le thème. En conclusion, ce recueil est un ouvrage très bien fait et intéressant qui nous prouve encore une fois que le maître peut toujours nous surprendre et nous amener sur des chemins inédits et énigmatiques. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zone-fantome-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Zone fantôme tome 1

    Zone fantôme est le dernier manga en date de Junji Itô, d’abord publié sous forme de nouvelles sur l’application Line Manga, il est ensuite sorti en version reliée en mars 2021 au Japon. Le 1er aspect à noter c’est le format de ces 4 histoires, en changeant de mode de publication (en partie dû au coronavirus), Junji Itô a pu prendre plus de temps sur les planches de zone fantôme, il n’a pas eu de contraintes quant aux nombres de pages à respecter, ce qui selon ses dires lui a permis de finir ses nouvelles sans avoir besoin de les remanier pour respecter un format imposé. Il a pu ainsi aller au bout de ses envies. L’autres aspect et qui ne se ressent absolument pas, c’est qu’il a travaillé uniquement en numérique. Zone fantôme regroupe 4 nouvelles autour de phénomènes plus ou moins psychiques/paranormaux. Les deux premières le coteau aux pleureuses et maudite madone sont particulièrement réussies : contenant des aspects fantastiques et inexplicables, ces histoires arrivent à nous captiver, on est à la fois dérouté et fasciné. La 3eme est plus mystique avec une recherche transcendantale de l’être. En ce qui me concerne, la dernière est un peu à part car elle relève moins du fantomatique que de la manipulation psychologique, l’histoire est très bien mais un peu moins dans le thème. En conclusion, ce recueil est un ouvrage très bien fait et intéressant qui nous prouve encore une fois que le maître peut toujours nous surprendre et nous amener sur des chemins inédits et énigmatiques.
  8. Nickad

    Golden Guy tome 1

    Titre de l'album : Golden Guy tome 1 Scenariste de l'album : WATANABE Jun Dessinateur de l'album : WATANABE Jun Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kai Sakurai est le chef d'un petit clan, appartenant à la famille Kamezuru, une influente organisation de yakuzas. Alors qu'il pense couler des jours heureux avec une partie de ses membres, un de ses compagnons est sauvagement assassiné ! Prêt à tout pour retrouver le meurtrier, Kai est loin de se douter que cette affaire va faire remonter d'anciens conflits à l'intérieur du clan, et pourrait même le mener au fameux trésor des Tokugawa...Désir, violence et complot seront les maîtres-mot de cette série de Jun Watanabe (Montage, Malédiction finale). Critique : Si les querelles entre des clans de yakuzas sont courantes, leurs motivations ne sont pas toujours les mêmes, et si en plus il y a un trésor mythique à trouver, certains ne vont reculer devant rien pour arriver à leur fin. Est-ce que les liens de la « famille » au sens mafieux pourront survivre à de tels événements ? Le manga se situe entre thriller et aventure car ce n’est pas juste une chasse au trésor, il s’agit aussi de relations humaines et des liens qui sont très forts entre les membres d’un clan de yakuza. Complots, meurtres, manipulations, combats, le clan Osaragi arrivera-t-il à s’en sortir surtout que l’argent fait tourner les têtes et que personne n’est à l’abri d’une trahison ? Soutenu par un graphisme fort et des personnages facilement identifiables avec des visages masculins bien marqués, le manga va droit au but avec ce qu’il faut de violence et de tension. On aime ça et on en redemande, vivement la suite ! Autres infos : 6 tomes en cours Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/golden-guy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Golden Guy tome 1

