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Ildera

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Tout ce qui a été posté par Ildera

  1. Au niveau des BO ( sans avoir forcément vu les films), je mettrai : 1)- les musiques d'Ennio Morricone 2)-celles de Vladimir Cosma 3)- Danny Elfmann of course ! 4)- les BO des films de Kubrick 5)-Apocalypse Now 6)-Avalon 7)-Good bye Lenin 8)-Kill Bill, Kill Bill, Kill Bill 9)-Lost in Translation 10)-Elephant Hum, pour l'instant, ce sont les seules qui me viennent à l'esprit. :wink:
  2. Oki . Merci de ta réponse, je crois que je vais les trouver et les lire. Connaître la façon dont Garath devient Belgarath est effectivement intéressant pour quelqu'un qui a lu la décalogie. :wink:
  3. Je me permets de te poser une question Poseidon2. :wink: Evidemment, j'ai lu la décalogie d'Eddings ( quel bonheur, ces bouquins!) et récemment, j'ai décidé de me mettre aux préquelles ( qui sont écrites après mais bon...). J'ai donc lu les deux "Polgara". Très intéressant, ça permet d'avoir bon nombre de réponses, de découvrir toute l'histoire de la famille de Riva etc. Néanmoins, j'ai trouvé une différence dans le style, tu vois des lourdeurs. Par exemple, Belgarath et Polgara s'envoient des piques comme dans la décalogie. Mais, comme c'est Polgara qui raconte, elle rajoute des explications superflues( comme "tiens prends-ça dans les dents, vieux loup" ). Y a-t-il le même genre de chose dans les Belgarath ou est-ce qu'ils valent vraiment le coup ? ( oh, les 10 tomes de 350 pages se lisent vite et quand on aime, on ne compte pas ! )
  4. Ildera

