poseidon2

A ouais moi aussi la derniere fois je me le suis pris ! Sinon moi j'ai regreté en partant jouer au ping.. mais on a arraché le nul 10-10 grace à 3/3 victoire en simple de votre serviteur plus une victoire en double Donc c'étais une jour née pas mal si on prend en compte qu'il nous manquait une personne dans l'équipe !

A ouais... moi j'ai payer 45€ les deux bloc 85mb avec free....

Tout pareil..... car moi j'ai bien l'impression que cette scene est reelle !

A du CPL 200MB, monsieur ne se refuse rien

Ben au vu du 1..... tu peux attendre pour te decider Mais j'ai vu vitre fais se que cela donnait quand j'étais en Australie et la suite semble vraiment pas mal. Le seul truc qui me fait peur c'est que se soit seulement de la baston... SInon pour Planet Hulk, le point intéressant c'est qu'on voit un Hulk qui est reflechis, pas seulement rempli de colère. Pour une fois on nous montre un Hulk comme un heros et non pas un bruce banner heros et un hulk consequence des coleres de Bruce Banner

J'y pense j'y pense....mais je prefere lmes recueil quand meme

C'est sur qu'il faut vraiment voir ce tome comme un tome sur le flic et quasiment plus sur tanatos....

Tant que tu viens papoter avec nous c'est l'essentiel

Petit up pour dire que j'ai donc vu moriniere aux 5 jours de la bd de grenoble qui m'a donné un accord verbale mais sur aussi en se qui concerne l'utilisation de sont interview.

Ah ouais celle la très classe ! Le fond est tout bonnement magnifique !

Série: Aster Dessinateur: Cauuet Scénariste: Clavery Genre: Fantasy Editeur: DELCOURT Résumé : La prophétie est sur le point de se réaliser. Les peuples d'Aster connaîtront enfin leurs origines. Mais, les élus ont encore une tâche à accomplir : trouver le coeur antique de la ville d'Ashédine. Ils se rendent alors dans la cité et découvrent que leur pire ennemi, Gadriel de Laussor, a pris le pouvoir. Traqués, ils n'ont d'autre choix que de fuir ! Nous avions laissez nos shir'yads juste après leur entrée dans le Nijai, la où De Laussore venait de faire irruption..... nous dévoilant qu'il était le quatrième shir'yad ! Ce quatrième tome ne perds pas une minute. on reprend l'histoire exactement la nous l'avions laissé au troisième. Nos 3 héros ressortent vieillis de la révélation qui vient de leurs être donnée. Tant mentalement que physiquement tellement la révélation est lourde : Les dieux tant cherchés.... sont morts ! Tout cela pour rien ! Reste une question à débattre : est il bon de dévoiler la vérité au peuple d'Aster ou doivent ils les laisser dans l'ignorance ? De son coté, De Laussore, défiguré, rentre à Ashedine pour se venger des vieillards qui l'ont envoyé se faire défigurer.. et prendre le pouvoir par la même occasion ! S'en suis la fin de cette formidable histoire qu'est Aster. Et formidable est le mot. Car je faisais parti des personnes qui attendaient au tournant ce quatrième et dernier album. En effet la série montait en puissance depuis son commencement. Tant au niveau du dessin que du scénario, la qualité ne faisait que grimper au point de craindre une chute somme toute banale... Et bien non! Même si la fin n'est pas la plus original qu'on ai pu voir, elle est magnifiquement amenée par un tome plus dur, ou les personnages ont plus de responsabilités et sont donc moins insouciants que lors de leurs aventures qui les mena au Nijai. Ici chacun des shir'yad doit faire fasse à ces choix passés et doit prendre sur lui pour délivrer Aster de la main de fer de De Laussor. Coté dessin, comme je le disais plus haut, Cauuet s'est amélioré de tome en tome pour finir cette quadrilogie d'une très belle façon avec un registre qui change un peu des trois premiers, plus sombre, plus sanglant mais tout aussi réussi. Cet album conclu donc pour moi une des meilleurs histoire d'aventure en plus de deux tomes. Car gardons bien à l'esprit que maintenir se niveau de qualité sur 4 tomes est assez rare de nos jours. Poseidon2 avec une série de plus à conserver