    Si les querelles entre des clans de yakuzas sont courantes, leurs motivations ne sont pas toujours les mêmes, et si en plus il y a un trésor mythique à trouver, certains ne vont reculer devant rien pour arriver à leur fin. Est-ce que les liens de la « famille » au sens mafieux pourront survivre à de tels événements ? Le manga se situe entre thriller et aventure car ce n’est pas juste une chasse au trésor, il s’agit aussi de relations humaines et des liens qui sont très forts entre les membres d’un clan de yakuza. Complots, meurtres, manipulations, combats, le clan Osaragi arrivera-t-il à s’en sortir surtout que l’argent fait tourner les têtes et que personne n’est à l’abri d’une trahison ? Soutenu par un graphisme fort et des personnages facilement identifiables avec des visages masculins bien marqués, le manga va droit au but avec ce qu’il faut de violence et de tension. On aime ça et on en redemande, vivement la suite !
  10. Nickad

    Survivor's club tome 1

    Les auteurs ont trouvé une façon efficace de lutter contre le harcèlement scolaire ! Une solution radicale : au lieu que l’élève brimé se suicide seul en espérant peut-être attirer l’attention sur les problèmes qu’il a vécu, il se fait exploser en emmenant ses camarades avec lui ! Là, c’est sûr les coupables seront punis ! Mais est-ce que tous les élèves de la classe sont coupables ? A mi-chemin entre signal 100 et many reasons why, le manga tient autant du survival (quel élève va s’en sortir ?) que de l’enquête : comment l’élève brimé a-t-il pu se procurer la bombe ? qui l’a aidé ? D’un côté on a les survivants du 1er attentat qui cherchent à comprendre et de l’autre les otages d’une autre classe en prise avec un simulacre de procès pour savoir qui est ou n’est pas coupable de brimades. C’est là, que les sombres côtés de la nature humaine vont ressortir : êtes-vous prêts à sacrifier votre prochain pour survivre ? Le manga est plutôt efficace, avec une scène d’explosion choquante, un après attentat ancré dans la réalité (les survivants ont des prothèses !). Maintenant, il faudra voir si cela sera suffisant pour lutter contre le harcèlement, est-ce que le message va passer ou est-ce qu’on va se cantonner à du survival sans lendemain ? Série finie en 3 tomes.
  11. Titre de l'album : Survivor's club tome 1 Scenariste de l'album : AOISEI Dessinateur de l'album : ANAJIRO Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Une succession d'actes terroristes organisés par des élèves brimés répand la terreur dans les classes de la ville ! Trois ans après le premier attentat, un survivant enquête pour trouver qui a fourni la bombe de l'attentat. Trois années ont passé depuis qu'un élève, persécuté par ses camarades, s'est fait exploser, tuant de nombreux élèves. Takumi Shindô et six autres survivants se réunissent pour découvrir qui a fourni la bombe. Au même moment, une jeune fille brimée, fait son apparition dans une classe d'un lycée privé, le corps recouvert de bombes. « Ceci est un procès pour harcèlement moral. Vous allez tous mourir avec moi ». Critique : Les auteurs ont trouvé une façon efficace de lutter contre le harcèlement scolaire ! Une solution radicale : au lieu que l’élève brimé se suicide seul en espérant peut-être attirer l’attention sur les problèmes qu’il a vécu, il se fait exploser en emmenant ses camarades avec lui ! Là, c’est sûr les coupables seront punis ! Mais est-ce que tous les élèves de la classe sont coupables ? A mi-chemin entre signal 100 et many reasons why, le manga tient autant du survival (quel élève va s’en sortir ?) que de l’enquête : comment l’élève brimé a-t-il pu se procurer la bombe ? qui l’a aidé ? D’un côté on a les survivants du 1er attentat qui cherchent à comprendre et de l’autre les otages d’une autre classe en prise avec un simulacre de procès pour savoir qui est ou n’est pas coupable de brimades. C’est là, que les sombres côtés de la nature humaine vont ressortir : êtes-vous prêts à sacrifier votre prochain pour survivre ? Le manga est plutôt efficace, avec une scène d’explosion choquante, un après attentat ancré dans la réalité (les survivants ont des prothèses !). Maintenant, il faudra voir si cela sera suffisant pour lutter contre le harcèlement, est-ce que le message va passer ou est-ce qu’on va se cantonner à du survival sans lendemain ? Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/survivor-s-club-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Alma tome 1

