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  1. Ikusa no Ko ou la légende d’Oda Nobunaga est un manga historique retraçant, comme son nom l’indique, la vie de Nobunaga Oda. On commence d’abord par voir ses derniers instants avant d’avoir un aperçu rapide de sa naissance. Le récit commence vraiment quand il a 12 ans, il s’appelait alors Kippôshi Oda. Honnêtement, l’histoire est très intéressante, la façon dont le récit se déroule ressemble à une aventure où l’on commence à comprendre pourquoi Oda est devenu une légende. C’est un garçon curieux, très intelligent qui cherche sans cesse à se cultiver et quand c’est fait, il expérimente, il essaye, il tente ! En plus de ça, il n’a pas d’a priori et pour lui, tout est bon à prendre ! On ne s’ennuie pas du tout à la lecture et on a même très envie de voir comment ce garçon va réussir à évoluer. Hélas, si le dessin de Tetsuo Hara est toujours aussi travaillé, surtout dans les décors et les ombrages, sa tendance à la disproportion devient de plus en plus gênante. Dans Soten no Ken, il y avait déjà des personnages peu crédibles (au niveau de la taille notamment) ce qui déservait le manga. Ici, c’est encore plus visible, notamment un rendu du corps féminin dérangeant ou des enfants à la tête disproportionnée. Peut-être qu’au travers de ce graphisme l’auteur cherche à faire ressortir un trait de caractère… ce n’est pas flagrant. Heureusement l’histoire est passionnante et aide à aller au-delà de ce problème.
  2. Titre de l'album : Ikusa no Ko - La légende d'Oda Nobunaga tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KITAHARA Seibô Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Dans le ventre de sa mère, Nobunaga Oda entendait le fracas des batailles. La guerre le prit dans ses bras à sa naissance et ne le lâcha plus jamais. Les champs de bataille furent son berceau. Tout ce qu'il sut, il l'apprit des combats. Plus que nul autre, Nobunaga fut l'enfant de la guerre !Avant d'être Nobunaga Oda, il fut Kippôshi, le pire vaurien qu'on n'ait jamais vu. Voici le récit des méfaits flamboyants qu'il signa fièrement dans le Japon des provinces en guerre ! Retrouvez la toute nouvelle série de Tetsuo Hara et Seibô Kitahara, ancien responsable éditorial du mangaka chez Shueisha, dans cette biographie romancée de la vie d'Oda Nobunaga. Critique : Ikusa no Ko ou la légende d’Oda Nobunaga est un manga historique retraçant, comme son nom l’indique, la vie de Nobunaga Oda. On commence d’abord par voir ses derniers instants avant d’avoir un aperçu rapide de sa naissance. Le récit commence vraiment quand il a 12 ans, il s’appelait alors Kippôshi Oda. Honnêtement, l’histoire est très intéressante, la façon dont le récit se déroule ressemble à une aventure où l’on commence à comprendre pourquoi Oda est devenu une légende. C’est un garçon curieux, très intelligent qui cherche sans cesse à se cultiver et quand c’est fait, il expérimente, il essaye, il tente ! En plus de ça, il n’a pas d’a priori et pour lui, tout est bon à prendre ! On ne s’ennuie pas du tout à la lecture et on a même très envie de voir comment ce garçon va réussir à évoluer. Hélas, si le dessin de Tetsuo Hara est toujours aussi travaillé, surtout dans les décors et les ombrages, sa tendance à la disproportion devient de plus en plus gênante. Dans Soten no Ken, il y avait déjà des personnages peu crédibles (au niveau de la taille notamment) ce qui déservait le manga. Ici, c’est encore plus visible, notamment un rendu du corps féminin dérangeant ou des enfants à la tête disproportionnée. Peut-être qu’au travers de ce graphisme l’auteur cherche à faire ressortir un trait de caractère… ce n’est pas flagrant. Heureusement l’histoire est passionnante et aide à aller au-delà de ce problème. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ikusa-no-ko-la-legende-d-oda-nobunaga-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Raspoutine le patriote tome 2

    Yuki répond aux interrogatoires du procureur tous les jours. Il ne se laisse pas faire, non seulement il tient bon, ne cède pas à la pression mais il réfléchit aussi à tout ce qui se trame ou pourrait se tramer en arrière-plan. Cela lui permet de garder son calme et d’attaquer également le procureur. C’est alors que Tsuzuki est à son tour arrêté. Au départ je me suis demandé pourquoi Junji Itô était dessinateur dans cette série politique assez loin de son univers. Finalement son graphisme fait excessivement bien ressortir les émotions des personnages et toute la pression qu’il y a dans ces attaques verbales. De son côté le scénario retraçant une histoire vraie rappelons-le, est bien travaillé, on suit le déroulé de l’enquête au travers des interrogatoires. On voit les réflexions de Yuki qui passe en revue ses souvenirs pour analyser la situation et qui n’a aucun moyen de savoir si ce que l’on dit est vrai ou non. C’est un manga qui demande à réfléchir et à comprendre. D’un autre côté, on y dépeint aussi une justice manipulatrice et dérangeante où l’on ne peut que revenir à un questionnement universel : la fin justifie-t-elle les moyens ?