Tres Joli les dessin et l'historie a l'air intéressante. J'y jetterais un oeil

Deux des auteurs de Emmanuel Proust editions ont bien voulus se preter au jeux des interviews dessinées : <center> <table border="0" cellpadding="2" cellspacing="2"> <tr> <td>Moriniere :</td> <td>Svart :</td> <td>Batist:</td> </tr> <tr> <td width="280px" height="360px"><a href="http://www.1001bd.com/pt/modules.php?name=Content&pa=showpage&pid=72"><img border="0" style="width: 280px; height: 360px;" alt="" src="http://www.1001bd.com/bd/decouvertes/moriniere/1.jpg"></a></td> <td width="280px" height="360px"><a href="http://www.1001bd.com/pt/modules.php?name=Content&pa=showpage&pid=138"><img border="0" style="width: 280px; height: 360px;" alt="" src="http://www.1001bd.com/bd/decouvertes/svart/1-autoportrait.jpg"></a></td> <td width="280px" height="360px"><a href="http://www.1001bd.com/forums_BD/index.php?showtopic=10428"><img border="0" style="width: 280px; height: 360px;" alt="" src="http://imgs.imagup.com/member2/1214474797_1.jpg"></a></td> </tr> </table> </center>

Voici nos avis tant attendus sur différentes BD de Emmanuel Proust Editions ! Auschwitz: Sir Arthur Benton : Tengiz : Trois petits cochons/ Sept nains et demi : Sequana T1 : Le Guetteur Mélancolique : Les poussins de l'espaceMatch Descisif

