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Nickad

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  1. Nickad

    Les écailles d'un dieu tome 1

    Chiharu, un jeune écrivain revient dans le village de son enfance pour y passer quelques jours, il se remémore sa grand-mère et notamment un conte qu’elle lui racontait d’une jeune fille promise à un dragon. C’est là qu’il rencontre Rin, un jeune homme un peu perdu, à la fois fort sympathique et fort ignorant des choses de tous les jours, il lui dit qu’il est venu pour le rencontrer. Chiharu est un jeune homme pas très sociable, un peu froid qui va se retrouver à cohabiter avec Rin, qui est très amical et respire la joie de vivre. Cette opposition amène de l’humour dans leur relation, tout est fort sympathique et bon enfant jusqu’à ce que le mystère s’en mêle… Car la grand-mère de Chiharu a fait une promesse à Rin qui n’est pas s’en rappeler celle du l’histoire de son enfance. Voilà que fantastique et conte s’invitent ! La lecture est fluide et agréable, le personnage de Rin est une véritable bouffée de fraicheur et de soleil, le graphisme est élégant. Un bon 1er tome tout public.
  2. Nickad

    Butterfly beast II tome 2

    Ocho ramasse par hasard un petit crucifix, elle le rend à sa propriétaire, une jeune femme de sa maison. En faisant ce geste elle se met en danger car à cette époque, les chrétiens étaient persécutés. Intriguée elle la suit sans se douter que tout cela est une mise en scène pour la piéger. Ce volume se penche sur un passage sombre de l’histoire du Japon : la persécution des chrétiens, et quand je dis persécution on était plus dans une politique d’éradication. Il est intéressant de voir à quel point les événements de cette période étaient extrémistes ! Ocho et son acolyte Raizo se retrouvent dans ce volume face à leur passé, chacun va devoir prendre des décisions qui pourraient bien changer leurs relations et leurs vies. En même temps, l’auteure revient sur la condition des femmes à cette époque en précisant bien que toutes celles qui vivaient dans ce quartier des plaisirs n’étaient pas là par choix. Le dessin de Yuka Nagate est toujours très soigné et détaillé, les personnages sont très expressifs et l’on ressent bien toute la tension qui règne. La fiction et l’histoire sont habilement mêlées sans apporter de lourdeur, le manga reste dynamique et intéressant.
  3. Titre de l'album : Butterfly beast II tome 2 Scenariste de l'album : NAGATE Yuka Dessinateur de l'album : NAGATE Yuka Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Continuant sa traque des shinobis dévoyés, Ochô doit faire face à une toute nouvelle menace. Dans un Japon où la doctrine de Dieu, alors interdite, se répand inévitablement, la chasseresse devra affronter le père Jihyoe, appelé le «tsuba d'or». Commence alors un combat contre un mouvement religieux et souhaitant la destruction du système! Critique : Ocho ramasse par hasard un petit crucifix, elle le rend à sa propriétaire, une jeune femme de sa maison. En faisant ce geste elle se met en danger car à cette époque, les chrétiens étaient persécutés. Intriguée elle la suit sans se douter que tout cela est une mise en scène pour la piéger. Ce volume se penche sur un passage sombre de l’histoire du Japon : la persécution des chrétiens, et quand je dis persécution on était plus dans une politique d’éradication. Il est intéressant de voir à quel point les événements de cette période étaient extrémistes ! Ocho et son acolyte Raizo se retrouvent dans ce volume face à leur passé, chacun va devoir prendre des décisions qui pourraient bien changer leurs relations et leurs vies. En même temps, l’auteure revient sur la condition des femmes à cette époque en précisant bien que toutes celles qui vivaient dans ce quartier des plaisirs n’étaient pas là par choix. Le dessin de Yuka Nagate est toujours très soigné et détaillé, les personnages sont très expressifs et l’on ressent bien toute la tension qui règne. La fiction et l’histoire sont habilement mêlées sans apporter de lourdeur, le manga reste dynamique et intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butterfly-beast-ii-tome-2-224277?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Les adaptations de Lovecraft par Tanabe deviennent des gages de qualité, c'est indéniable. J'avais dévoré les premières avec avidité, je dois bien l'avouer, et ces deux dernières démontrent une fois de plus tout le talent de cet auteur japonais. Le roman divisé en deux tomes nous permet de bien appréhender l'histoire et son déroulement. L'auteur prend le temps de situer le contexte et nous faire découvrir le personnage central. Nous allons l'accompagner tout du long dans ses déboires, et il va en rencontrer plus d'un ! A chaque expression d'un visage figé ou horrifié, fait suite une planche (souvent double page) nous exposant la situation. Nous sommes donc happés par la lecture et nous plongeons littéralement dans le récit. Le suspense est insoutenable dans le second tome car il ne s'agit ni plus ni moins que d'une chasse à l'homme dans les rues dévastées de cette ville cauchemardesque. Les recoins obscurs, les moindres bruits sont perçus et nous éprouvons une certaine crainte à tourner les pages. Tanabe réussit à nous faire peur, on s'interroge vraiment sur le devenir du protagoniste principal. Pour les avoir tous lus, je pense sincèrement qu'il s'agit de la plus violente et angoissante des adaptations, âmes sensibles s'abstenir Dois-je préciser que le dessin est comme à son habitude, superbe, incroyable, précis, lumineux, élégant, fin ... Les superlatifs manquent. Le travail éditorial est sans équivoque. Ces couvertures en cuir relié sont du plus bel effet. Je ne saurai que recommander ces livres, même aux non lecteurs assidus de mangas. Pour peu que l'on aime avoir peur. Ceci dit, on reste assez loin d'un Junji Ito sur l'épouvante et l'horreur, pour tout vous dire, la lecture de Spirale m'a gêné et ne m'a pas invité du tout à une relecture. Les adaptations de Tanabe, on les relit avec plaisir. Il doit rester quelques nouvelles encore de Lovecraft, je les attends avec impatience, vous aussi ? Une critique de Kevin Nivek
