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  1. Deux clans de Yakuzas se partagent la ville et sont rivaux, c’est la guerre entre eux. A la limite des territoires se trouvent un cabinet de dentiste avec une doctoresse très à cheval sur l’hygiène buccale mais qui n’est pas vraiment ce qu’elle semble être (physiquement parlant). Un jeune chef d’un des clans qui a pleins de peurs (dont celle du dentiste), qui vient au cabinet pour y remédier et va tomber sous le charme de la dentiste Jusque-là, cela aurait pu être un manga plutôt classique mais les personnages sont tous un peu déjantés : il y a celui qui essaye tout et n’importe quoi pour soigner son maître et qui est obsédé par les seins, celle amoureuse mais hyper violente, celui qui espionne en cachette, celui qui se travestit… Pourquoi pas me direz-vous ? Je suis d’accord, sauf que la dentiste n’arrête pas de traiter son patient de « toilettes publiques », qu’il y a plein de jeux de mots autour du mot « inébranlable » et qui sont pas toujours du meilleur gout ! Alors un peu ça passe mais là franchement, c’est lourd mais lourd… D’habitude j’aime bien les mangas décalés avec un côté WTF mais là, j’ai vraiment eu du mal, c’était limite dérangeant… 5 Tomes en cours, extrait
  2. Titre de l'album : Excuse me dentist, it's touching me ! tome 1 Scenariste de l'album : YAMAZAKI Shô Dessinateur de l'album : YAMAZAKI Shô Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Deux clans de yakuzas se partagent la ville depuis des générations : le Kokuyo-kai et ses hommes en noir et les Shinju, généralement vêtus de blanc. Au niveau de la frontière qui délimite chaque territoire se trouve un petit cabinet dentaire tenu par une jolie dentiste. Un yakuza est sur le point de tomber sous le charme de la jeune femme. Mais les apparences sont trompeuses... Critique : Deux clans de Yakuzas se partagent la ville et sont rivaux, c’est la guerre entre eux. A la limite des territoires se trouvent un cabinet de dentiste avec une doctoresse très à cheval sur l’hygiène buccale mais qui n’est pas vraiment ce qu’elle semble être (physiquement parlant). Un jeune chef d’un des clans qui a pleins de peurs (dont celle du dentiste), qui vient au cabinet pour y remédier et va tomber sous le charme de la dentiste Jusque-là, cela aurait pu être un manga plutôt classique mais les personnages sont tous un peu déjantés : il y a celui qui essaye tout et n’importe quoi pour soigner son maître et qui est obsédé par les seins, celle amoureuse mais hyper violente, celui qui espionne en cachette, celui qui se travestit… Pourquoi pas me direz-vous ? Je suis d’accord, sauf que la dentiste n’arrête pas de traiter son patient de « toilettes publiques », qu’il y a plein de jeux de mots autour du mot « inébranlable » et qui sont pas toujours du meilleur gout ! Alors un peu ça passe mais là franchement, c’est lourd mais lourd… D’habitude j’aime bien les mangas décalés avec un côté WTF mais là, j’ai vraiment eu du mal, c’était limite dérangeant… 5 Tomes en cours, extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/excuse-me-dentist-it-s-touching-me-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Ranking of kings tome 1

    Au premier abord, ce manga peut être rebutant, pas par son histoire mais par son graphisme : un peu enfantin qui donne même l’impression parfois d’avoir été dessiné rapidement, un graphisme assez loin de l’image qu’on se fait d’un manga, plus proche de certaines illustrations de contes pour enfants. Passé cette 1ère impression, et je vous assure qu’on s’y fait plutôt bien, le livre est assez intéressant. Derrière l’histoire de succession au trône et du choix entre le 1er prince, chétif et muet, et le second prince, fort et doué à l’épée, l’auteur se penche sur un certain nombre de sujets : la politique, le handicap, le regard des autres, les préjugés… Au bout du compte, chaque personnage est plus complexe qu’il n’y paraît et il ne faut pas se fier aux apparences ! On se prend d’affection pour ce petit prince, victime du système et on espère qu’il va s’en sortir. Une bonne surprise que je vous invite à découvrir. Le manga est en cours et compte 12 tomes actuellement, il a fait l’objet d’une adaptation en anime.
