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  1. Nickad

    Alice in borderland retry tome 1

    Alice in Borderland retry est la courte suite du manga Alice in Borderland, 18 tomes sortis entre 2013 et 2017. L’un des premiers manga « jeu de survie » arrivé en France et qui n’a pas eu le succès qu’il méritait, tout simplement parce que le genre n’était peut-être pas en vogue à l’époque ou parce qu’il a été éclipsé par King’s game qui a été publié en même temps. Alice était l’un des personnages de la première série, adolescent à l’époque, il faisait partie des quelques survivants du jeu. Borderland est un endroit situé entre la vie et la mort où les « joueurs » sont mis à l’épreuve. Devenu adulte, Alice est sur le point d’être père, suite à un accident, il se retrouve à nouveau à Borderland avec 6 autres joueurs et doit passer une épreuve : le concept est simple, ils doivent entrer dans une capsule pour survivre, chacun peut accorder ce droit à un autre joueur (impossible de se l’octroyer) et chacun a aussi une carte « death » pour contrer un autre joueur. A chaque tour, il y a une capsule en moins. Ceux qui restent meurent. L’intérêt du manga n’est pas le jeu, c’est le questionnement, comment décider de celui qui doit vivre et celui qui doit mourir. Et pour appuyer encore son propos, l’auteur choisit différents personnages : un père qui a élevé seul sa fille, qui est également présente, un médecin et une infirmière urgentiste, un voyou qui n’a pas de scrupule à tué pour voler. Est-ce que toutes les vies ont la même valeur ? Je ne peux pas comparer avec la série originelle car j’étais passée à côté et je ne l’ai acheté que récemment (mais pas encore lue), mais elle est considérée comme une série incontournable. Alice in Borderland retry nous pousse dans des réflexions psychologiques sur la valeur de la vie et de nos actes car finalement, personne n’est tout blanc ou tout noir, chacun a des défauts et commis des erreurs. Sur fond de survival, c’est finalement un thriller psychologique haletant qui nous ai proposé, un manga intéressant fini en 2 tomes. PS : il n'est pas nécessaire d'avoir lu la 1ère série pour comprendre même s'il y a quelques images flashback dans le manga.
  2. Titre de l'album : Alice in borderland retry tome 1 Scenariste de l'album : ASÔ Haro Dessinateur de l'album : ASÔ Haro Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Alice a maintenant 26 ans, il est marié et attend son premier enfant avec Yuzuha. Alors qu'il se rend dans un temple, il est de retour à Borderland. Il doit, à nouveau, participer à des jeux pour sauver sa peau. Dès la première épreuve, Alice se retrouve avec cinq personnes étranges et un mystérieux cadavre ! Critique : Alice in Borderland retry est la courte suite du manga Alice in Borderland, 18 tomes sortis entre 2013 et 2017. L’un des premiers manga « jeu de survie » arrivé en France et qui n’a pas eu le succès qu’il méritait, tout simplement parce que le genre n’était peut-être pas en vogue à l’époque ou parce qu’il a été éclipsé par King’s game qui a été publié en même temps. Alice était l’un des personnages de la première série, adolescent à l’époque, il faisait partie des quelques survivants du jeu. Borderland est un endroit situé entre la vie et la mort où les « joueurs » sont mis à l’épreuve. Devenu adulte, Alice est sur le point d’être père, suite à un accident, il se retrouve à nouveau à Borderland avec 6 autres joueurs et doit passer une épreuve : le concept est simple, ils doivent entrer dans une capsule pour survivre, chacun peut accorder ce droit à un autre joueur (impossible de se l’octroyer) et chacun a aussi une carte « death » pour contrer un autre joueur. A chaque tour, il y a une capsule en moins. Ceux qui restent meurent. L’intérêt du manga n’est pas le jeu, c’est le questionnement, comment décider de celui qui doit vivre et celui qui doit mourir. Et pour appuyer encore son propos, l’auteur choisit différents personnages : un père qui a élevé seul sa fille, qui est également présente, un médecin et une infirmière urgentiste, un voyou qui n’a pas de scrupule à tué pour voler. Est-ce que toutes les vies ont la même valeur ? Je ne peux pas comparer avec la série originelle car j’étais passée à côté et je ne l’ai acheté que récemment (mais pas encore lue), mais elle est considérée comme une série incontournable. Alice in Borderland retry nous pousse dans des réflexions psychologiques sur la valeur de la vie et de nos actes car finalement, personne n’est tout blanc ou tout noir, chacun a des défauts et commis des erreurs. Sur fond de survival, c’est finalement un thriller psychologique haletant qui nous ai proposé, un manga intéressant fini en 2 tomes. PS : il n'est pas nécessaire d'avoir lu la 1ère série pour comprendre même s'il y a quelques images flashback dans le manga. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alice-on-borderland-retry-tome-1ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Maintenant que M Kanda et le chat Fukumaru vivent ensembles, ils vont devoir s’habituer l’un à l’autre et apprendre à se connaître. Comme dans le 1er tome, on a la vision et les pensées des 2 côtés. Ce sont plein de petites scènes du quotidien, une suite des comportements des chats avec leur interprétation. Mais encore une fois, ce qu’il y a en plus dans ce manga par rapport aux autres mangas de chat, c’est la chaleur qui s’en dégage. L’auteur ne fait pas qu’accumuler les anecdotes autour des chats et leurs comportements drôles et mignons (et il y a de quoi faire !!) mais il sait mettre des images sur les sentiments. Ceux de ce chat adulte tout moche qui a enfin trouvé une famille et ceux de cet homme qui retrouve de la joie dans son quotidien après le décès de son épouse. On ressent l’attachement l’un pour l’autre et on comprend tout ce qu’un animal peut apporter dans la vie. Même si ce tome est peut-être un peu moins émouvant que le 1er, il reste très bien fait, très bien dessiné et touchant. C’est un petit moment de tendresse et de bonheur dont on aurait tort de se priver.
  4. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 2 Scenariste de l'album : SAKURAI Umi Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour. Critique : Maintenant que M Kanda et le chat Fukumaru vivent ensembles, ils vont devoir s’habituer l’un à l’autre et apprendre à se connaître. Comme dans le 1er tome, on a la vision et les pensées des 2 côtés. Ce sont plein de petites scènes du quotidien, une suite des comportements des chats avec leur interprétation. Mais encore une fois, ce qu’il y a en plus dans ce manga par rapport aux autres mangas de chat, c’est la chaleur qui s’en dégage. L’auteur ne fait pas qu’accumuler les anecdotes autour des chats et leurs comportements drôles et mignons (et il y a de quoi faire !!) mais il sait mettre des images sur les sentiments. Ceux de ce chat adulte tout moche qui a enfin trouvé une famille et ceux de cet homme qui retrouve de la joie dans son quotidien après le décès de son épouse. On ressent l’attachement l’un pour l’autre et on comprend tout ce qu’un animal peut apporter dans la vie. Même si ce tome est peut-être un peu moins émouvant que le 1er, il reste très bien fait, très bien dessiné et touchant. C’est un petit moment de tendresse et de bonheur dont on aurait tort de se priver. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-et-inversement-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Sensor

