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  1. Nickad

    High Key x Low Key

    Titre de l'album : High Key x Low Key Scenariste de l'album : HAIDA Nanako Dessinateur de l'album : HAIDA Nanako Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Captivé par les photos du mystérieux et peu médiatisé Kei, modèle du photographe appelé Mel, Mao se rend souvent aux expositions photos dans le but de voir son idole. Alors qu''il était en train d''admirer un tableau, le photographe Mel en personne lui propose de devenir son modèle. Envoûté par le regard pénétrant de Mel, son visage de mannequin et sa voix posée, Mao se retrouve dans son lit sans même s''en apercevoir. Critique : Au cours d’une exposition, Mao découvre un jour les photos de Mel et son mannequin fétiche Kei. S’il est d’abord envouté par Kei, il finit peu à peu par apprécier tout autant le photographe. Il parcourt alors les différentes expositions de l’auteur, seul endroit où il peut voir ses œuvres. C’est là qu’il finit par rencontrer Mel qui lui propose de devenir mannequin. Avant toute chose, ce yaoi est pour public averti et contient des scènes plus qu’érotiques. Le graphisme très fin avec des personnages élancés et résolument fait pour plaire au lectorat féminin et n’est pas sans rappelé celui de Setona Mizushiro (le jeu du chat et de la souris). Les trois personnages principaux sont tous avides de présence, d’une âme sœur qui comblerait le vide en leur cœur. Ils s’approchent, se jalousent, se cherchent et finissent par trouver un équilibre tant sur le point sentimental que sur le point physique. C’est un manga sensuel et élégant et aussi très osé. Le seul bémol en ce qui me concerne c’est l’apparence un peu trop androgyne de Mao mais sinon, c’est une lecture agréable et une belle leçon d’amour sans préjugé et sans limite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/high-key-low-key/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    High Key x Low Key

    Au cours d’une exposition, Mao découvre un jour les photos de Mel et son mannequin fétiche Kei. S’il est d’abord envouté par Kei, il finit peu à peu par apprécier tout autant le photographe. Il parcourt alors les différentes expositions de l’auteur, seul endroit où il peut voir ses œuvres. C’est là qu’il finit par rencontrer Mel qui lui propose de devenir mannequin. Avant toute chose, ce yaoi est pour public averti et contient des scènes plus qu’érotiques. Le graphisme très fin avec des personnages élancés et résolument fait pour plaire au lectorat féminin et n’est pas sans rappelé celui de Setona Mizushiro (le jeu du chat et de la souris). Les trois personnages principaux sont tous avides de présence, d’une âme sœur qui comblerait le vide en leur cœur. Ils s’approchent, se jalousent, se cherchent et finissent par trouver un équilibre tant sur le point sentimental que sur le point physique. C’est un manga sensuel et élégant et aussi très osé. Le seul bémol en ce qui me concerne c’est l’apparence un peu trop androgyne de Mao mais sinon, c’est une lecture agréable et une belle leçon d’amour sans préjugé et sans limite.
  3. Titre de l'album : Game of Familia tomes 4 et 5 Scenariste de l'album : YAMAGUCHI Mikoto Dessinateur de l'album : D.P. Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Un nouvel arc commence ! En s'infiltrant dans l'État magique de Laiknel, Sasae va découvrir une puissance technologique allant à l'encontre de la morale humaine... ! L'ordre a enfin été rétabli à Daba, mais le répit de Sasae et sa famille sera de courte durée, car ils apprennent que les Dead Mells ont finalement brisé les derniers remparts de la forteresse nord et ont envahi le royaume. Suspectant que l'État magique de Laiknel pourrait être responsable d'avoir utilisé la force de l'armée des Dead Mells à son avantage, Sasae prétend vouloir inscrire Hinana dans leur école de magie pour infiltrer le pays avec elle et mener son enquête. Dans cette école où enseigne le plus puissant des Sorciers, Ode Seeker, ils vont tenter de percer le mystère entourant une étrange jeune fille et des expériences qui semblent conduites par l'école... Pour le bien de son pays, elle va offrir son corps au démon ! Que l'opération d'infiltration de l'école de magie commence !! Critique : Le machiavélique Sasae a manipulé les différents enfants du roi de Daba afin qu’ils s’entretuent, pendant ce temps, il compte bien trouver le mécanisme qui bloque la magie. Mais il n’est pas le seul à être malin et il se retrouve à affronter le roi ! Tout finit bien pour la familia qui se retrouve à participer aux affaires politiques de Daba. Si les 3 femmes de la familia sont plus là pour le plaisir des yeux que pour l’avancée de l’histoire, Sasae lui est le personnage principal autour duquel tout s’articule. Il est le manipulateur de l’ombre qui s’occupe des sales besognes et qui semble toujours avoir un coup d’avance. Cela rend l’histoire très mature et un poil obscure. Comme il s’agit de survie avant tout et de protéger sa familia, ses décisions sont parfois très dures et son sens moral peut être remis en question. On en apprend plus sur son passé avec son père, qui en passant, était une belle ordure ! Toujours destiné à un lectorat adulte, ce sombre « héros » apporte une vraie nouveauté dans l’isekai, rend les situations plus denses et intenses. Mais attention, les ennemis de Sasae semblent être tout autant intelligents et les stratagèmes se multiplient. C’est bien aussi parfois d’avoir des méchants puissants et des affrontements complexes ! Un manga tout en action et bien rythmé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/game-of-familia-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Game of Familia tomes 4 et 5