  4. Titre de l'album : Ranking of kings tome 1 Scenariste de l'album : TOKA Sosuke Dessinateur de l'album : TOKA Sosuke Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le royaume de Bosse est en péril. Son fondateur, connu pour sa force herculéenne, est gravement malade, et l'héritier, le jeune prince Bojji, est loin d'avoir le profil pour prendre sa place... Sourd et muet, d'une faiblesse telle qu'il est incapable de manier l'épée, il est la cible de toutes les moqueries, du chevalier au paysan ! S'il accède au trône, le pays est promis à la déchéance dans le classement des rois, dont le principal critère est la puissance des souverains. De ce point de vue, c'est le prince cadet, Daida, qui remporte le soutien populaire... Pourtant, Bojji arbore un éternel sourire. Même quand une mystérieuse ombre lui ordonne de lui donner ses vêtements, il s'exécute avec plaisir ! Car, pour la première fois de sa vie, le garçon trouve un partenaire de conversation. Cet étrange voleur comprend ses paroles... Bojji lui dévoile alors son rêve : devenir le meilleur roi du monde ! Critique : Au premier abord, ce manga peut être rebutant, pas par son histoire mais par son graphisme : un peu enfantin qui donne même l’impression parfois d’avoir été dessiné rapidement, un graphisme assez loin de l’image qu’on se fait d’un manga, plus proche de certaines illustrations de contes pour enfants. Passé cette 1ère impression, et je vous assure qu’on s’y fait plutôt bien, le livre est assez intéressant. Derrière l’histoire de succession au trône et du choix entre le 1er prince, chétif et muet, et le second prince, fort et doué à l’épée, l’auteur se penche sur un certain nombre de sujets : la politique, le handicap, le regard des autres, les préjugés… Au bout du compte, chaque personnage est plus complexe qu’il n’y paraît et il ne faut pas se fier aux apparences ! On se prend d’affection pour ce petit prince, victime du système et on espère qu’il va s’en sortir. Une bonne surprise que je vous invite à découvrir. Le manga est en cours et compte 12 tomes actuellement, il a fait l’objet d’une adaptation en anime. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ranking-of-kings-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Keiji tome 5

    Après un combat mouvementé contre plusieurs centaines de kabuki-mono, Keiji poursuit sa vie entre nonchalance et provocations. Ce n’est pas désagréable, un peu d’exagération de temps en temps, que ce soit dans le physique des personnages ou dans le déroulement de l’histoire qui ne sont pas crédibles. Par contre, la fin du tome est intéressante et l’auteur laisse Keiji face à une situation bien délicate et on se demande vraiment comment il va tirer son épingle du jeu. Keiji est un bon manga mêlant histoire, humour et combats, il se lit bien mais sans événements plus importants, il se peut que l’histoire lasse. En tout cas, le début du tome 6 sera prometteur, espérons que la suite aussi.
  6. Nickad

    Keiji tome 5

    Titre de l'album : Keiji tome 5 Scenariste de l'album : RUY Keiichirô Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Si la vie a une fin, la gloire, elle, est éternelle ! ». 1582. La mort d'Oda Nobunaga vient attiser la flamme de la guerre qui embrase le Japon depuis plus d'un siècle. Voguant à contre-courant de la retenue et de la courtoisie de mise à l'époque, les kabuki-mono sont des guerriers outranciers, aux habits flamboyants et suivant leur propre code d'honneur. Parmi ces excentriques, Keiji Maeda est certainement le plus connu. Son voyage à travers un Japon en crise l'amènera à profiter de tous les plaisirs qui s'offrent à lui, mais aussi à régler les comptes de tous ceux qui en auront après sa tranquillité. Critique : Après un combat mouvementé contre plusieurs centaines de kabuki-mono, Keiji poursuit sa vie entre nonchalance et provocations. Ce n’est pas désagréable, un peu d’exagération de temps en temps, que ce soit dans le physique des personnages ou dans le déroulement de l’histoire qui ne sont pas crédibles. Par contre, la fin du tome est intéressante et l’auteur laisse Keiji face à une situation bien délicate et on se demande vraiment comment il va tirer son épingle du jeu. Keiji est un bon manga mêlant histoire, humour et combats, il se lit bien mais sans événements plus importants, il se peut que l’histoire lasse. En tout cas, le début du tome 6 sera prometteur, espérons que la suite aussi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Ping Kong tomes 1 et 2 (fin)

    Takumi et Kotomi sont deux jumelles qui pratiquent le ping-pong, hélas Takumi est bien moins douée que sa sœur. Cette dernière finissant par en avoir honte, Takumi décide d’en finir, c’est là, qu’étrangement elle se transforme en gorille. Kotomi comprenant que c’est de sa faute, décide de gagner les championnats nationaux en duo avec sa sœur. Le manga a un côté déjanté puisqu’une petite fille se retrouve sous forme de gorille, ceci est prétexte à mettre en scène pleins de situations grotesques et décalées. Si le premier tome est correct et que l’on y trouve un semblant de scenario, même avec certains gags un peu lourds, le deuxième part en vrille, on s’éloigne du tournoi et on se retrouve avec des passages qui n’ont rien à faire là. L’auteur le reconnait d’ailleurs, que « c’est parti dans tous les sens ». A tel point, que si j’ai lu le 1er tome en entier, la lecture du deuxième a été pénible et j’ai survolé la fin. Si vous avez du temps à perdre et que vous êtes curieux de découvrir un exercice de style, vous pouvez vous lancer, mais ce manga ne restera pas dans les annales.