    Sensor est une œuvre récente de Junji Ito, elle date de 2018 et c’est sa 1ère publication en France, l’édition de Mangetsu est irréprochable : un livre relié avec un papier de qualité et une couverture soignée. Concernant l’histoire, c’est un peu confus au départ. Il y a une jeune femme Kyôko Byakuya qui semble errer au hasard dans la montagne au pied d’un volcan, elle se retrouve dans un village où tout le monde l’attendait sans la connaître vraiment. Les habitants sont tous connectés à l’énergie cosmique via des filaments dorés semblables aux cheveux de Pelé (filaments rocheux issus d’un volcan), puis le village disparait et Kyôko va renaitre avec une chevelure dorée. S’ensuivent des histoires autour de Kyôko, une investigation d’un journaliste permet de faire le lien entre chaque. Junji Ito dans sa postface dit que ces personnages n’en ont fait qu’à leurs têtes, qu’ils n’ont pas tenu leur rôle et c’est pourquoi on part un peu sur différentes pistes, chaque chapitre peut être indépendant mais il y a une cohérence d’ensemble qui s’impose à la fin. Car l’œuvre est mystique, elle s’appuie sur les notions de bien et de mal ou lumière et ténèbres et met en avant le thème de l’horreur cosmique. Les filaments dorés sont la lumière, ils permettent d’avoir accès à la connaissance universelle, mais certains hommes veulent s’approprier les annales akashiques pour régner sur le monde. L’horreur est psychologique, elle met l’homme face à son insignifiance par rapport à sa place dans l’univers, à son faible savoir. Junji Ito montre des hommes avides, voulant toujours avoir plus mais met en garde aussi sur la capacité humaine à pouvoir digérer ce flot d’informations. Si graphiquement, il n’y a rien à reprocher et que l’on se trouve bien dans l’univers particulier de l’auteur ; la trame de l’histoire, bien qu’intéressante montre des lacunes. Car Junji Ito soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses, il nous met dans un contexte où les croyances et Dieu ont une importance, et nous laisse parfois en plan car lui-même n’a pas de vérité à donner.
  6. Nickad

    Sensor

    Titre de l'album : Sensor Scenariste de l'album : ITÔ Junji Dessinateur de l'album : ITÔ Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kyôko Byakuya marche seule au pied de la montagne Sengoku. Est-t-elle perdue ou quelque chose l'a-t-elle attirée ici ? Soudain, un homme étrange apparaît pour lui dire qu'il l'attendait et l'invite dans son village. À son arrivée, la femme contemple la vision étonnante d'un lieu où tout brille comme de l'or. La nuit, en observant le ciel avec les villageois, une infinité d'objets tombe comme la pluie. C'est le premier d'une série d'incidents terrifiants qui sont sur le point de bouleverser la réalité telle qu'on la connait ! Le monde entier sera bientôt à la merci de la beauté et du pouvoir de la femme mystérieuse. Mais qui est Kyôko Byakuya?! Critique : Sensor est une œuvre récente de Junji Ito, elle date de 2018 et c’est sa 1ère publication en France, l’édition de Mangetsu est irréprochable : un livre relié avec un papier de qualité et une couverture soignée. Concernant l’histoire, c’est un peu confus au départ. Il y a une jeune femme Kyôko Byakuya qui semble errer au hasard dans la montagne au pied d’un volcan, elle se retrouve dans un village où tout le monde l’attendait sans la connaître vraiment. Les habitants sont tous connectés à l’énergie cosmique via des filaments dorés semblables aux cheveux de Pelé (filaments rocheux issus d’un volcan), puis le village disparait et Kyôko va renaitre avec une chevelure dorée. S’ensuivent des histoires autour de Kyôko, une investigation d’un journaliste permet de faire le lien entre chaque. Junji Ito dans sa postface dit que ces personnages n’en font fait qu’à leurs têtes, qu’ils n’ont pas tenu leur rôle et c’est pourquoi on part un peu sur différentes pistes, chaque chapitre peut être indépendant mais il y a une cohérence d’ensemble qui s’impose à la fin. Car l’œuvre est mystique, elle s’appuie sur les notions de bien et de mal ou lumière et ténèbres et met en avant le thème de l’horreur cosmique. Les filaments dorés sont la lumière, ils permettent d’avoir accès à la connaissance universelle, mais certains hommes veulent s’approprier les annales akashiques pour régner sur le monde. L’horreur est psychologique, elle met l’homme face à son insignifiance par rapport à sa place dans l’univers, à son faible savoir. Junji Ito montre des hommes avides, voulant toujours avoir plus mais met en garde aussi sur la capacité humaine à pouvoir digérer ce flot d’informations. Si graphiquement, il n’y a rien à reprocher et que l’on se trouve bien dans l’univers particulier de l’auteur ; la trame de l’histoire, bien qu’intéressante montre des lacunes. Car Junji Ito soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses, il nous met dans un contexte où les croyances et Dieu ont une importance, et nous laisse parfois en plan car lui-même n’a pas de vérité à donner. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sensor?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. La vieille medium Mitsue décide de revenir en ville pour aider Miko. Pendant ce temps Miko et son amie Hana vont au cinéma, hélas, un monstre lui cache tout le film. Puis elles font la rencontre de Rom Shindo, un drôle de gars qui semble aussi avoir des pouvoirs. D’habitude je n’aime pas trop quand un manga s’éparpille et part sur des petites histoires annexes au détriment de la trame principale. Sauf qu’ici, ce mélange est brillamment dosé : on avance dans la découverte du monde des "esprits", des pouvoirs de Miko et des interactions avec d’autres personnages et en même temps, on a des petites anecdotes, issues du quotidien de la vie de Miko, qui sont autant effrayantes qu’amusantes. Le dessin est toujours maitrisé et les monstres sont vraiment horrifiques, on admire le sang froid de Miko qui fait comme si de rien n’était ! Un manga qu’on n’attend pas forcément avec impatience mais qu’on lit avec plaisir.
  8. Titre de l'album : Mieruko-Chan - slice of horror tome 4 Scenariste de l'album : IZUMI Tomoki Dessinateur de l'album : IZUMI Tomoki Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Après avoir utilisé sa "troisième fois", notre malheureuse héroïne se décide à aller au sanctuaire, celui-là même où tout a commencé, pour exprimer sa gratitude... Dans ce quatrième tome de la comédie horrifique, Miko persiste à feindre l'ignorance. Critique : La vieille medium Mitsue décide de revenir en ville pour aider Miko. Pendant ce temps Miko et son amie Hana vont au cinéma, hélas, un monstre lui cache tout le film. Puis elles font la rencontre de Rom Shindo, un drôle de gars qui semble aussi avoir des pouvoirs. D’habitude je n’aime pas trop quand un manga s’éparpille et part sur des petites histoires annexes au détriment de la trame principale. Sauf qu’ici, ce mélange est brillamment dosé : on avance dans la découverte du monde des "esprits", des pouvoirs de Miko et des interactions avec d’autres personnages et en même temps, on a des petites anecdotes, issues du quotidien de la vie de Miko, qui sont autant effrayantes qu’amusantes. Le dessin est toujours maitrisé et les monstres sont vraiment horrifiques, on admire le sang froid de Miko qui fait comme si de rien n’était ! Un manga qu’on n’attend pas forcément avec impatience mais qu’on lit avec plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mieruko-chan-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Gigant tome 8

