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  1. Nickad

    Jormungand tome 8

    Titre de l'album : Jormungand tome 8 Scenariste de l'album : TAKAHASHI Keitarô Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Keitarô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : R se révéla être un agent de la CIA envoyé par Bookman dans le cadre du projet Undershaft qui avait pour but d'amadouer la jeune Koko Hekmatyar. Il mourut en tentant de protéger cette dernière. Le coeur brisé, Koko poursuit son chemin vers sa nouvelle destination... Série terminée au Japon, Jormungand est un titre complet qui nous plonge dans un univers froid et sans pitié, même lorsqu'on est un enfant. Le caractère indifférent mais naïf de Jonah nous offre un contraste net entre le danger d'être marchande d'armes et la vie quotidienne lorsqu'on est un enfant. Jonah devra apprendre à parler anglais, résoudre des équations et vivre comme un enfant en dépit du fait que ce soit un soldat... Critique : Dans Jormungand, on suit la vie de Koko une vendeuse d’armes et de ses gardes du corps. Qu’ils soient d’anciens militaires, agents secrets ou même enfant soldat, chacun a ses raisons de la suivre. Chaque volume permet d’approfondir un personnage différent, d’en apprendre plus sur son passé et ses objectifs. L’histoire se fait au rythme des missions du groupe, et se rapproche vers un projet final dont on ignore encore tout. Jormungand, c’est un univers atypique, bourré d’actions, mais où on nous rappelle à chaque instant que les personnages ne sont pas gentils et qu’il n’y en a pas vraiment. C’est une ambiance assez froide où l’on suit à la fois la vendeuse d’armes aux motivations ambigües et Jonah, enfant soldat qui déteste les armes, au milieu de conflits militaires et politiques. Il faut prendre le manga comme une distraction car l’auteur ne fait pas de débat autour du métier de vendeur d’armes, il n’y a pas de propos philosophique. Côté action, il n’y a rien à redire, les scènes de fusillades, d’embuscades ou d’explosions ne manquent pas et sont plutôt bien faites. Série finie en 11 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jormungand-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Corps solitaires tome 1

