Ah ah j'avais déjà pris le black badge au pif d'ailleurs et sinon j'avais pris ça, je vous fais grâce de la photo des mangas

Le batman metal est légèrement abîmé 

ok je verrai ce qu'il reste demain mais je ne peux y aller que le soir

et désolée pour les photos, c'est ma mère qui les as prises !

dites-moi s'il y a des titres intéressants

Monstre ou humain... qui sommeille au coeur des ténèbres ? Des alliances se forment chez les collégiens piégés dans la carcasse du Léviathan : victimes et harceleurs, garçons et filles, riches et pauvres s'affrontent dans une lutte à mort qui n'aura qu'un seul survivant. Kazuma a trouvé refuge auprès du groupe qui contrôle le réfectoire, mais le doute s'insinue dans son esprit... et si le charismatique Yo n'était pas celui qu'il prétendait ? L'auteur du journal ne tarde pas à faire chasser ce chef trop parfait pour prendre sa place. Aurait-il finalement une chance d'atteindre le caisson de cryogénisation avant les autres ? Dans un décor angoissant dépeint avec une minutie extrême, découvrez la fin de ce voyage au bout de l'enfer... Dans un décor angoissant dépeint avec une minutie extrême, Léviathan nous emporte dans un voyage au bout de l'enfer. Comment garder son humanité dans l'étendue glacée de l'espace ?

Les pilleurs d’épaves continuent leur progression dans le vaisseau à la recherche de trésors tout en lisant le journal. Ils trouvent en chemin un robot qui semble avoir été connecté à toutes les vidéos surveillance du vaisseau. Tandis que l’un poursuit la lecture, un second regarde les vidéos pour mieux comprendre ce qui s’est passé et trouver des indices pour savoir où se situe la capsule de secours.

Si le second tome avait été un peu en-dessous, sans doute parce qu’il était centré sur les différents affrontements antre les élèves. Ce troisième et dernier tome conclut le récit de manière intelligente et efficace. Nous voici donc arrivés au moment des réponses : est-ce qu’il y a un survivant dans la capsule et qui est-il ? Mais ce ne sont pas les seules révélations que le lecteur aura car l’histoire est un peu plus complexe qu’un simple récit survival. Il y a une certaine profondeur dans les propos, dans les actes et dans la psychologie et des éléments que l’on n’avait pas vu venir. C’est donc une fin réussie ; une série bien construite en 3 tomes où il ne manque rien. On suivra attentivement les futures œuvres de Shiro KUROI dont vous pouvez retrouver une interview à la fin de ce tome 3.

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Vivez l’aventure post-apocalyptique de Undawn, disponible dès maintenant dans le monde entier !

Dès aujourd’hui sur mobile et PC, les joueurs sont invités à venir explorer ce nouveau RPG de survie en monde ouvert, aux côtés de Will Smith.

Kizutaka Kugi, un garçon parfait en apparence, cache en réalité des capacités hors norme, qui en font un talentueux manipulateur. Un jour, il rencontre Risuka Mizukura, la nouvelle élève aux cheveux et aux yeux rouges, qui a le pouvoir de se déplacer instantanément dans le temps. Il va alors la manipuler pour qu'elle devienne son pion afin de l'aider... à sauver le monde !

Dans cette histoire il y a deux personnages principaux : Risuka Mizukura qui est une magicienne surnommée « la sorcière rouge du temps », elle est à la recherche de son père qui semble enseigner la magie aux humains, ce qui n’est en principe pas toléré en dehors du territoire magique. Et puis il y a Kizutaka Kugi, un lycéen imbu de lui-même, qui joue au bon samaritain en espérant dominer le monde pour apporter le bonheur sur terre, un garçon qui n’hésite pas à utiliser les autres pour arriver à son but même s’il faut les manipuler. Chacun utilise l’autre pour ses besoins.