  4. Titre de l'album : Raspoutine le patriote tome 2 Scenariste de l'album : NAGASAKI Takashi Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Celui qu'on appelle le Raspoutine du ministère des affaires étrangères a été arrêté par la brigade spéciale du ministère public de Tokyo. Pourquoi ce diplomate semble-t-il impliqué dans la rétrocession des îles du nord de Hokkaido par la Russie? Basé sur l'expérience personnelle de l'ancien diplomate Masaru Satô, ce récit présente son combat contre un procureur de la brigade spéciale au cours de ses interrogatoires quotidiens Critique : Yuki répond aux interrogatoires du procureur tous les jours. Il ne se laisse pas faire, non seulement il tient bon, ne cède pas à la pression mais il réfléchit aussi à tout ce qui se trame ou pourrait se tramer en arrière-plan. Cela lui permet de garder son calme et d’attaquer également le procureur. C’est alors que Tsuzuki est à son tour arrêté. Au départ je me suis demandé pourquoi Junji Itô était dessinateur dans cette série politique assez loin de son univers. Finalement son graphisme fait excessivement bien ressortir les émotions des personnages et toute la pression qu’il y a dans ces attaques verbales. De son côté le scénario retraçant une histoire vraie rappelons-le, est bien travaillé, on suit le déroulé de l’enquête au travers des interrogatoires. On voit les réflexions de Yuki qui passe en revue ses souvenirs pour analyser la situation et qui n’a aucun moyen de savoir si ce que l’on dit est vrai ou non. C’est un manga qui demande à réfléchir et à comprendre. D’un autre côté, on y dépeint aussi une justice manipulatrice et dérangeante où l’on ne peut que revenir à un questionnement universel : la fin justifie-t-elle les moyens ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raspoutine-le-patriote-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    L'île Panorama

    Autodidacte avec un talent certain ,Suehiro Maruo décide d'adapter en manga ce roman du maître des romans policiers au Japon : Edogawa Ranpo . Déjà publié en 2008 , les éditions Casterman et leur collection SAKKA rééditent ce récit en version cartonnée avec une magnifique couverture transpirant l'élégance . Il faut avouer que le trait de Maruo est particulièrement fin et délicat ; il n'est d'ailleurs pas étonnant d'apprendre qu'il a collaboré avec le maître Moebius dans la revue A suivre . C'est assurément un des points fort de ce roman graphique , le dessin "dandy" du mangaka lui permet toutes les facéties possibles dans cette île paradisiaque , les cases fourmillent de détails , les corps nus "statuaires" embellissent les paysages somptueux , on entendrait presque le bruit de l'eau des cascades ! Passées ces très belles considérations graphiques , attardons-nous un peu sur l'histoire . Un écrivain raté ,Hirosuke Hitomi , ressemblant énormément à un ami d'enfance très riche nommé Komoda , apprend la mort soudaine de ce dernier . Après mûres réflexions , il passe à l'action en profitant d'une faille de la région du défunt : là-bas on enterre les cadavres , on ne les incinère pas comme dans la majeure partie du Japon .En simulant la "résurrection" , et dans le même temps son propre suicide de petit romancier de gare , il va pouvoir mettre en oeuvre son plan : s'accaparer la fortune de son sosie et réaliser enfin son phantasme d'île aux mille plaisirs . Les détails ne sont pas épargnés et il faut noter l'application qu'il met à n'omettre aucun détail pouvant trahir son secret . J'ai bien évidemment pensé au formidable roman de Patricia Highsmith : Le talentueux Mr Ripley . Car le climat de suspicion va entourer Hitomi tout au long de sa "nouvelle" vie de riche propriétaire . Sa femme dans un premier temps , censée connaître son mari parfaitement , représente un obstacle important dans sa quête . Il en va de même pour les traits de caractère et autres goûts et couleurs de Komoda qui divergent totalement des siens . A force de persévérance , il va mener à bien son projet pharaonique , consistant à transformer une île déserte , en parc d'attractions adulte où tout est orienté vers le plaisir des sens . Le genre ero-guro (érotique-grotesque) cher à l'auteur , va prendre sur cet atoll tout son sens : corps dénudés , orgies sexuelles , poses lascive des statues etc .... Tout ceci dans un environnement fleuri , aquatique et reposant . Un paradis éphémère démesuré à l'image de son mensonge , le conduisant peu à peu à la folie . Jusqu'où cela va le mener ?