  8. Titre de l'album : Ping Kong tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : COMIC JACKSON Dessinateur de l'album : COMIC JACKSON Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Véritable ovni, Ping Kong de Comic Jackson est une série en deux volumes publiée dans le prestigieux magazine Weekly Shônen Sunday. Kotomi et Takumi sont deux soeurs jumelles passionnées de tennis de table. La première se révèle être douée dans ce sport, a contrario de son aînée qui n'a aucun talent particulier et ce, malgré une pratique plus ancienne. Cette différence de niveau les éloigne petit à petit et mène Takumi à prendre une décision irréversible : c'est désormais sous la forme d'un gorille qu'elle montrera l'étendue de ses capacités aux côtés de sa sœur ! Mélange savoureux d'humour, de tranche de vie et de drame, suivez cette comédie sportive aux matchs endiablés et servie par des héroïnes aux caractères bien trempés ! Critique : Takumi et Kotomi sont deux jumelles qui pratiquent le ping-pong, hélas Takumi est bien moins douée que sa sœur. Cette dernière finissant par en avoir honte, Takumi décide d’en finir, c’est là, qu’étrangement elle se transforme en gorille. Kotomi comprenant que c’est de sa faute, décide de gagner les championnats nationaux en duo avec sa sœur. Le manga a un côté déjanté puisqu’une petite fille se retrouve sous forme de gorille, ceci est prétexte à mettre en scène pleins de situations grotesques et décalées. Si le premier tome est correct et que l’on y trouve un semblant de scenario, même avec certains gags un peu lourds, le deuxième part en vrille, on s’éloigne du tournoi et on se retrouve avec des passages qui n’ont rien à faire là. L’auteur le reconnait d’ailleurs, que « c’est parti dans tous les sens ». A tel point, que si j’ai lu le 1er tome en entier, la lecture du deuxième a été pénible et j’ai survolé la fin. Si vous avez du temps à perdre et que vous êtes curieux de découvrir un exercice de style, vous pouvez vous lancer, mais ce manga ne restera pas dans les annales. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ping-kong-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    God of high school tome 1

    Dans ce 1er tome on fait connaissance avec les premiers candidats au titre. Jin Mo-ri est le personnage principal du manga, il a 17 ans, a appris le taekwondo avec son grand-père, il a l’esprit plutôt joyeux et aime se battre pour être le plus fort. Sa particularité : son niveau augmente quand il utilise ses jambes. Ce manga est clairement un manga de baston avec un tournoi et des combats ! Il y a bien en plus un petit mystère sur une nouvelle arme mondiale mais ce 1er tome n’en dévoile presque rien. Si vous aimez Kengan Ashura, ce manga devrait vous plaire. D’après ce que j’ai vu, le manga dérive vers d’autres thèmes ensuite mais n’ayant pas lus les 535 chapitres, je ne peux pas vous en dire plus. Et oui, le webtoon est toujours en cours et comporte 535 chapitres, sachant qu’il n’y a que les 11 premiers environ (le découpage entre le webtoon et le manga est légèrement différent), on part pour une cinquantaine de volumes, à moins que Kbooks ne décide de sortir que la 1ère saison comme cela a été le cas pour Noblesse. Pour un manga genre baston, il est plutôt bien fait et les différents combattants ont tous leur propre style et leur caractère. Le style graphique est correct et il y a un peu d’humour. Sachez que vous vous embarquez pour une série longue. Pour lire un extrait c’est ICI, sinon, l’anime est disponible sur crunchyroll (enfin les 13 premiers épisodes seulement).