    Ce manga est à destination de lecteurs plus matures, non pas parce qu’il est rempli de scènes osées (il n’y en a pas d’ailleurs) mais parce qu’il met à nu les sentiments et les questionnements d’un jeune couple. Mariés depuis quelques années, Michi et son mari n’ont plus de relations intimes. A quoi est-ce dû ? Haru Haruno met en avant les interrogations que tout couple est potentiellement amener à se poser, que faire quand il n’y a plus de désir, quand les époux n’ont plus les mêmes envies, est-ce que l’amour dans sa forme la plus sentimentale peut suffire. ? Si dans ce premier tome, c’est surtout le ressenti de l’épouse qui est mis en avant, le point de vue du mari est aussi analysé. Il n’y a pas de parti pris, l’auteure décrit les sentiments de ses personnages avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Un manga touchant
  3. Titre de l'album : Corps solitaires tome 1 Scenariste de l'album : HARUNO Haru Dessinateur de l'album : HARUNO Haru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Michi a 32 ans. Sa relation avec son mari n'est pas mauvaise mais une seule chose fait défaut : cela fait 2 ans qu'ils n'ont plus de relations sexuelles. Lors d'une soirée entre collègues, elle se confie à l'un deux. Makoto a le même problème mais c'est sa femme qui ne semble plus avoir de désir pour lui... Pouvoir en parler permet à Michi de reprendre espoir et de se lancer dans la reconquête de son mari... Critique : Ce manga est à destination de lecteurs plus matures, non pas parce qu’il est rempli de scènes osées (il n’y en a pas d’ailleurs) mais parce qu’il met à nu les sentiments et les questionnements d’un jeune couple. Mariés depuis quelques années, Michi et son mari n’ont plus de relations intimes. A quoi est-ce dû ? Haru Haruno met en avant les interrogations que tout couple est potentiellement amener à se poser, que faire quand il n’y a plus de désir, quand les époux n’ont plus les mêmes envies, est-ce que l’amour dans sa forme la plus sentimentale peut suffire. ? Si dans ce premier tome, c’est surtout le ressenti de l’épouse qui est mis en avant, le point de vue du mari est aussi analysé. Il n’y a pas de parti pris, l’auteure décrit les sentiments de ses personnages avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Un manga touchant Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corps-solitaires-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Au 19eme siècle, en Europe, l’état militariste du WEIβEN décide d’envoyer le commandant Baltzar dans l’état voisin du Baselland afin de les aider à réformer leur système militaire et rattraper leur retard technologique. Il se retrouve dans une école militaire à devoir enseigner à de futurs officiers mais surtout à déterminer la situation exacte du pays allié. Il va se retrouver au cœur de relations politiques, que ce soit au Baselland ou dans son propre pays, il va très vitre comprendre qu’il y a des manigances un peu partout et découvrir que les vrais ennemis ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Entre son devoir envers son pays et son attachement à ses élèves, Baltzar va devoir prendre des décisions sans savoir à qui se fier. Il est cependant obligé d’obéir aux ordres et se retrouve éloigné de l’école. Même si parfois il y a pas mal de texte afin de comprendre toute la situation entre les différents protagonistes, l’histoire est bien menée et ne manque de rebondissements. L’action se déroule sur plusieurs niveaux : école, politique, champs de guerre, complots, relations avec les civils… Un univers complet et riche qui ne manque pas d’intérêt et qui donne envie de connaître la suite !
  5. Titre de l'album : Baltzar - La guerre dans le sang tome 7 Scenariste de l'album : Nakajima Michitsune Dessinateur de l'album : Nakajima Michitsune Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Liebknecht conduit Baltzar à une entrevue secrète avec l'Impératrice et le prince Theodore. Le voeu le plus cher de la souveraine étant de rapprocher leurs trois pays, celle-ci compte marier chaque prince du Baselland à une princesse d'un pays voisin. Elle demande donc à Baltzar de persuader le prince August d'épouser une jeune princesse d'Erzreich. Une mission presque impossible, surtout que Baltzar est surveillé de près par les deux jeunes espions du Chef d'État-Major. Critique : Au 19eme siècle, en Europe, l’état militariste du WEIβEN décide d’envoyer le commandant Baltzar dans l’état voisin du Baselland afin de les aider à réformer leur système militaire et rattraper leur retard technologique. Il se retrouve dans une école militaire à devoir enseigner à de futurs officiers mais surtout à déterminer la situation exacte du pays allié. Il va se retrouver au cœur de relations politiques, que ce soit au Baselland ou dans son propre pays, il va très vitre comprendre qu’il y a des manigances un peu partout et découvrir que les vrais ennemis ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Entre son devoir envers son pays et son attachement à ses élèves, Baltzar va devoir prendre des décisions sans savoir à qui se fier. Il est cependant obligé d’obéir aux ordres et se retrouve éloigné de l’école. Même si parfois il y a pas mal de texte afin de comprendre toute la situation entre les différents protagonistes, l’histoire est bien menée et ne manque de rebondissements. L’action se déroule sur plusieurs niveaux : école, politique, champs de guerre, complots, relations avec les civils… Un univers complet et riche qui ne manque pas d’intérêt et qui donne envie de connaître la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baltzar-la-guerre-dans-le-sang-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Brisée par ton amour... tome 1

