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Nickad

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Messages posté(e)s par Nickad


  1. Titre de l'album : The vampire & the rose tome 1
    Scenariste de l'album : ASAKA Noriko
    Dessinateur de l'album : ASAKA Noriko
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Chiyu est une lycéenne qui croit au grand amour. Dans sa classe, Yomiya fait tourner toutes les têtes. Il est séduisant, intelligent, sportif et... c'est un vampire ! Malgré tout, elle lui propose son sang lorsqu'un beau jour, elle le trouve en train de faire un malaise. Il découvre alors son goût délicieux et n'a pas l'intention de renoncer à d'autres rations...

    Critique :

    Les vampires vivent au grand jour, on dit qu’il y en a au moins un par ville. Chiyu, lycéenne ne comprend pas cette obsession pour les vampires, ils sont peut-être plus beaux et doués en tout, elle ne supporte pas le fait qu’ils batifolent avec toutes les femmes. Mais dans sa ville, le vampire c’est Yomiya, et il est dans sa classe ! Ces deux-là, vont peu à peu se rapprocher.

    The vampire &the rose est un shojo classique et même si l’histoire est sans surprise, il est plutôt bien fait. Les situations sont romantiques, le vampire est séduisant et le graphisme très bien réalisé. Les personnages ont des visages arrondis typique des shojo, les décors et tenues vestimentaires sont travaillés et détaillés.

    Pour ceux qui ne sont pas blasés des shojo, il remplit bien sa mission et il est agréable à l’œil.

    the vampir p1.jpg

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-vampire-and-the-rose-tome-1?ref=44

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  2. Titre de l'album : Danmachi épisode Ryû tome 3
    Scenariste de l'album : OMORI Fujino
    Dessinateur de l'album : MOMOYAMA Hinase
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ototo
    Note :
    Résumé de l'album :

    Au cœur de la ville d'Orario se trouve un gigantesque labyrinthe souterrain, profond dune centaine d'étages, peuplé dune réserve de monstres sans cesse renouvelée, et dont personne na jamais vu le fond. En cette ville cohabitent humains et dieux, les premiers en quête de gloire et de richesse, les derniers descendant de leurs trônes

    Critique :

    Démasquée, Ruy n’a pas d’autres solutions que de se battre contre les gardes du corps du directeur du casino. Syl encourage les filles à se rebeller pour lui prêtre main forte.

    Ce tome voit la fin de la première partie du manga (ce spin-off est fini en 6 tomes), les combats sont fluides et Ryu, habillée en homme, fait preuve de compétences hors pair tout en étant très classe. Au cours du tome, on glane quelques informations sur son passé (sa réputation, ses combats légendaires) et sur d’autres membres de l’auberge la fertile maitresse. Ce passé sera donc raconté dans les 3 tomes restant, bien qu’on s’en doutait un peu, les filles de l’auberge sont loin d’être banales.

    Ce manga est donc un bon divertissement, on a plaisir à retrouver l’univers de Danmachi et à croiser de temps en temps, les autres personnages.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dan-machi-familia-chronicle-episode-ryu-tome-3?ref=44

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  3. ok, enfin lu les 2 premiers tomes...

    bon pour du manga de combat c'est plutôt du bon manga de combat MAIS ce n'est pas pour moi, encore si les combattants avaient une bonne raison de combattre mais non, ils veulent juste montrer qu'ils sont les plus forts et en plus ils le font au profit de lobbys qui n'ont pas de morale !


  4. Titre de l'album : Blitz tomes 3 et 4
    Scenariste de l'album : BISCAY Cédric
    Dessinateur de l'album : NISHIHARA Daitaro
    Coloriste :
    Editeur de l'album : IWA Editions
    Note :
    Résumé de l'album :

    Le championnat inter-collèges de la région du Kantô se poursuit sous les yeux de Karl venu surveiller l'éclosion potentielle de nouveaux talents et adversaires. Bien que capable de véritables coups d'éclats, Tom est quant à lui très perturbé par sa nouvelle rencontre avec les garçons contre qui il s'était battu dans les rues de Tokyo, après sa défaite face à Laurent. Il veut absolument affronter le leader du groupe aux échecs pour se venger de la perte du cavalier d'Harmony. Parviendra-t-il à garder toute sa concentration ?

    Critique :

    Le tournoi bat son plein, l’équipe doit gagner 3 matchs sur 5 pour être sélectionnée ! Si cela semble compliqué du côté de Marius et Anne, Harmony et Laurent sont bien partis. Tout va se jouer sur le match de Tom, mais celui-ci se retrouve confronté à un adversaire qui n’est pas fair-play. Arrivera-t-il à passer outre ces provocations ? Quoi qu’il en soit le niveau est élevé et l’équipe a besoin de s’améliorer.

    Ce qui est bien avec ce manga, c’est que plus en progresse dans la lecture, plus on est pris dans l’intrigue, on suit les matchs avec attention, espérant que les joueurs gagnent. Et quand on leur propose des méthodes pour améliorer leur concentration, on se dit qu’on pourrait essayer aussi !

