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  1. A cause d’une dette contractée par un ami pour qui il s’était porté garant, Makoto a commencé à se prostituer. C’est là qu’il rencontre Maki, un jeune chef yakuza qui dit être tombé amoureux de lui, il lui propose d’être son client exclusif et lui propose pour cela de le payer 5 fois plus. Makoto voit d’abord un moyen de rembourser sa dette plus vite avant de petit à petit ressentir des sentiments pour Maki. Pour le coup, et contrairement à Jealousy, l’histoire est beaucoup plus classique et tourne essentiellement autour du couple Makoto-Maki. Bien sûr, il y a quelques événements autour pour nous rappeler dans quel milieu le récit se déroule et aussi parce que cela va permettre aux personnages de se rapprocher. Leur relation est plutôt mignonne, à noter qu’il y a de nombreuses scènes érotiques, mais le contexte « yakuza » est peu crédible, d’un autre côté ce n’est pas l’objectif principal du manga. Vu que le manga est toujours en cours, j’espère que l’histoire va prendre une autre tournure et nous montrer d’autres aspects du couple Makoto-Maki, un peu plus d’action ne serait pas du luxe.
  2. Titre de l'album : Vous ne le regretterez pas ! Scenariste de l'album : Santaro Dessinateur de l'album : Santaro Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le salaryman Okazaki, traverse actuellement la pire période de sa vie. Ses collègues ont découvert qu''il était gay et des rumeurs infondées circulent dans toute l''entreprise. Coup du sort, son seul collègue s''absente au même moment pour congé maladie et les autres employés prennent leurs distances. C''est alors qu''un jeune employé du service commercial se retrouve muté dans le service d''Okazaki pour effectuer le remplacement. Alors qu''Okazaki pensait que ce remplacement lui avait été imposé, le jeune Umemoto déclare à la surprise de tous : " Je vous aime beaucoup M. Okazaki ! ". Mais que veut-il dire par là ?! Critique : Une critique par @TheOtaku Un bon yaoi ! C’est un one-shot qui a pour thème principal ‘’ être un salarié gay ‘’. Okazaki est salarié dans une grande entreprise, un jour, on découvre qu’il est gay et ça fait le tour de toute l’entreprise, on s’éloigne de lui, les gens mal de lui, le juge etc. Un jour, son seul collègue sympa avec lui tombe malade, et un jeune et bel homme entre comme remplaçant dans sa vie en disant devant tous ses collègues « Je vous aime beaucoup M. Okazaki ! ». J’aime beaucoup ce yaoi, et je ne dis pas que les personnes homosexuelles se font martyriser au travail, non, car Okazaki ne se fait pas martyriser. Je dis seulement que l'on à tendance à prendre ses distances car « si il faut il a des vues sur moi » (ça va les chevilles 🤣), mais j’aime beaucoup ce manga parce qu'on a le point de vu de Okazaki et ce n’est pas « on me martyrise » mais plutôt « il faut que je fasse attention à ne pas dire ou faire des choses qui pourront être mal interprétées ». J’aime donc beaucoup le coté "je suis gay DONC je dois faire attention à mes actions" de Okazaki et le côté j’en ai rien à faire qu’il soit gay je dis ce que je pense de Umemoto. Le contraste entre celui qui pense au qu’en dira-t-on et celui qui ne pense pas aux conséquences de ces actions, il aime … bah il aime ‘’ pourquoi devrait il faire attention à ses mots ? ‘’. Une histoire mignonne et attachante, je conseille ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vous-ne-le-regretterez-pas?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Vous ne le regretterez pas !

    Une critique par @TheOtaku Un bon yaoi ! C’est un one-shot qui a pour thème principal ‘’ être un salarié gay ‘’. Okazaki est salarié dans une grande entreprise, un jour, on découvre qu’il est gay et ça fait le tour de toute l’entreprise, on s’éloigne de lui, les gens mal de lui, le juge etc. Un jour, son seul collègue sympa avec lui tombe malade, et un jeune et bel homme entre comme remplaçant dans sa vie en disant devant tous ses collègues « Je vous aime beaucoup M. Okazaki ! ». J’aime beaucoup ce yaoi, et je ne dis pas que les personnes homosexuelles se font martyriser au travail, non, car Okazaki ne se fait pas martyriser. Je dis seulement que l'on à tendance à prendre ses distances car « si il faut il a des vues sur moi » (ça va les chevilles 🤣), mais j’aime beaucoup ce manga parce qu'on a le point de vu de Okazaki et ce n’est pas « on me martyrise » mais plutôt « il faut que je fasse attention à ne pas dire ou faire des choses qui pourront être mal interprétées ». J’aime donc beaucoup le coté "je suis gay DONC je dois faire attention à mes actions" de Okazaki et le côté j’en ai rien à faire qu’il soit gay je dis ce que je pense de Umemoto. Le contraste entre celui qui pense au qu’en dira-t-on et celui qui ne pense pas aux conséquences de ces actions, il aime … bah il aime ‘’ pourquoi devrait il faire attention à ses mots ? ‘’. Une histoire mignonne et attachante, je conseille !
