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  1. Un changement de dessinateur entre un tome 1 réussi et un tome 2 c'est peu courant. Mais un nouveau changement de dessinateur au milieu du tome 2 ça l'est encore moins. J'ai donc posé la question à l'éditeur et dès que j'aurais la réponse promis je vous tiens informé des raisons de cette curiosité. Il faut reconnaitre que si à, première vue, ce n'est guère engageant, le premier tome de Tarzan nous avait ceci dit laissé une très belle impression. Soyons francs, je m'étais régalé à l'époque et c'est donc avec grand plaisir que j'ai dévoré ce tome 2. L'histoire est forcément plus originale que le premier tome puisque celui-ci retraçait simplement la légende de Tarzan telle qu'on la connait. Ce second opus nous livre une histoire moins connue écrite par Edgar Rice Burroughs autour de son personnage de Tarzan. Se déroulant juste après la fin du tome précédent, on y retrouve Tarzan mêlé à une aventure ou le fantastique et l'esprit de Jules Vernes cohabitent afin de livrer au roi de la jungle de nouveaux défis. Si l'on pourrait rester dubitatif sur la cohérence de l'ensemble, le gosse que je suis resté à globalement beaucoup aimé se replonger dans l'univers des histoires d'aventures se son enfance une nouvelle fois. Vous l'aurez compris, sio ce tome 2 est pour moi un cran en dessous du premier, ne prenons donc pas ce Tarzan aussi sérieusement que le précéndent qui brillait par sa noirceur et son atmosphère et ne boudons pas pour autant notre plaisir avec ce Tarzan intrépide et sauvage. A noter que la couverture est réalisée par l'excellent Eric Bourgier.
  2. Chronique réalisé à partir du pdf de lecture, la pagination, le rendu graphique peuvent bien évidemment changer en version papier, vérifiez si l'ensemble vous plait chez votre libraire. Après un tome 10 d'Androïdes hyper enthousiasmant, ce tome 11 ne pouvait que m'intéresser. Première info, et non des moindres il s'agit ici d'un diptyque. L'histoire s'arrête en plein vol, et il faudra donc bien attendre le second tome pour jauger de la qualité finale de l'ensemble. Seconde info, également importante, il s'agit d'une transposition assez libre de la nouvelle "Au coeur des ténébres" de Joseph Conrad, nouvelle qui a inspiré déjà pas mal d'oeuvres cinématographiques connues, sans vraiment pourtant avoir été reprise dans son intégralité. Point de frayeur à avoir donc si vous ne connaissez pas l'oeuvre originale, ni d'attente particulière dans le cas contraire. Je trouve qu'après l'œuvre majeure livrée par Alain Brion sur le tome précédent on retombe ici dans une BD graphiquement plus habituelle. C'est joli et assez bien rendu, avec un dynamisme bienvenu dans les rendus de mouvements mais cela ne transcende pas pour autant le récit. Côté histoire, attention, le format diptyque autorise ici Jean Pierre Pecau à nous livrer une embrouille bien plus touffue que ce que l'on a l'habitude, et à la fin de ce tome qui avance pourtant tambour battant il reste encore beaucoup de questions en suspens... Et c'est tant mieux que cette série s'accorde enfin un peu plus d'ambition en sortant du carcan parfois étriqué du one shot.