  10. Titre de l'album : God of high school tome 1 Scenariste de l'album : PARK Yong-Je Dessinateur de l'album : PARK Yong-Je Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Jin Mori, 17 ans, est invité à un tournoi d'arts martiaux appelé « The God Of High School ». L'événement organisé par une mystérieuse organisation réunit des participants de toute la Corée du Sud, utilisant le pouvoir des dieux, afin de choisir 3 représentants pour le tournoi mondial. En récompense, le gagnant verra le vœu de son choix se réaliser. Des équipes et alliances vont alors se former... Critique : Dans ce 1er tome on fait connaissance avec les premiers candidats au titre. Jin Mo-ri est le personnage principal du manga, il a 17 ans, a appris le taekwondo avec son grand-père, il a l’esprit plutôt joyeux et aime se battre pour être le plus fort. Sa particularité : son niveau augmente quand il utilise ses jambes. Ce manga est clairement un manga de baston avec un tournoi et des combats ! Il y a bien en plus un petit mystère sur une nouvelle arme mondiale mais ce 1er tome n’en dévoile presque rien. Si vous aimez Kengan Ashura, ce manga devrait vous plaire. D’après ce que j’ai vu, le manga dérive vers d’autres thèmes ensuite mais n’ayant pas lus les 535 chapitres, je ne peux pas vous en dire plus. Et oui, le webtoon est toujours en cours et comporte 535 chapitres, sachant qu’il n’y a que les 11 premiers environ (le découpage entre le webtoon et le manga est légèrement différent), on part pour une cinquantaine de volumes, à moins que Kbooks ne décide de sortir que la 1ère saison comme cela a été le cas pour Noblesse. Pour un manga genre baston, il est plutôt bien fait et les différents combattants ont tous leur propre style et leur caractère. Le style graphique est correct et il y a un peu d’humour. Sachez que vous vous embarquez pour une série longue. Pour lire un extrait c’est ICI, sinon, l’anime est disponible sur crunchyroll (enfin les 13 premiers épisodes seulement). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/god-of-high-school-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Faraway Paladin tome 7

    Présentation de la série : William est un bébé qui était censé être sacrifié pour libérer le roi des démons. Sauvé par les 3 gardiens de l’endroit, il est élevé par eux, 3 morts-vivants : Blood un guerrier squelette, Marie une prêtresse momie et Gas, un magicien fantôme. William grandit auprès de ces êtres hors-norme, apprenant la magie et l’épée, le jour de ses 14 ans, il prend son départ après avoir appris la vérité sur ses parents. C’est à son tour de partir à l’aventure et de répandre la lumière de sa déesse, de développer son culte. En chemin, il va se lier d’amitié avec un demi-elfe, découvrir que le monde de ses parents remonte à 200 ans et que ce qu’il connaît n’est pas forcément d’actualité. Petit à petit, Will va réaliser des exploits qui vont l’amener à être nommer paladin chargé de reconquérir les terres du sud peuplées par les monstres. Il va y développer une ville et devenir le seigneur de la région. Résumé du tome 7 : Will doit gérer sa ville, il faut qu’il trouve du travail pour chacun, accueillir les nouveaux arrivants, qu’ils soient réfugiés ou commerçants et surtout régler les différents problèmes et servir de médiateur entre les habitants qui sont d’origine et de culture diverses. Le tome 7 aborde la situation du peuple nain et l’on fait notamment la connaissance avec l’un d’eux, Rolf qui va devenir son serviteur. Faraway Paladin est un très bon manga d’aventures et d’heroic fantasy. Contrairement à beaucoup d’autres, le héros ne part pas de chez lui en quête de gloire, ni pour obéir à un quelconque ordre, il part pour apprendre la vie. C’est une sorte de voyage initiatique où il va découvrir le monde et s’accomplir avant de revenir vers sa famille. Bien sûr, il y a une menace qui plane, des monstres à combattre mais il y a plus qu’une simple aventure. Le manga aurait pu se contenter d’être juste cela, en préparant cette critique, je me suis rendue compte que c’était un isekai, mais ce détail n’a aucune importance parce que cela n’a pas d’incidence sur l’histoire, c’est à peine si le personnage y fait référence. Le graphisme est agréable et le manga a une adaptation en anime disponible gratuitement sur crunchyroll. Les deux versions sont bien et cohérentes, pas de préférence cette fois ! Un titre à découvrir si vous ne le connaissez pas.
