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  1. Nickad

    Ragna Crimson tome 8

    Suite du combat contre les dragons ailés, Ragna et ses compagnons semblent être en mauvaise posture, séparés, épuisés, ils misent tout sur une dernière offensive. Un tome de combat principalement, avec un retour sur le passé de certains membres des dragons ailés et comment ils en sont arrivés là. Je dois avouer que j’avais oublié ce qui se passait dans le tome précédent, qui était aussi un tome de combats d’ailleurs. Les détails des affrontements ne m’ont pas passionnée, j’ai trouvé la construction de l’histoire un peu brouillonne. Après, il y a quelques bribes par ci par là qui permettent de donner de nouvelles orientations au manga et surtout un final plutôt inattendu. Vivement que l’on retrouve Crimson et que l’on avance un peu.
  2. Titre de l'album : Ragna Crimson tome 8 Scenariste de l'album : KOBAYASHI Daiki Dessinateur de l'album : KOBAYASHI Daiki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Les chasseurs de dragons tuent leurs proies avec leur épée d'argent afin de toucher une récompense. Parmi eux, il y a Ragna, un jeune homme plutôt faible faisant équipe avec Léonica, une chasseuse de génie qui peut se vanter d'avoir tué bien plus de dragons que n'importe quel chasseur. Ragna n'a qu'un seul désir : rester pour toujours à ses côtés. Mais, suite à l'apparition d'un ennemi impitoyable, le souhait du jeune homme ne pourra jamais être exaucé... Seul un être puissant peut défier ces créatures. Pour s'opposer au terrible destin qui s'annonce et changer le cours de l'histoire, Ragna n'aura pas d'autre choix que de repousser ses limites...! Critique : Suite du combat contre les dragons ailés, Ragna et ses compagnons semblent être en mauvaise posture, séparés, épuisés, ils misent tout sur une dernière offensive. Un tome de combat principalement, avec un retour sur le passé de certains membres des dragons ailés et comment ils en sont arrivés là. Je dois avouer que j’avais oublié ce qui se passait dans le tome précédent, qui était aussi un tome de combats d’ailleurs. Les détails des affrontements ne m’ont pas passionnée, j’ai trouvé la construction de l’histoire un peu brouillonne. Après, il y a quelques bribes par ci par là qui permettent de donner de nouvelles orientations au manga et surtout un final plutôt inattendu. Vivement que l’on retrouve Crimson et que l’on avance un peu. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ragna-crimson-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Hôtel Voynich tome 1

    Taizo Kazuki arrive sur l’ile de Blefuscu pour tourisme et séjourne à l’hôtel Voynich. Il va croiser le personnel de l’hôtel et ses pensionnaires, tous en l’air d’avoir des raisons bien précises d’être là. Mais l’ile comme l’hôtel ne semblent pas tout à fait normaux, en plus de légendes spirituelles très fortes, une augmentation de la violence entoure ce lieu si particulier. Le manga est une suite de courtes scènes sur la vie de l’hôtel et de l’ile, mais il y a quand même une évolution dans l’histoire et dans les relations entre les protagonistes. Les étrangetés ambiantes trouvent leurs explications petit à petit. Les personnages sont atypiques, un peu déjantés, et baignent toujours entre fantastique (limite monstre de foire) et mafieux ; ce qui fait que les scénettes sont variées. Si la lecture n’est pas déplaisante et ne manque pas d’originalité, le manga n’a pas un intérêt flagrant, on nous annonce de l’humour ce qui est tout à fait relatif. Une question de point de vue je suppose… Finalement, le manga est plutôt bien fait mais m’a laissé de marbre. A vous de voir. Série finie en 3 tomes.
  4. Titre de l'album : Hôtel Voynich tome 1 Scenariste de l'album : DOUMAN Seiman Dessinateur de l'album : DOUMAN Seiman Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Après de tragiques événements, Taizou a décidé de s’offrir une pause. C’est sur la petite île de Blefuscu, en plein océan Pacifique, qu’il jette son dévolu. Isolée et méconnue, il pense pouvoir y trouver le calme et la détente dont il a bien besoin. Mais des femmes de chambre au patron en passant par les clients, son hôtel héberge de bien étranges individus… et il se pourrait bien que Blefuscu ne soit pas exactement un îlot de sérénité… Critique : Taizo Kazuki arrive sur l’ile de Blefuscu pour tourisme et séjourne à l’hôtel Voynich. Il va croiser le personnel de l’hôtel et ses pensionnaires, tous en l’air d’avoir des raisons bien précises d’être là. Mais l’ile comme l’hôtel ne semblent pas tout à fait normaux, en plus de légendes spirituelles très fortes, une augmentation de la violence entoure ce lieu si particulier. Le manga est une suite de courtes scènes sur la vie de l’hôtel et de l’ile, mais il y a quand même une évolution dans l’histoire et dans les relations entre les protagonistes. Les étrangetés ambiantes trouvent leurs explications petit à petit. Les personnages sont atypiques, un peu déjantés, et baignent toujours entre fantastique (limite monstre de foire) et mafieux ; ce qui fait que les scénettes sont variées. Si la lecture n’est pas déplaisante et ne manque pas d’originalité, le manga n’a pas un intérêt flagrant, on nous annonce de l’humour ce qui est tout à fait relatif. Une question de point de vue je suppose… Finalement, le manga est plutôt bien fait mais m’a laissé de marbre. A vous de voir. Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/voynich-hotel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. La première chose que je me suis dite c’est : « encore un manga sur les chats », je ne m’attendais pas forcément à une révolution, même si les chats sont mignons, je ne voyais pas ce que ce manga pouvait apporter de plus ! Et bien contre toute attente, j’ai grandement appréciée cette lecture et pas une seule fois, je me suis dit que c’était du déjà-vu. Dans une animalerie, un gros chat adulte et pas très mignon attend que quelqu’un l’achète enfin, non seulement il est moche mais cette attente la rendu triste et seul. Un jour un homme d’âge mur décide de l’adopter, lui aussi est triste et seul. Ces deux êtres vont s’apprivoiser l’un l’autre et combler leur vide sentimental. Le chat qui rendait l’homme heureux est un manga touchant et drôle. Touchant car ces deux êtres ont chacun à leur façon, le poids des ans et le fardeau d’une vie et drôle car il est construit de telle façon à ce que l’on a les pensées de l’homme et celles du chat, qui conscient de son physique ingrat a des réflexions plutôt marrantes. A travers leur quotidien, on voit le triste destin des animaux en cage dont personne ne veut, on voit le vide laissé par l’absence d’un être cher et tout ce que peut apporter une présence, même animale, dans la vie. C’est simple, sans fioriture, plein d’une douce chaleur qui réchauffe le cœur. Un manga bon pour le moral et agréable à lire.
  6. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 1 Scenariste de l'album : SAKURAI Umi Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour. Critique : La première chose que je me suis dite c’est : « encore un manga sur les chats », je ne m’attendais pas forcément à une révolution, même si les chats sont mignons, je ne voyais pas ce que ce manga pouvait apporter de plus ! Et bien contre toute attente, j’ai grandement appréciée cette lecture et pas une seule fois, je me suis dit que c’était du déjà-vu. Dans une animalerie, un gros chat adulte et pas très mignon attend que quelqu’un l’achète enfin, non seulement il est moche mais cette attente la rendu triste et seul. Un jour un homme d’âge mur décide de l’adopter, lui aussi est triste et seul. Ces deux êtres vont s’apprivoiser l’un l’autre et combler leur vide sentimental. Le chat qui rendait l’homme heureux est un manga touchant et drôle. Touchant car ces deux êtres ont chacun à leur façon, le poids des ans et le fardeau d’une vie et drôle car il est construit de telle façon à ce que l’on a les pensées de l’homme et celles du chat, qui conscient de son physique ingrat a des réflexions plutôt marrantes. A travers leur quotidien, on voit le triste destin des animaux en cage dont personne ne veut, on voit le vide laissé par l’absence d’un être cher et tout ce que peut apporter une présence, même animale, dans la vie. C’est simple, sans fioriture, plein d’une douce chaleur qui réchauffe le cœur. Un manga bon pour le moral et agréable à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    & (and) tomes 3 et 4