  5. Titre de l'album : Le cauchemar d'Innsmouth tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : H P LOVECRAFT Dessinateur de l'album : TANABE Gou Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : En 1927, le jeune Robert Olmstead débarque à Newburyport. En quête de ses origines, il n'a d'autre option, pour atteindre sa destination, que de prendre un bus qui passe par Innsmouth, ville voisine sur laquelle courent d'effroyables rumeurs : pacte avec les démons, habitants difformes, culte ésotérique d'un étrange dieu marin... La peur qu'elle inspire est telle que personne n'ose s'y rendre, et nul ne sait ce qui se cache derrière les façades de ses maisons délabrées... Pourtant, les mises en garde des résidents de Newburyport, loin de décourager Robert, le poussent au contraire à s'intéresser à ce lieu pestiféré : il décide d'explorer les méandres de la cité maudite ! C'est le début d'une descente aux enfers qui le mènera aux portes de la folie... Critique : Les adaptations de Lovecraft par Tanabe deviennent des gages de qualité, c'est indéniable. J'avais dévoré les premières avec avidité, je dois bien l'avouer, et ces deux dernières démontrent une fois de plus tout le talent de cet auteur japonais. Le roman divisé en deux tomes nous permet de bien appréhender l'histoire et son déroulement. L'auteur prend le temps de situer le contexte et nous faire découvrir le personnage central. Nous allons l'accompagner tout du long dans ses déboires, et il va en rencontrer plus d'un ! A chaque expression d'un visage figé ou horrifié, fait suite une planche (souvent double page) nous exposant la situation. Nous sommes donc happés par la lecture et nous plongeons littéralement dans le récit. Le suspense est insoutenable dans le second tome car il ne s'agit ni plus ni moins que d'une chasse à l'homme dans les rues dévastées de cette ville cauchemardesque. Les recoins obscurs, les moindres bruits sont perçus et nous éprouvons une certaine crainte à tourner les pages. Tanabe réussit à nous faire peur, on s'interroge vraiment sur le devenir du protagoniste principal. Pour les avoir tous lus, je pense sincèrement qu'il s'agit de la plus violente et angoissante des adaptations, âmes sensibles s'abstenir Dois-je préciser que le dessin est comme à son habitude, superbe, incroyable, précis, lumineux, élégant, fin ... Les superlatifs manquent. Le travail éditorial est sans équivoque. Ces couvertures en cuir relié sont du plus bel effet. Je ne saurai que recommander ces livres, même aux non lecteurs assidus de mangas. Pour peu que l'on aime avoir peur. Ceci dit, on reste assez loin d'un Junji Ito sur l'épouvante et l'horreur, pour tout vous dire, la lecture de Spirale m'a gêné et ne m'a pas invité du tout à une relecture. Les adaptations de Tanabe, on les relit avec plaisir. Il doit rester quelques nouvelles encore de Lovecraft, je les attends avec impatience, vous aussi ? Une critique de Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chefs-d-oeuvre-de-lovecraft-tome-1-le-cauchemar-d-innsmouth?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Le livre est un recueil de 3 histoires courtes mêlant amour lesbien et fantastique ! (et oui, c’est la série des mélanges de genre !). La première histoire se passe entre une sorcière et une chasseuse de sorcières, à force de s’affronter, chacune va développer des sentiments envers l’autre. La seconde parle d’une humaine qui a recueilli un ange (féminin bien que l’on dise que les anges sont asexués) et une démone, bien qu’étant ennemies, elles vont toutes les deux s’attacher à la jeune fille. La dernière histoire reprend les personnages du premier récit et revient sur leur relation après l’échange du premier baiser. Le manga est accessible à tous : il n’y a rien de plus osé qu’un baiser. Tous les personnages féminins sont mignons, naïfs parfois et rougissent dès qu’on parle d’amour. Les histoires sont traitées avec une certaine légèreté et une touche d’humour, le dessin est agréable, la lecture fluide. En conclusion, un manga sympathique et positif pour un moment de détente.
  7. Titre de l'album : 5 seconds before the witch falls in love Scenariste de l'album : ZENIKO Sumiya Dessinateur de l'album : ZENIKO Sumiya Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Une simple chasseuse de sorcières contre la Grande Sorcière Solitaire ! Meg, la Grande Sorcière Solitaire, et Lilith, la chasseuse de sorcières, sont des ennemies jurées, toujours en train de se chamailler ! Mais malgré les provocations et les espiègleries, elles s'apprécient. Leur adorable maladresse fait sourire ceux qui les observent... Mais voilà qu'un incident pousse l'une d'elles à révéler ses sentiments ! Dos au mur, laisseront-elles enfin parler leur cœur ? Ils servent à quoi mes pouvoirs si je peux pas changer mes sentiments ?! Critique : Le livre est un recueil de 3 histoires courtes mêlant amour lesbien et fantastique ! (et oui, c’est la série des mélanges de genre !). La première histoire se passe entre une sorcière et une chasseuse de sorcières, à force de s’affronter, chacune va développer des sentiments envers l’autre. La seconde parle d’une humaine qui a recueilli un ange (féminin bien que l’on dise que les anges sont asexués) et une démone, bien qu’étant ennemies, elles vont toutes les deux s’attacher à la jeune fille. La dernière histoire reprend les personnages du premier récit et revient sur leur relation après l’échange du premier baiser. Le manga est accessible à tous : il n’y a rien de plus osé qu’un baiser. Tous les personnages féminins sont mignons, naïfs parfois et rougissent dès qu’on parle d’amour. Les histoires sont traitées avec une certaine légèreté et une touche d’humour, le dessin est agréable, la lecture fluide. En conclusion, un manga sympathique et positif pour un moment de détente. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/5-seconds-before-the-witch-falls-in-love?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Boys of the dead