  12. Titre de l'album : Faraway Paladin tome 7 Scenariste de l'album : YANAGINO Kanata Dessinateur de l'album : OKUBASHI Mutsumi Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Le monde a été créé par les Dieux. Chacune de leur parole a apporté un élément ou une connaissance. C'est dans cet univers que vit William, un jeune humain dégourdi qui a appris à utiliser cette magie. Avec la bonne parole et le bon symbole, il s'entraîne à jeter des sorts. Trois personnages surnaturels veillent sur lui : Vlad le chevalier squelettique, Marie la momie et Gus un sorcier fantôme. Ils essaient de lui enseigner correctement les techniques de magie, de combat et aussi de nombreuses connaissances. William prie les Dieux afin de recevoir un jour leur bénédiction et il s'intéresse surtout à la déesse de la roue de la vie et de la réincarnation, Gracefil. Il se doute que ses trois mentors lui cachent des choses sur la nature de ce monde et notamment pourquoi il est le seul humain vivant. Critique : Présentation de la série : William est un bébé qui était censé être sacrifié pour libérer le roi des démons. Sauvé par les 3 gardiens de l’endroit, il est élevé par eux, 3 morts-vivants : Blood un guerrier squelette, Marie une prêtresse momie et Gas, un magicien fantôme. William grandit auprès de ces êtres hors-norme, apprenant la magie et l’épée, le jour de ses 14 ans, il prend son départ après avoir appris la vérité sur ses parents. C’est à son tour de partir à l’aventure et de répandre la lumière de sa déesse, de développer son culte. En chemin, il va se lier d’amitié avec un demi-elfe, découvrir que le monde de ses parents remonte à 200 ans et que ce qu’il connaît n’est pas forcément d’actualité. Petit à petit, Will va réaliser des exploits qui vont l’amener à être nommer paladin chargé de reconquérir les terres du sud peuplées par les monstres. Il va y développer une ville et devenir le seigneur de la région. Résumé du tome 7 : Will doit gérer sa ville, il faut qu’il trouve du travail pour chacun, accueillir les nouveaux arrivants, qu’ils soient réfugiés ou commerçants et surtout régler les différents problèmes et servir de médiateur entre les habitants qui sont d’origine et de culture diverses. Le tome 7 aborde la situation du peuple nain et l’on fait notamment la connaissance avec l’un d’eux, Rolf qui va devenir son serviteur. Faraway Paladin est un très bon manga d’aventures et d’heroic fantasy. Contrairement à beaucoup d’autres, le héros ne part pas de chez lui en quête de gloire, ni pour obéir à un quelconque ordre, il part pour apprendre la vie. C’est une sorte de voyage initiatique où il va découvrir le monde et s’accomplir avant de revenir vers sa famille. Bien sûr, il y a une menace qui plane, des monstres à combattre mais il y a plus qu’une simple aventure. Le manga aurait pu se contenter d’être juste cela, en préparant cette critique, je me suis rendue compte que c’était un isekai, mais ce détail n’a aucune importance parce que cela n’a pas d’incidence sur l’histoire, c’est à peine si le personnage y fait référence. Le graphisme est agréable et le manga a une adaptation en anime disponible gratuitement sur crunchyroll. Les deux versions sont bien et cohérentes, pas de préférence cette fois ! Un titre à découvrir si vous ne le connaissez pas. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/faraway-paladin-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Frieren tomes 1 et 2

    Frieren est une elfe, avec ses compagnons, elle a combattu le roi des démons ; la paix revenue, après dix ans d’aventures, elle a repris son chemin. Mais le temps ne s’écoule pas de la même façon pour les elfes et cinquante ans plus tard, quand elle revoit ses compagnons, elle a à peine le temps d’échanger que Himmel le héros décède. C’est en entendant les remarques de la foule que Frieren se rend compte qu’elle ne connaissait rien de lui. Quelque chose se met à changer en elle, un début de prise de conscience de l’autre, un remord peut-être. Frieren est un manga d’heroic fantasy atypique, il y a tous les éléments fantastiques du récit habituel : la troupe de héros qui combat le mal, de la magie, des elfes, des nains… il y a aussi de l’aventure mais différemment. Car l’aspect le plus important de ce récit, c’est qu’il est raconté du point de vue d’une elfe, un être destiné à vivre des centaines voire des milliers d’années et pour qui la durée de vie d’un être humain ne correspond qu’à un court instant de son existence. Alors même si Frieren part en voyage, elle ne s’inquiète pas de rester au même endroit plusieurs années, elle se moque de passer un an à chercher une fleur, elle n’est pas pressée. Et quand tout à coup, elle réalise que pour les hommes le temps passe beaucoup plus vite, elle se dit qu’elle aurait dû faire quelque chose, prendre le temps de connaître mieux ses camarades, partager plus de moments avec eux. Et c’est globalement le message de ce manga : le rapport au temps. C’est avec une certaine subtilité, que