    Plus que l’histoire d’amour, qui est juste naissante dans ce tome, c’est la souffrance de Kanae qui est mise en avant. Kanae ne trouve sa place nulle part, ni au lycée où elle ne peut pas être elle-même de peur d’être mise à l’écart (ce qui lui est déjà arrivé au collège où elle a subi des brimades), ni chez elle, où elle semble incomprise. Cette jeune fille souffre énormément et l’auteur a très bien su s’y prendre pour nous le faire ressentir. C’est une histoire dure, poignante, qui ne laisse pas insensible et qui dépeint parfaitement les traumatismes laissés par le harcèlement Pour public averti.
  7. Titre de l'album : Brisée par ton amour... tome 1 Scenariste de l'album : Shiruka Bakaudon Dessinateur de l'album : Shiruka Bakaudon Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Victime de harcèlement scolaire pendant ses années au collège, Kanae est maintenant lycéenne. Encore traumatisée, elle est très sensible sur ce que pense d'elle ses camarades de classe. Hors du lycée, elle assouvit son désir de reconnaissance en entretenant des relations payées avec des hommes plus âgés. Un jour, lors d'une sortie dans un karaoké, elle fait la rencontre de Hiroshi. Mais ce dernier va la surprendre avec l'un de ses clients. Cela ne va pas l'empêcher de se montrer gentil, et Kanae va tomber amoureuse de lui. Cet amour va marquer le début de nombreux événements tragiques... Critique : Plus que l’histoire d’amour, qui est juste naissante dans ce tome, c’est la souffrance de Kanae qui est mise en avant. Kanae ne trouve sa place nulle part, ni au lycée où elle ne peut pas être elle-même de peur d’être mise à l’écart (ce qui lui est déjà arrivé au collège où elle a subi des brimades), ni chez elle, où elle semble incomprise. Cette jeune fille souffre énormément et l’auteur a très bien su s’y prendre pour nous le faire ressentir. C’est une histoire dure, poignante, qui ne laisse pas insensible et qui dépeint parfaitement les traumatismes laissés par le harcèlement Pour public averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brisee-par-ton-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Ajin tome 15

    Ajin c’est un scénario original, un personnage principal un peu fade à mon gout (Nagai) mais qui n’est pas le héros. Car il n’y a pas de « bon clan » dans ce manga, chacun a des raisons d’agir qui se défendent. Mais Ajin, c’est surtout la présence forte de Sato, le « méchant » et celui qui porte l’histoire. Nagai a beau échafauder des plans et penser à un maximum de possibilités, Sato déjoue tous les pronostics et nous surprend régulièrement. Si parfois, j’ai trouvé que certains tomes étaient moins aboutis, j’ai vraiment été estomaquée dans ce volume, genre « quoi ??!! non mais t’as vu ça ? incroyable ! Ouahh ! » Voilà un manga qui mérite le détour et qui promet encore des moments palpitants !!
  9. Nickad

    Ajin tome 15

    Titre de l'album : Ajin tome 15 Scenariste de l'album : SAKURAI Gamon Dessinateur de l'album : SAKURAI Gamon Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Kei Nagai a tout parié sur un plan exécuté à la dernière minute pour coincer Sato. Le piège qui devait l'enfermer à jamais reste cependant désespérément silencieux. Alors que tout semble perdu, un personnage inattendu fait une entrée fracassante au coeur de la base en flammes... Critique : Ajin c’est un scénario original, un personnage principal un peu fade à mon gout (Nagai) mais qui n’est pas le héros. Car il n’y a pas de « bon clan » dans ce manga, chacun a des raisons d’agir qui se défendent. Mais Ajin, c’est surtout la présence forte de Sato, le « méchant » et celui qui porte l’histoire. Nagai a beau échafauder des plans et penser à un maximum de possibilités, Sato déjoue tous les pronostics et nous surprend régulièrement. Si parfois, j’ai trouvé que certains tomes étaient moins aboutis, j’ai vraiment été estomaquée dans ce volume, genre « quoi ??!! non mais t’as vu ça ? incroyable ! Ouahh ! » Voilà un manga qui mérite le détour et qui promet encore des moments palpitants !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ajin-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Nosferatu tome 1