Je reste un peu perplexe sur cette histoire, peut-être est-ce le temps de la mise en place mais je ne vois pas d’intérêt bien défini. Si on comprend les agissements de Risuka, le personnage de Kizutaka reste très flou : a-t-on affaire à un vrai fou furieux qui veut dominer le monde ou simplement à un lycéen qui part un peu trop dans ses délires ? Ses agissements semblent être incohérents ou plutôt on a l’impression que les personnages n’ont pas un plan d’action défini et qu’ils se laissent guider au fil de l’eau. En plus, la façon dont est décrite leur relation est pleine de mystères… On assiste à des bribes de leurs vies sans avoir les tenants et aboutissants. Il est difficile de s’immerger dans l’histoire et de ressentir de l’empathie pour les personnages. C’était pourtant une belle affiche d’auteurs talentueux mais pour le moment on ne sait pas où l’on va ni pourquoi. Quant aux « new magical girls », sortez-vous l’idée de la tête, ici c’est de la sorcière plus qu’une magical girl.  Il faudra donc attendre la suite pour se faire une opinion plus détaillée.

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Revivre l'apocalypse, ce n'est pas donné à tout le monde ! La Terre a été frappée par une apocalypse zombie qui a décimé la majorité de la population. Après avoir survécu trois ans au milieu de ce chaos, Yohan meurt dans d'atroces circonstances. Mais au lieu de trouver le repos, le voilà projeté dans le passé, six mois avant l'apparition du virus ! Parviendra-t-il à empêcher la catastrophe ?

Après trois ans de lutte pour survivre contre l’invasion de zombies, et après avoir vu tous ses camarades tomber, Yohan est mort. Il régresse et se retrouve 6 mois avant l’arrivée des zombies, 6 mois pour se préparer à ce qui devrait normalement arriver, 6 mois pour s’entrainer, faire des réserves et trouver un lieu sûr. Seulement, le temps est capricieux et les évènements ne se déroulent pas comme dans sa première vie : non seulement ils arrivent en avance mais en plus ils sont légèrement différents. Il lui faut partir à la recherche d’anciens compagnons fiables avec lesquels il pourra monter une équipe solide afin de survivre.

Souvent, dans les histoires de régression (ou remontée dans le temps), le héros revient parce qu’il est mort injustement et qu’il va essayer de changer son destin. Ici, ce n’est pas le cas, il revient pour revivre une nouvelle fois l’enfer de l’épidémie qui transforme les gens en zombies. Donc même s’il se prépare, il ne peut pas échapper aux événements, la seule chose qu’il peut faire c’est essayer de survivre un peu plus longtemps cette fois sans savoir s’il y aura le salut au bout !

Je suis contente de retrouver cette série que j’avais commencée à lire lors du début de verytoon, il y a plus de deux ans maintenant… le temps passe vite… Et si je l’avais mise en pause, c’est que j’étais arrivée au bout des chapitres disponibles à ce moment et non parce que je ne l’aimais pas. Si l’histoire de zombie reste assez classique : combattre et survivre ; ce sont les relations entre les humains qui est intéressante. Le personnage, Yohan, le dit clairement dès le début : si au départ ils étaient terrifiés par les zombies, ce sont les survivants qui se sont révélés être les plus dangereux ! Et c’est ce qui va être intéressant à suivre car un zombie reste un zombie et son comportement ne change pas vraiment. Peut-être que l’on aura aussi une explication sur les changements qui ont lieu entre les deux vies de Yohan.

Kbooks nous offre une belle version, soignée et aérée, on voit que depuis leurs débuts, ils ont appris à mettre un peu moins d’images par page afin que l’on profite mieux des dessins. Et sur point, on différencie bien les morts-vivants des humains sans que cela soit trop gore ou choquant (dans ce 1^er volume en tout cas). Un début réussi qui donne envie d’aller lire la suite, je vais sans doute reprendre ma lecture, il y a 123 chapitres disponibles sur VERYTOON pour ceux qui seraient impatients. La série est toujours en cours avec 164 chapitres et pour information, ce 1^er tome comporte 14 chapitres.

Donc n’hésitez pas à vous lancer, une petite histoire de zombie de temps en temps, cela ne fait pas de mal et en plus vous apprendrez plein d’astuces de survie en cas d’invasion !

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Il y a 17 heures, poseidon2 a dit :

Remboursé si ca ne marche pas 😉

Blue lock ça n'a pas marché avec ma fille, mais elle est fan d'Ao Ashi ! ce n'est pas le foot le problème...