  4. Titre de l'album : Jealousy tome 5 (fin) Scenariste de l'album : BERIKO Scarlet Dessinateur de l'album : BERIKO Scarlet Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Suite à la rencontre du jeune Hachi, Rogi Uichi se souvient de son passé. Aujourd’hui père de famille, l’énigmatique personnage est loin d’avoir eu une jeunesse aussi rangé que la vie qu’il semble avoir maintenant. Entre guerre de gangs, amours et passions, Uichi se remémore l’époque où il fit la connaissance de Ôyamato Akitora, l’actuel chef du clan yakuza Ôyamato et père de Tatsuyuki. Critique : Voici le dernier tome de ce yaoi, un manga qui a toute sa place dans cette catégorie et qui mérite même que l’on s’y attarde un peu. Jealousy se passe dans la monde des yakuzas, un jour un jeune chef yakuza Akitora accompagné de son second Asoda partent récupérer de l’argent auprès d’un écrivain. Là il découvre que ce dernier s’est suicidé lors d’un jeu érotique, son partenaire Uchui est toujours sur les lieux et une alchimie s’opère entre lui et Akitora. C’est le début d’une relation étrange et passionnelle. Uichi est un jeune homme étrangement libre, à la fois intéressant et en même temps très destructeur, il ne tient pas vraiment compte de ceux qui l’entourent et agit souvent sur un coup de tête. Akitora est stoïque la plupart du temps, il est marié avec un enfant et ne semble pas avoir de point faible, enfin ça c’était avant de rencontrer Uichi… Quant à Asoda, il a été l’ami d’enfance d’Uichi mais ne le porte pas dans son cœur et encore moins quand ce dernier prend de l’importance dans la vie de son chef. Jealousy porte bien son nom car chaque personnage, au caractère bien travaillé au demeurant, cherche à obtenir quelque chose et ne peut s’empêcher d’en jalouser un autre. Loin d’une relation classique amoureuse comme on a pu en voir dans d’autres yaoi avec des yakuzas, celui-ci détonne par son ambiance et son déroulement. La relation entre Akitora et Uichi est intense et destructive à la fois et l’autrice sait mettre en avant le lien qui les unit et la passion qui les habite. Ce n’est qu’à la fin quand tout éclate que les sentiments se précisent ; une belle fin inattendue, puissante et étrangement touchante. Autres infos : Pour public averti Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jealousy-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Jealousy tome 5 (fin)

    Voici le dernier tome de ce yaoi, un manga qui a toute sa place dans cette catégorie et qui mérite même que l’on s’y attarde un peu. Jealousy se passe dans la monde des yakuzas, un jour un jeune chef yakuza Akitora accompagné de son second Asoda partent récupérer de l’argent auprès d’un écrivain. Là il découvre que ce dernier s’est suicidé lors d’un jeu érotique, son partenaire Uchui est toujours sur les lieux et une alchimie s’opère entre lui et Akitora. C’est le début d’une relation étrange et passionnelle. Uichi est un jeune homme étrangement libre, à la fois intéressant et en même temps très destructeur, il ne tient pas vraiment compte de ceux qui l’entourent et agit souvent sur un coup de tête. Akitora est stoïque la plupart du temps, il est marié avec un enfant et ne semble pas avoir de point faible, enfin ça c’était avant de rencontrer Uichi… Quant à Asoda, il a été l’ami d’enfance d’Uichi mais ne le porte pas dans son cœur et encore moins quand ce dernier prend de l’importance dans la vie de son chef. Jealousy porte bien son nom car chaque personnage, au caractère bien travaillé au demeurant, cherche à obtenir quelque chose et ne peut s’empêcher d’en jalouser un autre. Loin d’une relation classique amoureuse comme on a pu en voir dans d’autres yaoi avec des yakuzas, celui-ci détonne par son ambiance et son déroulement. La relation entre Akitora et Uichi est intense et destructive à la fois et l’autrice sait mettre en avant le lien qui les unit et la passion qui les habite. Ce n’est qu’à la fin quand tout éclate que les sentiments se précisent ; une belle fin inattendue, puissante et étrangement touchante.
  6. Nickad

    La couleur de l'eau

    Setsu est un tueur à gage qui se promène avec un enfant Lithia, ce n’est pas le sien, il l’a recueilli et prend soin de lui. Lithia a perdu ses parents et a aussi perdu sa mémoire. Tous deux vivent au jour le jour, ils ont une étrange relation comme si chacun était la bouée de l’autre, leur seul rayon de lumière. Car ils vivent à Paradis, une ville sans droit et sans loi, une ville où atterrissent tous les déchets de la société et tous ceux qui n’ont pas de place où aller. Setsu, comme Lithia, a un passé douloureux qui lui a laissé autant de cicatrices physiques que morales, il est obsédé par le rouge qui est pour lui comme la couleur de l’eau. J’ai rarement vu un livre aussi sombre, pas dans les événements mais dans la psychologie. Chaque personnage a un passé difficile, et le petit espoir qui les maintient en vie peut voler en éclat à chaque instant. Setsu est particulièrement torturé, on sent l’abîme qui se niche au fond de son cœur, on le sent se noyer par moment et l’on craint d’être entrainé avec lui. Car la narration est rondement menée et le graphisme réussi, l’immersion dans l’ambiance de la ville est immédiate, on sent le désespoir se répandre et toute la noirceur de la ville. La couleur de l’eau est émouvant et dérangeant mais ne laisse pas indifférent, c’est une expérience qui remue et qui laisse un étrange sentiment.
