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  1. Retour du manga sur le quotidien de cet homme et de ce chat qui étaient tous les deux seuls et tristes et qui se sont trouvés. Si on fait un petit récapitulatif des mangas sur les chats, nous avons ceux qui racontent leur quotidien du point de vue des chats comme Chi, Plum ou Choubi ; ceux qui racontent la vie avec des chats comme la gameuse et son chat, les livres humoristiques tels que nyankees, desperate housecat, ceux où le chat est présent mais pas vraiment impliqué comme walking cat, ceux où un humain se retrouve dans le corps d’un chat tel que chat malgré moi et j’en oublie beaucoup car c’est un thème apprécié par les japonais (il y a beaucoup moins de mangas avec des chiens…). Alors qu’est-ce-qui fait que le chat qui rendait l’homme heureux et inversement se démarque ? C’est clairement les sentiments. Si la partie « pensées du chat » s’appuie sur les comportements connus des félins mais est forcément interprétée, les pensées de l’homme, elles, sont justes. Plus que de montrer des mignonneries, et il faut y arriver avec ce chat pas spécialement kawaii, le manga se penche sur le ressenti des personnages, sur ce qu’apporte la présence d’un animal du point de vue affectif. Bien que ponctué de courtes histoires, le manga a quand même une trame générale qui suit l’évolution de Fuyuki Kanda après avoir perdu sa femme et adopté le chat Fukumaru. Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur son passé et son métier. Le manga apporte toujours une dose de tendresse et de chaleur, un pur moment de bien-être.
  2. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 3 Scenariste de l'album : SAKURAI Umi Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour. Critique : Retour du manga sur le quotidien de cet homme et de ce chat qui étaient tous les deux seuls et tristes et qui se sont trouvés. Si on fait un petit récapitulatif des mangas sur les chats, nous avons ceux qui racontent leur quotidien du point de vue des chats comme Chi, Plum ou Choubi ; ceux qui racontent la vie avec des chats comme la gameuse et son chat, les livres humoristiques tels que nyankees, desperate housecat, ceux où le chat est présent mais pas vraiment impliqué comme walking cat, ceux où un humain se retrouve dans le corps d’un chat tel que chat malgré moi et j’en oublie beaucoup car c’est un thème apprécié par les japonais (il y a beaucoup moins de mangas avec des chiens…). Alors qu’est-ce-qui fait que le chat qui rendait l’homme heureux et inversement se démarque ? C’est clairement les sentiments. Si la partie « pensées du chat » s’appuie sur les comportements connus des félins mais est forcément interprétée, les pensées de l’homme, elles, sont justes. Plus que de montrer des mignonneries, et il faut y arriver avec ce chat pas spécialement kawaii, le manga se penche sur le ressenti des personnages, sur ce qu’apporte la présence d’un animal du point de vue affectif. Bien que ponctué de courtes histoires, le manga a quand même une trame générale qui suit l’évolution de Fuyuki Kanda après avoir perdu sa femme et adopté le chat Fukumaru. Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur son passé et son métier. Le manga apporte toujours une dose de tendresse et de chaleur, un pur moment de bien-être. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-et-inversement-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Sans préambule

    Sans préambule est une œuvre qu’Akane TORIKAI a réalisé entre le siège des exilées et saturn return. Ce qui frappe en premier c’est le rendu graphique, entièrement réalisé au crayon, on a parfois l’impression de n’avoir que des esquisses mais cela apporte au livre une certaine authenticité et rapproche plus l’œuvre du roman graphique que du manga. Le découpage des cases va également dans ce sens avec des images à cheval sur les deux pages et des points de vue jouant sur différents plans. Concernant l’histoire, il s’agit de 6 courtes histoires de lycéennes, des réflexions ou des pensées qu’elles ont sur leur avenir, leurs envies ou leur place dans la société. Comme toujours l’auteure met à l’honneur les femmes et elle est soucieuse d’en montrer différents aspects. Toutes ces héroïnes ont ce point commun de faire face à ce qu’elles sont à un moment donné et d’aller de l’avant. Je serai peut-être moins emballée que d’autres sur le récit, j’ai trouvé que la réflexion n’était pas toujours pertinente, un peu comme si on prenait une page au hasard d’un livre sans aller plus loin. Pas toujours compréhensible non plus car si les histoires sont indépendantes, certaines semblent se chevaucher par moment, j’ai parfois eu du mal à identifier les personnages et je pense qu’il va me falloir une relecture pour mieux appréhender le contenu. Le manga reste une œuvre intéressante, surtout dans sa conception graphique et Akata a pris le soin d’en faire une belle édition avec un format plus grand (A5) et une couverture cartonnée.
  4. Nickad

