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Nickad

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Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Nickad

    Si nous étions adultes... tome 2

    Ayano a juste échangé un baiser mais pour elle, c’est comme si elle avait trompé son mari, elle pense qu’il vaut mieux divorcer. C’est à ce moment qu’arrive sa belle-mère qui leur propose de venir habiter avec elle suite à l’hospitalisation de son mari, Ayano hésite vu la situation. Mais après avoir expliqué la situation à sa belle-mère, cette dernière ne voit pas cela comme une raison de rupture, et son mari ne veut pas non plus divorcer. Contrainte de déménager, elle voit cela comme une bonne raison d’oublier Akari. Sans s’appesantir sur le côté dramatique, l’auteure montre avec simplicité les failles du cœur, la difficulté de mettre des mots sur ce que l’on ressent, la difficulté de prendre des décisions et l’influence des comportements sociétaux sur elles. Il y a le trouble dans lequel se trouve Ayano et il y a ce que son environnement lui dit de faire, sans doute plus pour les apparences que pour son bien-être. Le graphisme n’est pas toujours très détaillé surtout dans les visages, mais l’expression des sentiments passe bien. Une simplicité qui va à l’essentiel et qui fait mouche.
  2. Nickad

    Mushoku tensei t15

    moi aussi je m'étais mis en stand-by mais si on repart à l'aventure, je vais peut-être reprendre la série...
  3. Titre de l'album : In these words' stories & Father Figure Scenariste de l'album : Guilt Pleasure Dessinateur de l'album : Guilt Pleasure Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Retrouvez dans In These Words'Stories + Father Figure trois préquelles de In These Words avec en bonus le roman Father Figure ! Découvrez le passé du docteur Asano Katsuya de In These Words au travers de la série de trois préquelles : Katsuya vient d´être employé par l'État de New York et y rencontre le détective David Krause à Manhattan. Succombera-t-il aux charmes du détective ? Father Figure : Uriel Blackstone, un jeune veuf, vivait une existence simple et tranquille jusqu'à ce qu´il tombe sur un inconnu dans son immeuble. Ce dernier s'introduit alors dans sa vie avec une étrange familiarité. Uriel l'ignore encore, mais une partie de son passé qu´il a oubliée est en train de le rattraper. Critique : Le livre est composé de 3 chapitres inédits sur la vie des personnages du manga In these words et d’une nouvelle écrite par les mêmes auteures. Tout d’abord, la partie manga n’aura vraiment un intérêt que pour ceux qui connaissent In These words, il s’agit d’un thriller psychologique yaoi : Katsuya Asano est un jeune profiler qui enquête sur un tueur en série. Il lui arrive de faire des cauchemars où un homme lui inflige des sévices, mais en réalité, il se pourrait bien que ces rêves n’en soient pas. Le manga est très complexe, d’une part parce qu’on ne sait jamais dans quel ordre les événements se sont déroulés, que l’on navigue entre rêve et réalité et que graphiquement les personnages sont parfois très proches (volontairement d’ailleurs pour perturber encore plus le lecteur). C’est un manga très intéressant qui demande vraiment plusieurs lectures et même comme ça, il est difficile à comprendre car les auteures aiment semer le doute. C’est un manga angoissant et violent mais qui reste en mémoire. Les 3 chapitres ici sont des aspects de la vie de Katsuya et David et n’ont pas d’influence sur l’histoire principale si ce n’est de mieux comprendre la relation entre les deux hommes. Le roman illustré Father Figure parle d’un jeune policier qui élabore tout un plan pour entrer en contact avec l’un de ses voisins et faire partie de sa vie. Sauf que son envie tourne à l’obsession et il développe une forme d’amour non conventionnel. Il est étonnant de voir qu’il y a une vraie différence entre lire un manga yaoi et un roman yaoi, cela vient sans doute de la description des scènes osées, certes le graphisme est parfois très explicite mais le roman apporte une profondeur supplémentaire dans les intentions et les sentiments. Il est très bien écrit et les illustrations sont très belles. C’est cru, violent même et à réserver à un public Adulte Averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-these-words-stories-father-figure?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Le livre est composé de 3 chapitres inédits sur la vie des personnages du manga In these words et d’une nouvelle écrite par les mêmes auteures. Tout d’abord, la partie manga n’aura vraiment un intérêt que pour ceux qui connaissent In These words, il s’agit d’un thriller psychologique yaoi : Katsuya Asano est un jeune profiler qui enquête sur un tueur en série. Il lui arrive de faire des cauchemars où un homme lui inflige des sévices, mais en réalité, il se pourrait bien que ces rêves n’en soient pas. Le manga est très complexe, d’une part parce qu’on ne sait jamais dans quel ordre les événements se sont déroulés, que l’on navigue entre rêve et réalité et que graphiquement les personnages sont parfois très proches (volontairement d’ailleurs pour perturber encore plus le lecteur). C’est un manga très intéressant qui demande vraiment plusieurs lectures et même comme ça, il est difficile à comprendre car les auteures aiment semer le doute. C’est un manga angoissant et violent mais qui reste en mémoire. Les 3 chapitres ici sont des aspects de la vie de Katsuya et David et n’ont pas d’influence sur l’histoire principale si ce n’est de mieux comprendre la relation entre les deux hommes. Le roman illustré Father Figure parle d’un jeune policier qui élabore tout un plan pour entrer en contact avec l’un de ses voisins et faire partie de sa vie. Sauf que son envie tourne à l’obsession et il développe une forme d’amour non conventionnel. Il est étonnant de voir qu’il y a une vraie différence entre lire un manga yaoi et un roman yaoi, cela vient sans doute de la description des scènes osées, certes le graphisme est parfois très explicite mais le roman apporte une profondeur supplémentaire dans les intentions et les sentiments. Il est très bien écrit et les illustrations sont très belles. C’est cru, violent même et à réserver à un public Adulte Averti.
  5. Titre de l'album : Dragon quest : the adventure of Daï tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SANJO Riku Dessinateur de l'album : INADA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Roi du Mal est ressuscité ! Encore plus puissant qu'avant, Hadlar arrive sur l'île Dermline pour se venger de celui qui l'avait tué autrefois : Avan. Celui-ci n'a d'autre choix que d'affronter son ennemi de toujours pour protéger ses disciples. Mais sera-t-il à la hauteur pour terrasser Hadlar, alors qu'il vient de consommer presque toute son énergie pour l'entraînement de Daï ? Critique : Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dragon-quest-the-adventure-of-dai-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire.
  7. Nickad