    Souvent repris dans les shojos de façon classique, nous avons affaire ici à une revisite du genre : pas de vampires buveurs de sang ou torturés par l’idée d’en boire, pas de jeune fille éperdument amoureuse du vampire… Nous sommes dans une époque moyenâgeuse, où l’église à une très forte influence et où les conflits entre les races (humains et Nosferatus) sont usuels. Alors qu’est-ce qui fait l’originalité de ce manga ? Et bien d’abord, nous avons une héroïne, ce qui n’est pas si courant dans ce genre d’histoire, ensuite elle est amnésique et découvre qu’elle est une nosferatu. Mais qu’est-ce donc qu’un nosferatu ? Et bien, tout comme Laura, on va le découvrir au fur et à mesure de ses recherches, ce qui crée une sorte de complicité entre l’héroïne et le lecteur et enfin, ici ce sont les humains qui peuvent être assoiffés de sang. Ce premier tome est plutôt intéressant, il ne manque pas d’actions et annonce plusieurs affrontements futurs. La lecture est facile et le dessin bien travaillé avec suffisamment de détails, attention certains passages sont violents. Je regrette toutefois le manque de caractère des personnages car pour le moment, on ne s’y attache pas. A suivre donc.
  11. Nickad

    Nosferatu tome 1

    Titre de l'album : Nosferatu tome 1 Scenariste de l'album : SHINJIRO Dessinateur de l'album : SHINJIRO Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à des créatures diaboliques à visage humain, une jeune guerrière va se dresser face à eux. Mais parfois, seul le Mal peut contrer le Mal. Les nosferatus, derrière leurs visages humains, font perdre la raison à toutes les créatures qui les approchent. Laura, découvre un village infecté et ne survit que grâce à l'intervention d'Arnold, un homme d'église chargé de purger les populations concernées. Bientôt elle découvre l'atroce vérité : Arnold est un nosferatu qui peut massacrer librement des cités entières. Elle doit trouver un moyen de l'arrêter. Critique : Souvent repris dans les shojos de façon classique, nous avons affaire ici à une revisite du genre : pas de vampires buveurs de sang ou torturés par l’idée d’en boire, pas de jeune fille éperdument amoureuse du vampire… Nous sommes dans une époque moyenâgeuse, où l’église à une très forte influence et où les conflits entre les races (humains et Nosferatus) sont usuels. Alors qu’est-ce qui fait l’originalité de ce manga ? Et bien d’abord, nous avons une héroïne, ce qui n’est pas si courant dans ce genre d’histoire, ensuite elle est amnésique et découvre qu’elle est une nosferatu. Mais qu’est-ce donc qu’un nosferatu ? Et bien, tout comme Laura, on va le découvrir au fur et à mesure de ses recherches, ce qui crée une sorte de complicité entre l’héroïne et le lecteur et enfin, ici ce sont les humains qui peuvent être assoiffés de sang. Ce premier tome est plutôt intéressant, il ne manque pas d’actions et annonce plusieurs affrontements futurs. La lecture est facile et le dessin bien travaillé avec suffisamment de détails, attention certains passages sont violents. Je regrette toutefois le manque de caractère des personnages car pour le moment, on ne s’y attache pas. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nosferatu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Plus qu’une critique du tome c’est plutôt une mise en garde que j’ai à faire car il faut l’aborder avec précautions : pas pour son contenu mais plutôt pour ce que cela implique. Ce n’est pas tant le volume en lui-même qui est choquant car l’auteur a su garder, pour l’instant, une certaine retenue mais comment ne pas aller se renseigner sur l’histoire vraie dont est tirée l’œuvre quand le nom de la victime est clairement indiqué sur le livre ? C’est bien sûr ce que j’ai fait et je me suis sentie mal, car hélas, la réalité dépasse la fiction et cela peut-être traumatisant. Car