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Nickad

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Messages posté(e)s par Nickad

  1. Lost children est une création ki-oon avec un auteur japonais (comme pour leviathan), il a commencé à être publié en 2018 en France mais n'est arrivé qu'en 2020 au Japon. Pas de fin annoncée pour le moment

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  2. Titre de l'album : Lost children tome 8
    Scenariste de l'album : SUMIYAMA Tomomi
    Dessinateur de l'album : SUMIYAMA Tomomi
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ki-oon
    Note :
    Résumé de l'album :

    Peut-on prendre les armes et échapper au destin tracé à sa naissance ? Les forces révolutionnaires de Dakhna se trouvent confrontées à une drogue mystérieuse qui fait des ravages dans leur zone d'influence... Pas de doute, c'est l'oeuvre du gouvernement ! Les pistes mènent à la région d'Alhuma, où Ran est donc envoyé pour enquêter. Au village, Harui a compris que les kussuf étaient sacrifiés aux dieux après avoir rempli leur rôle... Elle est prête à tout pour que son ami soit épargné, mais Yuri refuse d'être sauvé. Miné par la culpabilité qui le ronge et se mêle aux hallucinations provoquées par les feuilles d'yssa, il s'évanouit en pleine forêt, où c'est Ran qui le découvre ! Le destin va-t-il enfin permettre aux deux hommes de réparer les erreurs du passé ?

    Critique :

    Dans le monde de Lost Children, la société fonctionne sous un système de castes, Les Gathiya sont tout en bas, certains issus de peuple conquis, ils vivent dans la misère et font les tâches ingrates. Ran est un enfant Gathiya, il se lie d’amitié avec Yuri, un enfant d’une classe supérieure qui a perdu un œil et qui est isolé, qui va lui apprendre à lire. La relation des deux amis n’est pas bien vue par le reste de la ville et quand les rebelles débarquent, les deux enfants décident de s’enfuir. Hélas, ils vont être séparés : Ran, apprenant le drame de sa famille va rejoindre le rang des révolutionnaires et Yuri va se retrouver obligé de tenir le rôle de Kussuf, une sorte de prêtre dans un village isolé de la montagne.

    Lost chidren est d’abord un manga d’aventures, une lutte de minorité contre un système politique injuste, une lutte contre un tyran qui ne pense qu’à une épuration ethnique et vois tous les autres comme des déchets. C’est l’histoire de deux enfants d’origine différente, qui vont être amené à subir un destin difficile entre violence t sacrifice. Mais c’est aussi une critique sur le comportement des hommes envers ceux qui sont différents.

    Ce 8eme volume est particulièrement prenant car il voit les retrouvailles de Ran et Yuri mais hélas, le temps a passé et certaines coutumes risquent d’avoir des répercussions néfastes sur leurs avenirs. Si au début de la série, on a un gros retour en arrière sur l’enfance des deux garçons, le rythme de l’histoire est toujours très dynamique, on a toujours une partie sur la vie de Ran, une sur celle de Yuri tout en prenant le temps de s’appesantir sur des personnages secondaires importants à l’histoire.

    C’est un très bon manga avec des graphismes soignés et un scénario qui ne faiblit pas.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-children-tome-8?ref=44

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  3. Titre de l'album : La petite faiseuse de livres - 2eme arc tomes 1 et 2
    Scenariste de l'album : KAZUKI Miya
    Dessinateur de l'album : SUZUKA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ototo
    Note :
    Résumé de l'album :

    a suite des aventures d'Urano Motosu, jeune fille passionnée de lecture, réincarnée dans le corps de Maïn, dans un monde où le papier n'existe pas.