    Alma est un bon et beau manga post-apocalyptique. Il commence avec Ray, un garçon perdu au milieu des ruines d’une ville moderne. Les décors sont magnifiques, les bâtiments effondrés, les voitures à l’abandon, les vitres cassées… tout nous permet de nous plonger dans l’ambiance de fin du monde. L’auteur a pris soin des détails et propose des points de vue sous plusieurs angles qui donnent un vrai relief au dessin. Ray recherche chaque jour d’autres humains, tout en cartographiant la zone. Tout comme lui, on apprend au fur et à mesure le contexte, on découvre que ce monde était technologiquement très avancé (son animal de compagnie est en partie mécanisé), on sent qu’il y a eu un conflit avec les robots, un peu comme dans le film A.I. (il y a d’ailleurs certains points communs) Le personnage de Ray, tout en rondeur, symbolise l’espoir, un regard nouveau sur la situation, son innocence permet à l’auteur d’apporter de la douceur, une certaine forme de poésie et surtout d’entamer une réflexion sur l’humanité. Ce 1er tome n’est que le début du voyage, on sent qu’il y a des secrets à découvrir et on a envie d’y aller. Un très bon début pour un récit fini en 4 tomes.
  13. Nickad

    Alma tome 1

    Titre de l'album : Alma tome 1 Scenariste de l'album : MITO Shinji Dessinateur de l'album : MITO Shinji Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Dans un monde en ruine d'où l'humanité semble avoir été éradiquée, Ray cherche désespérément d'autres survivants sous le regard inquiet de son amie Trice. Lorsqu'un attaquant venu du ciel tente de tuer Ray, Trice s'interpose et révèle au grand jour un secret caché depuis quinze ans... Commence alors pour le jeune homme un long voyage, guidé par les paroles de son amie. Critique : Alma est un bon et beau manga post-apocalyptique. Il commence avec Ray, un garçon perdu au milieu des ruines d’une ville moderne. Les décors sont magnifiques, les bâtiments effondrés, les voitures à l’abandon, les vitres cassées… tout nous permet de nous plonger dans l’ambiance de fin du monde. L’auteur a pris soin des détails et propose des points de vue sous plusieurs angles qui donnent un vrai relief au dessin. Ray recherche chaque jour d’autres humains, tout en cartographiant la zone. Tout comme lui, on apprend au fur et à mesure le contexte, on découvre que ce monde était technologiquement très avancé (son animal de compagnie est en partie mécanisé), on sent qu’il y a eu un conflit avec les robots, un peu comme dans le film A.I. (il y a d’ailleurs certains points communs) Le personnage de Ray, tout en rondeur, symbolise l’espoir, un regard nouveau sur la situation, son innocence permet à l’auteur d’apporter de la douceur, une certaine forme de poésie et surtout d’entamer une réflexion sur l’humanité. Ce 1er tome n’est que le début du voyage, on sent qu’il y a des secrets à découvrir et on a envie d’y aller. Un très bon début pour un récit fini en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alma-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Tomie

