Yakône poursuit son chemin avec ses deux amis, dans une situation difficile, elle est aidée par une autre survivante qui disparait aussitôt. Ce n’est que plus tard, quand elle sera aux prises avec la tribu des triangles à capuche qu’elle retrouvera Lulu et deviendront amies.
Il y a vraiment un côté kawaii dans ce manga, que ce soit la petite taille des personnages ou le design assez rond des décors, même quand il y a des scènes de violence, il y a une certaine retenue. On a limite l’impression de se situer entre Minuscule et Made in abyss avec quelques trouvailles inédites de temps en temps, comme avec le distributeur d’hamburger. Cependant, il y a un manque, les monstres ne sont peut-être pas assez effrayants, les décors pas assez détaillés, les scènes d’action pas assez dynamiques…
C’est comme si on avait une version édulcorée d’une vraie fin du monde… Après, le titre du manga c’est Quelle belle fin du monde, ceci explique peut-être cela, mais alors où se trouve le côté « beau » ? Car pour l’instant ni l’environnement dans lequel circule Yakône, ni sa situation « familiale » ne présentent d’aspect agréable. Peut-être que je passe à côté du manga mais je n’arrive toujours pas à adhérer à l’histoire.
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