le malaise est indéniable, il y a une incompréhension totale : mais comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? Comment l’être humain peut en arriver à de telles extrémités ? Est-ce pour tenter d’expliquer cela que nous suivons la narration au travers des yeux d’un des coupables ? J’espère vraiment que cette approche permettra une critique de la société japonaise car entre l’indifférence des policiers, l’engrenage dans lequel se retrouve les jeunes, l’influence des clans liés aux yakuzas, la non implication des témoins, la peur d’agir, il y a de quoi se révolter. Alors oui, si c’est une critique qui pointe à l’horizon pour que les choses bougent, pour que cela ne se reproduise plus jamais alors lisons ce manga car sinon, ce ne sera que du voyeurisme sordide.
  13. Titre de l'album : 17 ans - une chronique du mal tome 1 Scenariste de l'album : FUJII Seiji Dessinateur de l'album : KAMATA Yoji Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Sachiko, 17 ans, est séquestrée, agressée et torturée par un groupe de garçons dont le seul but est de s'amuser. Personne ne veut la libérer par peur de faire face aux conséquences. Devant l'inaction de la police et de ses parents, sa soeur jumelle poursuit sans relâche ses recherches. Critique : Plus qu’une critique du tome c’est plutôt une mise en garde que j’ai à faire car il faut l’aborder avec précautions : pas pour son contenu mais plutôt pour ce que cela implique. Ce n’est pas tant le volume en lui-même qui est choquant car l’auteur a su garder, pour l’instant, une certaine retenue mais comment ne pas aller se renseigner sur l’histoire vraie dont est tirée l’œuvre quand le nom de la victime est clairement indiqué sur le livre ? C’est bien sûr ce que j’ai fait et je me suis sentie mal, car hélas, la réalité dépasse la fiction et cela peut-être traumatisant. Car le malaise est indéniable, il y a une incompréhension totale : mais comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? Comment l’être humain peut en arriver à de telles extrémités ? Est-ce pour tenter d’expliquer cela que nous suivons la narration au travers des yeux d’un des coupables ? J’espère vraiment que cette approche permettra une critique de la société japonaise car entre l’indifférence des policiers, l’engrenage dans lequel se retrouve les jeunes, l’influence des clans liés aux yakuzas, la non implication des témoins, la peur d’agir, il y a de quoi se révolter. Alors oui, si c’est une critique qui pointe à l’horizon pour que les choses bougent, pour que cela ne se reproduise plus jamais alors lisons ce manga car sinon, ce ne sera que du voyeurisme sordide. Autres infos : édition naBan Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/17-ans-tome-1-une-chronique-du-mal?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Les éditions Soleil nous proposent un titre loin de leur catalogue habituel, car oui, « dans le sens du vent » est un manga atypique. D’abord par son graphisme plutôt occidental aux personnages élancés, au trait fin et aux paysages détaillés. Après car l’action se situe en Islande et enfin car il d’un genre indéfinissable. Le manga tient à la fois du guide touristique, de l’aventure et du suspense avec une pointe de fantastique et de romance. Et c’est ce qui fait son charme, tout est lié à un équilibre subtil entre ces genres. Je me suis demandée quand j’ai lu le 1er volume ce qui se cachait derrière un tel titre et puis après la lecture, ça m’est apparu comme une évidence, car ce manga vous emporte comme le vent, il vous emmène dans un voyage où l’Islande vous accueille et vous retient car plus qu’un guide touristique c’est une expérience que vous vivez, celle de partager le ressenti des personnages. D’habitude quand je lis, je me demande ce qui va se passer, j’aperçois certains déroulés, il m’arrive