  6. Titre de l'album : L'île Panorama Scenariste de l'album : Suehiro Maruo , Edogawa Ranpo Dessinateur de l'album : Suehiro Maruo Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Hirosuke Hitomi, écrivain raté, rêve de construire un étrange paradis terrestre qui s'inspirerait d'un conte d'Edgar Poe. Lorsqu'il apprend la mort de Komoda, riche homme d'affaires qui a la particularité de lui ressembler comme deux gouttes d'eau, il décide de le faire revenir à la vie en usurpant son identité. Il entreprend alors la construction de son paradis terrestre sur une île isolée. Mais le projet de Hitomi ressemble bientôt à une descente aux enfers... Critique : Autodidacte avec un talent certain ,Suehiro Maruo décide d'adapter en manga ce roman du maître des romans policiers au Japon : Edogawa Ranpo . Déjà publié en 2008 , les éditions Casterman et leur collection SAKKA rééditent ce récit en version cartonnée avec une magnifique couverture transpirant l'élégance . Il faut avouer que le trait de Maruo est particulièrement fin et délicat ; il n'est d'ailleurs pas étonnant d'apprendre qu'il a collaboré avec le maître Moebius dans la revue A suivre . C'est assurément un des points fort de ce roman graphique , le dessin "dandy" du mangaka lui permet toutes les facéties possibles dans cette île paradisiaque , les cases fourmillent de détails , les corps nus "statuaires" embellissent les paysages somptueux , on entendrait presque le bruit de l'eau des cascades ! Passées ces très belles considérations graphiques , attardons-nous un peu sur l'histoire . Un écrivain raté ,Hirosuke Hitomi , ressemblant énormément à un ami d'enfance très riche nommé Komoda , apprend la mort soudaine de ce dernier . Après mûres réflexions , il passe à l'action en profitant d'une faille de la région du défunt : là-bas on enterre les cadavres , on ne les incinère pas comme dans la majeure partie du Japon .En simulant la "résurrection" , et dans le même temps son propre suicide de petit romancier de gare , il va pouvoir mettre en oeuvre son plan : s'accaparer la fortune de son sosie et réaliser enfin son phantasme d'île aux mille plaisirs . Les détails ne sont pas épargnés et il faut noter l'application qu'il met à n'omettre aucun détail pouvant trahir son secret . J'ai bien évidemment pensé au formidable roman de Patricia Highsmith : Le talentueux Mr Ripley . Car le climat de suspicion va entourer Hitomi tout au long de sa "nouvelle" vie de riche propriétaire . Sa femme dans un premier temps , censée connaître son mari parfaitement , représente un obstacle important dans sa quête . Il en va de même pour les traits de caractère et autres goûts et couleurs de Komoda qui divergent totalement des siens . A force de persévérance , il va mener à bien son projet pharaonique , consistant à transformer une île déserte , en parc d'attractions adulte où tout est orienté vers le plaisir des sens . Le genre ero-guro (érotique-grotesque) cher à l'auteur , va prendre sur cet atoll tout son sens : corps dénudés , orgies sexuelles , poses lascive des statues etc .... Tout ceci dans un environnement fleuri , aquatique et reposant . Un paradis éphémère démesuré à l'image de son mensonge , le conduisant peu à peu à la folie . Jusqu'où cela va le mener ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ile-panorama-ne/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    lost children tome 10 (Fin)

    C’est le dernier tome de la série et c’est le combat final, celui où l’on sait qui va survivre et qui va mourir. Un tome intense au milieu d’une bataille qui fait rage et où l’on reste en suspens jusqu’au bout en espérant que tous survivent. Mais c’est une guerre et il n’y a pas toujours de miracle… enfin, pas pour tout le monde. Une bien belle première œuvre pour Tomomi SUMIYAMA et une création Ki-oon, exportée au Japon depuis 2020. Lost Children aura su être une série forte tout le long des 10 tomes, une série avec des personnages attachants, des propos intéressants et un graphisme époustouflant. Une série émouvante et intelligente avec une fin cohérente et légitime.
  8. Titre de l'album : lost children tome 10 (Fin) Scenariste de l'album : SUMIYAMA Tomomi Dessinateur de l'album : SUMIYAMA Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Alhuma n'est plus qu'un champ de bataille... Révolutionnaires et villageois se sont alliés pour faire face à l'armée, mais leurs ennemis les submergent et les pertes sont lourdes. Les assiégés ne sont cependant pas sans soutiens?: l'arrivée de troupes menées par Itoku puis par Tahn Oulrajir pourrait leur permettre de tenir... Loin du front, c'est un autre combat qui se joue, car Uro s'est rebellé contre les prêtres décidés à tuer le kussuf. Le pauvre homme choisit de se sacrifier pour mettre fin à la sinistre tradition des meurtres rituels, libérant Yuri de cette influence néfaste... et le laissant seul avec ses démons. Critique : C’est le dernier tome de la série et c’est le combat final, celui où l’on sait qui va survivre et qui va mourir. Un tome intense au milieu d’une bataille qui fait rage et où l’on reste en suspens jusqu’au bout en espérant que tous survivent. Mais c’est une guerre et il n’y a pas toujours de miracle… enfin, pas pour tout le monde. Une bien belle première œuvre pour Tomomi SUMIYAMA et une création Ki-oon, exportée au Japon depuis 2020. Lost Children aura su être une série forte tout le long des 10 tomes, une série avec des personnages attachants, des propos intéressants et un graphisme époustouflant. Une série émouvante et intelligente avec une fin cohérente et légitime. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-children-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Deux émissaires étrangères sont au palais pour des négociations mais sans soute aussi pour essayer de se rapprocher de l’empereur. Se sentant supérieures aux concubines, Mao Mao et Jinshi montent un plan pour les remettre à leur place. La deuxième partie du tome reprend l’enquête autour des huiles parfumées. Le manga oscille toujours entre les petites affaires du quotidien du palais impérial et la trame principale qui est un complot à plus grande envergure au cœur du palais intérieur. Les petites affaires pouvant prendre vite un aspect important car le mode de vie des concubines et de leurs servantes ne laisse que peu de place à la liberté : chacune a une place qu’elle doit tenir et faire changer les choses n’est pas aisé. De son côté, Mao Mao, sous la protection de Jinshi, bénéficie de plus de marge de manœuvre, d’autant plus qu’elle a déjà fait ses preuves dans plusieurs affaires. Elle continue d’être attentive aux petits détails inhabituels. Les carnets de l’apothicaire reste une œuvre très bien faite avec un graphisme agréable et détaillé. Les informations historiques sont distillées avec parcimonie, de quoi en apprendre plus sur la vie des concubines sans être plombés par trop d’informations. Le scenario sait se renouveler pour notre plus grand plaisir, on ne s’en lasse pas.