    Sacrée expérience que la lecture de Tomie, cette œuvre qui lança la carrière de Junji Ito et qui débute la collection de l’auteur chez Mangetsu. Tomie est une jeune fille, extrêmement belle, qui ne laisse pas les hommes indifférents et attisent la jalousie des femmes ; mais une jeune fille destinée à avoir un destin tragique à chacune de ses renaissances. Si le principe de base était d’inventer un personnage qui pourrait se régénérer à partir d’un morceau de son corps, l’histoire est imprégnée de deux autres points importants de la vie de l’auteur : la mort d’un de ses amis quand il était adolescent et sa peur des femmes. Mais résumer Tomie à ces aspects serait vraiment restrictif. Tomie est d’abord l’incarnation du mal, le mal à l’état pur, sans état d’âme, qui devient de plus en plus violent mais c’est aussi une malédiction, destinée à ne jamais trouver le repos, à être assassinée à chaque fois. Et plus on lui fait du mal, plus il y a de Tomie. S’il y avait un fil conducteur entre les premiers chapitres, où l’on voyait bien d’où elle venait, Tomie a fini par prendre son indépendance, et les chapitres aussi ; comme si Tomie s’était répandue dans le monde pour mettre les humains face à leurs plus sombres instincts. Tomie est donc un manga incontournable, vous n’êtes pas obligé d’aimer, cela reste un manga d’horreur et l’univers de Junji Ito est assez particulier, par contre, il ne vous laissera pas indifférent. De plus, Mangetsu nous propose une édition de qualité avec une préface d'Alexandre Aja (réalisateur français) et une postface de Morolian, spécialiste de l’auteur qui revient sur l’origine de l’œuvre et en fait une analyse.
  15. Nickad

    Tomie

    Titre de l'album : Tomie Scenariste de l'album : ITÔ Junji Dessinateur de l'album : ITÔ Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Tomie Kawakami est le mal incarné. Reconnaissable entre mille grâce à ses longs cheveux noirs et son grain de beauté sous l’œil gauche, elle déclenche les passions chez tous les hommes qui croisent son regard, jusqu'à les pousser à l'assassiner dans d'atroces circonstances. Ce que ses amants ne savent pas, c'est qu'une fois sous son emprise démoniaque, il est impossible de lui échapper et que la mort elle-même fait partie de son plan de conquête. Ses victimes, partagées entre l'amour et la folie, vont petit à petit réaliser l'indicible : peu importe le nombre de fois qu'ils la tueront, le monde ne pourra jamais se débarrasser de Tomie. Pire, son pouvoir ne fait que grandir inlassablement à chacune de ses renaissances. Critique : Sacrée expérience que la lecture de Tomie, cette œuvre qui lança la carrière de Junji Ito et qui débute la collection de l’auteur chez Mangetsu. Tomie est une jeune fille, extrêmement belle, qui ne laisse pas les hommes indifférents et attisent la jalousie des femmes ; mais une jeune fille destinée à avoir un destin tragique à chacune de ses renaissances. Si le principe de base était d’inventer un personnage qui pourrait se régénérer à partir d’un morceau de son corps, l’histoire est imprégnée de deux autres points importants de la vie de l’auteur : la mort d’un de ses amis quand il était adolescent et sa peur des femmes. Mais résumer Tomie à ces aspects serait vraiment restrictif. Tomie est d’abord l’incarnation du mal, le mal à l’état pur, sans état d’âme, qui devient de plus en plus violent mais c’est aussi une malédiction, destinée à ne jamais trouver le repos, à être assassinée à chaque fois. Et plus on lui fait du mal, plus il y a de Tomie. S’il y avait un fil conducteur entre les premiers chapitres, où l’on voyait bien d’où elle venait, Tomie a fini par prendre son indépendance, et les chapitres aussi ; comme si Tomie s’était répandue dans le monde pour mettre les humains face à leurs plus sombres instincts. Tomie est donc un manga incontournable, vous n’êtes pas obligé d’aimer, cela reste un manga d’horreur et l’univers de Junji Ito est assez particulier, par contre, il ne vous laissera pas indifférent. De plus, Mangetsu nous propose une édition de qualité avec une préface d'Alexandre Aja (réalisateur français) et une postface de Morolian, spécialiste de l’auteur qui revient sur l’origine de l’œuvre et en fait une analyse. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tomie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Endroll back tome 1