Aujourd'hui c'est la sortie du tome 10 de solo leveling avec un coffret collector encore disponible

Pour 5 euros en plus de la version normale, cela vaut le coup !

Les héros refusent de vieillir ! Les geeks aiment bien dire qu'ils ont LV+1 dès qu'ils fêtent leur anniversaire. Mais passer le cap du LV-40 est-il finalement gage de progression ? Que deviennent les héros aux cheveux poivre-sel ayant passé LV-40 dès lors que débarquent de fringants petits jeunes imberbes LV-22 ? Peuvent-ils encore rivaliser physiquement ? Peuvent-ils encore séduire les nymphettes qui rejoignent la guilde ? Bref, prendre du galon est-il sincèrement une bonne chose ? Quand la crise de la quarantaine est vécue par un héros de RPG, ça donne Daron Quest... POINTS FORTS - Une histoire complète en 1 seul tome (one shot). - Un style graphique ultra réaliste et dynamique. - Un humour décapant. - Une parodie qui saccage tous les codes du RPG.

Dans le manga, Omaké est surtout connu pour ses mangas d’horreur avec des choix originaux, dérangeants, très trash parfois et choquants. Mais l’éditeur propose également d’autres thématiques, de très bons thrillers comme many reasons why ou under prison et aussi quelques ovnis. Aujourd’hui je vous propose de découvrir Daron quest, un manga humoristique de fantasy qui suit un héros sur la quarantaine, une parodie du jeu dragon quest. Un choix très tranché, pas forcément attirant au premier abord mais assez juste quand on y pense.

Car voyez-vous-même si le héros commence jeune, souvent adolescent, il doit, dans la majorité des cas, éliminer le grand méchant roi démon. Il lui faut d’abord trouver des compagnons, affronter les sous-fifres maléfiques qui seront de plus en plus puissants, prendre le temps de se soigner, de trouver d’autres camarades quand les premiers meurent au combat, trouver les indices qui peuvent mener à trouver les armes légendaires, combattre à nouveau et tout ça en parcourant le vaste monde à cheval dans le meilleur des cas et parfois à pied ! Impossible de faire tout ça en 1 an ! Du coup, avoir un héros qui a commencé à 20 ans et qui en a maintenant 41, c’est assez réaliste !!

Mais bon, ce serait ennuyant de suivre une aventure normale, alors Daron quest, vous montre les petits tracas ou les moments gênants de l’aventure. Car le héros a vieilli, il n’est plus aussi rapide, plus aussi résistant… il a pris de la bouteille quoi (certains s’y reconnaitront peut-être) ! et l’aventure n’est plus aussi simple et facile qu’à ses débuts.

Daron quest est idéal comme livre de « gare » ou de « toilettes » comme on pourrait le dire, non pas parce qu’il est nul à ch..., loin de là même, mais parce qu’on peut le lire tranquillement, petit à petit, sans se prendre la tête, quand on a quelques minutes, rien d’autre à faire ou tout simplement quand on veut se détendre.

Le moins que l’on puisse dire à son sujet, c’est qu’il ne manque pas d’idées originales et d’imagination. Et le vrai plus de cette édition, c’est l’humour d’Omaké, à retrouver sur le bandeau et dans les conseils…

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Un soir, alors que le jeune salaryman Yû Sugimori rentrait chez lui après quelques heures supplémentaires, il tombe nez à nez avec un étranger menaçant et armé. Grâce à sa maîtrise de l'anglais, Sugimori comprit vite qu'il n'avait pas d'autre choix que de le faire entrer chez lui, mais une fois à l'intérieur, l'étranger lui expliqua qu'il était un gangster venant du passé . Qui aurait cru qu'un salaryman japonais lambda rendrait inoffensif un gangster américain menaçant tout droit venu du passé ?!

Un soir en rentrant du travail Yû Sugimori tombe sur un homme armé étranger qui le menace et lui demande de le conduire à son domicile. Cet homme s’appelle Clyde et se serait un gangster venu tout droit de l’Amérique des années 50 ! Commence alors une drôle de cohabitation entre un employé banal et un homme venu du passé.