même de connaître l’issue ou la finalité de l’histoire. Ici rien, pas parce l’histoire est inintéressante mais plutôt parce que je n’ai pas envie de me poser des questions tellement je m’y trouve bien. Je prends les choses comme elles viennent et je les savoure. En plus ce manga sortant des sentiers battus, qu’y a-t-il de mieux à faire que de se laisser porter ? Et puis, il y a le personnage principal, assez froid en apparence, limite associal qui nous intrigue, de même que son entourage, atypique lui-aussi. Ce 3eme tome nous permet d’en savoir un peu plus sur le frère de Kei, avec un peu moins de paysages et un peu plus de polar. Mais comme à chaque fois, rien de trop évident et pas trop d’informations d’un coup, toujours dans l’équilibre. Et comme à chaque fois aussi, arrivée à la fin, je n’ai qu’une envie : lire la suite. Un véritable coup de cœur.
  15. Titre de l'album : Dans le sens du vent - nord, nord-ouest tome 3 Scenariste de l'album : IRIE Aki Dessinateur de l'album : IRIE Aki Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Kei Miyama, un détective indépendant de 17 ans, vit avec son grand-père français en Islande. Comme les autres hommes de sa famille, il dispose d'un pouvoir atypique. Le sien consiste à pouvoir communiquer avec les appareils électriques et les automobiles. Mais sa vie bascule soudainement lorsqu'un détective japonais en congés sur l'île lui annonce l'assassinat de son oncle et sa tante par son propre frère. Qui croire ? Convaincu de l'innocence de ce dernier, le jeune détective va mener l'enquête. Régulièrement cité parmi les meilleurs mangas publiés récemment au Japon, Dans le sens du vent - Nord, Nord-Ouest interpelle par son dessin très occidental, ses lignes allongées et ses paysages islandais oniriques. Critique : Les éditions Soleil nous proposent un titre loin de leur catalogue habituel, car oui, « dans le sens du vent » est un manga atypique. D’abord par son graphisme plutôt occidental aux personnages élancés, au trait fin et aux paysages détaillés. Après car l’action se situe en Islande et enfin car il d’un genre indéfinissable. Le manga tient à la fois du guide touristique, de l’aventure et du suspense avec une pointe de fantastique et de romance. Et c’est ce qui fait son charme, tout est lié à un équilibre subtil entre ces genres. Je me suis demandée quand j’ai lu le 1er volume ce qui se cachait derrière un tel titre et puis après la lecture, ça m’est apparu comme une évidence, car ce manga vous emporte comme le vent, il vous emmène dans un voyage où l’Islande vous accueille et vous retient car plus qu’un guide touristique c’est une expérience que vous vivez, celle de partager le ressenti des personnages. D’habitude quand je lis, je me demande ce qui va se passer, j’aperçois certains déroulés, il m’arrive même de connaître l’issue ou la finalité de l’histoire. Ici rien, pas parce l’histoire est inintéressante mais plutôt parce que je n’ai pas envie de me poser des questions tellement je m’y trouve bien. Je prends les choses comme elles viennent et je les savoure. En plus ce manga sortant des sentiers battus, qu’y a-t-il de mieux à faire que de se laisser porter ? Et puis, il y a le personnage principal, assez froid en apparence, limite associal qui nous intrigue, de même que son entourage, atypique lui-aussi. Ce 3eme tome nous permet d’en savoir un peu plus sur le frère de Kei, avec un peu moins de paysages et un peu plus de polar. Mais comme à chaque fois, rien de trop évident et pas trop d’informations d’un coup, toujours dans l’équilibre. Et comme à chaque fois aussi, arrivée à la fin, je n’ai qu’une envie : lire la suite. Un véritable coup de cœur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-sens-du-vent-tome-3-nord-nord-ouest?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Children tome 1