  10. Titre de l'album : Les carnets de l'apothicaire tome 10 Scenariste de l'album : NANAO Itsuki Dessinateur de l'album : NEKOKURAGE Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un nouveau défi attend Mao Mao?: pour satisfaire l'émissaire d'un pays étranger, elle doit retrouver une danseuse à la splendeur telle qu'elle ressemblait à une déesse de la lune. Hélas, aujourd'hui, la femme en question n'est autre que la tenancière du palais vert-de-gris, dont la beauté a quelque peu fané... Heureusement, la jeune apothicaire n'est jamais à court d'idées ! Grâce à ses ressources et à son imagination, elle organise un spectacle dont les invitées d'honneur se souviendront longtemps... Critique : Deux émissaires étrangères sont au palais pour des négociations mais sans soute aussi pour essayer de se rapprocher de l’empereur. Se sentant supérieures aux concubines, Mao Mao et Jinshi montent un plan pour les remettre à leur place. La deuxième partie du tome reprend l’enquête autour des huiles parfumées. Le manga oscille toujours entre les petites affaires du quotidien du palais impérial et la trame principale qui est un complot à plus grande envergure au cœur du palais intérieur. Les petites affaires pouvant prendre vite un aspect important car le mode de vie des concubines et de leurs servantes ne laisse que peu de place à la liberté : chacune a une place qu’elle doit tenir et faire changer les choses n’est pas aisé. De son côté, Mao Mao, sous la protection de Jinshi, bénéficie de plus de marge de manœuvre, d’autant plus qu’elle a déjà fait ses preuves dans plusieurs affaires. Elle continue d’être attentive aux petits détails inhabituels. Les carnets de l’apothicaire reste une œuvre très bien faite avec un graphisme agréable et détaillé. Les informations historiques sont distillées avec parcimonie, de quoi en apprendre plus sur la vie des concubines sans être plombés par trop d’informations. Le scenario sait se renouveler pour notre plus grand plaisir, on ne s’en lasse pas. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-carnets-de-l-apothicaire-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Keiji tome 10

    Une fois n’est pas coutume, le tome entier suit une seule histoire : la prise du château de Kawarada. Le clan Uesugi fait le siège du château mais ne progresse pas du tout. La faute à Samanosuke Honma qui joue en fait sur les deux tableaux : il fait mine d’être fidèle à Uesugi mais aide l’autre partie. Keiji, en bon Kabuki-mono qui n’en fait qu’à sa tête et qui vite sa vie à fond, lance une attaque frontale aidé de prisonniers et de vieux paysans prêts à mourir dans l’honneur. On appréciera de voir un combat assez long, à la façon de l’époque, avec des seigneurs hautains qui traitent les autres comme de la chair à canon. Des traitrises, des alliances, des couardises mais aussi de la bravoure et un sens de l’honneur sans égal. Keiji est sérieux, compatissant et sait tirer le meilleur de ses hommes : c’est une présence forte que l’on ressent aussi à la lecture. Un tome différent pour un combat sans pitié.
  12. Nickad

    Keiji tome 10

    Titre de l'album : Keiji tome 10 Scenariste de l'album : RYU Keiichiro Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Si la vie a une fin, la gloire, elle, est éternelle ! »Keiji s'est rendu sur l'île de Sado pour épauler son ami Kanetsugu sur le champ de bataille. Le clan Honma, maître des lieux, s'est en effet scindé en deux factions : une loyale au clan Uesugi, l'autre qui lui est opposée. Alors que le conflit s'enlise devant le château de Kawarada, où sont retenus en otage les enfants des habitants, Keiji prend la tête d'un bataillon haut en couleur pour saisir la forteresse. Le kabuki-mono saura-t-il prouver, une fois de plus, que l'habit ne fait pas le moine ? Critique : Une fois n’est pas coutume, le tome entier suit une seule histoire : la prise du château de Kawarada. Le clan Uesugi fait le siège du château mais ne progresse pas du tout. La faute à Samanosuke Honma qui joue en fait sur les deux tableaux : il fait mine d’être fidèle à Uesugi mais aide l’autre partie. Keiji, en bon Kabuki-mono qui n’en fait qu’à sa tête et qui vite sa vie à fond, lance une attaque frontale aidé de prisonniers et de vieux paysans prêts à mourir dans l’honneur. On appréciera de voir un combat assez long, à la façon de l’époque, avec des seigneurs hautains qui traitent les autres comme de la chair à canon. Des traitrises, des alliances, des couardises mais aussi de la bravoure et un sens de l’honneur sans égal. Keiji est sérieux, compatissant et sait tirer le meilleur de ses hommes : c’est une présence forte que l’on ressent aussi à la lecture. Un tome différent pour un combat sans pitié. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Adapté d’un light novel, une petite présentation de la série s’impose : Un jour, en plein Tokyo apparaît une étrange porte, des êtres venants d’un autre monde débarquent, tuent et kidnappent des citoyens. Les force d’auto-défenses se mettent alors en place puis envoient un contingent de l’autre côté de la porte. Ils découvrent un monde de fantasy qui ne les accueille pas à bras ouverts, ils arrivent à un endroit dirigé par l’empire situé à mi-chemin entre empire romain et Moyen-âge. Les objectifs du Japon sont clairs : il faut d’abord sécuriser l’accès pour qu’il n’y ait pas plus de victimes, faire un repérage, établir des relations diplomatiques, secourir les citoyens disparus et faire du commerce si possible. La 3eme patrouille de reconnaissance dirigée par Itami, lieutenant dans les forces terrestres japonaises d’autodéfense va peu à peu rencontrer des êtres différents (elfes, magiciens, prêtresse…), s’allier avec eux et s’en faire des amis. Seulement l’Empire est hostile et il est lui-même en pleins conflits avec certains des pays voisins, il y a des divergences d’opinion dans leurs rangs concernant les relations avec les Japonais, des tensions internes