  3. Titre de l'album : Androïdes - Tome 11 - Marlowe - Chapitre 1 Scenariste de l'album : Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Dim D Coloriste : Dim D Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Jean Pierre Pécau, qui n'en est pas à sa première adaptation d'Au coeur des ténèbres de Joseph Conrad, le transpose cette fois dans un futur sombre, dur, désespéré et offre à la série androïdes un diptyque dantesque. Lorsque le capitaine Marlowe est autorisée à sortir de la clinique psychiatrique, c'est pour partir en mission dans le plus grand camp de réfugiés, de narco trafiquants, de hackers et autres terroristes du monde. En bon soldat elle s'exécute sans rechigner. Mais pourquoi déteste-elle les synthétiques et pourquoi l'état-major tient tant à ce que ce soit elle qui se charge de cette mission ? Critique : Chronique réalisé à partir du pdf de lecture, la pagination, le rendu graphique peuvent bien évidemment changer en version papier, vérifiez si l'ensemble vous plait chez votre libraire. Après un tome 10 d'Androïdes hyper enthousiasmant, ce tome 11 ne pouvait que m'intéresser. Première info, et non des moindres il s'agit ici d'un diptyque. L'histoire s'arrête en plein vol, et il faudra donc bien attendre le second tome pour jauger de la qualité finale de l'ensemble. Seconde info, également importante, il s'agit d'une transposition assez libre de la nouvelle "Au coeur des ténébres" de Joseph Conrad, nouvelle qui a inspiré déjà pas mal d'oeuvres cinématographiques connues, sans vraiment pourtant avoir été reprise dans son intégralité. Point de frayeur à avoir donc si vous ne connaissez pas l'oeuvre originale, ni d'attente particulière dans le cas contraire. Je trouve qu'après l'œuvre majeure livrée par Alain Brion sur le tome précédent on retombe ici dans une BD graphiquement plus habituelle. C'est joli et assez bien rendu, avec un dynamisme bienvenu dans les rendus de mouvements mais cela ne transcende pas pour autant le récit. Côté histoire, attention, le format diptyque autorise ici Jean Pierre Pecau à nous livrer une embrouille bien plus touffue que ce que l'on a l'habitude, et à la fin de ce tome qui avance pourtant tambour battant il reste encore beaucoup de questions en suspens... Et c'est tant mieux que cette série s'accorde enfin un peu plus d'ambition en sortant du carcan parfois étriqué du one shot. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/androides-tome-11-marlowe-chapitre-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd d'origine.. Ce tome 15 de Samouraï est dans la lignée directe des précédents. Il offre une lecture agréable, et un japon médiéval bien moins fantastique qu'au démarrage de la série ce qui n'est pas pour me déplaire. Ceci dit les scénarios deviennent également plus simples et manquent un peu de complexité je trouve. Il faut également bien reconnaitre que le travail de Mormile n'est pas aussi remarquable à mon humble avis que le trait de Genêt, le premier dessinateur sur cette série. Du coup la série donne l'impression de s'essouffler un peu même si le plaisir de lecture est bien là. Mon avis peut sembler un peu dur tant j'ai apprécié les débuts de cette série qui reste toutefois de bonne facture globalement...
  5. Titre de l'album : Samuraï - Tome 15 - Insoupçonnable Scenariste de l'album : Di Giorgio Dessinateur de l'album : Mormile Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Qui a empoisonné la rivière de Tadami ? Est-ce la même personne qui, depuis deux mois, assassine des villageois à l'aide d'un kunai ?Le rôle de Takeo va-t-il consister à compter les cadavres ou à chercher la vérité ?L'aventure ne sera pas de tout repos. Certains villageois n'hésitant pas à faire appel à des tueurs, chargés d'éliminer toutes personnes susceptibles de nuire à leurs objectifs... Critique : Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd d'origine.. Ce tome 15 de Samouraï est dans la lignée directe des précédents. Il offre une lecture agréable, et un japon médiéval bien moins fantastique qu'au démarrage de la série ce qui n'est pas pour me déplaire. Ceci dit les scénarios deviennent également plus simples et manquent un peu de complexité je trouve. Il faut également bien reconnaitre que le travail de Mormile n'est pas aussi remarquable à mon humble avis que le trait de Genêt, le premier dessinateur sur cette série. Du coup la série donne l'impression de s'essouffler un peu même si le plaisir de lecture est bien là. Mon avis peut sembler un peu dur tant j'ai apprécié les débuts de cette série qui reste toutefois de bonne facture globalement... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/samurai-tome-15-insoupconnable?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : La cour des miracles - Tome 3 - Le crépuscule des miracles Scenariste de l'album : Stéphane Piatzszek Dessinateur de l'album : Julien Maffre Coloriste : Julien Maffre, Karamba Dramé et Croqueforme Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : La Cour des Miracles fait face à la ténacité du lieutenant La Reynie, déterminé à « nettoyer Paris » de la vilaine engeance qui déstabilise le pouvoir et terrorise les parisiens. Mais profitant de l'absence du roi Louis XIV au château de Saint Germain, la Reine de la Canaille entraîne les siens, guidés par le comédien Scaramouche à jouir des luxes du palais royal le temps d'une nuit de liesse... Critique : La fin de la trilogie de la cour des miracles s'annonçait dantesque après un tome 2 dur et sanglant. Il ne pouvait donc en être autrement et le lecteur ne sera ni surpris ni déçu puisque toutes les personnages secondaires se retrouvent à affronter leurs destinées dans ce tome dense, intense, et une nouvelle fois romanesque. On est pas dans de l'Alexandre Dumas ici puisqu'on y parle toujours et avant tout des gueux, mais l'on sent son ombre planer sur l'ensemble de cette série plutôt très réussie. Si le dessin inspiré et original de Julien Maffre qui a également réalisé le remarqué Stern vous plait comme à moi, vous ne pourrez qu'aimer cette cour des Miracles. Si ce n'est malheureusement pas le cas pour vous, rabattez vous sur le Roy des Ribauds 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-cour-des-miracles-tome-3-le-crepuscule-des-miracles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. La fin de la trilogie de la cour des miracles s'annonçait dantesque après un tome 2 dur et sanglant. Il ne pouvait donc en être autrement et le lecteur ne sera ni surpris ni déçu puisque toutes les personnages secondaires se retrouvent à affronter leurs destinées dans ce tome dense, intense, et une nouvelle fois romanesque. On est pas dans de l'Alexandre Dumas ici puisqu'on y parle toujours et avant tout des gueux, mais l'on sent son ombre planer sur l'ensemble de cette série plutôt très réussie. Si le dessin inspiré et original de Julien Maffre qui a également réalisé le remarqué Stern vous plait comme à moi, vous ne pourrez qu'aimer cette cour des Miracles. Si ce n'est malheureusement pas le cas pour vous, rabattez vous sur le Roy des Ribauds 🙂
  8. Il n'est pas évident de chroniquer cet Orépia, parce qu'à priori il a pas mal de tares. L'histoire d'abord nous place devant la classique aventure d'une troupe de mercenaire qui se râlent dessus et qui sont menés par un capitaine bien mystérieux. Le méchant est évidemment un grand méchant (qui couche avec sa soeur... Si si quand je vous dis qu'on est dans l'originalité jusqu'au bout), il y a de la magie, des races fantasy, et des grands coups d'épées. Graphiquement si le tout est plutôt joli, il se dégage parfois de certaines scènes une impression de corps et visages figés, un peu comme sur la couverture. Je serais bien embêtés de vous dire d'où cela peut venir mais le ressenti est bien présent et si ce n'est guère gênant, cela gâche tout de même un peu le potentiel graphique de ce tire. Dommage car l'univers et l'humour est plutôt bien représenté. Alors une fois que j'ai dit tout cela pourquoi j'hésites ? J'hésites parce que bien qu'une partie de la recette qui a fait le succès de Lanfeust a été dévoyée ici, le tout garde un petit charme, l'aventure roule plutôt bien, les vannes m'ont fait sourire et finalement je l'ai lu avec plaisir. Cela reste un tome d'introduction et je gage que la série ne restera pas dans les annales de l'héroïc Fantasy, mais le background s'annonce suffisamment propre pour que cette série puisse prendre un peu d'ampleur je pense. A voir avec le prochains tomes si les travers sont corrigés.