Bon inutile d’en dire plus car, à part la partie érotique et intime qui va se développer entre les deux hommes, il n’y a pas grand-chose de plus. C’est dommage parce qu’il y avait de quoi faire : d’abord on aurait pu explorer un peu plus le côté gangster de Clyde, aller voir son passé, faire la comparaison entre Amérique et Japon. Il y a également tout le décalage lié à son saut dans le temps qui n’est clairement pas exploité. Même la relation entre eux et la différence de culture aurait pu être un sujet à lui tout seul. Hélas, l’auteur mentionne des éléments sans y prêter plus d’attention que ça. Clyde aurait simplement été un étranger un peu perdu au Japon, cela aurait fait le même effet… Un livre qui ne tient aucune de ses promesses, décevant…

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moi je ne compte plus... 

Kentarô débarque de sa campagne natale pour étudier à Tokyo et se faire un maximum d'amis. Malheureusement, à la soirée de présentation d'un club, il est si tendu que son accent ressort. Moqué par tout le monde sauf Yû, son voisin de table, il est instantanément mis à l'écart et ne parvient pas à rebondir. Sans repère et vite pigeonné par des vendeurs peu scrupuleux de la ville, devenu sans le sou à force de relookings suggérés par ceux-ci, il commence à se prostituer... jusqu'à ce qu'il se fasse prendre en flagrant délit par Yû !

I’m sorry fait partie de ces livres qui marquent, de ceux que l’on aimerait mettre en avant tout en trouvant qu’il est difficile de les recommander car le sujet est dur. Difficile de dire « lis-le c’est super bien, ça parle d’un garçon qui sombre dans la prostitution ! » Pourtant, pour moi, ça a été un coup de cœur ou un coup au cœur peut-être car si on s’y attarde, l’image de la société qu’il renvoie est profondément triste et égoïste.

Il y a ce garçon, Kentarô, qui arrive de sa campagne pour étudier à la fac à Tokyo, il est tout gentil, tout naïf et a plein de rêves en tête. Il ne faudra pas longtemps pour qu’il se fasse avoir, pas forcément par des arnaques, non mais seul et sans personne pour le conseiller, il se laisse prendre par des offres commerciales et se retrouve vite sans le sou. Mais c’est surtout sa solitude qui va le pousser à se prostituer, l’espoir le temps d’un moment de compter pour quelqu’un. D’un autre côté, il y a Yû, un autre étudiant, en apparence populaire qui est tout aussi seul. Il a mis de côté sa personnalité et ses gouts pour rentrer dans le moule, pour plaire au plus grand nombre.

Au milieu de cette si grande ville et au milieu d’un campus avec plein d’étudiants, il n’y a pas grand monde pour faire grand cas d’autrui. Personne pour vous accepter tel que vous êtes, surtout si vous êtes différents. L’histoire aurait pu être encore plus dramatique comme dans Métamorphose… on y pense d’ailleurs lors de la lecture. Mais heureusement, l’autrice nous propose une belle fin avec de l’espoir et de l’amour. Un peu plus, et il aurait fallu sortir les mouchoirs ! Attention cependant, le livre est à réserver à un public adulte, pour le propos et les images. A découvrir.

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Maïn a présenté au Grand prêtre sa version pour enfants des écrits saints. Mais face à ce texte inhabituellement bien rédigé par la jeune fille aux cheveux bleus, celui-ci est pris de doutes. "Qui est-tu vraiment ?" La fabrication du livre d'images progresse, peut-être est-il pour bientôt ?

La gravure sur bois n’a pas été concluante, Maïn décide donc de faire fabriquer des cutters pour passer à la technique du pochoir. En plus comme elle a un nouveau papier et de l’encre, elle va enfin pouvoir fabriquer son premier livre, un aboutissement au bout de deux ans d’efforts ! Mais Maïn doit aussi faire face au mépris des robes bleues qui lui font comprendre où est sa place et à ses obligations envers le temple. Elle a donc de quoi s’occuper !