  7. Titre de l'album : La couleur de l'eau Scenariste de l'album : MAKI Ebishi Dessinateur de l'album : MAKI Ebishi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Paradis est une ville où la vie et la mort se côtoient. Lithia, un garçon amnésique, y vit avec Setsu, un tueur à gages couvert de blessures. Il habille toujours Lithia en rouge, est très gentil et rit comme s'il était sur le point de fondre en larmes à tout moment, ce qui met Lithia très mal à l'aise. Mais un jour, leur routine habituelle change du tout au tout lorsque Romanée, un homme qui semble connaître le passé de Setsu, fait son apparition... Critique : Setsu est un tueur à gage qui se promène avec un enfant Lithia, ce n’est pas le sien, il l’a recueilli et prend soin de lui. Lithia a perdu ses parents et a aussi perdu sa mémoire. Tous deux vivent au jour le jour, ils ont une étrange relation comme si chacun était la bouée de l’autre, leur seul rayon de lumière. Car ils vivent à Paradis, une ville sans droit et sans loi, une ville où atterrissent tous les déchets de la société et tous ceux qui n’ont pas de place où aller. Setsu, comme Lithia, a un passé douloureux qui lui a laissé autant de cicatrices physiques que morales, il est obsédé par le rouge qui est pour lui comme la couleur de l’eau. J’ai rarement vu un livre aussi sombre, pas dans les événements mais dans la psychologie. Chaque personnage a un passé difficile, et le petit espoir qui les maintient en vie peut voler en éclat à chaque instant. Setsu est particulièrement torturé, on sent l’abîme qui se niche au fond de son cœur, on le sent se noyer par moment et l’on craint d’être entrainé avec lui. Car la narration est rondement menée et le graphisme réussi, l’immersion dans l’ambiance de la ville est immédiate, on sent le désespoir se répandre et toute la noirceur de la ville. La couleur de l’eau est émouvant et dérangeant mais ne laisse pas indifférent, c’est une expérience qui remue et qui laisse un étrange sentiment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-couleur-de-l-eau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Connaissez-vous le terme shipper ? C’est le fait d’imaginer des gens en couple, un phénomène très tendance chez les Fujoshis (les fans de boy’s love). Alors quand il s’agit du groupe HomeRoom composé de Hibiki et Rui, les fantasmes vont bon train, mais les deux jeunes chanteurs ne sont pas forcément au courant. Le jour où Rui tombe sur une fiction le mettant en scène de façon très très coquine avec Hibiki, ses hormones commencent à s’emballer. Et quand en plus, leur manager leur propose de jouer sur cette thématique, la fiction va très vite devenir réalité. L’histoire est assez légère, même si on aperçoit des aspects du monde du showbizz japonais avec ses jeunes stars montantes qui doivent faire tout un tas de travaux (représentation, publicité, émissions de télé…) pour répondre à la demande. Et que l’on voit aussi quelques comportements des fans, surtout les fujoshis, comment elles imaginent des histoires et comment cela leur suffit. Le manga reste majoritairement sur l’histoire d’amour entre Hibiki et Rui. Les fan fictions provoquent un déclic chez Rui et peu à peu, il va se rendre compte de ses sentiments. Une histoire d’amour mignonne assez classique en somme, avec de nombreuses scènes érotiques et un peu d’humour, le tout sous les feux des projecteurs !