Emmanuel Proust a bien voulu répondre à quelques menu questions sur ces envies, ces collection et les BD les plus connues du catalogue. 1001bd : Pour l'historique, les éditions Emmanuel Proust éditions sont de jeunes éditions dans le monde de la BD. 6 ans d'existence c'est peu et pour autant l'impression générale est que vous sortez du lots part des BD de qualités. - C'est vrai, six ans c'est peu, d'autant que ça passe trop vite par rapport à tous les projets que j'ai pour cette maison d'édition ! Maintenant, en six années, de nombreuses pistes éditoriales ont été lancées et sont aujourd'hui reprises par toute la profession, ce qui montre que nous étions quelque part dans le vrai. Car on a tendance à l'oublier : dès notre création, j'ai demandé des scénarii originaux aux écrivains, et dans le même temps, je sollicitais des dessinateurs pour réaliser des adaptations d'oeuvres littéraires classiques (Jules verne, Barbey d'Aurevilly, Agatha Christie...) ou internationales (James Ellroy, Tony Hillerman...). Des cinéastes comme Georges Lautner et Robert Guédiguian ont également fait leurs premier pas en bande dessinée. Si on sort du lot, c'est aussi parce que l'on apporte un grand soin à la fabrication de nos albums : tous sont pelliculés en mat, imprimés sur un beau papier, et nous sommes les premiers à avoir généralisé le vernis sélectif sur les couvertures des BD. Vous l'avez compris, ce n'est pas le genre de la maison de niveler par le bas. 1001bd : D'ou est venue l'envie de se lancer dans le monde "fermé" de la BD? Est-ce une volonté éditoriale de la Martinière ou une volonté plus personnelle de certains ? - Je me suis lancé dans la BD tout simplement par réaction aux politiques des majors. « Le fric pour le fric » n'est pas noble quand on a le pouvoir de décider d'une politique éditoriale. Il y avait certaines dérives à l'époque qui m'énervaient ! Alors que j'étais journaliste et directeur de collection, je suis allé proposer à un éditeur indépendant dont j'admirais le parcours, Hervé de la Martinière, s'il voulait bien créer avec moi une maison d'édition de bande dessinée tout public avec une éthique. Je me répète mais c'est important : pas de nivellement par le bas, pas de clones de ce qui marche, uniquement une envie et une volonté de faire découvrir une nouvelle génération d'auteurs, et de les lancer avec la complicité d'écrivains et de cinéastes qui ont un énorme vécu. Bref, c'était très expérimental. 1001bd : Comment avez vous flashé sur le très bel album qu'est "Auschwitz" ? - « Flashé » est vraiment le mot approprié ! Pascal Croci venait au salon du livre de Paris proposer son projet sur le camp de concentration. Le hasard faisant bien les choses, je préparais chez Actes Sud une collection de BD, et Pascal avait eu l'idée géniale de montrer « Auschwitz » à des éditeurs de littérature, puisque tous les éditeurs de BD l'avaient refusé ! Sortant tout juste de mes études d'histoire, j'ai eu immédiatement le coup de foudre pour un tel sujet ! Il correspondait exactement à ce que je voulais éditer. On connaît la suite... Actes Sud n'a pas eu le courage à l'époque de lancer une collection de BD, mais comme Croci et moi-même sommes des acharnés, quand je suis devenu directeur de collection aux éditions du Masque, j'ai immédiatement imposé ce projet pour lequel j'ai créé spécialement la collection Atmosphères. Aujourd'hui, Auschwitz en est à sa huitième réimpression, a obtenu le Prix Jeunesse de l'Assemblée Nationale (une première pour une BD !), et est traduit en huit langues, bientôt dix. 1001bd : Emmanuel Proust éditions et Emmanuel Proust éditions Jeunesse font des oeuvres de qualités mais parfois déroutante comme la magnifique trilogie de "Sir Arthur Benton". On a d'ailleurs l'impression que cette série a été LE grand succès qui vous a lancé. - Pas vraiment, notre catalogue est segmenté en collection, et chacune a trouvé son succès : les séries Agatha Christie ou « AmeriKKKA » sont également très connues du public. Tout à l'heure, on parlait d' « Auschwitz » qui est sans contexte notre titre emblématique - le plus connu - du public, à l'étranger, chez les institutionnels. D'ailleurs je ne pense pas que « Benton » aurait connu le même succès sans « Auschwitz » qui lui a préparé le terrain. En revanche, il est vrai que le scénario de Tarek et le dessin de Perger ont beaucoup plu au réseau spécialisé des libraires de BD alors que jusqu'à présent nos titres les intéressaient peu. Le changement majeur est là. Vous me dites que Emmanuel Proust éditions peut parfois dérouter, vous pouvez pas me faire de plus beau compliment ! Je n'édite pas des albums pop-corns. Si la bande dessinée est avant tout une distraction, elle peut être aussi un formidable moyen pour apprendre des choses tout en se distrayant. Elle peut interpeller le lecteur graphiquement : je pense à l'américain Kent Williams ; elle peut nous interpeller artistiquement : je pense à l'oeuvre poétique et minimaliste de Pome Bernos (« Chronique d'un pigeon parisien »), elle peut évoquer des problèmes majeurs de notre société : « Les 3 Petits cochons », le conte revisité traite d'un problème grave le racisme mais avec humour ! 