    Nous sommes au Japon. Rei Yokoyamada, 16 ans, mène une vie banale entre le lycée où il n’excelle pas et sa passion de réalisateur. Un soir, il apprend que Papico (alias Chiho Johansson), jeune actrice porno, habite à côté de chez lui, et les deux jeunes gens finissent par se rencontrer un peu par hasard. Un lien étrange et fort se tisse alors entre eux, chacun ne trouvant pas sa place dans la société. Parallèlement, des monstres gigantesques apparaissent dans tout le Japon pour créer l’apocalypse. Suite à un concours de circonstances, Papico va recevoir le pouvoir de changer de taille au gré de ses envies, et la jeune femme va mettre cette capacité au service du sauvetage de son pays. Ce manga est le premier à mettre au centre de son histoire une actrice pornographique, le romantisme entre Chiho et Rei étant au premier plan de l’intrigue. L’aspect fantastique qui est au début relégué au second plan va prendre de plus en plus d’importance au fur et à mesure des tomes. Si on retrouve le graphisme d’Hiroya Oku, Le fait que le mangaka utilise des photos en arrière-plan montre une sorte de facilité pour l’auteur, desservant le manga par rapport à la capacité de dessin des autres auteurs De plus, l’histoire se rapproche un peu de celle de Gantz, et j’aurai aimé lire une histoire totalement différente, pour découvrir la palette du mangaka. Mais Gigant est une bonne série, avec une intrigue sympathique et des personnages très touchants malgré quelques longueurs. Néanmoins, l’intrigue part un peu dans tous les sens, et cela mériterait d’être plus centré. Le tome8 est, disons-le, en dessous du reste de la série. Il ne se passe pas grand-chose à part du combat qui s’étend pendant tout le tome, même s’il n’est pas trop ennuyant. Le résumé à l’arrière du manga en dit plus sur l’histoire que quand on lit tout le livre ! Espérons que le tome 9 sera mieux et plus prenant. Note pour la série : 4, note pour le tome 8 : 3 Critique réalisée par ma très chère fille qui aime vraiment beaucoup cette série
  10. Nickad

