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  1. Titre de l'album : Tomber entre ses griffes tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KURENO Mataaki Dessinateur de l'album : KURENO Mataaki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Mikajima, un rabatteur d'acteurs pour pornos gays, cible Nitta, un passant qu'il croise dans la rue. Se servant de leurs passions communes, Mikajima le fait boire et en profite pour l'aider à faire ressortir sa vraie nature. Un corps sculpté caché par un visage si pur... Le jeune homme naïf à l'érotisme insoupçonné finira-t-il par tomber dans les griffes de ce recruteur tenace ? Critique : Mikajima est un recruteur d’acteurs pour films X gay, un jour il repère Nitta. Avec ses techniques d’experts, il arrive à la faire entrer chez lui puis après un moment coquin, lui laisse sa carte de visite au cas où Nitta serait intéressé. Ce qu’il ignore c’est que ce dernier est agent de police, partagé entre son devoir et le plaisir qu’il a éprouvé, Nitta ne sait plus comment réagir. Même après avoir appris son métier, Mikajima ne lâche pas l’affaire mais cette fois c’est parce que Nitta lui plaît, il espère bien faire sa conquête. Juste sur ce résumé, le manga n’a pas l’air très original. Mais en fait, il y a plein de détails qui lui apporte un intérêt : d’abord il y a le milieu du film porno, le métier de recruteur, l’ami écrivain célèbre et mystérieux, le cousin qui se mêle de tout… Tout un tas de personnages un peu bizarres, dont l’attitude et les comportements sortent de l’ordinaire. Au milieu, il y a Nitta, un jeune policier un peu naïf et inexpérimenté en amour qui va se retrouver emporté malgré lui dans cet univers. L’ambiance générale du manga est donc très agréable, le trait est fin et le manque d’arrière-plan de temps en temps est vite compensé par ces personnalités fortes. L’histoire ne se résume pas qu’à leur histoire de couple (enfin pas encore en couple !!) et montre aussi pleins d’à-côtés sympathiques qui donne envie de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-tes-griffes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    KIss to snow white tomes 1 et 2

    Masamune Zaizen revient dans la ville de son enfance après la mort de son père, il retrouve son ami Asuka Ichijô qui fait mine de ne pas bien se rappeler de leur jeunesse. Ce dernier a bien changé et cache un lourd secret : par vengeance envers sa mère, son père le force à se prostituer. Masamune va chercher à l’aider et à le sortir de cette terrible situation. Au sujet de l’histoire : l’originalité principale venait de la situation familiale d’Asuka, situation qui va changer au milieu du livre et là, on perd un peu d’intérêt pour tomber petit à petit dans une trame plus classique. Asuka n’est plus en danger et au contact de Masamune et de sa famille, il va ouvrir son cœur petit à petit. On comprend que les deux garçons vont aussi se rapprocher et que leur relation va devenir plus intime dans les tomes à venir. Deux reproches cependant : le 1er c’est que l’enchainement du début et un peu confus (les 2 premiers chapitres), la temporalité n’est pas très claire, à tel point que je me suis demandée s’il y avait eu un tome avant ou s’il n’y avait pas eu un problème d’inversement de pages. Le deuxième c’est que les 40 dernières pages de chaque tome concernent des histoires indépendantes ou des bonus (pas inintéressant cependant). L’histoire principale est donc un peu courte à chaque fois, surtout que l’action est assez lente. Le trait de l’auteure est fin, ces personnages sont élégants et raffinés, c’est peut-être lié au cadre social dans lequel se passe l’histoire, mais cela laisse aussi un sentiment de neutralité, on a du mal à s’y attacher. Et puis c’est dommage de ne pas avoir exploité plus la situation du début : le contexte sordide et les sentiments d’Asuka, qui était comme mort à l’intérieur, on a l’impression de vite passer à autre chose.
  3. Titre de l'album : KIss to snow white tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : YOSHIO Akira Dessinateur de l'album : YOSHIO Akira Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Asuka Ichijô est le président du Conseil des élèves de son lycée d'élite. Sous son apparence d'élève modèle, il cache pourtant une vérité glaçante : il est prisonnier de son père, sous surveillance constante, et forcé à se prostituer pour payer les erreurs passées de sa mère.Mais lorsqu'arrive dans son lycée Masamune Zaizen, son ami d'enfance, Asuka ne désire qu'une chose : ne pas l'impliquer dans ses affaires. Il décide donc de le tenir à distance le plus possible, mais Zaizen, intrigué, ne comprend pas pourquoi son ami a tant changé... Critique : Masamune Zaizen revient dans la ville de son enfance après la mort de son père, il retrouve son ami Asuka Ichijô qui fait mine de ne pas bien se rappeler de leur jeunesse. Ce dernier a bien changé et cache un lourd secret : par vengeance envers sa mère, son père le force à se prostituer. Masamune va chercher à l’aider et à le sortir de cette terrible situation. Au sujet de l’histoire : l’originalité principale venait de la situation familiale d’Asuka, situation qui va changer au milieu du livre et là, on perd un peu d’intérêt pour tomber petit à petit dans une trame plus classique. Asuka n’est plus en danger et au contact de Masamune et de sa famille, il va ouvrir son cœur petit à petit. On comprend que les deux garçons vont aussi se rapprocher et que leur relation va devenir plus intime dans les tomes à venir. Deux reproches cependant : le 1er c’est que l’enchainement du début et un peu confus (les 2 premiers chapitres), la temporalité n’est pas très claire, à tel point que je me suis demandée s’il y avait eu un tome avant ou s’il n’y avait pas eu un problème d’inversement de pages. Le deuxième c’est que les 40 dernières pages de chaque tome concernent des histoires indépendantes ou des bonus (pas inintéressant cependant). L’histoire principale est donc un peu courte à chaque fois, surtout que l’action est assez lente. Le trait de l’auteure est fin, ces personnages sont élégants et raffinés, c’est peut-être lié au cadre social dans lequel se passe l’histoire, mais cela laisse aussi un sentiment de neutralité, on a du mal à s’y attacher. Et puis c’est dommage de ne pas avoir exploité plus la situation du début : le contexte sordide et les sentiments d’Asuka, qui était comme mort à l’intérieur, on a l’impression de vite passer à autre chose. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kiss-to-snow-white-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Twilight Outfocus Overlap