    Qui n’a pas entendu parler du palais mental ? Eh bien, ici, vous aurez une explication pour le mettre en pratique ! Je le redis, mais l’un des aspects positifs du livre, c’est qu’il ne parle pas que d’échecs, même si on suit les parties avec attention, voir même une certaine passion, il y a aussi tout le côté vie sociale et apprentissage qui est rondement bien mené. Ajouté à cela, le petit côté fantastique qui a permis à Tom de se démarquer rapidement, et vous obtenez un manga prenant, bien construit où l’on ne s’ennuie pas une seule minute. En plus, il n’est pas nécessaire de connaître les règles ou d’avoir pratiqué les échecs pour s’y plonger.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blitz-tome-3?ref=44

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  5. Titre de l'album : My capricorn friend
    Scenariste de l'album : OTSUICHI
    Dessinateur de l'album : MIYOKAWA Masaru
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Delcourt
    Note :
    Résumé de l'album :

    Tout commence par la découverte du cadavre de Kaneshiro, un odieux lycéen qui harcèle perpétuellement ses camarades. Les soupçons se tournent rapidement vers Wakatsuki, un étudiant qui est introuvable depuis ce meurtre. Matsuda, un camarade de Wakatsuki, va alors le prendre sous son aile pour le cacher, d'autant plus qu'il est persuadé que Wakatsuki n'est pas réellement coupable du meurtre...

    Critique :

    Matsuda est comme la majorité des élèves de son lycée, il n’ose pas s’interposer quand il voit du harcèlement, il fait comme si de rien n’était de peur de devenir la prochaine cible. Un soir, il croise Wakatsuki, un élève brimé, celui-ci tient une batte de baseball ensanglantée, il semble qu’il ait commis l’irréparable. Matsuda décide alors de l’aider.

    Ce qui est intéressant, c’est la narration du point de vue du personnage secondaire : celui qui voit le harcèlement et qui ne fait rien. Il explique sa position, comment il voit les choses, ce qui lui fait peur. L’histoire prend ensuite une autre tournure, on délaisse le côté harcèlement pour s’orienter vers une enquête. Matsuda va alors essayer de démêler le vrai du faux, et se rapprocher de Wakatsuki pour comprendre ce qui s’est vraiment passé.

    Il aurait été intéressant de développer toute l’histoire du point de vue des témoins, voir les réactions après le drame, voir s’il y a des sentiments de culpabilité qui s’installent, des regrets ou si tout simplement, la vie reprend son cours.

    Le récit est cependant intéressant, l’énoncé d’une liste de faits divers évoquant des suicides d’élèves victimes de harcèlement a de quoi alerter. Mais ce qui est peut-être le plus choquant, c’est l’indifférence, il y a ceux qui ont peur et qui n’agissent pas mais il y a surtout ces harceleurs, qui passent au travers des mailles de la justice, et qui recommencent leurs agissements.

    Il n’y a jamais trop de livres pour une prise de conscience et quand, en plus, il est bien construit et bien dessiné, on aurait tort de s’en passer.

    my capricorn friend p1.jpg

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-capricorn-friend?ref=44

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  6. Titre de l'album : Yakuza reincarnation tome 1
    Scenariste de l'album : NATSUHARA Takeshi
    Dessinateur de l'album : MIYASHITA Hiroki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Kaze
    Note :
    Résumé de l'album :

    Assassiné par un gang ennemi, un yakuza se réincarne en une jeune et jolie princesse d'un monde de fantasy. Malgré sa nouvelle apparence, notre héros garde son caractère bien trempé. Yakuza un jour, yakuza toujours

    Critique :

    Ryûmatsu est un vieux yakuza, pas forcément pour l’âge puisqu’il y a la cinquantaine, mais plutôt pour sa façon de faire, il suit un code qui semble dépassé. Sa présence gêne et il finit par mourir. Le voilà réincarné dans le corps d’une jeune princesse dans un monde d’heroic fantasy, fidèle à lui-même et à ses valeurs, il ne pourra pas rester sans rien faire devant les injustices et va agir avec ses méthodes de yakuza bien évidemment.

    Et oui, encore un isekai de plus, cette fois c’est un yakuza qui se réincarne et en plus en tant que princesse ! Ayant retrouvé jeunesse et vitalité, il va se servir de ses poings pour combattre le mal !

    Maintenant que ça s’est dit, il n’y a pas grand-chose de plus à dire, enfin de très original à dire : il y a des monstres, des épées, de la magie, des complots… L’intérêt principal c’est l’opposition des caractères entre le yakuza expérimenté et la jeune princesse, naïve, ne connaissant rien au monde. Son attitude et ses actions vont donc être à l’opposé de ce que son entourage attend. Le manga ne manque pas d’actions et a un bon rythme. Le graphisme est adéquat au genre, sauf peut-être la coupe de cheveux de la princesse qui est assez improbable mais c’est un détail.