    Critique :

    Saison 2 de la série, 2eme période de la vie de Mai. Cette dernière atteinte par la dévorante, une maladie qui tue ceux qui ont trop de magie en eux et pas les moyens de l’en extirper à l’aide d’objets magiques n’a pas d’autre choix que de rejoindre le temple si elle veut survivre. Les négociations pratiques vont avoir lieu : l’argent qu’elle versera comme tribut, sa résidence, son activité avec son atelier pour fabriquer du papier et ses activités commerciales avec Benno. Le plus difficile pour elle est qu’elle va devoir agir comme une noble et apprendre l’étiquette, elle se voit également attribuer 3 servants, aucun vraiment motivés pour servir une roturière.

    Si La petite faiseuse de livres est un isekai, il n’a rien à voir avec la majorité d’entre eux, même si Mai a de la magie en elle, elle n’a pas de super pouvoirs, ne doit pas vaincre le roi des démons, c’est juste sa vie au quotidien, avec son ambition de fabriquer des livres et d’en faire un objet accessible à tous avec les moyens dont elle dispose du haut de ses 7 ans. Elle se heurte aux difficultés du quotidien, à ses devoirs en tant qu’enfant de famille modeste, aux règles qui régissent la société et aux différents statuts. Devenu apprentie prêtresse, elle est à présent confrontée à un univers qu’elle ne connaît pas du tout et ce qui est acquis dans notre monde n’est pas du tout vu de la même façon dans celui-là.

    C’est vraiment l’un de mes mangas préférés, car il n’y a pas trop de côté isekai (juste quand elle pense à de nouveaux objets ou recettes de cuisine), qu’il y a un juste équilibre entre tranche de vie et aventure et les personnages sont attachants. Un manga à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait, l’adaptation en anime est disponible sur crunchyroll sous le titre "ascendance of a bookworm".

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-faiseuse-de-livres-saison-2-tome-1?ref=44

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  4. je viens de la lire car ta critique m'avait intriguée, je reconnais que le sujet est intéressant et qu'il est abordé sans jugement et ça c'est bien. Par contre je n'aime pas le dessin et ça ne me donne pas envie de la relire non plus...

    • Like 1

  5. Titre de l'album : A Tire-d'Aile
    Scenariste de l'album : HORI Tatsuo
    Dessinateur de l'album : HATOYAMA Ikuko
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Noeve Grafx
    Note :
    Résumé de l'album :

    Au début du XXe siècle, le personnage de Zigomar, criminel masqué créé par Léon Sazie, déchaîne les passions et l'imagination des jeunes garçons. Gigi et Kiki sont de ceux-là, tout comme le reste de leur petite bande. Des gamins ordinaires. Mais Gigi est différent : plus fort, plus beau, plus charismatique, il suscite l'admiration et parfois la peur de Kiki, qui tente de le cerner...

    Critique :

    Adapté d’une nouvelle de Tatsuo HORI, écrivain et poète célèbre au Japon dont l’un de ses titres le vent se lève a inspiré Hayao Miyazaki, le manga est à la fois une réflexion sur les « rêves » des enfants et un hommage au personnage de Zigomar, apparu dans un film français de 1917.

    Quand je parle de « rêve » il s’agit plus particulièrement de cette capacité qu’ont les enfants à incarner leurs héros, à se projeter dans les aventures des films ou des livres, à vivre leurs jeux et leurs univers à fond. Suite au succès du film Zigomar, roi des voleurs, une bande d’enfants se prête au jeu. Mais quand un drame survient dans la vie de Gigi, il se pourrait bien que ce dernier se laisse un peu trop entrainer dans ce monde imaginaire.

    Le livre bénéficie d’un graphisme parfait, l’auteur s’est inspiré des illustrations parisiennes d’époque et de l’ambiance particulière des photographies de Brassai, Atget ou Doisneau, il a également tenu à représenter les costumes du début du XXeme siècle. Le résultat est là, on plonge directement dans l’ambiance ! L’agencement des images et la représentation de certaines scènes donnent l’impression d’être pris dans un tourbillon, un peu comme ces enfants qui sont entre réalité et fiction. Quant à l’histoire, ce one shot se suffit à lui-même. Je vous conseille de prendre le temps de lire la postface de l’auteur, c’est intéressant de voir comment la littérature française a laissé sa trace au pays du soleil levant. Un bien beau livre ma foi.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-tire-d-aile-tome-1?ref=44