    Ce manga est la suite de twilight outfocus où nos deux protagonistes Mao et Hisashi, colocataires dans un internat pour garçon d’une école de garçons, finissaient par se rapprocher et sortir ensemble. Le manga mêlait leur histoire aux activités du club de cinéma où Hisashi, après avoir joué un rôle dans le court métrage du club, finissait par se trouver un intérêt pour le jeu. Dans cette suite, les deux garçons vivent leur relation en secret, on assiste à leur quotidien de couple sur les 3 premiers chapitres, la suite directe du manga commençant au chapitre 4 et montrant les conséquences après la diffusion de leur film sur la toile. Les personnages sont sympathiques mais l’histoire est globalement axée sur leur histoire d’amour avec les questions habituelles que l’on retrouve dans toutes les romances : est-ce qu’il ne va pas me quitter ? Que puis-je faire pour lui (au niveau des problèmes de tous les jours mais aussi d’un point de vue sexuel) ? Bref rien de très original. La partie sur les activités du club est plus intéressante mais un peu courte. Le dessin est plutôt bien fait et l’édition soignée. Un manga sympathique mais pas exceptionnel.
  5. Titre de l'album : Twilight Outfocus Overlap Scenariste de l'album : JYANOME Dessinateur de l'album : JYANOME Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le festival du lycée se termine, et avec lui, le concours du club de cinéma auquel ont participé Mao et ses amis, avec Hisashi dans le rôle principal. Le résultat n'est pas celui attendu, mais les choses changent lorsque le film trouve son public sur internet, et le club gagne une nouvelle visibilité. Critique : Ce manga est la suite de twilight outfocus où nos deux protagonistes Mao et Hisashi, colocataires dans un internat pour garçon d’une école de garçons, finissaient par se rapprocher et sortir ensemble. Le manga mêlait leur histoire aux activités du club de cinéma où Hisashi, après avoir joué un rôle dans le court métrage du club, finissait par se trouver un intérêt pour le jeu. Dans cette suite, les deux garçons vivent leur relation en secret, on assiste à leur quotidien de couple sur les 3 premiers chapitres, la suite directe du manga commençant au chapitre 4 et montrant les conséquences après la diffusion de leur film sur la toile. Les personnages sont sympathiques mais l’histoire est globalement axée sur leur histoire d’amour avec les questions habituelles que l’on retrouve dans toutes les romances : est-ce qu’il ne va pas me quitter ? Que puis-je faire pour lui (au niveau des problèmes de tous les jours mais aussi d’un point de vue sexuel) ? Bref rien de très original. La partie sur les activités du club est plus intéressante mais un peu courte. Le dessin est plutôt bien fait et l’édition soignée. Un manga sympathique mais pas exceptionnel. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/twilight-outfocus-overlap?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Caste Heaven tome 5 Scenariste de l'album : OGAWA Chise Dessinateur de l'album : OGAWA Chise Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Gouvernée par un système de grades cruel et arbitraire, la jalousie, la convoitise et la peur règnent dans cette école. Parmi les étudiants, Azusa a obtenu le rang de «Roi» lors du précédent jeu. Craint et respecté de tous, il n´a aucune gêne à persécuter ses camarades, mais cette situation change le jour où un nouveau jeu est lancé. Sûr de le remporter une nouvelle fois, Azusa va devoir faire face à la trahison d´un de ses lieutenants, qui va le faire descendre au plus bas rang du classement, celui de souffre-douleur. Critique : Avez-vous déjà entendu parler de l’expérience de Stanford, l’expérience de Milgram ou encore de la troisième vague ? Ce sont des expériences sur la psychologie sociale ou comment les êtres humains se soumettent et obéissent dans certaines circonstances. Les résultats sont stupéfiants, effrayants même. C’est sur un principe de ce genre que le manga est construit : dans un lycée, la hiérarchie des élèves est déterminée par un jeu, dans chaque classe, les élèves doivent trouver une carte, celui qui trouve celle du roi devient le maitre de la classe et tout le monde doit lui obéir, celui qui a celle du joker devient la cible et le souffre-douleur de tous les autres. Et là, où c’est effrayant, c’est qu’en « ayant le droit » selon ces règles, les élèves se laissent aller à tous genre de comportements. Et quand un changement arrive (départ ou arrivée d’un membre) et que les cartes sont redistribuées, ils n’hésitent pas à retourner leur veste. Mais dans ce lycée, certains sont bien décidés à passer outre ces règles, arriveront-ils à être assez nombreux pour changer la situation ? Si le thème est très intéressant, le manga reste un yaoi avec une grande part de scènes de sexe, l’histoire est propice aux abus et sur les 5 tomes déjà sortis, beaucoup de passage s’attardent sur les relations particulières entre 2 personnages. Ceci dit, au fur et à mesure de ces petites histoires, des élèves prennent conscience des injustices et de leur privation de liberté. Sur l’intérêt global de l’histoire je mets 4 par contre ce tome est un peu une transition où la trame principale avance peu d’où le 3.5. Autres infos : Pour public averti Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/caste-heaven-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Caste Heaven tome 5