    Yuka, jeune lycéenne, vient de se suicider, son frère Asaharu apprend à l’enterrement que sa sœur était victime de harcèlement. Désespéré, il regrette de ne pas avoir pu l’aider, c’est alors qu’apparaît un « ange » ou du moins ce qui y ressemble. Cet être lui propose de revenir en arrière et de tuer le responsable de la mort de Yuka, à cette condition il pourra la faire ressusciter mais il y a aussi un prix à payer s’il échoue. En ce moment, il y a beaucoup d’histoire qui aborde les problèmes de harcèlement, un problème grave qui peut prendre de nombreux aspects. J’avais un peu peur de retomber sur une trame déjà existante, mais ce n’est pas le cas ! A mi-chemin entre Many reasons why et Re:zero, le manga mêle polar et fantastique, Asaharu va devoir mener l’enquête et va pouvoir utiliser certaines facultés pour y arriver. Mais le plus intéressant c’est le point de vue abordé : lui, famille de victime, animé de son chagrin et de son incompréhension va devoir prendre du recul, ne pas juger sur les apparences, ne pas démarrer au quart de tour. Et c’est une leçon à retenir : ne pas passer trop vite aux conclusions avant d’avoir tous les éléments en main, ne pas se fier à la 1ere impression, chercher à découvrir la vérité. Et la vérité pourrait ne pas être celle à laquelle on s’attend. C’est aussi une leçon sur la connaissance que l’on a des autres, le fait d’être de la même famille ne veut pas dire que l’on sait tout de l’autre. Côté graphisme, le dessin est intéressant, certaines expressions sont saisissantes et la mise en page donne du dynamisme à l’action. L’édition est de belle qualité, avec une jaquette sur papier glacé, d’ailleurs n’hésitez pas à aller voir ce qui se cache dessous. C’est un très bon début de série, avec une fin de 1er tome qui nous laisse en suspens et plus qu'impatient de lire la suite. Série finie en 3 tomes.
  17. Titre de l'album : Endroll back tome 1 Scenariste de l'album : KANTETSU Dessinateur de l'album : NAKAZATO Haruna Coloriste : Editeur de l'album : ChattoChatto Note : Résumé de l'album : Suite au suicide de sa sœur Yuka, victime d'intimidation, son frère Asaharu déçut de son comportement fait la rencontre d'un ange. Celui-ci lui propose un marché : trouvez le meurtrier de sa sœur dans les 3 mois afin de permettre sa résurrection». Mais rien ne se fait sans contrepartie : à chaque erreur, Asaharu verra son espérance de vie diminuer. La vie de sa sœur à t'elle plus de valeur que la sienne? La chasse au criminel démarre !! Critique : Yuka, jeune lycéenne, vient de se suicider, son frère Asaharu apprend à l’enterrement que sa sœur était victime de harcèlement. Désespéré, il regrette de ne pas avoir pu l’aider, c’est alors qu’apparaît un « ange » ou du moins ce qui y ressemble. Cet être lui propose de revenir en arrière et de tuer le responsable de la mort de Yuka, à cette condition il pourra la faire ressusciter mais il y a aussi un prix à payer s’il échoue. En ce moment, il y a beaucoup d’histoire qui aborde les problèmes de harcèlement, un problème grave qui peut prendre de nombreux aspects. J’avais un peu peur de retomber sur une trame déjà existante, mais ce n’est pas le cas ! A mi-chemin entre Many reasons why et Re:zero, le manga mêle polar et fantastique, Asaharu va devoir mener l’enquête et va pouvoir utiliser certaines facultés pour y arriver. Mais le plus intéressant c’est le point de vue abordé : lui, famille de victime, animé de son chagrin et de son incompréhension va devoir prendre du recul, ne pas juger sur les apparences, ne pas démarrer au quart de tour. Et c’est une leçon à retenir : ne pas passer trop vite aux conclusions avant d’avoir tous les éléments en main, ne pas se fier à la 1ere impression, chercher à découvrir la vérité. Et la vérité pourrait ne pas être celle à laquelle on s’attend. C’est aussi une leçon sur la connaissance que l’on a des autres, le fait d’être de la même famille ne veut pas dire que l’on sait tout de l’autre. Côté graphisme, le dessin est intéressant, certaines expressions sont saisissantes et la mise en page donne du dynamisme à l’action. L’édition est de belle qualité, avec une jaquette sur papier glacé, d’ailleurs n’hésitez pas à aller voir ce qui se cache dessous. C’est un très bon début de série, avec une fin de 1er tome qui nous laisse en suspens et plus qu'impatient de lire la suite. Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/endroll-back-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Quand sonne la tempête tome 1