    Danmachi épisode Ryû tome 5

    bon alors, c'est officiel (mail reçu aujourd'hui), il a été repoussé au 25 mars... comme les autres sorties Ototo
  8. Nickad

    Danmachi épisode Ryû tome 5

    sauf que sur le site d'ototo, il est indiqué sorti le 25 février, les sorties de février qui ont été repoussées, ils ne me les ont pas envoyées. En fait je n'ai trouvé aucun site qui disait la même chose...
  9. Titre de l'album : Phantom Seer tome 1 Scenariste de l'album : GOTO Tôgo Dessinateur de l'album : MATSUURA Kento Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Issu d'une lignée qui fait trembler les créatures paranormales, Iori est un puissant médium capable d'exorciser les esprits malfaisants appelés "phantom". Or, ce lycéen fainéant, égoïste et désagréable ne rêve que d'une chose : une vie banale. Tout le contraire de Riku, une camarade populaire et altruiste... mais qui attire tous les phantom alentour ! Lorsqu'on assigne à Iori la protection de Riku, les deux camarades décident de collaborer pour, peut-être, changer leurs destins... Critique : Phantom seer c’est la rencontre de Riku, une lycéenne qui aime aider son prochain mais qui va apprendre qu’elle attire les phantoms « créatures non humaines qui provoquent des phénomènes étranges » et de Iori, un medium doué qui ne rêve que de devenir un lycéen banal. Ils vont être amenés à collaborer pour chasser les phantoms. Une fille à problèmes et un garçon avec des pouvoirs qui vont à la chasse aux monstres, des exorcismes, des rivaux, des situations fantastiques… le manga a tous les éléments qu’il faut pour en faire un bon shonen du genre. Pourtant, j’ai trouvé qu’il lui manquait quelque chose pour qu’il se démarque des autres. Peut-être parce que la finalité n’est pas très claire, on apprend vaguement et assez tardivement que Iori espère retrouver quelqu’un. Parce que sans objectif à atteindre, le manga peut vite devenir un amoncellement de situations similaires et peut durer longtemps, car c’est typiquement le genre d’histoire où il n’y a pas de fin : il y aura toujours des phantoms ! Peut-être que cela arrivera par la suite, mais le manga, publié dans le shonen jump, a été arrêté par l’éditeur au bout de 4 tomes, a-t-il souffert de la comparaison avec d’autres mangas du même style ? ou peut-être n’a-t-il pas réussi à trouver l’étincelle qui lui manque dans ce début ? Un manga qui semble prometteur, espérons que l'auteur ait réussi à lui faire une fin correcte. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/phantom-seer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Phantom Seer tome 1