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  6. Titre de l'album : Masked sheep tome 1
    Scenariste de l'album : FUNAKI Kyosuke
    Dessinateur de l'album : FUNAKI Kyosuke
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Omaké
    Note :
    Résumé de l'album :

    Si vous parlez, vous êtes mort ! RÉSUMÉ DE L'OEUVRE : L'absence d'un être cher vous rend malade ? Un proche décédé vous manque au point que vous vouliez mourir à votre tour ? Dans ce cas, entrez dans ce bâtiment et descendez au sous-sol. Une personne coiffée d'un étrange masque vous attend et devrait vous aider à trouver une solution à tous vos problèmes. Sa solution ? Chut, quand vous ressortirez, personne ne doit rien savoir...

    Critique :

    Le pitch du manga est assez intriguant pour que je ne fasse pas de résumé, d’ailleurs, j’aurais du mal à le faire sans rien dévoiler, la surprise est plus intéressante ! Le titre du manga signifiant mouton masqué pour ceux qui seraient nuls en anglais, ne vous donnera aucune indication non plus.

    Omaké est devenu l’éditeur principal des mangas sombres, une certaine horreur qui n’est pas forcément toujours gore. Encore une fois, ce qui se passe dans ce sous-sol a de quoi interpeller, peut-être plus psychologiquement que physiquement et franchement, je ne m’y attendais absolument pas !

    L’histoire intrigue, interpelle, nous laisse sur des réflexions. Le graphisme est soigné et l’utilisation des trames accentue le côté glauque de l’endroit. Et une révélation finale que l’on voit arriver mais qui donne envie de poursuivre la lecture. La série est finie en 5 tomes.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/masked-sheep-tome-1?ref=44

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  7. Titre de l'album : Le souffle des légendes tome 1
    Scenariste de l'album : HAZUMI Tsukasa
    Dessinateur de l'album : HAZUMI Tsukasa
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Komikku
    Note :
    Résumé de l'album :

    Lal Viento et son assistante Gilet Kracht sont deux agents du Sanctuaire. Leur mission : parcourir le monde pour compiler les vieux récits et les légendes de chaque région. Seulement, chaque histoire dissimule son lot de vérités et c'est au duo qu'il revient de faire le tri entre légendes et faits historiques.

    Critique :

    J’ai lu ce livre le 11 février mais je n’ai pas écrit la critique dans la foulée, j’aime bien, quand j’ai le temps de procéder de cette façon, ça me permet de voir ce qu’il me reste du manga presque 1 mois plus tard. Pour le coup, je suis un peu embêtée, à la lecture le livre ne m’avait pas déplu mais j’avoue qu’il ne m’en reste pas grand-chose et ça ce n’est jamais bon signe…

    Dans un monde fantastique avec épées et créatures étranges, Lal Viento, chef responsable des archives du Sanctuaire accompagné de son assistante Gilet Kracht parcourent le monde à la recherche de légendes dans le but de démêler les faits de la fiction et d’écrire un nouvel ouvrage historique. Seulement, ils vont être amener à se mêler des problèmes des villes et villages où ils passent et en cherchant les origines des us et coutumes, ils vont aider malgré eux la population. Voici le récit de leurs aventures.

    Bien obligée de le parcourir une seconde fois… je peux vraiment dire que l’histoire est plutôt sympathique, il y a de l’aventure, du fantastique, des combats… Le livre comporte 3 aventures indépendantes, la dernière est assez tragique et montre en plus les vils côtés de la nature humaine. Il semble qu’il y est peut-être une quête ou un objectif particulier à atteindre pour Lal Viento mais peu d’informations là-dessus pour le moment. Hélas, et je pense que c’est la raison de mon oubli, les personnages ne sont pas attachants et il n’y a pas l’étincelle qui donne envie de savoir la suite à tout prix.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-souffle-des-legendes-tome-1?ref=44

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  8. le nombre de pages doit être le même mais pas le prix, là-bas c'est entre 400 et 500 yens soit moins de 4 euros. Bon après c'est normal que ce soit plus cher en France, c'est juste que je trouve que certains titres sont chers par rapport au contenu, par exemple gannibal fait entre 190 et 200 pages et ne coute que 6.95, il y a plein de kana tout fin à 7.50...