    Sakai est un jeune un peu paumé, ayant abandonnée l’école au collège, il enchaine des petits boulots. Mais le dernier qu’il doit faire va l’entrainer dans une situation inextricable, désespérée où son sens moral va être mis à l’épreuve et où sa vie va être menacée. A travers la description de cette jeunesse désœuvrée, subissant le poids de la société, Masaki Enjoji nous propose un thriller prenant : la vengeance d’un père qui n’a plus rien à perdre, le combat de Sakai, moralement perdu entre son sens du devoir et le poids de ses erreurs qui se débat tant bien que mal dans l’enfer où il est tombé. L’histoire est dure, parfois teintée de scènes incongrues ou volontairement barrées qui donne un petit côté WTF. La situation de Sakai avec son portable à l’intérieur de son ventre est totalement inédite et ne lui laisse que peu de temps pour agir. Pas de répit pour le lecteur, l’action est présente qu’elle vienne des personnages ou des éléments naturels qui se déchainent. Le dessin est travaillé, certaines planches photo réalistes permettent une meilleure immersion dans cet univers brutal et froid. Un très bon début pour cette série finie en 5 tomes.
  19. Titre de l'album : Quand sonne la tempête tome 1 Scenariste de l'album : ENJOJI Masaki Dessinateur de l'album : ENJOJI Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Quelque part au Japon, dans une ville de province portant les stigmates d'un violent séisme... Quand Sakai a accepté, une unique fois, un petit boulot de «collecteur» pour la mafia locale, il n'imaginait pas dans quoi il s'embarquait. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, et tandis qu'un terrible typhon s'approche de la ville, le voilà impliqué dans une sombre histoire de meurtre, avec un téléphone portable greffé dans ses entrailles... Entre vengeances, secrets du passé, chantages et autres magouilles, ce « déchet de la société » arrivera-t-il à sauver sa peau ? Critique : Sakai est un jeune un peu paumé, ayant abandonnée l’école au collège, il enchaine des petits boulots. Mais le dernier qu’il doit faire va l’entrainer dans une situation inextricable, désespérée où son sens moral va être mis à l’épreuve et où sa vie va être menacée. A travers la description de cette jeunesse désœuvrée, subissant le poids de la société, Masaki Enjoji nous propose un thriller prenant : la vengeance d’un père qui n’a plus rien à perdre, le combat de Sakai, moralement perdu entre son sens du devoir et le poids de ses erreurs qui se débat tant bien que mal dans l’enfer où il est tombé. L’histoire est dure, parfois teintée de scènes incongrues ou volontairement barrées qui donne un petit côté WTF. La situation de Sakai avec son portable à l’intérieur de son ventre est totalement inédite et ne lui laisse que peu de temps pour agir. Pas de répit pour le lecteur, l’action est présente qu’elle vienne des personnages ou des éléments naturels qui se déchainent. Le dessin est travaillé, certaines planches photo réalistes permettent une meilleure immersion dans cet univers brutal et froid. Un très bon début pour cette série finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-sonne-la-tempete-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Chastity Reverse World tome 1