    Gigant tome 8

    Titre de l'album : Gigant tome 8 Scenariste de l'album : OKU Hiroya Dessinateur de l'album : OKU Hiroya Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Alors que Rei et Chiho avaient dû se séparer afin d'échapper aux médias, la jeune femme décide de reprendre contact avec le lycéen. En effet, elle a une importante nouvelle à lui annoncer : elle est enceinte ! Fous de joie, les deux amants se réunissent enfin... Malheureusement, leur bonheur est de courte durée, car l'apparition soudaine de Satan à Tokyo provoque d'irrépressibles envies de suicide chez les habitants. Pour protéger Rei, incapable de lutter contre cette pulsion, Papico n'hésite pas à se lancer à l'assaut du géant... mais, cette fois, elle n'est pas seule ! Critique : Nous sommes au Japon. Rei Yokoyamada, 16 ans, mène une vie banale entre le lycée où il n’excelle pas et sa passion de réalisateur. Un soir, il apprend que Papico (alias Chiho Johansson), jeune actrice porno, habite à côté de chez lui, et les deux jeunes gens finissent par se rencontrer un peu par hasard. Un lien étrange et fort se tisse alors entre eux, chacun ne trouvant pas sa place dans la société. Parallèlement, des monstres gigantesques apparaissent dans tout le Japon pour créer l’apocalypse. Suite à un concours de circonstances, Papico va recevoir le pouvoir de changer de taille au gré de ses envies, et la jeune femme va mettre cette capacité au service du sauvetage de son pays. Ce manga est le premier à mettre au centre de son histoire une actrice pornographique, le romantisme entre Chiho et Rei étant au premier plan de l’intrigue. L’aspect fantastique qui est au début relégué au second plan va prendre de plus en plus d’importance au fur et à mesure des tomes. Si on retrouve le graphisme d’Hiroya Oku, Le fait que le mangaka utilise des photos en arrière-plan montre une sorte de facilité pour l’auteur, desservant le manga par rapport à la capacité de dessin des autres auteurs De plus, l’histoire se rapproche un peu de celle de Gantz, et j’aurai aimé lire une histoire totalement différente, pour découvrir la palette du mangaka. Mais Gigant est une bonne série, avec une intrigue sympathique et des personnages très touchants malgré quelques longueurs. Néanmoins, l’intrigue part un peu dans tous les sens, et cela mériterait d’être plus centré. Le tome8 est, disons-le, en dessous du reste de la série. Il ne se passe pas grand-chose à part du combat qui s’étend pendant tout le tome, même s’il n’est pas trop ennuyant. Le résumé à l’arrière du manga en dit plus sur l’histoire que quand on lit tout le livre ! Espérons que le tome 9 sera mieux et plus prenant. Note pour la série : 4, note pour le tome 8 : 3 Critique réalisée par ma très chère fille qui aime vraiment beaucoup cette série Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gigant-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Haru a rencontré 3 jeunes qui pratiquent le calcio-canette, un sport très à la mode, douée au tir, elle rejoint leur équipe pour participer au tournoi. Elle n’hésite pas à jouer de ses charmes pour déstabiliser ses adversaires qui sont tous des hommes. Mais dans cette société, une femme doit rester à sa place et le règlement se voit changer pour les exclure clairement de ce sport. Je trouve qu’on s’éloigne un peu du propos que j’avais vu au début de la série, la manière de dénoncer les comportements sexistes qui faisait la force du manga. La première partie du livre parle de la calcio-canette, puis on retrouve Haru dans le cadre de son travail : nouveaux clients certes mais même contexte. Bien sûr, on voit d’autres caractères, on sent que d’autres perversions vont arriver (d’autres comportements traitant la femme comme un objet), il y a peut-être même un développement fantasy à l’horizon. Mais le propos n’avance pas, car Haru est bloquée dans un environnement réduit et ne rencontre quasiment que les clients de l’auberge où elle travaille. D’un côté, le récit « engagé » tourne en rond, le lecteur n’est plus pris à parti et de l’autre, on tend vers une histoire de quotidien dans un autre monde. J’espère que les quelques pistes aperçues dans le livre vont être développées et qu’elles vont apporter un nouveau souffle au manga car il serait dommage qu’il tombe dans un schéma plus classique.
  12. Titre de l'album : JK Haru - sex worker in another world tome 3 Scenariste de l'album : HIRATORI Ko Dessinateur de l'album : YAMADA J-TA Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Il semble être le seul homme différent dans ce monde. Haru Koyama, lycéenne ressuscitée dans un monde parallèle, travaille au Chat Bleu Nocturne, un bar qui fait aussi maison close. Au fil des rencontres qu'elle fait, seule ou par l'intermédiaire de Chiba, son ancien camarade de classe, Haru se retrouve attirée par quelqu'un en particulier. Un homme plutôt mâture, qui ne vient au bar que les jours de pluie. Critique : Haru a rencontré 3 jeunes qui pratiquent le calcio-canette, un sport très à la mode, douée au tir, elle rejoint leur équipe pour participer au tournoi. Elle n’hésite pas à jouer de ses charmes pour déstabiliser ses adversaires qui sont tous des hommes. Mais dans cette société, une femme doit rester à sa place et le règlement se voit changer pour les exclure clairement de ce sport. Je trouve qu’on s’éloigne un peu du propos que j’avais vu au début de la série, la manière de dénoncer les comportements sexistes qui faisait la force du manga. La première partie du livre parle de la calcio-canette, puis on retrouve Haru dans le cadre de son travail : nouveaux clients certes mais même contexte. Bien sûr, on voit d’autres caractères, on sent que d’autres perversions vont arriver (d’autres comportements traitant la femme comme un objet), il y a peut-être même un développement fantasy à l’horizon. Mais le propos n’avance pas, car Haru est bloquée dans un environnement réduit et ne rencontre quasiment que les clients de l’auberge où elle travaille. D’un côté, le récit « engagé » tourne en rond, le lecteur n’est plus pris à parti et de l’autre, on tend vers une histoire de quotidien dans un autre monde. J’espère que les quelques pistes aperçues dans le livre vont être développées et qu’elles vont apporter un nouveau souffle au manga car il serait dommage qu’il tombe dans un schéma plus classique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jk-haru-sex-worker-in-another-world-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Asobi Asobase tome 1