    L’objectif du manga est clair ; il s’agit de mélanger deux genres : le boys’ love et le zombie ! Au final on a un recueil de trois histoires qui montre chacune une certaine forme d’amour dans un monde chaotique. Il n’y a peut-être que la deuxième qui a un aspect un peu plus réfléchi, un jeune homme garde auprès de lui son ami zombifié car l’amour qui lui porte est plus fort que tout. Les deux autres étant des dérives de comportements avec un aspect assez malsain. Si côté graphisme on a bien l’aspect sombre « fin du monde » les histoires nous laissent sur notre faim, une impression de ne pas savoir ce qu’on fait là. Je n’ai absolument aucune idée de ce que l’auteure a essayé de transmettre et comme dans sa préface elle dit aussi que les histoires sélectionnées devaient répondre au public cible du magazine de prépublication, on a l’impression d’être plus dans l’accomplissement d’une commande que dans une envie débordante de raconter une histoire. Il demeure néanmoins que l’auteure a réussi son pari et qu’elle a eu le mérite d’essayer même si je ne suis pas convaincue du résultat.
  9. Nickad

    Boys of the dead

    Titre de l'album : Boys of the dead Scenariste de l'album : TOMITA Douji Dessinateur de l'album : TOMITA Douji Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Dans une Amérique dévastée, et tandis qu'une épidémie transforme les humains en morts-vivants, l'Humanité essaie, tant bien que mal, de survivre... Dans un monde en perdition, suivez le quotidien torturé, entre survie, amour, désespoir et séquestration, d'individus livrés à eux-mêmes, qu'ils soient fils, frère ou amants... Avec un style graphique unique, Douji Tomita livre un recueil de nouvelles étonnant. Grâce à son dessin poisseux, l'artiste dépeint un monde sale et sans espoir, à réserver aux amateurs de récits sombres et graphiques... Critique : L’objectif du manga est clair ; il s’agit de mélanger deux genres : le boys’ love et le zombie ! Au final on a un recueil de trois histoires qui montre chacune une certaine forme d’amour dans un monde chaotique. Il n’y a peut-être que la deuxième qui a un aspect un peu plus réfléchi, un jeune homme garde auprès de lui son ami zombifié car l’amour qui lui porte est plus fort que tout. Les deux autres étant des dérives de comportements avec un aspect assez malsain. Si côté graphisme on a bien l’aspect sombre « fin du monde » les histoires nous laissent sur notre faim, une impression de ne pas savoir ce qu’on fait là. Je n’ai absolument aucune idée de ce que l’auteure a essayé de transmettre et comme dans sa préface elle dit aussi que les histoires sélectionnées devaient répondre au public cible du magazine de prépublication, on a l’impression d’être plus dans l’accomplissement d’une commande que dans une envie débordante de raconter une histoire. Il demeure néanmoins que l’auteure a réussi son pari et qu’elle a eu le mérite d’essayer même si je ne suis pas convaincue du résultat. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boys-of-the-dead?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