    Avez-vous déjà entendu parler de l’expérience de Stanford, l’expérience de Milgram ou encore de la troisième vague ? Ce sont des expériences sur la psychologie sociale ou comment les êtres humains se soumettent et obéissent dans certaines circonstances. Les résultats sont stupéfiants, effrayants même. C’est sur un principe de ce genre que le manga est construit : dans un lycée, la hiérarchie des élèves est déterminée par un jeu, dans chaque classe, les élèves doivent trouver une carte, celui qui trouve celle du roi devient le maitre de la classe et tout le monde doit lui obéir, celui qui a celle du joker devient la cible et le souffre-douleur de tous les autres. Et là, où c’est effrayant, c’est qu’en « ayant le droit » selon ces règles, les élèves se laissent aller à tous genre de comportements. Et quand un changement arrive (départ ou arrivée d’un membre) et que les cartes sont redistribuées, ils n’hésitent pas à retourner leur veste. Mais dans ce lycée, certains sont bien décidés à passer outre ces règles, arriveront-ils à être assez nombreux pour changer la situation ? Si le thème est très intéressant, le manga reste un yaoi avec une grande part de scènes de sexe, l’histoire est propice aux abus et sur les 5 tomes déjà sortis, beaucoup de passage s’attardent sur les relations particulières entre 2 personnages. Ceci dit, au fur et à mesure de ces petites histoires, des élèves prennent conscience des injustices et de leur privation de liberté. Sur l’intérêt global de l’histoire je mets 4 par contre ce tome est un peu une transition où la trame principale avance peu d’où le 3.5.
  8. Titre de l'album : Karasugaoka don't be shy tome 2 (fin) Scenariste de l'album : YUKURA Aki Dessinateur de l'album : YUKURA Aki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Après s'être avoué leur amour, Izuhara et Shinba, les chefs de deux factions de volontaires chargées de la prévention du crime en ville, ont commencé à sortir ensemble. Mais tous les problèmes ne sont pas réglés pour autant ! Entre la timidité maladive de l'un et les mauvaises expériences passées de l'autre, la communication a du mal à passer entre eux et provoque des malentendus. Et quand la jalousie s'en mêle, c'est encore pire... Critique : Sô et Tetsuji ont décidé de sortir ensemble, sur le papier surtout car en réalité aucun des deux n’a beaucoup d’expérience en amour. Et quand vient l’heure du vrai 1er rendez-vous, aucun des deux n’arrivent à agir normalement, chacun voulant montrer le meilleur de lui-même et chacun craignant que l’autre ne s’ennuie. Au niveau de l’histoire ce 2eme tome n’apporte pas grand-chose, à peine une timide avancée dans leur intimité et encore à la toute fin ! N’empêche que c’est agréable à lire, que l’on est content de suivre les personnages dans leur quotidien. Que leur histoire d’amour est toute mignonne car ils sont maladroits et touchants. Un tome uniquement pour se faire plaisir, une lecture fluide, des dessins plaisants, un peu d’humour, d’aventures et beaucoup de rougissements !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karasugaoka-don-t-be-shy-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Sô et Tetsuji ont décidé de sortir ensemble, sur le papier surtout car en réalité aucun des deux n’a beaucoup d’expérience en amour. Et quand vient l’heure du vrai 1er rendez-vous, aucun des deux n’arrivent à agir normalement, chacun voulant montrer le meilleur de lui-même et chacun craignant que l’autre ne s’ennuie. Au niveau de l’histoire ce 2eme tome n’apporte pas grand-chose, à peine une timide avancée dans leur intimité et encore à la toute fin ! N’empêche que c’est agréable à lire, que l’on est content de suivre les personnages dans leur quotidien. Que leur histoire d’amour est toute mignonne car ils sont maladroits et touchants. Un tome uniquement pour se faire plaisir, une lecture fluide, des dessins plaisants, un peu d’humour, d’aventures et beaucoup de rougissements !!
  10. Titre de l'album : Old fashion cupcake Scenariste de l'album : SAGAN SAGAN Dessinateur de l'album : SAGAN SAGAN Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : À 39 ans, Nozue réalise qu'à force de s'être laissé porter par son quotidien, il a fini par s'enfermer dans sa routine : métro, boulot, dodo. Mais à l'approche de la quarantaine, le salarié n'a ni l'envie ni l'énergie d'essayer d'évoluer. C'est Togawa, son subordonné de 29 ans, qui bouscule ses habitudes en lui proposant un jour d'aller grignoter des pâtisseries dans un établissement particulièrement en vogue chez les jeunes filles. D'un goûter à l'autre, Nozue se sent rajeunir... Mais estce vraiment l'effet de ces gourmandises ou plutôt celui de sentiments naissants ? Critique : Nozue a 39 ans, il est salarié mais ne cherche pas à évoluer dans son entreprise, il se contente d’un quotidien bien monotone : métro, boulot, dodo. Au cours d’un déplacement d’affaires, il se confie à son subordonné Togawa, en disant qu’il admire les lycéennes qui croquent la vie à pleine dents. Togawa va alors inciter Nozue à se comporter de la même manière. Old fashion Cupcake est d’abord une tranche de vie, celle de Nozue, lassé par le temps, se voyant vieillir, pris dans la routine du boulot, se rendant compte qu’il n’y a pas grand-chose dans sa vie à part le travail. Un homme proche de la quarantaine qui ne cherche pas à changer la situation de peur de l’échec. Puis c’est Togawa, un trentenaire qui admire son chef car ce dernier a su trouver les mots qu’il fallait pour l’encourager au début de sa carrière, un jeune homme intéressé par Nozue qui ne veut pas voir ce dernier regretter sa vie. C’est leur quotidien qui change petit à petit, ce sont les relations de travail, les attentes d’adultes dans le monde du travail. Très bien dessiné, c’est assez rare d’ailleurs, qu’il y ait autant de cases dans une planche, l’auteur prend vraiment le temps de développer la relation entre les deux hommes, une relation de travail au départ qui va ensuite devenir de l’amitié puis de l’amour. Le manga est d’une lecture agréable, les personnages attachants et, pour ceux qui se posent la question, il n’y a pas de scènes intimes explicites, juste légèrement érotiques et encore, qu’à la toute fin du livre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/old-fashion-cupcake-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Old fashion cupcake