    Kaoru a monté son petit salon de manucure au rez-de-chaussée de l’entreprise de Shiro, elle donne tout ce qu’elle a pour que ça fonctionne. En même temps son attirance pour le docteur Yagai la tourmente quelque peu, elle sait qu’il n’y a pas d’avenir mais ne peut s’empêcher de tenter de se rapprocher de lui. Ce dernier ressent de l’attirance pour la jeune femme mais ne souhaite pas s’impliquer, victime des drames de son passé. Quant à Shiro, amoureux de la jeune femme depuis longtemps, n’ose toujours pas lui avouer ses sentiments au risque de la voir partir avec un autre. & and est un chassé-croisé amoureux, les personnages se cherchent et tentent de se rapprocher des autres, il y a beaucoup d’introspection et de maladresse car ils naviguent constamment entre raison et sentiment. Mais c’est encore plus difficile quand on n’a jamais vécu d’expérience ou quand on n’a pas l’habitude de s’affirmer. Mari Okazaki sait vraiment bien dépeindre les tourments de la vie, trouver sa place sentimentalement et professionnellement. Elle s’attarde aussi sur les difficultés de monter son entreprise, savoir faire sa publicité, affronter la concurrence. Elle montre également le quotidien du monde hospitalier avec les surcharge de travail, les gardes enchainées, le manque de reconnaissance, l’épuisement des soignants. Mari Okazaki sait fait honneur à ses personnages, entre Kaoru, sa collègue d’hôpital, ses clients du salon, elle fait des portraits de femmes actives sincères et touchants. Entre son trait délicat et fin et ses découpages originaux, elle donne beaucoup de douceur aux différentes scènes, même celle de la première nuit de Kaoru où l’on ressent toute la passion sans tomber dans l’érotisme. Ce qui en ressort, c’est de l’élégance et de la justesse.
  8. Titre de l'album : & (and) tomes 3 et 4 Scenariste de l'album : OKAZAKI Mari Dessinateur de l'album : OKAZAKI Mari Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Une employée administrative dans un hôpital décide d’accomplir son rêve et de démarrer une activité professionnelle parallèle. Elle veut ouvrir un salon de manucure qui n’ouvre que le soir, pour les femmes actives qui veulent rester coquettes. Mais se lancer comme indépendante n’est pas une mince affaire, surtout quand les autres, et surtout les hommes, tentent de vous décourager jugeant l’entreprise trop compliquée pour “une petite femme inexpérimentée”. Pourtant, elle va s’accrocher et, petit à petit, trouver sa place dans ce monde fort différent de l’univers des employés de bureau. Critique : Kaoru a monté son petit salon de manucure au rez-de-chaussée de l’entreprise de Shiro, elle donne tout ce qu’elle a pour que ça fonctionne. En même temps son attirance pour le docteur Yagai la tourmente quelque peu, elle sait qu’il n’y a pas d’avenir mais ne peut s’empêcher de tenter de se rapprocher de lui. Ce dernier ressent de l’attirance pour la jeune femme mais ne souhaite pas s’impliquer, victime des drames de son passé. Quant à Shiro, amoureux de la jeune femme depuis longtemps, n’ose toujours pas lui avouer ses sentiments au risque de la voir partir avec un autre. & and est un chassé-croisé amoureux, les personnages se cherchent et tentent de se rapprocher des autres, il y a beaucoup d’introspection et de maladresse car ils naviguent constamment entre raison et sentiment. Mais c’est encore plus difficile quand on n’a jamais vécu d’expérience ou quand on n’a pas l’habitude de s’affirmer. Mari Okazaki sait vraiment bien dépeindre les tourments de la vie, trouver sa place sentimentalement et professionnellement. Elle s’attarde aussi sur les difficultés de monter son entreprise, savoir faire sa publicité, affronter la concurrence. Elle montre également le quotidien du monde hospitalier avec les surcharge de travail, les gardes enchainées, le manque de reconnaissance, l’épuisement des soignants. Mari Okazaki sait fait honneur à ses personnages, entre Kaoru, sa collègue d’hôpital, ses clients du salon, elle fait des portraits de femmes actives sincères et touchants. Entre son trait délicat et fin et ses découpages originaux, elle donne beaucoup de douceur aux différentes scènes, même celle de la première nuit de Kaoru où l’on ressent toute la passion sans tomber dans l’érotisme. Ce qui en ressort, c’est de l’élégance et de la justesse. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/and-by-mari-okazaki-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    En attendant lundi tome 1