    Sans préambule

    Titre de l'album : Sans préambule Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Elles sont lycéennes, elles fréquentent le même établissement. Chacune d'entre elles, au quotidien, se pose des questions qui lui est propre. Sur son avenir, sur la vie, sur l'amour. Mais aucune, jamais, ne baissera les bras... Car toujours, il faut aller de l'avant. Avec son regard toujours unique, Akane Torikai croque (littéralement) le portrait de jeunes filles bien contemporaines. Critique : Sans préambule est une œuvre qu’Akane TORIKAI a réalisé entre le siège des exilées et saturn return. Ce qui frappe en premier c’est le rendu graphique, entièrement réalisé au crayon, on a parfois l’impression de n’avoir que des esquisses mais cela apporte au livre une certaine authenticité et rapproche plus l’œuvre du roman graphique que du manga. Le découpage des cases va également dans ce sens avec des images à cheval sur les deux pages et des points de vue jouant sur différents plans. Concernant l’histoire, il s’agit de 6 courtes histoires de lycéennes, des réflexions ou des pensées qu’elles ont sur leur avenir, leurs envies ou leur place dans la société. Comme toujours l’auteure met à l’honneur les femmes et elle est soucieuse d’en montrer différents aspects. Toutes ces héroïnes ont ce point commun de faire face à ce qu’elles sont à un moment donné et d’aller de l’avant. Je serai peut-être moins emballée que d’autres sur le récit, j’ai trouvé que la réflexion n’était pas toujours pertinente, un peu comme si on prenait une page au hasard d’un livre sans aller plus loin. Pas toujours compréhensible non plus car si les histoires sont indépendantes, certaines semblent se chevaucher par moment, j’ai parfois eu du mal à identifier les personnages et je pense qu’il va me falloir une relecture pour mieux appréhender le contenu. Le manga reste une œuvre intéressante, surtout dans sa conception graphique et Akata a pris le soin d’en faire une belle édition avec un format plus grand (A5) et une couverture cartonnée. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sans-preambule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Sexy cosplay doll tome 7

    Quand d’autres élèves demandent à Gojô et Marine s’ils sortent ensemble, ce dernier nie farouchement, plus parce qu’il estime ne pas être à la hauteur de la jeune fille et ne voulant pas lui faire honte que par manque de sentiments. Marine, elle, ignorant le ressenti de son ami, est un peu dépitée par cette réaction. Il est temps que Gojô s’assume enfin, qu’il se montre tel qu’il est devant les autres et affirme ses choix, la fête du lycée va peut-être pouvoir l’aider : il y a un costume à confectionner et tout le monde apprends alors qu’il est doué dans ce domaine. Ce tome est donc consacré à Gojô, la façon qu’il a eu de se comporter par rapport aux autres à la fois en se mettant en retrait pour ne déranger personne et aussi en cachant sa passion. On est donc un peu plus sur sa psychologie et les traces que lui ont laissé les remarques blessantes de son enfance. L’histoire va donc enfin pouvoir avancer, tant que lui était bloqué, leur relation l’était aussi ! Un manga toujours agréable à lire, plus ou moins dosé en cosplay selon les tomes (pas trop dans celui-là). Si vous voulez vous en faire une idée, vous pouvez aller voir l’anime sur crunchyroll (titre : my dress-up darling)
  6. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 7 Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : "Gojô et Marine, est-ce que vous sortez ensemble ? ! " Comment Gojô et Marine vont-ils réagir à l'intervention de Nowa ? ! En tout cas, ils n'auront pas trop le temps de gamberger : le festival culturel du lycée approche à grands pas ! Marine trépigne à l'idée de participer au concours de beauté du deuxième jour : ce sera pour elle l'occasion de se cosplayer à l'école ! Sans compter que, cette fois encore, c'est une grande première qui l'attend. Critique : Quand d’autres élèves demandent à Gojô et Marine s’ils sortent ensemble, ce dernier nie farouchement, plus parce qu’il estime ne pas être à la hauteur de la jeune fille et ne voulant pas lui faire honte que par manque de sentiments. Marine, elle, ignorant le ressenti de son ami, est un peu dépitée par cette réaction. Il est temps que Gojô s’assume enfin, qu’il se montre tel qu’il est devant les autres et affirme ses choix, la fête du lycée va peut-être pouvoir l’aider : il y a un costume à confectionner et tout le monde apprends alors qu’il est doué dans ce domaine. Ce tome est donc consacré à Gojô, la façon qu’il a eu de se comporter par rapport aux autres à la fois en se mettant en retrait pour ne déranger personne et aussi en cachant sa passion. On est donc un peu plus sur sa psychologie et les traces que lui ont laissé les remarques blessantes de son enfance. L’histoire va donc enfin pouvoir avancer, tant que lui était bloqué, leur relation l’était aussi ! Un manga toujours agréable à lire, plus ou moins dosé en cosplay selon les tomes (pas trop dans celui-là). Si vous voulez vous en faire une idée, vous pouvez aller voir l’anime sur crunchyroll (titre : my dress-up darling) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Alpi the soul sender tome 6

