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  1. Nickad

    Tezucomi tome 2

    Deuxième volume de la compilation Tezucomi, hommage fait à Osamu Tezuka par des auteurs du monde entier. Ce volume regroupe 9 travaux revisitant les œuvres emblématiques du maitre ; par exemple Matthieu Bablet reprend métropolis, Kenny Ruiz la légende de Songoku, Mig unico… Si Tezucomi est surtout destiné aux amateurs de Tezuka, il peut aussi permettre à ceux qui ne connaissent pas son œuvre, de découvrir la palette importante des sujets et univers abordés et peut donner l’envie d’aller voir de plus près les œuvres originales, surtout qu’une grande partie a été (ré)édité en France. Ce qui est intéressant aussi c’est la courte interview des auteurs qui ont participé au projet, on se rend compte à quel point Osamu Tezuka a eu une influence dans le monde entier, même si certains l’ont découvert au travers des adaptations en dessins animés. Encore une fois, les reprises sont plus ou moins intéressantes, si certains auteurs nous proposent une nouvelle complète, il est dommage, pour les autres qu’elles soient incomplètes ; d’autant plus, qu’il n’y a aucune information pour savoir si l’essai s’arrête là ou existe en volume complet ailleurs.
  2. Nickad

    Tezucomi tome 2

    Titre de l'album : Tezucomi tome 2 Scenariste de l'album : Divers Dessinateur de l'album : Divers Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le concept du Tezucomi est simple : des auteurs et illustrateurs du monde entier choisissent leur œuvre préférée du maître et produisent un chapitre spin-off, mélangeant habilement leur sensibilité à celle du Dieu du manga. Un hommage particulièrement émouvant pour toutes les générations bercées (trop près des cases) par Tezuka ! Critique : Deuxième volume de la compilation Tezucomi, hommage fait à Osamu Tezuka par des auteurs du monde entier. Ce volume regroupe 9 travaux revisitant les œuvres emblématiques du maitre ; par exemple Matthieu Bablet reprend métropolis, Kenny Ruiz la légende de Songoku, Mig unico… Si Tezucomi est surtout destiné aux amateurs de Tezuka, il peut aussi permettre à ceux qui ne connaissent pas son œuvre, de découvrir la palette importante des sujets et univers abordés et peut donner l’envie d’aller voir de plus près les œuvres originales, surtout qu’une grande partie a été (ré)édité en France. Ce qui est intéressant aussi c’est la courte interview des auteurs qui ont participé au projet, on se rend compte à quel point Osamu Tezuka a eu une influence dans le monde entier, même si certains l’ont découvert au travers des adaptations en dessins animés. Encore une fois, les reprises sont plus ou moins intéressantes, si certains auteurs nous proposent une nouvelle complète, il est dommage, pour les autres qu’elles soient incomplètes ; d’autant plus, qu’il n’y a aucune information pour savoir si l’essai s’arrête là ou existe en volume complet ailleurs. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tezucomi-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Gantz : E tome 1

    Gantz : E est un nouveau spin-off de la série Gantz, cette fois l’histoire se déroule au Japon de l’ère Edo, en pleine période de shogun et samouraïs. Le principe de l’histoire reste le même, des personnages décédés se retrouvent dans une pièce qui ressemble à un temple, en présence de la fameuse boule noire et doivent aller éliminer la cible désignée dans le temps imparti. Les deux personnages principaux sont deux jeunes paysans, Hanbe épris de sumo qui aime se mesurer aux autres et Masakichi, le « beau gosse », qui sait manier le sabre malgré son statut. Le premier tome est sans surprise ou presque, après une courte introduction sur le décès des deux garçons, on passe très vite à la première mission où ils vont découvrir l’univers de gantz, le reste du volume n’étant que du combat. La seule surprise c’est que la sphère met à leur disposition des armes ultra modernes comme des fusils ce qui augmente l’incompréhension des personnages. On retrouve Hiroya OKU au scénario mais on change de dessinateur, si le style des personnages reste proche, tous les arrières plans extérieurs sont des photos, c’est déjà un reproche qui avait été fait à Oku dans son manga gigant. Il faut un peu de temps pour s’habituer et parfois, cela manque de naturel. Côté scénario, il va falloir attendre la suite car pour le moment, il ne semble n’y avoir rien d’original par rapport aux opus précédents.
  4. Nickad

    Gantz : E tome 1

    Titre de l'album : Gantz : E tome 1 Scenariste de l'album : OKU Hiroya Dessinateur de l'album : KAGETSU Jin Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hanbe, un paysan, demande O-Haru en mariage, mais celle-ci lui répond qu'elle en aime un autre, Masakichi. Hanbe rencontre Masakichi et découvre qu'il sait magner le sabre malgré sa condition de paysan. Alors qu'ils s'affrontent, une jeune fille se noie. Les deux hommes meurent en tentant de la sauver. Ils se retrouvent alors dans une salle Gantz. Critique : Gantz : E est un nouveau spin-off de la série Gantz, cette fois l’histoire se déroule au Japon de l’ère Edo, en pleine période de shogun et samouraïs. Le principe de l’histoire reste le même, des personnages décédés se retrouvent dans une pièce qui ressemble à un temple, en présence de la fameuse boule noire et doivent aller éliminer la cible désignée dans le temps imparti. Les deux personnages principaux sont deux jeunes paysans, Hanbe épris de sumo qui aime se mesurer aux autres et Masakichi, le « beau gosse », qui sait manier le sabre malgré son statut. Le premier tome est sans surprise ou presque, après une courte introduction sur le décès des deux garçons, on passe très vite à la première mission où ils vont découvrir l’univers de gantz, le reste du volume n’étant que du combat. La seule surprise c’est que la sphère met à leur disposition des armes ultra modernes comme des fusils ce qui augmente l’incompréhension des personnages. On retrouve Hiroya OKU au scénario mais on change de dessinateur, si le style des personnages reste proche, tous les arrières plans extérieurs sont des photos, c’est déjà un reproche qui avait été fait à Oku dans son manga gigant. Il faut un peu de temps pour s’habituer et parfois, cela manque de naturel. Côté scénario, il va falloir attendre la suite car pour le moment, il ne semble n’y avoir rien d’original par rapport aux opus précédents. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gantz-e-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Le lien du destin tome 1