Nous sommes comme Maïn, ravis de voir le premier livre réalisé ! Imaginez un monde sans livre, sans vos bds et mangas préférés ! Maintenant, au cas où vous vous réincarniez dans un autre monde et grâce à la petite faiseuse de livres, vous savez comment faire !  L’histoire est toujours aussi sympathique et on a vraiment plaisir à retrouver tous les personnages du manga. Pour information, les trois premières saisons (36 épisodes) de l’anime sont disponibles et réussies. Maintenant on aimerait en apprendre un peu plus sur les nobles et sur le grand prêtre, mais il y a encore de quoi faire car le light novel compte 31 volumes au 31 décembre 2022 ! Mais comme la lecture est fluide et agréable, on ne voit pas le temps passer et on en redemande !

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Même si Jay a découvert un univers quil a toujours rêvé de côtoyer, il va vite se rendre compte que la vie dun héros est loin dêtre facile, et quelle implique de nombreux sacrifices. Au cours dune mission à laquelle Jay va prendre part contre toute attente, il découvrira que les abominations nont pas encore livré tous leurs secrets... Pour quoi va-t-il se battre Pour la survie, la justice ou bien lamitié Chaque décision est un pas de plus dans la détermination de son destin.

Jay a compris qu’il y avait deux âmes en lui, la sienne et celle d’un damné sanguinaire. S’il veut pouvoir utiliser ses pouvoirs, il va lui falloir réussir à la dominer car si l’inverse se produit, c’est lui qui deviendra une abomination, il va donc s’entrainer avec d’autres « égarés » qui sont déjà passer par là. Il apprend également l’existence d’un autre type de possédé : les « convertis » et cela ne va pas lui plaire. Hélas, tous ces événements et son nouveau statut sont difficiles à gérer et il s’éloigne peu à peu de son ancienne vie et de son meilleur ami Kai.

Toujours aussi riche graphiquement, le personnage de Jay gagne en complexité et des questions existentielles l’assaillent, ses expressions de tiraillement intérieur sont palpables. Un peu plus sombre que le premier tome, on découvre certains éléments qui vont apporter des rebondissements à l’histoire et peut-être même des remises en question. L’action est au rendez-vous et l’intrigue suffisamment riche pour donner l’envie d’aller voir plus loin.

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Un soir d'été, alors qu'il erre en pleine campagne, Kaoru Tôno tombe sur un étrange tunnel. Serait-ce le fameux passage d'Urashima, censé exaucer tous les souhaits ? L'adolescent est décidé à percer à jour ce secret pour faire revenir celle qui lui était le plus cher, jonglant entre les enquêtes secrètes et sa vie de timide lycéen... Kaoru est prêt à tout, mais quel sera le prix à payer pour activer les pouvoirs de ce lieu surnaturel ?Découvrez un formidable récit teinté de douceur et de mystères dans cette adaptation du light novel de Mei Hachimoku, détenteur du prix spécial du jury et du grand prix Gagaga au Japon ! 

Petite ville de bord de mer dans un endroit un peu perdu, petite ville où il n’y a pas grand-chose à faire, où les trains sont souvent bloqués pour avoir heurté un daim, petite ville où vit Kaoru Tôno, un lycéen qui semble tout à fait ordinaire mais qui a un grand vide au fond de lui. Kaoru mène sa vie tant mieux que mal, sans s’impliquer dans rien depuis un accident qui a fait éclater sa famille, il s’écrase aussi au lycée en acceptant plus ou moins d’être le larbin de service. Un soir, il découvre un tunnel qu’il ne connaissait pas et se demande si ce n’est pas le fameux tunnel d’Urashima, celui de la légende urbaine qui exaucerait tous les vœux. Mais en voulant l’explorer un drôle d’événement se produit, un événement fantastique que Kaoru est bien décidé à élucider en espérant au passage voir son plus cher vœu se réaliser.

La première chose à laquelle j’ai pensé en voyant la couverture arrière du livre et lu le résumé c’est au film Old, adaptation de la bande dessinée de Château de sable de Lévy et Peeters ; après lecture, il y a certains éléments qui ne sont pas si éloignés, en moins dramatique j’espère… Après, tous ceux qui connaissent le conte de Taro Urashima auront saisi la référence sur la caractéristique de la partie fantastique (je laisse aux autres le soin de le découvrir). On a l’impression au début qu’il y a trop de thématiques (harcèlement scolaire, drame familial, contes & légendes, fantastique, amitié, connaissance de soi…), pourtant l’histoire est fluide et tous ces éléments vont s’imbriquer harmonieusement pour entrer, dans le prochain tome, dans le vif du sujet.