    Et puis maintenant avec la crise du papier et des imprimeries, ça va encore augmenter

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  9. À partir du 7 avril prochain, les stars du shonen du catalogue Ki-oon sortent le grand jeu en librairie !
     
    En effet, un badge book vous sera offert pour l’achat d’un tome de My Hero Academia et d’un tome de Jujutsu Kaisen.
    Ce bel objet contiendra 12 badges de 4,5 cm à l’effigie des héros des deux séries du Jump, pendant qu’Izuku Midoriya et Yuji Itadori s’afficheront fièrement en couverture !

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  10. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 3
    Scenariste de l'album : SAKURAI Umi
    Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour.

    Critique :

    Retour du manga sur le quotidien de cet homme et de ce chat qui étaient tous les deux seuls et tristes et qui se sont trouvés.

    Si on fait un petit récapitulatif des mangas sur les chats, nous avons ceux qui racontent leur quotidien du point de vue des chats comme Chi, Plum ou Choubi ; ceux qui racontent la vie avec des chats comme la gameuse et son chat, les livres humoristiques tels que nyankees, desperate housecat, ceux où le chat est présent mais pas vraiment impliqué comme walking cat, ceux où un humain se retrouve dans le corps d’un chat tel que chat malgré moi et j’en oublie beaucoup car c’est un thème apprécié par les japonais (il y a beaucoup moins de mangas avec des chiens…).

    Alors qu’est-ce-qui fait que le chat qui rendait l’homme heureux et inversement se démarque ? C’est clairement les sentiments. Si la partie « pensées du chat » s’appuie sur les comportements connus des félins mais est forcément interprétée, les pensées de l’homme, elles, sont justes. Plus que de montrer des mignonneries, et il faut y arriver avec ce chat pas spécialement kawaii, le manga se penche sur le ressenti des personnages, sur ce qu’apporte la présence d’un animal du point de vue affectif.

    Bien que ponctué de courtes histoires, le manga a quand même une trame générale qui suit l’évolution de Fuyuki Kanda après avoir perdu sa femme et adopté le chat Fukumaru. Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur son passé et son métier. Le manga apporte toujours une dose de tendresse et de chaleur, un pur moment de bien-être.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-et-inversement-tome-3?ref=44

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  11. Titre de l'album : Look back
    Scenariste de l'album : FUJIMOTO Tatsuki
    Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Tatsuki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Kaze
    Note :
    Résumé de l'album :

    Fujino, adolescente surdouée, a une confiance absolue en son talent. Kyômoto, elle, se terre dans sa chambre et pratique sans relâche. Deux jeunes filles d'une même ville de province, qu'une passion fervente pour le dessin va faire se rencontrer, et unir par un lien indéfectible...

    Critique :

    L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher.

    L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent.

    Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/look-back?ref=44

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  12. Titre de l'album : Sans préambule
    Scenariste de l'album : TORIKAI Akane
    Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Akata
    Note :
    Résumé de l'album :

    Elles sont lycéennes, elles fréquentent le même établissement. Chacune d'entre elles, au quotidien, se pose des questions qui lui est propre. Sur son avenir, sur la vie, sur l'amour. Mais aucune, jamais, ne baissera les bras... Car toujours, il faut aller de l'avant. Avec son regard toujours unique, Akane Torikai croque (littéralement) le portrait de jeunes filles bien contemporaines.