    Ars fait partie d’une espèce appelée vinculum, d’apparence humaine, les vinculum auraient des pouvoirs spéciaux et sont rejetés par les humains. Un jour il va croiser la route d’un cirque possédant une marionnette géante « Sophia », Ars dit qu’il a entendu la voix de Sophia qui voudrait rentrer chez elle. Etant seul au monde et n’ayant plus gout à la vie, il va décider d’accompagner Sophia pour exaucer son vœu. Ce premier tome m’a un peu déroutée, l’auteur ne s’appesantit pas vraiment sur les personnages ni sur le contexte historique, on a le début de beaucoup de choses et pour le moment, peu de réponses : à peine une explication sur ce que sont les vinculums et rien sur Sophia ! L’histoire se passe dans une époque médiévale, les décors sont plutôt bien faits, le dessin est honorable. Mais il manque quelque chose : les personnages ne sont pas attachants et même si on voudrait en apprendre plus sur Sophia, elle reste une marionnette qui (pour le moment) ne montre pas grand-chose et est plutôt froide. Alors oui, on soupçonne un plaidoyer sur l’acceptation des différences, sur l’oppression des minorités… mais on a déjà vu plus engagé et plus fort ailleurs ! Au bout du compte, il n’y a pas grand-chose dans ce 1er tome, il ne m’a pas convaincue et il va falloir autre chose dans l’histoire pour me donner envie de poursuivre.
  6. Titre de l'album : Le lien du destin tome 1 Scenariste de l'album : YAMADA Rei Dessinateur de l'album : YAMADA Rei Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Ars, un jeune homme solitaire, est surnommé “l’apôtre des calamités”. Il est un vinculum, un descendant des hommes dont les pouvoirs seraient diaboliques. Rejeté de tous, il vit en conservant la bague que lui a confiée Emilia, son amie disparue, et en respectant sa dernière volonté : de croire au destin d’une prochaine rencontre et de tout faire pour la protéger. Alors que le désespoir le gagne, il fait la connaissance d’une marionnette géante qui veut retourner dans son pays. Un lien indéfectible s’installe alors entre eux et une aventure fascinante débute, un cadeau du destin, comme le souhaitait Emilia… Critique : Ars fait partie d’une espèce appelée vinculum, d’apparence humaine, les vinculum auraient des pouvoirs spéciaux et sont rejetés par les humains. Un jour il va croiser la route d’un cirque possédant une marionnette géante « Sophia », Ars dit qu’il a entendu la voix de Sophia qui voudrait rentrer chez elle. Etant seul au monde et n’ayant plus gout à la vie, il va décider d’accompagner Sophia pour exaucer son vœu. Ce premier tome m’a un peu déroutée, l’auteur ne s’appesantit pas vraiment sur les personnages ni sur le contexte historique, on a le début de beaucoup de choses et pour le moment, peu de réponses : à peine une explication sur ce que sont les vinculums et rien sur Sophia ! L’histoire se passe dans une époque médiévale, les décors sont plutôt bien faits, le dessin est honorable. Mais il manque quelque chose : les personnages ne sont pas attachants et même si on voudrait en apprendre plus sur Sophia, elle reste une marionnette qui (pour le moment) ne montre pas grand-chose et est plutôt froide. Alors oui, on soupçonne un plaidoyer sur l’acceptation des différences, sur l’oppression des minorités… mais on a déjà vu plus engagé et plus fort ailleurs ! Au bout du compte, il n’y a pas grand-chose dans ce 1er tome, il ne m’a pas convaincue et il va falloir autre chose dans l’histoire pour me donner envie de poursuivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-lien-du-destin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Fragments d'elles tome 1