The tunnel to summer est une adaptation du light novel de Mei Hachimoku, un long métrage d’animation est également sorti en septembre 2022 ; la série est finie en 4 tomes. En plus d’une lecture agréable qui s’abstient de tomber dans les clichés et le pathétique et d’un graphisme réussi qui nous plonge dans l’ambiance, l’histoire trouve un bon équilibre entre les différents éléments et donne vraiment envie d’aller voir ce qui se trouve de l’autre côté du tunnel. A lire !

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Yato Tsurumi, professeur d'art, a perdu sa femme il y a deux mois, emportée avec leur maison par une crue... Depuis, le coeur brisé, il passe ses journées à broyer du noir et son aptitude à voir les lieux disparus n'arrange rien. Un jour, il se retrouve en charge de Ima Hayabuchi, une élève submergée par sa capacité à entendre le son des morts depuis qu'elle a perdu son père dans un tremblement de terre.

Yato Tsurumi est professeur d’arts plastiques, il a l’étrange capacité de voir des images du passé, ce qu’il appelle « les vestiges fantômes ». Un jour, il est chargée de s’occuper d’Ima Hayabuchi, une jeune collégienne déscolarisée qui porte tout le temps des écouteurs. Il va découvrir qu’elle aussi a une étrange capacité, elle entendrait « le son des morts ». Yato qui est plutôt désespéré après la disparition de sa femme lors d’une catastrophe naturelle, espère qu’Ima pourra l’aider à la retrouver ou à entendre ses dernières paroles.

Sous ses allures d’histoire fantastique, ce one shot aborde la thématique du deuil, l’absence et la disparition. Les deux personnages ayant des capacités paranormales ont tous les deux perdu un être cher et n’arrivent pas à surmonter leur absence. Leurs pouvoirs les lient avec des éléments du passé, les empêchant de vivre normalement et les isolant un peu du monde réel. Ces pouvoirs sont donc une métaphore des sentiments douloureux liés au deuil : vouloir retrouver l’être disparu, l’entendre et le voir, vouloir revenir dans ces jours heureux. Le désespoir et la tristesse sont palpables à chaque page, on s’attend à chaque instant à ce que tout bascule jusqu’à la fin où un autre élément viendra clôturer l’histoire d’une belle façon. Un livre intrigant qui saura vous émouvoir.

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Luo a enfin revu soeur mais il na encore ni largent ni la force nécessaires pour la libérer. Pour accroître sa fortune, il va participer à sa première vente aux enchères. Sensuit un entraînement mortel où seuls les plus forts et intelligents pourront survivre.

Luo Zheng a réussi à mettre la main sur un cristal de manticore adulte, il peut ainsi acheter des compétences de forge pour améliorer son niveau. Car plus il sera fort, plus il pourra vaincre des monstres et/ou démon et ainsi gagner de l’argent pour libérer sa sœur. Seulement l’entrainement en montagne auquel il va participer ne se déroule pas forcément comme prévu, les élèves sont attaqués par des généraux démons et Luo Zheng se retrouve en mauvaise posture.

Si vous pensiez que le monde du murim est sans pitié, c’est que vous n’avez pas encore lu de manhua de wuxia. Car ici, il n’y a pas vraiment de notion de justice, c’est œil pour œil, dent pour dent mais à l’extrême ! Peu importe que quelqu’un essaye de vous assassiner et pour quelle raison, si vous en sortez vivant vous allez avoir tout le reste de la famille de l’assassin qui va débarquer pour vous éliminer. Autant dire qu’il n’y a pas de fin aux querelles entre les différentes familles et qu’il vaut mieux avoir une famille très nombreuse ! Donc, mieux vaut être le plus fort possible pour espérer avoir un semblant de paix ; ça tombe bien car c’est l’objectif de notre héros ! Et plus vous êtes fort, plus vous êtes admirés ! Finalement Apotheosis nous montre un aperçu assez juste des histoires de wuxia surtout au niveau des mentalités, rivalités et recherche de l’art martial ultime.