    Mizutani est une jeune fille qui vient de rentrer au collège, du jour au lendemain elle voit que ses camarades changent, les filles se mettent à écouter des émissions d’amour, fini les jeux de cour de récré, les cabanes dans la forêt et les jeux de rôles ! Fini de se prendre pour un aventurier ou de lancer des balles dans tous les sens ! Du jour au lendemain, il faut prendre exemple sur les grands, devenir sérieux et ne plus s’amuser. Mizutani ne comprend pas pourquoi elle devrait tout abandonner, elle se met à redouter les lundis, elle ne se sent pas à sa place jusqu’au jour où elle croise le chemin de Tsukino, le garçon en apparence froid et résigné, va lui permettre de rester enfant un peu plus longtemps et laisser libre cours à ses envies. Cette lecture était un peu étrange, d’un côté, on suit l’histoire de collégiens et d’un autre on découvre les pensées de Mizutani, son regard sur le monde qui l’entoure, exprimées de façon très adulte, empreintes de poésie « sous un ciel d’un bleu intense et clair, le long d’une mer aux reflets blancs éclatants, je traverse la ville indistincte », on a ce sentiment indicible, la conscience d’un décalage… Car malgré les apparences et le design très rond des personnages, En attendant lundi n’est pas un manga pour enfant, c’est comme si on jetait un coup d’œil en arrière et qu’on nous disait « qu’as-tu fait de tes rêves ? » Et puis il y a ce travail graphique, ce n’est pas juste un manga en noir et blanc mais une œuvre en noir et blanc, où chaque utilisation du noir, blanc et gris est réfléchie, où les contrastes sont exploités, tantôt ombre chinoise, tantôt image négative, toutes ces trouvailles visuelles, métaphoriques parfois, nous plonge dans un univers onirique, hors du temps. Une étrange lecture où l’on se perd parfois devant le texte et où le dessin nous rattrape. Si le manga était un recueil, En attendant lundi y serait un poème. En attendant lundi T.1 - AKATA (akazoom.fr)
  10. Titre de l'album : En attendant lundi tome 1 Scenariste de l'album : ABE Tomomi Dessinateur de l'album : ABE Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Pourquoi en rentrant au collège, tout le monde change du jour au lendemain ? Mizutani ne le comprend pas ! Jeune fille, elle refuse ce changement radical, elle refuse de grandir. Et plus les jours passent, plus elle se sent en décalage avec ses camarades. Aussi, chaque fin de week-end, elle redoute le début de semaine, le retour à l’école. Jusqu’à ce qu’elle croise un garçon nommé Tsukino. Dès lors, le collège, si gris et ordinaire, semble retrouver des couleurs. Ces deux-là se font alors une promesse : tous les lundis soirs, ils se retrouveront en secret dans la cours de l’école pour passer du bon temps, loin du regard des autres, comme des enfants à l’innocence préservée… Critique : Mizutani est une jeune fille qui vient de rentrer au collège, du jour au lendemain elle voit que ses camarades changent, les filles se mettent à écouter des émissions d’amour, fini les jeux de cour de récré, les cabanes dans la forêt et les jeux de rôles ! Fini de se prendre pour un aventurier ou de lancer des balles dans tous les sens ! Du jour au lendemain, il faut prendre exemple sur les grands, devenir sérieux et ne plus s’amuser. Mizutani ne comprend pas pourquoi elle devrait tout abandonner, elle se met à redouter les lundis, elle ne se sent pas à sa place jusqu’au jour où elle croise le chemin de Tsukino, le garçon en apparence froid et résigné, va lui permettre de rester enfant un peu plus longtemps et laisser libre cours à ses envies. Cette lecture était un peu étrange, d’un côté, on suit l’histoire de collégiens et d’un autre on découvre les pensées de Mizutani, son regard sur le monde qui l’entoure, exprimées de façon très adulte, empreintes de poésie « sous un ciel d’un bleu intense et clair, le long d’une mer aux reflets blancs éclatants, je traverse la ville indistincte », on a ce sentiment indicible, la conscience d’un décalage… Car malgré les apparences et le design très rond des personnages, En attendant lundi n’est pas un manga pour enfant, c’est comme si on jetait un coup d’œil en arrière et qu’on nous disait « qu’as-tu fait de tes rêves ? » Et puis il y a ce travail graphique, ce n’est pas juste un manga en noir et blanc mais une œuvre en noir et blanc, où chaque utilisation du noir, blanc et gris est réfléchie, où les contrastes sont exploités, tantôt ombre chinoise, tantôt image négative, toutes ces trouvailles visuelles, métaphoriques parfois, nous plonge dans un univers onirique, hors du temps. Une étrange lecture où l’on se perd parfois devant le texte et où le dessin nous rattrape. Si le manga était un recueil, En attendant lundi y serait un poème. En attendant lundi T.1 - AKATA (akazoom.fr) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/en-attendant-lundi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Sôten no Ken tome 1