1001bd : Comment avez-vous rencontré Tarek? - Ce n'est pas un mystère..., notre première rencontre s'est très mal passée, il était venu me présenter un projet que je ne trouvais pas abouti, le ton a très vite monté ! On s'était quittés, pas vraiment amis... Or, Tarek ne s'est pas découragé, un an plus tard il m'envoie par mail son récit d'espionnage « Sir Arthur Benton » avec les premières planches de Perger... Comme pour Croci, c'était exactement ce que je voulais publier. Je lui ai répondu immédiatement que j'étais partant. Pour le convaincre, je lui ai expliqué pourquoi je pensais être l'éditeur de ce genre de série : d'une part j'avais publié « Auschwitz », d'autre part j'étais historien de formation. Ce dernier détail est très important, car il faut sur un sujet historique vérifier les sources, accompagner les auteurs dans une époque et leur proposer un écrin qui correspond à ce qu'ils veulent dire. 1001bd : On le voit beaucoup "à l'affiche". Comment fait il ? - Il faut lui poser la question à lui ! Je pense surtout que c'est un vrai bosseur, ils aiment lire, se documenter, écrire. J'aime beaucoup sa capacité dans la bande dessinée de pouvoir écrire à la fois pour la jeunesse et pour la BD ado-adulte. C'est vraiment une qualité rare. C'est pourquoi j'accepte ces nombreux projets. 1001bd : A t il été difficile de dire oui a une oeuvre graphiquement différentes (mais magnifique au final) et au scénario un peu dure sur une période difficile de notre histoire? - Non, j'ai expliqué, ça été un véritable coup de coeur parce que l'idée était très bonne : celle de montrer comment se déroule l'espionnage en coulisse, et non pas son côté grand guignolesque. Et croyez-moi quand vous recevez sur votre bureau une planche originale de Perger : quel émotion graphique ! Son talent saute aux yeux, c'est pourquoi je vous invite à voir ses originaux. On a hélas une grande perdition à l'imprimerie même si je fais tout mon possible pour être le plus fidèle à sa palette. 1001bd : Cet album a t il été un déclencheur pour votre production? - Non, ce n'est pas parce que Benton a marché que je vais chercher à en faire des clones. Éditorialement, il est clair que la collection Trilogies est « marquée » par ce cycle, elle va devoir s'adapter en s'orientant vers des projets plus exigeants et qualitatifs, mais c'est aussi l'évolution normale d'une maison d'édition après six ans d'existence. 1001bd : Dans le même genre, « Amerikkka » de Otero et Martin est aussi engagé. Cet engagement est aussi une volonté éditorial ? - C'est un engagement artistique qui a pour une ambition de ne pas publier n'importe quoi. Comme je vous l'ai expliqué, je ne vois pas pourquoi la bande dessinée ne pourrait pas proposer des choses intelligentes à lire et à regarder ! tout en lançant des pistes de réflexion à ses lecteurs. Voilà où se situe notre engagement : éditer une bande dessinée qui distrait autant qu'elle interpelle le lecteur, il y a rien de pire que l'indifférence et les oeuvres sans âmes. Plutôt que d'engagement au sens « politique » du terme, je pense qu'il est plus juste de parler d'éthique. Quand Roger Martin écrit la série « Amerikkka », il n'y a rien de gratuit, il nous prévient des méfaits d'une organisation fasciste qui a pignon sur rue aux US, la première démocratie du monde, après on ne pourra pas dire que l'on ne savait pas... En dénonçant le racisme, l'antisémitisme, toutes sortes d'inégalités, hé bien il nous sensibilise aussi sur notre quotidien. C'est pourquoi je parle d'album éthique. 1001bd : Ces albums tranchent d'ailleurs avec tous les magnifiques albums de la collection Jeunesse. Pourquoi partir dès le débuts sur "deux tableaux de chasse" ? - C'est un défaut et une qualité. Pourquoi se priver de faire ce que l'on aime : de l'édition en BD jeunesse et adulte ? J'ai les auteurs pour et l'envie est commune. Pour l'instant, ça nous réussie pas trop mal. De toute façon, je n'aime pas m'enfermer dans un genre : ni cases ni oeillères !, cette maison existe pour surprendre, rechercher de nouvelles pistes éditoriales. À la base, je suis journaliste pas éditeur. C'est sans doute pour cela, un reporter a toujours envie de faire partager de nouvelles choses. Mais je tiens à vous signaler que le catalogue est quand même organisé en concepts de collections très précis qui permettent justement d'être généraliste. Sur le long terme, je sais que cet effort paiera, pour l'instant, la maison est en construction, elle a ses fondations maintenant on va construire la suite. 