  9. Titre de l'album : Dans les coulisses de HomeRoom tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : KOSHIORA Tsubame Dessinateur de l'album : KOSHIORA Tsubame Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : HomeRoom, c'est le jeune duo à la mode composé de Tachibana Rui et Shinjô Hibiki. L'un est mignon et extraverti, l'autre est placide et pince-sans-rire. Leur succès est entièrement lié aux fantasmes de leurs fans : celles-ci les imaginent en couple, et dans tout un tas de situations très, très explicites... Ils vivent dans l'ignorance bienheureuse de ce phénomène jusqu'au jour où ils tombent sur un site consacré à leurs activités sexuelles présumées. Là, Hibiki propose d'essayer pour de vrai... et Rui accepte. Critique : Connaissez-vous le terme shipper ? C’est le fait d’imaginer des gens en couple, un phénomène très tendance chez les Fujoshis (les fans de boy’s love). Alors quand il s’agit du groupe HomeRoom composé de Hibiki et Rui, les fantasmes vont bon train, mais les deux jeunes chanteurs ne sont pas forcément au courant. Le jour où Rui tombe sur une fiction le mettant en scène de façon très très coquine avec Hibiki, ses hormones commencent à s’emballer. Et quand en plus, leur manager leur propose de jouer sur cette thématique, la fiction va très vite devenir réalité. L’histoire est assez légère, même si on aperçoit des aspects du monde du showbizz japonais avec ses jeunes stars montantes qui doivent faire tout un tas de travaux (représentation, publicité, émissions de télé…) pour répondre à la demande. Et que l’on voit aussi quelques comportements des fans, surtout les fujoshis, comment elles imaginent des histoires et comment cela leur suffit. Le manga reste majoritairement sur l’histoire d’amour entre Hibiki et Rui. Les fan fictions provoquent un déclic chez Rui et peu à peu, il va se rendre compte de ses sentiments. Une histoire d’amour mignonne assez classique en somme, avec de nombreuses scènes érotiques et un peu d’humour, le tout sous les feux des projecteurs ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-les-coulisses-de-homeroom-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Titre de l'album : Tashiro est un peu... tome 1 Scenariste de l'album : YAMADA Dessinateur de l'album : YAMADA Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Son horoscope lui avait promis La rencontre de sa vie, pas celle d'un voleur terrifiant qui en voudrait à son porte-monnaie !! Ebihara n'en revient pas, et prend ses jambes à son cou quand le lendemain, il recroise ce fameux voleur dans la salle de son propre club. Finalement, il s'avère qu'il s'agissait d'un malentendu en partie provoqué par la grande timidité du nouveau venu, qui semble par ailleurs profondément attaché à Ebihara... Et malgré les quiproquos et ses expressions flippantes, ce dernier ne peut s'empêcher d'être intégré par ce...Tashiro, c'est bien ça ? Critique : Quand Ebihara, jeune étudiant, rencontre Tashiro pour la 1ère fois, il le prend pour un voleur. Il faut dire que Tashiro fait une tête effrayante, c’est surtout un garçon très maladroit et super timide qui en plus est très gêné devant Ebihara, le garçon qu’il aime. De son côté, Ebihara ne fait partie d’aucun club, il traine souvent avec son ami d’enfance au club manga et il a bon fond, il ne juge pas sur les apparences et sait reconnaitre les bonnes intentions. Mais comme Tashiro a rejoint le club manga, les voilà, contraints de se revoir. Tashiro est un peu… porte bien son nom, derrière le « un peu » on peut y mettre beaucoup de choses ; il est un peu timide, maladroit, décalé étrange… C’est un manga avec des personnages touchants qui parle de la vie d’un club et de ses membres avec beaucoup de simplicité et de douceur. C’est l’amour qui éclot, c’est les expressions gênées, les rougissements dans l’ombre, les gestes hésitants. C’est une histoire mignonne et pleine de fraicheur qui se consomme sans modération. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tashiro-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Tashiro est un peu... tome 1

    Quand Ebihara, jeune étudiant, rencontre Tashiro pour la 1ère fois, il le prend pour un voleur. Il faut dire que Tashiro fait une tête effrayante, c’est surtout un garçon très maladroit et super timide qui en plus est très gêné devant Ebihara, le garçon qu’il aime. De son côté, Ebihara ne fait partie d’aucun club, il traine souvent avec son ami d’enfance au club manga et il a bon fond, il ne juge pas sur les apparences et sait reconnaitre les bonnes intentions. Mais comme Tashiro a rejoint le club manga, les voilà, contraints de se revoir. Tashiro est un peu… porte bien son nom, derrière le « un peu » on peut y mettre beaucoup de choses ; il est un peu timide, maladroit, décalé étrange… C’est un manga avec des personnages touchants qui parle de la vie d’un club et de ses membres avec beaucoup de simplicité et de douceur. C’est l’amour qui éclot, c’est les expressions gênées, les rougissements dans l’ombre, les gestes hésitants. C’est une histoire mignonne et pleine de fraicheur qui se consomme sans modération.
  12. Shirô, un lycéen habitant à la campagne, vient de perdre son grand-père avec qui il vivait. Un jour arrive Kiku, apparu de nulle part et amnésique, il semble même être venu d’une autre époque. Shirô décide alors de lui donner un nom et un toit. Kiku essaye de se rendre utile en aidant aux tâches ménagères et aux champs ; peu à peu, ils s’attachent l’un à l’autre. Le manga parle de solitude, de trouver une place quand on n’a plus rien, il y a une sorte de mélancolie lancinante, un rythme assez lent qui laisse un peu le lecteur de côté d’autant plus que les personnages semblent être eux-mêmes à côté de leur vie. L’histoire n’est pas déplaisante et prend un peu d’épaisseur au moment où Kiku retrouve ses souvenirs. Un yaoi qui sort des sentiers battus mais qui manque un peu de sentiments.