    Le machiavélique Sasae a manipulé les différents enfants du roi de Daba afin qu’ils s’entretuent, pendant ce temps, il compte bien trouver le mécanisme qui bloque la magie. Mais il n’est pas le seul à être malin et il se retrouve à affronter le roi ! Tout finit bien pour la familia qui se retrouve à participer aux affaires politiques de Daba. Si les 3 femmes de la familia sont plus là pour le plaisir des yeux que pour l’avancée de l’histoire, Sasae lui est le personnage principal autour duquel tout s’articule. Il est le manipulateur de l’ombre qui s’occupe des sales besognes et qui semble toujours avoir un coup d’avance. Cela rend l’histoire très mature et un poil obscure. Comme il s’agit de survie avant tout et de protéger sa familia, ses décisions sont parfois très dures et son sens moral peut être remis en question. On en apprend plus sur son passé avec son père, qui en passant, était une belle ordure ! Toujours destiné à un lectorat adulte, ce sombre « héros » apporte une vraie nouveauté dans l’isekai, rend les situations plus denses et intenses. Mais attention, les ennemis de Sasae semblent être tout autant intelligents et les stratagèmes se multiplient. C’est bien aussi parfois d’avoir des méchants puissants et des affrontements complexes ! Un manga tout en action et bien rythmé.
  5. Nickad

    GRAY tome 1

    Titre de l'album : GRAY tome 1 Scenariste de l'album : WOOLLEE Dessinateur de l'album : WOOLLEE Coloriste : Editeur de l'album : KOYOHAN Note : Résumé de l'album : Lee Seolwon a toujours rêvé d'être un super-héros, au point qu'il fi nit par se faire fabriquer un véritable costume ! Mais un problème se pose alors, comment devenir un super-héros sans super-vilain ? Une seule solution : en créer un soi-même. Dis-nous, Gray, que se passerait-il si ton secret était dévoilé ? Critique : GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gray-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    GRAY tome 1

    GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes
  7. Nickad

    Goodbye Harlequin

    Titre de l'album : Goodbye Harlequin Scenariste de l'album : KUSABI Keri Dessinateur de l'album : KUSABI Keri Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le mannequin populaire Eichi Shimizu devient l'égérie masculine de la marque à l'avenir prometteur, Gallant Quartz. Mais il se rend très vite compte qu'il a en fait été recommandé par un ancien camarade de classe, Akino Kubo, avec lequel il avait eu un rapport sexuel. Critique : Au lycée Akino Kubo, un élève brillant qui s’ennuie dans la vie car son avenir est tout tracé, rencontre un jour Eichi Shimizu, redoublant à cause de ses absences liées à son métier de mannequin. Il est tout de suite attiré par ce garçon à la beauté froide et peu communicatif. Après une relation courte et osée, Shimizu quitte le lycée. Des années plus tard, Kubo, devenu styliste retrouve Shimizu et décide de faire de lui l’égérie de sa marque. Les deux personnages principaux ont tous les deux des situations familiales compliquées. Si dans le cas de Kubo, ce n’est pas dramatique et crée de la concurrence dans la fratrie, c’est beaucoup plus sérieux pour Shimizu. Le jeune homme a été marqué par des drames et des séparations douloureuses, il ne veut plus s’attacher à personne de peur de souffrir. Il est devenu mannequin dans l’espoir que sa véritable famille le voit. Hélas, si les bases de leurs caractères sont intéressantes, le manga peine à les exploiter. C’est pareil concernant leur relation qui découle d’un arrangement professionnel ou encore des personnages secondaires qui disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Le graphisme est très beau et très sensuel (à réserver à un public averti), les personnages sont élégants, et l’univers de la mode renforce le côté artistique du titre mais le scénario aurait pu être plus profond. On reste en survol la majorité du temps. En conclusion, Goodbye Harlequin est un manga plus agréable à regarder qu’à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodbye-harlequin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Goodbye Harlequin

    Au lycée Akino Kubo, un élève brillant qui s’ennuie dans la vie car son avenir est tout tracé, rencontre un jour Eichi Shimizu, redoublant à cause de ses absences liées à son métier de mannequin. Il est tout de suite attiré par ce garçon à la beauté froide et peu communicatif. Après une relation courte et osée, Shimizu quitte le lycée. Des années plus tard, Kubo, devenu styliste retrouve Shimizu et décide de faire de lui l’égérie de sa marque. Les deux personnages principaux ont tous les deux des situations familiales compliquées. Si dans le cas de Kubo, ce n’est pas dramatique et crée de la concurrence dans la fratrie, c’est beaucoup plus sérieux pour Shimizu. Le jeune homme a été marqué par des drames et des séparations douloureuses, il ne veut plus s’attacher à personne de peur de souffrir. Il est devenu mannequin dans l’espoir que sa véritable famille le voit. Hélas, si les bases de leurs caractères sont intéressantes, le manga peine à les exploiter. C’est pareil concernant leur relation qui découle d’un arrangement professionnel ou encore des personnages secondaires qui disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Le graphisme est très beau et très sensuel (à réserver à un public averti), les personnages sont élégants, et l’univers de la mode renforce le côté artistique du titre mais le scénario aurait pu être plus profond. On reste en survol la majorité du temps. En conclusion, Goodbye Harlequin est un manga plus agréable à regarder qu’à lire.
  9. Titre de l'album : Last mission : PK killer tome 1 Scenariste de l'album : AAA Dessinateur de l'album : HARADA Eri Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nishiki, jeune salary man, accro aux jeux vidéo, fait partie de la classe des marchands dans son RPG en réalité virtuelle. Un jour, les joueurs de sa propre guilde décident de le virer car il ne leur est plus d'aucune utilité. Désabusé, il décide de se lancer dans une dernière quête avant de décrocher. Naît alors en lui une soif de combattre comme il n'en avait jamais connue auparavant ! Critique : Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/last-mission-pk-killer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Last mission : PK killer tome 1

    Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant.
  11. Titre de l'album : Mon fils semble avoir été réincarné dans un autre monde tome 1 Scenariste de l'album : KANEMOTO Dessinateur de l'album : SHIBATA Hikari Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Le quotidien de Dobara, 35 ans, employé de bureau, est chamboulé lorsque débarque dans sa vie Mio Hayama, son ancienne camarade de classe, qu'il n'avait pas revue depuis plus de dix-sept ans. Cette dernière lui apprend que son fils est décédé dans un tragique accident de voiture, mais elle reste convaincue qu'il continue de vivre quelque part, dans un des mondes fantastiques qu'il aimait tant. Elle compte sur les connaissances d'otaku de Dobara pour l'aider à le retrouver. Critique : Avant toute chose, ne vous fiez pas au titre, ne partez pas en courant en pensant qu’il s’agit encore d’un isekai, ce serait franchement dommage. Car il ne s’agit pas d’un isekai même si cela aborde le sujet. Mio Hayama est une jeune mère dont le fils de 17 ans est mort dans un accident de la circulation. En voulant en savoir plus sur son fils, elle découvre que celui-ci était féru de light novel et lisait beaucoup d’isekai. Elle commence à lire ses livres et peu à peu elle pense que son fils n’est pas mort et qu’il s’est réincarné dans un autre monde. Elle contacte alors Dobara, un ancien camarade de lycée qu’elle n’a pas revu depuis des années, le seul dans son entourage qui s’intéressait aux mangas. Elle lui demande alors de l’aider à trouver un moyen de se rendre dans un autre monde afin de revoir son fils. C’est un sujet extrêmement difficile et douloureux qui est abordé : le deuil de son enfant. Mio est une femme qui s’est persuadé que son fils s’est réincarné, que ce soit vrai ou pas, on sent que la perte est tellement forte qu’elle cherche absolument de l’espoir. Inconsciemment, elle refuse le décès. Dobara n’était qu’un élève dans la même classe, il n’était pas proche de Mio et si lui, avait déjà rêvé d’aller dans un autre monde, il sait que cela reste de la fiction. Pourtant il va aider Mio dans ses recherches, il se doute qu’elle est dans le déni et peut-être même dans la folie, il sait qu’elle aurait besoin d’une aide médicale mais ne peut rester les bras croisés devant sa détresse. Toute la force de l’histoire réside dans les silences, Mio se comporte normalement, elle ne montre pas ses sentiments profonds car elle est persuadée que son fils est vivant ailleurs, il y a même une certaine légèreté dans la narration. Pourtant on ressent constamment le drame qui est derrière. Peut-être parce qu’en tant que parent, on a tous un jour pensé à ce qui se passerait si on perdait un enfant, comment on réagirait… On sait que l’on ne se remet jamais. Alors merci à l’autrice d’avoir écrit cette histoire, d’avoir pensé aux parents qui restent derrière et même si l’origine du scénario était d’imaginer les parents des jeunes qui se retrouvent réincarnés ou invoqués dans un autre monde, l’absence reste la même. Destiné à un public mature pour tout ce qui se trouve entre les lignes, le manga aborde le deuil de façon différente et sous des allures fantaisistes sait nous émouvoir. Extrait Série finie en 5 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-fils-semble-avoir-ete-reincarne-dans-un-autre-monde-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Avant toute chose, ne vous fiez pas au titre, ne partez pas en courant en pensant qu’il s’agit encore d’un isekai, ce serait franchement dommage. Car il ne s’agit pas d’un isekai même si cela aborde le sujet. Mio Hayama est une jeune mère dont le fils de 17 ans est mort dans un accident de la circulation. En voulant en savoir plus sur son fils, elle découvre que celui-ci était féru de light novel et lisait beaucoup d’isekai. Elle commence à lire ses livres et peu à peu elle pense que son fils n’est pas mort et qu’il s’est réincarné dans un autre monde. Elle contacte alors Dobara, un ancien camarade de lycée qu’elle n’a pas revu depuis des années, le seul dans son entourage qui s’intéressait aux mangas. Elle lui demande alors de l’aider à trouver un moyen de se rendre dans un autre monde afin de revoir son fils. C’est un sujet extrêmement difficile et douloureux qui est abordé : le deuil de son enfant. Mio est une femme qui s’est persuadé que son fils s’est réincarné, que ce soit vrai ou pas, on sent que la perte est tellement forte qu’elle cherche absolument de l’espoir. Inconsciemment, elle refuse le décès. Dobara n’était qu’un élève dans la même classe, il n’était pas proche de Mio et si lui, avait déjà rêvé d’aller dans un autre monde, il sait que cela reste de la fiction. Pourtant il va aider Mio dans ses recherches, il se doute qu’elle est dans le déni et peut-être même dans la folie, il sait qu’elle aurait besoin d’une aide médicale mais ne peut rester les bras croisés devant sa détresse. Toute la force de l’histoire réside dans les silences, Mio se comporte normalement, elle ne montre pas ses sentiments profonds car elle est persuadée que son fils est vivant ailleurs, il y a même une certaine légèreté dans la narration. Pourtant on ressent constamment le drame qui est derrière. Peut-être parce qu’en tant que parent, on a tous un jour pensé à ce qui se passerait si on perdait un enfant, comment on réagirait… On sait que l’on ne se remet jamais. Alors merci à l’autrice d’avoir écrit cette histoire, d’avoir pensé aux parents qui restent derrière et même si l’origine du scénario était d’imaginer les parents des jeunes qui se retrouvent réincarnés ou invoqués dans un autre monde, l’absence reste la même. Destiné à un public mature pour tout ce qui se trouve entre les lignes, le manga aborde le deuil de façon différente et sous des allures fantaisistes sait nous émouvoir. Extrait Série finie en 5 tomes
  13. Titre de l'album : Mecha-mages d'esclave à héros tome 1 Scenariste de l'album : RYOMA Dessinateur de l'album : CAMBRIA Bakuhatsu Taro , KUROI Susumu Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans un autre monde, existent des machines appelées "mecha-mages" que seuls des hommes possédant une énergie particulière, baptisée "rudia", peuvent contrôler. Ses habitants ont l'habitude d'invoquer fréquemment des terriens de manière aléatoire pour faire d'eux les pilotes de ces machines. La raison est simple : les terriens possèdent des niveaux élevés de rudia. Un jour, la classe de Yûta se fait invoquer dans cet autre monde, mais le jeune garçon se retrouve avec un niveau de rudia incroyablement bas. Critique : C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mecha-mages-d-esclave-a-heros-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours
  15. Titre de l'album : Stigmata - les empreintes de la passion tomes 1 et 2 (FIN) Scenariste de l'album : TAKAHASHI Hidebu Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Hidebu Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis qu'il s'est installé chez Kuroiwa, Asako a de plus en plus de mal à contenir ses sentiments. Perturbé par ses rêves et visions, il ne sait plus comment se comporter avec son collègue, surtout que ce dernier fait parfois preuve d'une intimité troublante. Mais tandis que l'enquête sur l'assassinat de Mari piétine, une vieille photo pourrait donner les premiers éléments de réponse... Critique : Asako est un jeune policier qui a un don bien étrange, en allant sur des scènes de crimes, il peut ressentir les derniers instants de la victime. Non seulement il accède à ses pensées, à ses dernières paroles mais les traces des violences apparaissent alors sur son corps. Cela permet aux enquêteurs de trouver des indices sur les événements. Asako fait partie de la 6eme division et il travaille avec l’inspecteur Kurowa. Leurs relations commencent à changer au moment au la victime est l’ex-femme de Kurowa, Asako ne sait plus si ce qu’il ressent vient de lui ou de la défunte. Accèder à la dernière essence d’une victime de meurtre, on l’a déjà vu, mais c’était surtout des informations ou des visions, il n’y avait encore jamais eu l’apparition de stigmates. Ça c’est la première nouveauté, la seconde c’est le partage de sentiments entre la victime et Asako, ce mélange qui lui fait perdre pied sans savoir si ce sont ses propres sentiments ou ceux d’une autre. La trame du récit est innovante et intéressante. Le graphisme est inégal, parfois détaillé, il lui arrive d’être aussi épuré, c’est peut-être volontaire mais c’est plus difficile de s’immerger dans l’histoire. Quant aux sentiments des personnages (attention scènes érotiques), ils auraient pu être plus profonds, on reste dans une certaine incertitude. Globalement le manga nous apporte de la nouveauté mais il laisse un côté inachevé qui ne convainc pas vraiment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stigmata-les-empreintes-de-la-passion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Asako est un jeune policier qui a un don bien étrange, en allant sur des scènes de crimes, il peut ressentir les derniers instants de la victime. Non seulement il accède à ses pensées, à ses dernières paroles mais les traces des violences apparaissent alors sur son corps. Cela permet aux enquêteurs de trouver des indices sur les événements. Asako fait partie de la 6eme division et il travaille avec l’inspecteur Kurowa. Leurs relations commencent à changer au moment au la victime est l’ex-femme de Kurowa, Asako ne sait plus si ce qu’il ressent vient de lui ou de la défunte. Accèder à la dernière essence d’une victime de meurtre, on l’a déjà vu, mais c’était surtout des informations ou des visions, il n’y avait encore jamais eu l’apparition de stigmates. Ça c’est la première nouveauté, la seconde c’est le partage de sentiments entre la victime et Asako, ce mélange qui lui fait perdre pied sans savoir si ce sont ses propres sentiments ou ceux d’une autre. La trame du récit est innovante et intéressante. Le graphisme est inégal, parfois détaillé, il lui arrive d’être aussi épuré, c’est peut-être volontaire mais c’est plus difficile de s’immerger dans l’histoire. Quant aux sentiments des personnages (attention scènes érotiques), ils auraient pu être plus profonds, on reste dans une certaine incertitude. Globalement le manga nous apporte de la nouveauté mais il laisse un côté inachevé qui ne convainc pas vraiment.
  17. Titre de l'album : Hana l'inaccessible tome 5 Scenariste de l'album : MURATA Koji Dessinateur de l'album : MURATA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La super carte maîtresse du fabricant de pâtisseries traditionnelles, Mitsubachi, se nomme Hana Takamine et a vingt-sept ans ! Une belle jeune femme aussi douée qu'une écolière de CM2 pour ce qui est de l'amour !! Sa relation avec Tsuyoshi finit par passer de simples collègues à presque couple, mais suite au retour de Nagi Fudô, la légendaire carte maîtresse de l'entreprise Mitsubachi, Hana est en proie à une grande panique !! De plus, un voyage d'entreprise qui s'annonce très mouvementé, commence !! Critique : Le nouveau personnage arrivé dans le tome 4 : Nagi, l’ancien chef de Hana a un gros problème de communication… enfin qu’avec Hana. Il est amoureux d’elle et perd ses moyens en sa présence, du coup, il parle peu et surtout en anglais. Hana se méprend constamment sur son attitude et interprète à sa façon. Ne se sentant pas à la hauteur (elle pense avoir beaucoup de chemin à faire professionnellement), elle décide de rompre avec Tsuyoshi. Si au début de la série, il y avait une redondance et une niaiserie que je trouvais énervantes, la suite avait fini par être agréable. Sans être un grand manga, l’histoire se lisait bien et le dessin réussi, surtout dans les expressions des personnages, y était pour beaucoup. Mais pourquoi le personnage de Nagi ?? On avait déjà Hana qui n’arrivait pas à s’exprimer, alors pourquoi ajouter un personnage dans le même style ? On sent que l’auteur a voulu ajouter une touche comique avec les quiproquos que cela engendre mais franchement, c’est lourd… Heureusement qu’il y a des personnages secondaires comme Ichigo qui permettent de faire avancer un peu le récit mais cela n’est pas suffisant, il y a un vrai problème d’équilibre entre l‘humour et la romance et je crains qu’on ne passe à côté des deux. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-l-inaccessible-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Hana l'inaccessible tome 5