    Phantom seer c’est la rencontre de Riku, une lycéenne qui aime aider son prochain mais qui va apprendre qu’elle attire les phantoms « créatures non humaines qui provoquent des phénomènes étranges » et de Iori, un medium doué qui ne rêve que de devenir un lycéen banal. Ils vont être amenés à collaborer pour chasser les phantoms. Une fille à problèmes et un garçon avec des pouvoirs qui vont à la chasse aux monstres, des exorcismes, des rivaux, des situations fantastiques… le manga a tous les éléments qu’il faut pour en faire un bon shonen du genre. Pourtant, j’ai trouvé qu’il lui manquait quelque chose pour qu’il se démarque des autres. Peut-être parce que la finalité n’est pas très claire, on apprend vaguement et assez tardivement que Iori espère retrouver quelqu’un. Parce que sans objectif à atteindre, le manga peut vite devenir un amoncellement de situations similaires et peut durer longtemps, car c’est typiquement le genre d’histoire où il n’y a pas de fin : il y aura toujours des phantoms ! Peut-être que cela arrivera par la suite, mais le manga, publié dans le shonen jump, a été arrêté par l’éditeur au bout de 4 tomes, a-t-il souffert de la comparaison avec d’autres mangas du même style ? ou peut-être n’a-t-il pas réussi à trouver l’étincelle qui lui manque dans ce début ? Un manga qui semble prometteur, espérons que l'auteur ait réussi à lui faire une fin correcte.
  11. Titre de l'album : Danmachi épisode Ryû tome 5 Scenariste de l'album : OMORI Fujino Dessinateur de l'album : MOMOYAMA Hinase Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Grâce aux remerciements de Syl, le cœur de Ryû vient enfin d’être délivré du passé qui le retenait prisonnier… Ayant choisi d’aller de nouveau vers l’avant, elle décide de montrer sa gratitude envers Syl, mais…Dans le même temps, Lunoa et Chloé qui espionnaient Ryû semblent perplexes en constatant le changement d’attitude de leur cible. Leur lourd passé et leurs raisons de se battre sont enfin dévoilés… Critique : Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dan-machi-familia-chronicle-episode-ryu-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Danmachi épisode Ryû tome 5

    Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome.
  13. Titre de l'album : Mon coloc est une gameuse tome 1 Scenariste de l'album : KINDAICHI Renjûrô Dessinateur de l'album : KINDAICHI Renjûrô Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Takumi Satsuki est un joueur invétéré de Dragon Quest X Online. Son personnage, la mignonne Powder, fait régulièrement équipe avec Goro-san, un personnage masculin. Un jour, Goro-san dit qu'il recherche un appartement et Takumi lui propose de partager le sien. Mais lorsqu'ils se rencontrent, il est surpris de découvrir que Goro-san est une femme très belle et moderne, Miyako Okamoto. Critique : Takumi Satsuki est un gameur, il joue à dragon quest X et y incarne un personnage féminin Powder. Au fur et à mesure, il s’est fait des amis dans la guilde du jeu et a sympathisé avec un personnage masculin Goro. Ayant avoué à ses amis qu’il était en réalité un garçon, celui ne l’a pas dérangé quand Goro a eu besoin d’un logement, et lui a proposé une colocation. Seulement voilà, en réalité Goro est une fille et n’avait pas compris que Powder était un garçon ! Bon, le pitch était sympathique et je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’interactions entre les personnages dans la vraie vie (enfin celle du manga !). Hélas, la majorité du manga est plus centré sur le jeu, la création des personnages, les événements du jeu que leurs relations passent au second plan. Pour tout dire, je m’ennuyais tellement que j’ai eu du mal à aller au bout… Pourtant, des livres sur des MMORPG, j’en ai lus et je vous en ai présenté plusieurs. Je pense que le plus gros problème de ce 1er tome est l’équilibre entre les mondes réel et virtuel. Je suppose, car c’est un peu ce que ‘on ressent sur la fin (et aussi parce qu’il y a 8 tomes en cours), que cette cohabitation va peu à peu avoir une répercussion entre eux, côté sentiment probablement. En attendant, ce tome est quelconque, le caractère des personnages n’est pas poussé, les caractéristiques du jeu nous laissent de marbre (un intérêt peut-être pour ceux qui jouent à dragon quest X) et le graphisme correct sans être remarquable ; bref, je n’ai pas été convaincue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-coloc-est-une-gameuse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Mon coloc est une gameuse tome 1

    Takumi Satsuki est un gameur, il joue à dragon quest X et y incarne un personnage féminin Powder. Au fur et à mesure, il s’est fait des amis dans la guilde du jeu et a sympathisé avec un personnage masculin Goro. Ayant avoué à ses amis qu’il était en réalité un garçon, celui ne l’a pas dérangé quand Goro a eu besoin d’un logement, et lui a proposé une colocation. Seulement voilà, en réalité Goro est une fille et n’avait pas compris que Powder était un garçon ! Bon, le pitch était sympathique et je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’interactions entre les personnages dans la vraie vie (enfin celle du manga !). Hélas, la majorité du manga est plus centré sur le jeu, la création des personnages, les événements du jeu que leurs relations passent au second plan. Pour tout dire, je m’ennuyais tellement que j’ai eu du mal à aller au bout… Pourtant, des livres sur des MMORPG, j’en ai lus et je vous en ai présenté plusieurs. Je pense que le plus gros problème de ce 1er tome est l’équilibre entre les mondes réel et virtuel. Je suppose, car c’est un peu ce que ‘on ressent sur la fin (et aussi parce qu’il y a 8 tomes en cours), que cette cohabitation va peu à peu avoir une répercussion entre eux, côté sentiment probablement. En attendant, ce tome est quelconque, le caractère des personnages n’est pas poussé, les caractéristiques du jeu nous laissent de marbre (un intérêt peut-être pour ceux qui jouent à dragon quest X) et le graphisme correct sans être remarquable ; bref, je n’ai pas été convaincue.
  15. Titre de l'album : Un petit ami trop parfait tome 9 Scenariste de l'album : HOSHINO Mizuki Dessinateur de l'album : HOSHINO Mizuki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Quand elle apprend que Kusakabe se retrouve au camp d'étude avec son ex-petite amie, Iroha est incapable de rester les bras croisés et décide de passer lui faire un petit coucou. L'incident semble finalement se résoudre sans problème, mais Haruka a l'air de cacher quelque chose... Haruki, de son côté, est bien décidé à rattraper le temps perdu au camp et à fêter son anniversaire avec Iroha dignement. Et, comme d'habitude avec ce petit pervers, ça va vite dégénérer ! Critique : Nos deux tourtereaux habitent maintenant sous le même toit (en tout bien tout honneur, car l’oncle d’Iroha veille au grain), ils semblent filer le parfait amour. Mais quand une ex de Kusakabe débarque dans leur vie et demande à devenir l’amie d’Iroha, cette dernière se retrouve confronté à des sentiments plus noirs qui la perturbe et la laisse dans l’incertitude. Le manga suit toujours un déroulement assez classique d’un shojo, après les doutes sur les 1ers sentiments et apprendre à sortir avec quelqu’un, voici venu la confrontation avec le passé. Vu leurs caractères respectifs, il n’y a pas vraiment de risques, Kusakabe est assez exclusif et quand une histoire est finie, elle est finie ! Ce qui n’empêche pas Iroha de ressentir de la jalousie, le problème c’est qu’elle trouve son ex-petite amie sympathique et qu’elles voudraient bien être amies. De nouveaux sentiments sont donc étudiés dans ce tome : la confiance et la jalousie. Le manga reste globalement agréable ; en cours de route, Kusakabe a un peu perdu de son caractère atypique qui faisait l’originalité du manga, il reste très tranchant parfois et c’est tant mieux, car c’est ce qui fait le piquant de cette série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-petit-ami-trop-parfait-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Un petit ami trop parfait tome 9