    Dans l’univers de ce manga, les humains vivent sous la protection d’esprits divins qui leurs prodiguent leurs protections et les bienfaits de la nature. Quand un esprit vient à mourir, de son corps se dégagent des miasmes toxiques comme si une malédiction s’abattait sur terre. C’est à ce moment qu’interviennent les soul senders, des êtres qui par leurs prières peuvent pratiquer une cérémonie pour apaiser l’âme de l’esprit divin, l’envoyer dans l’au-delà et mettre fin aux miasmes. Alpi est une jeune soul sender partie à l’aventure avec son serviteur Pelenai à la recherche de ses parents disparus, eux-aussi soul senders. C’est la première fois qu’Alpi collabore avec d’autres soul senders pour apaiser l’esprit du grand serpent, seulement l’équipe se heurte à des esprits qui pensent que les humains doivent à un moment payer pour les bienfaits qu’ils demandent. C’est dans ce contexte tendu qu’Alpi découvre que Pelenai est en réalité un esprit gardien, venu eu monde pour la protéger. Il va alors lui raconter son passé. Alpi the soul sender est un manga d’aventure dans un contexte fantastique. Au travers de ce périple, elle apprend à connaitre la différence, découvre les différents rapports que l‘homme entretient avec la nature. Mais sans aller jusqu’à une analyse pointue, le manga peut juste être apprécié au 1er degré (côté aventure). Le graphisme est vraiment très soigné, que ce soit dans les décors, les tenues ou même les traits des personnages. C’est un manga agréable et dépaysant.
  8. Titre de l'album : Alpi the soul sender tome 6 Scenariste de l'album : RONA Dessinateur de l'album : RONA Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Une fable écologique au coeur d'un monde fantastique ! Après une longue recherche, Alpi et les autres soul senders ont enfin localisé le corps du grand serpent ! Ils érigent une immense barrière autour afin d'accomplir le rite, mais le lendemain matin ils découvrent avec horreur que tout a été détruit. En effet, quelqu'un semble vouloir éviter à tout prix que la divinité ne trouve le repos... Tandis que le groupe tente de trouver une solution, il est attaqué par plusieurs esprits à l'apparence humaine et un combat s'engage entre Dia et Pelenai ! Alpi découvre alors le lourd secret de celui qui l'accompagne depuis si longtemps... Critique : Dans l’univers de ce manga, les humains vivent sous la protection d’esprits divins qui leurs prodiguent leurs protections et les bienfaits de la nature. Quand un esprit vient à mourir, de son corps se dégagent des miasmes toxiques comme si une malédiction s’abattait sur terre. C’est à ce moment qu’interviennent les soul senders, des êtres qui par leurs prières peuvent pratiquer une cérémonie pour apaiser l’âme de l’esprit divin, l’envoyer dans l’au-delà et mettre fin aux miasmes. Alpi est une jeune soul sender partie à l’aventure avec son serviteur Pelenai à la recherche de ses parents disparus, eux-aussi soul senders. C’est la première fois qu’Alpi collabore avec d’autres soul senders pour apaiser l’esprit du grand serpent, seulement l’équipe se heurte à des esprits qui pensent que les humains doivent à un moment payer pour les bienfaits qu’ils demandent. C’est dans ce contexte tendu qu’Alpi découvre que Pelenai est en réalité un esprit gardien, venu eu monde pour la protéger. Il va alors lui raconter son passé. Alpi the soul sender est un manga d’aventure dans un contexte fantastique. Au travers de ce périple, elle apprend à connaitre la différence, découvre les différents rapports que l‘homme entretient avec la nature. Mais sans aller jusqu’à une analyse pointue, le manga peut juste être apprécié au 1er degré (côté aventure). Le graphisme est vraiment très soigné, que ce soit dans les décors, les tenues ou même les traits des personnages. C’est un manga agréable et dépaysant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpi-the-soul-sender-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Mon coloc est une gameuse tome 1

    Takumi Satsuki est un gameur, il joue à dragon quest X et y incarne un personnage féminin Powder. Au fur et à mesure, il s’est fait des amis dans la guilde du jeu et a sympathisé avec un personnage masculin Goro. Ayant avoué à ses amis qu’il était en réalité un garçon, celui ne l’a pas dérangé quand Goro a eu besoin d’un logement, et lui a proposé une colocation. Seulement voilà, en réalité Goro est une fille et n’avait pas compris que Powder était un garçon ! Bon, le pitch était sympathique et je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’interactions entre les personnages dans la vraie vie (enfin celle du manga !). Hélas, la majorité du manga est plus centré sur le jeu, la création des personnages, les événements du jeu que leurs relations passent au second plan. Pour tout dire, je m’ennuyais tellement que j’ai eu du mal à aller au bout… Pourtant, des livres sur des MMORPG, j’en ai lus et je vous en ai présenté plusieurs. Je pense que le plus gros problème de ce 1er tome est l’équilibre entre les mondes réel et virtuel. Je suppose, car c’est un peu ce que ‘on ressent sur la fin (et aussi parce qu’il y a 8 tomes en cours), que cette cohabitation va peu à peu avoir une répercussion entre eux, côté sentiment probablement. En attendant, ce tome est quelconque, le caractère des personnages n’est pas poussé, les caractéristiques du jeu nous laissent de marbre (un intérêt peut-être pour ceux qui jouent à dragon quest X) et le graphisme correct sans être remarquable ; bref, je n’ai pas été convaincue.
  10. Titre de l'album : Mon coloc est une gameuse tome 1 Scenariste de l'album : KINDAICHI Renjûrô Dessinateur de l'album : KINDAICHI Renjûrô Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Takumi Satsuki est un joueur invétéré de Dragon Quest X Online. Son personnage, la mignonne Powder, fait régulièrement équipe avec Goro-san, un personnage masculin. Un jour, Goro-san dit qu'il recherche un appartement et Takumi lui propose de partager le sien. Mais lorsqu'ils se rencontrent, il est surpris de découvrir que Goro-san est une femme très belle et moderne, Miyako Okamoto. Critique : Takumi Satsuki est un gameur, il joue à dragon quest X et y incarne un personnage féminin Powder. Au fur et à mesure, il s’est fait des amis dans la guilde du jeu et a sympathisé avec un personnage masculin Goro. Ayant avoué à ses amis qu’il était en réalité un garçon, celui ne l’a pas dérangé quand Goro a eu besoin d’un logement, et lui a proposé une colocation. Seulement voilà, en réalité Goro est une fille et n’avait pas compris que Powder était un garçon ! Bon, le pitch était sympathique et je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’interactions entre les personnages dans la vraie vie (enfin celle du manga !). Hélas, la majorité du manga est plus centré sur le jeu, la création des personnages, les événements du jeu que leurs relations passent au second plan. Pour tout dire, je m’ennuyais tellement que j’ai eu du mal à aller au bout… Pourtant, des livres sur des MMORPG, j’en ai lus et je vous en ai présenté plusieurs. Je pense que le plus gros problème de ce 1er tome est l’équilibre entre les mondes réel et virtuel. Je suppose, car c’est un peu ce que ‘on ressent sur la fin (et aussi parce qu’il y a 8 tomes en cours), que cette cohabitation va peu à peu avoir une répercussion entre eux, côté sentiment probablement. En attendant, ce tome est quelconque, le caractère des personnages n’est pas poussé, les caractéristiques du jeu nous laissent de marbre (un intérêt peut-être pour ceux qui jouent à dragon quest X) et le graphisme correct sans être remarquable ; bref, je n’ai pas été convaincue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-coloc-est-une-gameuse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    & (and) tome 6