    Le nouveau personnage arrivé dans le tome 4 : Nagi, l’ancien chef de Hana a un gros problème de communication… enfin qu’avec Hana. Il est amoureux d’elle et perd ses moyens en sa présence, du coup, il parle peu et surtout en anglais. Hana se méprend constamment sur son attitude et interprète à sa façon. Ne se sentant pas à la hauteur (elle pense avoir beaucoup de chemin à faire professionnellement), elle décide de rompre avec Tsuyoshi. Si au début de la série, il y avait une redondance et une niaiserie que je trouvais énervantes, la suite avait fini par être agréable. Sans être un grand manga, l’histoire se lisait bien et le dessin réussi, surtout dans les expressions des personnages, y était pour beaucoup. Mais pourquoi le personnage de Nagi ?? On avait déjà Hana qui n’arrivait pas à s’exprimer, alors pourquoi ajouter un personnage dans le même style ? On sent que l’auteur a voulu ajouter une touche comique avec les quiproquos que cela engendre mais franchement, c’est lourd… Heureusement qu’il y a des personnages secondaires comme Ichigo qui permettent de faire avancer un peu le récit mais cela n’est pas suffisant, il y a un vrai problème d’équilibre entre l‘humour et la romance et je crains qu’on ne passe à côté des deux.
  19. Titre de l'album : Des détectives au poil Scenariste de l'album : NOJI Dessinateur de l'album : NOJI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Rô, un assistant brillant, travaille dans l'agence de détective Sako. Malgré son air menaçant et ses cheveux roses, il est adoré des animaux de compagnie et est la meilleure personne pour les retrouver en cas de disparition. Et surtout, il est fou amoureux de Fumika, son patron. Rô travaille d'arrache-pied pour soutenir Fumi à résoudre ses enquêtes, mais ne perd aucune occasion pour tenter de le faire chavirer... Critique : Un ancien policier devenu détective privé et un jeune assistant qui ressemble à un voyou sans en être un, et qui le don d’attirer les animaux, se retrouvent à enquêter plus souvent sur la disparition d’animaux domestiques que sur des affaires plus sérieuses (d’où le jeu de mot dans le titre « au poil » faisant référence à nos amis les bêtes). Inutile de s’appesantir sur l’histoire car il n’y a pas grand choses à en dire… Tout dans ce manga est moyen, l’histoire d’amour n’est pas développée, l’auteur nous avance des personnages différents mais leur caractère n’est pas exploité. Quant aux animaux… c’est anecdotique… Attention, il n’y a pas non plus d’éléments rédhibitoires et il est tout public (pas de scène de sexe) mais on s’ennuie ferme… Allez lire melty kiss plutôt… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/des-detectives-au-poil?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Des détectives au poil