    Omaké Books est un éditeur indépendant assez récent (2010) qui a tendance à sortir des titres qui se démarquent. Après le glacial Perce neige et le déroutant girl’s last tour, voici le premier tome de Children. Children est résolument un manga d’horreur, gore à souhait où des enfants tranchent, découpent, dépècent… ils s’en donnent à cœur joie. Mais ce n’est pas que ça, on est intrigué, plein de questions nous assaillent : qui sont-ils ? Comment en sont-ils arrivés là ? Qui les fournit ? Qui tire les ficelles ? Quelles sont les relations entre les personnages ?... et surtout Pourquoi ? Vous dire si j’ai aimé ou pas, je ne saurai le dire, ce qui est sûr, c’est qu’il ne laisse pas indifférent. Aucun temps mort dans ce volume et même si l’on perçoit certaines trames, il va falloir attendre le deuxième et dernier tome pour y répondre. En espérant qu’il soit à la hauteur !
  17. Nickad

    Children tome 1

    Titre de l'album : Children tome 1 Scenariste de l'album : MIURA Miu Dessinateur de l'album : MIURA Miu Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Pour 3 millions de yens, une somme anormalement élevée, le jeune Tôru Igarashi, un étudiant, a accepté un petit boulot de six mois dans un orphelinat situé au fin fond des montagnes, pour s’occuper d’enfants et aider aux tâches d’entretien. Il y fait la connaissance de Sakurako, une jeune adolescente de 14 ans et du groupe d’enfants, un peu méfiants mais néanmoins plein d’énergie. Tout semble bien se passer jusqu’à ce qu’à la nuit tombée, cette ambiance joyeuse ne devienne malsaine et extrêmement sanglante ! Loin du monde, le cauchemar de Tôru ne fait que commencer. Les enfants deviennent d’incroyables machines à tuer, égorger, découper... Critique : Omaké Books est un éditeur indépendant assez récent (2010) qui a tendance à sortir des titres qui se démarquent. Après le glacial Perce neige et le déroutant girl’s last tour, voici le premier tome de Children. Children est résolument un manga d’horreur, gore à souhait où des enfants tranchent, découpent, dépècent… ils s’en donnent à cœur joie. Mais ce n’est pas que ça, on est intrigué, plein de questions nous assaillent : qui sont-ils ? Comment en sont-ils arrivés là ? Qui les fournit ? Qui tire les ficelles ? Quelles sont les relations entre les personnages ?... et surtout Pourquoi ? Vous dire si j’ai aimé ou pas, je ne saurai le dire, ce qui est sûr, c’est qu’il ne laisse pas indifférent. Aucun temps mort dans ce volume et même si l’on perçoit certaines trames, il va falloir attendre le deuxième et dernier tome pour y répondre. En espérant qu’il soit à la hauteur ! Autres infos : Edition Omaké Books Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/children-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Bride stories tome 12

    C’est toujours avec plaisir que j’accueille un nouveau tome de Bride Stories, comme si je retrouvais un vieil ami avec qui je sais que je vais passer un bon moment. Pour ceux qui ne connaissent pas, Bride Stories mélange histoires sentimentales, découvertes ethniques et vie de tous les jours au cœur des peuples nomades de la route de la soie au XIXeme siècle. Ce tome s’ouvre sur des scènes du quotidien des personnages que nous avons croisés au fur et à mesure des volumes précédents puis enchaine avec le voyage retour de Smith et ses premières retrouvailles. Encore une fois, on se laisse emporter par cet univers empreint de détails et toujours sublimé par la plume de Kaoru Mori.
  19. Titre de l'album : Bride stories tome 12 Scenariste de l'album : Kaoru Mori Dessinateur de l'album : Kaoru Mori Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Malgré les mises en garde de son ami Hawkins, Smith persévère dans son projet et se prépare à reprendre la route, cette fois-ci en sens inverse ! Son but est double : revoir les familles qui l'ont accueilli à bras ouverts lors de son périple, mais aussi les prendre en photo afin de garder d'elles une trace durable. Muni de son appareil, l'explorateur arrive à Antalya, escorté par Ali, Talas et Nikolovski, puis continue son chemin jusqu'en Perse. L'occasion pour sa future épouse de rencontrer à son tour les personnes qu'il avait croisées lors de son précédent voyage.. Critique : C’est toujours avec plaisir que j’accueille un nouveau tome de Bride Stories, comme si je retrouvais un vieil ami avec qui je sais que je vais passer un bon moment. Pour ceux qui ne connaissent pas, Bride Stories mélange histoires sentimentales, découvertes ethniques et vie de tous les jours au cœur des peuples nomades de la route de la soie au XIXeme siècle. Ce tome s’ouvre sur des scènes du quotidien des personnages que nous avons croisés au fur et à mesure des volumes précédents puis enchaine avec le voyage retour de Smith et ses premières retrouvailles. Encore une fois, on se laisse emporter par cet univers empreint de détails et toujours sublimé par la plume de Kaoru Mori. Autres infos : Aventure, romance et historique Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bride-stories-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Gannibal t1

