Ca y est. Kaiju 8 rentre dans le rang et se met sur les bases de ce qui rend le manga insupportable pour beaucoup : une pompe à fric.
Après 6 tomes à 200 à l'heure, accrochant de lecteur par un rythme effréné, le tome 7 ralentissait déjà beaucoup, cherchant un second souffle à une histoire partie trop vite.
Ce tome 8 est ce qui, pour moi, caractérise le plus le problème de l'industrie du manga actuelle : Une bonne idée puis derrière, un studio prêt à faire du volume et à faire de l'agent.
Pour bien se rendre compte de cela, il faut savoir que ce Kaiju 8 a été lu en 12 minutes, et ce, par chacun des trois membres de ma famille qui suit la série. 12 minutes. Pour 7 euro... et pour qu'il ne se passe absolument rien.
Mais voilà. Maintenant, on espère que cela revienne comme au début donc on achètera encore les suivants... jusqu'à un certain point cependant. Messieurs les japonais, il faudrait voir à mettre plus d'agent dans le scenario que dans la communication démentielle qui va avec cette série…
Franchement quand je vois la qualité de scenario des parutions manga plus anciennes, ça me désole…
- 1
Commentaires recommandés
Il n’y a aucun commentaire à afficher.
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.