    Nozue a 39 ans, il est salarié mais ne cherche pas à évoluer dans son entreprise, il se contente d’un quotidien bien monotone : métro, boulot, dodo. Au cours d’un déplacement d’affaires, il se confie à son subordonné Togawa, en disant qu’il admire les lycéennes qui croquent la vie à pleine dents. Togawa va alors inciter Nozue à se comporter de la même manière. Old fashion Cupcake est d’abord une tranche de vie, celle de Nozue, lassé par le temps, se voyant vieillir, pris dans la routine du boulot, se rendant compte qu’il n’y a pas grand-chose dans sa vie à part le travail. Un homme proche de la quarantaine qui ne cherche pas à changer la situation de peur de l’échec. Puis c’est Togawa, un trentenaire qui admire son chef car ce dernier a su trouver les mots qu’il fallait pour l’encourager au début de sa carrière, un jeune homme intéressé par Nozue qui ne veut pas voir ce dernier regretter sa vie. C’est leur quotidien qui change petit à petit, ce sont les relations de travail, les attentes d’adultes dans le monde du travail. Très bien dessiné, c’est assez rare d’ailleurs, qu’il y ait autant de cases dans une planche, l’auteur prend vraiment le temps de développer la relation entre les deux hommes, une relation de travail au départ qui va ensuite devenir de l’amitié puis de l’amour. Le manga est d’une lecture agréable, les personnages attachants et, pour ceux qui se posent la question, il n’y a pas de scènes intimes explicites, juste légèrement érotiques et encore, qu’à la toute fin du livre.
  12. Nickad

    Barbarities tome 1

    Titre de l'album : Barbarities tome 1 Scenariste de l'album : TSUTA Suzuki Dessinateur de l'album : TSUTA Suzuki Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Dans le royaume de Lorraine, le vicomte Adam Cunning se voit assigné la garde du vieux ministre de la Justice de la couronne, le seigneur Montague. Le jeune noble, hédoniste et libertin, décide pour tromper son ennui de se rendre à une partie fine où est censé apparaître Joël, le neveu de son maître. Timide et maladroit, ce dernier n´est toutefois pas là pour prendre du bon temps, mais pour tirer parti de la situation afin de mener à bien une certaine mission. Semblant être bien moins à l´aise avec les choses de la chair qu´avec les choses de l´esprit, il aura besoin de toute l´aide que le bel Adam pourra lui apporter. Critique : Dans un royaume fictif de type occidental, vers une époque proche du 16e siècle, Adam un jeune homme plutôt libertin se voit confier la protection d’un magistrat le seigneur Montague. Il fait alors la connaissance de Joël, le neveu du seigneur et va être attiré par lui. Ce dernier ne voit pas d’intérêt aux relations amoureuses et passe tout son temps à travailler pour améliorer le bien-être de ces concitoyens et protéger le pays. Le Yaoi est un genre très libre, il n’a pas vraiment de structure ce qui fait que l’on peut y trouver une grande diversité d’histoires. Du point de vue érotisme, Barbarities est un yaoi soft, vous n’y verrez que quelques enlacements et embrassades, rien de choquant et rien à censurer. Mais c’est un manga très intéressant, au travers de cette fiction, ce sont les intrigues et complots de palais que l’on découvre, les relations entre état et religion, l’influence de l’un sur l’autre et les deux sur le peuple, ce sont les courtoisies en façade, les mœurs légères des libertins. Barbarities est un manga riche avec des personnages complexes, de très beaux dessins avec un trait fin, une justesse dans les expressions et dans la position des personnages (j’apprécie le graphisme des cheveux ondulés peu courants dans le manga). Et puis c’est la relation ambiguë entre Adam et Joël, entre celui qui batifole et qui tombe amoureux pour la 1ere fois et celui qui n’y entend rien et ne cherche pas à savoir. Une belle lecture pour un livre de qualité et ses 241 pages. Série en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Barbarities tome 1