arrivent et augmentent les tensions déjà existantes. De son côté, le Japon fait face à la pression internationale, car chacun espère recevoir une part du gâteau de cet endroit qui pourrait apporter de nouvelles ressources et richesses. Gate au-delà de la porte est une histoire qui joue sur plusieurs tableaux : il y a la confrontation entre deux mondes dont le mode de vie et les valeurs sont différentes, l’aspect fantasy avec de l’aventure et des créatures fantastiques (le semi-bêtes ravissent les geeks japonais qui passent la porte !), la guerre, l’aspect politique et puis il y aussi de l’humour car Itami n’est pas le plus doué des soldats et que c’est un otaku fini. Dans les tomes 16 et 17 : Itami est parti secourir la princesse Piña, en passant il sauve aussi l’empereur et arrive à fuir la capitale. Cette fois, c’est la guerre ouverte entre les partisans de Zorzal (le fils de l’empereur) et les japonais, ils vont même jusqu’à employer des ogres géants alors qu’ils exècrent les non-humains. De son côté, Itami, doit partir faire un voyage de reconnaissance à Kunappunui, il est accompagné de son équipe habituelle (des autochtones) et de drôles de scientifiques. Gate au-delà de la porte est une série intéressante avec beaucoup d’éléments, trop peut-être par moment, ce qui fait que certains points ne sont pas approfondis comme ils aurait fallu, il y a aussi beaucoup de personnages. En dehors de ça, c’est une très bonne série qui permet de confronter différents univers (et donc différents points de vue) sans passer par la case isekai.
  14. Titre de l'album : Gate au-delà de la porte tomes 16 et 17 Scenariste de l'album : YANAI Takumi Dessinateur de l'album : SAO Satoru Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Itami et ses hommes pénètrent dans le palais impérial afin de secourir Piña, la fille de l’Empereur. Mais Zorzal les attend et ne compte pas les laisser repartir vivants. Il lance sur eux une garde d’ogres géants cuirassés qu’il a spécialement mise en place pour tenir tête aux FJA... Quel va être le dénouement de cette confrontation qui s’annonce sanglante ?!. Critique : Adapté d’un light novel, une petite présentation de la série s’impose : Un jour, en plein Tokyo apparaît une étrange porte, des êtres venants d’un autre monde débarquent, tuent et kidnappent des citoyens. Les force d’auto-défenses se mettent alors en place puis envoient un contingent de l’autre côté de la porte. Ils découvrent un monde de fantasy qui ne les accueille pas à bras ouverts, ils arrivent à un endroit dirigé par l’empire situé à mi-chemin entre empire romain et Moyen-âge. Les objectifs du Japon sont clairs : il faut d’abord sécuriser l’accès pour qu’il n’y ait pas plus de victimes, faire un repérage, établir des relations diplomatiques, secourir les citoyens disparus et faire du commerce si possible. La 3eme patrouille de reconnaissance dirigée par Itami, lieutenant dans les forces terrestres japonaises d’autodéfense va peu à peu rencontrer des êtres différents (elfes, magiciens, prêtresse…), s’allier avec eux et s’en faire des amis. Seulement l’Empire est hostile et il est lui-même en pleins conflits avec certains des pays voisins, il y a des divergences d’opinion dans leurs rangs concernant les relations avec les Japonais, des tensions internes arrivent et augmentent les tensions déjà existantes. De son côté, le Japon fait face à la pression internationale, car chacun espère recevoir une part du gâteau de cet endroit qui pourrait apporter de nouvelles ressources et richesses. Gate au-delà de la porte est une histoire qui joue sur plusieurs tableaux : il y a la confrontation entre deux mondes dont le mode de vie et les valeurs sont différentes, l’aspect fantasy avec de l’aventure et des créatures fantastiques (le semi-bêtes ravissent les geeks japonais qui passent la porte !), la guerre, l’aspect politique et puis il y aussi de l’humour car Itami n’est pas le plus doué des soldats et que c’est un otaku fini. Dans les tomes 16 et 17 : Itami est parti secourir la princesse Piña, en passant il sauve aussi l’empereur et arrive à fuir la capitale. Cette fois, c’est la guerre ouverte entre les partisans de Zorzal (le fils de l’empereur) et les japonais, ils vont même jusqu’à employer des ogres géants alors qu’ils exècrent les non-humains. De son côté, Itami, doit partir faire un voyage de reconnaissance à Kunappunui, il est accompagné de son équipe habituelle (des autochtones) et de drôles de scientifiques. Gate au-delà de la porte est une série intéressante avec beaucoup d’éléments, trop peut-être par moment, ce qui fait que certains points ne sont pas approfondis comme ils aurait fallu, il y a aussi beaucoup de personnages. En dehors de ça, c’est une très bonne série qui permet de confronter différents univers (et donc différents points de vue) sans passer par la case isekai. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gate-au-dela-de-la-porte-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Made in abyss tome 10

    La « princesse » Faputa s’apprête à détruire le village pour exterminer tous ses habitants. Au cours de ce combat, la protection du village cède et les créatures de l’abysse arrivent et attaquent. Faputa essaye de les combattre mais se fait manger en partie, c’est grâce au sacrifice des habitants qu’elle parvient à continuer. Un tome qui marque la fin du village mais aussi un nouveau départ pour tous, les souvenirs se partagent, les rancœurs s’éteignent et tout le monde finit par trouver son chemin. Un volume très sombre, d’abord parce que le combat est dense et dramatique, ensuite et comme souvent, le graphisme très particulier du manga n’aide pas toujours à y voir très clair mais surtout parce qu’il y a la souffrance de Faputa, palpable tout le long du livre. Made in abyss n’est toujours pas à mettre entre toutes les mains mais il nous propose aussi toujours un scenario inédit et l’on ne sait jamais à quoi s’attendre.