l’auteur nous appelle à profiter de la vie, de tous les instants présents, des gens qui nous entourent, le fameux Carpe Diem. Dans le 1er tome de la série, le temps qui passe à toute vitesse est clairement mis en évidence, une succession de cases sans paroles où l’on voit la vie de l’elfe. Et puis, ensuite, elle continue son périple avec les disciples de ses compagnons, comme s’ils avaient prévu de laisser un peu d’eux pour qu’elle ne soit pas seule dans sa temporalité. C’est alors qu’un autre thème est abordé, celui du souvenir : une réflexion sur la trace qu’on laisse dans le monde et sur la façon de ne pas oublier ceux qui sont partis. Ce n’est que dans le second tome que le manga prend un côté un peu plus aventure, car Frieren part à la recherche d’un sort qui lui permettrait de pouvoir communiquer avec l’âme de ses compagnons disparus, pour pouvoir dire à Himmel ce qu’elle n’a pas eu le temps de lui dire. Le manga a un côté poétique et mélancolique sublimé par un graphisme de premier ordre. C’est beau, c’est sensible, c’est à la fois une histoire d’aventure et en même temps un plaidoyer pour prendre soin de nous et des autres, pour prendre le temps de vivre et de ne pas laisser de regrets. Une réussite. Ceux qui s’attendent à un manga d’action pourraient être déçus car il y a une sorte de langueur omniprésente et je pense qu'il faut un certaine maturité pour bien l'apprécier. 6 tomes en cours
  14. Titre de l'album : Frieren tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : YAMADA Kanehito Dessinateur de l'album : ABE Tsukasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le jeune héros Himmel et ses compagnons, l'elfe Frieren, le nain Eisen et le prêtre Heiter, rentrent victorieux de leur combat contre le roi des démons. Au bout de dix années d'efforts, ils ont ramené la paix dans le royaume. Il est temps pour eux de retrouver une vie normale... Difficile à imaginer après tant d'aventures en commun ! Frieren, elle, ne semble guère touchée par la séparation. Pour la magicienne à la longévité exceptionnelle, une décennie ne pèse pas lourd. Elle reprend la route en solo et promet de retrouver ses camarades un demi-siècle plus tard. Elle tient parole... mais ces retrouvailles sont aussi les derniers instants passés avec Himmel, devenu un vieillard qui s'éteint paisiblement sous ses yeux. Frieren est sous le choc... La vie des humains est si courte ! L'elfe a beau être experte en magie, il lui reste encore un long chemin à parcourir pour comprendre la race humaine... Son nouvel objectif : s'initier aux arcanes du cœur ! Critique : Frieren est une elfe, avec ses compagnons, elle a combattu le roi des démons ; la paix revenue, après dix ans d’aventures, elle a repris son chemin. Mais le temps ne s’écoule pas de la même façon pour les elfes et cinquante ans plus tard, quand elle revoit ses compagnons, elle a à peine le temps d’échanger que Himmel le héros décède. C’est en entendant les remarques de la foule que Frieren se rend compte qu’elle ne connaissait rien de lui. Quelque chose se met à changer en elle, un début de prise de conscience de l’autre, un remord peut-être. Frieren est un manga d’heroic fantasy atypique, il y a tous les éléments fantastiques du récit habituel : la troupe de héros qui combat le mal, de la magie, des elfes, des nains… il y a aussi de l’aventure mais différemment. Car l’aspect le plus important de ce récit, c’est qu’il est raconté du point de vue d’une elfe, un être destiné à vivre des centaines voire des milliers d’années et pour qui la durée de vie d’un être humain ne correspond qu’à un court instant de son existence. Alors même si Frieren part en voyage, elle ne s’inquiète pas de rester au même endroit plusieurs années, elle se moque de passer un an à chercher une fleur, elle n’est pas pressée. Et quand tout à coup, elle réalise que pour les hommes le temps passe beaucoup plus vite, elle se dit qu’elle aurait dû faire quelque chose, prendre le temps de connaître mieux ses camarades, partager plus de moments avec eux. Et c’est globalement le message de ce manga : le rapport au temps. C’est avec une certaine subtilité, que l’auteur nous appelle à profiter de la vie, de tous les instants présents, des gens qui nous entourent, le fameux Carpe Diem. Dans le 1er tome de la série, le temps qui passe à toute vitesse est clairement mis en évidence, une succession de cases sans paroles où l’on voit la vie de l’elfe. Et puis, ensuite, elle continue son périple avec les disciples de ses compagnons, comme s’ils avaient prévu de laisser un peu d’eux pour qu’elle ne soit pas seule dans sa temporalité. C’est alors qu’un autre thème est abordé, celui du souvenir : une réflexion sur la trace qu’on laisse dans le monde et sur la façon de ne pas oublier ceux qui sont partis. Ce n’est que dans le second tome que le manga prend un côté un peu plus aventure, car Frieren part à la recherche d’un sort qui lui permettrait de pouvoir communiquer avec l’âme de ses compagnons disparus, pour pouvoir dire à Himmel ce qu’elle n’a pas eu le temps de lui dire. Le manga a un côté poétique et mélancolique sublimé par un graphisme de premier ordre. C’est beau, c’est sensible, c’est à la fois une histoire d’aventure et en même temps un plaidoyer pour prendre soin de nous et des autres, pour prendre le temps de vivre et de ne pas laisser de regrets. Une réussite. Ceux qui s’attendent à un manga d’action pourraient être déçus car il y a une sorte de langueur omniprésente et je pense qu'il faut un certaine maturité pour bien l'apprécier. 