    Dans un royaume fictif de type occidental, vers une époque proche du 16e siècle, Adam un jeune homme plutôt libertin se voit confier la protection d’un magistrat le seigneur Montague. Il fait alors la connaissance de Joël, le neveu du seigneur et va être attiré par lui. Ce dernier ne voit pas d’intérêt aux relations amoureuses et passe tout son temps à travailler pour améliorer le bien-être de ces concitoyens et protéger le pays. Le Yaoi est un genre très libre, il n’a pas vraiment de structure ce qui fait que l’on peut y trouver une grande diversité d’histoires. Du point de vue érotisme, Barbarities est un yaoi soft, vous n’y verrez que quelques enlacements et embrassades, rien de choquant et rien à censurer. Mais c’est un manga très intéressant, au travers de cette fiction, ce sont les intrigues et complots de palais que l’on découvre, les relations entre état et religion, l’influence de l’un sur l’autre et les deux sur le peuple, ce sont les courtoisies en façade, les mœurs légères des libertins. Barbarities est un manga riche avec des personnages complexes, de très beaux dessins avec un trait fin, une justesse dans les expressions et dans la position des personnages (j’apprécie le graphisme des cheveux ondulés peu courants dans le manga). Et puis c’est la relation ambiguë entre Adam et Joël, entre celui qui batifole et qui tombe amoureux pour la 1ere fois et celui qui n’y entend rien et ne cherche pas à savoir. Une belle lecture pour un livre de qualité et ses 241 pages. Série en cours
  14. Titre de l'album : Nomi & Shiba tome 1 Scenariste de l'album : TAGURA Tohru Dessinateur de l'album : TAGURA Tohru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Aaaaah, l'adolescence ! Cette période si particulière, accompagnée de la découverte des premiers émois et du désir... Nomiya vient d'intégrer l'internat d'un lycée pour garçons. Et alors qu'il ne s'était jamais vraiment intéressé à l'amour, il doit maintenant se rendre à l'évidence : Shiba, son camarade de chambre, ne le laisse pas (du tout !) indifférent... Mais comment lui avouer tout ce qu'il ressent (y compris en dessous de la ceinture) alors qu'il a encore du mal à le comprendre lui-même ? La valse maladroite de ses deux adolescents un peu bêtas peut alors commencer... pour le meilleur et pour le rire ! Critique : Nomiya est dans un lycée pour garçon, contre toute attente il a développé des sentiments pour son camarade de chambre Mikoshiba. C’est comme ça qu’il se rend compte qu’il est gay. Mais comme Shiba est plutôt mignon et qu’il se fait souvent abordé par d’autres garçons, il préfère garder ses sentiments pour lui pour ne pas le faire fuir. Ce qu’il ignore, c’est que de son côté Shiba éprouve aussi des sentiments pour lui. Les deux garçons éprouvent des sentiments partagés mais ils l’ignorent et vont donc naviguer en eaux troubles. Nomi & Shiba c’est une histoire d’amour toute mignonne, il y a les émois du 1er amour, la maladresse des personnages qui préfèrent conserver leur amitié plutôt que de se déclarer et de tout perdre, il y a aussi toute la vie en internat, les interactions entre les élèves avec leurs petites histoires. Ce manga a tout du shojo, on verrait presque les petites fleurs en arrière-plan pendant la lecture. C’est tout en douceur, sans vulgarité, c’est mignon et plein de bons sentiments. Tohru TAGURA est aussi l'auteur de Maux mêlés que vous avez déjà pu découvrir sur le site, la série est toujours en cours et a 2 tomes pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nomi-et-shiba-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Nomi & Shiba tome 1

    Nomiya est dans un lycée pour garçon, contre toute attente il a développé des sentiments pour son camarade de chambre Mikoshiba. C’est comme ça qu’il se rend compte qu’il est gay. Mais comme Shiba est plutôt mignon et qu’il se fait souvent abordé par d’autres garçons, il préfère garder ses sentiments pour lui pour ne pas le faire fuir. Ce qu’il ignore, c’est que de son côté Shiba éprouve aussi des sentiments pour lui. Les deux garçons éprouvent des sentiments partagés mais ils l’ignorent et vont donc naviguer en eaux troubles. Nomi & Shiba c’est une histoire d’amour toute mignonne, il y a les émois du 1er amour, la maladresse des personnages qui préfèrent conserver leur amitié plutôt que de se déclarer et de tout perdre, il y a aussi toute la vie en internat, les interactions entre les élèves avec leurs petites histoires. Ce manga a tout du shojo, on verrait presque les petites fleurs en arrière-plan pendant la lecture. C’est tout en douceur, sans vulgarité, c’est mignon et plein de bons sentiments. Tohru TAGURA est aussi l'auteur de Maux mêlés que vous avez déjà pu découvrir sur le site, la série est toujours en cours et a 2 tomes pour le moment.
  16. Nickad

    Notre paradis

    Titre de l'album : Notre paradis Scenariste de l'album : UEHARA Ari Dessinateur de l'album : UEHARA Ari Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Un jeune homme avec un étrange tatouage de papillon squatte les cybercafés et entend un jour un couple qui fricote dans la cabine d'à côté. Excité par le bruit, il se fait surprendre par son voisin en train de se masturber. Ce dernier possède quant à lui un magnifique tatouage d'oiseau et s'avère être un gigolo. La femme qui l'entretient propose au garçon au papillon de le recueillir également en échange de coucher avec elle quand elle le souhaite. L'oiseau et le papillon vivent à présent dans le même salon, mais étant très différents l'un de l'autre, ils doivent apprendre à cohabiter. Critique : Deux jeunes hommes se retrouvent à devoir cohabiter dans le même appartement, n’ayant a priori pas grand-chose en commun, ils sont tous les deux entretenus par une jeune femme Nahoko. Cette dernière, un jour, finit par ne plus rentrer, les deux garçons doivent alors prendre une décision pour leur avenir. Le manga commence de façon très originale, on découvre les deux garçons dans cet appartement qu’ils appelleront leur « paradis », leurs vies tournent autour du personnage de Nahoko qu’on ne verra jamais. Très vite, ils se retrouvent forcés à subvenir eux-mêmes à leurs besoins et l’ambiance particulière de l’appartement disparaît. L’histoire devient plus classique, chacun a un passé plus ou moins sombre et attend l’être auprès duquel il pourra trouver sa place. L’histoire est un peu confuse, on saute parfois des jours, des semaines, on passe d’un état à un autre sans trop savoir comment, des bribes d’explications viennent après. La lecture n’est pas toujours fluide et en se perdant, on perd aussi l’attachement envers les personnages. Le graphisme est fin, les personnages aussi et correspondent bien aux critères de la majorité des lectrices, c’est visuellement agréable. Ce n’est pas déplaisant mais ça n’est pas le meilleur, dommage que l’idée du début n’est pas été plus exploitée ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/notre-paradis?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Notre paradis