    « Tu ne le sais pas encore, mais tu es déjà mort » cette phrase vous parle ? C’est lié à la technique secrète du Hokuto shinken le poing divin de la grande ourse, plus connue sous le nom du « poing de la mort ». 60 ans avant les aventures de Hokuto no Ken découvrez celles de son oncle, Kenshirô Kasumi, devenu légendaire dans le Shanghai des années 30 sous le nom de Yanwang « le roi des enfers ». A l’époque Shanghai est divisée en 3 zones : la ville chinoise, la concession internationale dirigée par des américains et des britanniques et la concession française, cette dernière est devenue une zone de non droit où la pègre règne en maître. Les nouveaux dirigeants « l’Union du Pavot sanglant » sont sans pitié et font la chasse aux anciens membres du Syndicat de Jade, les amis de Kenshirô. Ce dernier, professeur au Japon, va retourner en Chine, pour aider les derniers survivants du clan et punir les méchants. Je n’ai que quelques vagues souvenirs de Hokuto no Ken, l’impression qu’il n’y avait que des combats hyper violents (et la version française était en partie censurée !). Sôten no Ken reste dans la même veine, des combats violents avec des personnages assez sombres. L’histoire bénéficie cependant d’un contexte historique intéressant et assez méconnu en France, bien que cela se passe en grande partie dans la concession française de Shanghai, c’est toute une partie que j’ignorais. La famille de Ken est ce qu’elle est, un clan légendaire maitrisant un art martial tout aussi légendaire mais l’inclusion dans cette époque rend le personnage assez crédible et le mélange fonctionne bien. Pour rappel, Ken le survivant a été écrit dans les années 80 et se déroulait dans un futur proche post guerre nucléaire. Sôten no Ken est un manga d’action, sombre et violent, son graphisme est travaillé et il y a de très beaux décors très détaillés. L’histoire est à la hauteur de ce qu’on en attend et il y aura sans doute un plaisir supplémentaire pour les nostalgiques. La série avait déjà eu une première édition entre 2004 et 2012 et comprend 22 tomes.
  12. Titre de l'album : Sôten no Ken tome 1 Scenariste de l'album : BURONSON Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Dans les années 1930, Kenshirô Kasumi, "Roi des Enfers" (Yan-Wang, deux générations avant celle de Hokuto no Ken), 62e grand maître de la technique de combat Hokuto Shinken ("poing divin de la grande ourse") se trouve pris dans des conflits autour de la Mandchourie. Buronson et Tetsu Hara reviennent plus de dix ans après la fin du cultissime Hokuto No Ken, vendu à plus de 100 millions d'exemplaires dans le monde, dans une préquelle centré sur l'oncle de Kenshiro, Kenshiro Kasumi, 62e successeur de la légendaire technique du Hokuto Shinken qui vise les points vitaux de ses adversaires. Cette réédition de Soten No Ken, vivement attendue par les lecteurs de la toute première série, est le deuxième titre d'une collection dédiée à Tetsuo Hara. Au plus proche de la version originale (sens de lecture japonais, onomatopées sous-titrées), elle bénéficie d'une nouvelle traduction, d'un nouveau lettrage et d'une fabrication soignée. Critique : « Tu ne le sais pas encore, mais tu es déjà mort » cette phrase vous parle ? C’est lié à la technique secrète du Hokuto shinken le poing divin de la grande ourse, plus connue sous le nom du « poing de la mort ». 60 ans avant les aventures de Hokuto no Ken découvrez celles de son oncle, Kenshirô Kasumi, devenu légendaire dans le Shanghai des années 30 sous le nom de Yanwang « le roi des enfers ». A l’époque Shanghai est divisée en 3 zones : la ville chinoise, la concession internationale dirigée par des américains et des britanniques et la concession française, cette dernière est devenue une zone de non droit où la pègre règne en maître. Les nouveaux dirigeants « l’Union du Pavot sanglant » sont sans pitié et font la chasse aux anciens membres du Syndicat de Jade, les amis de Kenshirô. Ce dernier, professeur au Japon, va retourner en Chine, pour aider les derniers survivants du clan et punir les méchants. Je n’ai que quelques vagues souvenirs de Hokuto no Ken, l’impression qu’il n’y avait que des combats hyper violents (et la version française était en partie censurée !). Sôten no Ken reste dans la même veine, des combats violents avec des personnages assez sombres. L’histoire bénéficie cependant d’un contexte historique intéressant et assez méconnu en France, bien que cela se passe en grande partie dans la concession française de Shanghai, c’est toute une partie que j’ignorais. La famille de Ken est ce qu’elle est, un clan légendaire maitrisant un art martial tout aussi légendaire mais l’inclusion dans cette époque rend le personnage assez crédible et le mélange fonctionne bien. Pour rappel, Ken le survivant a été écrit dans les années 80 et se déroulait dans un futur proche post guerre nucléaire. Sôten no Ken est un manga d’action, sombre et violent, son graphisme est travaillé et il y a de très beaux décors très détaillés. L’histoire est à la hauteur de ce qu’on en attend et il y aura sans doute un plaisir supplémentaire pour les nostalgiques. La série avait déjà eu une première édition entre 2004 et 2012 et comprend 22 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soten-no-ken-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Ajin tome 17 (fin)