    Le docteur Yagai semble plus joyeux depuis qu’il fréquente Kaoru, cette dernière mène ses deux emplois en parallèle, elle bosse beaucoup mais la venue d’une nouvelle cliente la met devant des réalités concrètes, des questions qu’elle se posait déjà. La petite amie de Shiro, Iku n’arrive toujours pas à trouver sa place, elle voit bien que malgré tous les efforts qu’elle fait, le regard de Shiro se porte toujours vers Kaoru. Les personnages continuent à se chercher, à avancer entre leurs envies et leur passé. On a l’impression qu’ils se débattent mais en même temps qu’ils font des efforts pour changer. Tout est toujours raconté avec une certaine retenue, une certaine élégance que l’on retrouve aussi dans le graphisme. Et même si parfois, cela met un peu de distance avec le lecteur, le manga dégage une ambiance de spleen et de beauté qui ne laisse pas insensible.
  12. Nickad

    & (and) tome 6

    Titre de l'album : & (and) tome 6 Scenariste de l'album : OKAZAKI Mari Dessinateur de l'album : OKAZAKI Mari Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Forte et indépendante, Kaoru suit des cours supplémentaires pour intégrer le nouveau département de l'hôpital. De son côté, le docteur Yagai est toujours tourmenté par son passé et sa grande différence d'âge avec Kaoru l'empêche de se rapprocher d'elle autant qu'il le voudrait. Au fil du temps, heureusement, les sentiments de la jeune femme vont lui réchauffer le coeur et l'aider à s'ouvrir à elle. Mais, un jour, une nouvelle cliente débarque au salon de Kaoru. Cette femme, qui semble également connaître le docteur Yagai, ne manquera pas de la mettre mal à l'aise avec ses réflexions... Critique : Le docteur Yagai semble plus joyeux depuis qu’il fréquente Kaoru, cette dernière mène ses deux emplois en parallèle, elle bosse beaucoup mais la venue d’une nouvelle cliente la met devant des réalités concrètes, des questions qu’elle se posait déjà. La petite amie de Shiro, Iku n’arrive toujours pas à trouver sa place, elle voit bien que malgré tous les efforts qu’elle fait, le regard de Shiro se porte toujours vers Kaoru. Les personnages continuent à se chercher, à avancer entre leurs envies et leur passé. On a l’impression qu’ils se débattent mais en même temps qu’ils font des efforts pour changer. Tout est toujours raconté avec une certaine retenue, une certaine élégance que l’on retrouve aussi dans le graphisme. Et même si parfois, cela met un peu de distance avec le lecteur, le manga dégage une ambiance de spleen et de beauté qui ne laisse pas insensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/and-by-mari-okazaki-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Konosuke est un samouraï qui ne peut utiliser de sabre en métal, en fait, tous les objets métalliques se tordent à son approche, il ne peut pas non plus se raser ni toucher à la monnaie. Avec un tel handicap, impossible pour lui de trouver du travail, ayant vendu presque tous les biens hérités de sa famille, il se retrouve sans argent et en plus, il est la cible de moqueries, on dit de lui qu’il a peur de se couper ! Désespéré, il décide de se jeter dans la rivière pour en finir. Quelqu’un le sauve et il se réveille chez lui avec une demande de mariage en prime. La dot lui fait accepter cette demande, mais que peut donc lui trouver cette belle épouse tombée du ciel ? Après le très remarqué Kasane, manga assez sombre, déroutant et magnifique, Daruma Maatsura revient avec la danse du soleil et de la lune. Situé à l’époque médiévale, elle dépeint le quotidien d’un homme désœuvré avec réalisme et en même temps ajoute un côté fantastique qui lui donne un aspect « contes et légendes ». La description de l’époque est très juste, là où la valeur d’un homme se mesure à son sabre, Konosuke est un paria et on ressent bien tous ses sentiments, le désespoir et le déshonneur. Et puis il y a l’arrivée de Tsuki, énigmatique et très belle, on ne sait pas vraiment qui elle est et ce qu’elle veut mais le fantastique n’est pas loin. Le scenario est bien ficelé, l’histoire bien menée, une intrigue inédite qui laisse beaucoup de questions en suspens. Le graphisme de l’auteure sait allier la simplicité et le dynamisme quand il le faut. Une série à découvrir, 3 tomes en cours.
  14. Titre de l'album : La Danse du Soleil et de la Lune tome 1 Scenariste de l'album : MATSUURA Daruma Dessinateur de l'album : MATSUURA Daruma Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Pour un samouraï, l'honneur est plus important que tout. Konosuke aspire à vivre selon les valeurs de sa caste, mais un secret honteux l'en empêche : le métal se tord à proximité de sa peau ! Impossible pour lui d'utiliser la moindre lame, hormis celle de son sabre en bois... Avec un tel handicap, Konosuke ne peut prétendre à un travail digne de son rang. Pire, il est vu comme un lâche qui a peur de se battre dans les règles ! Seul et désargenté, il n'a plus qu'un désir : mourir honorablement par le sabre. Il provoque des pairs au combat, mais son pouvoir écarte leurs armes... Roué de coups et jeté dans une rivière, il glisse lentement vers la mort, quand il sent une étrange présence féminine... Il se réveille chez lui, hagard et déboussolé. C'est alors qu'un vieil homme difforme frappe à sa porte et lui annonce qu'il est demandé en mariage par une jeune femme à la beauté ensorcelante ! Qui est-elle et pourquoi l'a-t-elle choisi, lui, le samouraï raté Critique : Konosuke est un samouraï qui ne peut utiliser de sabre en métal, en fait, tous les objets métalliques se tordent à son approche, il ne peut pas non plus se raser ni toucher à la monnaie. Avec un tel handicap, impossible pour lui de trouver du travail, ayant vendu presque tous les biens hérités de sa famille, il se retrouve sans argent et en plus, il est la cible de moqueries, on dit de lui qu’il a peur de se couper ! Désespéré, il décide de se jeter dans la rivière pour en finir. Quelqu’un le sauve et il se réveille chez lui avec une demande de mariage en prime. La dot lui fait accepter cette demande, mais que peut donc lui trouver cette belle épouse tombée du ciel ? Après le très remarqué Kasane, manga assez sombre, déroutant et magnifique, Daruma Maatsura revient avec la danse du soleil et de la lune. Situé à l’époque médiévale, elle dépeint le quotidien d’un homme désœuvré avec réalisme et en même temps ajoute un côté fantastique qui lui donne un aspect « contes et légendes ». La description de l’époque est très juste, là où la valeur d’un homme se mesure à son sabre, Konosuke est un paria et on ressent bien tous ses sentiments, le désespoir et le déshonneur. Et puis il y a l’arrivée de Tsuki, énigmatique et très belle, on ne sait pas vraiment qui elle est et ce qu’elle veut mais le fantastique n’est pas loin. Le scenario est bien ficelé, l’histoire bien menée, une intrigue inédite qui laisse beaucoup de questions en suspens. Le graphisme de l’auteure sait allier la simplicité et le dynamisme quand il le faut. Une série à découvrir, 3 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-danse-du-soleil-et-de-la-lune-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Poison quotidien tome 1