    Critique :

    Sans préambule est une œuvre qu’Akane TORIKAI a réalisé entre le siège des exilées et saturn return. Ce qui frappe en premier c’est le rendu graphique, entièrement réalisé au crayon, on a parfois l’impression de n’avoir que des esquisses mais cela apporte au livre une certaine authenticité et rapproche plus l’œuvre du roman graphique que du manga. Le découpage des cases va également dans ce sens avec des images à cheval sur les deux pages et des points de vue jouant sur différents plans.

    Concernant l’histoire, il s’agit de 6 courtes histoires de lycéennes, des réflexions ou des pensées qu’elles ont sur leur avenir, leurs envies ou leur place dans la société. Comme toujours l’auteure met à l’honneur les femmes et elle est soucieuse d’en montrer différents aspects. Toutes ces héroïnes ont ce point commun de faire face à ce qu’elles sont à un moment donné et d’aller de l’avant.

    Je serai peut-être moins emballée que d’autres sur le récit, j’ai trouvé que la réflexion n’était pas toujours pertinente, un peu comme si on prenait une page au hasard d’un livre sans aller plus loin. Pas toujours compréhensible non plus car si les histoires sont indépendantes, certaines semblent se chevaucher par moment, j’ai parfois eu du mal à identifier les personnages et je pense qu’il va me falloir une relecture pour mieux appréhender le contenu.

    Le manga reste une œuvre intéressante, surtout dans sa conception graphique et Akata a pris le soin d’en faire une belle édition avec un format plus grand (A5) et une couverture cartonnée.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sans-preambule?ref=44

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  13. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 7
    Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi
    Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Kana
    Note :
    Résumé de l'album :

    "Gojô et Marine, est-ce que vous sortez ensemble ? ! " Comment Gojô et Marine vont-ils réagir à l'intervention de Nowa ? ! En tout cas, ils n'auront pas trop le temps de gamberger : le festival culturel du lycée approche à grands pas ! Marine trépigne à l'idée de participer au concours de beauté du deuxième jour : ce sera pour elle l'occasion de se cosplayer à l'école ! Sans compter que, cette fois encore, c'est une grande première qui l'attend.

    Critique :

    Quand d’autres élèves demandent à Gojô et Marine s’ils sortent ensemble, ce dernier nie farouchement, plus parce qu’il estime ne pas être à la hauteur de la jeune fille et ne voulant pas lui faire honte que par manque de sentiments. Marine, elle, ignorant le ressenti de son ami, est un peu dépitée par cette réaction. Il est temps que Gojô s’assume enfin, qu’il se montre tel qu’il est devant les autres et affirme ses choix, la fête du lycée va peut-être pouvoir l’aider : il y a un costume à confectionner et tout le monde apprends alors qu’il est doué dans ce domaine.

    Ce tome est donc consacré à Gojô, la façon qu’il a eu de se comporter par rapport aux autres à la fois en se mettant en retrait pour ne déranger personne et aussi en cachant sa passion. On est donc un peu plus sur sa psychologie et les traces que lui ont laissé les remarques blessantes de son enfance. L’histoire va donc enfin pouvoir avancer, tant que lui était bloqué, leur relation l’était aussi ! Un manga toujours agréable à lire, plus ou moins dosé en cosplay selon les tomes (pas trop dans celui-là). Si vous voulez vous en faire une idée, vous pouvez aller voir l’anime sur crunchyroll (titre : my dress-up darling)

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-7?ref=44

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  14. @Kevin Niveksais-tu que le Japon est le pays au monde où il y a le moins de crimes par armes à feu car s'en procurer est un vrai parcours du combattant, en 2014 il n'y a eu que 6 victimes mortes suite à un tir. Pour tout te dire, jusqu'à la fin de la seconde mondiale, les policiers n'avaient pas d'arme, ils utilisaient les arts martiaux. Ceci explique peut-être cela...