    Pas facile de finir une série comme Ajin, il ne faut pas aller trop vite tout en amenant une conclusion à la situation en cours. A la fin du tome 16, tous les acteurs de l’histoire étaient en proie au flow de Sato, ce dernier compte quitter le pays mais Nagai ne compte pas le laisser filer aussi facilement, leur dernier affrontement approche mais est-il facile de vaincre un ennemi qui a montré une telle puissance et une telle maitrise de ses pouvoirs ? Je n’en dirai pas plus pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte. Ajin est une série incontournable qui a apporté un renouveau dans l’action, elle mêle habilement fantastique, complot, politique, sciences… et a su rebondir quand on la croyait s’essouffler. Avec son scénario bien ficelé et ses personnages complexes et particulièrement intelligents, Gamon Sakurai nous montre qu’il est aussi bon auteur que dessinateur et qu’il a su reprendre brillamment le déroulement du manga (les premiers chapitres ont été scénarisés par Tsuina Miura) La fin est intéressante, loin de décrire précisément les derniers événements, les informations arrivent par le biais des médias, laissant la population comme le lecteur dans le flou, avec son lot d’imprécisions et d’incertitudes. On jette un dernier coup d’œil aux personnages puis on s’en éloigne petit à petit, comme si l’épisode « ajin » n’avait été qu’une parenthèse dans la vie de tous les jours. Mais les ajin sont toujours là… qui sait ce qui se passera demain…
  14. Nickad

    Ajin tome 17 (fin)

    Titre de l'album : Ajin tome 17 (fin) Scenariste de l'album : SAKURAI Gamon Dessinateur de l'album : SAKURAI Gamon Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Ces êtres se relèvent... Encore... Et encore... Critique : Pas facile de finir une série comme Ajin, il ne faut pas aller trop vite tout en amenant une conclusion à la situation en cours. A la fin du tome 16, tous les acteurs de l’histoire étaient en proie au flow de Sato, ce dernier compte quitter le pays mais Nagai ne compte pas le laisser filer aussi facilement, leur dernier affrontement approche mais est-il facile de vaincre un ennemi qui a montré une telle puissance et une telle maitrise de ses pouvoirs ? Je n’en dirai pas plus pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte. Ajin est une série incontournable qui a apporté un renouveau dans l’action, elle mêle habilement fantastique, complot, politique, sciences… et a su rebondir quand on la croyait s’essouffler. Avec son scénario bien ficelé et ses personnages complexes et particulièrement intelligents, Gamon Sakurai nous montre qu’il est aussi bon auteur que dessinateur et qu’il a su reprendre brillamment le déroulement du manga (les premiers chapitres ont été scénarisés par Tsuina Miura) La fin est intéressante, loin de décrire précisément les derniers événements, les informations arrivent par le biais des médias, laissant la population comme le lecteur dans le flou, avec son lot d’imprécisions et d’incertitudes. On jette un dernier coup d’œil aux personnages puis on s’en éloigne petit à petit, comme si l’épisode « ajin » n’avait été qu’une parenthèse dans la vie de tous les jours. Mais les ajin sont toujours là… qui sait ce qui se passera demain… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ajin-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    A Tail's Tale tome 1

    L’histoire commence par une scène d’accouchement, puis les personnages vont faire un retour en arrière de 10 ans pour revenir sur leur histoire d’amour. Nachi est une collégienne qui complexe énormément au sujet de sa peau, elle a beau rester au soleil elle ne bronze jamais, en plus elle ne s’intéresse pas aux histoires d’amour, elle se sent différentes des autres et se posent beaucoup de questions. Heureusement sa grande sœur (qui est en âge de travailler) est à l’écoute. Sa route va croiser celle d’Utsumi, un garçon de son collège, elle va découvrir que lui aussi est différent car il est né avec une petite queue. Les deux adolescents vont éprouver pour la première fois des sentiments envers un autre mais confrontés aux regards des autres, leur histoire va être semée d’embuches. Mizu SAHARA est une autrice au trait reconnaissable, un dessin plein de douceur, découverte en France avec My girl et Le chant des souliers rouges, elle sait dépeindre les sentiments de ses personnages avec justesse sans tomber dans la facilité ni les clichés. Son œuvre est toujours empreinte d’une certaine mélancolie qui fait que parfois, on a l’impression de ne pas avancer dans l’histoire mais qui lui donne toute son originalité. A tail’s tale (littéralement un conte de queue) est une histoire qui s’articule autour de la différence, du regard des autres et de la tolérance. Si Nachi n’est pas toujours la cible des remarques, elle en est témoin, et si parfois, elle est surprise et ne sait comment réagir, elle prend le temps de comprendre avant de juger. A travers cette histoire (série finie en 4 tomes), c’est un appel à la tolérance et à la compréhension que l’on ressent, que ce soit entre lycéens mais aussi dans la vie de tous les jours ; avec les comportements des voisins de la famille d’Utsumi, on voit la critique envers la société nippone, très stricte parfois qui accepte difficilement les différences.
  16. Titre de l'album : A Tail's Tale tome 1 Scenariste de l'album : SAHARA Mizu Dessinateur de l'album : SAHARA Mizu Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Nachi est collégienne et membre du club de soft-ball. Aux premiers rayons de soleil, toutes ses amies bronzent facilement... tandis qu'elle reste désespérément blanche. Une différence qui la dérange énormément. Mais peut-être sa rencontre avec Utsumi, un camarade du collège, lui permettra-t-elle de s'accepter ? Après tout, le garçon est lui aussi bien différent des autres... Critique : L’histoire commence par une scène d’accouchement, puis les personnages vont faire un retour en arrière de 10 ans pour revenir sur leur histoire d’amour. Nachi est une collégienne qui complexe énormément au sujet de sa peau, elle a beau rester au soleil elle ne bronze jamais, en plus elle ne s’intéresse pas aux histoires d’amour, elle se sent différentes des autres et se posent beaucoup de questions. Heureusement sa grande sœur (qui est en âge de travailler) est à l’écoute. Sa route va croiser celle d’Utsumi, un garçon de son collège, elle va découvrir que lui aussi est différent car il est né avec une petite queue. Les deux adolescents vont éprouver pour la première fois des sentiments envers un autre mais confrontés aux regards des autres, leur histoire va être semée d’embuches. Mizu SAHARA est une autrice au trait reconnaissable, un dessin plein de douceur, découverte en France avec My girl et Le chant des souliers rouges, elle sait dépeindre les sentiments de ses personnages avec justesse sans tomber dans la facilité ni les clichés. Son œuvre est toujours empreinte d’une certaine mélancolie qui fait que parfois, on a l’impression de ne pas avancer dans l’histoire mais qui lui donne toute son originalité. A tail’s tale (littéralement un conte de queue) est une histoire qui s’articule autour de la différence, du regard des autres et de la tolérance. Si Nachi n’est pas toujours la cible des remarques, elle en est témoin, et si parfois, elle est surprise et ne sait comment réagir, elle prend le temps de comprendre avant de juger. A travers cette histoire (série finie en 4 tomes), c’est un appel à la tolérance et à la compréhension que l’on ressent, que ce soit entre lycéens mais aussi dans la vie de tous les jours ; avec les comportements des voisins de la famille d’Utsumi, on voit la critique envers la société nippone, très stricte parfois qui accepte difficilement les différences. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tails-tale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    L'appel des montagnes tome 2