    Ogino et Takai sont deux lycéens quelconques, ni beaux ni sportifs ni intellectuels… mais ils ont eu la malchance de tomber sous le joug des racailles de l’école qui les traite comme des esclaves. Harcelés et rackettés, Ogino se prend souvent des coups et Takai préfère payer vu que ses parents sont riches. Les deux garçons trouvent de l’évasion et de l’espoir dans les motos et préparent leur permis en secret. Poison quotidien est un portrait assez réaliste de la jeunesse japonaise, il y a le harcèlement, toujours très présent, la pression omniprésente qui peut venir des parents, de l’école, du système plus généralement qui fait qu’il y a un moule dans lequel rentrer et une conduite à tenir. Et puis il y a juste le fait d’être adolescent, de trouver sa voie, de prendre des décisions, d’éprouver des sentiments, se questionner sur l’amour, l’amitié. Vivre le quotidien et ressentir son poids avec des éléments qui vous empoisonnent l’existence et dont on ne peut se débarrasser. Le graphisme est à la hauteur du récit, un style réaliste, des physiques asiatiques... parfois ingrats. Le manga est une peinture sociale, pas la plus belle qui soit, pas la plus passionnante non plus, mais juste la plus répandue, celle du quotidien, celle qui nous ressemble où l’on pourrait se reconnaitre. Série finie en 6 tomes Lire un extrait
  16. Titre de l'album : Poison quotidien tome 1 Scenariste de l'album : FURUYA Minoru Dessinateur de l'album : FURUYA Minoru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : C'est la première fois de ma vie que je décide quelque chose par moi-même... Yusuke Ogino est un lycéen complètement ordinaire. Avec son meilleur pote, Takao Takai, il se fait sans cesse harceler, racketter. Et parce qu'il ne sait pas comment réagir, il est parfois plus simple de se laisser être la victime. Alors pour s'échapper, il rêve de liberté, de passer son permis moto et de rouler, pour être libre... Mais ce foutu quotidien, toujours, il revient, il vous étouffe, il vous empoisonne. Est-ce qu'un jour, enfin, le bonheur frappera à la porte ? Critique : Ogino et Takai sont deux lycéens quelconques, ni beaux ni sportifs ni intellectuels… mais ils ont eu la malchance de tomber sous le joug des racailles de l’école qui les traite comme des esclaves. Harcelés et rackettés, Ogino se prend souvent des coups et Takai préfère payer vu que ses parents sont riches. Les deux garçons trouvent de l’évasion et de l’espoir dans les motos et préparent leur permis en secret. Poison quotidien est un portrait assez réaliste de la jeunesse japonaise, il y a le harcèlement, toujours très présent, la pression omniprésente qui peut venir des parents, de l’école, du système plus généralement qui fait qu’il y a un moule dans lequel rentrer et une conduite à tenir. Et puis il y a juste le fait d’être adolescent, de trouver sa voie, de prendre des décisions, d’éprouver des sentiments, se questionner sur l’amour, l’amitié. Vivre le quotidien et ressentir son poids avec des éléments qui vous empoisonnent l’existence et dont on ne peut se débarrasser. Le graphisme est à la hauteur du récit, un style réaliste, des physiques asiatiques... parfois ingrats. Le manga est une peinture sociale, pas la plus belle qui soit, pas la plus passionnante non plus, mais juste la plus répandue, celle du quotidien, celle qui nous ressemble où l’on pourrait se reconnaitre. Série finie en 6 tomes Lire un extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/poison-quotidien-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Keiji tome 4