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Baston et gastronomie en plein désert ! Paré de son tablier de cuisine, Gordon sillonne le désert au volant de son food truck. Mais, faute de client, il finit souvent par manger ses propres sandwichs... Sur la route d'une oasis, il manque de peu d'écraser le sac de couchage posé en plein milieu du chemin où dort... une adolescente ! Réveillée par l'odeur de nourriture, elle dévore tout ce qu'elle trouve. Sa faim est sans limites ! Le chef est plutôt content d'avoir enfin quelqu'un pour apprécier ses plats. Le lendemain, il est interpellé par l'armée, à la recherche d'une certaine Alisa, qui n'est autre que la jeune goinfre... Gordon tente de la dissimuler, mais ses efforts sont inutiles : elle se lance d'elle-même à l'attaque de ses poursuivants avec une dextérité extraordinaire ! Son protecteur n'est pas en reste. En pleine course-poursuite, il dévoile les options de son restaurant ambulant : un moteur à nitroglycérine et un canon géant intégré ! Loin d'être un simple cuistot, Gordon est lui aussi un hors-la-loi en fuite... 

Gordon a enfin réalisé son rêve : tenir un food truck ! Tous les jours il part à la recherche d’aliments et tous les jours il prépare des mets pour ces clients. Sauf qu’il n’a pas de client ou vraiment très rarement et qu’il est itinérant au beau milieu du désert !! Un jour, il évite de justesse un sac de couchage au beau milieu de la route, sac dans lequel dort tranquillement Alisa, une jeune fille de 17 ans très peu vêtue.

Alisa est poursuivie par l’armée et mange comme 4 ou même plus. Gordon a aussi ses secrets et son food truck recèle bien des surprises ! Tous les deux décident de voyager ensemble. C’est parti pour une aventure mouvementée entre cuisine et course-poursuite !

La plus grande question du manga c’est qui est Alisa ? Pourquoi est-elle poursuivie par l’armée ? Et surtout comment fait-elle pour manger autant ? L’histoire se déroule dans une époque post-réchauffement climatique où les océans se sont transformés en désert et où les animaux marins se sont adaptés pour vivre dans le sable. Dans ce monde où semble prévaloir la loi du plus fort ; Gordon et Alisa sont deux rebelles, libres comme l’air qui vivent sans contrainte au gré de leurs envies. Venez prendre une bouffée de liberté dans cette courte série finie en 3 tomes !

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Une aventure romantique et dangereuse au cœur d'un jeu vidéo aux règles peu ordinaires. Le soir du festival, Pénélope est bien décidée à sauver son nouveau prétendant, Eckles, persuadée qu'il l'aidera à finir le jeu. Il s'avère que c'est un homme plus dangereux qu'elle ne le pensait. Elle cherche alors un plan de secours auprès du mystérieux magicien Winter Vervandi. Pénélope arrivera-t-elle à en faire son allié ?

Pénélope continue de chercher la meilleure solution pour survivre, pour cela il faut absolument qu’elle augmente son pourcentage d’affinité avec les personnages masculins du jeu. Comme elle semble avoir du mal avec ses « frères » et qu’il est hors de question de s’approcher du prince héritier, elle se tourne vers les derniers : Eckles un noble d’un pays vaincu devenu esclave et un magicien mystérieux.

Je vais commencer par le point négatif de l’histoire, qui n’est pas vraiment important et qui tient plus de mes gouts personnels : l’aspect jeu de l’histoire. Pénélope se retrouve dans un jeu de drague, dans le mode difficile qu’elle n’a jamais réussi. On a encore dans la construction du récit, l’interface jeu qui apparaît de temps en temps, si cela n’est pas gênant (il y a plein d’histoire avec des fenêtres système), cela a deux conséquences. La première, c’est que cela provoque la mise en place d’événements spécifiques au jeu, la seconde c’est que Pénélope peut se déplacer instantanément à l’endroit où se déroule l’évènement. On reste sur un déroulé où l’aspect jeu est encore bien présent, le personnage principal n’est donc pas complétement autonome dans ses choix et déplacements. Je préfère personnellement, une situation où « l’incarné » peut agir librement sur la situation.