    Momona Ichikawa se réveille à l’hôpital et elle découvre petit à petit que le monde a changé : ses amies matent sans aucune discrétion les hommes, tiennent des propos crus, des femmes allaitent devant tout le monde, les affiches de publicité montrent des hommes en sous-vêtement… Bref, il semblerait que la sexualité entre hommes et femmes ait été interchangée, les hommes sont devenus la proie des femmes clairement perverses. On comprend tout de suite qu’au-delà de la comédie coquine, il s’agit bel et bien d’une critique de notre société, de la dénonciation des comportements sexistes et des dérives sexuelles. Ce qui est vraiment intéressant, c’est la transposition des comportements : on se met à réfléchir, comme les auteurs, à comment agirait une fille dans telle ou telle situation. Mais le manga peut aussi se prendre au 1er degré, et regarder ces déviances est franchement amusant ! Alors bravo aux auteurs pour cette idée surprenante, car montrer de tels agissements effectués par des femmes permet de les mettre en avant. Si en plus, cela pouvait permettre à certains une prise de conscience, ce serait déjà ça de gagner ! Le manga réserve encore d’autres réflexions mais je vous laisse les découvrir.
  21. Titre de l'album : Chastity Reverse World tome 1 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MANTARO Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le monde ne tourne pas rond. Depuis son accident, Ichikawa a l'impression que quelque chose a changé... Ses copines font preuve d'une libido débordante et ne s'en cachent pas, tandis que les garçons sont traités comme des objets... Comme si le rapport de force entre les hommes et les femmes s'était inversé ! Elle va alors découvrir un monde où la morale est diamétralement opposée à ce qu'elle connaissait jusqu'alors ! Les seins n'intéressent plus personne !! Des hommes aux longues jambes et en slip moulant sont représentés sur d'énormes affiches ! Basée sur le hentai Chasteté inversée, publié en France chez Hot Manga, Chastity Reverse World en reprend le principe sur un ton beaucoup plus humoristique tout en interrogeant le rapport entre les genres. Certaines situations nous paraîtraient-elles encore normales si nous intervertissions les rôles ? Les mésaventures vécues par Ichikawa peuvent paraître ridicules, voir même invraisemblables, et c'est justement là que se situe la substance même de Chastity Reverse World... Critique : Momona Ichikawa se réveille à l’hôpital et elle découvre petit à petit que le monde a changé : ses amies matent sans aucune discrétion les hommes, tiennent des propos crus, des femmes allaitent devant tout le monde, les affiches de publicité montrent des hommes en sous-vêtement… Bref, il semblerait que la sexualité entre hommes et femmes ait été interchangée, les hommes sont devenus la proie des femmes clairement perverses. On comprend tout de suite qu’au-delà de la comédie coquine, il s’agit bel et bien d’une critique de notre société, de la dénonciation des comportements sexistes et des dérives sexuelles. Ce qui est vraiment intéressant, c’est la transposition des comportements : on se met à réfléchir, comme les auteurs, à comment agirait une fille dans telle ou telle situation. Mais le manga peut aussi se prendre au 1er degré, et regarder ces déviances est franchement amusant ! Alors bravo aux auteurs pour cette idée surprenante, car montrer de tels agissements effectués par des femmes permet de les mettre en avant. Si en plus, cela pouvait permettre à certains une prise de conscience, ce serait déjà ça de gagner ! Le manga réserve encore d’autres réflexions mais je vous laisse les découvrir. Autres infos : Pour public averti Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chastity-reverse-world-t-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Alpi the soul sender tome 7 (fin)