    Au début de la lecture, je me suis dit : « c’est quoi ce manga ? » à la fin de la lecture, je me suis dit « dans quel case peut-on le ranger ? » Asobi Asobase ne ressemble à aucun autre. A première vue il ressemble à des histoires d’école, d’amitié mais il s’apparente aussi à de la tranche de vie, et même s’il y a un peu de tous ces éléments, il ne correspond ni à l’un ni à l’autre. Le manga met en scène un trio de filles qui se retrouvent un peu par hasard à fonder un club ensemble. Si chacune semble quelconque au départ, elles ont toutes un travers qui va être poussé dans l’histoire. Il y a Olivia, dont les parents sont étrangers mais qui a toujours vécu au Japon, qui fait semblant de ne pas maitriser le japonais mais qui est nulle en anglais et qui adore faire des jeux. Il y a Hanako qui est chargée de s’occuper d’Olivia, qui a rejoint le club de tennis pour être populaire mais qui n’y arrive pas et puis il y a Kasumi, traumatisée par les jeux mais ayant développé quelques facultés dans ce domaine, qui est nulle en anglais mais qui espère bien devenir bilingue ! Le manga est construit comme un enchainement de scènes de leur quotidien à l’école en rapport avec leur club. Elles sont indépendantes les unes des autres mais doivent quand même être lue dans l’ordre (progression dans les rapports, les situations…). C’est un manga humoristique où les gags, comme dans tous les mangas de ce genre, ne sont pas toujours au même niveau. Alors qu’est-ce qui fait que cela fonctionne ? Il y a d’abord le style graphique ou plutôt les styles graphiques car l’auteur change d’une case à l’autre parfois, cela peut être shojo, réaliste, caricatural, effrayant… C’est assez déstabilisant, les expressions sont extrêmes parfois, j’ai pensé au début que le dessin était moche mais étrangement on s’y habitue et cela renforce l’intensité des réactions et approfondit l’ambiance de l’image. Et puis, il y a les situations, carrément WTF par moment, tellement inattendues que c’en est drôle ; et j’ai vraiment bien rigolé par instant ! Si vous aimé les mangas d’humour qui sortent des sentiers battus, celui-là est fait pour vous !
  14. Titre de l'album : Asobi Asobase tome 1 Scenariste de l'album : SUZUKAWA Rin Dessinateur de l'album : SUZUKAWA Rin Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Kasumi déteste les jeux depuis son enfance. Pour rendre service à Hanako, une camarade de classe, elle se retrouve pourtant à devoir jouer avec Olivia, une nouvelle élève d'origine américaine qui adore les jeux japonais. En échange, elle demande à Olivia de lui enseigner l'anglais. Mais si Olivia joue les américaines pour s'amuser, elle a toujours vécu au Japon et ne parle pas un mot d'anglais ! Critique : Au début de la lecture, je me suis dit : « c’est quoi ce manga ? » à la fin de la lecture, je me suis dit « dans quel case peut-on le ranger ? » Asobi Asobase ne ressemble à aucun autre. A première vue il ressemble à des histoires d’école, d’amitié mais il s’apparente aussi à de la tranche de vie, et même s’il y a un peu de tous ces éléments, il ne correspond ni à l’un ni à l’autre. Le manga met en scène un trio de filles qui se retrouvent un peu par hasard à fonder un club ensemble. Si chacune semble quelconque au départ, elles ont toutes un travers qui va être poussé dans l’histoire. Il y a Olivia, dont les parents sont étrangers mais qui a toujours vécu au Japon, qui fait semblant de ne pas maitriser le japonais mais qui est nulle en anglais et qui adore faire des jeux. Il y a Hanako qui est chargée de s’occuper d’Olivia, qui a rejoint le club de tennis pour être populaire mais qui n’y arrive pas et puis il y a Kasumi, traumatisée par les jeux mais ayant développé quelques facultés dans ce domaine, qui est nulle en anglais mais qui espère bien devenir bilingue ! Le manga est construit comme un enchainement de scènes de leur quotidien à l’école en rapport avec leur club. Elles sont indépendantes les unes des autres mais doivent quand même être lue dans l’ordre (progression dans les rapports, les situations…). C’est un manga humoristique où les gags, comme dans tous les mangas de ce genre, ne sont pas toujours au même niveau. Alors qu’est-ce qui fait que cela fonctionne ? Il y a d’abord le style graphique ou plutôt les styles graphiques car l’auteur change d’une case à l’autre parfois, cela peut être shojo, réaliste, caricatural, effrayant… C’est assez déstabilisant, les expressions sont extrêmes parfois, j’ai pensé au début que le dessin était moche mais étrangement on s’y habitue et cela renforce l’intensité des réactions et approfondit l’ambiance de l’image. Et puis, il y a les situations, carrément WTF par moment, tellement inattendues que c’en est drôle ; et j’ai vraiment bien rigolé par instant ! Si vous aimé les mangas d’humour qui sortent des sentiers battus, celui-là est fait pour vous ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/asobi-asobase-tome-1-226694?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    La voie du tablier tome 7

    Tatsu l’immortel continue son petit quotidien. Maintenant qu’il est accepté par mi le comité de quartier, il peut les aider ouvertement. Et quand Tatsu va réclamer aux habitants leur participation financière au comité, c’est assez flippant et assez drôle. (Et tout ça pour 500 yens >> 3.90 euros) Comme toujours, le manga se compose d’une suite de petites histoires, il y a les personnages récurrents et puis les nouveaux. Ce qui fait que globalement, il y a quand même une progression dans les relations même si ce n’est pas exactement l’objectif du livre. Les chapitres sont plus ou moins drôles, il y en a vraiment de très bien et de très drôles puis d’autres qui semblent plus être là pour combler les trous ! On reste quand même un peu sur notre faim, surtout quand on sait que les volumes sont assez fins et comptent 160 pages en général. La question est alors de savoir si l’auteur saura se renouveler assez pour nous donner l’envie de continuer.
  16. Titre de l'album : La voie du tablier tome 7 Scenariste de l'album : OONO Kousuke Dessinateur de l'album : OONO Kousuke Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Notre homme est ancien yakuza devenu homme au foyer... Il se faisait appeler « Tatsu, l'immortel » ! Aujourd'hui, il est l'homme idéal : il prépare des bentô à tomber, il repère les meilleurs promotions et il aide même d'anciens collègues (?) dans leur quotidien... Mais malgré son adorable tablier, il ne peut totalement gommer son air patibulaire et son regard de tueur... Pour notre plus grand plaisir ! Critique : Tatsu l’immortel continue son petit quotidien. Maintenant qu’il est accepté par mi le comité de quartier, il peut les aider ouvertement. Et quand Tatsu va réclamer aux habitants leur participation financière au comité, c’est assez flippant et assez drôle. (Et tout ça pour 500 yens >> 3.90 euros) Comme toujours, le manga se compose d’une suite de petites histoires, il y a les personnages récurrents et puis les nouveaux. Ce qui fait que globalement, il y a quand même une progression dans les relations même si ce n’est pas exactement l’objectif du livre. Les chapitres sont plus ou moins drôles, il y en a vraiment de très bien et de très drôles puis d’autres qui semblent plus être là pour combler les trous ! On reste quand même un peu sur notre faim, surtout quand on sait que les volumes sont assez fins et comptent 160 pages en général. La question est alors de savoir si l’auteur saura se renouveler assez pour nous donner l’envie de continuer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-voie-du-tablier-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Interspecies reviewers tome 3