1001bd : Vos BD jeunesses ne "surfent" pas sur la vague des titeuf et autre kid paddle et ont souvent une double lecture. Ne pensez vous pas que certaines sont plus lues par les parents que par les enfants? - Non, j'en ai la preuve tous les jours, les auteurs de ces albums jeunesse font de nombreuses interventions dans le milieu scolaire. C'est bien les enfants qui les lisent. Le but d'un album jeunesse est d'organiser une rencontre voire une passerelle entre les enfants et les adultes, c'est pourquoi il y a deux niveaux de lecture. 1001bd : Vous l'aurez sûrement compris, une de mes questions récurrentes est : Donnez vous libre court à l'imagination de vos auteurs et si oui pourquoi ? - à partir du moment où j'accepte un projet, je laisse l'auteur libre. Toutefois, je suis pas un éditeur photocopieur, tous le savent. Je suis là pour faire mon travail d'éditeur, c'est à dire que j'accompagne le projet, mais il n'y a pas de généralités, certains auteurs n'ont pas besoin de conseils et se gèrent seuls, d'autres au contraire ont grandement besoin d'un regard extérieur et d'une direction littéraire et artistique pour les accompagner dans leur création. 1001bd : J'ai eu le plaisir de rencontrer Tarek, Moriniere, Otéro, Pompetti et Batist aux 5 jours de la BD de Grenoble. La rencontre fut plus qu'agréable, très marrante et aussi instructive. Mais la moyenne d'age était jeune. Une jeune maison d'édition rime-t-elle forcement avec jeunes auteurs? - Je vous répondrais que « la valeur n'attend pas le nombre des années ». J'ai également des auteurs expérimentés comme Béja et Nataël (Fantic), Swyssen (à paraître :les rééditions de Rouletabille fin août) ; Tarek et Morinière sont-ils des jeunes auteurs ? Sûrement pas, il sont passés par Pointe Noire, Soleil, ont eu des succès bien avant de venir chez Emmanuel Proust éditions ; Pompetti a publié deux albums chez Glénat avant Raspoutine ; Otéro entame actuellement son 9e album (Bonecreeek 2)... Ce catalogue n'est pas une usine à dessinateur, nous ne sommes pas très nombreux, une centaine, et sur la centaine, il y a un bon mixe entre auteurs d'expérience et débutants. Je dois reconnaître aussi que c'est un choix de politique éditoriale, cette maison d'édition n'a que six ans et souhaite grandir avec les auteurs avec qui elle a commencé, ce qui ne l'empêchera pas dans les années qui viennent d'éditer des auteurs plus confirmés. À condition que ceux-ci souhaitent adhérer à notre état d'esprit qui est plus éthique que marketing. 1001bd : Pour revenir sur les éditions Emmanuel Proust en général, au jour d'aujourd'hui, pensez vous vous être vraiment implanté dans le monde de la BD ? - Il reste beaucoup à faire en France dû à la multiplication des maisons d'édition et à la surproduction des majors. Il est clair que devons augmenter notre visibilité en librairie et sur le web. Nous allons y travailler avec notre partenaire MK2 qui va nous apporter son expertise et ses compétences. En ce qui concerne l'international, il semble que nous soyons un cas à part : nous n'achetons pas de droits mais en vendons. Certain de nos albums sont traduits dans une dizaine de pays alors qu'il est admis qu'un titre Made in France en général ne dépasse pas trois langues. 1001bd : La séparation récente avec "la Martiniere" est il une conséquence du succès? - Plutôt voeux commun entre deux partenaires de se séparer au bon moment. Pour le groupe la Martinière le futur de cette maison d'édition représentait un trop lourd investissement, quant à moi, je pense qu'il n'était plus possible de grandir sans acquérir son autonomie. Ce qui est fait aujourd'hui. La Martinière a très bien joué son rôle d'investisseur de départ et a permis que je reprenne mon indépendance pour développer des synergies avec MK2 qui est à la fois un actionnaire de poids et de prestige pour le futur de la maison d'édition. 1001bd : Pour finir, quelques indiscrétion sur les nouveautés à venir? - Un nouveau challenge nous attend avec la collection AtmosphèreSport. Son contenu me semble original : il s'agit de one shot qui ont pour décor le sport mais qui ont pour thématique la quête initiatique chez les adolescents. Dans « Match décisif » un père veut obliger son fils à devenir footballeur... tandis que dans « Le Marathon de Safia », une jeune fille d'origine algérienne rêve de devenir championne mais son père s'y oppose. Pour réaliser chaque album, les auteurs se sont documentés à la source : auprès des sportifs et des spécialistes, si bien que ces fictions documentaires seront, je l'espère, autant facile à lire que crédible. Merci pour avoir répondu à ces question et encore félicitation pour la qualité présentée jusqu'à présent et comme on dit "Que cela dure !" Poseidon2