    Nos deux tourtereaux habitent maintenant sous le même toit (en tout bien tout honneur, car l’oncle d’Iroha veille au grain), ils semblent filer le parfait amour. Mais quand une ex de Kusakabe débarque dans leur vie et demande à devenir l’amie d’Iroha, cette dernière se retrouve confronté à des sentiments plus noirs qui la perturbe et la laisse dans l’incertitude. Le manga suit toujours un déroulement assez classique d’un shojo, après les doutes sur les 1ers sentiments et apprendre à sortir avec quelqu’un, voici venu la confrontation avec le passé. Vu leurs caractères respectifs, il n’y a pas vraiment de risques, Kusakabe est assez exclusif et quand une histoire est finie, elle est finie ! Ce qui n’empêche pas Iroha de ressentir de la jalousie, le problème c’est qu’elle trouve son ex-petite amie sympathique et qu’elles voudraient bien être amies. De nouveaux sentiments sont donc étudiés dans ce tome : la confiance et la jalousie. Le manga reste globalement agréable ; en cours de route, Kusakabe a un peu perdu de son caractère atypique qui faisait l’originalité du manga, il reste très tranchant parfois et c’est tant mieux, car c’est ce qui fait le piquant de cette série.
  17. Nickad

    Gannibal t7

    Je l'ai lu il y a quelques jours, tu ne vas pas être déçu!
  18. Titre de l'album : Re:zero - 4eme arc : Le sanctuaire de la sorcière de l'Avarice tome 2 Scenariste de l'album : NAGATSUKI Tappei Dessinateur de l'album : ATORI Haruno Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Subaru Natsuki, un lycéen subitement invoqué dans un autre monde, a pénétré avec Émilia dans le Sanctuaire où se trouvent Ram et Roswaal. Afin de résoudre les problèmes de cette terre à l’histoire compliquée, une épreuve leur est imposée. Néanmoins, celle-ci s’avère pour le moins déstabilisante... Critique : Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/re-zero-arc-4-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll.
  20. Nickad