  16. Titre de l'album : Made in abyss tome 10 Scenariste de l'album : TSUKUSHI Akihito Dessinateur de l'album : TSUKUSHI Akihito Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Légu tente d’arrêter Faputa qui brûle d’un désir de vengeance. Nanachi, qui était retenu prisonnier par Belaf, se réveille… Nos jeunes aventuriers, les villageois, Faputa… Tandis que les espérances de chacun s’entrecroisent, des créatures primitives pénètrent dans le village. Voici le 10e volume de cette grande aventure rocambolesque mêlant colère et tristesse ! Critique : La « princesse » Faputa s’apprête à détruire le village pour exterminer tous ses habitants. Au cours de ce combat, la protection du village cède et les créatures de l’abysse arrivent et attaquent. Faputa essaye de les combattre mais se fait manger en partie, c’est grâce au sacrifice des habitants qu’elle parvient à continuer. Un tome qui marque la fin du village mais aussi un nouveau départ pour tous, les souvenirs se partagent, les rancœurs s’éteignent et tout le monde finit par trouver son chemin. Un volume très sombre, d’abord parce que le combat est dense et dramatique, ensuite et comme souvent, le graphisme très particulier du manga n’aide pas toujours à y voir très clair mais surtout parce qu’il y a la souffrance de Faputa, palpable tout le long du livre. Made in abyss n’est toujours pas à mettre entre toutes les mains mais il nous propose aussi toujours un scenario inédit et l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/made-in-abyss-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Nos mots comme des bulles tome 2

    Depuis sa rencontre avec Smile, Cherry ne ressent plus le besoin de s’isoler avec ses écouteurs, au contraire, il passe du temps avec la jeune fille. Ils décident d’aider le vieux monsieur Fujiyama a retrouvé un ancien vinyle, celui de sa défunte épouse. Tout d’abord, un mot concernant l’édition : la qualité ne se nie pas mais je regrette vraiment, à un moment où la crise du papier se fait bien ressentir, les 24 pages blanches de fin de livre, du gaspillage selon moi ! Concernant le manga, il est légèrement plus rythmé que le 1er tome et aussi un peu moins poétique. Au travers de la recherche du disque, les personnages montrent leurs sentiments et aussi leur désarroi, cependant l’histoire reste assez simple et on a du mal à ressentir de l’empathie. Si la lecture est agréable, elle ne restera peut-être pas dans les mémoires. Fin au prochain volume.
  18. Titre de l'album : Nos mots comme des bulles tome 2 Scenariste de l'album : FlyingDog Dessinateur de l'album : Oono Imo Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Cherry est un lycéen qui n'arrive à exprimer ses sentiments qu'au travers des haïkus qu'il compose. Un jour, il rencontre Smile, une streameuse populaire qui complexe sur ses dents. Ensemble, ils vont aider M. Fujiyama, un vieil homme, à retrouver un vinyle chargé de souvenirs et qu'il a égaré. Leurs sentiments les poussent très vite l'un vers l'autre, mais... Critique : Depuis sa rencontre avec Smile, Cherry ne ressent plus le besoin de s’isoler avec ses écouteurs, au contraire, il passe du temps avec la jeune fille. Ils décident d’aider le vieux monsieur Fujiyama a retrouvé un ancien vinyle, celui de sa défunte épouse. Tout d’abord, un mot concernant l’édition : la qualité ne se nie pas mais je regrette vraiment, à un moment où la crise du papier se fait bien ressentir, les 24 pages blanches de fin de livre, du gaspillage selon moi ! Concernant le manga, il est légèrement plus rythmé que le 1er tome et aussi un peu moins poétique. Au travers de la recherche du disque, les personnages montrent leurs sentiments et aussi leur désarroi, cependant l’histoire reste assez simple et on a du mal à ressentir de l’empathie. Si la lecture est agréable, elle ne restera peut-être pas dans les mémoires. Fin au prochain volume. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nos-mots-comme-des-bulles-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Les enfants de la mer tome 1

    Réédition pour ce manga en 5 tomes devenu introuvable et qui a eu une adaptation en long métrage en 2019. Daisuke IGARASHi est un auteur peu connu en France bien que 8 de ses titres aient été publiés chez Casterman et Sarbacane notamment, des œuvres atypiques, pas forcément grand public et qui mériteraient d’être plus connues. Les enfants de la mer met en scène deux garçons qui ont été élevés par des dugongs et qui ont adaptés leur morphologie à cet environnement. On a déjà eu dans la réalité des enfants élevés par des loups alors pourquoi pas par des mammifères marins ? Sous des allures de tranche de vie avec un graphisme très soigné et détaille, l’auteur y insère habilement un univers fantastique comme si c’était la réalité. Le personnage principal est une jeune fille pendant les grandes vacances qui va devenir l’amie des garçons et être témoin de certains évènements en rapport avec l’étrange disparition de poissons dans les aquariums du monde entier. Le manga est une œuvre très onirique et en même temps très réaliste, l’auteur sait nous entrainer dans son univers et fait monter l’intrigue et l’intérêt peu à peu. Un titre à découvrir.