    Suite à un accident, Yusuke, un jeune travailleur, se remémore les rencontres amoureuses de sa courte vie en commençant par le collège. Il se rappelle de ses rencontres, de ses ruptures mais surtout de ses comportements et de ses maladresses. Au premier abord, on pourrait penser que ce livre parle d’une relation amoureuse et tiendrait plus du shojo mais bien qu’il parle d’amour, il ne se contente pas que de ça. Publié dans un magazine shonen puisque le personnage principal (qui est aussi le narrateur) est un homme, il a été classé par l’éditeur en seinen. L’histoire a une vraie profondeur, elle se déroule dans plusieurs temporalités : celle où Yusuke, adulte, a eu son accident et celles de ses souvenirs. Cherchant à savoir qui de ses ex l’a aidé après l’accident, il va revenir sur chacune de ses relations. On voit ainsi celui qu’il était à l’époque, avec l’impatience de la jeunesse, son manque d’assurance et son comportement dicté par le regard de ses copains et puis, il y a l’analyse de l’adulte qui s’attarde sur son immaturité, qui revient sur ses erreurs et sur la façon dont il a blessé ses copines. Cette introspection va lui permettre de comprendre et aussi d’avancer. J’aime que l’auteur ait choisi un personnage principal masculin qui parle d’amour et qui ose se remettre en question. Les situations sont parfois cruelles mais réalistes, les sentiments sont justes et le graphisme, sous des airs de shojo, est détaillé et rend bien toute la sensibilité des personnages. Un premier volume intéressant pour une série finie en 7 tomes.
  8. Titre de l'album : Fragments d'elles tome 1 Scenariste de l'album : HSU Mag Dessinateur de l'album : EMOTO Nao Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : Alors qu'il rentre du travail, Yusuke est victime d'un accident de scooter en croisant une jeune femme qui lui rappelle subitement un amour de jeunesse... À son réveil sur son lit d'hôpital, il met tout en oeuvre pour retrouver cette fille qui a prévenu les secours. Mais troublé de ne pas pouvoir mettre de nom sur son visage, il rassemble les souvenirs de ses rencontres amoureuses et se remémore avec douleur chacun de ses actes manqués, chacune de ses ruptures. Un retour dans le passé qui le ramène au collège lorsqu'il aborde la timide Nobuta... Critique : Suite à un accident, Yusuke, un jeune travailleur, se remémore les rencontres amoureuses de sa courte vie en commençant par le collège. Il se rappelle de ses rencontres, de ses ruptures mais surtout de ses comportements et de ses maladresses. Au premier abord, on pourrait penser que ce livre parle d’une relation amoureuse et tiendrait plus du shojo mais bien qu’il parle d’amour, il ne se contente pas que de ça. Publié dans un magazine shonen puisque le personnage principal (qui est aussi le narrateur) est un homme, il a été classé par l’éditeur en seinen. L’histoire a une vraie profondeur, elle se déroule dans plusieurs temporalités : celle où Yusuke, adulte, a eu son accident et celles de ses souvenirs. Cherchant à savoir qui de ses ex l’a aidé après l’accident, il va revenir sur chacune de ses relations. On voit ainsi celui qu’il était à l’époque, avec l’impatience de la jeunesse, son manque d’assurance et son comportement dicté par le regard de ses copains et puis, il y a l’analyse de l’adulte qui s’attarde sur son immaturité, qui revient sur ses erreurs et sur la façon dont il a blessé ses copines. Cette introspection va lui permettre de comprendre et aussi d’avancer. J’aime que l’auteur ait choisi un personnage principal masculin qui parle d’amour et qui ose se remettre en question. Les situations sont parfois cruelles mais réalistes, les sentiments sont justes et le graphisme, sous des airs de shojo, est détaillé et rend bien toute la sensibilité des personnages. Un premier volume intéressant pour une série finie en 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fragments-d-elles-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Corps solitaires tome 4

    Michi et Niina se laissent aller à leurs sentiments et envies mais au moment de passer à l’acte, c’est l’image de son mari que Michi a en tête. Elle ne s’y attendait pas et comprend qu’elle éprouve encore des sentiments pour Yôichi. Elle décide donc de prendre de la distance avec Niina pour pouvoir faire un point sur son mariage et sur ce qu’elle désire vraiment. De son côté, Niina dévoile à sa femme son « mécontentement » et lui demande ce qu’ils font encore ensemble, cela permet à son épouse d’avoir un début de prise de conscience. C’est le premier tome de la série où il y a un peu de positif et où les différents conjoints décident de faire des efforts pour l’autre. Peut-être un début de réconciliation pour les Yoshino… Comme d’habitude, il y a une vraie justesse dans les personnages et leurs sentiments, il n’y a pas de coupable, et on se rend à nouveau compte que sans communication, l’autre ne peut pas deviner ce que l’on pense et ce qu’on ressent. Une série avec beaucoup de sensibilité qui mérite d’être lue.
  10. Titre de l'album : Corps solitaires tome 4 Scenariste de l'album : HARUNO Haru Dessinateur de l'album : HARUNO Haru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Michi a 32 ans. Sa relation avec son mari n'est pas mauvaise mais une seule chose fait défaut : cela fait 2 ans qu'ils n'ont plus de relations sexuelles. Lors d'une soirée entre collègues, elle se confie à l'un deux. Makoto a le même problème mais c'est sa femme qui ne semble plus avoir de désir pour lui... Pouvoir en parler permet à Michi de reprendre espoir et de se lancer dans la reconquête de son mari... Critique : Michi et Niina se laissent aller à leurs sentiments et envies mais au moment de passer à l’acte, c’est l’image de son mari que Michi a en tête. Elle ne s’y attendait pas et comprend qu’elle éprouve encore des sentiments pour Yôichi. Elle décide donc de prendre de la distance avec Niina pour pouvoir faire un point sur son mariage et sur ce qu’elle désire vraiment. De son côté, Niina dévoile à sa femme son « mécontentement » et lui demande ce qu’ils font encore ensemble, cela permet à son épouse d’avoir un début de prise de conscience. C’est le premier tome de la série où il y a un peu de positif et où les différents conjoints décident de faire des efforts pour l’autre. Peut-être un début de réconciliation pour les Yoshino… Comme d’habitude, il y a une vraie justesse dans les personnages et leurs sentiments, il n’y a pas de coupable, et on se rend à nouveau compte que sans communication, l’autre ne peut pas deviner ce que l’on pense et ce qu’on ressent. Une série avec beaucoup de sensibilité qui mérite d’être lue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corps-solitaires-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    L'école emportée tome 1