  13. Titre de l'album : Les larmes du ciel tomes 1 et 2 (FIN) Scenariste de l'album : SYAKU Dessinateur de l'album : SYAKU Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Un jour, un pilote tombe du ciel. Shirô, un lycéen, le sauve et lui propose de l'accueillir chez lui. Mais cet homme, qui ne semble pas de cette époque, est touché par une amnésie et ne connaît même plus son prénom. Shirô le baptise "Kiku", en hommage à son grand-père, et les deux apprennent peu à peu à se connaître au fil de leur vie quotidienne. Mais Kiku se met soudain à faire de graves Critique : Shirô, un lycéen habitant à la campagne, vient de perdre son grand-père avec qui il vivait. Un jour arrive Kiku, apparu de nulle part et amnésique, il semble même être venu d’une autre époque. Shirô décide alors de lui donner un nom et un toit. Kiku essaye de se rendre utile en aidant aux tâches ménagères et aux champs ; peu à peu, ils s’attachent l’un à l’autre. Le manga parle de solitude, de trouver une place quand on n’a plus rien, il y a une sorte de mélancolie lancinante, un rythme assez lent qui laisse un peu le lecteur de côté d’autant plus que les personnages semblent être eux-mêmes à côté de leur vie. L’histoire n’est pas déplaisante et prend un peu d’épaisseur au moment où Kiku retrouve ses souvenirs. Un yaoi qui sort des sentiers battus mais qui manque un peu de sentiments. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-larmes-du-ciel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Melty kiss et Melty kiss more Scenariste de l'album : TAKASAKI Bosco Dessinateur de l'album : TAKASAKI Bosco Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Aihara Ryô passe sa vie à travailler et la solitude lui pèse. Tout bascule quand, un soir, alors qu'il rentre ivre mort d'un rendez-vous d'affaires, il croise la route d'Amamiya Riku, célèbre acteur. Celui-ci, aimable et enthousiaste, l'aide à rentrer chez lui, même si Ryô l'a pris pour un pâle imitateur. Les jours qui suivent, la boite de pub dont Ryô est le patron accueille Amamiya Riku, égal à lui-même... et bien décidé à répondre aux avances de cet homme charismatique qui l'a dragué dans une ruelle. Critique : Aihara Ryô est un jeune chef d’une entreprise de publicité, anciennement designer, il s’occupe à présent de la gestion et de l’administratif où il excelle. Un soir de beuverie professionnelle, il rencontre dans une ruelle Amamiya Riku, un jeune acteur très prometteur. Sous l’effet de l’alcool, leur première rencontre est un peu chaotique mais quand ils se revoient, ils se découvrent une compatibilité physique qui ne les laissent pas indifférents. Ils essayent tant bien que mal de se voir plus souvent mais entre leurs métiers très prenants et les précautions qu’ils doivent prendre vu la célébrité de Riku, la chose n’est pas aisée. Les deux personnages principaux ont chacun une personnalité forte, leurs relations sont à la fois très frontales et très complices, il y a du répondant et de l’humour ! Et en plus comme ils sont beaux gosses c’est agréable à regarder ! En dehors de ça, il y a quand même une histoire, une romance naissante tout d’abord mais aussi un aperçu de certaines facettes de la société nippone, très attentive aux ragots et aux aguets quand il s’agit de célébrités, ce qui rend leurs vies privées très compliquée. Si le premier tome est plus axé sur leur rencontre et la naissance d’une relation « officielle », le second parle de leurs difficultés à concilier amour et vie professionnelle, les japonais sont des bourreaux de travail et ça se ressent bien. Un manga bien mené, sympathique et touchant ! Par contre à réserver à un public averti car nos deux tourtereaux s’en donnent à cœur joie dans l’intimité ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/melty-kiss?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Melty kiss et Melty kiss more

    Aihara Ryô est un jeune chef d’une entreprise de publicité, anciennement designer, il s’occupe à présent de la gestion et de l’administratif où il excelle. Un soir de beuverie professionnelle, il rencontre dans une ruelle Amamiya Riku, un jeune acteur très prometteur. Sous l’effet de l’alcool, leur première rencontre est un peu chaotique mais quand ils se revoient, ils se découvrent une compatibilité physique qui ne les laissent pas indifférents. Ils essayent tant bien que mal de se voir plus souvent mais entre leurs métiers très prenants et les précautions qu’ils doivent prendre vu la célébrité de Riku, la chose n’est pas aisée. Les deux personnages principaux ont chacun une personnalité forte, leurs relations sont à la fois très frontales et très complices, il y a du répondant et de l’humour ! Et en plus comme ils sont beaux gosses c’est agréable à regarder ! En dehors de ça, il y a quand même une histoire, une romance naissante tout d’abord mais aussi un aperçu de certaines facettes de la société nippone, très attentive aux ragots et aux aguets quand il s’agit de célébrités, ce qui rend leurs vies privées très compliquée. Si le premier tome est plus axé sur leur rencontre et la naissance d’une relation « officielle », le second parle de leurs difficultés à concilier amour et vie professionnelle, les japonais sont des bourreaux de travail et ça se ressent bien. Un manga bien mené, sympathique et touchant ! Par contre à réserver à un public averti car nos deux tourtereaux s’en donnent à cœur joie dans l’intimité !