Emmanuel Proust éditions a vu son premier titre paraître en août 2002. Il s'agissait de la bande dessinée document Auschwitz, Prix jeunesse de l'Assemblée Nationale. L'axe de développement de la maison d'édition a été très clair : accueillir une nouvelle vague d'auteurs, mais ne provenant pas exclusivement du milieu BD ! Des écrivains comme Didier Daeninckx et Daniel Picouly, des cinéastes comme Georges Lautner et Robert Guédiguian ont « transposé » leur univers avec enthousiasme. Dès le départ, il était également question de bousculer les habitudes du medium BD tant au sujet des thématiques, des maquettes et des choix d'auteurs. Un grand soin est apporté à la fabrication et au packaging des albums - tous publiés en pelliculage mat, et parfois accompagnés d'un vernis sélectif, et/ou d'un dossier très complet qui invite le lecteur à s'immerger totalement dans la création de l'oeuvre. Cette singularité se traduit par une sélection d'histoires à la créativité surprenante : la dessinatrice Pome Bernos dans « Chronique d''un pigeon parisien » aborde la place de l'Art urbain dans notre quotidien ; l'écrivain Roger Martin dans la série résolument populaire « AmeriKKKa » évoque les dérives d'une Amérique en proie à toutes sortes d'extrémismes ; l'écrivain mexicain Paco Ignacio Taïbo II, dans les épisodes de « A quatre mains », se veut le chantre de la mémoire des révolutions d'Amérique Latine, tandis que Tarek et Morinière détournent le conte connu de tous « Les 3 petits cochons » pour symboliser, avec finesse, les différences culturelles et religieuses à destination des 7-12 ans. Restons jeunes ! Dès le lancement de Emmanuel Proust éditions, plusieurs albums s'adressaient aux jeunes lecteurs : la trilogie Ulysse et la BD document Auschwitz. Il était donc naturel de lancer en 2006 une collection spécifique à destination des 7-12 ans : EP Jeunesse. Avec ces « récits d'aventures classiques à lire au premier ou au second degré », cette collection prolonge le souhait de la maison d'édition de publier des livres de qualité n'imitant pas ce qui marche ailleurs. Car dans un marché où règnent les clones et la surproduction, Emmanuel Proust continue de travailler sur ses fondamentaux : des choix affirmés pour une identité forte. Plutôt que d'aller chercher le public des autres, nous pensons qu'il faut se créer un cercle de fidèles se retrouvant dans ce que nous publions. Editeur éthique, cela revient à privilégier d'abord le fond avant la forme. Sensibilisation à la bande dessinée Sortir strictement du cadre promotionnel a toujours été important. Depuis notre création, nos auteurs, comme l'éditeur, interviennent dans les écoles, dans les salons, dans les librairies et dans les bibliothèques. Il s'agit de proposer des débats et des animations à destination du grand public, des classes et de leurs professeurs, des expositions, et de participer à des oeuvres caritatives, afin d'inscrire la bande dessinée dans les préoccupations de la société. Il s'agit également d'expliquer et de sensibiliser les différents publics au médium, de lui apporter notre expérience de la bande dessinée, alliant théorie et pratique. epeditions.com Après quatre années d'existence, la maison est de plus en plus appelée par les libraires et les lecteurs « EP éditions » - du nom de son logo. C'est pourquoi notre site internet a été baptisé : epeditions.com. Site sur lequel on retrouve tout ce qui fait la singularité de notre production avec des interviews d'auteurs, des planches inédites et l'agenda des dédicaces, salons et événements, quelques bandes annonces des réalisateurs de cinéma publiés dans la collection Ciné9. Les collections Notre démarche consiste à trouver le plus bel écrin aux oeuvres des jeunes talents comme des auteurs connus. Cette politique éditoriale est reflétée par nos différents concepts de collections : Atmosphères : « surprendre à chaque nouveauté » Plus qu'une collection, un label sous lequel les auteurs s'expriment en toute liberté : format, pagination et thématique. « Atmosphères » marque les esprits dès la publication de ses deux premiers titres : Carton Jaune ! de l'écrivain Didier Daeninckx et Auschwitz, l'album événement de Pascal Croci traduit en dix langues. Petits Meurtres : « toutes les tendances du polar » La collection a été la première à associer écrivains de romans policiers et jeunes dessinateurs. Cohérente par son petit format, sa pagination fleuve en noir et blanc et sa reliure intégra, elle marque une pause éditoriale pour revenir sous une forme plus adaptée à l'évolution de la bande dessinée. Attention, la plupart de ces titres sont en passe d'être épuisés. Trilogies : « Un cycle en trois épisodes » Pas de trolls ni de séries interminables ! La collection Trilogies propose à ses lecteurs « une histoire complète en trois tomes ». Dans tous les genres : historique, humour décalé, thriller, fantasy, adaptation littéraire, fantastique, science fiction. En 2006, se sont terminés deux cycles qui ont tenu toutes leurs promesses en matière de suspense : Sir Arthur Benton et Pyramides. Agatha Christie : « la reine du crime en BD » Où l'on retrouve - dans des albums à présentation luxe mais à prix populaire, le talent inégalé de Agatha Christie pour bâtir des intrigues tortueuses et mettre en scène des enquêteurs atypiques : Hercule Poirot ; Miss Marple. Une série dont le succès va grandissant en France comme dans le monde. Le projet est bien sûr d'adapter en bande dessinée les 66 romans de celle que ses contemporains ont surnommé très justement « la duchesse de la mort ». AmeriKKKa : « une série basée sur des faits réels » Quand la justice est impuissante, quand la police est complaisante, les associations de lutte contre le Ku Klux Klan font appel à deux agents très spéciaux : Angéla Freeman et Steve Ryan. Chaque épisode de cette série se déroule dans un état différent des Etats-Unis et se base sur des faits réels. Ciné 9 : « votre cinéma en bande dessiné » Cinéma et bande dessinée s'influencent. Des synergies restent à inventer : la collection Ciné9 propose une rencontre entre ces deux moyens d'expression. Mais pour que cette rencontre produise du sens : pas d'album standardisé. NoirQuadri : « les écrivains cultes du polar international » En one-shots ou en séries couleur, une collection de bande dessinée dédiée aux écrivains culte du roman noir. L'écrivain américain James Ellroy a inauguré la collection. NoirQuadri accueille maintenant l'écrivain sud-américain Paco Ignacio Taïbo II. Et d'autres écrivains de renommée internationale se sont manifestés pour les années à venir. Sport&BD : « destin et aventure sportive » Comment allier les grandes passions sportives à la narration BD ? Sur le modèle des films Les Chariots de feu ou L'Angoisse du gardien de but au moment du penalty, cette collection associe sport et bande dessinée, en collaboration avec le Ministère de la jeunesse, des sports et de la vie associative. EP jeunesse : « restez jeunes ! » La société évolue et la jeunesse aussi, fini les BD de papa ! Un album jeunesse peut aujourd'hui aborder des problématiques de société et proposer des aventures accessibles à tous mais non dénuées de sens. C'est pourquoi les références culturelles et sociétales de ces albums destinés aux 7-12 ans se lisent au premier comme au second degré ! Sources : http://www.epeditions.fr/

