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Le Cahier À Fleurs T1 Mauvaise Orchestration


poseidon2
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[center][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/couverture_bd/cahierafleurs_t01.jpg[/img][/center]

[b]Serie :[/b] Le cahier à fleurs
[b]Dessinateur :[/b] Nicaise
[b]Scénario :[/b] Galandon
[b]Genre :[/b] Historique
[b]Éditeur :[/b] Doki Doki

[b]Résumé :[/b] [i]Paris, 1983. Le concert d’un jeune violoniste turc est interrompu par le malaise d’un spectateur. Alors que les secours sont attendus, le vieillard prononce quelques mots qui attirent vivement l’attention du musicien. Dès le lendemain, il se rend au chevet de Dikran Sarian, septuagénaire arménien. Le vieil homme se lance alors dans un long récit : celui du premier génocide du 20e siècle, le génocide arménien.
Anatolie, 1915. Dikran a neuf ans. Sur ordre d'Istanbul, les Arméniens doivent être éradiqués. Partout, l'armée ottomane rassemble les hommes et les supprime sommairement. Femmes, vieillards et enfants sont évacués et contraints à une longue marche vers la mort. [/i]

En voila un thème qui fait débat. Me semble-t-il que ca même été un moment dans la balance lorsque l'entrée de la Turquie en Europe était d'actualité : La reconnaissance du génocide Arménien du début du siècle.

Un sujet très difficile que Galandon aborde plutôt bien : Par la musique. Le violon pour être exact. Il nous emmène via une histoire de partition de musique sur les traces de son narrateur, un vieil homme étant tout petit lors du "génocide" en question.

Il nous narre donc, sous trait un peu trop pâlichons certaines fois de Nicaise, sur les routes qui ont fait d'un peuple une minorité.
Un tout petit peu trop manichéen sur le début du tome avec des turcs très très méchants, Galandon arrive quand même à nous tenir à son histoire par le déroulement épique de l'histoire du vieil homme et la fin somme toute intéressante !
Un trait un peu plus expressif aurait peut être relevé le début de l'histoire.

Pos², intrigué par la fin.

[b]Ma Note :[/b] [img]http://www.flixster.com/static/images/rating/3.0.png[/img]
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  • 2 months later...
Effectivement le thème est triste, surtout que l'auteur n'y va pas par quatre chemins et ne cherche pas à faire un tableau tout rose de cette partie de l'Histoire. Les deux personnages qui dialoguent sont l'un un vieil arménien et l'autre un jeune musicien turque: les deux parties essayent de comprendre...
Ca vaut vraiment le coup de le lire, un très bel album.
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