  20. Titre de l'album : Les enfants de la mer tome 1 Scenariste de l'album : IGARASHI Daisuke Dessinateur de l'album : IGARASHI Daisuke Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ruka, une collégienne éprise de liberté, vit au bord de la mer. Pendant les vacances d'été, elle fait la connaissance de deux garçons, Umi et Sora, qui ont été élevés par des Dugongs, des mammifères marins menacés de disparition. Quand ils nagent dans la mer, ils donnent l'impression de voler et parfois se mettent à briller. Qui sont réellement ces deux garçons fascinants ? Critique : Réédition pour ce manga en 5 tomes devenu introuvable et qui a eu une adaptation en long métrage en 2019. Daisuke IGARASHi est un auteur peu connu en France bien que 8 de ses titres aient été publiés chez Casterman et Sarbacane notamment, des œuvres atypiques, pas forcément grand public et qui mériteraient d’être plus connues. Les enfants de la mer met en scène deux garçons qui ont été élevés par des dugongs et qui ont adaptés leur morphologie à cet environnement. On a déjà eu dans la réalité des enfants élevés par des loups alors pourquoi pas par des mammifères marins ? Sous des allures de tranche de vie avec un graphisme très soigné et détaille, l’auteur y insère habilement un univers fantastique comme si c’était la réalité. Le personnage principal est une jeune fille pendant les grandes vacances qui va devenir l’amie des garçons et être témoin de certains évènements en rapport avec l’étrange disparition de poissons dans les aquariums du monde entier. Le manga est une œuvre très onirique et en même temps très réaliste, l’auteur sait nous entrainer dans son univers et fait monter l’intrigue et l’intérêt peu à peu. Un titre à découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-de-la-mer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Cheat skill level up tome 1

    Tenjo Yuta un jeune homme petit, moche et gros est le souffre-douleur de ses camarades d’école et même de ses frère et sœur. Délaissé par sa famille, il vit dans la maison de son grand-père, le seul qui l’aimait vraiment. Un jour, il découvre dans cette demeure un passage vers un monde de fantaisy où il obtient très rapidement des compétences. Je trouvais la couverture de ce manga très belle avec un résumé qui me donnait vraiment envie de le lire, j’avoue avoir été déçue ou plutôt j’aurai dû faire mieux attention au titre ! Car oui tout est trop « cheaté » à peine arrivé dans l’autre monde, Yuta obtient des compétences hors norme, ce qui arrive parfois, mais en plus, il passe d’un petit gros d’1m30 à un beau gosse d’1m80 en perdant au passage les kilos superflus, l’acné et les cheveux gras… Quant à l’histoire, et bien on ne sait pas où l’on va pour le moment, est-ce qu’il cherche à se venger des brimades ? Est-ce qu’il veut devenir populaire ? Mener sa vie dans cet autre monde ? Devenir un héros ? Aucune idée… Miku est aussi le scénariste de The fruit of evolution, dont l’anime est disponible sur crunchyroll, un manga où le personnage, pas gâté par la nature, était aussi victime de harcèlement et qui, envoyé dans un autre monde, est devenu super fort et super beau… mais au moins il y avait beaucoup d’humour. Ici, le 1er tome n’est pas désagréable (si on supporte le genre trop de super compétences) mais il faudra attendre la suite pour voir le développement du scenario. En tout cas la couverture est vraiment belle !! extrait
  22. Titre de l'album : Cheat skill level up tome 1 Scenariste de l'album : MIKU Dessinateur de l'album : MINATOGAWA Kazuomi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Tenjo est un garçon légèrement enrobé qui a toujours été victime de harcèlement. Il ne trouve de répit que dans les moments de solitude, dans la maison que son grand-père lui a léguée. Un jour, en faisant du tri, il tombe accidentellement sur une pièce secrète dans laquelle se trouve une mystérieuse porte et des objets médiévaux qu'il n'avait jamais vus. Une fois franchie, cette porte l'emmène dans un monde de fantasy. Critique : Tenjo Yuta un jeune homme petit, moche et gros est le souffre-douleur de ses camarades d’école et même de ses frère et sœur. Délaissé par sa famille, il vit dans la maison de son grand-père, le seul qui l’aimait vraiment. Un jour, il découvre dans cette demeure un passage vers un monde de fantaisy où il obtient très rapidement des compétences. Je trouvais la couverture de ce manga très belle avec un résumé qui me donnait vraiment envie de le lire, j’avoue avoir été déçue ou plutôt j’aurai dû faire mieux attention au titre ! Car oui tout est trop « cheaté » à peine arrivé dans l’autre monde, Yuta obtient des compétences hors norme, ce qui arrive parfois, mais en plus, il passe d’un petit gros d’1m30 à un beau gosse d’1m80 en perdant au passage les kilos superflus, l’acné et les cheveux gras… Quant à l’histoire, et bien on ne sait pas où l’on va pour le moment, est-ce qu’il cherche à se venger des brimades ? Est-ce qu’il veut devenir populaire ? Mener sa vie dans cet autre monde ? Devenir un héros ? Aucune idée… Miku est aussi le scénariste de The fruit of evolution, dont l’anime est disponible sur crunchyroll, un manga où le personnage, pas gâté par la nature, était aussi victime de harcèlement et qui, envoyé dans un autre monde, est devenu super fort et super beau… mais au moins il y avait beaucoup d’humour. Ici, le 1er tome n’est pas désagréable (si on supporte le genre trop de super compétences) mais il faudra attendre la suite pour voir le développement du scenario. En tout cas la couverture est vraiment belle !! extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cheat-skill-level-up-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Quelle belle fin du monde ! tome 1

    Non s’en rappeler d’autres titres comme lonely world pour son aspect post-apocalyptique et monde désolé, ou made in abyss pour mettre en scène un personnage d’enfant mignon dans un monde plutôt cruel et impitoyable, quelle belle fin du monde n’étonne pas au 1er abord. Une petite fille et son animal de compagnie errent dans une ville abandonnée à la recherche d’autres humains, ils luttent quotidiennement pour survivre et trouver de quoi subsister. Il faut reconnaître que si pour le moment l’histoire n’est pas exceptionnelle (mais des surprises nous attendent peut-être dans la suite), la créativité de l’auteur pour ce monde en ruine est bien fournie : si le fond du décor est notre monde moderne, il y a plein de faune et de flore originale et même des habitants d’un autre monde. Concernant l’histoire, il faudra attendre la suite pour s’en faire une idée car pour le moment, la balade est un peu ennuyante.
