Aller au contenu
  • S’inscrire
  • Adieu Birkenau - Une survivante d'Auschwitz raconte


    poseidon2
    • Scenariste: Jean-David Morvan | Victor Matet Dessinateur: Francesc Fullana Dalmases | Ricard Fernandez Coloriste: Francesc Fullana Dalmases | Ricard Fernandez Editeur: Autres Editeurs/Auto editions Note :
      Résumé:

      En avril 1944, à 19 ans Ginette Kolinka est déportée au camp d'extermination Auschwitz II-Birkenau.Elle n'en parle pas durant 50 ans, avant d'accepter d'être filmée pour la Shoah Foundation, que Steven Spielberg vient de créer.À la grande surprise de la septuagénaire, les souvenirs enfouis rejaillissent. Elle se lance à corps perdu dans le témoignage.En octobre 2020, à 95 ans, elle permet à Victor Matet et Jean-David Morvan de l'accompagner lors d'un de ses voyages de groupe en Pologne, à l'issue duquel elle décide de ne plus jamais revenir.Dans cet album bouleversant mis en images avec pudeur et puissance par Efa, Cesc et Roger, elle fait le point entre son premier et son dernier passage dans le plus grand cimetière du monde avec ce mélange unique de force, d'humour et d'espoir qui la caractérise.Sélection Prix BD FNAC/FRANCE INTER 2024

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Historique Prix: 21.90 Nb de pages: 112
     Share

    Après madeleine résistance, c'est au tour d'Albin Michel de nous livrer un récit sur la seconde guerre mondiale avec "Adieux Birkenau". C'est encore une fois le récit d'une survivante de la seconde guerre mondial, mais c'est cette fois-ci une survivante des camps de la mort et donc du amp de Birkenau, le deuxième camping d'Auschwitz.

    Ce récit est édifiant. Édifiant, car notre narratrice nous raconte comme son vécu d'enfant, à une période où les grandes personnes deviennent folles. Une enfant qui se doit de grandir trop vite et voit son innocence disparaitre bien trop tôt et bien trop vite.

    Cette histoire est aussi l'histoire de notre narratrice qui, plutôt que de chercher à oublier, cherche à raconter et à transmettre, quitte à revenir sur les lieux où l'humanité à montre ce qu'elle avait de pire.

    À lire et à faire lire !

     Share


    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    Le 25/10/2023 à 20:35, nicokino a dit :

    PluS je découvre le média et plus je suis impressionné de l’émotion que peut véhiculer la BD.

    c'est d'autant plus vrai quand tu prends le meilleurs des 3 types BD/manga/COmics.....

    Lien vers le commentaire
    Partager sur d’autres sites



    Rejoindre la conversation

    Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

    Invité
    Ajouter un commentaire…

    ×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

      Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

    ×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

    ×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

    ×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.


  • Qui est en ligne   0 membre, 0 anonyme, 41 invités (Afficher la liste complète)

    • Il n’y a aucun utilisateur enregistré actuellement en ligne
  • Inscription

    Inscrivez vous gratuitement

  • Les previews !

  • Dernières Critiques

    • Once upon a time at the end of the world tome 1
      Note :
      Nouvelle série de Jason Aaron qui avait quitté le monde du comics indépendant depuis Sea of Stars si je ne m'abuse.

      Le genre d'album que tout fan de l'auteur attendant avec impatience. Encore plus quand on imagine la fin du monde qu'il pourrait nous livrer. Et bien j'avoue être mi-figue mi-raisin sur ce premier tome. Le scenario de Aaron est plutôt sympa, même si très orienté ado/jeunes adultes, avec un road trip  entre deux personnages dont on sait dès le début qu'ils tomberont amoureux (un gars une fille...) et des poursuivants assez mystérieux. S'il est un peu trop classique dans la partie "présent", Aaron titille notre curiosité avec des planches de notre héros "dans le futur" avec un futur radicalement différent de tout ce que l'on pourrait imaginer arriver à nos deux héros. Des excellents hameçons pour nous laisser imaginer un scenario plus complexe qu'il n'y parait.

      Coté dessin le trait de Tefenkgi est globalement bien adapté à la partie "ado de l'histoire" mais pas vraiment à la partie plus "hard" dans le futur ou elle est un peu trop brouillonne.

      En bref un premier intriguant, mais surtout sauver par l'habileté de Aaron à nous laisser envisager le futur de l'album
      • 0 réponse
    • Semper Feri - Tome 1 - Space marines
      Note :
      Semper Feri m'avait fait de l'oeil depuis l'annonce de sa sortie. Non pas que nous manquions de belles sorties en science fiction, mais une science fiction pleine d'aventure me tente toujours beaucoup.