    Après avoir fait leur première marche, les 3 nouvelles recrues du club d’alpinisme sont plus que motivées et décident d’aller faire une excursion pour débutants sans leurs ainés. Si l’ascension se passe bien, elles vont se rendre compte qu’il y a encore des lacunes dans leur équipement et dans leur gestion du temps ; et leurs muscles vont leur faire savoir qu’un entrainement n’est pas superflu ! L’appel des montagnes est comme une bouffée d’air frais, c’est en même temps une comédie avec les aventures de nos 3 débutantes, un guide du randonneur avec les conseils avisés des ainés pour le choix du matériel et les comportements à avoir en montagne et enfin, une invitation au voyage avec une présentation des différentes montagnes du Japon. Soit dit en passant, leurs chemins ont l’air très balisés et aménagés ! Comme les conseils sont donnés au milieu de l’histoire il n’y a pas de lourdeur comme dans un guide, après, il faut quand même avoir un minimum d’intérêt pour ce sujet mais c’est bien fait et les dessins sont superbes.
  18. Titre de l'album : L'appel des montagnes tome 2 Scenariste de l'album : UTSUGI Tetsuo Dessinateur de l'album : UTSUGI Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Kanada, Kusaba et Kuroki sont trois étudiants férus de montagne, mais surtout, les seuls membres du club d'alpinisme de leur université. Il va donc falloir trouver de nouveaux membres, même novices, sinon le club fermera.Heureusement, trois nouvelles recrues se présentent à eux pour découvrir ce sport en pleine nature. Critique : Après avoir fait leur première marche, les 3 nouvelles recrues du club d’alpinisme sont plus que motivées et décident d’aller faire une excursion pour débutants sans leurs ainés. Si l’ascension se passe bien, elles vont se rendre compte qu’il y a encore des lacunes dans leur équipement et dans leur gestion du temps ; et leurs muscles vont leur faire savoir qu’un entrainement n’est pas superflu ! L’appel des montagnes est comme une bouffée d’air frais, c’est en même temps une comédie avec les aventures de nos 3 débutantes, un guide du randonneur avec les conseils avisés des ainés pour le choix du matériel et les comportements à avoir en montagne et enfin, une invitation au voyage avec une présentation des différentes montagnes du Japon. Soit dit en passant, leurs chemins ont l’air très balisés et aménagés ! Comme les conseils sont donnés au milieu de l’histoire il n’y a pas de lourdeur comme dans un guide, après, il faut quand même avoir un minimum d’intérêt pour ce sujet mais c’est bien fait et les dessins sont superbes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-appel-des-montagnes-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Keiji tome 3

    Sur les ordres de leur seigneur le clan des ninjas de Kaga monte une opération pour tuer Keiji. Bien que le seigneur du clan Maeda soit l’oncle de Keiji, il déteste son neveu, ayant réussi à le priver de son titre d’héritier du clan, il ne supporte pas le charisme qu’il dégage et le voit toujours comme une menace. Mais bien qu’alliés avec un tueur légendaire, les ninjas de Kaga échouent encore une fois et perd de nombreux membres. Si d’un côté, on a ce côté aventure autour de la vie mouvementée de Keiji, le manga permet aussi de revenir sur des faits historiques et de mieux comprendre les coutumes de l’époque : les comportements d’un membre du clan peuvent apporter le déshonneur sur le chef du clan et dans le pire des cas, l’obliger à se faire seppuku. Le personnage de Keiji, bien que vivant comme il le souhaite, est quand même freiné par ces liens et ne souhaite pas que cela retombe sur ses proches. Il agit toujours de façon à contourner les règles et en limitant les dégâts (pour le clan car pour les ninjas assassins, il n’y a pas de pitié !). Les combats sont rondement menés et bien exécutés. Keiji est un personnage fascinant, on ne sait jamais comment il va réagir. Quant au graphisme, il est détaillé et on se fait à voir la tête de Ken partout. Un manga d’actions toujours aussi intéressant.
  20. Nickad