  24. Titre de l'album : Quelle belle fin du monde ! tome 1 Scenariste de l'album : TOTTORI Saq Dessinateur de l'album : TOTTORI Saq Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans un monde en ruine, la jeune Yakône voyage à la recherche d'êtres humains. Accompagnée de Yago, sa souris à six pattes et de Ney, son robot, elle va au-devant de nombreuses péripéties. À la recherche d'eau ou de délicieux fruits, elle doit aussi composer avec des formes inquiétantes et des monstres géants. Venez partager le carnet de voyage drôle et plein d'aventures d'un groupe d'explorateurs pas comme les autres dans un monde post apocalyptique Critique : Non s’en rappeler d’autres titres comme lonely world pour son aspect post-apocalyptique et monde désolé, ou made in abyss pour mettre en scène un personnage d’enfant mignon dans un monde plutôt cruel et impitoyable, quelle belle fin du monde n’étonne pas au 1er abord. Une petite fille et son animal de compagnie errent dans une ville abandonnée à la recherche d’autres humains, ils luttent quotidiennement pour survivre et trouver de quoi subsister. Il faut reconnaître que si pour le moment l’histoire n’est pas exceptionnelle (mais des surprises nous attendent peut-être dans la suite), la créativité de l’auteur pour ce monde en ruine est bien fournie : si le fond du décor est notre monde moderne, il y a plein de faune et de flore originale et même des habitants d’un autre monde. Concernant l’histoire, il faudra attendre la suite pour s’en faire une idée car pour le moment, la balade est un peu ennuyante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quelle-belle-fin-du-monde-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Saturn return tome 1 Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Ritsuko Kaji est une romancière qui souffre du syndrome de la page blanche... Mais quand une nuit, elle rêve d'un de ses anciens amis, son quotidien va basculer : au réveil, elle apprend le suicide de ce dernier... Tandis qu'elle se sent étouffée par sa vie de femme au foyer, la voilà rattrapée par le souvenir d'un être cher désormais décédé. Confrontée de force à son passé, elle retourne à Osaka en compagnie de son nouvel éditeur. Mais ce voyage pourrait bien faire remonter des sentiments douloureux à la surface... Critique : Ritsuko Kaji est romancière, depuis le succès de son premier livre 5 ans auparavant, elle a du mal à écrire à nouveau. Sa vie d’épouse est compliquée, les relations avec son mari sont assez étranges, d’un côté il est attentif et de l’autre ne semble rechercher qu’une mère pour ses futurs enfants. Un jour, elle apprend qu’un ancien ami, qui est aussi le personnage principal de son livre, s’est suicidé. Son éditeur va la pousser à aller chercher la vérité, s’il le fait parce qu’il y voit un sujet digne d’un nouveau roman, il l’accompagne aussi car Kaji l’intrigue. Akane Torikai nous avait déjà livré des œuvres très intéressantes (en proie au silence et le siège des exilées notamment) mais sa narration souffrait de certaines longueurs qui, à mon avis, desservait son propos. Encore une fois, elle nous plonge au cœur d’un personnage féminin fort, pris dans les tourments de la vie. Il semble qu’elle ait gagné en maturité, le récit est rondement mené et ne souffre pas de lenteurs. D’un côté il y a Kaji, une femme qui est blessée qui pense avoir été sauvée par son mari mais qui semble très instable émotionnellement. De l’autre il y a Nakajima, le fantôme de l’histoire, celui par qui tout a commencé et qui laisse un flou total dans son sillage : la raison de son suicide mais surtout une réflexion sur la vie, sur le fait d’en être maître ou juste spectateur. Celui qui lui a demandé d’écrire un livre pour laisser une trace de son passage sur Terre et qui avait décidé de mourir avant ses 30 ans. Saturn return est un manga avec des propos extrêmement forts qui mérite de prendre le temps de s’y plonger et d’y réfléchir. Un graphisme soigné, un rendu des sentiments réaliste, un livre que l’on peut lire plusieurs fois avant d’en saisir toute l’essence. Une réussite ! 6 tomes en cours, plutôt destiné aux adultes pour la maturité de la réflexion. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saturn-return-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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