    Le manga est efficace et rempli son rôle, on y trouve ce que l’on attend d’un isekai, maintenant, il faudra attendre la suite pour voir s’il se démarquera du lot.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yakuza-reincarnation-tome-1?ref=44

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  7. Titre de l'album : Interspecies reviewers tome 2
    Scenariste de l'album : AMAHARA
    Dessinateur de l'album : MASHA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ototo
    Note :
    Résumé de l'album :

    Toujours guidé par nos fins connaisseurs, continuez votre découverte du quartier des plaisirs et goûtez à de tout nouveaux fantasmes promis par les semi-humaines qui font le charme des mondes de fantasy.

    Critique :

    Notre fine équipe de reporters très intéressés continuent leurs explorations des différentes maisons closes. Et quand une mission doit les tenir éloignés pendant une semaine, pas de problème, il suffit d’aller bien se vider avant de l’entreprendre !

    J’avais un peu peur que l’on tourne en rond dans ce genre d’histoire, que ce ne soit qu’une accumulation de scènes qui se ressemblent. En fait, même si le principe reste globalement le même, la diversité des espèces et situations est telle que l’on n’a pas une impression de répétition. En plus, chacun a son caractère et ses préférences et il y a une évolution dans le déroulement et les relations.

    Le manga reste sympathique (pour qui aime le genre), les commentaires (et notations) des testeurs après chaque visite donne un côté « guide de voyage » comme si on allait y aller un jour ! Avec son langage fleuri et ses notes d’humour, on ne s’ennuie pas.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/interspecies-reviewers-tome-2?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  8. Titre de l'album : Notre paradis
    Scenariste de l'album : UEHARA Ari
    Dessinateur de l'album : UEHARA Ari
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Taifu
    Note :
    Résumé de l'album :

    Un jeune homme avec un étrange tatouage de papillon squatte les cybercafés et entend un jour un couple qui fricote dans la cabine d'à côté. Excité par le bruit, il se fait surprendre par son voisin en train de se masturber. Ce dernier possède quant à lui un magnifique tatouage d'oiseau et s'avère être un gigolo. La femme qui l'entretient propose au garçon au papillon de le recueillir également en échange de coucher avec elle quand elle le souhaite. L'oiseau et le papillon vivent à présent dans le même salon, mais étant très différents l'un de l'autre, ils doivent apprendre à cohabiter.

    Critique :

    Deux jeunes hommes se retrouvent à devoir cohabiter dans le même appartement, n’ayant a priori pas grand-chose en commun, ils sont tous les deux entretenus par une jeune femme Nahoko. Cette dernière, un jour, finit par ne plus rentrer, les deux garçons doivent alors prendre une décision pour leur avenir.

    Le manga commence de façon très originale, on découvre les deux garçons dans cet appartement qu’ils appelleront leur « paradis », leurs vies tournent autour du personnage de Nahoko qu’on ne verra jamais. Très vite, ils se retrouvent forcés à subvenir eux-mêmes à leurs besoins et l’ambiance particulière de l’appartement disparaît. L’histoire devient plus classique, chacun a un passé plus ou moins sombre et attend l’être auprès duquel il pourra trouver sa place.

    L’histoire est un peu confuse, on saute parfois des jours, des semaines, on passe d’un état à un autre sans trop savoir comment, des bribes d’explications viennent après. La lecture n’est pas toujours fluide et en se perdant, on perd aussi l’attachement envers les personnages. Le graphisme est fin, les personnages aussi et correspondent bien aux critères de la majorité des lectrices, c’est visuellement agréable. Ce n’est pas déplaisant mais ça n’est pas le meilleur, dommage que l’idée du début n’est pas été plus exploitée !

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/notre-paradis?ref=44

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  9. Titre de l'album : Monster girls collection tome 1
    Scenariste de l'album : AKEKO Suzu
    Dessinateur de l'album : AKEKO Suzu
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Tout bon monstre qui se respecte doit savoir effrayer ! Pour cela, Ichika et ses camarades doivent absolument obtenir leur diplôme de monstre ! Mais dans leur classe, la plus mauvaise de toutes, étudier n'est pas une mince affaire ! Entre tricheries et règlements de comptes sanglants, Monsieur D, leur professeur principal, va avoir bien du mal à les emmener jusqu'au diplôme...

    Critique :

    Ichika est dans une école de monstres réservées aux filles, elle suit des cours pour devenir un monstre digne de ce nom « effrayer, faire souffrir, torturer, plonger les humains dans le désespoir » voilà le programme de cette école. Mais Ichika n’est pas une élève modèle et passe plus de temps à se chamailler avec ses camarades qu’à écouter le professeur.

    Monster girls collection n’est pas un manga désagréable, il y a toute une partie fantastique avec la présentation des différents monstres, leurs capacités et caractéristiques, il y a l’ambiance scolaire avec les rivalités entre les élèves ... Le tout dans un environnement un peu trash, des têtes ou bras coupés ou des punitions par pendaison ne sont pas rares mais ce n’est pas vraiment effrayant car ce ne sont pas des morts définitives et c’est parsemé de touches d’humour.