    Notre petite troupe est revenue de son séjour à la cité magique. L’ange Curim se trouve presque à court d’argent et doit se concentrer sur son travail mais c’est sans compter sur la grosse somme d’argent venant des critiques. Nos amis peuvent donc repartir écumer les lupanars ! Au programme cette fois : centaures, aquarium, cluricaunes et démones… J’avais besoin d’un livre pour me détendre et me vider la tête, c’est celui-là que j’ai choisi et ô combien il a rempli son rôle !! Franchement, Interspecies Reviewers c’est de la détente, du pur loisir, amusant et inattendu, des réponses à des questions que vous ne vous êtes jamais posées tellement elles sont improbables ! D’ailleurs chapeau l’auteur, car des idées, il n’en manque pas. Et même si le thème général est le même (expérimentation de maisons closes et critiques dans la foulée), il n’y a pas de redondance, jamais deux fois la même relation. C’est agréable pour une fois de ne pas se préoccuper du scénario, ici, comme il est impossible de savoir la suite et que cela n’apporterait rien, il suffit de se laisser aller et de profiter ! Attention, tout de même, c’est un sujet réservé aux adultes !
  18. Titre de l'album : Interspecies reviewers tome 3 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MASHA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Dans un monde où cohabitent humains et démons, géants et centaures, fées et sirènes, l'aventure tend les bras à tout un chacun. Mais que vous soyez sensible ou non à l'attrait des épées et des boules de feu magiques, un tout autre genre d'aventures s'offre également à vous. Des établissements spécialisés pour les personnes en quête de belle compagnie ont éclos à travers tout le continent, et les « succubes » qui y officient ont autant de tours dans leur sac qu'il y a d'espèces en ce bas monde. Que vous souhaitiez draguer la dragonne, monter la minotaure ou harponner la harpie, il existe un cabaret de succubes pour vous ! Et pour vous permettre de savoir à l'avance si votre route vous-même à un lupanar de luxe ou dans un bordel crasseux, n'hésitez pas à consulter les critiques de Stunk et de ses joyeux compagnons : ils sauront vous renseigner. Critique : Notre petite troupe est revenue de son séjour à la cité magique. L’ange Curim se trouve presque à court d’argent et doit se concentrer sur son travail mais c’est sans compter sur la grosse somme d’argent venant des critiques. Nos amis peuvent donc repartir écumer les lupanars ! Au programme cette fois : centaures, aquarium, cluricaunes et démones… J’avais besoin d’un livre pour me détendre et me vider la tête, c’est celui-là que j’ai choisi et ô combien il a rempli son rôle !! Franchement, Interspecies Reviewers c’est de la détente, du pur loisir, amusant et inattendu, des réponses à des questions que vous ne vous êtes jamais posées tellement elles sont improbables ! D’ailleurs chapeau l’auteur, car des idées, il n’en manque pas. Et même si le thème général est le même (expérimentation de maisons closes et critiques dans la foulée), il n’y a pas de redondance, jamais deux fois la même relation. C’est agréable pour une fois de ne pas se préoccuper du scénario, ici, comme il est impossible de savoir la suite et que cela n’apporterait rien, il suffit de se laisser aller et de profiter ! Attention, tout de même, c’est un sujet réservé aux adultes ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/interspecies-reviewers-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Old fashion cupcake

    Nozue a 39 ans, il est salarié mais ne cherche pas à évoluer dans son entreprise, il se contente d’un quotidien bien monotone : métro, boulot, dodo. Au cours d’un déplacement d’affaires, il se confie à son subordonné Togawa, en disant qu’il admire les lycéennes qui croquent la vie à pleine dents. Togawa va alors inciter Nozue à se comporter de la même manière. Old fashion Cupcake est d’abord une tranche de vie, celle de Nozue, lassé par le temps, se voyant vieillir, pris dans la routine du boulot, se rendant compte qu’il n’y a pas grand-chose dans sa vie à part le travail. Un homme proche de la quarantaine qui ne cherche pas à changer la situation de peur de l’échec. Puis c’est Togawa, un trentenaire qui admire son chef car ce dernier a su trouver les mots qu’il fallait pour l’encourager au début de sa carrière, un jeune homme intéressé par Nozue qui ne veut pas voir ce dernier regretter sa vie. C’est leur quotidien qui change petit à petit, ce sont les relations de travail, les attentes d’adultes dans le monde du travail. Très bien dessiné, c’est assez rare d’ailleurs, qu’il y ait autant de cases dans une planche, l’auteur prend vraiment le temps de développer la relation entre les deux hommes, une relation de travail au départ qui va ensuite devenir de l’amitié puis de l’amour. Le manga est d’une lecture agréable, les personnages attachants et, pour ceux qui se posent la question, il n’y a pas de scènes intimes explicites, juste légèrement érotiques et encore, qu’à la toute fin du livre.
  20. Titre de l'album : Old fashion cupcake Scenariste de l'album : SAGAN SAGAN Dessinateur de l'album : SAGAN SAGAN Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : À 39 ans, Nozue réalise qu'à force de s'être laissé porter par son quotidien, il a fini par s'enfermer dans sa routine : métro, boulot, dodo. Mais à l'approche de la quarantaine, le salarié n'a ni l'envie ni l'énergie d'essayer d'évoluer. C'est Togawa, son subordonné de 29 ans, qui bouscule ses habitudes en lui proposant un jour d'aller grignoter des pâtisseries dans un établissement particulièrement en vogue chez les jeunes filles. D'un goûter à l'autre, Nozue se sent rajeunir... Mais estce vraiment l'effet de ces gourmandises ou plutôt celui de sentiments naissants ? Critique : Nozue a 39 ans, il est salarié mais ne cherche pas à évoluer dans son entreprise, il se contente d’un quotidien bien monotone : métro, boulot, dodo. Au cours d’un déplacement d’affaires, il se confie à son subordonné Togawa, en disant qu’il admire les lycéennes qui croquent la vie à pleine dents. Togawa va alors inciter Nozue à se comporter de la même manière. Old fashion Cupcake est d’abord une tranche de vie, celle de Nozue, lassé par le temps, se voyant vieillir, pris dans la routine du boulot, se rendant compte qu’il n’y a pas grand-chose dans sa vie à part le travail. Un homme proche de la quarantaine qui ne cherche pas à changer la situation de peur de l’échec. Puis c’est Togawa, un trentenaire qui admire son chef car ce dernier a su trouver les mots qu’il fallait pour l’encourager au début de sa carrière, un jeune homme intéressé par Nozue qui ne veut pas voir ce dernier regretter sa vie. C’est leur quotidien qui change petit à petit, ce sont les relations de travail, les attentes d’adultes dans le monde du travail. Très bien dessiné, c’est assez rare d’ailleurs, qu’il y ait autant de cases dans une planche, l’auteur prend vraiment le temps de développer la relation entre les deux hommes, une relation de travail au départ qui va ensuite devenir de l’amitié puis de l’amour. Le manga est d’une lecture agréable, les personnages attachants et, pour ceux qui se posent la question, il n’y a pas de scènes intimes explicites, juste légèrement érotiques et encore, qu’à la toute fin du livre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/old-fashion-cupcake-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Hellbound - l'enfer tome 1