    Voilà bien un manga que je ne pensais vraiment pas aimer. C'est con hein de se dire qu'on critique un manga qu'on n'aime pas ? Je suis d'accord mais j'aime donner sa chance à des premiers tomes et sur celui-ci j'ai vraiment bien fait. Là où ce tome 1 a été étonnant c'est qu'il ne cache pas cette histoire de cannibale. Nous ne sommes pas dans une enquête sur la possibilité de cannibalisme. On est plus dans un survival angoissant. ON comprend très bien comment a disparu le précèdent policier mais, tout comme notre héros, on espère qu'il ne lui arrivera pas la même chose ! Ce qui est très bien rendu c'est la pression mise sur le policier dès qu'il débarque en ville et l'impression que les villageois maîtrisent tout et que notre héros est complètement perdu. On part quasiment tout de suite avec le sentiment qu'il ne peut pas s'en sortir.... et on suit donc cette lutte pour la survie de notre famille en dévorant les pages pour voir ce qu'il va se passer. Il faut spécifier aussi que plutôt que de faire du gore absolu, notre auteur préfère laisser imaginer les détails des scènes et mettre l'accent sur des traits sombres et une ambiance lourde. Pile poil ce qu'il me faut : pas trop de visuel, pas trop de sadisme (ca je n’aime pas du tout) mais une vraie ambiance pesante. L'excellente surprise de ces vacances.... à ne pas mettre entre toutes les mains non plus !
  21. poseidon2

    Gannibal t1

    Titre de l'album : Gannibal t1 Scenariste de l'album : Masaaki Ninomiya Dessinateur de l'album : Masaaki Ninomiya Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : "Les habitants de ce village sont cannibales."Daigo Agawa, policier de son état, a été détaché à Kuge, un village de montagne reculé. Bien que la communauté l'accueille chaleureusement lui et sa famille, la mort d'une vieille villageoise fait jaillir des doutes quant à la normalité de ce lieu...Une série d'évènements étranges, le sentiment d'exclusion, une tension permanente... Découvrez tous les tourments de ce village empreint d'ostracisme, dans un thriller riche en suspense. Critique : Voilà bien un manga que je ne pensais vraiment pas aimer. C'est con hein de se dire qu'on critique un manga qu'on n'aime pas ? Je suis d'accord mais j'aime donner sa chance à des premiers tomes et sur celui-ci j'ai vraiment bien fait. Là où ce tome 1 a été étonnant c'est qu'il ne cache pas cette histoire de cannibale. Nous ne sommes pas dans une enquête sur la possibilité de cannibalisme. On est plus dans un survival angoissant. ON comprend très bien comment a disparu le précèdent policier mais, tout comme notre héros, on espère qu'il ne lui arrivera pas la même chose ! Ce qui est très bien rendu c'est la pression mise sur le policier dès qu'il débarque en ville et l'impression que les villageois maîtrisent tout et que notre héros est complètement perdu. On part quasiment tout de suite avec le sentiment qu'il ne peut pas s'en sortir.... et on suit donc cette lutte pour la survie de notre famille en dévorant les pages pour voir ce qu'il va se passer. Il faut spécifier aussi que plutôt que de faire du gore absolu, notre auteur préfère laisser imaginer les détails des scènes et mettre l'accent sur des traits sombres et une ambiance lourde. Pile poil ce qu'il me faut : pas trop de visuel, pas trop de sadisme (ca je n’aime pas du tout) mais une vraie ambiance pesante. L'excellente surprise de ces vacances.... à ne pas mettre entre toutes les mains non plus ! Autres infos : Editions Meian Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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