    Une école primaire et maternelle où étudient plus de 800 enfants, se retrouve en un instant coupée du reste du monde. Il n’y a plus rien autour, tout a disparu, pas le moindre signe de vie, et tous les moyens de communication sont coupés. La panique s’installe, les maitres doivent garder leur calme et gérer les enfants, mais si les grands sont en âge de comprendre il n’en est pas de même pour les autres et quand ils comprennent qu’il n’y aura pas assez de nourriture si les secours ne viennent pas, cela devient catastrophique. L’école emportée va fêter ses 50 ans en 2022, déjà publié en France en 2004, il n’a rien perdu de son intérêt. Son auteur Kazuo UMEZU (ou UMEZZ) est le mangaka qui a inventé le genre du manga d’horreur, il a d’ailleurs inspiré Junji Ito et l’école emportée est son œuvre la plus connue en France ; la série est finie en 6 tomes. Si l’histoire commence par une dispute entre un fils et sa mère, fils qui est d’ailleurs le narrateur, ce n’est pas l’événement fantastique qui est mis en avant mais la montée des tensions et de l’angoisse. Au fur à mesure des découvertes et des spéculations sur ce qui s’est passé, les différents personnages vont adopter des comportements différents et ce ne sont pas forcément les adultes qui vont montrer l’exemple ! Le découpage des cases est plutôt classique (il date de 1972 !!) mais le style très particulier de Umezu est très travaillé et nous plonge dans l’ambiance. Un manga qui mérite votre attention ! Et pour ceux qui ne seraient pas friands d’horreur, sachez que celui-ci joue plus sur l’angoisse et la psychologie.
  12. Titre de l'album : L'école emportée tome 1 Scenariste de l'album : UMEZU Kazuo Dessinateur de l'album : UMEZU Kazuo Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Le retour du maître de l'horreur ! Le manga le plus célèbre de Kazuo Umezz narre la disparition brutale d'une école primaire et de tous ses occupants, mystérieusement projetés dans un monde désertique, dépourvu de vie, où le sable dispute à un ciel aux brumes obscures les limites incertaines de l'horizon noir. Complètement dépassés par la situation, les adultes chargés de la protection des enfants vont se révéler incapables d'assurer leur rôle. Désemparés et à court de repères, les enfants parviendront-ils à survivre à ces angoisses circonstances ? Critique : Une école primaire et maternelle où étudient plus de 800 enfants, se retrouve en un instant coupée du reste du monde. Il n’y a plus rien autour, tout a disparu, pas le moindre signe de vie, et tous les moyens de communication sont coupés. La panique s’installe, les maitres doivent garder leur calme et gérer les enfants, mais si les grands sont en âge de comprendre il n’en est pas de même pour les autres et quand ils comprennent qu’il n’y aura pas assez de nourriture si les secours ne viennent pas, cela devient catastrophique. L’école emportée va fêter ses 50 ans en 2022, déjà publié en France en 2004, il n’a rien perdu de son intérêt. Son auteur Kazuo UMEZU (ou UMEZZ) est le mangaka qui a inventé le genre du manga d’horreur, il a d’ailleurs inspiré Junji Ito et l’école emportée est son œuvre la plus connue en France ; la série est finie en 6 tomes. Si l’histoire commence par une dispute entre un fils et sa mère, fils qui est d’ailleurs le narrateur, ce n’est pas l’événement fantastique qui est mis en avant mais la montée des tensions et de l’angoisse. Au fur à mesure des découvertes et des spéculations sur ce qui s’est passé, les différents personnages vont adopter des comportements différents et ce ne sont pas forcément les adultes qui vont montrer l’exemple ! Le découpage des cases est plutôt classique (il date de 1972 !!) mais le style très particulier de Umezu est très travaillé et nous plonge dans l’ambiance. Un manga qui mérite votre attention ! Et pour ceux qui ne seraient pas friands d’horreur, sachez que celui-ci joue plus sur l’angoisse et la psychologie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ecole-emportee-edition-originale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Lonely world tome 1