    [cine]Kill Bill

    Il est possible que la sortie du 1 en DVD joue sur le report du volume 2, même si on espère surtout fortement un coffret collector avec les deux volumes .Oui, bon d'accord, moi, j'attends un coffret collector ! Oui, je suis une fan et alors? Je crois que je m'égare là! Mais il y a une deuxième raison invoquée à ce retard qui est en fait le festival de Cannes. Kill Bill volume 2 en ferait l'ouverture. :wink:
  5. CITATION(poseidon2)..........;Juste un detail qui a trais au film: Il rese pour le talk show juste pour charlotte. A mon avis e reste il s'en fou carrement, vu l'enthousiasme qu'il y met au talk show... D'accord, là-dessus, nous sommes d'accord, j'avais juste mal interprété ton propos. :wink:
  6. CITATION(poseidon2)Donc vraiment enchanté. Seul point negatifs, la longueur et la critique de la vie japonaise. Ces "bons"  americains ne font aucuns effort pour essayer de s'adapter a la culture(surtout lui) et ne font que denigrer en se disant: c'est quand même mieux chez moi". En plus les talk show et autre tournage qu'ils nous montrent le font vraiment passé pour dezs poires les pauvres japonais. Je vais me permettre de contester un peu. :wink: On peut en effet considérer qu'ils ne cherchent pas à s'intégrer. Mais à ce moment-là, en fait, on rejoint le fait qu'ils sont perdus. Ils ne comprennent pas ce monde comme beaucoup d'occidentaux pour qui le Japon est un bien beau pays exotique peuplé de fous qu'on voit s'extasier au JT de 20h sur les dernières évolutions technologiques ( genre le soi-disant faiseur de rêves où il suffit de coller la photo de la personne dont on veut rêver et rajouter je ne sais quoi.). Je n'ai pas eu vraiment l'impression qu'ils se disaient que c'est mieux en Amérique puisqu'eux justement sont perdus chez eux. Pour Bob Harris, l'Amérique est synonyme de son mariage ( raté ). Il accepte même de rester au Japon participer au talk-show. Si le fait d'être dans un hôtel pour touristes américains fortunés, de ne féquenter que des Américains par facilité est un signe de "non-intégration", je m'incline, tu as raison. ( En considérant que le temps qu'ils passent avec les amis de Charlotte n'est qu'un moment destiné à se retrouver tous les deux). Concernant les talk-show, je suis plus réservée que toi. Les Japonais ont un monde du travail particulièrement difficile comme chacun sait. Mais, dans un sens, ils restent des grands enfants, avec des distributeurs de figurines dérivées à tous les coins de rue, les panneaux publicitaires immenses ( qu'on peut voir dans le film) et leur fascination pour la technologie et les jeux en tout genre. A mon avis, et d'après le témoignage de mon frère qui y a passé trois mois, le présentateur n'est pas une caricature. :wink:
  7. Alors, l'histoire du montage semble peu claire. Officiellement, le montage est de Sarah Flack. Néanmoins: C'est difficile de garder le contrôle artistique sur un film à gros budget, remarque Sofia Coppola ; si vous n'obtenez pas le droit au montage final -le final cut-, il est difficile d'imposer un point de vue original." Elle dit : "Nous avions le contrôle sur le montage final, puisque nous avons réuni nous-mêmes le financement auprès de financiers étrangers." Ce "nous" n'est pas de majesté, il désigne cette multinationale branchée et informelle qui s'est constituée autour de Sofia Coppola. Source: Le Monde
  8. CITATION(Monfreid)bienvenue parmis nous  :D Merci. :wink: J'oubliais que si on peut considérer que LiT est un brin mélancolique ( leur vie devient superbe pour quelques jours seulement puisqu'ils vont se séparer), il n'a pas la force dramatique de Virgin Suicides. Justement parce que Bill Murray fait du Bill Murray ( et alors quand il est doublé en Japonais... ), on se surprend à rire, ou au moins à sourire. Personnellement, je suis sortie radieuse du cinéma, espérant vivre une relation ayant une telle force un jour. :wink: Et puis, malgré tout Sofia Coppola filme magnifiquement. Et sauf erreur de ma part, il faudrait que je vérifie, elle a obtenu des studios de faire elle-même le montage, c'est donc bien SON film. ( je vais vérifier cette info dès que j'ai le temps, à moins que quelq'un ne sache?) :wink:
  9. A l'annonce du nouveau film de Sofia Coppola, après le superbe, émouvant et sobre Virgin suicide, je me suis précipitée dans les salles voir Lost in Translation. D'emblée, on voit les différences entre les "civilisations". Alors que le Japonais semble crier, la traduction est toute gentille. On rencontre deux personnages perdus dans leurs mariages respectifs, deux américains perdus à Tokyo. Logiquement, ces deux "paumés" vont se retrouver dans l'agitation de la ville. Leur rencontre commence sobrement, un verre offert, des regards, des sourires avec la prise de conscience de l'égarement de l'autre. Leur relation reste "pudique", c'est-à-dire qu'être ensemble, avec quelqu'un qui leur ressemble, leur suffit. L'image des temples japonais désertiques, silencieux est alors superbe. Seule Charlotte y va, mais on ne la voit jamais y entrer. Et tout de suite, on revient dans l'agglomération de Tokyo, bruyante, étrangère. Ils ne comprennent pas leur mariage ( écoutez les conversations de Bill Murray avec sa femme, les quelques paroles échangées entre Charlotte et son mari qu'elle ne fait que suivre), ne comprennent pas la langue du pays ( et sont incapables de comprendre le plat qu'ils commandent au restaurant) mais un seul regard échangé et eux se comprennent, se retrouvent dans l'autre et découvrent alors Tokyo autrement. LiT n'est pas Virgin Suicide, ce n'est plus ce coup d'essai de maître mais reste un film onirique et magnifique sur les relations humaines à la fois simples et compliquées. J'ai adoré. :wink: Pardon pour ce long message.
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