    Keiji arrive à la capitale (Kyoto à l’époque), il se heurte dès la départ à un fils à papa qui fait la loi. Après lui avoir donner une bonne leçon, il rencontre son père qui n’est autre que l’un des conseillers du seigneur. Keiji se retrouve malgré lui au beau milieu d’un complot politique. Quelle que soit la situation et quelle que soit la personne qu’il a en face de lui, Keiji reste fidèle à lui-même et vit comme il l’entend, car un Kabuki-dono vit toujours à fond en mettant sa vie en jeu au moindre instant. Le manga est toujours plaisant, il y a d’un côté le fond historique qui permet d’en apprendre un peu plus sur le Japon et de l’autre la vie de Keiji entre humour et combat. C’est un personnage riche et intéressant auprès duquel l’ennui n’est pas possible. Pour le moment, le schéma fonctionne encore mais il va falloir un renouveau dans le déroulement pour ne pas lasser sur les 18 tomes que compte la série. Le dessin de Tetsuo HARA est toujours détaillé et réserve de belles surprises.
  18. Nickad

    Keiji tome 4

    Titre de l'album : Keiji tome 4 Scenariste de l'album : RYU Keiichiro Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Si la vie a une fin, la gloire, elle, est éternelle ! »1588. C'est accompagné d'Ofû et de Sutemaru, ninja rencontré à Tsuruga, que Keiji se rend à Kyôto, la capitale. Il y fait là-bas la rencontre des hommes les plus puissants du pays, dont Toyotomi Hideyoshi, successeur d'Oda Nobunaga, ou de Sen no Rikyû, connu sous le nom du «saint du thé». Mêlé à diverses intrigues politiques, Keiji parviendra-t-il à échapper à ses nombreux détracteurs?En 1582, la mort d'Oda Nobunaga vient attiser la flamme de la guerre qui embrase le Japon depuis plus d'un siècle. Voguant à contre-courant de la retenue et de la courtoisie de mise à l'époque, les kabuki-mono sont des guerriers outranciers, aux habits flamboyants et suivant leur propre code d'honneur. Critique : Keiji arrive à la capitale (Kyoto à l’époque), il se heurte dès la départ à un fils à papa qui fait la loi. Après lui avoir donner une bonne leçon, il rencontre son père qui n’est autre que l’un des conseillers du seigneur. Keiji se retrouve malgré lui au beau milieu d’un complot politique. Quelle que soit la situation et quelle que soit la personne qu’il a en face de lui, Keiji reste fidèle à lui-même et vit comme il l’entend, car un Kabuki-dono vit toujours à fond en mettant sa vie en jeu au moindre instant. Le manga est toujours plaisant, il y a d’un côté le fond historique qui permet d’en apprendre un peu plus sur le Japon et de l’autre la vie de Keiji entre humour et combat. C’est un personnage riche et intéressant auprès duquel l’ennui n’est pas possible. Pour le moment, le schéma fonctionne encore mais il va falloir un renouveau dans le déroulement pour ne pas lasser sur les 18 tomes que compte la série. Le dessin de Tetsuo HARA est toujours détaillé et réserve de belles surprises. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-4-224035?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Mobuko no koi tome 1

    Nobuko est une jeune étudiante très discrète, trop même. Elle travaille depuis un an dans une supérette et elle éprouve des sentiments pour son collègue Irie, étudiant comme elle. Elle préfère être « le second rôle de sa propre histoire ». Ce n’est qu’avec l’arrivée d’une nouvelle employée Abe, une jeune fille franche et enjouée, que Nobuko va arriver à avancer petit à petit. Mobuko no Koi est une romance entre deux personnes timides et réservées. Malgré le manque de communication et d’expressions (verbales ou physiques), les personnages développent quand même une relation, il suffit d’un geste, d’une petite attention pour arriver à transmettre une intention. Le titre du manga « mobuko » est une référence au caractère de la jeune fille, mobuko désignant généralement une personne sans influence, de second plan. Le rythme du livre est à l’image des personnages, l’auteure prend son temps de faire découvrir les différentes facettes ou « manies » de notre héroïne, c’est une allure où l’on avance tout doucement, petit pas par petit pas. J’avoue que pour le moment je ne suis pas complètement convaincue, il n’est pas déplaisant, a une ambiance très apaisée mais manque un peu de piquant ; ce qui est certainement la volonté de l’auteure vu le caractère de ses personnages. J’attends la suite pour me prononcer, la série compte déjà 12 tomes au Japon.
  20. Titre de l'album : Mobuko no koi tome 1 Scenariste de l'album : TAMURA Akane Dessinateur de l'album : TAMURA Akane Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : La timide Nobuko Tanaka déteste se retrouver au centre de l'attention. Réservée, toujours en retrait, elle a l'impression d'être le second rôle de sa propre vie. Mais lorsque les sentiments d'un premier amour germent en elle, elle se découvre le courage de sortir de l'ombre pour avancer, pas à pas, vers l'élu de son cœur. Premier ou second rôle... quelle importance lorsque les sentiments sont là ? Après tout, même dans l'ombre, l'amour peut fleurir... Critique : Nobuko est une jeune étudiante très discrète, trop même. Elle travaille depuis un an dans une supérette et elle éprouve des sentiments pour son collègue Irie, étudiant comme elle. Elle préfère être « le second rôle de sa propre histoire ». Ce n’est qu’avec l’arrivée d’une nouvelle employée Abe, une jeune fille franche et enjouée, que Nobuko va arriver à avancer petit à petit. Mobuko no Koi est une romance entre deux personnes timides et réservées. Malgré le manque de communication et d’expressions (verbales ou physiques), les personnages développent quand même une relation, il suffit d’un geste, d’une petite attention pour arriver à transmettre une intention. Le titre du manga « mobuko » est une référence au caractère de la jeune fille, mobuko désignant généralement une personne sans influence, de second plan. Le rythme du livre est à l’image des personnages, l’auteure prend son temps de faire découvrir les différentes facettes ou « manies » de notre héroïne, c’est une allure où l’on avance tout doucement, petit pas par petit pas. J’avoue que pour le moment je ne suis pas complètement convaincue, il n’est pas déplaisant, a une ambiance très apaisée mais manque un peu de piquant ; ce qui est certainement la volonté de l’auteure vu le caractère de ses personnages. J’attends la suite pour me prononcer, la série compte déjà 12 tomes au Japon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mobuko-no-koi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    BEM tome 1