    Une petite fille Shii se réveille dans un monde peuplé de robots, elle ne sait pas ce qu’elle fait là et semble avoir perdu la mémoire. Pire, elle est poursuivie par certains golems qu’elle a surnommé les cônes. Heureusement, un autre robot vient à son secours et va l’aider. Je n’ai pas été tellement emballée par ce manga, d’abord parce que le duo petite fille seule et être non humain a déjà eu son lot d’œuvres et le duo humain/robot aussi. Car il ne faut pas se tromper, ici, les « golems » sont juste des robots avec des fonctions plus ou moins autonomes comme on a pu les voir dans heart gear ou terrarium. Donc de ce côté-là, il n’y a pas trop d’originalité. Le graphisme est inégal, tantôt très travaillé avec de nombreux détails, tantôt un peu survolé sans trop d’arrière-plan. Même si on a quelques interrogations concernant l’identité de Shii et de ce qu’il est advenu de la race humaine, le scénario n’est pas assez rempli pour nous tenir en haleine et nous donner envie d’aller plus loin. Un manga qui a toutes ses preuves à faire !
  14. Titre de l'album : Lonely world tome 1 Scenariste de l'album : IWATOBI Neko Dessinateur de l'album : IWATOBI Neko Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Les golems sont des robots autonomes, créés pour remplir toutes les fonctions nécessaires à la société. Même en l'absence d'humains, ils continuent leur travail inlassablement... Shii, une petite fille, erre seule dans une ville remplie de ces machines, où d'effrayants «cônes» la poursuivent sans qu'elle sache pourquoi. Dans sa fuite, elle ne croise aucun autre représentant de son espèce. Seuls des golems la fixent en silence... Alors qu'elle est sur le point d'être capturée, l'un d'entre eux, Bulb, lui porte secours et l'invite à le suivre chez son maître. Or, celui-ci est décédé depuis longtemps... mais le robot n'en a pas conscience. Et lorsque Shii le lui apprend, il enclenche le mode auto-destruction ! La fillette panique. Cet automate est son unique soutien depuis qu'elle s'est réveillée le jour même, sans mémoire ni repère... Elle le convainc d'accepter une nouvelle mission : la protéger, elle, la dernière humaine ! Avec son aide, elle devra se faire une place dans ce monde étrange et résoudre le mystère de la disparition de ses créateurs... Entrez dans l'univers à la fois poétique et inquiétant de Lonely World, où l'humanité a repoussé trop loin les limites de la science... Critique : Une petite fille Shii se réveille dans un monde peuplé de robots, elle ne sait pas ce qu’elle fait là et semble avoir perdu la mémoire. Pire, elle est poursuivie par certains golems qu’elle a surnommé les cônes. Heureusement, un autre robot vient à son secours et va l’aider. Je n’ai pas été tellement emballée par ce manga, d’abord parce que le duo petite fille seule et être non humain a déjà eu son lot d’œuvres et le duo humain/robot aussi. Car il ne faut pas se tromper, ici, les « golems » sont juste des robots avec des fonctions plus ou moins autonomes comme on a pu les voir dans heart gear ou terrarium. Donc de ce côté-là, il n’y a pas trop d’originalité. Le graphisme est inégal, tantôt très travaillé avec de nombreux détails, tantôt un peu survolé sans trop d’arrière-plan. Même si on a quelques interrogations concernant l’identité de Shii et de ce qu’il est advenu de la race humaine, le scénario n’est pas assez rempli pour nous tenir en haleine et nous donner envie d’aller plus loin. Un manga qui a toutes ses preuves à faire ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lonely-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Elio le fugitif tomes 1 et 2

    C’est le premier manga que je lis qui se déroule en Espagne pendant l’époque Moyenâgeuse dans ce qui était appelé le royaume de Castille. Elio a fini par être libéré de prison après avoir battu 1000 autres détenus en combat, il sauve une jeune fille condamnée à tort et doivent fuir tous les deux. Au cours de leur périple, ils vont trouver des alliés et comprendre aussi pourquoi ils sont à ce point pourchassés. Ce manga sous des couverts d’ambiance historique n’en ait pas vraiment un, les personnages et certains lieux sont fictifs. Nos héros se retrouvent plongés dans des luttes de pouvoir. Ce qui est intéressant quoi que peu développé, c’est le régime très strict de l’époque et la place de la religion, on est quand même en pleine Inquisition. Ensuite, c’est surtout un manga d’action où les combats semblent constituer l’élément principal. Soulignons le graphisme du manga avec ses dessins précis et décors détaillés, attention toutefois, il y a des scènes très violentes (des têtes tranchées par exemple). Pour le moment, le manga est dynamique, ne comprend quasiment que de l’action et on espère que cela ne se limitera pas qu’à ça, on aimerait en apprendre un peu plus sur le passé d’Elio.
  16. Titre de l'album : Elio le fugitif tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : HOSOKAWA Masami Dessinateur de l'album : HOSOKAWA Masami Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Combats sanglants pour la couronne de Castille !Libéré de la sordide prison de Hell Dorado après y avoir vaincu mille prisonniers en combat singulier, Elio sauve Lara, une jeune fille de la noblesse sur le point d'être exécutée. Tous les deux partent en cavale, sans se douter que les origines cachées de Lara vont chambouler leur destin... Pour survivre, Elio doit fuir ! Le royaume de Castille, dans l'Espagne du XIVe siècle, théâtre d'un drame historique où combats et complots font rage !! Masami Hosokawa est un auteur déjà bien confirmé au Japon mais traitait jusque-là de thématiques furyo ou baseball. Pour sa première incursion dans un univers européen, il réussit le pari d'installer Elio, un personnage principal dans les codes du shônen dans une Castille médiévale où les moeurs sont bien différentes... De belles scènes d'actions et des personnages hauts en couleurs vous feront voyager en compagnie d'Elio et Lara dans cette série en 5 volumes. Critique : C’est le premier manga que je lis qui se déroule en Espagne pendant l’époque Moyenâgeuse dans ce qui était appelé le royaume de Castille. Elio a fini par être libéré de prison après avoir battu 1000 autres détenus en combat, il sauve une jeune fille condamnée à tort et doivent fuir tous les deux. Au cours de leur périple, ils vont trouver des alliés et comprendre aussi pourquoi ils sont à ce point pourchassés. Ce manga sous des couverts d’ambiance historique n’en ait pas vraiment un, les personnages et certains lieux sont fictifs. Nos héros se retrouvent plongés dans des luttes de pouvoir. Ce qui est intéressant quoi que peu développé, c’est le régime très strict de l’époque et la place de la religion, on est quand même en pleine Inquisition. Ensuite, c’est surtout un manga d’action où les combats semblent constituer l’élément principal. Soulignons le graphisme du manga avec ses dessins précis et décors détaillés, attention toutefois, il y a des scènes très violentes (des têtes tranchées par exemple). Pour le moment, le manga est dynamique, ne comprend quasiment que de l’action et on espère que cela ne se limitera pas qu’à ça, on aimerait en apprendre un peu plus sur le passé d’Elio. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elio-le-fugitif-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Summer of Lave