  16. Titre de l'album : in these words - Bad company tome 1 Scenariste de l'album : NARCISSUS Dessinateur de l'album : TOGAI Jun Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après une soirée torride, le détective David Krause quitte à regret les bras de son amant pour retrouver un informateur. Toutefois, le rendez-vous tourne court quand David se fait droguer et enlever… Katsuya prend alors les choses en main et tente par tous les moyens, même les plus risqués, de sauver l’homme qu’il aime. À ce moment-là, le récit se divise en deux : d’un côté, David impuissant, qui subit les châtiments barbares d’un geôlier sadique, et de l’autre, Katsuya qui met tout en œuvre pour le retrouver ! De révélations bouleversantes en rencontres inattendues, le passé tragique de Katsuya se dévoile... Critique : Avant les événements racontés dans In these words, David et Katsuya avaient déjà vécu des aventures, pas toujours joyeuses mais quand on travaille dans la police, devenir une cible est un risque. Le détective David Krause est enlevé un soir, il se retrouve à être victime d’un site malaisant sur le darkweb, l’information est donnée, il tiendra peut-être une semaine, le temps est compté pour résoudre cette affaire. Guilt Pleasure sait nous emmener dans des sphères un peu particulières, dans des affaires sordides qui ne mettent pas l’humain à l’honneur. Plus concret que in these words qui joue beaucoup sur la psychologie et les troubles, Bad company nous plonge dans les travers de notre société et dans une enquête qui part pour être très intéressante. Le graphisme est toujours superbe, surtout les représentations du corps humain. Les autrices confirment leur talent et montrent encore une fois qu’elles ont une place à part dans l’univers du yaoi où chacun de leur livre est attendu avec ferveur. 4 tomes en cours. Pour public averti Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-these-words-stories-bad-compagny?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Avant les événements racontés dans In these words, David et Katsuya avaient déjà vécu des aventures, pas toujours joyeuses mais quand on travaille dans la police, devenir une cible est un risque. Le détective David Krause est enlevé un soir, il se retrouve à être victime d’un site malaisant sur le darkweb, l’information est donnée, il tiendra peut-être une semaine, le temps est compté pour résoudre cette affaire. Guilt Pleasure sait nous emmener dans des sphères un peu particulières, dans des affaires sordides qui ne mettent pas l’humain à l’honneur. Plus concret que in these words qui joue beaucoup sur la psychologie et les troubles, Bad company nous plonge dans les travers de notre société et dans une enquête qui part pour être très intéressante. Le graphisme est toujours superbe, surtout les représentations du corps humain. Les autrices confirment leur talent et montrent encore une fois qu’elles ont une place à part dans l’univers du yaoi où chacun de leur livre est attendu avec ferveur. 4 tomes en cours. Pour public averti
  18. Nickad

    Barbarities tome 1

    Titre de l'album : Barbarities tome 1 Scenariste de l'album : TSUTA Suzuki Dessinateur de l'album : TSUTA Suzuki Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Dans le royaume de Lorraine, le vicomte Adam Cunning se voit assigné la garde du vieux ministre de la Justice de la couronne, le seigneur Montague. Le jeune noble, hédoniste et libertin, décide pour tromper son ennui de se rendre à une partie fine où est censé apparaître Joël, le neveu de son maître. Timide et maladroit, ce dernier n´est toutefois pas là pour prendre du bon temps, mais pour tirer parti de la situation afin de mener à bien une certaine mission. Semblant être bien moins à l´aise avec les choses de la chair qu´avec les choses de l´esprit, il aura besoin de toute l´aide que le bel Adam pourra lui apporter. Critique : Dans un royaume fictif de type occidental, vers une époque proche du 16e siècle, Adam un jeune homme plutôt libertin se voit confier la protection d’un magistrat le seigneur Montague. Il fait alors la connaissance de Joël, le neveu du seigneur et va être attiré par lui. Ce dernier ne voit pas d’intérêt aux relations amoureuses et passe tout son temps à travailler pour améliorer le bien-être de ces concitoyens et protéger le pays. Le Yaoi est un genre très libre, il n’a pas vraiment de structure ce qui fait que l’on peut y trouver une grande diversité d’histoires. Du point de vue érotisme, Barbarities est un yaoi soft, vous n’y verrez que quelques enlacements et embrassades, rien de choquant et rien à censurer. Mais c’est un manga très intéressant, au travers de cette fiction, ce sont les intrigues et complots de palais que l’on découvre, les relations entre état et religion, l’influence de l’un sur l’autre et les deux sur le peuple, ce sont les courtoisies en façade, les mœurs légères des libertins. Barbarities est un manga riche avec des personnages complexes, de très beaux dessins avec un trait fin, une justesse dans les expressions et dans la position des personnages (j’apprécie le graphisme des cheveux ondulés peu courants dans le manga). Et puis c’est la relation ambiguë entre Adam et Joël, entre celui qui batifole et qui tombe amoureux pour la 1ere fois et celui qui n’y entend rien et ne cherche pas à savoir. Une belle lecture pour un livre de qualité et ses 241 pages. Série en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Barbarities tome 1