    Deux jeunes hommes se retrouvent à devoir cohabiter dans le même appartement, n’ayant a priori pas grand-chose en commun, ils sont tous les deux entretenus par une jeune femme Nahoko. Cette dernière, un jour, finit par ne plus rentrer, les deux garçons doivent alors prendre une décision pour leur avenir. Le manga commence de façon très originale, on découvre les deux garçons dans cet appartement qu’ils appelleront leur « paradis », leurs vies tournent autour du personnage de Nahoko qu’on ne verra jamais. Très vite, ils se retrouvent forcés à subvenir eux-mêmes à leurs besoins et l’ambiance particulière de l’appartement disparaît. L’histoire devient plus classique, chacun a un passé plus ou moins sombre et attend l’être auprès duquel il pourra trouver sa place. L’histoire est un peu confuse, on saute parfois des jours, des semaines, on passe d’un état à un autre sans trop savoir comment, des bribes d’explications viennent après. La lecture n’est pas toujours fluide et en se perdant, on perd aussi l’attachement envers les personnages. Le graphisme est fin, les personnages aussi et correspondent bien aux critères de la majorité des lectrices, c’est visuellement agréable. Ce n’est pas déplaisant mais ça n’est pas le meilleur, dommage que l’idée du début n’est pas été plus exploitée !
  18. Titre de l'album : Les couloirs de l'abîme tome 1 Scenariste de l'album : NAGAI Saburo Dessinateur de l'album : NAGAI Saburo Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Yanagida souffre énormément de son homosexualité. Alors professeur, il commet une tentative de viol sur l'un de ses élèves et finit par fuir inlassablement jusqu'à devenir "Mossan", un homme à l'esprit errant et malheureux qui veut renoncer à toute forme d'humanité. Croyant avoir tout perdu et être contraint de continuer à vivre en faisant une croix sur son identité et son passé, un jeune garçon lui tend la main. Cette histoire se déroule sept ans après "Smells Like Green Spirit", dépeignant à la fois la douceur et la dureté de l'adolescence. On y suit le quotidien d'un des personnages ayant sombré durant cette période. Critique : Cette histoire est la suite de « smells like green spirit » et se passe sept ans après. Personnellement je n’ai pas lu le 1er mais cela ne m’a pas empêché de comprendre la situation et d’apprécier ce manga. Yanagida est un jeune homme perdu, il fuit son passé où il a agressé un de ses élèves, il sait qu’il a un monstre au fond de lui qui ne demande qu’à sortir et qu’il ne peut pas contrôler. Désespéré, il erre à droite et à gauche, se disant qu’il ferait mieux de mourir mais en même temps n’arrivant pas à passer à l’acte. Un jour, contre toute attente, il rencontre un adolescent qui ne semble pas le craindre, peut-être, pour la 1ere fois de sa vie, il arrivera à trouver sa place. Sans être clairement dit, le manga aborde ici la pédophilie comme une maladie, une obsession plus forte que la raison qu’on ne peut pas maitriser. Loin de porter un jugement sur ceux qui en souffrent ni sur le fait que ce soit une maladie ou non. L’auteur dépeint les tourments que cela engendre, la lutte de Yanagida contre ses pulsions et le désespoir où il se trouve. Le traitement graphique du phénomène est très intéressant, les pulsions malsaines prennent vie sous la forme de pensées noires qui s’échappent du corps de Yanagida jusqu’à la recouvrir complétement. Le manga est un drame psychologique fort et sombre, que ce soit pour ce cas de figure ou pour tous ceux qui souffriraient de pulsions incontrôlables (comme la violence, la cleptomanie…) ce qui est intéressant c’est de voir que même si on en est conscient, ce n’est pas facile de s’en sortir seul. Mais le manga semble réserver d’autres aspects et l’adolescent a, lui aussi, une part d’ombre que l’on découvrira par la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-couloirs-de-l-abime?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Les couloirs de l'abîme tome 1

    Cette histoire est la suite de « smells like green spirit » et se passe sept ans après. Personnellement je n’ai pas lu le 1er mais cela ne m’a pas empêché de comprendre la situation et d’apprécier ce manga. Yanagida est un jeune homme perdu, il fuit son passé où il a agressé un de ses élèves, il sait qu’il a un monstre au fond de lui qui ne demande qu’à sortir et qu’il ne peut pas contrôler. Désespéré, il erre à droite et à gauche, se disant qu’il ferait mieux de mourir mais en même temps n’arrivant pas à passer à l’acte. Un jour, contre toute attente, il rencontre un adolescent qui ne semble pas le craindre, peut-être, pour la 1ere fois de sa vie, il arrivera à trouver sa place. Sans être clairement dit, le manga aborde ici la pédophilie comme une maladie, une obsession plus forte que la raison qu’on ne peut pas maitriser. Loin de porter un jugement sur ceux qui en souffrent ni sur le fait que ce soit une maladie ou non. L’auteur dépeint les tourments que cela engendre, la lutte de Yanagida contre ses pulsions et le désespoir où il se trouve. Le traitement graphique du phénomène est très intéressant, les pulsions malsaines prennent vie sous la forme de pensées noires qui s’échappent du corps de Yanagida jusqu’à la recouvrir complétement. Le manga est un drame psychologique fort et sombre, que ce soit pour ce cas de figure ou pour tous ceux qui souffriraient de pulsions incontrôlables (comme la violence, la cleptomanie…) ce qui est intéressant c’est de voir que même si on en est conscient, ce n’est pas facile de s’en sortir seul. Mais le manga semble réserver d’autres aspects et l’adolescent a, lui aussi, une part d’ombre que l’on découvrira par la suite.
  20. Nickad