  9. Titre de l'album : Orépia - Tome 1 - L'héritier d'atlantis Scenariste de l'album : Fabien Dalmasso Dessinateur de l'album : Jae Hwan Kim Coloriste : Cyril Vincent Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Ardeia, cité réputée imprenable, vient de tomber, prise d'assaut par un mystérieux envahisseur. Adhémar et ses mercenaires roublards ont réussi à prendre la fuite, embarquant le duc Warin, seigneur d'Ardeia, qui leur a promis une récompense contre leur protection. Commence alors un voyage semé d'embûches pour notre compagnie composée majoritairement de non-humains qui ont bien du mal à s'entendre. Critique : Il n'est pas évident de chroniquer cet Orépia, parce qu'à priori il a pas mal de tares. L'histoire d'abord nous place devant la classique aventure d'une troupe de mercenaire qui se râlent dessus et qui sont menés par un capitaine bien mystérieux. Le méchant est évidemment un grand méchant (qui couche avec sa soeur... Si si quand je vous dis qu'on est dans l'originalité jusqu'au bout), il y a de la magie, des races fantasy, et des grands coups d'épées. Graphiquement si le tout est plutôt joli, il se dégage parfois de certaines scènes une impression de corps et visages figés, un peu comme sur la couverture. Je serais bien embêtés de vous dire d'où cela peut venir mais le ressenti est bien présent et si ce n'est guère gênant, cela gâche tout de même un peu le potentiel graphique de ce tire. Dommage car l'univers et l'humour est plutôt bien représenté. Alors une fois que j'ai dit tout cela pourquoi j'hésites ? J'hésites parce que bien qu'une partie de la recette qui a fait le succès de Lanfeust a été dévoyée ici, le tout garde un petit charme, l'aventure roule plutôt bien, les vannes m'ont fait sourire et finalement je l'ai lu avec plaisir. Cela reste un tome d'introduction et je gage que la série ne restera pas dans les annales de l'héroïc Fantasy, mais le background s'annonce suffisamment propre pour que cette série puisse prendre un peu d'ampleur je pense. A voir avec le prochains tomes si les travers sont corrigés. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orepia-tome-1-l-heritier-d-atlantis?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. C'est avec joie que j'ai découvert que Soleil lançait un reboot de Bob Morane cette année, faisant ainsi involontairement écho au décès récent d'Henry Vernes, le créateur du personnage. Les noms aux manettes étant prestigieux dans le petit monde de la BD, cela s'annonçait plutôt bien. Pourtant j'ai été super déçu. D'abord par le boulot des scénaristes. Sincèrement c'est tellement bourré de raccourcis, d'incohérences, d'absences d'explications, de personnages secondaires foutraques et inutiles que venant de cadors comme Bec et Corbeyran, on frise la faute professionnelle ou l'absence de respect de l'intelligence du lecteur. Je n'irais pas plus loin dans cette charge inhabituellement virulente contre des auteurs car je ne souhaite pas spolier, mais la BD n'étant toujours pas le cinéma actuel, non on ne peut pas se permettre les mêmes inepties scénaristiques. Si c'est pour faire ça, faites le au cinoche ! Une fois ce coup de gueule passé, je reconnaitrais bien volontiers que j'ai pris du plaisir à lire cet opus, une fois le cerveau éteint, et bien aidé par le trait dePaolo Grella et les couleurs de Sébastien Gérard. Et surtout, surtout une vraie tendresse pour les aventures de Bob Morane et la redécouverte d'une époque trop peu lue pour moi de l'histoire française. Mais bordel pourquoi être allé chercher Bec et Corbeyran pour pondre un scénar de série Z moyennasse qui ne tient pas debout 3 secondes ?
  11. Titre de l'album : Bob Morane - Tome 1 - Les 100 démons de l'ombre jaune - Scenariste de l'album : Christophe Bec & Corbeyran Dessinateur de l'album : Paolo Grella Coloriste : Sébastien Gérard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 1952. En pleine guérilla entre le Viet-Minh et les forces françaises, Bob Morane et Bill Ballantine sont parachutés en compagnie de soldats d'élite au nord de l'Indochine. Leur mission est d'aider les troupes françaises à combattre les sympathisants d'Ho Chi Minh, ces derniers s'acharnant à vouloir mettre les français à la porte de leur pays pour en reprendre le contrôle. Critique : C'est avec joie que j'ai découvert que Soleil lançait un reboot de Bob Morane cette année, faisant ainsi involontairement écho au décès récent d'Henry Vernes, le créateur du personnage. Les noms aux manettes étant prestigieux dans le petit monde de la BD, cela s'annonçait plutôt