    Un ancien policier devenu détective privé et un jeune assistant qui ressemble à un voyou sans en être un, et qui le don d’attirer les animaux, se retrouvent à enquêter plus souvent sur la disparition d’animaux domestiques que sur des affaires plus sérieuses (d’où le jeu de mot dans le titre « au poil » faisant référence à nos amis les bêtes). Inutile de s’appesantir sur l’histoire car il n’y a pas grand choses à en dire… Tout dans ce manga est moyen, l’histoire d’amour n’est pas développée, l’auteur nous avance des personnages différents mais leur caractère n’est pas exploité. Quant aux animaux… c’est anecdotique… Attention, il n’y a pas non plus d’éléments rédhibitoires et il est tout public (pas de scène de sexe) mais on s’ennuie ferme… Allez lire melty kiss plutôt…
  21. Titre de l'album : Call of the night tome 4 Scenariste de l'album : KOTOYAMA Dessinateur de l'album : KOTOYAMA Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Impossible de résister à l'appel de la nuit ! La nuit où Kô Yamori, collégien et éternel insomniaque, décide de sortir se promener seul, il fait la rencontre de Nazuna Nanakusa, une jolie vampire. Sa veillée seule avec elle va bouleverser le destin de Kô... Critique : Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/call-of-the-night-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Call of the night tome 4

    Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante…
  23. Titre de l'album : Laisse-moi te détester tome 2 Scenariste de l'album : HIJIKI Dessinateur de l'album : HIJIKI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après être devenu le partenaire de Hazuki, Naoto a donné naissance à un nouvel enfant. Minato. Formant désormais une famille de quatre membres avec Shizuku, les deux hommes filent le parfait amour. Cependant, Naoto est sur le point de faire face à nouveau à son passé traumatisant... Critique : Naoto et Hazuki sont devenus partenaires, ils mènent une petite vie tranquille avec leurs deux enfants. Il y a bien les petits soucis du quotidien et des doutes, notamment Naoto s’inquiète de la relation entre sa fille Shizuku et son nouveau père, mais rien qui ne soit dramatique. Seulement un jour, Naoto croise celui qui l’avait agressé autrefois et qui pourrait bien être le vrai père de Shiziku. Encore une fois, l’histoire dépasse le cadre du omegaverse, car au travers de ce contexte, le manga aborde des thèmes sérieux et importants. La peur que le nouveau conjoint n’accepte pas les enfants issus d’un autre homme, la confiance dans l’autre, la communication, la peur d’être rejeté et surtout l’affrontement d’une victime face à son bourreau. Le graphisme est réussi et met en valeur toute cette palette de sentiments, le scénario est bien mené, on ne voit pas le temps passé. Mais surtout c’est une histoire touchante, avec sa part de tristesse mais qui montre des personnages prêts à tout pour s’accorder un droit au bonheur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/laisse-moi-te-detester-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Laisse-moi te détester tome 2