6 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/frieren-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Saison 2 de la série, 2eme période de la vie de Mai. Cette dernière atteinte par la dévorante, une maladie qui tue ceux qui ont trop de magie en eux et pas les moyens de l’en extirper à l’aide d’objets magiques n’a pas d’autre choix que de rejoindre le temple si elle veut survivre. Les négociations pratiques vont avoir lieu : l’argent qu’elle versera comme tribut, sa résidence, son activité avec son atelier pour fabriquer du papier et ses activités commerciales avec Benno. Le plus difficile pour elle est qu’elle va devoir agir comme une noble et apprendre l’étiquette, elle se voit également attribuer 3 servants, aucun vraiment motivés pour servir une roturière. Si La petite faiseuse de livres est un isekai, il n’a rien à voir avec la majorité d’entre eux, même si Mai a de la magie en elle, elle n’a pas de super pouvoirs, ne doit pas vaincre le roi des démons, c’est juste sa vie au quotidien, avec son ambition de fabriquer des livres et d’en faire un objet accessible à tous avec les moyens dont elle dispose du haut de ses 7 ans. Elle se heurte aux difficultés du quotidien, à ses devoirs en tant qu’enfant de famille modeste, aux règles qui régissent la société et aux différents statuts. Devenu apprentie prêtresse, elle est à présent confrontée à un univers qu’elle ne connaît pas du tout et ce qui est acquis dans notre monde n’est pas du tout vu de la même façon dans celui-là. C’est vraiment l’un de mes mangas préférés, car il n’y a pas trop de côté isekai (juste quand elle pense à de nouveaux objets ou recettes de cuisine), qu’il y a un juste équilibre entre tranche de vie et aventure et les personnages sont attachants. Un manga à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait, l’adaptation en anime est disponible sur crunchyroll sous le titre "ascendance of a bookworm".
  16. Titre de l'album : La petite faiseuse de livres - 2eme arc tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KAZUKI Miya Dessinateur de l'album : SUZUKA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : a suite des aventures d'Urano Motosu, jeune fille passionnée de lecture, réincarnée dans le corps de Maïn, dans un monde où le papier n'existe pas. Critique : Saison 2 de la série, 2eme période de la vie de Mai. Cette dernière atteinte par la dévorante, une maladie qui tue ceux qui ont trop de magie en eux et pas les moyens de l’en extirper à l’aide d’objets magiques n’a pas d’autre choix que de rejoindre le temple si elle veut survivre. Les négociations pratiques vont avoir lieu : l’argent qu’elle versera comme tribut, sa résidence, son activité avec son atelier pour fabriquer du papier et ses activités commerciales avec Benno. Le plus difficile pour elle est qu’elle va devoir agir comme une noble et apprendre l’étiquette, elle se voit également attribuer 3 servants, aucun vraiment motivés pour servir une roturière. Si La petite faiseuse de livres est un isekai, il n’a rien à voir avec la majorité d’entre eux, même si Mai a de la magie en elle, elle n’a pas de super pouvoirs, ne doit pas vaincre le roi des démons, c’est juste sa vie au quotidien, avec son ambition de fabriquer des livres et d’en faire un objet accessible à tous avec les moyens dont elle dispose du haut de ses 7 ans. Elle se heurte aux difficultés du quotidien, à ses devoirs en tant qu’enfant de famille modeste, aux règles qui régissent la société et aux différents statuts. Devenu apprentie prêtresse, elle est à présent confrontée à un univers qu’elle ne connaît pas du tout et ce qui est acquis dans notre monde n’est pas du tout vu de la même façon dans celui-là. C’est vraiment l’un de mes mangas préférés, car il n’y a pas trop de côté isekai (juste quand elle pense à de nouveaux objets ou recettes de cuisine), qu’il y a un juste équilibre entre tranche de vie et aventure et les personnages sont attachants. Un manga à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait, l’adaptation en anime est disponible sur crunchyroll sous le titre "ascendance of a bookworm". Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-faiseuse-de-livres-saison-2-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Look back

    L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher. L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent. Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser.