    BEM – humanoide monster Bem est à l’origine un anime sorti en 1968 qui a eu beaucoup de succès, le manga a été publié pour fêter les 50 ans de la licence. La ville de Libra-City est partagé en 2 zones : d’un côté l’Upper destiné aux riches et aux personnes importantes et de l’autre l’Outside correspondant aux bas-fonds avec son lot de parias et de malfaiteurs. Sonia Summers est une jeune policière qui choisit de muter dans l’Outside, elle découvre un monde où la violence règne, où elle ne doit faire confiance à personne et rencontre également un homme étrange souvent présent là où il a des méfaits. L’objectif de BEM c’est de mettre en avant la cruauté de l’homme sous toutes ses formes et c’est au travers des aventures de 3 êtres/monstres humanoïdes qu’il le fait. Tout repose sur cette opposition : d’un côté les 3 « yokai » qui cherchent à devenir humains et pensent y parvenir en aidant les autres et protégeant les faibles, de l’autre les humains qui sont monstrueux dans leurs actions. Et c’est bien de cette façon qu’il faut aborder cette lecture car sinon c’est un peu creux. Oui il y a de l’action, mais cette succession de scènes sans de liant véritable nous laisse un peu spectateur du récit. Même Sonia est un peu fade, on ne ressent pas d’empathie pour les personnages et du coup, on a un peu de mal à se laisser embarquer. La série est finie en 3 tomes, espérons que la suite s’améliore.
  22. Nickad

    BEM tome 1

    Titre de l'album : BEM tome 1 Scenariste de l'album : ADK Emotions Dessinateur de l'album : NOHARA Mosae Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : La ville portuaire de Libra-city est séparée en deux zones : la zone upper qui accueille les populations aisées, et la zone outside où vivent les pauvres. Les habitants d'upper se tiennent éloignés de l'outside ignorant tout de ce qu'il s'y passe. Libra-city est entre les mains d'une organisation criminelle appelée l'Assemblée invisible qui créé des « hommes-fantômes », des humains améliorés comme les héros de ce manga : Bem, Bela et Belo. Ces trois personnages principaux, contrairement aux autres fantômes et monstres qui pullulent dans la ville, œuvrent pour le bien en combattant leurs semblables. Critique : BEM – humanoide monster Bem est à l’origine un anime sorti en 1968 qui a eu beaucoup de succès, le manga a été publié pour fêter les 50 ans de la licence. La ville de Libra-City est partagé en 2 zones : d’un côté l’Upper destiné aux riches et aux personnes importantes et de l’autre l’Outside correspondant aux bas-fonds avec son lot de parias et de malfaiteurs. Sonia Summers est une jeune policière qui choisit de muter dans l’Outside, elle découvre un monde où la violence règne, où elle ne doit faire confiance à personne et rencontre également un homme étrange souvent présent là où il a des méfaits. L’objectif de BEM c’est de mettre en avant la cruauté de l’homme sous toutes ses formes et c’est au travers des aventures de 3 êtres/monstres humanoïdes qu’il le fait. Tout repose sur cette opposition : d’un côté les 3 « yokai » qui cherchent à devenir humains et pensent y parvenir en aidant les autres et protégeant les faibles, de l’autre les humains qui sont monstrueux dans leurs actions. Et c’est bien de cette façon qu’il faut aborder cette lecture car sinon c’est un peu creux. Oui il y a de l’action, mais cette succession de scènes sans de liant véritable nous laisse un peu spectateur du récit. Même Sonia est un peu fade, on ne ressent pas d’empathie pour les personnages et du coup, on a un peu de mal à se laisser embarquer. La série est finie en 3 tomes, espérons que la suite s’améliore. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bem-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    L'Iliade et l'Odyssée