    • Like 1

  15. Titre de l'album : Failure frame tomes 1 et 2
    Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru
    Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Meian
    Note :
    Résumé de l'album :

    VENGEANCE DANS UN AUTRE MONDE. Tôka Mimori, lycéen aussi discret qu'un PNJ appartenant au décor, a été invoqué dans un autre monde avec ses camarades de classe afin que tous deviennent des héros. Mais tandis qu'autour de lui se succèdent les attributions de rangs S ou A, lui se voit qualifié de rang E, autrement dit bon à jeter, et se retrouve expédié au fin fond de ruines dont personne n'est jamais ressorti vivant. C'est alors qu'il découvre que ses compétences d'altération d'état, à première vue inutiles, lui permettent en fait de terrasser de puissants monstres !Je vais me rebeller contre ce monde... Avec ces capacités dont ils se sont tant moqués ! Ainsi débute le récit de vengeance de ce héros rejeté de tous aux pouvoirs hors normes, en passe de devenir un démon.En terrassant des monstres, un adolescent se métamorphose peu à peu en démon.

    Critique :

    Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti.

    On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ?

    Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-1?ref=44

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  16. Titre de l'album : Whispering you a love song tome 1
    Scenariste de l'album : TAKESHIMA Eku
    Dessinateur de l'album : TAKESHIMA Eku
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Taifu
    Note :
    Résumé de l'album :

    Où se trouve la frontière entre le coup de coeur et le coup de foudre ? Pendant la cérémonie de rentrée au lycée, Himari est profondément touchée par le chant de la vocaliste du groupe jouant sur scène, une belle et grande fille répondant au nom de Yori. Incapable de retenir son enthousiasme, elle va à sa rencontre pour lui partager ce sentiment, en tant que fan. Mais ce qu'elle ne réalise pas tout de suite, c'est que cette dernière a eu le coup de foudre pour elle de façon bien plus romantique ! Que fera Himari quand elle se rendra compte que les sentiments qu'elle éprouve pour Yori ne sont peut-être pas au niveau de ceux que cette dernière ressent pour elle ?

    Critique :

    Pour fêter la rentrée des classes, le lycée organise une fête en fin de journée, c’est là que Kino Himari assiste à son 1er concert, en entendant la chanteuse elle a le coup de foudre et la rencontrant plus tard, elle se permet de l’aborder et de lui dire. Seulement voilà, Kino a eu le coup de foudre pour la musique de Yori et celle-ci croyant que c’est un coup de foudre amoureux s’emballe rapidement.

    Kino est un personnage très spontané qui dit tout ce qu’elle a sur le cœur sans aucune arrière-pensée, Yori est une jeune fille plus réservée, qui se retrouve à devoir gérer des sentiments amoureux tout en sachant que ce n’est pas réciproque. Comme c’est la 1ere fois pur elle qu’elle tombe amoureuse, elle ne peut s’empêcher d’espérer dès que Kino lui fait un compliment. Le manga est très enjoué de par le personnage de Kino, cela apporte de la légèreté et de la fraicheur. Et quand Yori se pose des questions, c’est tellement naïf et mignon que c’en est touchant. Un manga plein de bons sentiments à savourer.

    5 tomes en cours

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/whispering-you-a-love-song-tome-1?ref=44

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  17. Titre de l'album : Alpi the soul sender tome 6
    Scenariste de l'album : RONA
    Dessinateur de l'album : RONA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ki-oon
    Note :
    Résumé de l'album :

    Une fable écologique au coeur d'un monde fantastique ! Après une longue recherche, Alpi et les autres soul senders ont enfin localisé le corps du grand serpent ! Ils érigent une immense barrière autour afin d'accomplir le rite, mais le lendemain matin ils découvrent avec horreur que tout a été détruit. En effet, quelqu'un semble vouloir éviter à tout prix que la divinité ne trouve le repos... Tandis que le groupe tente de trouver une solution, il est attaqué par plusieurs esprits à l'apparence humaine et un combat s'engage entre Dia et Pelenai ! Alpi découvre alors le lourd secret de celui qui l'accompagne depuis si longtemps...

    Critique :

    Dans l’univers de ce manga, les humains vivent sous la protection d’esprits divins qui leurs prodiguent leurs protections et les bienfaits de la nature. Quand un esprit vient à mourir, de son corps se dégagent des miasmes toxiques comme si une malédiction s’abattait sur terre. C’est à ce moment qu’interviennent les soul senders, des êtres qui par leurs prières peuvent pratiquer une cérémonie pour apaiser l’âme de l’esprit divin, l’envoyer dans l’au-delà et mettre fin aux miasmes. Alpi est une jeune soul sender partie à l’aventure avec son serviteur Pelenai à la recherche de ses parents disparus, eux-aussi soul senders.

    C’est la première fois qu’Alpi collabore avec d’autres soul senders pour apaiser l’esprit du grand serpent, seulement l’équipe se heurte à des esprits qui pensent que les humains doivent à un moment payer pour les bienfaits qu’ils demandent. C’est dans ce contexte tendu qu’Alpi découvre que Pelenai est en réalité un esprit gardien, venu eu monde pour la protéger. Il va alors lui raconter son passé.

    Alpi the soul sender est un manga d’aventure dans un contexte fantastique. Au travers de ce périple, elle apprend à connaitre la différence, découvre les différents rapports que l‘homme entretient avec la nature. Mais sans aller jusqu’à une analyse pointue, le manga peut juste être apprécié au 1er degré (côté aventure). Le graphisme est vraiment très soigné, que ce soit dans les décors, les tenues ou même les traits des personnages. C’est un manga agréable et dépaysant.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpi-the-soul-sender-tome-6?ref=44

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  18. Titre de l'album : Afterimage slow motion
    Scenariste de l'album : JYANOME
    Dessinateur de l'album : JYANOME
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Hana
    Note :
    Résumé de l'album :

    Jin Kikuchihara, en classe de terminale, est le président du club de cinéma de son lycée. Extérieurement, il a tout de l'homme idéal, mais en réalité, il a de nombreux défauts. Giichi Ichikawa, en première, est également dans le même club. Lui et Kikuchihara s'entendent comme chien et chat , Kikuchihara, de son côté, le considère comme son rival.Mais ce qu'Ichikawa ignore, c'est qu'ils se sont déjà rencontrés par le passé... Et voilà que par hasard, ils se retrouvent à partager la même chambre à l'internat ?

    Critique :

    Ce manga est un spin-off de twilight outfocus, il met en scène une histoire entre les deux meneurs du club de cinéma. Kikuchihara est le président du club, comme il est en terminale c’est sa dernière année et son dernier film avant de quitter le lycée. Ichikawa est le metteur en scène des premières, il estime que son ainé ne fait que des films nuls et ne rate pas une occasion de lui dire.

    Les deux personnages sont comme chien et chat mais cachent peut-être leurs vrais sentiments. Le manga est dynamique, rythmé par leurs disputes. Il y a de l’humour mais également des réflexions plus poussées sur l’organisation d’une équipe de cinéma, le rôle du metteur en scène…

    Un titre fort sympathique, limite mieux que la série d’origine car il a une petite touche de folie rafraichissante agréable et distrayante.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/afterimage-slow-motion?ref=44

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  19. Titre de l'album : Si nous étions adultes... tome 2
    Scenariste de l'album : SHIMURA Takako
    Dessinateur de l'album : SHIMURA Takako
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Akata
    Note :
    Résumé de l'album :

    Depuis le barbecue au parc, il y a comme de l'orage dans l'air entre Ayano et Wataru, son conjoint. C'est dans ce contexte déjà très tendu que débarque à l'improviste la mère de ce dernier. Réalisant le malaise qui s'est installé au sein du couple de son fils, elle cherche à comprendre ce qu'il s'est passé. Mais ses indiscrétions pourraient avoir de lourdes conséquences...

    Critique :

    Ayano a juste échangé un baiser mais pour elle, c’est comme si elle avait trompé son mari, elle pense qu’il vaut mieux divorcer. C’est à ce moment qu’arrive sa belle-mère qui leur propose de venir habiter avec elle suite à l’hospitalisation de son mari, Ayano hésite vu la situation. Mais après avoir expliqué la situation à sa belle-mère, cette dernière ne voit pas cela comme une raison de rupture, et son mari ne veut pas non plus divorcer. Contrainte de déménager, elle voit cela comme une bonne raison d’oublier Akari.

    Sans s’appesantir sur le côté dramatique, l’auteure montre avec simplicité les failles du cœur, la difficulté de mettre des mots sur ce que l’on ressent, la difficulté de prendre des décisions et l’influence des comportements sociétaux sur elles. Il y a le trouble dans lequel se trouve Ayano et il y a ce que son environnement lui dit de faire, sans doute plus pour les apparences que pour son bien-être. Le graphisme n’est pas toujours très détaillé surtout dans les visages, mais l’expression des sentiments passe bien. Une simplicité qui va à l’essentiel et qui fait mouche.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/si-nous-etions-adultes-tome-2?ref=44

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  20. Titre de l'album : In these words' stories & Father Figure
    Scenariste de l'album : Guilt Pleasure
    Dessinateur de l'album : Guilt Pleasure
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Taifu
    Note :
    Résumé de l'album :

    Retrouvez dans In These Words'Stories + Father Figure trois préquelles de In These Words avec en bonus le roman Father Figure ! Découvrez le passé du docteur Asano Katsuya de In These Words au travers de la série de trois préquelles : Katsuya vient d´être employé par l'État de New York et y rencontre le détective David Krause à Manhattan. Succombera-t-il aux charmes du détective ? Father Figure : Uriel Blackstone, un jeune veuf, vivait une existence simple et tranquille jusqu'à ce qu´il tombe sur un inconnu dans son immeuble. Ce dernier s'introduit alors dans sa vie avec une étrange familiarité. Uriel l'ignore encore, mais une partie de son passé qu´il a oubliée est en train de le rattraper.

    Critique :

    Le livre est composé de 3 chapitres inédits sur la vie des personnages du manga In these words et d’une nouvelle écrite par les mêmes auteures.

    Tout d’abord, la partie manga n’aura vraiment un intérêt que pour ceux qui connaissent In These words, il s’agit d’un thriller psychologique yaoi : Katsuya Asano est un jeune profiler qui enquête sur un tueur en série. Il lui arrive de faire des cauchemars où un homme lui inflige des sévices, mais en réalité, il se pourrait bien que ces rêves n’en soient pas. Le manga est très complexe, d’une part parce qu’on ne sait jamais dans quel ordre les événements se sont déroulés, que l’on navigue entre rêve et réalité et que graphiquement les personnages sont parfois très proches (volontairement d’ailleurs pour perturber encore plus le lecteur). C’est un manga très intéressant qui demande vraiment plusieurs lectures et même comme ça, il est difficile à comprendre car les auteures aiment semer le doute. C’est un manga angoissant et violent mais qui reste en mémoire. Les 3 chapitres ici sont des aspects de la vie de Katsuya et David et n’ont pas d’influence sur l’histoire principale si ce n’est de mieux comprendre la relation entre les deux hommes.

    Le roman illustré Father Figure parle d’un jeune policier qui élabore tout un plan pour entrer en contact avec l’un de ses voisins et faire partie de sa vie. Sauf que son envie tourne à l’obsession et il développe une forme d’amour non conventionnel. Il est étonnant de voir qu’il y a une vraie différence entre lire un manga yaoi et un roman yaoi, cela vient sans doute de la description des scènes osées, certes le graphisme est parfois très explicite mais le roman apporte une profondeur supplémentaire dans les intentions et les sentiments. Il est très bien écrit et les illustrations sont très belles. C’est cru, violent même et à réserver à un public Adulte Averti.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-these-words-stories-father-figure?ref=44

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