    Kanematsu est une petite ville au pied d’une montagne, il ne s’y passe pas grand-chose et la population décroit. Mais un jour, leur montagne se met à cracher de la fumée, les habitants découvrent qu’il s’agit d’un volcan, l’éruption est bénigne et le volcan ne rejette que des cendres. Sakurajima et Toyama, deux amis lycéens, rentrent chez eux, Toyama découvre qu’une source d’eau chaude est apparue dans son salon. Deux ans plus tard, la ville s’est transformée, elle est devenue une station thermale pleine de touristes. Toyama est blasé, regrette le calme de la bourgade et Sakurajima, lui, y voit l’occasion de s’éclater, de se faire remarquer, de devenir cool ! Les deux amis vont s’éloigner petit à petit, vivre des aventures, parfois loufoques, puis se retrouver. Summer of lave est le nom qui va être donné au premier festival de Kanematsu, fêtant l’éruption du volcan et l’arrivée des sources thermales. Le manga parle d’amitié mais surtout de deux attitudes de cette jeunesse, celui qui souhaite vivre à fond mais qui galère malgré tous ses efforts et celui, pour qui tout va bien en apparence mais qui ne trouve pas sa place. Une jeunesse désabusée qui ne se satisfait pas de ce qu’ils ont et cherchent leur place dans la société. Et puis il y a toute l’effervescence autour de la transformation de la ville qui est originale et sympathique. Un bon one shot.
  18. Nickad

    Summer of Lave

    Titre de l'album : Summer of Lave Scenariste de l'album : SHINZO Keigo Dessinateur de l'album : SHINZO Keigo Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Une éruption volcanique transforme une paisible bourgade en station thermale envahie de touristes. Ce bouleversement provoque l'éloignement de deux amis, avant inséparables. Peut-on être en colère quand tous les désirs semblent comblés ? La joie est-elle sincère quand la fête et le bonheur deviennent des enjeux marchands ? Deuxième livre de Keigo Shinzô publié au Japon, Summer of Lave pose un regard tendre et amusé sur une jeunesse en mal de rébellion. Critique : Kanematsu est une petite ville au pied d’une montagne, il ne s’y passe pas grand-chose et la population décroit. Mais un jour, leur montagne se met à cracher de la fumée, les habitants découvrent qu’il s’agit d’un volcan, l’éruption est bénigne et le volcan ne rejette que des cendres. Sakurajima et Toyama, deux amis lycéens, rentrent chez eux, Toyama découvre qu’une source d’eau chaude est apparue dans son salon. Deux ans plus tard, la ville s’est transformée, elle est devenue une station thermale pleine de touristes. Toyama est blasé, regrette le calme de la bourgade et Sakurajima, lui, y voit l’occasion de s’éclater, de se faire remarquer, de devenir cool ! Les deux amis vont s’éloigner petit à petit, vivre des aventures, parfois loufoques, puis se retrouver. Summer of lave est le nom qui va être donné au premier festival de Kanematsu, fêtant l’éruption du volcan et l’arrivée des sources thermales. Le manga parle d’amitié mais surtout de deux attitudes de cette jeunesse, celui qui souhaite vivre à fond mais qui galère malgré tous ses efforts et celui, pour qui tout va bien en apparence mais qui ne trouve pas sa place. Une jeunesse désabusée qui ne se satisfait pas de ce qu’ils ont et cherchent leur place dans la société. Et puis il y a toute l’effervescence autour de la transformation de la ville qui est originale et sympathique. Un bon one shot. Autres infos : Edition Le Lézard noir Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/summer-of-lave?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Angels of death tomes 1 et 2