Nous on a des petits soucis mais je pense que ca viens de nos PC portables....

Ben comme tu preferes.... SInon il faut voir avec RR comment on peu mettre ton strip en premiere page du site sans faire une news a chaque fois.

Editeur : Panini Comics Scénario : J. Palmiotti, J. Gray Dessin : A. Archer Couleur : J. Rench Résumé : Jason, Jason..... un nom qui résonne comme un malédiction pour le lac Crystal. Car c'est par lui, ou plutot par sa mere que le drame arriva dans les années 70. Souvenez vous: Une colonie de jeune assassinés froidement par un tueur au masque de hockey.... Mais 30 ans ont passé et même si une rumeur cours sur la "vengeance de Jason", une entrepreneur a racheté le camp de vacances et a fait venir des jeunes gens pour tout remettre en état avant son ouverture. Comme tout jeunes ils sont insouciant et ne croient pas au "lac hanté"... ils ont bien tort... Tout le monde a vu "Vendredi 13" ? Comment ça vous avez moins de 40 ans? Ce n'est pas une excuse. Même si ce film se fait vieux, cela reste un film d'horreur mythique! Le genre qu'il faut absolument voir à Halloween entre potes, pour faire semblant de la prendre à la rigolade et finir en se fermant la porte a double tour avant de se coucher.... Vous rigolez, vous rigolez... et Bien Sally et ces copains rigolaient eux aussi.... jusqu'à se qu'ils aperçoivent un homme masqué d'un masque de hockey les attaquer.... Ca ne peut être qu'un fan de la légende....mais en sont ils si sur.... Voila pour le contexte Parlons maintenant BD. Tout d'abord je dois vous dire que j'appréhendais un peu cette lecture car même si j'aime bien le sujet, je me disais qu'il ne serait pas facile de rendre l'ambiance gloque des films sur des planches de BD.... Et bien je me suis trompé. En fait cette BD est quasiment l'inverse. Par la j'entends que sur un scénario quelconque, le dessin et l'ambiance ressorte tellement bien qu'en fermant le bouquin, et en éteignant la lumière derrière, je ne faisais pas le malin..... Tant le coté gore de la BD que le coté surprenant des apparitions de Jason rendent cette BD un peu effrayante. Attention, j'ai bien dis "un peu" car je pense que rien ne pourra remplacer les cris stridents des films d'horreur ! La cerise sur le gâteau est la très sympathique introduction nous rappelant la chronologie des films qui ont amené certains... à croire que le lac crystal était réellement hanté ! Pos², qui va se refaire une session film d'horreur un de ces jours !