    Quand le réalisateur/scénariste/producteur Yeon SANG-Ho, plusieurs fois invités au festival de Cannes pour ses films et films d’animation se lance dans le manwha et qu’il s’accompagne du dessinateur Choi KYU-SOK qui a déjà remporté plusieurs prix en Corée mais assez peu connu en France, cela donne une œuvre remarquable ! Remarquable par sa qualité visuelle d’abord, des dessins précis, réalistes, des expressions naturelles quelles que soient les sentiments, et remarquable par le scénario, par l’idée originale et par la profondeur du propos. L’histoire ? N’importe qui à n’importe quel moment peut recevoir une notification de sa damnation prochaine, elle annonce quel jour et à quelle heure vous serez damné. Si cela passe pour les propos d’une nouvelle secte, des images circulent sur internet, certains pensent trucage mais d’autres y croient vraiment. Mais un jour, un homme se fait damné en public, la police enquête alors. Hellbound c’est d’abord des évènements étranges, fantastiques et terrifiants qui arrivent, puis c’est l’interprétation que les gens peuvent en faire, faut-il y voir l’œuvre de Dieu ? Et si c’est vrai faut-il se repentir pour y échapper et comment faut-il le faire ? Mais c’est surtout une dérive de la société, la montée du fanatisme, l’importance des croyances, la place de la religion… Le manga est à réserver aux plus grands, certes il y a certaines scènes violentes mais c’est surtout le besoin d’avoir une certaine maturité pour apprécier les propos et prendre du recul : il s’agit de la damnation éternelle et de l’enfer après tout !! Si je ne l’ai pas mis en coup de cœur, c’est parce que j’ai trouvé certaines longueurs dans les propos, c’est comme tout, un discours peut-être ennuyant ou captivant selon la personne qui le dit, ici, la théologie écrite peut vite lasser. Par contre, Hellbound a fait l’objet d’une adaptation en série disponible depuis le 19 novembre. Le livre est fini en 2 tomes, et la bande annonce est ici
  22. Titre de l'album : Hellbound - l'enfer tome 1 Scenariste de l'album : SANG-HO Yeon Dessinateur de l'album : KYU-SOK Choi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Des hommes censés être honnêtes reçoivent un message mystérieux leur annonçant qu'il leur reste peu de temps à vivre avant d'être conduits en Enfer. À l'heure dite, des créatures apparaissent, ne laissant que des corps calcinés derrière eux ! Qui tire les ficelles de ce théâtre macabre ? Critique : Quand le réalisateur/scénariste/producteur Yeon SANG-Ho, plusieurs fois invités au festival de Cannes pour ses films et films d’animation se lance dans le manwha et qu’il s’accompagne du dessinateur Choi KYU-SOK qui a déjà remporté plusieurs prix en Corée mais assez peu connu en France, cela donne une œuvre remarquable ! Remarquable par sa qualité visuelle d’abord, des dessins précis, réalistes, des expressions naturelles quelles que soient les sentiments, et remarquable par le scénario, par l’idée originale et par la profondeur du propos. L’histoire ? N’importe qui à n’importe quel moment peut recevoir une notification de sa damnation prochaine, elle annonce quel jour et à quelle heure vous serez damné. Si cela passe pour les propos d’une nouvelle secte, des images circulent sur internet, certains pensent trucage mais d’autres y croient vraiment. Mais un jour, un homme se fait damné en public, la police enquête alors. Hellbound c’est d’abord des évènements étranges, fantastiques et terrifiants qui arrivent, puis c’est l’interprétation que les gens peuvent en faire, faut-il y voir l’œuvre de Dieu ? Et si c’est vrai faut-il se repentir pour y échapper et comment faut-il le faire ? Mais c’est surtout une dérive de la société, la montée du fanatisme, l’importance des croyances, la place de la religion… Le manga est à réserver aux plus grands, certes il y a certaines scènes violentes mais c’est surtout le besoin d’avoir une certaine maturité pour apprécier les propos et prendre du recul : il s’agit de la damnation éternelle et de l’enfer après tout !! Si je ne l’ai pas mis en coup de cœur, c’est parce que j’ai trouvé certaines longueurs dans les propos, c’est comme tout, un discours peut-être ennuyant ou captivant selon la personne qui le dit, ici, la théologie écrite peut vite lasser. Par contre, Hellbound a fait l’objet d’une adaptation en série disponible depuis le 19 novembre. Le livre est fini en 2 tomes, et la bande annonce est ici Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellbound-l-enfer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Denjin N tome 1