    Rachel se réveille dans un endroit inconnu en ayant perdu une partie de ses souvenirs. Après un questionnaire, il est décrété qu’elle sera un sacrifice. Elle apprend qu’elle est dans un bâtiment dont elle doit trouver la sortie. Sauf qu’à chaque niveau, il y a un psychopathe qui va chercher à la tuer. Il s’agit là de l’adaptation en manga d’un jeu video et c’est un peu le problème. Car si l’histoire est un survival un peu à la doubt, il y a un manque d’informations par moment. De plus, dans le jeu, Rachel est censé trouvé des clefs et des passages pour pouvoir passer d’un niveau à l’autre et ici, l’action est tellement rapide, qu’on n’a pas vraiment le temps d’y réfléchir avec elle. En dehors de ça, le manga est bien dessiné, les méchants sont tous bien flippants avec des caractéristiques plutôt originales. Le personnage de Rachel change très vite d’attitude : au départ, elle a un côté humain avec ses envies et ses peurs et très vite, elle perd toute motivation, elle est limite apathique/amorphe, comme une coquille vide. On ne ressent donc aucune empathie pour elle. Mais cela reste un bon manga d’action, on espère avec quelques explications au fur et à mesure. Série finie en 12 tomes.
  20. Titre de l'album : Angels of death tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SANADA Makoto Dessinateur de l'album : NAZUKA Kudan Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Après avoir été témoin d’un meurtre, Rachel se réveille dans le sous-sol d'un immeuble abandonné, sans comprendre comment elle est arrivée là. Tandis qu'elle cherche à s’échapper, elle tombe sur Zack, un tueur en série portant une faux et bandé de la tête aux pieds. Désespérée, elle lui demande de la tuer, ce qu'il accepte à une seule condition : que la jeune fille l'aide d’abord à sortir de cet endroit. Cette étrange promesse les entraîne à devenir partenaires. Où sont-ils ? Pourquoi sont-ils piégés ? Quel destin les attend ? Un voyage entre la vie et la mort commence. Critique : Rachel se réveille dans un endroit inconnu en ayant perdu une partie de ses souvenirs. Après un questionnaire, il est décrété qu’elle sera un sacrifice. Elle apprend qu’elle est dans un bâtiment dont elle doit trouver la sortie. Sauf qu’à chaque niveau, il y a un psychopathe qui va chercher à la tuer. Il s’agit là de l’adaptation en manga d’un jeu video et c’est un peu le problème. Car si l’histoire est un survival un peu à la doubt, il y a un manque d’informations par moment. De plus, dans le jeu, Rachel est censé trouvé des clefs et des passages pour pouvoir passer d’un niveau à l’autre et ici, l’action est tellement rapide, qu’on n’a pas vraiment le temps d’y réfléchir avec elle. En dehors de ça, le manga est bien dessiné, les méchants sont tous bien flippants avec des caractéristiques plutôt originales. Le personnage de Rachel change très vite d’attitude : au départ, elle a un côté humain avec ses envies et ses peurs et très vite, elle perd toute motivation, elle est limite apathique/amorphe, comme une coquille vide. On ne ressent donc aucune empathie pour elle. Mais cela reste un bon manga d’action, on espère avec quelques explications au fur et à mesure. Série finie en 12 tomes. Autres infos : Edition Mana Books Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/angels-of-death-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Voici donc le manga sur les sorcières chez Pika, comme chaque éditeur semble sortir le sien. Mais contrairement à ceux que l’on a vu précédemment, celui-ci est très sombre. Oubliez la gentille sorcière qui vient en aide à son prochain, oubliez la sorcière au style enfantin avec son grand chapeau et son balai ! Non, ici, les sorcières vivent au milieu des humains et partout où elles passent des gens trépassent ! Car la sorcière est l’incarnation du mal ! Heureusement, il existe des organisations à même de les contrer. C’est à l’une d’entre elle : l’ordre de l’Echo noir, qu’appartiennent nos personnages principaux Ashaf et Guido. Si Ashaf est un magicien de l’ordre qui a l’air de suivre ses missions correctement, pour Guido, cela semble être une autre histoire : il a rejoint l’ordre pour se venger d’une sorcière qui lui a jeter une malédiction. Vous l’aurez compris, the witch and the beast est un manga fantastique, où il y a de l’action, des mystères et des scènes assez violentes non recommandées aux plus jeunes. Le récit ne se cantonne pas aux seules sorcières et aborde également d’autres phénomènes surnaturels ou magiques tel que la nécromancie. Concernant le dessin il est plutôt réussi avec de très beaux paysages seulement l’auteur semble tirer sa flemme parfois en ne faisant que des moitiés de visage, sa signature graphique peut-être… Un manga dynamique qui donne envie d’en savoir plus. (8 tomes en cours)
  22. Titre de l'album : The witch and the beast tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SATAKE Kôsuke Dessinateur de l'album : SATAKE Kôsuke Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : Dans ce monde où des événements surnaturels entraînent parfois des ravages, Ashaf et Guido sont tous deux envoyés par l'Ordre de l'Écho Noir, dont la mission est d'éviter les débordements causés par la sorcellerie. Si Ashaf, magicien affable et chevronné, accomplit ses tâches de bonne grâce, Guido semble nourrir un dessein plus personnel lié à une sorcière en particulier... Avec la vengeance pour moteur, cette bête enragée ne pourra être entravée dans sa chasse ! Critique : Voici donc le manga sur les sorcières chez Pika, comme chaque éditeur semble sortir le sien. Mais contrairement à ceux que l’on a vu précédemment, celui-ci est très sombre. Oubliez la gentille sorcière qui vient en aide à son prochain, oubliez la sorcière au style enfantin avec son grand chapeau et son balai ! Non, ici, les sorcières vivent au milieu des humains et partout où elles passent des gens trépassent ! Car la sorcière est l’incarnation du mal ! Heureusement, il existe des organisations à même de les contrer. C’est à l’une d’entre elle : l’ordre de l’Echo noir, qu’appartiennent nos personnages principaux Ashaf et Guido. Si Ashaf est un magicien de l’ordre qui a l’air de suivre ses missions correctement, pour Guido, cela semble être une autre histoire : il a rejoint l’ordre pour se venger d’une sorcière qui lui a jeter une malédiction. Vous l’aurez compris, the witch and the beast est un manga fantastique, où il y a de l’action, des mystères et des scènes assez violentes non recommandées aux plus jeunes. Le récit ne se cantonne pas aux seules sorcières et aborde également d’autres phénomènes surnaturels ou magiques tel que la nécromancie. Concernant le dessin il est plutôt réussi avec de très beaux paysages seulement l’auteur semble tirer sa flemme parfois en ne faisant que des moitiés de visage, sa signature graphique peut-être… Un manga dynamique qui donne envie d’en savoir plus. (8 tomes en cours) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-witch-and-the-beast-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Entre les lignes tome 1