En ce moment pour moi un peu....

Tient tient... toi qui lit tout ca, tu nous ferait pas une petit critique/resumé Car je n'achete pas tout quand meme....

il était pas vieux c'est fou.....

Ca effectivement cette serie commencée par Planete Hulk montre une Hulk.. reflechis ! Ca change

Editeur : Panini comics Dessinateurs : Sean PHILLIPS, Lee WEEKS,Alvaro RIO Scénariste :Peter DAVID Coloriste : William MURSI Résumé : Hulk est énervé ! Plus que ça, il est complètement fou de rage ! Contre qui? Contre tout ces sois disant héros qui n'ont pas hésité a l'envoyer dans l'espace et qui n'ont pas hésité à détruire son monde ! Plus que ça, sa reine... son futur enfant. Alors quand il trouve le moyen de revenir sur terre, les soit disant héros n'ont qu'a bien se tenir ! Ca y est ! On est partis ! La guerre a commencé !!!!!!!!! Et bien non ! Se qui est chez nous le premier tome du cross over World War Hulk n'est pas a proprement parlé le début de la guerre de hulk. Ce n'est "que" le résumé sur le pourquoi de la guerre de hulk. Plus que cela c'est même un résumé des mésaventures de Hulk avec les autres Heros, le tout présenté du point de vue de l'ex miss hulk mais aussi du point de vu des super héros. Le problème est que cela est une redite pour les connaisseurs mais est à peine suffisant pour les "newbies". On survole tout les malentendus entre hulk et les autres héros trop rapidement... Par contre on a tout un coté de préparation de l'attaque coté Hulk qui est elle plus intéressante et qui est une vrai mise en place au prochain chapitre. Il nous faut donc ronger notre frein jusqu'au moi prochain pour voir le premier combat entre Hulk.... et la flèche Noire ! Pos², impatient.

Yes ! Je l'ai vu hier soir et c'est trop bon ! mais effectivement c'est trop long a sortir... attendre le 9 avril... mais si tu lis les scans, tu verra qu'une fois arrivé a niveau, c'est encore pire !