    Dans un royaume fictif de type occidental, vers une époque proche du 16e siècle, Adam un jeune homme plutôt libertin se voit confier la protection d’un magistrat le seigneur Montague. Il fait alors la connaissance de Joël, le neveu du seigneur et va être attiré par lui. Ce dernier ne voit pas d’intérêt aux relations amoureuses et passe tout son temps à travailler pour améliorer le bien-être de ces concitoyens et protéger le pays. Le Yaoi est un genre très libre, il n’a pas vraiment de structure ce qui fait que l’on peut y trouver une grande diversité d’histoires. Du point de vue érotisme, Barbarities est un yaoi soft, vous n’y verrez que quelques enlacements et embrassades, rien de choquant et rien à censurer. Mais c’est un manga très intéressant, au travers de cette fiction, ce sont les intrigues et complots de palais que l’on découvre, les relations entre état et religion, l’influence de l’un sur l’autre et les deux sur le peuple, ce sont les courtoisies en façade, les mœurs légères des libertins. Barbarities est un manga riche avec des personnages complexes, de très beaux dessins avec un trait fin, une justesse dans les expressions et dans la position des personnages (j’apprécie le graphisme des cheveux ondulés peu courants dans le manga). Et puis c’est la relation ambiguë entre Adam et Joël, entre celui qui batifole et qui tombe amoureux pour la 1ere fois et celui qui n’y entend rien et ne cherche pas à savoir. Une belle lecture pour un livre de qualité et ses 241 pages. Série en cours
  20. Nickad

    A la recherche de l'amour

    Kyohei s’installe à Tokyo pour poursuivre ses études à l’université. Venant de la campagne profonde et suivant les conseils de sa grand-mère, il va faire le tour de ses nouveaux voisins et tombe sur Takara un étudiant assez libre aux mœurs légères qui va le chambrer dès leur rencontre. Si on peut penser au début que l’histoire met en scène des personnages très clichés : le campagnard qui découvre la ville et le playboy qui va le faire tourner en bourrique, on se rend compte très vite qu’il y a de messages derrière comme le fait de ne pas juger les gens sur leurs apparences, ou se poser des questions sur l’essence même de l’amour. Quoi qu’il en soit, que l’on fasse une lecture au 1er ou 2nd degré, l’histoire est agréable et les personnages sont sympathiques. Un manga tout mignon pour public averti.
  21. Titre de l'album : A la recherche de l'amour Scenariste de l'album : RAKUTA Shoko Dessinateur de l'album : RAKUTA Shoko Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kyôhei, venu de province jusqu'à Tokyo pour ses études universitaires, fête le premier jour de son emménagement et de son indépendance. Cependant, sa rencontre avec son voisin débauché, le citadin Takara, va vite le faire déchanter, ce dernier se moquant de lui parce qu'il est un campagnard. Kyôhei, énervé par cette attitude, va néanmoins se retrouver chez Takara suite à un certain événement, et alors qu'il prend dans sa main un bonbon posé négligemment... Il s'aperçoit qu'il s'agit en vérité d'un préservatif ?! Critique : Kyohei s’installe à Tokyo pour poursuivre ses études à l’université. Venant de la campagne profonde et suivant les conseils de sa grand-mère, il va faire le tour de ses nouveaux voisins et tombe sur Takara un étudiant assez libre aux mœurs légères qui va le chambrer dès leur rencontre. Si on peut penser au début que l’histoire met en scène des personnages très clichés : le campagnard qui découvre la ville et le playboy qui va le faire tourner en bourrique, on se rend compte très vite qu’il y a de messages derrière comme le fait de ne pas juger les gens sur leurs apparences, ou se poser des questions sur l’essence même de l’amour. Quoi qu’il en soit, que l’on fasse une lecture au 1er ou 2nd degré, l’histoire est agréable et les personnages sont sympathiques. Un manga tout mignon pour public averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-la-recherche-de-l-amour?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Je te love dans les plumes tome 1 Scenariste de l'album : YAMAMOTO Kotetsuko Dessinateur de l'album : YAMAMOTO Kotetsuko Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Nozomi Inusaki est détective privé, et mène une vie tout ce qu'il y a de plus normale, à chercher des animaux de compagnie perdus et à promener des chiens. Une seule particularité le distingue de la plupart de ses pairs : il est capable de comprendre la langue des oiseaux, et de la parler, ou plutôt, de la gazouiller. De ce fait, il maintient depuis son plus jeune âge une distance raisonnable avec la gent aviaire, s'étant déjà fait insulter plus que sèchement par un pigeon. Mais un jour, il rencontre un élégant corbeau. Critique : Inusaki a un don peu commun : il comprend le langage des oiseaux ! Quand il était petit, il a essayé de communiquer avec un pigeon qui lui a répondu « Qu’est-ce que tu me veux sale gamin ? J’vais t’crever » ; depuis, il les a en horreur. Mais un jour il se lie d’amitié avec un corbeau. Premier tome d’un diptyque, le manga est étrangement agréable à la lecture. Jusqu’à présent, il y avait beaucoup de livres avec des chats, quelques titres où les personnages pouvaient lire dans les pensées et/ou objets mais rien qui ressemble à celui-là. Le personnage d’Inusaki est intéressant car malgré son aversion envers les oiseaux, il ne peut pas s’empêcher d’être gentil. Sa rencontre avec le corbeau va changer beaucoup de choses, ses sentiments d’abord puis son côté social ensuite qui va lui permettre d’apprendre à connaitre mieux le fils de son employeur. Il y a un autre aspect un peu fantastique qui est sous-jacent et qui devrait être dévoilé dans le second tome. Une lecture vraiment plaisante accessible à tous, en tout cas pour ce premier volume. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-te-love-dans-les-plumes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Je te love dans les plumes tome 1

    Inusaki a un don peu commun : il comprend le langage des oiseaux ! Quand il était petit, il a essayé de communiquer avec un pigeon qui lui a répondu « Qu’est-ce que tu me veux sale gamin ? J’vais t’crever » ; depuis, il les a en horreur. Mais un jour il se lie d’amitié avec un corbeau. Premier tome d’un diptyque, le manga est étrangement agréable à la lecture. Jusqu’à présent, il y avait beaucoup de livres avec des chats, quelques titres où les personnages pouvaient lire dans les pensées et/ou objets mais rien qui ressemble à celui-là. Le personnage d’Inusaki est intéressant car malgré son aversion envers les oiseaux, il ne peut pas s’empêcher d’être gentil. Sa rencontre avec le corbeau va changer beaucoup de choses, ses sentiments d’abord puis son côté social ensuite qui va lui permettre d’apprendre à connaitre mieux le fils de son employeur. Il y a un autre aspect un peu fantastique qui est sous-jacent et qui devrait être dévoilé dans le second tome. Une lecture vraiment plaisante accessible à tous, en tout cas pour ce premier volume.
  24. Titre de l'album : Notre genèse tome 1 Scenariste de l'album : ICHINOSE Yuma Dessinateur de l'album : ICHINOSE Yuma Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Shikito Takai est un lycéen ordinaire, à cela près qu´il est très calé en sciences et fervent lecteur. Mais un jour, il commence à remarquer qu´un de ses camarades de classe, Kaito Nishio, dégage une odeur profondément troublante. Une odeur que personne d´autre ne semble remarquer, et qui le plonge dans un état second. Quand Kaito se retrouve lui aussi dans un étrange état d´excitation et que les deux garçons doivent s´abriter de la pluie, ils se retrouvent dans une remise, à découvrir ce qui est en train de leur arriver. Ils sont le premier alpha et le premier oméga de leur monde, et ils sont sur le point de découvrir tout ce que cela implique ! Critique : Dans le yaoi, il y a un sous genre qui parle des alphas et des omégas appelé omégaverse, si cela ne vous dit rien, ce n’est pas grave car Notre Genèse est là pour vous parler des premiers hommes alpha et oméga : des hommes irrémédiablement attirés l’un par l’autre comme si leur instinct animal prenait le dessus et qui sont fait pour être ensemble, l’oméga étant également capable d’enfanter. Takai et Nishio sont deux lycéens normaux, l’un étant beau gosse et populaire, l’autre studieux et intéressé que par les sciences. Un jour Takai aide Nishio malade, ils se retrouvent dans une réserve peu fréquentée, l’odeur que dégage Nishio est tellement irrésistible (ce sont ses phéromones) que tous les deux s’abandonnent au plaisir. Forcément quand 2 ados découvrent le plaisir charnel et en plus dans l’omégaverse, il y a du sexe, encore et toujours, ensuite il y a des interrogations, encore du sexe et quelques pistes scientifiques pour savoir ce qui leur arrive. Malgré ça, l’histoire est bien menée, le dessin agréable et cela va enfin permettre d’y voir un peu plus clair dans ce genre particulier. Réservé à un public averti cela va s’en dire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/notre-genese-seuls-dans-le-jardin-d-eden-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Notre genèse tome 1

    Dans le yaoi, il y a un sous genre qui parle des alphas et des omégas appelé omégaverse, si cela ne vous dit rien, ce n’est pas grave car Notre Genèse est là pour vous parler des premiers hommes alpha et oméga : des hommes irrémédiablement attirés l’un par l’autre comme si leur instinct animal prenait le dessus et qui sont fait pour être ensemble, l’oméga étant également capable d’enfanter. Takai et Nishio sont deux lycéens normaux, l’un étant beau gosse et populaire, l’autre studieux et intéressé que par les sciences. Un jour Takai aide Nishio malade, ils se retrouvent dans une réserve peu fréquentée, l’odeur que dégage Nishio est tellement irrésistible (ce sont ses phéromones) que tous les deux s’abandonnent au plaisir. Forcément quand 2 ados découvrent le plaisir charnel et en plus dans l’omégaverse, il y a du sexe, encore et toujours, ensuite il y a des interrogations, encore du sexe et quelques pistes scientifiques pour savoir ce qui leur arrive. Malgré ça, l’histoire est bien menée, le dessin agréable et cela va enfin permettre d’y voir un peu plus clair dans ce genre particulier. Réservé à un public averti cela va s’en dire.
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