      Et je n'ai pas été déçu car dès le début le rythme est donné, l'histoire va a deux mille à l'heure et pourtant tout semble cohérent, normal, les persos sont bien travaillés, le contexte aussi ce qui finalement nous laisse peu de questions et nous permet de profiter pleinement de l'aventure. Seul bémol je trouve, le dessin un peu trop ados de nos héros qui tranche avec lme contexte dur de leurs aventures et de leurs épreuves. Difficile en effet d'imaginer les héros de la couv' en space marines tant ils semblent encore plus frais qu'une recrue de Starship Trooper. 

      Les dessins de Mathieu Thonon sont bien et dynamiques, facilement lisibles sur les scènes d'actions, proposant quelques plans chouettes et des couleurs ultra dynamiques. Cela manque peut être un peu de détail et de richesse à mon goût mais c'est largement dans les canons du genre. Bref, Semper Feri est une réussite en terme de bd d'actions sf pour ados et adultes, même si les premiers y trouveront probablement un peu plus leur compte que les seconds au niveau des héros.
      • 2 réponses
    • Les nouvelles aventures de Bruce J. Hawker - Tome 1 - L'œil du marais
      Note :
      Bruce J. Hawker est l'une des séries emblématiques de M. Vance. Le Lombard poursuit sa volonté de redonner un coup de neuf à ses vieilles séries pour les amoureux de la bd franco belge avec cette fois-ci M. Bec au scénario et  M. Puerta au dessin et à la colorisation. 

      Inutile de dire qu'il est plus que difficile de succéder au génie de Vance au dessin. J'étais amateur de la série lorsque j'ai découvert la bd plus jeune, et j'en ai une intégrale dans ma bibliothèque, pourtant il faut reconnaitre que si cette série m'a toujours emballée par son ambiance et ses dessins, elle ne m'a pas laissé de souvenirs impérissable par son héros ou ses scénarios.

      Je pense très sincèrement que le dessin de Carlos Puerta va emballer une grande partie des lecteurs. C'est assez bluffant même si je ne saurais dire ce qui me retient de tomber dans l'enthousiasme fou. Il y a comme une impression de mélange des techniques de dessins à l'ancienne avec une colorisation peut être plus moderne avec laquelle mon oeil a du mal à trouver ses repères. Difficile d'expliquer pourquoi car le rendu est comme la couverture, vraiment magnifique. 

      Bon côté scénario, Bec nous livre une aventure assez originale, un peu historique, matinée d'une recherche de trésors, et finalement plutôt fraîche, après un début heureusement très naval. Clairement je lis Bruce J. Hawker surtout pour la partie navale que je trouve passionnante, alors j'en ressors un peu frustré n'ayant pas eu assez mon compte de vie à bord, de combats navals dantesques, de mutinerie ou autres actes de pirateries. Notre héros y est presque un peu discret et pas si influent que nous pourrions l'espérer pour le moment, mais de ce côté c'est finalement assez fidèle à mon souvenir de cette série.
        • Like
      • 6 réponses

    • The most notorious talker tome 7
      Note :
      Mais qu'est-ce qu'il est fourbe alors ! Mais qu'est-ce qu'on aime ça ! Et qu'est-ce qu'il est intelligent.

      Ce tome est excellent justement car il nous montre que la clef de notre héros est sa roublardise et son intelligence. Pour tout dire, on s'attendait à un combat de ouf entre les deux équipes pour gagner le duel mais… on se retrouve avec nos Blue Beyond qui ... prennent le thé..... laissant le plan machiavélique de Noel se dérouler sans accro.

      En plus des dessins sublimes, cette série n'en finit plus de nous surprendre et de dépasser le seul intérêt du héros sombre.

      Encore !
      • 0 réponse
    • Critique par une ado : Power Antoinette tome 3 (fin)
      Note :
      Une critique de @TheOtaku : Nous voilà avec un bon dernier tome. Il conclut correctement l'histoire, toujours avec une pointe d'humour et de muscles ! 

       



      Pour nos fans d'histoire qui aime l'histoire comme elle est et qui ont un souci d'imagination de ce côté... je ne vous conseille pas la série parce que ça donne un côté drôle à la révolution française tout en mettant les côtés horribles que tout le monde voudrait cacher de cette révolution en avant.



      Sinon l'histoire est globalement drôle et la tournure que prend la révolution change de nos cours d'histoire pleins d'horreurs, bien sûr certains diront que l'histoire ne vaut pas Lady Oscar 😂, mais la vérité est que les deux ne sont pas comparables : l'un raconte la vérité de cette révolution à travers les yeux de notre Lady Oscar conclusion la fin et tout aussi triste que dans notre passé alors que l'autre donne un air d'humour et de gaieté à notre passé.



       



      Enfin la série a su se terminer rapidement et c'est 3 tomes sont largement suffisantes pour rigoler un peu et embellir l'histoire 😂.
      • 0 réponse
×
×
  • Créer...