    Keiji tome 3

    Titre de l'album : Keiji tome 3 Scenariste de l'album : RUY Keiichirô Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Tout semble se passer pour le mieux entre Keiji et Hotaru, littéralement transformée par la gentillesse de ce dernier. Seulement voilà, Shumé étant prêt à tout pour se débarrasser de Keiji, il fait appel à Kômori, ninja commandant aux chauves-souris qui est accessoirement l'ancien mentor de Hotaru. Un combat terrible s'annonce entre les deux hommes !!!Peu après cet affrontement, Keiji doit faire face à une nouvelle épreuve. En effet, son père adoptif, le respecté seigneur Toshihisa est très affaibli et sent que son heure est proche. La force et le courage de Keiji ne pourront malheureusement pas le sauver mais il pourra néanmoins lui faire un cadeau d'adieu magnifique... Critique : Sur les ordres de leur seigneur le clan des ninjas de Kaga monte une opération pour tuer Keiji. Bien que le seigneur du clan Maeda soit l’oncle de Keiji, il déteste son neveu, ayant réussi à le priver de son titre d’héritier du clan, il ne supporte pas le charisme qu’il dégage et le voit toujours comme une menace. Mais bien qu’alliés avec un tueur légendaire, les ninjas de Kaga échouent encore une fois et perd de nombreux membres. Si d’un côté, on a ce côté aventure autour de la vie mouvementée de Keiji, le manga permet aussi de revenir sur des faits historiques et de mieux comprendre les coutumes de l’époque : les comportements d’un membre du clan peuvent apporter le déshonneur sur le chef du clan et dans le pire des cas, l’obliger à se faire seppuku. Le personnage de Keiji, bien que vivant comme il le souhaite, est quand même freiné par ces liens et ne souhaite pas que cela retombe sur ses proches. Il agit toujours de façon à contourner les règles et en limitant les dégâts (pour le clan car pour les ninjas assassins, il n’y a pas de pitié !). Les combats sont rondement menés et bien exécutés. Keiji est un personnage fascinant, on ne sait jamais comment il va réagir. Quant au graphisme, il est détaillé et on se fait à voir la tête de Ken partout. Un manga d’actions toujours aussi intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Entre les lignes tome 2

    Makio propose à Asa d’aller dans la maison de ses parents pour faire le tri et récupérer les affaires auxquelles elle tient. Asa doit après se rendre à la cérémonie de fin d’études, mais l’information sur le décès de ses parents a fuitée, elle qui voulait vivre cette cérémonie normalement, se retrouve être au centre de l’attention, pour la première fois depuis l’accident, elle se laisse aller à ses sentiments. Entre les lignes est un manga qui prend son temps, le temps pour Asa de faire son deuil, d’y aller à son rythme, le temps pour Makio d’accepter la présence de sa nièce, le temps pour chacune de prendre ses marques et de s’apprivoiser. Le passage dans la maison des parents est particulièrement touchant. Pour avoir déjà été dans un logement où les occupants étaient partis du jour au lendemain en laissant tout en plan, j’ai trouvé ça très réaliste, se rendre compte que le temps a été suspendu et qu’il ne reprendra jamais. Les relations entre les deux femmes sont intéressantes car même si elles sont de la même famille, elles sont presque des inconnues. Et le fait que Makio détestait sa sœur propose une approche originale, peut-on aimer l’enfant de quelqu’un qu’on exécrait ? Je trouve juste que le trait est un peu léger parfois mais c’est une histoire à découvrir.
  22. Titre de l'album : Entre les lignes tome 2 Scenariste de l'album : YAMASHITA Tomoko Dessinateur de l'album : YAMASHITA Tomoko Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : À 15 ans, Asa perd ses parents dans un accident de voiture. Elle est recueillie par sa tante Makio, 35 ans, sœur cadette de sa mère. Makio est autrice de romans pour adolescentes, mais elle vit plutôt en recluse, car elle n'est pas à l'aise en société. L'arrivée d'Asa va bouleverser la vie des deux femmes. Asa découvre soudain le monde hors de son cocon familial et n'est pas habituée à quelqu'un comme sa tante, qui lui parle avec autant de franchise, quoique souvent avec maladresse. Makio, de son côté, n'est pas familière d'une cohabitation avec quelqu'un à qui il faut montrer la voie. Chacune va ainsi devoir faire un travail sur soi. L'une pour faire le deuil de ses parents disparus trop soudainement et s'ouvrir au monde. L'autre pour accepter la présence d'une autre personne dans son quotidien et approfondir la question du sens de la famille et des liens qu'elle induit et des sentiments qui s'y rattachent. Critique : Makio propose à Asa d’aller dans la maison de ses parents pour faire le tri et récupérer les affaires auxquelles elle tient. Asa doit après se rendre à la cérémonie de fin d’études, mais l’information sur le décès de ses parents a fuitée, elle qui voulait vivre cette cérémonie normalement, se retrouve être au centre de l’attention, pour la première fois depuis l’accident, elle se laisse aller à ses sentiments. Entre les lignes est un manga qui prend son temps, le temps pour Asa de faire son deuil, d’y aller à son rythme, le temps pour Makio d’accepter la présence de sa nièce, le temps pour chacune de prendre ses marques et de s’apprivoiser. Le passage dans la maison des parents est particulièrement touchant. Pour avoir déjà été dans un logement où les occupants étaient partis du jour au lendemain en laissant tout en plan, j’ai trouvé ça très réaliste, se rendre compte que le temps a été suspendu et qu’il ne reprendra jamais. Les relations entre les deux femmes sont intéressantes car même si elles sont de la même famille, elles sont presque des inconnues. Et le fait que Makio détestait sa sœur propose une approche originale, peut-on aimer l’enfant de quelqu’un qu’on exécrait ? Je trouve juste que le trait est un peu léger parfois mais c’est une histoire à découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-les-lignes-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Butterfly beast tomes 1 et 2 (fin)