    Asa, 15 ans, vient de perdre ses parents dans un accident, plutôt que d’être brinquebalée entre les membres de sa famille, la sœur de sa mère, Makio, lui propose de l’héberger. Cette dernière était en froid avec sa sœur et ne connaît pas sa nièce. Les deux femmes vont commencer une cohabitation et apprendre à se connaitre. En même temps, Asa n’arrive pas à ressentir du chagrin pour le décès de ses parents, sans doute lié au choc psychologique. Makio va lui permettre de prendre son temps et d’aborder cet événement de façon différente. Entre les lignes est un manga tout en douceur, une façon posée de faire son deuil, loin de culpabiliser Asa de ne pas pleurer et s’effondrer après ce drame, Makio va lui faire comprendre qu’il n’y a pas de règles en la matière et qu’il faut arriver à prendre de la distance avec les remarques de son entourage. C’est une approche inédite, à la fois sur le deuil, mais aussi sur cette cohabitation, c’est avec beaucoup de finesse et de sensibilité que l’auteur aborde les sentiments de deux femmes, et c’est avec intérêt que l’on va suivre leur évolution, voir de quelle manière chacune va pouvoir aider l’autre.
  24. Titre de l'album : Entre les lignes tome 1 Scenariste de l'album : YAMASHITA Tomoko Dessinateur de l'album : YAMASHITA Tomoko Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : À 15 ans, Asa perd ses parents dans un accident de voiture. Elle est recueillie par sa tante Makio, 35 ans, soeur cadette de sa mère. Makio est autrice de romans pour adolescentes, mais elle vit plutôt en recluse, car elle n'est pas à l'aise en société. L'arrivée d'Asa va bouleverser la vie des deux femmes. Asa découvre soudain le monde hors de son cocon familial et n'est pas habituée à quelqu'un comme sa tante, qui lui parle avec autant de franchise, quoique souvent avec maladresse. Makio, de son côté, n'est pas familière d'une cohabitation avec quelqu'un à qui il faut montrer la voie. Chacune va ainsi devoir faire un travail sur soi. L'une pour faire le deuil de ses parents disparus trop soudainement et s'ouvrir au monde. L'autre pour accepter la présence d'une autre personne dans son quotidien et approfondir la question du sens de la famille et des liens qu'elle induit et des sentiments qui s'y rattachent. Critique : Asa, 15 ans, vient de perdre ses parents dans un accident, plutôt que d’être brinquebalée entre les membres de sa famille, la sœur de sa mère, Makio, lui propose de l’héberger. Cette dernière était en froid avec sa sœur et ne connaît pas sa nièce. Les deux femmes vont commencer une cohabitation et apprendre à se connaitre. En même temps, Asa n’arrive pas à ressentir du chagrin pour le décès de ses parents, sans doute lié au choc psychologique. Makio va lui permettre de prendre son temps et d’aborder cet événement de façon différente. Entre les lignes est un manga tout en douceur, une façon posée de faire son deuil, loin de culpabiliser Asa de ne pas pleurer et s’effondrer après ce drame, Makio va lui faire comprendre qu’il n’y a pas de règles en la matière et qu’il faut arriver à prendre de la distance avec les remarques de son entourage. C’est une approche inédite, à la fois sur le deuil, mais aussi sur cette cohabitation, c’est avec beaucoup de finesse et de sensibilité que l’auteur aborde les sentiments de deux femmes, et c’est avec intérêt que l’on va suivre leur évolution, voir de quelle manière chacune va pouvoir aider l’autre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-les-lignes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Terrarium tome 1

    Terrarium est un manga de science-fiction. Le récit se passe dans une époque assez lointaine (pas de date précise), les hommes pour survivre ont construit l’arcologie, une structure d’habitation gigantesque et autonome et encore plus loin dans le temps, certaines zones de l’arcologie ont été abandonnées car elles ne sont plus fonctionnelles. C’est dans ce contexte que prennent place nos personnages : Chico, apparemment humaine et son frère Pino un robot, parcourent l’arcologie à la recherche de noyaux d’anciens robots et de leur mère. Ils pensent qu’en réunissant tous les fragments, ils pourront comprendre pourquoi l’arcologie a commencé à se détériorer et espèrent ainsi trouver une solution pour sauver ce qu’il reste de l’humanité. Au cour de leur voyage, ils découvrent des ruines, des zones non répertoriées et des robots coincés dans leur tâche qui n’ont pas conscience du temps qui a passé. La relation entre les frère et sœur est assez intéressante, d’abord par ce mélange humain/robot mais surtout dans leurs attitudes et points de vue, leurs rapports face aux autres robots permet de se poser des questions sur l’humanité. En même temps, leur périple dans ces ruines a une certaine dimension poétique, soulignée par les mystères de ce monde et un graphisme soigné. Mon seul bémol serait quelques redondances dans le texte. Série finie en 4 tomes.
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