Pendant qu’Issei commence l’école, Riku trouve ses premiers clients mais il se fait vitre dépasser par la hardiesse des habitants, il n’ose pas s’imposer et se faire rétribuer pour son travail. Heureusement même si les locaux sont différents de ceux des grandes villes, ils savent remercier à leur façon et lui offre plein de produits locaux.
Avec ce deuxième tome, on sent que la thématique principale c’est la vie en communauté. Riku et Issei, bien que père et fils, essaye de s’apprivoiser l’un l’autre, ils avancent pas à pas, ont des maladresses parfois mais restent très ouverts pour essayer de se comprendre et avancer ensemble. En même temps, en opposant les insulaires avec des tokyoïtes, l’auteur parlent aussi des préjugés que l’on peut avoir, de la communication nécessaire pour arriver à vivre ensemble.
Toute la narration est faite tranquillement, en prenant son temps et avec beaucoup de douceur. Le graphisme nous propose de temps en temps de belles pages empreintes de sérénité et de bien-être. Pourtant, il manque toujours au manga un je-ne-sais-quoi qui ferait qui ferait qu’on s’y sentirait bien, au bout du compte, on reste spectateur.
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