    Alpi arrive au temple à l’origine des soul senders, on y apprend donc leur histoire mais surtout l’histoire de ses parents partis faire des recherches sur le voile noir et disparus peu de temps après. Alpi se retrouve alors face à des révélations inattendues, doit y faire face et prendre son propre chemin. Un dernier tome plein d’explications qui sont les bienvenues et surtout des retrouvailles qui ne sont pas forcément celles que l’on espérait. Alpi a grandi, elle est à présent assez forte pour faire des choix, s’affirmer et surtout les justifier ; il y a une belle réflexion sur ce qu’est un soul sender et surtout sur leur utilité. Le graphisme reste très beau et soigné, chaque lecteur pourra y trouver une signification qui lui est propre tellement l’onirisme est présent à chaque page.
  23. Titre de l'album : Alpi the soul sender tome 7 (fin) Scenariste de l'album : RONA Dessinateur de l'album : RONA Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Grâce à l'aide de Zaarishio et aux prières des villageois, Alpi a réussi à libérer l'âme du grand serpent. Pourtant, ce n'est qu'une semi-victoire. Dia et ses compagnons se sont échappés et semblent avoir d'autres sombres projets à mettre en œuvre Bien décidés à élucider les mystères qui entourent le groupe des esprits gardiens, la soul sender et Pelenai s'apprêtent à reprendre la route, mais voilà que Shidoram les convoque au temple d'Aratamuaana, pour une entrevue avec le moine supérieur?! Et si, là-bas, les deux voyageurs découvraient enfin les réponses à leurs questions?? Critique : Alpi arrive au temple à l’origine des soul senders, on y apprend donc leur histoire mais surtout l’histoire de ses parents partis faire des recherches sur le voile noir et disparus peu de temps après. Alpi se retrouve alors face à des révélations inattendues, doit y faire face et prendre son propre chemin. Un dernier tome plein d’explications qui sont les bienvenues et surtout des retrouvailles qui ne sont pas forcément celles que l’on espérait. Alpi a grandi, elle est à présent assez forte pour faire des choix, s’affirmer et surtout les justifier ; il y a une belle réflexion sur ce qu’est un soul sender et surtout sur leur utilité. Le graphisme reste très beau et soigné, chaque lecteur pourra y trouver une signification qui lui est propre tellement l’onirisme est présent à chaque page. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpi-the-soul-sender-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    My home hero tome 16

    Une critique de Y_Kanzaki Alors qu'elle tentait de fuir aux côtés de Tetsuo, Kasen est rattrapée par les villageois et est contrainte de revenir au village. Pendant ce temps, les villageois poursuivent Kubo, persuadés que c'est lui qui a assassiné leur guide spirituel. Tetsuo, lui, est à bout de forces. Ce 16e tome est dans la même veine que le précédent: fuir du village natal de Kasen. Malheureusement, on se lasse un peu car les retournements de situation font que l'histoire stagne dans le village. Ce tome est néanmoins intéressant puisque l'on en apprend plus sur Kubo, sur son objectif et sur son passé, éléments restés très vagues jusqu'à présent. En clair, une série toujours aussi sympathique à lire et palpitante, bien que l'arc dans le village commence à être long. Mais vivement la suite !!!!!
  25. Titre de l'album : My home hero tome 16 Scenariste de l'album : YAMAKAWA Naoki Dessinateur de l'album : ASAKI Masashi Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Que seriez-vous prêt à faire pour protéger votre famille ? Eh bien, cela a fini par arriver... La route fut longue et pénible pour en arriver là... Critique : Une critique de Y_Kanzaki Alors qu'elle tentait de fuir aux côtés de Tetsuo, Kasen est rattrapée par les villageois et est contrainte de revenir au village. Pendant ce temps, les villageois poursuivent Kubo, persuadés que c'est lui qui a assassiné leur guide spirituel. Tetsuo, lui, est à bout de forces. Ce 16e tome est dans la même veine que le précédent: fuir du village natal de Kasen. Malheureusement, on se lasse un peu car les retournements de situation font que l'histoire stagne dans le village. Ce tome est néanmoins intéressant puisque l'on en apprend plus sur Kubo, sur son objectif et sur son passé, éléments restés très vagues jusqu'à présent. En clair, une série toujours aussi sympathique à lire et palpitante, bien que l'arc dans le village commence à être long. Mais vivement la suite !!!!! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-home-hero-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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