Ce point reste un détail peu important car l’histoire reste intéressante et elle est bien menée. On voit quand même que Pénélope utilise les connaissances de sa vie précédente pour avancer et se sortir de cette situation. Il y a des fois où le côté isekai est purement décoratif, ici, ce n’est pas le cas. En plus, et ça il faut bien le souligner, Seule la mort attend la vilaine a un graphisme magnifique et on ne se lasse pas de la regarder. On reste dans ce second tome, encore en grande partie sur la mise en place des personnages et sur la découverte de leurs liens. On attend impatiemment une augmentation du rythme et des actions ce qui n’empêche pas qu’on ira lire la suite avec un grand plaisir.

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Chihiro, un lycéen créateur de mode en herbe et légèrement introverti a un vrai coup de foudre pour Michi, une de ses camarades de classe. La jeune femme, peu sûre d'elle, prend peu à peu confiance en elle au contact de Chihiro qui n'a de cesse de la complimenter. Un jour, le jeune homme demande à Michi de devenir sa muse. Pourra-t-elle supporter les attentions d'un artiste tel que lui ?

Michi est une lycéenne tout ce qu’il y a de plus banale, mignonne mais sans plus, agréable et gentille avec ses camarades mais qui ne se démarque pas non plus. Un jour, en passant par un parc, elle tombe sur deux hommes en train de se disputer, l’un d’eux la remarque et lui demande de devenir sa muse. Elle découvre que le jeune homme, Chihiro, est également lycéen dans son lycée et qu’il veut se lancer dans le stylisme.

Sois ma muse est un pur shojo, une rencontre, un soi-disant coup de foudre mais qui n’en ai pas vraiment un, une attirance qui se développe rapidement et une complicité qui met vraiment peu de temps à arriver. Leu relation est quand même moins rapide que dans Coffee & Vanilla, mais cela va quand même assez vite. Que ce soit du côté romance ou du côté stylisme, la trame de l’histoire ne semble pas pouvoir nous apporter beaucoup d’originalité. Il n’en demeure pas moins que l’histoire est mignonne et agréable, très fleurs bleues, un chouia gnangnan (romantique et naïf), un bon shojo.

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Kappeita Taira, surnommé Capeta, est un petit garçon orphelin de mère. Souvent livré à lui-même, il s'applique à ne rien montrer de sa solitude à son père, très pris par son travail. Pour tromper son ennui, il aime admirer les belles voitures et s'imaginer les piloter... Jusqu'au jour où son père tombe sur une opportunité de concrétiser ses rêves.

Capeta est un manga sur le kart, si je l’avais su avant de commencer j’aurais peut-être freiner des pieds car ce n’est pas forcément un sujet qui m’intéresse. Mais bon, comme je n’aime pas vraiment lire les résumés, certains racontant toute l’histoire, je me suis lancé dans la lecture à l’aveugle ! Et j’ai enchainé les deux tomes sans m’arrêter !!

Ce n’est pas tant les évènements qui se déroulent dans le manga qui m’ont attirés mais la passion du jeune Capeta. Tout comme dans Ao Ashi, on a des personnages qui sont mus par une passion dévorante et qui sont prêts à faire tous les efforts possibles pour y arriver. Et c’est ça qui est beau ! En plus leurs émotions, leurs réflexions pour s’améliorer et se dépasser, tout est parfaitement retranscrit dans le récit.

Le jeune Capeta est un enfant solitaire, élevé par son père qui n’ayant pas beaucoup de moyen travaille beaucoup. Capeta prend beaucoup sur lui mais un jour son père découvre une course de karts, récupère des pièces destinées à la déchetterie et bricole tant bien que mal un kart. Quand Capeta le découvre, tout ce qu’il a retenu au fond de lui explose, ses yeux se mettent à briller et il se lance dans la course à fond, réfléchissant à chaque moment à ce qu’il peut faire pour s’améliorer. Il va montrer qu’il est un excellent pilote en devenir et se faire remarquer.

La motivation de Capeta entraine vraiment le lecteur avec lui, on suit ses efforts et on veut voir jusqu’où il va aller. J’ai cependant un petit bémol concernant le graphisme, il y a des problèmes de proportions un peu gênants sur l’anatomie des personnages mais cela reste un très bon manga de sport sympathique et divertissant.

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