    Au début de l’ère Edo, à la fin du moyen-âge, le Japon profite d’une période un peu plus paisible, les shinobis (ou ninjas si vous préférez) non plus lieu d’être (c’était surtout des espions et assassins de l’ombre). Si certains ont été embauchés par le nouveau gouvernement, que d’autres ont changé de métier, nombreux sont ceux qui n’ont pas trouvé leur place, et ont mis leurs capacités au service du mal. Devenus, brigands, voleurs ou assassins, ce sont à présent des nuisibles pour la société. Pour s’en débarrasser, l’état fait appel à d’ancien shinobis surnommés « les chasseurs ». Ochô est l’une d’entre eux, et se cache derrière une activité de courtisane. Butterfly beast est l’histoire de son nouveau quotidien. Mangetsu poursuit ses mangas historico-romancés, s’appuyant sur des faits réels, ils permettent de mettre en lumière certains aspects méconnus (surtout pour les occidentaux) de l’histoire du Japon. Si les shinobis fascinent les enfants, c’est sans doute pour le côté mystérieux et leur grande capacité physique, (et peut-être aussi à cause de ninjago), mais la réalité n’est pas aussi rose. Un shinobi est dévoué à son maître, quand il n’en a plus c’est tout son clan qui s’effondre. En plus de cela, la formation commence dès l’enfance et est très rude. Le 1er tome de ce dytique est composé de plusieurs petites histoires autour d’Ochô et de son rôle de chasseuse. Le 2eme nous propose une histoire unique autour de son passé et des conflits politiques. Si la fin nous laisse un peu en suspens c’est que l’auteur a changé de maison d’édition. Une suite « butterfly beast 2 » composé de 5 volumes existe et sera publiée par Mangetsu. Le manga dispose d’un dessin très fin, raffiné et rempli de détails qui nous plonge bien dans cette période historique et dans l’ambiance des quartiers de plaisir où se déroule l’action. Le sujet est intéressant et, à ma connaissance, inédit. A découvrir. PS : Par rapport au résumé Ochô est son nom de kunoichi et Kochô son nom de courtisane mais c'est la même personne
  24. Titre de l'album : Butterfly beast tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : NAGATE Yuka Dessinateur de l'album : NAGATE Yuka Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : 1635, en plein cœur de l'ère Edo. Kochô, femme de plaisir, est particulièrement reconnue dans le célèbre quartier de Yoshiwara, haut lieu des plaisirs de la chair de la capitale nippone. Ce que ses clients ne savent pas, c'est que Kochô est également une kunoichi (une shinobi) et poursuit une quête de vengeance qui devrait les pousser à revoir leurs manières et à ne pas lui confier trop de secrets sur l'oreiller. Suivez la passionnante Kochô dans cette double vie sulfureuse, au fil des planches et du scénario magnifiques de Yuka Nagate. Critique : Au début de l’ère Edo, à la fin du moyen-âge, le Japon profite d’une période un peu plus paisible, les shinobis (ou ninjas si vous préférez) non plus lieu d’être (c’était surtout des espions et assassins de l’ombre). Si certains ont été embauchés par le nouveau gouvernement, que d’autres ont changé de métier, nombreux sont ceux qui n’ont pas trouvé leur place, et ont mis leurs capacités au service du mal. Devenus, brigands, voleurs ou assassins, ce sont à présent des nuisibles pour la société. Pour s’en débarrasser, l’état fait appel à d’ancien shinobis surnommés « les chasseurs ». Ochô est l’une d’entre eux, et se cache derrière une activité de courtisane. Butterfly beast est l’histoire de son nouveau quotidien. Mangetsu poursuit ses mangas historico-romancés, s’appuyant sur des faits réels, ils permettent de mettre en lumière certains aspects méconnus (surtout pour les occidentaux) de l’histoire du Japon. Si les shinobis fascinent les enfants, c’est sans doute pour le côté mystérieux et leur grande capacité physique, (et peut-être aussi à cause de ninjago), mais la réalité n’est pas aussi rose. Un shinobi est dévoué à son maître, quand il n’en a plus c’est tout son clan qui s’effondre. En plus de cela, la formation commence dès l’enfance et est très rude. Le 1er tome de ce dytique est composé de plusieurs petites histoires autour d’Ochô et de son rôle de chasseuse. Le 2eme nous propose une histoire unique autour de son passé et des conflits politiques. Si la fin nous laisse un peu en suspens c’est que l’auteur a changé de maison d’édition. Une suite « butterfly beast 2 » composé de 5 volumes existe et sera publiée par Mangetsu. Le manga dispose d’un dessin très fin, raffiné et rempli de détails qui nous plonge bien dans cette période historique et dans l’ambiance des quartiers de plaisir où se déroule l’action. Le sujet est intéressant et, à ma connaissance, inédit. A découvrir. PS : Par rapport au résumé Ochô est son nom de kunoichi et Kochô son nom de courtisane mais c'est la même personne Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butterfly-beast-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Love fragrance tome 4

    Asako et Kôtaro ont fini leur voyage à Sapporo, chacun ayant de plus en plus de mal à se séparer de l’autre. C’est à ce moment que Kôtaro reçoit un document pour renouveler le bail de son appartement ; une réflexion en amenant une autre, il demande à Asako si elle ne veut pas emménager avec lui. La jeune femme, prise au dépourvue, ne lui répond pas tout de suite, Kôtaro se demande alors s’il n’a pas fait d’impair et décide d’en parler avec des collègues. Ce tome aborde un point important dans une relation de couple : la vie à deux. Si la demande de Kôtaro était un peu précipitée, la réflexion qui suit, que ce soit par rapport au fait de vivre ensemble, de la façon dont sa demande a pu être perçue, ou de choisir un appartement, est approfondie et intéressante. Nos deux tourtereaux se font une réunion de concertation, sur ce qu’ils attendent, sur les points qui sont importants pour eux dans le fonctionnement (organisation de la salle de bain, fréquence des lessives, répartition des taches…). Par ailleurs, il y a aussi toute une démarche pour en parler aux proches afin qu’ils acceptent la situation (pour rappel, la société nippone est plus conservatrice que la nôtre sur ce sujet et avoir l’accord des parents est limite indispensable). Le manga est toujours aussi agréable à lire et sait se renouveler ; quant au concept des odeurs, il apparait de temps en temps seulement ce qui évite de tomber dans l’humour lourd.
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