    Smoky nectar

    Mitsuru et Anna sont amis d’enfance, Mitsuru, journaliste enquête sur le décès d’une jeune femme sur laquelle on aurait retrouvé une trace de morsure. Au cours de ses investigations il va découvrir que Anna est un mordeur et va plonger dans cet univers, d’autant plus qu’il semblerait que son sang soit particulier. Smocky nectar revisite le mythe du vampire en se concentrant sur le lien qui unie celui qui mord à celui qui est mordu. Il parle aussi de l’envie irrépressible de sang qui peut rendre fou ou mettre en péril celui qui la vit (comme toute addiction d’ailleurs !). Bien sûr, comme c’est un yaoi, il y a quelques scènes coquines. Le graphisme est agréable, les personnages peut-être un peu tous fait sur le même gabarit, on voit qu’ils sont faits pour séduire… L’histoire est correcte, elle aurait peut-être gagnée en profondeur si c’est les sentiments qui avaient été approfondis et non les relations physiques mais ce n’était pas son objectif ! Une histoire plutôt agréable qui se lit bien mais qui ne mérite peut-être pas qu’on y revienne.
  21. Nickad

    Smoky nectar

    Titre de l'album : Smoky nectar Scenariste de l'album : MINAZUKI Akira Dessinateur de l'album : MINAZUKI Akira Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Mitsuru Hasegawa, journaliste, enquête sur une affaire de meurtre qui semble être l’œuvre d'un "mordeur"... Son ami d'enfance Yûsei Annaka, alias Anna, le met en garde quant à sa trop grande implication. Il s'avère qu'Anna est aussi un mordeur, et que ce n'est pas anodin s'il cherche à protéger Mitsuru de tout ce qui pourrait l'éloigner de lui... Y compris des siens, les membres des autres clans, qui ont du mal à respecter les règles instaurées dans la hiérarchie vampire. Critique : Mitsuru et Anna sont amis d’enfance, Mitsuru, journaliste enquête sur le décès d’une jeune femme sur laquelle on aurait retrouvé une trace de morsure. Au cours de ses investigations il va découvrir que Anna est un mordeur et va plonger dans cet univers, d’autant plus qu’il semblerait que son sang soit particulier. Smocky nectar revisite le mythe du vampire en se concentrant sur le lien qui unie celui qui mord à celui qui est mordu. Il parle aussi de l’envie irrépressible de sang qui peut rendre fou ou mettre en péril celui qui la vit (comme toute addiction d’ailleurs !). Bien sûr, comme c’est un yaoi, il y a quelques scènes coquines. Le graphisme est agréable, les personnages peut-être un peu tous fait sur le même gabarit, on voit qu’ils sont faits pour séduire… L’histoire est correcte, elle aurait peut-être gagnée en profondeur si c’est les sentiments qui avaient été approfondis et non les relations physiques mais ce n’était pas son objectif ! Une histoire plutôt agréable qui se lit bien mais qui ne mérite peut-être pas qu’on y revienne. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Si tu insistes...

    Titre de l'album : Si tu insistes... Scenariste de l'album : NIYAMA Dessinateur de l'album : NIYAMA Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Urakawa Shinobu a deux visages. Le jour, il joue les employés médiocres, caché derrière des culs de bouteille et une apparence piteuse. La nuit, il est Nin Nin, le beau gosse qui fait craquer tous les hommes du bar gay qu'il fréquente. Omoteya Hikaru, le prince de l'entreprise, est tout le contraire : intelligent, raffiné et toujours avide de reconnaissance. C'est ainsi qu'il pénètre sur le terrain de chasse de Shinobu, dans le but de vérifier son potentiel de séduction. Mais Nin Nin ne l'entend pas de cette oreille : il veut protéger son secret, et il est prêt à tout pour faire fuir ce blanc-bec d'Omoteya. Critique : Shinobu est un employé plutôt discret, assez gaffeur et ringard (grosse lunettes, mal coiffé…), il ne paye pas de mine et passe inaperçu. Mais cette attitude est volontaire car en réalité, dans sa vie privé, Shinobu est plutôt beau gosse, dragueur et un peu la star dans le bar qu’il fréquente le soir ! S’il agit comme ça, c’est pour tenir à distance ses collègues de bureau, d’autant plus que Shinobu est homosexuel et préfère que sa vie privée reste privée. A côté, dans la même entreprise, il y a Hikaru, élégant, séducteur, toujours entouré de femmes qui l’ont surnommé le « prince » ; imbu de lui-même, il a un besoin démesuré de se sentir apprécié et désiré. Un soir, Hikaru, décide de se rendre dans un bar gay pour faire le beau et séduire, bien qu’il ne soit pas homosexuel, il prend ça comme un défi. Les deux hommes vont se croiser par hasard et leurs relations au quotidien va être bouleversée. Si tu insistes est un manga bien mené, chacun par jeu veut dominer l’autre et le prendre au piège. Les personnages sont travaillés, avec de forts caractères. Toute l’histoire repose sur ce duo, et si leurs agissements sont dus à leur fierté au départ, que chacun cherche à faire céder l’autre, ils se retrouvent vite pris au piège de leurs sentiments. C’est un livre sympathique, fluide, amusant et érotique ! Autres infos : Pour public averti Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Si tu insistes...