    L’Iliade et l’Odyssée pour ceux qui ne connaissent pas c’est l’histoire de la guerre de Troie (aussi appelée Ilion) et le périple d’Ulysse pour rentrer chez lui. Chaque œuvre est composée de 24 chants, difficile donc de résumer l’histoire en 1 manga de 190 pages. La première moitié du manga concerne donc les origines de la guerre de Troie avec l’enlèvement d’Hélène par Pâris, la mobilisation de plus de 30 000 Achéens (comprendre grecs ici) pour aller récupérer Hélène et au passage faire tomber Troie qui était devenue trop importante. Mais ce qui est important et assez bien expliqué, c’est l’implication des Dieux : ceux par qui tout a commencé car Zeus souhaitait une longue guerre pour diminuer la population devenue trop nombreuse. Les points forts de cette guerre sont bien mentionnés : la dispute entre Achille et Agamemnon, la mort de Patrocle qui poussa Achille à aller affronter Hector et le cheval de Troie bien sûr. Puis arrive l’Odysée, le départ d’Ulysse et de ces hommes pour rejoindre Ithaque et là je trouve qu’il y a des manques : on parle bien de Charybde et Scylla, Circé et le Cyclope mais aucune mention sur les sirènes et la tapisserie de Pénélope qui sont quand même des éléments clefs du récit. Le point positif du manga : un résumé compréhensible de cette épopée avec une bonne explication sur l’intervention des Dieux. Les points négatifs : les manques (normal vu la taille du manga) et le graphisme, manga dessiné par le groupe Variety artworks / team Banmikas comme les autres œuvres de cette collection : un dessin correct, des visages assez simples, le minimum syndical comme on dit. Cette collection de classiques en manga a l’avantage de faire découvrir les œuvres et de donner une 1ere approche.
  24. Titre de l'album : L'Iliade et l'Odyssée Scenariste de l'album : HOMERE Dessinateur de l'album : Variety Artworks Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Il s'agit du temps des légendes, quand les Hommes et les Dieux tissaient ensemble la trame de l'Histoire. Sous le regard de Zeus, le père des Dieux, omniscient et omnipotent, se déclenche la Guerre de Troie qui allait durer dix ans. Bientôt, cette guerre atteint son point culminant avec l'affrontement décisif opposant les héros Achille et Hector... Critique : L’Iliade et l’Odyssée pour ceux qui ne connaissent pas c’est l’histoire de la guerre de Troie (aussi appelée Ilion) et le périple d’Ulysse pour rentrer chez lui. Chaque œuvre est composée de 24 chants, difficile donc de résumer l’histoire en 1 manga de 190 pages. La première moitié du manga concerne donc les origines de la guerre de Troie avec l’enlèvement d’Hélène par Pâris, la mobilisation de plus de 30 000 Achéens (comprendre grecs ici) pour aller récupérer Hélène et au passage faire tomber Troie qui était devenue trop importante. Mais ce qui est important et assez bien expliqué, c’est l’implication des Dieux : ceux par qui tout a commencé car Zeus souhaitait une longue guerre pour diminuer la population devenue trop nombreuse. Les points forts de cette guerre sont bien mentionnés : la dispute entre Achille et Agamemnon, la mort de Patrocle qui poussa Achille à aller affronter Hector et le cheval de Troie bien sûr. Puis arrive l’Odysée, le départ d’Ulysse et de ces hommes pour rejoindre Ithaque et là je trouve qu’il y a des manques : on parle bien de Charybde et Scylla, Circé et le Cyclope mais aucune mention sur les sirènes et la tapisserie de Pénélope qui sont quand même des éléments clefs du récit. Le point positif du manga : un résumé compréhensible de cette épopée avec une bonne explication sur l’intervention des Dieux. Les points négatifs : les manques (normal vu la taille du manga) et le graphisme, manga dessiné par le groupe Variety artworks / team Banmikas comme les autres œuvres de cette collection : un dessin correct, des visages assez simples, le minimum syndical comme on dit. Cette collection de classiques en manga a l’avantage de faire découvrir les œuvres et de donner une 1ere approche. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-iliade-et-l-odyssee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Chroniques des 7 cités tome 1

    L’histoire se déroule en 2190 après que l’axe de la Terre ait basculé de 90 degrés entrainant l’extinction de l’humanité, les émigrés vivant sur la Lune sont alors retournés sur terre pour y fonder 7 cités. Mais l’homme étant ce qu’il est, les cités devinrent rivales et prêtes à faire la guerre pour l’obtention de nouveaux territoires et ressources. Ce 1er tome raconte l’affrontement qu’il va y avoir entre les cités d’Aquilonia et New Camelot. Comme le titre l’indique, il s’agit de chroniques sur les 7 cités, on verra donc les situations politiques et militaires de chacune d’entre elles avec l’émergence de personnages particuliers. Certains d’entre eux ont commencé à positionner leurs pions de façon à avoir un champ d’action plus large, qui mènera fatalement à un remaniement de l’ordre mondial. Ce qui est mis en avant dans le manga, c’est surtout l’importance d’avoir une stratégie et une vision à plus grande échelle. Je ne cours pas forcément après les histoires de guerre mais quand il y en a un qui est bien il faut le souligner et celle-là est réussie : un bon scenario écrit par Yoshiki Tanaka (les héros de la galaxie) et un graphisme soigné de Ikumi Fukuda que l’on a découvert sous le pesudonyme de Kotteri dans le très beau manga Veil. Un manga prenant où l’on apprécie les personnages à forte personnalité, les pointes d’humour et la tension qui règne pour savoir qui va s’en sortir et comment. Série finie en 5 tomes.
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