    Saturn return tome 1

    Ritsuko Kaji est romancière, depuis le succès de son premier livre 5 ans auparavant, elle a du mal à écrire à nouveau. Sa vie d’épouse est compliquée, les relations avec son mari sont assez étranges, d’un côté il est attentif et de l’autre ne semble rechercher qu’une mère pour ses futurs enfants. Un jour, elle apprend qu’un ancien ami, qui est aussi le personnage principal de son livre, s’est suicidé. Son éditeur va la pousser à aller chercher la vérité, s’il le fait parce qu’il y voit un sujet digne d’un nouveau roman, il l’accompagne aussi car Kaji l’intrigue. Akane Torikai nous avait déjà livré des œuvres très intéressantes (en proie au silence et le siège des exilées notamment) mais sa narration souffrait de certaines longueurs qui, à mon avis, desservait son propos. Encore une fois, elle nous plonge au cœur d’un personnage féminin fort, pris dans les tourments de la vie. Il semble qu’elle ait gagné en maturité, le récit est rondement mené et ne souffre pas de lenteurs. D’un côté il y a Kaji, une femme qui est blessée qui pense avoir été sauvée par son mari mais qui semble très instable émotionnellement. De l’autre il y a Nakajima, le fantôme de l’histoire, celui par qui tout a commencé et qui laisse un flou total dans son sillage : la raison de son suicide mais surtout une réflexion sur la vie, sur le fait d’en être maître ou juste spectateur. Celui qui lui a demandé d’écrire un livre pour laisser une trace de son passage sur Terre et qui avait décidé de mourir avant ses 30 ans. Saturn return est un manga avec des propos extrêmement forts qui mérite de prendre le temps de s’y plonger et d’y réfléchir. Un graphisme soigné, un rendu des sentiments réaliste, un livre que l’on peut lire plusieurs fois avant d’en saisir toute l’essence. Une réussite ! 6 tomes en cours, plutôt destiné aux adultes pour la maturité de la réflexion.
  21. Titre de l'album : Saturn return tome 1 Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Ritsuko Kaji est une romancière qui souffre du syndrome de la page blanche... Mais quand une nuit, elle rêve d'un de ses anciens amis, son quotidien va basculer : au réveil, elle apprend le suicide de ce dernier... Tandis qu'elle se sent étouffée par sa vie de femme au foyer, la voilà rattrapée par le souvenir d'un être cher désormais décédé. Confrontée de force à son passé, elle retourne à Osaka en compagnie de son nouvel éditeur. Mais ce voyage pourrait bien faire remonter des sentiments douloureux à la surface... Critique : Ritsuko Kaji est romancière, depuis le succès de son premier livre 5 ans auparavant, elle a du mal à écrire à nouveau. Sa vie d’épouse est compliquée, les relations avec son mari sont assez étranges, d’un côté il est attentif et de l’autre ne semble rechercher qu’une mère pour ses futurs enfants. Un jour, elle apprend qu’un ancien ami, qui est aussi le personnage principal de son livre, s’est suicidé. Son éditeur va la pousser à aller chercher la vérité, s’il le fait parce qu’il y voit un sujet digne d’un nouveau roman, il l’accompagne aussi car Kaji l’intrigue. Akane Torikai nous avait déjà livré des œuvres très intéressantes (en proie au silence et le siège des exilées notamment) mais sa narration souffrait de certaines longueurs qui, à mon avis, desservait son propos. Encore une fois, elle nous plonge au cœur d’un personnage féminin fort, pris dans les tourments de la vie. Il semble qu’elle ait gagné en maturité, le récit est rondement mené et ne souffre pas de lenteurs. D’un côté il y a Kaji, une femme qui est blessée qui pense avoir été sauvée par son mari mais qui semble très instable émotionnellement. De l’autre il y a Nakajima, le fantôme de l’histoire, celui par qui tout a commencé et qui laisse un flou total dans son sillage : la raison de son suicide mais surtout une réflexion sur la vie, sur le fait d’en être maître ou juste spectateur. Celui qui lui a demandé d’écrire un livre pour laisser une trace de son passage sur Terre et qui avait décidé de mourir avant ses 30 ans. Saturn return est un manga avec des propos extrêmement forts qui mérite de prendre le temps de s’y plonger et d’y réfléchir. Un graphisme soigné, un rendu des sentiments réaliste, un livre que l’on peut lire plusieurs fois avant d’en saisir toute l’essence. Une réussite ! 6 tomes en cours, plutôt destiné aux adultes pour la maturité de la réflexion. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saturn-return-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus.
  23. Titre de l'album : La lame de la rébellion tomes 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : TSUBAKI Taro Dessinateur de l'album : TSUBAKI Taro Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Japon, 1570. Décidé à mettre fin au règne d'Oda Nobunaga qui lui a infligé tant de souffrances, Asuka Asagiri s'empare d'une antique épée dotée d'une puissance hors norme. Mais l'intervention de la mystérieuse Sôki, détentrice du collier de la soumission qui lui permet de totalement contrôler une personne, bouleverse son plan. Critique : Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-lame-de-la-rebellion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Proposition idéale