    Shinobu est un employé plutôt discret, assez gaffeur et ringard (grosse lunettes, mal coiffé…), il ne paye pas de mine et passe inaperçu. Mais cette attitude est volontaire car en réalité, dans sa vie privé, Shinobu est plutôt beau gosse, dragueur et un peu la star dans le bar qu’il fréquente le soir ! S’il agit comme ça, c’est pour tenir à distance ses collègues de bureau, d’autant plus que Shinobu est homosexuel et préfère que sa vie privée reste privée. A côté, dans la même entreprise, il y a Hikaru, élégant, séducteur, toujours entouré de femmes qui l’ont surnommé le « prince » ; imbu de lui-même, il a un besoin démesuré de se sentir apprécié et désiré. Un soir, Hikaru, décide de se rendre dans un bar gay pour faire le beau et séduire, bien qu’il ne soit pas homosexuel, il prend ça comme un défi. Les deux hommes vont se croiser par hasard et leurs relations au quotidien va être bouleversée. Si tu insistes est un manga bien mené, chacun par jeu veut dominer l’autre et le prendre au piège. Les personnages sont travaillés, avec de forts caractères. Toute l’histoire repose sur ce duo, et si leurs agissements sont dus à leur fierté au départ, que chacun cherche à faire céder l’autre, ils se retrouvent vite pris au piège de leurs sentiments. C’est un livre sympathique, fluide, amusant et érotique !
  24. Nickad

    Karasugaoka don't be shy tome 1

    Dans la ville de Karasugaoka, deux groupes de jeunes patrouillent afin d’assurer la sécurité de leur quartier, l’un à l’ouest et l’autre à l’est. Les leaders des groupes, Shinba et Izuhara se cherchent des noises à chacune de leur rencontre. Mais en réalité Izuhara est profondément admiratif de Shinba qu’il considère comme son modèle et aimerait se rapprocher de lui. Sauf que sa timidité (d’où le titre du manga) le stresse tellement qu’il n’arrive pas à être naturel. Leur sens de la justice va leur permettre d’agir de concert et d’apprendre à mieux se connaitre. Don’t be shy est un manga plaisant, plein de bonnes intentions, les personnages ne sont pas caricaturés ni dans leur comportement ni physiquement (dans les yaoi, les garçons sont parfois trop efféminés). Le décalage entre ce que veut dire Izuhara et ce qu’il dit vraiment est assez amusant et lui donne un côté mignon. C’est une histoire d’amour pur (pas de scènes de sexes) avec des personnages qui découvrent leurs sentiments, une ambiance très fleur bleue, j’ai limite eu l’impression de voir des petites fleurs par moment… Ce manga est comme un rayon de soleil, il apaise et met de bonne humeur. Pour info, il porte la mention pour public averti sans doute parce que c’est un yaoi mais il peut être lu sans problème par des adolescents.
  25. Titre de l'album : Karasugaoka don't be shy tome 1 Scenariste de l'album : YUKURA Aki Dessinateur de l'album : YUKURA Aki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Dans la ville de Karasugaoka, deux factions de volontaires sont chargées de lutter contre le crime et de protéger les habitants : Karasukai et VOICE. Tetsuji Shinba est à la tête de Karasukai, tandis que Sô Izuhara dirige VOICE. Mais les deux chefs se détestent cordialement, et chacune de leurs rencontres tourne à la bagarre... Ce que Shinba ignore, c'est qu'Izuhara est secrètement amoureux de lui depuis plusieurs années ! Mais il est si nerveux dès qu'il le voit qu'il est incapable lui adresser la parole autrement qu'en l'insultant ou en lui criant dessus... Mais comment passer du statut d'ennemi au statut de petit ami quand on est incapable de parler calmement à la personne qu'on aime ? Izuhara n'est pas sorti de l'auberge...! Critique : Dans la ville de Karasugaoka, deux groupes de jeunes patrouillent afin d’assurer la sécurité de leur quartier, l’un à l’ouest et l’autre à l’est. Les leaders des groupes, Shinba et Izuhara se cherchent des noises à chacune de leur rencontre. Mais en réalité Izuhara est profondément admiratif de Shinba qu’il considère comme son modèle et aimerait se rapprocher de lui. Sauf que sa timidité (d’où le titre du manga) le stresse tellement qu’il n’arrive pas à être naturel. Leur sens de la justice va leur permettre d’agir de concert et d’apprendre à mieux se connaitre. Don’t be shy est un manga plaisant, plein de bonnes intentions, les personnages ne sont pas caricaturés ni dans leur comportement ni physiquement (dans les yaoi, les garçons sont parfois trop efféminés). Le décalage entre ce que veut dire Izuhara et ce qu’il dit vraiment est assez amusant et lui donne un côté mignon. C’est une histoire d’amour pur (pas de scènes de sexes) avec des personnages qui découvrent leurs sentiments, une ambiance très fleur bleue, j’ai limite eu l’impression de voir des petites fleurs par moment… Ce manga est comme un rayon de soleil, il apaise et met de bonne humeur. Pour info, il porte la mention pour public averti sans doute parce que c’est un yaoi mais il peut être lu sans problème par des adolescents. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karasugaoka-don-t-be-shy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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