    Les auteurs Kazu INABE et Yuu KURAISHI s’étaient déjà faits remarqués par leurs œuvres précédentes Fortress of apocalypse et Starving anonymous, des mangas entre fantastique et horreur avec des idées innovantes, des histoires terrifiantes et un graphisme parfois très gore. Ils reviennent aujourd’hui avec un thriller fantastique. Nasu est un jeune qui a une vie pourrie, son père parti, sa mère alcoolique, il a dû arrêter l’école et trouver des petits boulots pour ramener de l’argent à la maison et rembourser les dettes de la famille. Sa seule passion c’est une idole Misaki avec qui il a été en classe autrefois. Un jour un accident se produit et Nasu se retrouve capable de manipuler n’importe quel appareil électronique, s’il décide dans un 1er temps de veiller sur Misaki, il va très vite « faire le ménage » autour d’elle pour l’aider à lancer sa carrière. Il y a encore beaucoup d’interrogations dans l’histoire, on ne sait pas trop ce qui est arrivé à Nasu, sous quel aspect il existe après l’accident, comment il fait pour manipuler les appareils. Ce que l’on sait, c’est que rien ne l’arrête et qu’il ne manque pas d’imagination pour éliminer les obstacles (âmes sensibles s’abstenir !). Si ces morts ressemblent à des accidents, la police se doute très vite que ce sont des meurtres. Mais comment arrêter quelqu’un qui n’est plus vraiment humain ? Une très bonne intrigue, qui n’est pas sans rappeler Hikari-man au début mais qui prend une tout autre tournure, le personnage de Nasu est sans pitié et n’est attaché qu’à Misaki, rien ne semble pouvoir l’arrêter. L’histoire est bien ficelée et le dessin de INABE est expressif et ne manque pas de nous écœurer quand il le faut ! Un très bon début pour une série finie en 4 tomes.
  24. Nickad

    Denjin N tome 1

    Titre de l'album : Denjin N tome 1 Scenariste de l'album : KURAISHI Yuu Dessinateur de l'album : INABE Kazu Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : Nasu, loser notoire vivant chez sa mère alcoolique, travaille comme véritable larbin dans une supérette. Son seul plaisir dans la vie est d'encourager Misaki Kanzaki, petite idole d'un groupe sans grand succès, à travers son casque de réalité virtuelle. Mais à la suite d'un accident aussi tragique qu'extraordinaire, il se retrouve capable de posséder n'importe quel système électrique... N décide d'utiliser ce pouvoir afin d'éliminer tous ceux qui seront sur le chemin de Misaki ! La police fait alors appel à deux frères médiums pour traquer ce tueur en série omnipotent. Critique : Les auteurs Kazu INABE et Yuu KURAISHI s’étaient déjà faits remarqués par leurs œuvres précédentes Fortress of apocalypse et Starving anonymous, des mangas entre fantastique et horreur avec des idées innovantes, des histoires terrifiantes et un graphisme parfois très gore. Ils reviennent aujourd’hui avec un thriller fantastique. Nasu est un jeune qui a une vie pourrie, son père parti, sa mère alcoolique, il a dû arrêter l’école et trouver des petits boulots pour ramener de l’argent à la maison et rembourser les dettes de la famille. Sa seule passion c’est une idole Misaki avec qui il a été en classe autrefois. Un jour un accident se produit et Nasu se retrouve capable de manipuler n’importe quel appareil électronique, s’il décide dans un 1er temps de veiller sur Misaki, il va très vite « faire le ménage » autour d’elle pour l’aider à lancer sa carrière. Il y a encore beaucoup d’interrogations dans l’histoire, on ne sait pas trop ce qui est arrivé à Nasu, sous quel aspect il existe après l’accident, comment il fait pour manipuler les appareils. Ce que l’on sait, c’est que rien ne l’arrête et qu’il ne manque pas d’imagination pour éliminer les obstacles (âmes sensibles s’abstenir !). Si ces morts ressemblent à des accidents, la police se doute très vite que ce sont des meurtres. Mais comment arrêter quelqu’un qui n’est plus vraiment humain ? Une très bonne intrigue, qui n’est pas sans rappeler Hikari-man au début mais qui prend une tout autre tournure, le personnage de Nasu est sans pitié et n’est attaché qu’à Misaki, rien ne semble pouvoir l’arrêter. L’histoire est bien ficelée et le dessin de INABE est expressif et ne manque pas de nous écœurer quand il le faut ! Un très bon début pour une série finie en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/denjin-n-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Le lien du destin tome 2

    Toute la troupe se rend à la capitale afin de se produire devant le prince héritier Camus. La représentation faite, ce dernier se montre tel qu’il est : un homme avide de pouvoir et de guerres voulant éradiquer toute espèce autre que celle de Foshia et compte bien utiliser Sophia pour y parvenir. Sa jeune sœur, elle, souhaite ramener son frère à la raison et veut détruire Sophia. Ars et les siens ne resteront pas sans rien faire. Si le 1er tome ne m’avait pas passionnée, l’histoire s’étoffe dans le 2eme tome : on apprend qui est réellement Sophia et comment fonctionne le lien qu’elle a avec Ars. Ce qui est intéressant également, c’est de voir l’évolution entre les membres de la troupe, si certains haïssaient Ars de par ses origines, la compréhension s’installe peu à peu laissant place à de l’amitié. Entre complots et scènes de combats, ce volume est plutôt dynamique. Le graphisme est soigné et détaillé, les expressions des personnages dans leur colère, folie, souffrance… sont fortes et nous plonge bien dans l’ambiance de l’histoire. Fin dans le prochain volume.
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