    Naoto et Hazuki sont devenus partenaires, ils mènent une petite vie tranquille avec leurs deux enfants. Il y a bien les petits soucis du quotidien et des doutes, notamment Naoto s’inquiète de la relation entre sa fille Shizuku et son nouveau père, mais rien qui ne soit dramatique. Seulement un jour, Naoto croise celui qui l’avait agressé autrefois et qui pourrait bien être le vrai père de Shiziku. Encore une fois, l’histoire dépasse le cadre du omegaverse, car au travers de ce contexte, le manga aborde des thèmes sérieux et importants. La peur que le nouveau conjoint n’accepte pas les enfants issus d’un autre homme, la confiance dans l’autre, la communication, la peur d’être rejeté et surtout l’affrontement d’une victime face à son bourreau. Le graphisme est réussi et met en valeur toute cette palette de sentiments, le scénario est bien mené, on ne voit pas le temps passé. Mais surtout c’est une histoire touchante, avec sa part de tristesse mais qui montre des personnages prêts à tout pour s’accorder un droit au bonheur.
  25. Titre de l'album : Hitomoji - stress mortel tome 1 Scenariste de l'album : MASE Motoro Dessinateur de l'album : MASE Motoro Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Le Japon ploie sous une épidémie sans précédent. Une mutation du myxomycète, organisme de la famille des amibes, contamine les humains et, sous l'effet du stress, les transforme en hitomoji. Mais la brigade médicale menée par la téméraire Misaki Tamaru se bat pour aider les victimes à surmonter leurs angoisses... Car chaque minute compte avant que la mutation ne grignote leur humanité et ne fasse de nouvelles victimes ! Critique : Un petit début scientifique pour bien comprendre le manga : certaines personnes sont porteuses d’une bactérie appelée anthropamide, quand celle-ci se réveille à cause d’un stress important, son hôte perd alors sa forme humaine (sauf la tête), devient une sorte de blob et peut finir par mourir si la cause du stress n’est pas résolue le plus rapidement possible. On les appelle alors des hitomojis. L’histoire suit le quotidien de la brigade spéciale en charge des hitomojis, elle doit d’une part protéger le malade et les personnes aux alentours (quand un hitomoji meurt, il répand alors ses miasmes dans l’air), et elle doit surtout trouver rapidement la cause du stress et essayer de le résoudre. Ce 1er tome suit donc deux patients : un homme divorcé pris dans les tumultes du droit de garde et une femme devenue alcoolique suit à l’abandon de son petit ami. S’il y a une part de fantastique sur la transformation de l’homme en hitomoji, c’est surtout la psychologie qui est importante. Ici, l’enquête doit être rapide et ensuite il faut user de diplomatie pour arriver à résoudre les problèmes. Ce qui est bien, c’est que la brigade spéciale ne réussit pas à tous les coups. Finalement, on se rend compte que l’hitomoji n’est qu’une métaphore de notre société, c’est une représentation physique du stress qui nous ronge, de ce « poison quotidien » qu’il convient d’éliminer avant qu’il ne soit trop tard. Une série intéressante finie en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hitomoji-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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