  18. Nickad

    Look back

    Titre de l'album : Look back Scenariste de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Fujino, adolescente surdouée, a une confiance absolue en son talent. Kyômoto, elle, se terre dans sa chambre et pratique sans relâche. Deux jeunes filles d'une même ville de province, qu'une passion fervente pour le dessin va faire se rencontrer, et unir par un lien indéfectible... Critique : L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher. L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent. Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/look-back?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Welcome to the ballroom tome 1

    Tatara Fujita est un collégien qui n’a pas encore trouvé sa voie, il aimerait bien avoir un don, une passion, une motivation dans la vie, quelque chose qui pourrait lui faire ressentir qu’il est vivant, qu’il n’est pas vide et qui lui permettrait de changer, d’avancer. Un jour, suite à un concours de circonstances, il va découvrir le monde de la danse de salon (valse, salsa…) et pour la première fois, il va se sentir happé, fasciné et va décider de devenir danseur et faire de la compétition. Représenter la danse en dessins, pouvoir donner l’impression des mouvements, des enchainements, de la rapidité ce n’est jamais très facile à faire. Même si je n’ai pas été totalement convaincue par ces représentations, ce qui marche bien en revanche, c’est les sensations que la danse procure chez notre héros. On ressent bien l’éveil de son intérêt, sa fascination et son envie d’apprendre. Et puis, pour une fois, ce n’est pas de la danse classique, ni de la street, ici on parle de danse de salon : un genre souvent dénigré par les jeunes car souvent considéré comme obsolète. L’auteure joue donc l’originalité en choisissant ce style de danse et en prenant comme personnage principal un garçon, elle va donc à l’encontre des tendances et c’est très bien ! Une belle découverte, à suivre.
  20. Titre de l'album : Welcome to the ballroom tome 1 Scenariste de l'album : TAKEUCHI Tomo Dessinateur de l'album : TAKEUCHI Tomo Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Collégien, Tatara Fujita n'a ni talent ni passion et ne sait pas quoi faire de sa vie. Le hasard et une bande de caïds mal intentionnés l'amènent à rencontrer Kaname Sengoku, un danseur professionnel qui l'attire dans un studio de danse de salon. Tatara y découvre l'univers de la danse sportive. Critique : Tatara Fujita est un collégien qui n’a pas encore trouvé sa voie, il aimerait bien avoir un don, une passion, une motivation dans la vie, quelque chose qui pourrait lui faire ressentir qu’il est vivant, qu’il n’est pas vide et qui lui permettrait de changer, d’avancer. Un jour, suite à un concours de circonstances, il va découvrir le monde de la danse de salon (valse, salsa…) et pour la première fois, il va se sentir happé, fasciné et va décider de devenir danseur et faire de la compétition. Représenter la danse en dessins, pouvoir donner l’impression des mouvements, des enchainements, de la rapidité ce n’est jamais très facile à faire. Même si je n’ai pas été totalement convaincue par ces représentations, ce qui marche bien en revanche, c’est les sensations que la danse procure chez notre héros. On ressent bien l’éveil de son intérêt, sa fascination et son envie d’apprendre. Et puis, pour une fois, ce n’est pas de la danse classique, ni de la street, ici on parle de danse de salon : un genre souvent dénigré par les jeunes car souvent considéré comme obsolète. L’auteure joue donc l’originalité en choisissant ce style de danse et en prenant comme personnage principal un garçon, elle va donc à l’encontre des tendances et c’est très bien ! Une belle découverte, à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/welcome-to-the-ballroom-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Failure frame tomes 1 et 2

    Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti. On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ? Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment.
  22. Titre de l'album : Failure frame tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : VENGEANCE DANS UN AUTRE MONDE. Tôka Mimori, lycéen aussi discret qu'un PNJ appartenant au décor, a été invoqué dans un autre monde avec ses camarades de classe afin que tous deviennent des héros. Mais tandis qu'autour de lui se succèdent les attributions de rangs S ou A, lui se voit qualifié de rang E, autrement dit bon à jeter, et se retrouve expédié au fin fond de ruines dont personne n'est jamais ressorti vivant. C'est alors qu'il découvre que ses compétences d'altération d'état, à première vue inutiles, lui permettent en fait de terrasser de puissants monstres !Je vais me rebeller contre ce monde... Avec ces capacités dont ils se sont tant moqués ! Ainsi débute le récit de vengeance de ce héros rejeté de tous aux pouvoirs hors normes, en passe de devenir un démon.En terrassant des monstres, un adolescent se métamorphose peu à peu en démon. Critique : Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti. On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ? Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire.
  24. Titre de l'album : Dragon quest : the adventure of Daï tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SANJO Riku Dessinateur de l'album : INADA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Roi du Mal est ressuscité ! Encore plus puissant qu'avant, Hadlar arrive sur l'île Dermline pour se venger de celui qui l'avait tué autrefois : Avan. Celui-ci n'a d'autre choix que d'affronter son ennemi de toujours pour protéger ses disciples. Mais sera-t-il à la hauteur pour terrasser Hadlar, alors qu'il vient de consommer presque toute son énergie pour l'entraînement de Daï ? Critique : Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dragon-quest-the-adventure-of-dai-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Danmachi épisode Ryû tome 5

    Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome.
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