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    les deux ça me parait bien
  11. Nickad

    Vos dernières lectures

    @Kevin Niveksi tu veux faire la critique, tu me l'envoies, je dois la faire mais je ne les ai pas encore lus
  12. Nickad

    Frieren tomes 1 et 2

    Frieren est une elfe, avec ses compagnons, elle a combattu le roi des démons ; la paix revenue, après dix ans d’aventures, elle a repris son chemin. Mais le temps ne s’écoule pas de la même façon pour les elfes et cinquante ans plus tard, quand elle revoit ses compagnons, elle a à peine le temps d’échanger que Himmel le héros décède. C’est en entendant les remarques de la foule que Frieren se rend compte qu’elle ne connaissait rien de lui. Quelque chose se met à changer en elle, un début de prise de conscience de l’autre, un remord peut-être. Frieren est un manga d’heroic fantasy atypique, il y a tous les éléments fantastiques du récit habituel : la troupe de héros qui combat le mal, de la magie, des elfes, des nains… il y a aussi de l’aventure mais différemment. Car l’aspect le plus important de ce récit, c’est qu’il est raconté du point de vue d’une elfe, un être destiné à vivre des centaines voire des milliers d’années et pour qui la durée de vie d’un être humain ne correspond qu’à un court instant de son existence. Alors même si Frieren part en voyage, elle ne s’inquiète pas de rester au même endroit plusieurs années, elle se moque de passer un an à chercher une fleur, elle n’est pas pressée. Et quand tout à coup, elle réalise que pour les hommes le temps passe beaucoup plus vite, elle se dit qu’elle aurait dû faire quelque chose, prendre le temps de connaître mieux ses camarades, partager plus de moments avec eux. Et c’est globalement le message de ce manga : le rapport au temps. C’est avec une certaine subtilité, que l’auteur nous appelle à profiter de la vie, de tous les instants présents, des gens qui nous entourent, le fameux Carpe Diem. Dans le 1er tome de la série, le temps qui passe à toute vitesse est clairement mis en évidence, une succession de cases sans paroles où l’on voit la vie de l’elfe. Et puis, ensuite, elle continue son périple avec les disciples de ses compagnons, comme s’ils avaient prévu de laisser un peu d’eux pour qu’elle ne soit pas seule dans sa temporalité. C’est alors qu’un autre thème est abordé, celui du souvenir : une réflexion sur la trace qu’on laisse dans le monde et sur la façon de ne pas oublier ceux qui sont partis. Ce n’est que dans le second tome que le manga prend un côté un peu plus aventure, car Frieren part à la recherche d’un sort qui lui permettrait de pouvoir communiquer avec l’âme de ses compagnons disparus, pour pouvoir dire à Himmel ce qu’elle n’a pas eu le temps de lui dire. Le manga a un côté poétique et mélancolique sublimé par un graphisme de premier ordre. C’est beau, c’est sensible, c’est à la fois une histoire d’aventure et en même temps un plaidoyer pour prendre soin de nous et des autres, pour prendre le temps de vivre et de ne pas laisser de regrets. Une réussite. Ceux qui s’attendent à un manga d’action pourraient être déçus car il y a une sorte de langueur omniprésente et je pense qu'il faut un certaine maturité pour bien l'apprécier. 6 tomes en cours
  13. Titre de l'album : Frieren tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : YAMADA Kanehito Dessinateur de l'album : ABE Tsukasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le jeune héros Himmel et ses compagnons, l'elfe Frieren, le nain Eisen et le prêtre Heiter, rentrent victorieux de leur combat contre le roi des démons. Au bout de dix années d'efforts, ils ont ramené la paix dans le royaume. Il est temps pour eux de retrouver une vie normale... Difficile à imaginer après tant d'aventures en commun ! Frieren, elle, ne semble guère touchée par la séparation. Pour la magicienne à la longévité exceptionnelle, une décennie ne pèse pas lourd. Elle reprend la route en solo et promet de retrouver ses camarades un demi-siècle plus tard. Elle tient parole... mais ces retrouvailles sont aussi les derniers instants passés avec Himmel, devenu un vieillard qui s'éteint paisiblement sous ses yeux. Frieren est sous le choc... La vie des humains est si courte ! L'elfe a beau être experte en magie, il lui reste encore un long chemin à parcourir pour comprendre la race humaine... Son nouvel objectif : s'initier aux arcanes du cœur ! Critique : Frieren est une elfe, avec ses compagnons, elle a combattu le roi des démons ; la paix revenue, après dix ans d’aventures, elle a repris son chemin. Mais le temps ne s’écoule pas de la même façon pour les elfes et cinquante ans plus tard, quand elle revoit ses compagnons, elle a à peine le temps d’échanger que Himmel le héros décède. C’est en entendant les remarques de la foule que Frieren se rend compte qu’elle ne connaissait rien de lui. Quelque chose se met à changer en elle, un début de prise de conscience de l’autre, un remord peut-être. Frieren est un manga d’heroic fantasy atypique, il y a tous les éléments fantastiques du récit habituel : la troupe de héros qui combat le mal, de la magie, des elfes, des nains… il y a aussi de l’aventure mais différemment. Car l’aspect le plus important de ce récit, c’est qu’il est raconté du point de vue d’une elfe, un être destiné à vivre des centaines voire des milliers d’années et pour qui la durée de vie d’un être humain ne correspond qu’à un court instant de son existence. Alors même si Frieren part en voyage, elle ne s’inquiète pas de rester au même endroit plusieurs années, elle se moque de passer un an à chercher une fleur, elle n’est pas pressée. Et quand tout à coup, elle réalise que pour les hommes le temps passe beaucoup plus vite, elle se dit qu’elle aurait dû faire quelque chose, prendre le temps de connaître mieux ses camarades, partager plus de moments avec eux. Et c’est globalement le message de ce manga : le rapport au temps. C’est avec une certaine subtilité, que l’auteur nous appelle à profiter de la vie, de tous les instants présents, des gens qui nous entourent, le fameux Carpe Diem. Dans le 1er tome de la série, le temps qui passe à toute vitesse est clairement mis en évidence, une succession de cases sans paroles où l’on voit la vie de l’elfe. Et puis, ensuite, elle continue son périple avec les disciples de ses compagnons, comme s’ils avaient prévu de laisser un peu d’eux pour qu’elle ne soit pas seule dans sa temporalité. C’est alors qu’un autre thème est abordé, celui du souvenir : une réflexion sur la trace qu’on laisse dans le monde et sur la façon de ne pas oublier ceux qui sont partis. Ce n’est que dans le second tome que le manga prend un côté un peu plus aventure, car Frieren part à la recherche d’un sort qui lui permettrait de pouvoir communiquer avec l’âme de ses compagnons disparus, pour pouvoir dire à Himmel ce qu’elle n’a pas eu le temps de lui dire. Le manga a un côté poétique et mélancolique sublimé par un graphisme de premier ordre. C’est beau, c’est sensible, c’est à la fois une histoire d’aventure et en même temps un plaidoyer pour prendre soin de nous et des autres, pour prendre le temps de vivre et de ne pas laisser de regrets. Une réussite. Ceux qui s’attendent à un manga d’action pourraient être déçus car il y a une sorte de langueur omniprésente et je pense qu'il faut un certaine maturité pour bien l'apprécier. 6 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/frieren-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    L'enfant du dragon fantôme tome 2

    Eve et son gardien, l’âme de Dodo un vieux dragon, travaillent maintenant avec Yule et remplissent des missions. Cela leur permet d’avoir vent de toutes les rumeurs au sujet de dragons afin de pouvoir retrouver les enfants de Dodo. Je n’avais pas été convaincue par le 1er tome de la série, l’ayant trouvé sympathique mais pas exceptionnel. Ce deuxième tome est dans la même veine, il se lit bien, raconte les aventures de cette petite sorcière qui regarde le monde avec un regard d’enfant un peu naïf parfois. C’est mignon, bien dessiné, avec assez d’aventure et de fantastique mais encore une fois, j’ai du mal à accrocher plus que ça. Le livre se lit bien et est divertissant mais il n’a pas la petite touche palpitante qui le sortirait du lot. Un point intéressant, c’est qu’il n’a pas de violence excessive ni de scènes choquantes et peut donc être lu par les jeunes adolescents (je ne comprends pas trop pourquoi il est rangé en seinen). 2 tomes en cours.
  15. Titre de l'album : L'enfant du dragon fantôme tome 2 Scenariste de l'album : YUKISHIRO Ichi Dessinateur de l'album : YUKISHIRO Ichi Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Eve, une petite sorcière délaissée, et Dodo, l'âme d'un vieux dragon ramenée sur terre par magie, continuent de rechercher les enfants de ce dernier. Avec l'aide de Yule, le remplaçant du patron de l'auberge où ils logent, ils créent «le bureau des demandes de la sorcière» qui rencontre un grand succès. C'est alors que cette merveilleuse famille croise la route d'une mystérieuse cliente tombée du ciel... Critique : Eve et son gardien, l’âme de Dodo un vieux dragon, travaillent maintenant avec Yule et remplissent des missions. Cela leur permet d’avoir vent de toutes les rumeurs au sujet de dragons afin de pouvoir retrouver les enfants de Dodo. Je n’avais pas été convaincue par le 1er tome de la série, l’ayant trouvé sympathique mais pas exceptionnel. Ce deuxième tome est dans la même veine, il se lit bien, raconte les aventures de cette petite sorcière qui regarde le monde avec un regard d’enfant un peu naïf parfois. C’est mignon, bien dessiné, avec assez d’aventure et de fantastique mais encore une fois, j’ai du mal à accrocher plus que ça. Le livre se lit bien et est divertissant mais il n’a pas la petite touche palpitante qui le sortirait du lot. Un point intéressant, c’est qu’il n’a pas de violence excessive ni de scènes choquantes et peut donc être lu par les jeunes adolescents (je ne comprends pas trop pourquoi il est rangé en seinen). 2 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfant-du-dragon-fantome-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Le goût des retrouvailles tome 3

    Les vacances finissent, il va être temps pour Rutsubo de prendre sa décision, retourner avec sa grand-mère ou vivre avec son père. C’est à ce moment qu’elle apprend que son père pourrait avoir un poste en Angleterre. Il y a beaucoup de délicatesse dans cette histoire qui aurait pu être larmoyante : il y a cette petite fille qui n’a jamais connu sa mère autrement que par les souvenirs qu’elle en a quand elle était dans son ventre, cet homme qui savait qu’il avait un enfant et auquel la belle-famille lui en a interdit l’accès et qui s’est toujours senti incapable d’aimer, cette femme amoureuse désespérément et cherchant à se faire remarquer pendant des années qui a fini par avoir un enfant. Il y a beaucoup d’amour perdu ou espéré, beaucoup de maladresse dans les relations. Sans jamais juger les uns ou les autres, l’auteure assemble les pièces jusqu’au dernier moment. C’est une œuvre sensible, un dessin fin, épuré par moment pour laisser la place aux sentiments et aller à l’essentiel.
  17. Titre de l'album : Le goût des retrouvailles tome 3 Scenariste de l'album : ITOI Nozo Dessinateur de l'album : ITOI Nozo Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Dans Le Goût des retrouvailles, Nozo Itoi croque le quotidien de deux êtres meurtris par la vie qui vont devoir, au fil des pages, apprendre à se connaître et à pardonner. Cette oeuvre précieuse ne manquera pas de vous charmer grâce à son style graphique tout en rondeur et sa poésie. Petit à petit, la fin de l'été approche et il va être temps pour Rutsubo et son père de prendre des décisions importantes. Maintenant qu'ils ont appris à se connaître, doivent-ils vivre ensemble ? En ont-ils réellement envie ? Les réponses à ces questions ne sont pas évidentes, surtout pour une petite fille de neuf ans... Critique : Les vacances finissent, il va être temps pour Rutsubo de prendre sa décision, retourner avec sa grand-mère ou vivre avec son père. C’est à ce moment qu’elle apprend que son père pourrait avoir un poste en Angleterre. Il y a beaucoup de délicatesse dans cette histoire qui aurait pu être larmoyante : il y a cette petite fille qui n’a jamais connu sa mère autrement que par les souvenirs qu’elle en a quand elle était dans son ventre, cet homme qui savait qu’il avait un enfant et auquel la belle-famille lui en a interdit l’accès et qui s’est toujours senti incapable d’aimer, cette femme amoureuse désespérément et cherchant à se faire remarquer pendant des années qui a fini par avoir un enfant. Il y a beaucoup d’amour perdu ou espéré, beaucoup de maladresse dans les relations. Sans jamais juger les uns ou les autres, l’auteure assemble les pièces jusqu’au dernier moment. C’est une œuvre sensible, un dessin fin, épuré par moment pour laisser la place aux sentiments et aller à l’essentiel. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-gout-des-retrouvailles-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Celui qui ne dit jamais non

    Nozomi Kurose est un détective privé, il doit se rendre dans un grand hôtel pour avoir des preuves de l’infidélité d’un député. Pour cette enquête il collabore avec Ritsu, le concierge de l’hôtel, réputé pour exaucer le vœu de ses clients sauf un : parler de leur vie privée. A force de se côtoyer, Kurose a fini par tomber amoureux de Ritsu et les choses se cordent quand il soupçonne ce dernier d’être l’amant du député. Jusque-là c’est une histoire sympathique, un concierge qui frôle la perfection que tout le monde admire, un détective privé qui semble galérer dans son enquête et se retrouve coincé entre son devoir et son amour. Ce qui est évident, c’est que les deux hommes vont se rapprocher, ce qui l’est moins voire pas du tout, c’est l’enquête ! Car voilà, le scenario est bien plus complexe qu’il n’y paraît et apporte de la profondeur au manga. Le dessin est agréable, les scènes osées sont un peu faciles mais bon « il ne dit jamais non » alors il ne faut pas s’en étonner. Au passage, il y a un plaidoyer contre l’homophobie et une dénonciation des abus des hommes de pouvoir. Après, je trouve qu’il y a un déséquilibre entre les différents aspects, un scenario peut-être un peu trop tiré par les cheveux, on a vraiment l’impression finale que cela aurait pu être mieux.
  19. Titre de l'album : Celui qui ne dit jamais non Scenariste de l'album : MITSUKI Emi Dessinateur de l'album : MITSUKI Emi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Nozomi Kurose, détective privé, est amoureux de Ritsu, un concierge d'hôtel connu pour ne rien refuser à ses clients... Mais un problème subsiste : Il le soupçonne également d'être l'amant d'un député, cible de son enquête actuelle... Critique : Nozomi Kurose est un détective privé, il doit se rendre dans un grand hôtel pour avoir des preuves de l’infidélité d’un député. Pour cette enquête il collabore avec Ritsu, le concierge de l’hôtel, réputé pour exaucer le vœu de ses clients sauf un : parler de leur vie privée. A force de se côtoyer, Kurose a fini par tomber amoureux de Ritsu et les choses se cordent quand il soupçonne ce dernier d’être l’amant du député. Jusque-là c’est une histoire sympathique, un concierge qui frôle la perfection que tout le monde admire, un détective privé qui semble galérer dans son enquête et se retrouve coincé entre son devoir et son amour. Ce qui est évident, c’est que les deux hommes vont se rapprocher, ce qui l’est moins voire pas du tout, c’est l’enquête ! Car voilà, le scenario est bien plus complexe qu’il n’y paraît et apporte de la profondeur au manga. Le dessin est agréable, les scènes osées sont un peu faciles mais bon « il ne dit jamais non » alors il ne faut pas s’en étonner. Au passage, il y a un plaidoyer contre l’homophobie et une dénonciation des abus des hommes de pouvoir. Après, je trouve qu’il y a un déséquilibre entre les différents aspects, un scenario peut-être un peu trop tiré par les cheveux, on a vraiment l’impression finale que cela aurait pu être mieux. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celui-qui-ne-dit-jamais-non?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

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    Je ne me rappelle plus trop de la fin mais il me semble que j'avais été déçue au point de revendre la série. Par contre je suis d'accord avec toi pour le rendu graphique et violent qui est vraiment marquant
  21. Nickad

    Manchuria Opium Squad tome 1

    Manga sur fond historique, le livre nous propose de nous immerger dans le Mandchoukouo, nouvel état crée par les Japonais sur le sol chinois qui exista entre 1932 et 1945. On va suivre l’ascension (et probablement la chute) de deux personnages : Isamu Higata, jeune soldat réaffecté suite à la perte de son œil droit et devant trouver de l’argent pour s’occuper de sa famille et Lihua, la fille d’un boss de la mafia qui trempe dans le trafic d’opium. Le manga a pour ambition de nous faire découvrir deux choses : l’opium tout d’abord, son trafic, son importance et surtout ses effets. Il veut également mettre en lumière l’histoire de ce territoire « fantoche » crée par les Japonais au moment de leur politique d’expansion. Si la trame de fond est réelle et historique, les personnages principaux ne le sont pas mais les auteurs ont tout fait pour que l’immersion soit complète et que le lecteur croit à cette histoire. Probablement qu’il y a eu des faits similaires mais devant le manque de documents précis et les zones blanches, ils ont préféré romancer une partie (par exemple, il n’y a pas de certitude que l’armée faisait commerce d’opium). Cela dit, les scènes, que ce soit la vie des soldats, les comportements vis-à-vis du peuple ou même les passages plus violents sont des exemples de ce qui s’est vraiment passé. Le graphisme est travaillé, le rendu des personnages sous l’influence de l’opium est remarquable, il y a une véritable recherche sur l’angle de rendu avec des points de vue intéressants. Le manga est à réserver à un public averti, la série compte pour le moment 7 tomes.
  22. Titre de l'album : Manchuria Opium Squad tome 1 Scenariste de l'album : MONMA Tsukasa Dessinateur de l'album : SHIKAKO Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Il existe peu de documents sur l'ombre du Japon, en particulier sur les agissements de l'armée d'avant-guerre. Cependant, en raison de la situation financière de l'époque, les difficultés financières en Mandchourie étaient chroniques. L'opium est devenu ainsi le point de départ d'une guerre sous la dynastie britannique et le joug des Qing. Mais l'opium était aussi largement utilisé en Chine. La taille de ce marché fut extraordinaire et ses fonds énormes. Une économie qui comprenait des chefs de guerre, des fonctionnaires et des marchands, ainsi que des organisations clandestines. Dans ce contexte tendu, un jeune agriculteur va faire le choix de l'opium pour enfin gagner l'argent nécessaire pour soigner sa mère. Mais ce faisant, il met un premier pas dans un engrenage qui va le transporter en pleine guerre des mafias. Critique : Manga sur fond historique, le livre nous propose de nous immerger dans le Mandchoukouo, nouvel état crée par les Japonais sur le sol chinois qui exista entre 1932 et 1945. On va suivre l’ascension (et probablement la chute) de deux personnages : Isamu Higata, jeune soldat réaffecté suite à la perte de son œil droit et devant trouver de l’argent pour s’occuper de sa famille et Lihua, la fille d’un boss de la mafia qui trempe dans le trafic d’opium. Le manga a pour ambition de nous faire découvrir deux choses : l’opium tout d’abord, son trafic, son importance et surtout ses effets. Il veut également mettre en lumière l’histoire de ce territoire « fantoche » crée par les Japonais au moment de leur politique d’expansion. Si la trame de fond est réelle et historique, les personnages principaux ne le sont pas mais les auteurs ont tout fait pour que l’immersion soit complète et que le lecteur croit à cette histoire. Probablement qu’il y a eu des faits similaires mais devant le manque de documents précis et les zones blanches, ils ont préféré romancer une partie (par exemple, il n’y a pas de certitude que l’armée faisait commerce d’opium). Cela dit, les scènes, que ce soit la vie des soldats, les comportements vis-à-vis du peuple ou même les passages plus violents sont des exemples de ce qui s’est vraiment passé. Le graphisme est travaillé, le rendu des personnages sous l’influence de l’opium est remarquable, il y a une véritable recherche sur l’angle de rendu avec des points de vue intéressants. Le manga est à réserver à un public averti, la série compte pour le moment 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/manchuria-opium-squad-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Les affamés tome 1

    le tome 2 est prévu en mai, vous pouvez toujours attendre un peu pour voir comment ça évolue avant de vous lancer. J'en ferai la critique.
  24. Titre de l'album : Magus of the library tome 5 Scenariste de l'album : IZUMI Mitsu Dessinateur de l'album : IZUMI Mitsu Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : En tant qu’apprenti kahuna, Shio peine à trouver sa place parmi les brillants élèves qui l’entourent... et son cœur balance entre les différentes voies qui s’offrent à lui ! Seulement, pour avoir le droit de choisir son affectation, il va devoir travailler d’arrache-pied, car seuls les éléments les plus prometteurs pourront intégrer le département de leurs rêves...Après le discours de Komako, le garçon retrouve à sa grande surprise Sedona. Mais alors qu’il s’apprête à lui rendre son livre, le mage lui demande de le garder jusqu’au jour où il sera devenu kahuna à part entière... Plus motivé que jamais, Shio se lance donc à corps perdu dans les études ! Critique : Shio a été reçu au concours de Kahuna, il a retrouvé des personnes avec qui il a passé des épreuves et conforte ses amitiés. Les voilà partis pour un an d’apprentissage au terme duquel ils seront redirigés vers l’un des départements de la grande bibliothèque, seulement, seuls les 3 premiers pourront choisir leurs affectations. La concurrence est rude et Shio se rend compte qu’il a du retard par rapport aux autres. La vraie leçon de ce tome c’est « ne pas juger les gens sans les connaître » : les apprentis Kahunas viennent des différents peuples, chacun avec ses coutumes et ses croyances, chacun avec un passé et une raison de vouloir devenir Kahuna. Certains pensent être les meilleurs et n’hésitent pas à dire des méchancetés ou jugent selon les origines ou l’apparence. Shio doit non seulement s’améliorer car il n’a pas pu étudier autant que les autres car il devait travailler, mais il doit apprendre à connaître les autres et surtout à se faire connaitre. De temps en temps, l’auteur nous laisse des indices sur ce qui va se passer, comme la rencontre de fin de volume. Le manga est toujours très soigné graphiquement, un trait fin et détaillé qui rend hommage à l’univers du livre, à la fois ethnique et fantastique. Le scenario est toujours aussi intéressant, on ne s’ennuie pas une seule seconde. Le seul bémol de la série, c’est le temps d’attente entre chaque tome mais sinon, c’est un superbe manga à découvrir si ce n’est déjà fait. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magus-of-the-library-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Magus of the library tome 5

    Shio a été reçu au concours de Kahuna, il a retrouvé des personnes avec qui il a passé des épreuves et conforte ses amitiés. Les voilà partis pour un an d’apprentissage au terme duquel ils seront redirigés vers l’un des départements de la grande bibliothèque, seulement, seuls les 3 premiers pourront choisir leurs affectations. La concurrence est rude et Shio se rend compte qu’il a du retard par rapport aux autres. La vraie leçon de ce tome c’est « ne pas juger les gens sans les connaître » : les apprentis Kahunas viennent des différents peuples, chacun avec ses coutumes et ses croyances, chacun avec un passé et une raison de vouloir devenir Kahuna. Certains pensent être les meilleurs et n’hésitent pas à dire des méchancetés ou jugent selon les origines ou l’apparence. Shio doit non seulement s’améliorer car il n’a pas pu étudier autant que les autres car il devait travailler, mais il doit apprendre à connaître les autres et surtout à se faire connaitre. De temps en temps, l’auteur nous laisse des indices sur ce qui va se passer, comme la rencontre de fin de volume. Le manga est toujours très soigné graphiquement, un trait fin et détaillé qui rend hommage à l’univers du livre, à la fois ethnique et fantastique. Le scenario est toujours aussi intéressant, on ne s’ennuie pas une seule seconde. Le seul bémol de la série, c’est le temps d’attente entre chaque tome mais sinon, c’est un superbe manga à découvrir si ce n’est déjà fait.
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