    Un jour, Hirokuni, jeune travailleur dans une société, doit héberger un ancien ami d’enfance, Kaï, qu’il n’a pas vu depuis 12 ans. Si les garçons étaient proches à l’époque, chacun a mené sa vie. Kaï dit toujours être prêt à honorer une promesse de demande en mariage, Hirokuni prend tout cela à la rigolade, surtout que son travail ne lui laisse pas le temps de souffler. La relation entre les deux garçons n’est pas ce qui marque le plus dans ce manga, certes c’est la finalité de l’histoire mais elle est tellement dépendante du travail d’Hirokuni qu’elle passerait presque au second plan par moment. Car ce que l’on retient surtout, c’est le rythme effréné du travail d’Hirokuni, ce n’est pas la première fois que ce genre d’entreprises japonaise est décrite dans les mangas : des sociétés dite « esclavagistes » où les employés font tellement d’heures qu’ils en tombent parfois malades. Certains isekai voient d’ailleurs leur personnage principal être réincarné après être mort d’épuisement !! Les droits du travail ne sont pas les même partout, félicitons-nous de ne pas en être arrivé à ce stade ! L’arrivée de Kaï, va permettre à Hirokuni de revoir ses priorités (par rapport à sa santé et sa vie privée) et va surtout lui permettre d’oser prendre une décision. Concernant le côté romance, la seule scène à tendance érotique, se trouve à la fin du livre. Un livre bien équilibré avec un vrai contexte et une romance toute mignonne.
  25. Titre de l'album : Proposition idéale Scenariste de l'album : TSURUKAME Mayo Dessinateur de l'album : TSURUKAME Mayo Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Hirokuni subit le harcèlement moral de son supérieur hiérarchique. Alors qu'il était au bord de l'effondrement, Kaï, un ami d'enfance qu'il n'avait pas vu depuis 12 ans, fait irruption dans sa vie. Kaï, qui n'a plus nulle part où loger, va se faire héberger par Hirokuni. Il y a un seul petit souci : Kaï est gay et Hirokuni lui avait autrefois fait une promesse de mariage ! Il craint grandement pour sa vertu. Pourtant Kaï se contente de lui concocter de bons petits plats chaque jour. Ne serait-ce pas plutôt Kaï qui prend soin de Hirokuni, au final ? C'est là que commence la cohabitation le concubinage entre l'homme d'intérieur et l'employé lassé de la vie. Critique : Un jour, Hirokuni, jeune travailleur dans une société, doit héberger un ancien ami d’enfance, Kaï, qu’il n’a pas vu depuis 12 ans. Si les garçons étaient proches à l’époque, chacun a mené sa vie. Kaï dit toujours être prêt à honorer une promesse de demande en mariage, Hirokuni prend tout cela à la rigolade, surtout que son travail ne lui laisse pas le temps de souffler. La relation entre les deux garçons n’est pas ce qui marque le plus dans ce manga, certes c’est la finalité de l’histoire mais elle est tellement dépendante du travail d’Hirokuni qu’elle passerait presque au second plan par moment. Car ce que l’on retient surtout, c’est le rythme effréné du travail d’Hirokuni, ce n’est pas la première fois que ce genre d’entreprises japonaise est décrite dans les mangas : des sociétés dite « esclavagistes » où les employés font tellement d’heures qu’ils en tombent parfois malades. Certains isekai voient d’ailleurs leur personnage principal être réincarné après être mort d’épuisement !! Les droits du travail ne sont pas les même partout, félicitons-nous de ne pas en être arrivé à ce stade ! L’arrivée de Kaï, va permettre à Hirokuni de revoir ses priorités (par rapport à sa santé et sa vie privée) et va surtout lui permettre d’oser prendre une décision. Concernant le côté romance, la seule scène à tendance érotique, se trouve à la fin du livre. Un livre bien équilibré avec un vrai contexte et une romance toute mignonne. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/proposition-ideale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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