    L’histoire est pour le moment sympathique sans être exceptionnelle, on aurait aimé voir plus le contenu des cours car pour le moment les chapitres se suivent et se ressemblent. Le graphisme est particulièrement intéressant, les décors, costumes et ambiance générale du manga sont travaillés et très plaisants à regarder.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monster-girls-collection-tome-1?ref=44

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  10. Titre de l'album : Je ne suis pas née dans le bon corps
    Scenariste de l'album : KONISHI Mafuyu
    Dessinateur de l'album : KONISHI Mafuyu
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ototo
    Note :
    Résumé de l'album :

    Née dans un corps d'homme et souffrant de dysphorie de genre, l'auteure est entrée dans un processus de réappropriation de son corps grâce à la chirurgie de réattribution sexuelle. Elle raconte son voyage en Thaïlande afin de se faire opérer, l'aide et les problèmes qu'elle a rencontrés et ce qui lui a permis de vivre aujourd'hui dans le corps qui lui correspond.

    Critique :

    Je ne suis pas née dans le bon corps est un manga autobiographique ; Mafuyu Konishi raconte comment s’est passé son changement de sexe (homme>>femme). Elle décrit tout le processus de l’opération depuis son arrivée en Thaïlande jusqu’à son départ 25 jours plus tard. Elle parle des préparatifs, des formalités à effectuer avant de se rendre à la clinique, de l’opération en elle-même, des différentes méthodes qui existent pour modifier les organes et de toute la convalescence derrière.

    L’histoire est intéressante car elle parle d’un sujet encore délicat, en essayant d’être le plus pragmatique possible. Pour ceux qui souhaiteraient sauter le pas, ce livre est un bon guide pour savoir ce qui vous attend. Même s’il y a quelques retours sur son passé, j’aurais apprécié un peu plus de détails sur son ressenti au quotidien, comment ce changement de sexe a muri et est devenu une évidence. A la fin du livre, Mafuyu Konishi dit qu’il y a encore beaucoup de travail pour faire comprendre et accepter les transgenres, les non-binaires ou tout autre personne qui se sentirait différente, c’est pourquoi je trouve qu’il y a un manque dans ce manga. L’histoire est vraiment centrée sur l’opération, sur le changement physique mais moins sur les sentiments et ce que vivent ces personnes au quotidien. Expliquer leur souffrance, montrer leurs questionnements permettrait de mieux les comprendre et d’y être plus attentifs.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-ne-suis-pas-nee-dans-le-bon-corps?ref=44

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  11. Titre de l'album : Spe-Ope ! tomes 1 et 2
    Scenariste de l'album : ASAMIYA Kia
    Dessinateur de l'album : ASAMIYA Kia
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Noeve Grafx
    Note :
    Résumé de l'album :

    SPEOPE nous offre une nouvelle aventure spatiale faite de voyages interplanétaires, de robots et de mécaniques rétro, ou les machines peuvent encore être réparées par des mains humaines, afin de nous offrir de sublimes poursuites en vaisseaux spatiaux.Nous voici embarqués dans l'incroyable aventure de l'équipe « Fragile » composée de Opera Cat Rune, accompagnée de ses fidèles associés: un chien et un robot. Un premier épisode qui exprime tout le potentiel de ce manga que nous propose le porte étendard de la cyber-bande dessinée qu'est KIA ASAMIYA. On ne boude pas notre plaisir de voir se développer, à travers les chapitres, les intrigues et son univers.

    Critique :

    Spe-Ope est un space opera : une histoire d’aventures dans l’espace : une petite équipe composée d’une humaine, un martien (le personnage ressemble à un chien) et un robot sont des convoyeurs spatiaux, ils sont payés pour apporter des marchandises d’une planète à une autre. Leur mission cette fois-ci semble cacher un mystère, les voilà aux prises avec la guilde criminelle de Mercure, ils vont tout mettre en œuvre pour leur échapper et comprendre le fin mot de l’histoire.

    Ces deux premiers tomes contiennent deux histoires complètes, on semble partir vers une aventure plus longue à la fin du 2eme, une aventure ressemblant à une chasse au trésor. Kia Asamiya est un auteur prolifique qui s’est déjà illustré dans plusieurs genres mais surtout ses titres de science-fiction comme Silent Moebius, Nadesico ou son adaptation de Star Wars. Il se fait plaisir ici en réalisant l’un de ses rêves : une grande aventure ou il rend hommage aux œuvres du genre en disséminant de petites références.

    Côté scénario, c’est assez classique mais ça laisse le champ libre à introduire de nombreux lieux et personnages. Côté graphisme, c’est assez léger, un peu enfantin, cela manque de détails, d’expressions sur les visages. Cela laisse l’impression que l’auteur a plus pensé à son plaisir qu’aux lecteurs et ça s’en ressent, le manga ne passionne pas, il y a des longueurs, un manque de modernité.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/speope-tome-1?ref=44

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  12. Titre de l'album : Blitz tomes 1 et 2
    Scenariste de l'album : BISCAY Cédric
    Dessinateur de l'album : NISHIHARA Daitaro
    Coloriste :
    Editeur de l'album : IWA Editions
    Note :
    Résumé de l'album :

    Tom, jeune collégien, a un coup de cœur pour la belle Harmony. Apprenant que celle- ci se passionne pour les échecs, il décide de s'inscrire au club du collège. Mais il n'en connaît pas les règles ! Il n'a donc pas le choix : il doit tout apprendre et s'entraîner sérieusement. Très vite, il découvre l'existence de Garry Kasparov, le plus grand joueur de l'Histoire des échecs. Lors de ses recherches Tom tombe sur une machine de réalité virtuelle qui va lui permettre d'analyser les parties les plus mythiques du maître ! Un événement inattendu va alors ouvrir à Tom les portes du très haut niveau des échecs, et ce malgré lui...

    Critique :

    Je redoute toujours de me lancer dans la lecture d’un livre orienté vers un sujet très précis, il y a toujours le risque qu’il ne s’adresse qu’aux initiés.

    Blitz commence assez classiquement : Tom, collégien, veut rejoindre le club d’échecs pour être auprès de la fille qu’il aime. Le président du club le voit tout de suite comme un rival et le met au défi de gagner une partie contre lui. Il n’a que deux mois pour se préparer alors qu’il n’y connaît absolument rien. Tom va alors se lancer avec passion dans cette nouvelle discipline qui va devenir vitale pour lui.

    Cédric Biscay a imaginé une histoire qui ne se contente pas de parler du jeu, si d’une certaine façon, on sent qu’il veut donner l’envie de faire connaître les échecs, notamment auprès de la jeune génération, c’est l’ambiance générale qui est la plus motivante : petit à petit la passion se communique, l’irrésistible envie de jouer et d ‘affronter des adversaires, la soif de se surpasser. Dans le 1er tome, il y a quelques explications sur les règles du jeu, la mise en place des différents personnages et l’événement clé qui va permettre de rentrer dans le vif du sujet. Puis dans le second, on arrive au 1er tournoi et l’effervescence des joueurs.

    Chacun y trouvera son compte : les amateurs d’échecs apprécieront les parties dont certaines sont supervisées par Garry Kasparov en personne ! Les néophytes découvriront le côté très imagé des parties qui apporte action et aventure, et les fans de manga seront rassurés par le graphisme de Daitaro Nishihara qui permet au livre de s’intégrer parfaitement dans l’univers manga.

    A noter que l’action se déroule principalement au Japon dans une école internationale et que les personnages sont de toutes origines, cela renforce le côté universel des échecs. En plus, à la fin de chaque tome on trouve des explications un peu plus détaillées (un lexique des échecs notamment). C’est donc un bon début de série, tout public.

    Bande annonce du manga Blitz ! - YouTube

    blitz p2.jpg

    blitz p1.png

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blitz-tome-1-177731?ref=44

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  13. Titre de l'album : Mon bourreau de père est enfin mort
    Scenariste de l'album : ARAI Piroyo
    Dessinateur de l'album : ARAI Piroyo
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Meian
    Note :
    Résumé de l'album :

    Aujourd'hui encore, ma jeunesse me hante... L'histoire d'une femme qui a grandi dans la violence... Message aux parents qui maltraitent leurs enfants. Les enfants n'oublient rien. Ni les coups, ni les abus. Il en va de même pour les insultes et le sentiment d'être trahi sans cesse. J'aimerais que vous gardiez une chose en tête : Lorsque vous prendrez de l'âge, souvenez-vous que votre destin sera entre leurs mains. J'aspirais seulement à une vie normale... Avec des parents normaux... Au fil de ce one shot au vitriol, Piroyo ARAI revient sur sa relation avec son père abusif. Dans un style simpliste mais sans filtre, elle y évoque la brutalité omniprésente de sa jeunesse, l'ombre qu'elle a projetée sur sa vie, même après le décès de son père, mais aussi la froideur avec laquelle sa famille détournait le regard.

    Critique :

    Piroyo Arai revient sur son passé depuis sa petite enfance jusqu’à l’époque actuelle. Dans sa famille, il y a trois enfants, elle est la plus jeune et a deux grands frères. Il y a sa mère une femme déchirée entre plusieurs sentiments et situations mais il y a surtout le père, bien sous tous rapports et charmant au dehors, il est un monstre en privé : il boit plus que de raison, bat sa femme et ses enfants. Les enfants grandissent dans la peur, la mère est partagée entre leur protection et la nécessité de rester pour pouvoir leur offrir des études plus tard.

    Piroyo grandit tant bien que mal, elle espère désespérément que quelqu’un vienne les aider mais ne pourra s’éloigner de cette famille qu’à 20 ans. Sauf que le mal est fait, ses rapports avec les autres sont biaisés. Elle raconte alors le long parcours et travail qu’il a fallu pour changer et mettre des mots sur ce qu’elle ressentait.

    Le témoignage de l’auteur est poignant, elle montre le quotidien terrible dans lequel vivent les personnes victimes de violence, et puis il y a l’attente insoutenable de voir venir de l’aide qui ne viendra jamais tant son père est « parfait » avec les gens extérieurs, le désespoir de comprendre que personne ne pourra la croire et qu’elle ne peut compter que sur elle-même. Elle décrit l’influence que ces violences ont eu plus tard dans sa vie, ce besoin maladif d’affection, cette peur permanente de voir le monstre revenir ou de le voir surgir en elle, qui porte les mêmes gènes, une lutte permanente pour ne pas reproduire la même situation.

    Mais ce qui est bien c’est qu’elle s’en est sortie, même si tout n’est pas parfait, et qu’elle raconte le cheminement et les aides qui lui ont permis d’avancer. D’une part, elle dénonce pour qu’il y ait une prise de conscience, et de l’autre, elle tend la main à ceux qui auraient vécu des situations similaires en leur disant qu’ils peuvent trouver du soutien, qu’ils ne sont pas seuls.

    Il y aurait encore beaucoup de choses à dire sur ce livre tellement il est riche et fort. Je ne peux que vous le conseiller.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-bourreau-de-pere-est-enfin-mort?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

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  14. Titre de l'album : Country girl - Alice in the country of the Three-sides mirror tome 2 (fin)
    Scenariste de l'album : Ryukishi07 / Tanaka Romeo
    Dessinateur de l'album : TATSUHIKO
    Coloriste :
    Editeur de l'album : ChattoChatto
    Note :
    Résumé de l'album :

    Grâce au retour de Miya, Mikihiko et les autres sont à nouveau réunis. Commence alors un long processus de réadaptation pour Mikihiko afin de réintégrer la société. Pour permettre à celui-ci de vaincre son traumatisme, le groupe d'amis décide de faire revivre l'ancien festival local, disparu de- puis des années, cependant Miya cache un lourd secret qui risque de mettre à mal le projet...

    Critique :

    Depuis le passage au lycée, Mikihiko vit reclus dans sa chambre, Iyo a changé de look et de fréquentations, Keiko est sortie de l’hôpital et tente de rapprocher tout le monde. C’est le retour de Miya qui va définitivement faire bouger les choses, elle utilise les grands moyens pour faire sortir Mikihiko et cela fonctionne. En quête d’aventures comme lorsqu’ils étaient au collège, les quatre amis décident de faire revivre le festival du dragon blanc.

    Si l’on assiste au quotidien de cette petite ville où la plus grosse enquête que peut mener ces jeunes est de retrouver un chat blessé, c’est surtout le côté humain qui est mis en valeur. Si individuellement, ils peuvent se sentir dépasser, ne pas être à leur place, ils trouvent leur force dans leurs sentiments et l’envie d’aider leurs proches. Le portrait de la campagne délaissée est un peu triste, on ressent bien cet abandon mais il suffit d’une petite étincelle pour que la vie reprenne et que les gens se rapprochent.

    Ce manga montre des tranches de vie, des quotidiens comme il y en a partout, avec ses hauts et ses bas, mais il y a ce sentiment positif en plus, cet espoir qui fait aller de l’avant et qui nous montre que c’est en communauté que l’être humain s’épanouit le plus. C’est un manga bien écrit et bien dessiné qui nous happe facilement, on s’y promène et on s’y sent bien, on aurait juste aimé en avoir plus.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
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  15. Titre de l'album : Wakusei closet tome 1
    Scenariste de l'album : TSUBANA
    Dessinateur de l'album : TSUBANA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Noeve Grafx
    Note :
    Résumé de l'album :

    Aimi fait des rêves étranges. Un autre monde, désolé, peuplé de monstres, avec pour seule compagnie humaine une jeune fille ayant oublié jusqu'à son propre nom et prisonnière de cet univers cauchemardesque. Alors qu'Aimi tente de se convaincre que ses rêves ne sont que fantaisies, l'un de ses camarades de classe disparaît sous ses yeux... et apparaît dans l'autre monde.

    Critique :

    Quand Aimi dort, elle se retrouve toujours dans le même paysage et y retrouve toujours la même jeune fille. Elle ne sait pas où elle est, elle pense que grâce à sa volonté, elle peut poursuivre son rêve et influencer son déroulement. Mais un jour, un de ses camarades de classe disparaît et elle le retrouve dans cet autre monde.

    Wakusei closet semble mélanger habilement rêve et réalité, mais l’histoire ne s’arrête pas là, car c’est entre les mondes qu’Aimi voyage, entre les univers. Le manga propose une vraie réflexion sur les expériences de corps astral (l’esprit qui quitte le corps), et en même temps il y a la présence de parasites menaçants, hyper hostiles, qui s’en prennent aux humains. Derrière la couverture mignonne, c’est l’horreur qui est présente : ne pas savoir à quoi s’attendre, ne pas comprendre les événements, se retrouver coincé au milieu de nulle part entouré de dangers.

    Le graphisme est à la hauteur, les monstres sont autant répugnants que les enfants sont mignons ; et le scénario tellement bien pensé que l’on ne sait absolument pas ce qui va se passer. C’est étrange et déroutant mais c'est justement ça qui fonctionne et qui donne l'envie d'y revenir.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
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  16. Titre de l'album : Goodnight world tome 1
    Scenariste de l'album : OKABE Urû
    Dessinateur de l'album : OKABE Urû
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Akata
    Note :
    Résumé de l'album :

    Avec "Goodnight World", Uru Okabe livre un manga d'action complexe, qui questionne sur les univers virtuels... Entre catfishing, famille décomposée et désespoir, le mangaka dresse un portrait sombre et lucide du monde contemporain. Taichiro est en rupture sociale complète. Détestant sa famille du plus profond de son être, il s'est réfugié dans PLANET, le MMO en réalité virtuelle le plus en vogue du moment. Dans cette autre réalité, il est membre d'Akabane, l'une des plus prestigieuses guildes de ce jeu en ligne. Au sein de cet autre univers, il s'est créé une famille de substitution. Aux côtés de Shiro, Mei et AAAAA, il espère bien vaincre le légendaire Black Bird of Happiness. Mais l'équilibre précaire de sa vie bascule quand, un jour, son véritable père est hospitalisé... Rappelé brutalement à la réalité par sa famille qu'il exècre, ne risque-t-il pas d'aller de désillusion en déception en découvrant ceux qui se cachent derrière ses camarades de guilde ?

    Critique :

    Taichiro est presque un ikkikomori, il ne sort de sa chambre que lorsqu’il a besoin de se nourrir. Il ne parle plus à son père qu’il considère comme un looser, ni à son frère et sa mère semble avoir quitté le domicile. Il passe son temps connecté à un jeu de réalité virtuelle « planet » dans lequel il a trouvé des compagnons avec lesquels il a des relations proches, comme celles d’une famille. A leurs côtés, il redécouvre des sentiments qu’il pensait disparus, naviguant entre réel et virtuel, il se heurte régulièrement à la dure réalité.

    Goodnight world est un constat d’une facette de la société actuelle, le manga montre les fractures sociales, les gens qui préfèrent fuir les problèmes et se réfugier dans un monde virtuel. Il montre à la fois que les liens ne se construisent pas facilement, qu’il faut partager pour créer et il dénonce, d’une certaine façon, ces espaces virtuels qui prennent de plus en plus d’importance dans la vie.

    Mais il n’y a pas que ça, car il y a l’histoire du jeu, des événements étranges liant réel et virtuel, qui ne sont pas sans rappeler des sujets déjà abordés dans SAO. Mais surtout, il y a cette « fausse famille » dont le lecteur apprend très vite l’identité et qui change toute la perception des relations entre les personnages. Un manga intrigant et innovant.

    Série finie en 5 tomes. Extrait ici : Goodnight World T.1 - AKATA (akazoom.fr)

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodnight-world-tome-1?ref=44

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  17. Titre de l'album : Le 9 août, tu me dévoreras tome 2
    Scenariste de l'album : TOMOMI
    Dessinateur de l'album : TOMOMI
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Meian
    Note :
    Résumé de l'album :

    Passion, désir et maladie dans ce suspense d'amour. Une œuvre entre bishôjo et horreur. Ao Sakurai est un lycéen ordinaire, à une exception près : des créatures, les difformes, le harcèlent en quête de son amour. L'une d'elle, Miyako, s'est débarrassée de la professeure d'Ao qui appartenait à la même espèce. Persuadé de ne plus être à l'abri nulle part, Ao retrouve un peu son calme quand il revoit Yae, une jeune femme rencontrée durant son enfance. Malheureusement pour lui, les apparences sont souvent trompeuses !!

    Critique :

    Les jours se suivent et se ressemblent pour Ao Sakurai, dès qu’il se retrouve loin de Miyako, d’autres difformes se rapprochent, toutes prêtent à le dévorer. Mais cette fois, ce n’est pas n’importe laquelle qui arrive, c’est une ancienne connaissance de Sakurai, les deux femmes se font face et le garçon est partagé, il ne veut perdre ni l’une ni l’autre.

    Les difformes sont toujours aussi bien représentées, elles savent être séduisantes quand il le faut et tout autant terrifiantes quand leur vraie nature ressurgit. D’autres personnages font leur apparition, ils surveillent au loin et semblent avoir des informations. On apprend ainsi ce que sont réellement les difformes et ce qu’elles recherchent chez Ao. Le tome est efficace, sans temps mort, il oscille habilement entre érotisme et horreur et sème suffisamment d’informations pour avoir envie de lire la suite.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-9-aout-tu-me-devoreras-tome-2?ref=44

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  18. Titre de l'album : Ragna Crimson tome 8
    Scenariste de l'album : KOBAYASHI Daiki
    Dessinateur de l'album : KOBAYASHI Daiki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Kana
    Note :
    Résumé de l'album :

    Les chasseurs de dragons tuent leurs proies avec leur épée d'argent afin de toucher une récompense. Parmi eux, il y a Ragna, un jeune homme plutôt faible faisant équipe avec Léonica, une chasseuse de génie qui peut se vanter d'avoir tué bien plus de dragons que n'importe quel chasseur. Ragna n'a qu'un seul désir : rester pour toujours à ses côtés. Mais, suite à l'apparition d'un ennemi impitoyable, le souhait du jeune homme ne pourra jamais être exaucé... Seul un être puissant peut défier ces créatures. Pour s'opposer au terrible destin qui s'annonce et changer le cours de l'histoire, Ragna n'aura pas d'autre choix que de repousser ses limites...!

    Critique :

    Suite du combat contre les dragons ailés, Ragna et ses compagnons semblent être en mauvaise posture, séparés, épuisés, ils misent tout sur une dernière offensive.

    Un tome de combat principalement, avec un retour sur le passé de certains membres des dragons ailés et comment ils en sont arrivés là. Je dois avouer que j’avais oublié ce qui se passait dans le tome précédent, qui était aussi un tome de combats d’ailleurs. Les détails des affrontements ne m’ont pas passionnée, j’ai trouvé la construction de l’histoire un peu brouillonne. Après, il y a quelques bribes par ci par là qui permettent de donner de nouvelles orientations au manga et surtout un final plutôt inattendu. Vivement que l’on retrouve Crimson et que l’on avance un peu.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ragna-crimson-tome-8?ref=44

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  19. Titre de l'album : Hôtel Voynich tome 1
    Scenariste de l'album : DOUMAN Seiman
    Dessinateur de l'album : DOUMAN Seiman
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Noeve Grafx
    Note :
    Résumé de l'album :

    Après de tragiques événements, Taizou a décidé de s’offrir une pause. C’est sur la petite île de Blefuscu, en plein océan Pacifique, qu’il jette son dévolu. Isolée et méconnue, il pense pouvoir y trouver le calme et la détente dont il a bien besoin. Mais des femmes de chambre au patron en passant par les clients, son hôtel héberge de bien étranges individus… et il se pourrait bien que Blefuscu ne soit pas exactement un îlot de sérénité…

    Critique :

    Taizo Kazuki arrive sur l’ile de Blefuscu pour tourisme et séjourne à l’hôtel Voynich. Il va croiser le personnel de l’hôtel et ses pensionnaires, tous en l’air d’avoir des raisons bien précises d’être là. Mais l’ile comme l’hôtel ne semblent pas tout à fait normaux, en plus de légendes spirituelles très fortes, une augmentation de la violence entoure ce lieu si particulier.

    Le manga est une suite de courtes scènes sur la vie de l’hôtel et de l’ile, mais il y a quand même une évolution dans l’histoire et dans les relations entre les protagonistes. Les étrangetés ambiantes trouvent leurs explications petit à petit. Les personnages sont atypiques, un peu déjantés, et baignent toujours entre fantastique (limite monstre de foire) et mafieux ; ce qui fait que les scénettes sont variées.

    Si la lecture n’est pas déplaisante et ne manque pas d’originalité, le manga n’a pas un intérêt flagrant, on nous annonce de l’humour ce qui est tout à fait relatif. Une question de point de vue je suppose… Finalement, le manga est plutôt bien fait mais m’a laissé de marbre. A vous de voir.

    Série finie en 3 tomes.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/voynich-hotel-tome-1?ref=44

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  20. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 1
    Scenariste de l'album : SAKURAI Umi
    Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour.

    Critique :

    La première chose que je me suis dite c’est : « encore un manga sur les chats », je ne m’attendais pas forcément à une révolution, même si les chats sont mignons, je ne voyais pas ce que ce manga pouvait apporter de plus ! Et bien contre toute attente, j’ai grandement appréciée cette lecture et pas une seule fois, je me suis dit que c’était du déjà-vu.

    Dans une animalerie, un gros chat adulte et pas très mignon attend que quelqu’un l’achète enfin, non seulement il est moche mais cette attente la rendu triste et seul. Un jour un homme d’âge mur décide de l’adopter, lui aussi est triste et seul. Ces deux êtres vont s’apprivoiser l’un l’autre et combler leur vide sentimental.

    Le chat qui rendait l’homme heureux est un manga touchant et drôle. Touchant car ces deux êtres ont chacun à leur façon, le poids des ans et le fardeau d’une vie et drôle car il est construit de telle façon à ce que l’on a les pensées de l’homme et celles du chat, qui conscient de son physique ingrat a des réflexions plutôt marrantes. A travers leur quotidien, on voit le triste destin des animaux en cage dont personne ne veut, on voit le vide laissé par l’absence d’un être cher et tout ce que peut apporter une présence, même animale, dans la vie. C’est simple, sans fioriture, plein d’une douce chaleur qui réchauffe le cœur. Un manga bon pour le moral et agréable à lire.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-tome-1?ref=44

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