bien. Pourtant j'ai été super déçu. D'abord par le boulot des scénaristes. Sincèrement c'est tellement bourré de raccourcis, d'incohérences, d'absences d'explications, de personnages secondaires foutraques et inutiles que venant de cadors comme Bec et Corbeyran, on frise la faute professionnelle ou l'absence de respect de l'intelligence du lecteur. Je n'irais pas plus loin dans cette charge inhabituellement virulente contre des auteurs car je ne souhaite pas spolier, mais la BD n'étant toujours pas le cinéma actuel, non on ne peut pas se permettre les mêmes inepties scénaristiques. Si c'est pour faire ça, faites le au cinoche ! Une fois ce coup de gueule passé, je reconnaitrais bien volontiers que j'ai pris du plaisir à lire cet opus, une fois le cerveau éteint, et bien aidé par le trait dePaolo Grella et les couleurs de Sébastien Gérard. Et surtout, surtout une vraie tendresse pour les aventures de Bob Morane et la redécouverte d'une époque trop peu lue pour moi de l'histoire française. Mais bordel pourquoi être allé chercher Bec et Corbeyran pour pondre un scénar de série Z moyennasse qui ne tient pas debout 3 secondes ? Autres infos : Sous le choc. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bob-morane-tome-1-les-100-demons-de-l-ombre-jaune?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : Orcs & Gobelins - Tome 14 - Shaaka Scenariste de l'album : Sylvain Cordurié Dessinateur de l'album : Jean-Charles Poupard Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Longtemps, Shaaka a oeuvré pour le Margrave Egilon. Mais lassée de risquer sa peau, elle a quitté son employeur. Jusqu'au jour où Egilon vient la trouver. Pour s'emparer d'un gisement d'or en Ourann, il a fait empoisonner des points d'eau et a causé la mort de nombreux orcs, s'attirant les foudres d'un orc légendaire. Pour sauver sa fille, il veut que Shaaka lui fasse quitter l'île d'Enghien. Critique : Chronique réalisée à partir d'un pdf. Les habitués de 1001bd savent que si je nourris beaucoup de doutes régulièrement sur les séries des Terres d'Arran, j'ai cependant un petit faible pour Orcs & Gobelins. Effectivement je la trouve globalement plus fraiche, plus créative, et j'ai moins une impression de vu et revu qu'avec les séries Elfes ou Mages par exemple. Ce tome 14 ne marquera pas durablement les lecteurs mais comme le reste, il se lit avec beaucoup de plaisir. Graphiquement c'est toujours superbe, et le scénario est cohérent et bien mené, avec un rythme soutenu, et un dernier twist bien vu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orcs-et-gobelins-tome-14-shaaka?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Chronique réalisée à partir d'un pdf. Les habitués de 1001bd savent que si je nourris beaucoup de doutes régulièrement sur les séries des Terres d'Arran, j'ai cependant un petit faible pour Orcs & Gobelins. Effectivement je la trouve globalement plus fraiche, plus créative, et j'ai moins une impression de vu et revu qu'avec les séries Elfes ou Mages par exemple. Ce tome 14 ne marquera pas durablement les lecteurs mais comme le reste, il se lit avec beaucoup de plaisir. Graphiquement c'est toujours superbe, et le scénario est cohérent et bien mené, avec un rythme soutenu, et un dernier twist bien vu.
  14. The_PoP

    Karolus Magnus

    Voici une lecture que j'attendais avec impatience tant la couverture est superbe et le sujet traité intéressant car encore peu exploité. Ce Karolus Magnus s'est révélé une lecture bien agréable grâce notamment au trait du dessinateur Eon, qui nous propose une belle diversité de personnages dont les inspirations semblent varier. Malgré quelques cases ou les visages sont un peu trop encrés pour moi, on n'est pas si loin du travail de M. Swolf sur Légende pour l'ambiance médiévale, et vous savez que cela ne peut être qu'un compliment pour moi. Côté Histoire je dois vous avertir cependant. Contrairement à ce que le titre et la couverture laisse à penser, Charlemagne ne sera pas le personnage principal de cette série j'en ai bien peur. Les auteurs ont choisi de nous raconter la révolte basque contre Charlemagne dans le cadre de l'une de ses guerres d'expansion. C'est un petit peu trompeur, et si je peux comprendre le procédé et qu'au final je ne me suis pas senti lesé, il n'en sera peut être pas de même pour tous. Ce Karolus Magnus se révèle être un bon premier tome d'une nouvelle série d'aventures "historiques" médiévales pour le plus grand plaisir des lecteurs. J'ai hâte d'en lire le second tome.
  15. The_PoP

    Karolus Magnus

    Titre de l'album : