Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'shonen'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Catégories

  • Critiques

Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Calendriers

  • Community Calendar

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Sword art online - Ordinal Scale tome 5 (fin) Scenariste de l'album : KAWAHARA Reki Dessinateur de l'album : ISII Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Une nouvelle machine du nom d'Augma permet à ses utilisateurs d'expérimenter la Réalité Augmentée - une superposition de la réalité et d'éléments virtuels... D'anciens Boss de SAO font leur apparition au sein du jeu le plus utilisé de l'appareil : « Ordinal Scale »... Cependant, les affrontements contre ces derniers semblent effacer les souvenirs des Survivants de SAO. Alors que Kirito a réussi à se défaire d'Eiji, le professeur Shigemura décide de lancer la phase finale de son plan. Tous les joueurs présents au concert sont à présent en danger et l'épéiste noir ne dispose que de peu de temps pour les sauver. Critique : Si le nerve gear utilisé au début de la saga SAO permettait de vivre une expérience virtuelle en connectant directement son esprit avec le jeu (donc possibilité de jouer pendant son sommeil !), le nouveau système Augma permet de superposer des images virtuelles à la réalité, un peu comme les pokémon ont envahis nos rues. La conséquence principale se situe au niveau du corps, si dans un jeu normal, vous faites bouger vos avatars grâce à vos mains, ici vous devez vraiment bouger votre corps, il vaut donc mieux être sportif. SAO explore encore une fois 2 thèmes récurrents : les possibilités d’avancées technologiques dans le domaine du virtuel et du jeu et les dérives et dangers que cela peut avoir. On a vu dans des arcs précédents, notamment mother’s rosario que cela pourrait permettre à une personne malade, alitée, de vivre des expériences et de faire des rencontres comme une personne normale, mais on a vu aussi que l’intrusion dans l’esprit pouvait avoir des conséquences. Et c’est exactement cet aspect qui est à l’étude dans Ordinal Scale : peut-on reconstituer quelqu’un à partir des bribes de souvenirs des personnes qu’elle a rencontrées ? peut-on extraire des souvenirs d’un esprit et surtout peut-on le faire sans endommager cet esprit ? Encore une fois, SAO mêle habilement l’action dans des mondes de fantasy et la réflexion. On a plaisir à retrouver nos héros, à voir l’évolution de leur histoire. Et bien que la trame d’un arc à l’autre reste sensiblement la même, l’auteur arrive a toujours aller plus loin dans l’exploration des possibilités scientifiques. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sao-ordinal-scale-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Testu et doberman t1

    Mince alors, qu'est ce qui n'a donc pas marché au Japon ? J'aimerais sincèrement le savoir car cette série a, dans ce premier tome, tout pour faire un concurrent sérieux à My Hero Academia. Oui oui je ne rigole pas. On y retrouve le truc classique du jeune qui rêverait d'être un héros comme ceux qu'il voit à la télé et qui, du jour au lendemain, se retrouve avec la possibilité de le faire. Là où c'est vraiment dommage que cette histoire ne dure que 3 tomes, c'est que ce tome 1 met vraiment en place une base solide : Un gamin attachant et plein de bonne volonté. L'ancien bras droit du plus grand héros de tous les temps qui veut lui apprendre le métier. Des possibilités de couple d'humains/limiers quasi infini. Des méchants encore inconnus. Un entrainement et une marge de progression de notre héros qui permettrait de faire au moins 6 tomes rien que la dessus. C'est donc le plus gros regret de ce tome 1. Apres une lecture super sympa, bien rythmée et pourvue d'une histoire intéressante, on s'espérait parti pour une série qui fasse au moins une dizaine de tome. Semble-t-il que le publique japonais n'était pas de mon avis.... c'est bien dommage
  3. Titre de l'album : Testu et doberman t1 Scenariste de l'album : Tsutomu Ohno Dessinateur de l'album : Tsutomu Ohno Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Autrefois, un héros est intervenu pour sauver le monde. Son nom : Big One Kurogane. Mais lorsqu'il décède quelques années plus tard, son partenaire, Doberman, disparaît de la circulation. 13 ans plus tard... Tetsu Himukai est un adolescent qui travaille à mi-temps pour aider financièrement l'orphelinat où il a grandi. Au fil du temps, son admiration pour Big One a perdu de sa ferveur. Quand il apprend que son orphelinat doit être rasé pour faire place à un nouveau projet immobilier, il décide d'aller tirer les choses au clair avec le propriétaire du terrain, qui s'est entouré d'hommes peu recommandables. Tetsu ne tarde pas à se retrouver en mauvaise posture... C'est alors que surgit Doberman, l'ancien partenaire de Big One Kurogane ! Critique : Mince alors, qu'est ce qui n'a donc pas marché au Japon ? J'aimerais sincèrement le savoir car cette série a, dans ce premier tome, tout pour faire un concurrent sérieux à My Hero Academia. Oui oui je ne rigole pas. On y retrouve le truc classique du jeune qui rêverait d'être un héros comme ceux qu'il voit à la télé et qui, du jour au lendemain, se retrouve avec la possibilité de le faire. Là où c'est vraiment dommage que cette histoire ne dure que 3 tomes, c'est que ce tome 1 met vraiment en place une base solide : Un gamin attachant et plein de bonne volonté. L'ancien bras droit du plus grand héros de tous les temps qui veut lui apprendre le métier. Des possibilités de couple d'humains/limiers quasi infini. Des méchants encore inconnus. Un entrainement et une marge de progression de notre héros qui permettrait de faire au moins 6 tomes rien que la dessus. C'est donc le plus gros regret de ce tome 1. Apres une lecture super sympa, bien rythmée et pourvue d'une histoire intéressante, on s'espérait parti pour une série qui fasse au moins une dizaine de tome. Semble-t-il que le publique japonais n'était pas de mon avis.... c'est bien dommage Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tetsu-doberman-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Zara x2 tome 1

    Suite des nouveautés de l’éditeur shockdom, Zara X2 nous propose une histoire de zombies dans une Italie post-pandémie. L’auteur a écrit cette histoire il y a 10 ans, l’Italie contaminée par un étrange virus se retrouve isolée du reste du monde, les pays frontaliers ayant construit un mur pour stopper la propagation en laissant les habitants sains se débrouiller seuls. L’histoire est plus complexe qu’il n’y paraît, car même s’il y a des zombies, on n’en a pas à toutes les pages. Il y a une véritable intrigue, des questions qui attendent des réponses, des secrets à découvrir. Passée la couverture qui ne donne pas trop envie, ce manga est une vraie bonne surprise ! On se fait vite au graphisme, la lecture est fluide, et on a hâte d’en savoir plus. Et pour ceux qui ont du mal avec le sens "inversé", le manga est dans le sens européen.
  5. Nickad

    Zara x2 tome 1

    Titre de l'album : Zara x2 tome 1 Scenariste de l'album : TALITA Dessinateur de l'album : TALITA Coloriste : Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : L'Italie est touchée par une épidémie zombie et le pays est vite coupé du reste du monde. Dans le Pays, renommé "ZaraX" , règne le chaos : les contaminés attaquent et dévorent tout ce qui est encore en vie. Le journaliste Luca, est envoyé dans la zone de quarantaine pour un reportage. Ayant quitté le pays depuis quelques années, il décide de profiter de l'occasion pour retrouver sa soeur. Toutefois, dès qu'il rentre dans la zone contaminée, il se rend compte que le reportage n'était qu'un prétexte et que sa recherche ne sera pas tout à fait simple... Critique : Suite des nouveautés de l’éditeur shockdom, Zara X2 nous propose une histoire de zombies dans une Italie post-pandémie. L’auteur a écrit cette histoire il y a 10 ans, l’Italie contaminée par un étrange virus se retrouve isolée du reste du monde, les pays frontaliers ayant construit un mur pour stopper la propagation en laissant les habitants sains se débrouiller seuls. L’histoire est plus complexe qu’il n’y paraît, car même s’il y a des zombies, on n’en a pas à toutes les pages. Il y a une véritable intrigue, des questions qui attendent des réponses, des secrets à découvrir. Passée la couverture qui ne donne pas trop envie, ce manga est une vraie bonne surprise ! On se fait vite au graphisme, la lecture est fluide, et on a hâte d’en savoir plus. Et pour ceux qui ont du mal avec le sens "inversé", le manga est dans le sens européen. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zara-x2-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Ragna Crimson tome 7

    Le combat entre la princesse d’argent et ses hommes contre les dragons fait rage, contre toute attente, chaque camp arrive à surprendre l’autre et les adversaires sont redoutables. Ragna se bat à leurs côtés et poussé à l’extrême, il assimile un peu plus les pouvoirs que son double lui a transmis. Pendant ce temps, Crimson échafaude des plans et tout ne se déroule pas toujours comme prévu. Un tome de combats donc, avec de l’action et des monstres dans tous les coins. Même si quelques infos par ci par là nous permettent d’en apprendre un peu plus sur les personnages et leurs passés, on n’arrive toujours pas à cerner Crimson. Et c’est bien là, le principal intérêt de l’histoire car si les motivations des autres semblent assez claires, et si l’on sait que l’on se dirige vers une extermination des dragons, les raisons de Crimson restent obscures et peuvent amener des rebondissements. En attendant, on espère que ce combat va vite s’achever, car même s’ils sont bien menés, cela peut devenir lassant. On attend autre chose de ce manga.
  7. Titre de l'album : Ragna Crimson tome 7 Scenariste de l'album : KOBAYASHI Daiki Dessinateur de l'album : KOBAYASHI Daiki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Ragna et Crimson viennent de rencontrer la princesse d'argent et sa brigade argentée. La jeune femme a prévu d'évacuer sa base militaire en emmenant des civils sous sa protection dans un pays frontalier. Malheureusement le dragon fou et le dragon explosif, deux dragons de classe supérieure spécialisés dans la guerre, se ruent vers le refuge de la brigade argentée... Critique : Le combat entre la princesse d’argent et ses hommes contre les dragons fait rage, contre toute attente, chaque camp arrive à surprendre l’autre et les adversaires sont redoutables. Ragna se bat à leurs côtés et poussé à l’extrême, il assimile un peu plus les pouvoirs que son double lui a transmis. Pendant ce temps, Crimson échafaude des plans et tout ne se déroule pas toujours comme prévu. Un tome de combats donc, avec de l’action et des monstres dans tous les coins. Même si quelques infos par ci par là nous permettent d’en apprendre un peu plus sur les personnages et leurs passés, on n’arrive toujours pas à cerner Crimson. Et c’est bien là, le principal intérêt de l’histoire car si les motivations des autres semblent assez claires, et si l’on sait que l’on se dirige vers une extermination des dragons, les raisons de Crimson restent obscures et peuvent amener des rebondissements. En attendant, on espère que ce combat va vite s’achever, car même s’ils sont bien menés, cela peut devenir lassant. On attend autre chose de ce manga. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ragna-crimson-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Cinéraire tome 1

    Nouvel éditeur de bd et de mangas sur le marché, Shockdom nous propose des œuvres d’auteurs italiens. J’ai trouvé intéressant d’aller voir de plus près leur catalogue et je vous présenterai plusieurs de leurs titres. Roberta Rea a remporté un prix au salon manga de Barcelone en 2014, ce qui a lancé sa carrière et Cinéraire est sa première œuvre publiée en France. Elle nous propose un shonen : Kali est une jeune fille pirate qui décide de partir à la recherche des légendaires 12 dagues. Après quelques déboires, elle va être accompagnée d’un apprenti aventurier et d’une princesse magicienne. Le graphisme est agréable, on sent bien l’inspiration manga surtout sur le design des personnages, le livre est d’ailleurs dans le sens japonais. Côté histoire, je la trouve par moment un peu confuse, on passe rapidement sur certains éléments, on a l’impression qu’il y a eu un excès de zèle. Une fois les bases posées, l’intrigue se stabilise, les personnages sont sympathiques et l’histoire mêle action et humour. Cinéraire est donc un manga d’aventures, avec de jeunes pirates qui partent à la recherche d’un trésor (on est loin de one piece je vous rassure), C’est plutôt un bon début qui mérite de gagner en maturité.
  9. Nickad

    Cinéraire tome 1

    Titre de l'album : Cinéraire tome 1 Scenariste de l'album : REA Roberta Dessinateur de l'album : REA Roberta Coloriste : Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : Dans un monde envahi par la magie, une légende se fraie un chemin parmi les mystères les plus passionnants : la légende des dagues de l’infini. Ces artefacts confèrent des pouvoirs extraordinaires et des habiletés innées à ceux qui les possèdent. Leur indéniable charme attire des explorateurs de toutes sortes : des âmes les plus pures aux plus sombres. Même Kali, une jeune pirate, est sur les traces de lune de ces dagues au large des Mers de la Complainte, lorsqu'elle est soudainement capturée par les chevaliers de l’Onde Dorée... Critique : Nouvel éditeur de bd et de mangas sur le marché, Shockdom nous propose des œuvres d’auteurs italiens. J’ai trouvé intéressant d’aller voir de plus près leur catalogue et je vous présenterai plusieurs de leurs titres. Roberta Rea a remporté un prix au salon manga de Barcelone en 2014, ce qui a lancé sa carrière et Cinéraire est sa première œuvre publiée en France. Elle nous propose un shonen : Kali est une jeune fille pirate qui décide de partir à la recherche des légendaires 12 dagues. Après quelques déboires, elle va être accompagnée d’un apprenti aventurier et d’une princesse magicienne. Le graphisme est agréable, on sent bien l’inspiration manga surtout sur le design des personnages, le livre est d’ailleurs dans le sens japonais. Côté histoire, je la trouve par moment un peu confuse, on passe rapidement sur certains éléments, on a l’impression qu’il y a eu un excès de zèle. Une fois les bases posées, l’intrigue se stabilise, les personnages sont sympathiques et l’histoire mêle action et humour. Cinéraire est donc un manga d’aventures, avec de jeunes pirates qui partent à la recherche d’un trésor (on est loin de one piece je vous rassure), C’est plutôt un bon début qui mérite de gagner en maturité. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cineraire-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    The elf and the hunter tome 1

    Dans un monde de fantasy, au milieu de la forêt cohabitent une elfe et un jeune homme humain. Elle fabrique des objets magiques à partir de matériaux tels que des plantes, monstres ou minéraux plus ou moins rares et lui est chasseur, il va chasser les monstres dont elle a besoin, l’accompagne dans ses déplacements et lui sert aussi de garde du corps. Ne vous attendez pas à de l’action, à de grands combats, à de la magie dans tous les sens ! Non, ici, c’est un style tranche de vie, dans un univers fantastique certes, mais tranche de vie quand même. On suit nos deux personnages dans leurs activités de tous les jours, dans leur relation sentimentale, dans leurs pensées : chacun devient narrateur à un moment, y compris certains personnages de passage. Il y a beaucoup de travail dans la création de l’univers du manga, beaucoup de soin apportés aux détails, et une grande douceur qui se dégage de l’histoire. Bien que ce soit un univers riche, ce n’est pas sur les objets ou créatures extraordinaires que l’on s’attarde, ce sont sur les personnages et les interactions qu’ils ont les uns envers les autres. C’est à la fois le charme du manga et le point négatif, car au final, on ne retient que la romance. La fantasy arrivera peut-être avec la suite, série finie en 5 tomes.
  11. Titre de l'album : The elf and the hunter tome 1 Scenariste de l'album : AOI Umetarô Dessinateur de l'album : AOI Umetarô Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans une petite cabane au fond des bois vit l'elfe artisan Magritte, ainsi que celui qui lui voue une adoration sans borne, le chasseur humain Yura. Bien qu'ils soient d'âges et d'espèces différents, ils demeurent ensemble et créent des objets fabuleux pour répondre à diverses requêtes. Et si vous jetiez un œil à leur paisible vie, tissée au quotidien dans cet atelier forestier ? Critique : Dans un monde de fantasy, au milieu de la forêt cohabitent une elfe et un jeune homme humain. Elle fabrique des objets magiques à partir de matériaux tels que des plantes, monstres ou minéraux plus ou moins rares et lui est chasseur, il va chasser les monstres dont elle a besoin, l’accompagne dans ses déplacements et lui sert aussi de garde du corps. Ne vous attendez pas à de l’action, à de grands combats, à de la magie dans tous les sens ! Non, ici, c’est un style tranche de vie, dans un univers fantastique certes, mais tranche de vie quand même. On suit nos deux personnages dans leurs activités de tous les jours, dans leur relation sentimentale, dans leurs pensées : chacun devient narrateur à un moment, y compris certains personnages de passage. Il y a beaucoup de travail dans la création de l’univers du manga, beaucoup de soin apportés aux détails, et une grande douceur qui se dégage de l’histoire. Bien que ce soit un univers riche, ce n’est pas sur les objets ou créatures extraordinaires que l’on s’attarde, ce sont sur les personnages et les interactions qu’ils ont les uns envers les autres. C’est à la fois le charme du manga et le point négatif, car au final, on ne retient que la romance. La fantasy arrivera peut-être avec la suite, série finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-elf-and-the-hunter-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Parmi les nombreux isekai sur le marché, celui-là fait partie de mes préférés. Ne cherchez pas ici d’invocation, ni de mission confiée par un dieu, ni même de compétences, de niveaux, de pouvoirs magiques phénoménaux. Ici, il s’agit juste d’une réincarnation, une jeune femme se retrouve après sa mort dans le corps d’une fillette de 5 ans. Elle est dans un autre monde moins évolué, avec des différences sociales bien marquées. Sa nouvelle famille appartient au bas peuple : père soldat, mère teinturière, les enfants doivent travailler tôt pour contribuer aux ressources de la famille. Notre héroïne, Maïn, a donc 5 ans, elle est de faible constitution et est atteinte d’une maladie incurable qui la limite dans ses activités de tous les jours et ne lui laisse que peu de perspectives d’avenir. Elle se rappelle de son ancienne vie, du confort, des produits du quotidien qui n’existe pas dans ce nouveau monde. Elle va essayer avec un ami Lutz, de fabriquer certains objets et surtout son rêve, c’est de pouvoir faire des livres ! Car si le papier existe, il est un produit de luxe et il est réservé aux nobles. Nous qui sommes tous lecteurs et férus de bds et de mangas, comment réagirions-nous s’ils n’existaient plus ? Le seul côté isekai, se sont ses souvenirs, pour le reste, c’est le quotidien de cette enfant, avec ses envies, ses limites de par son âge et sa maladie, ses difficultés de par son statut et les technologies qui existent. Ce 7ème tome marque la fin de la 1ère saison, c’est un tournant pour notre héroïne car elle va prendre une décision importante pour son avenir (métier et santé). Une série très agréable à lire, avec un bon rythme, il se passe toujours quelque chose, plein de créations et d’astuces si un jour vous vous retrouvez dans la même situation. Adapté de light novel, le manga est arrivé en finale du tournoi manga-news shonen 2020 et il est également visible en anime sur crunchyroll sous le titre Ascendance of a bookworm.
  13. Titre de l'album : La petite faiseuse de Livres tome 7 Scenariste de l'album : KAZUKI Miya Dessinateur de l'album : SUZUKA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Ayant décidé de rester auprès de ses parents au risque de laisser la maladie l’emporter, Maïn continue à vivre sa vie comme elle l’entend, malgré les recommandations de Frida qui a du mal à comprendre la décision de son amie. C’est dans ce contexte que le jour du baptême de Maïn arrive enfin. Une fois à l’intérieur du temple, la jeune fille découvre que celui-ci est pourvu d’une bibliothèque richement fournie, la première qu’elle voie depuis son arrivée dans ce monde. Il n’en faut pas plus pour la pousser à prendre une décision. Critique : Parmi les nombreux isekai sur le marché, celui-là fait partie de mes préférés. Ne cherchez pas ici d’invocation, ni de mission confiée par un dieu, ni même de compétences, de niveaux, de pouvoirs magiques phénoménaux. Ici, il s’agit juste d’une réincarnation, une jeune femme se retrouve après sa mort dans le corps d’une fillette de 5 ans. Elle est dans un autre monde moins évolué, avec des différences sociales bien marquées. Sa nouvelle famille appartient au bas peuple : père soldat, mère teinturière, les enfants doivent travailler tôt pour contribuer aux ressources de la famille. Notre héroïne, Maïn, a donc 5 ans, elle est de faible constitution et est atteinte d’une maladie incurable qui la limite dans ses activités de tous les jours et ne lui laisse que peu de perspectives d’avenir. Elle se rappelle de son ancienne vie, du confort, des produits du quotidien qui n’existe pas dans ce nouveau monde. Elle va essayer avec un ami Lutz, de fabriquer certains objets et surtout son rêve, c’est de pouvoir faire des livres ! Car si le papier existe, il est un produit de luxe et il est réservé aux nobles. Nous qui sommes tous lecteurs et férus de bds et de mangas, comment réagirions-nous s’ils n’existaient plus ? Le seul côté isekai, se sont ses souvenirs, pour le reste, c’est le quotidien de cette enfant, avec ses envies, ses limites de par son âge et sa maladie, ses difficultés de par son statut et les technologies qui existent. Ce 7ème tome marque la fin de la 1ère saison, c’est un tournant pour notre héroïne car elle va prendre une décision importante pour son avenir (métier et santé). Une série très agréable à lire, avec un bon rythme, il se passe toujours quelque chose, plein de créations et d’astuces si un jour vous vous retrouvez dans la même situation. Adapté de light novel, le manga est arrivé en finale du tournoi manga-news shonen 2020 et il est également visible en anime sur crunchyroll sous le titre Ascendance of a bookworm. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-faiseuse-de-livres-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Arrête de me chauffer, Nagatoro est une comédie romantique, d’un côté il y a Nagotoro, jeune fille de seconde, sûre d’elle, enjouée, qui ne se laisse pas faire et qui ne mâche pas ses mots, de l’autre le senpai, garçon en classe de première, qui dessine des mangas, seul membre du club d’art plastique, solitaire, timide et qui n’a aucune expérience avec les filles. Le manga est une succession de scénettes, qui va opposer ces deux personnages, Nagatoro taquinant son senpai, notamment autour des relations filles-garçons, elle utilise sa sensualité et provoque des situations ambiguës sans jamais aller au bout. Si en première lecture, il y a un côté bon enfant, une ambiance rafraichissante, au 2eme niveau, on se rend compte que l’attitude de Nagatoro envers son senpai est très violente : elle lui fait espérer des événements pour qu’au final elle le traite de « repoussant » et va jusqu’à le faire pleurer. Le « qui aime bien châtie bien » est vraiment le maître mot de ce premier volume. Au fur et à mesure des chapitres, on commence à entrevoir que Nagatoro ne serait pas qu’une peste mais qu’il y aurait peut-être dans son comportement des intentions plus louables. Côté graphisme, le dessin est bien réalisé, les expressions des deux protagonistes sont parfaites. Le manga en est à son 8eme volume et va être adapté en anime, de quoi penser que les volumes suivants amèneront une évolution à l’histoire et que le scénario est plus complexe que cette mise en bouche. A suivre donc.
  15. Titre de l'album : Arrête de me chauffer, Nagatoro tome 1 Scenariste de l'album : NANASHI Dessinateur de l'album : NANASHI Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Nagatoro est en seconde. Pleine d'assurance, joueuse, moqueuse, elle se découvre un jour un passe-temps favori : martyriser son «Senpai», lycéen de première timide et mal dans sa peau. Nagatoro taquine, agace, aguiche, va parfois trop loin... mais qu'a-t-elle vraiment derrière la tête ? Et si derrière ses moqueries elle cachait une véritable affection ? Et si finalement, ses farces permettaient à Senpai de s'affirmer ? Critique : Arrête de me chauffer, Nagatoro est une comédie romantique, d’un côté il y a Nagotoro, jeune fille de seconde, sûre d’elle, enjouée, qui ne se laisse pas faire et qui ne mâche pas ses mots, de l’autre le senpai, garçon en classe de première, qui dessine des mangas, seul membre du club d’art plastique, solitaire, timide et qui n’a aucune expérience avec les filles. Le manga est une succession de scénettes, qui va opposer ces deux personnages, Nagatoro taquinant son senpai, notamment autour des relations filles-garçons, elle utilise sa sensualité et provoque des situations ambiguës sans jamais aller au bout. Si en première lecture, il y a un côté bon enfant, une ambiance rafraichissante, au 2eme niveau, on se rend compte que l’attitude de Nagatoro envers son senpai est très violente : elle lui fait espérer des événements pour qu’au final elle le traite de « repoussant » et va jusqu’à le faire pleurer. Le « qui aime bien châtie bien » est vraiment le maître mot de ce premier volume. Au fur et à mesure des chapitres, on commence à entrevoir que Nagatoro ne serait pas qu’une peste mais qu’il y aurait peut-être dans son comportement des intentions plus louables. Côté graphisme, le dessin est bien réalisé, les expressions des deux protagonistes sont parfaites. Le manga en est à son 8eme volume et va être adapté en anime, de quoi penser que les volumes suivants amèneront une évolution à l’histoire et que le scénario est plus complexe que cette mise en bouche. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/miss-nagatoro-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Spy x Family tomes 1 et 2

    Spy x family est la comédie à succès du moment, arrivée 3eme dans le palmarès du magazine Da Vinci de l'éditeur Kadokawa Shoten récompensant les meilleurs titres parus cette année au Japon (sélection basée sur les votes de plus de 4000 participants, incluant des professionnels du manga, des journalistes, des éditeurs et des libraires). Twilight, espion émérite doit mener à bien sa nouvelle mission, pour pouvoir approcher M Desmond chef de parti, il a besoin de se fabriquer une famille plus vraie que nature. Chaque membre de cette nouvelle famille a ses petits secrets et a ses raisons pour que cela fonctionne. Si le premier tome est surtout une introduction à l’univers et une présentation des personnages au cours de petites histoires, le 2eme se concentre sur la mission principale. Bien sûr quand le 1er est espion et habitué à penser à toutes sortes de situation, la 2eme est une tueuse à gage mais un peu à la ramasse en dehors de son métier et la 3eme télépathe mais trop jeune pour bien analyser ce qu’elle entend, les situations inattendues ou ne se déroulant pas comme prévues s’enchainent. Traité avec légèreté et humour, ce manga d’aventure est dynamique et passe trop vite. Vivement la suite !!!
  17. Titre de l'album : Spy x Family tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : ENDO Tatsuya Dessinateur de l'album : ENDO Tatsuya Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Sauvez le monde avec l'élite des agents (très) spéciaux : la famille Forger ! Une comédie d'espionnage pétillante ! Twilight, le plus grand espion du monde, doit pour sa nouvelle mission créer une famille de toutes pièces afin de pouvoir s'introduire dans la plus prestigieuse école de l'aristocratie. Totalement dépourvu d'expérience familiale, il va adopter une petite fille en ignorant qu'elle est télépathe, et s'associer à une jeune femme timide, sans se douter qu'elle est une redoutable tueuse à gages. Ce trio atypique va devoir composer pour passer inaperçu, tout en découvrant les vraies valeurs d'une famille unie et aimante. Critique : Spy x family est la comédie à succès du moment, arrivée 3eme dans le palmarès du magazine Da Vinci de l'éditeur Kadokawa Shoten récompensant les meilleurs titres parus cette année au Japon (sélection basée sur les votes de plus de 4000 participants, incluant des professionnels du manga, des journalistes, des éditeurs et des libraires). Twilight, espion émérite doit mener à bien sa nouvelle mission, pour pouvoir approcher M Desmond chef de parti, il a besoin de se fabriquer une famille plus vraie que nature. Chaque membre de cette nouvelle famille a ses petits secrets et a ses raisons pour que cela fonctionne. Si le premier tome est surtout une introduction à l’univers et une présentation des personnages au cours de petites histoires, le 2eme se concentre sur la mission principale. Bien sûr quand le 1er est espion et habitué à penser à toutes sortes de situation, la 2eme est une tueuse à gage mais un peu à la ramasse en dehors de son métier et la 3eme télépathe mais trop jeune pour bien analyser ce qu’elle entend, les situations inattendues ou ne se déroulant pas comme prévues s’enchainent. Traité avec légèreté et humour, ce manga d’aventure est dynamique et passe trop vite. Vivement la suite !!! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spy-x-family-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Rent-a-girlfriend tomes 1 et 2

    Rent-a-girlfriend est une sympathique comédie sentimentale. Kazuya, étudiant, vient de se faire larguer par sa première petite amie, lui qui s’était déjà fait tout un plan pour l’avenir, subit un gros choc psychologique. Désespéré, il tombe sur un site de location de petites amies (en tout bien tout honneur) et décide d’utiliser ses services pour avoir quelqu’un à se confier. Au cours de ce rendez-vous, la situation se complique : sa grand-mère est hospitalisée, et sa petite amie de location devient pour sa famille sa vraie petite amie. N’ayant pas à cœur de les décevoir, il va s’enfoncer dans les mensonges. Si le manga a un côté comédie où le héros enchaine les quiproquos et se retrouve dans une situation intenable, il y a également une belle approche de ses sentiments, l’un des objectifs étant bien sûr l’évolution de Kazuya : avoir confiance en soi, assumer ce qu’il est et devenir adulte. Par ailleurs, il y a 2 personnages féminins forts : la petite amie louée et l’ex-petite amie, les deux sont complexes, leurs motivations pas encore éclaircies, leur caractère bien trempé. Et ce n’est pas dans ces 2 tomes que l’on va pouvoir les cerner. Le fait que l’histoire se déroule avec de jeunes adultes permet à l’auteur d’élargir sa palette de relations et de situations. Un bon début pour une série agréable à lire, qui évite pour l’instant les clichés. Pour information, la série compte déjà 19 tomes et elle n’est pas finie.
  19. Titre de l'album : Rent-a-girlfriend tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : MIYAJIMA Reiji Dessinateur de l'album : MIYAJIMA Reiji Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Kazuya est un étudiant plutôt banal qui vient de se faire larguer par sa petite-amie, qui a décidé d'aller voir ailleurs. Effondré, se sentant plus bas que terre, ayant perdu confiance en soi, il décide d'installer sur son téléphone la nouvelle application en vogue, Diamond, et de louer une nouvelle petite amie pour se sentir mieux. Il tombe ainsi sur une certaine Chizuru ; une jeune fille qui, à première vue, a tout pour lui plaire. Critique : Rent-a-girlfriend est une sympathique comédie sentimentale. Kazuya, étudiant, vient de se faire larguer par sa première petite amie, lui qui s’était déjà fait tout un plan pour l’avenir, subit un gros choc psychologique. Désespéré, il tombe sur un site de location de petites amies (en tout bien tout honneur) et décide d’utiliser ses services pour avoir quelqu’un à se confier. Au cours de ce rendez-vous, la situation se complique : sa grand-mère est hospitalisée, et sa petite amie de location devient pour sa famille sa vraie petite amie. N’ayant pas à cœur de les décevoir, il va s’enfoncer dans les mensonges. Si le manga a un côté comédie où le héros enchaine les quiproquos et se retrouve dans une situation intenable, il y a également une belle approche de ses sentiments, l’un des objectifs étant bien sûr l’évolution de Kazuya : avoir confiance en soi, assumer ce qu’il est et devenir adulte. Par ailleurs, il y a 2 personnages féminins forts : la petite amie louée et l’ex-petite amie, les deux sont complexes, leurs motivations pas encore éclaircies, leur caractère bien trempé. Et ce n’est pas dans ces 2 tomes que l’on va pouvoir les cerner. Le fait que l’histoire se déroule avec de jeunes adultes permet à l’auteur d’élargir sa palette de relations et de situations. Un bon début pour une série agréable à lire, qui évite pour l’instant les clichés. Pour information, la série compte déjà 19 tomes et elle n’est pas finie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rent-a-girlfriend-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Mashle tomes 1 et 2

    J’appréhendais un peu la lecture de ce manga, en pensant qu’on allait tomber dans le genre baston, baston et encore baston. Ce fut donc une bonne surprise ! Certes, on est dans un pur shonen avec la progression du héros jusqu’à son objectif tout en se faisant un cercle d’amis et en obtenant de la reconnaissance, mais pas que. Mashle est bourré d’humour, le héros a des réactions totalement inattendues, d’abord parce qu’il doit compenser son absence de magie par ses muscles mais aussi parce qu’il est totalement insouciant, avec une intelligence limitée et peu de connaissances. Ses réactions souvent inappropriées surprennent le lecteur. Même si la trame générale du manga se dessine assez clairement, ces petits chapitres sont plaisants et amusants. Et je vous rassure, il reste de la baston !! Impossible de ne pas voir l’influence d’Harry Potter dans l’univers de Mashle, l’auteur ne se prive pas de reprendre certaines scènes et de les revisiter. Entre chaque chapitre, il raconte son parcours et répond à des questions sur le manga et ses personnages. Mashle est donc un manga très sympathique, distrayant, qui ne manquera pas de vous faire sourire.
  21. Titre de l'album : Mashle tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KOMOTO Hajime Dessinateur de l'album : KOMOTO Hajime Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Dans une société où la magie fait partie intégrante et définit jusqu'au rang social, les personnes sans pouvoir n'ont pas leur place. C'est le cas de notre héros ! Élevé en cachette par son père adoptif, Mash aurait dû être tué à la naissance. Docile et un peu naïf, le jeune garçon a vécu tout en cachant son secret... Mais un jour, il finit par être découvert ! Sa survie dépend désormais de sa capacité à décrocher le titre d'«Élu Divin» la distinction la plus convoitée au sein de l'Académie Easton... Critique : J’appréhendais un peu la lecture de ce manga, en pensant qu’on allait tomber dans le genre baston, baston et encore baston. Ce fut donc une bonne surprise ! Certes, on est dans un pur shonen avec la progression du héros jusqu’à son objectif tout en se faisant un cercle d’amis et en obtenant de la reconnaissance, mais pas que. Mashle est bourré d’humour, le héros a des réactions totalement inattendues, d’abord parce qu’il doit compenser son absence de magie par ses muscles mais aussi parce qu’il est totalement insouciant, avec une intelligence limitée et peu de connaissances. Ses réactions souvent inappropriées surprennent le lecteur. Même si la trame générale du manga se dessine assez clairement, ces petits chapitres sont plaisants et amusants. Et je vous rassure, il reste de la baston !! Impossible de ne pas voir l’influence d’Harry Potter dans l’univers de Mashle, l’auteur ne se prive pas de reprendre certaines scènes et de les revisiter. Entre chaque chapitre, il raconte son parcours et répond à des questions sur le manga et ses personnages. Mashle est donc un manga très sympathique, distrayant, qui ne manquera pas de vous faire sourire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mashle-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Ce premier tome de la série est clairement une introduction, l’auteur prend le temps de définir son univers : un pays où certains naissent avec des pouvoirs magiques difficiles à maitriser sans étudier, des habitants hyper méfiants, voire même intolérants et détestables envers les sorciers, un contexte historique sur fond de guerre. Les deux personnages principaux sont deux sorciers, Léon maitrise ses pouvoirs mais ceux-ci sont trop faibles pour être jugés utiles par la société, il ne peut se cantonner qu’au rôle de professeur. Zechs, adolescent orphelin suite à une guerre semble avoir de grandes compétences mais ne sait pas les utiliser ni les contrôler et se retrouve considéré comme personne dangereuse voire à éliminer s’il ne peut pas être éduqué. Le graphisme est bien travaillé, avec détails et surtout les expressions des personnages sont superbes, on ressent bien le dégoût des habitants vis-à-vis des sorciers, la colère et le désespoir de ces derniers. Sur fond de contexte fantastique, il s’agit ni plus ni moins d’une lutte de société : dénoncer l’intolérance vis-à-vis d’une minorité, leur persécution, et montrer le combat qu’ils vont mener pour faire changer les choses tout en apprenant à se faire confiance. Une histoire bien menée, une lecture fluide où on ne voit pas le temps passer, un très bon début.
  23. Titre de l'album : Les tisserands de la vérité tome 1 Scenariste de l'album : SATÔ Sakura Dessinateur de l'album : INUZUKA Hiro Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Au pays de Lavarta, il ne fait pas bon être sorcier. Ces derniers sont au plus bas de l'échelle sociale. C'est dans ce contexte que Leon, un sorcier aux faibles pouvoirs et professeur de magie, se voit confier un jeune garçon par la «forteresse de fer». Zechs, de son prénom, possède en effet d'extraordinaires pouvoirs, mais se refuse à étudier pour une raison inconnue... Leon pourra-t-il raisonner son nouvel élève réticent ? Critique : Ce premier tome de la série est clairement une introduction, l’auteur prend le temps de définir son univers : un pays où certains naissent avec des pouvoirs magiques difficiles à maitriser sans étudier, des habitants hyper méfiants, voire même intolérants et détestables envers les sorciers, un contexte historique sur fond de guerre. Les deux personnages principaux sont deux sorciers, Léon maitrise ses pouvoirs mais ceux-ci sont trop faibles pour être jugés utiles par la société, il ne peut se cantonner qu’au rôle de professeur. Zechs, adolescent orphelin suite à une guerre semble avoir de grandes compétences mais ne sait pas les utiliser ni les contrôler et se retrouve considéré comme personne dangereuse voire à éliminer s’il ne peut pas être éduqué. Le graphisme est bien travaillé, avec détails et surtout les expressions des personnages sont superbes, on ressent bien le dégoût des habitants vis-à-vis des sorciers, la colère et le désespoir de ces derniers. Sur fond de contexte fantastique, il s’agit ni plus ni moins d’une lutte de société : dénoncer l’intolérance vis-à-vis d’une minorité, leur persécution, et montrer le combat qu’ils vont mener pour faire changer les choses tout en apprenant à se faire confiance. Une histoire bien menée, une lecture fluide où on ne voit pas le temps passer, un très bon début. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tisserands-de-la-verite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Tezucomi tome 1

    Tezucomi est un recueil hommage à Tezuka fait par des auteurs du monde entier. Le premier volume fait 400 pages pour 11 histoires (certaines incomplètes). Si je comprends que c’est un bel hommage et qu’il y a un vrai challenge pour les auteurs (il est toujours compliqué de s’attaquer à un tel monument), je reste plus partagée concernant le lecteur. Certains chapitres sont des clins d’œil à l’œuvre originale, sans grand intérêt pour ceux qui ne l’aurait pas lue. Même si cela reste dans l’ensemble sympathique, il n’y a que les inconditionnels du maitre qui pourront vraiment l’apprécier ou les inconditionnels des auteurs qui se sont prêtés à l’exercice (Jean-David Morvan, Bertrand Gatignol, Reno Lemaire ou encore Juan Diaz Canales entre autres). Notons que Delcourt n’a pas l’intention de sortir 18 volumes comme dans l’édition originale et va s’en tenir à 3 ! Les 2 premières histoires de ce volume étant les premiers chapitres de search and destroy et Ayako, l’enfant de la nuit qui sortent en parallèle chez Delcourt (chacun en 3 tomes), je vous les conseille plutôt que de vous lancer dans Tezucomi qui est, à mon avis, plutôt réservé aux fans de Tezuka.
  25. Nickad

    Tezucomi tome 1

    Titre de l'album : Tezucomi tome 1 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le concept du Tezucomi est simple : des auteurs et illustrateurs du monde entier choisissent leur oeuvre préférée du maître et produisent un chapitre spin-off, mélangeant habilement leur sensibilité à celle du Dieu du manga. Un hommage particulièrement émouvant pour toutes les générations bercées (trop près des cases) par Tezuka ! Critique : Tezucomi est un recueil hommage à Tezuka fait par des auteurs du monde entier. Le premier volume fait 400 pages pour 11 histoires (certaines incomplètes). Si je comprends que c’est un bel hommage et qu’il y a un vrai challenge pour les auteurs (il est toujours compliqué de s’attaquer à un tel monument), je reste plus partagée concernant le lecteur. Certains chapitres sont des clins d’œil à l’œuvre originale, sans grand intérêt pour ceux qui ne l’aurait pas lue. Même si cela reste dans l’ensemble sympathique, il n’y a que les inconditionnels du maitre qui pourront vraiment l’apprécier ou les inconditionnels des auteurs qui se sont prêtés à l’exercice (Jean-David Morvan, Bertrand Gatignol, Reno Lemaire ou encore Juan Diaz Canales entre autres). Notons que Delcourt n’a pas l’intention de sortir 18 volumes comme dans l’édition originale et va s’en tenir à 3 ! Les 2 premières histoires de ce volume étant les premiers chapitres de search and destroy et Ayako, l’enfant de la nuit qui sortent en parallèle chez Delcourt (chacun en 3 tomes), je vous les conseille plutôt que de vous lancer dans Tezucomi qui est, à mon avis, plutôt réservé aux fans de Tezuka. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tezucomi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...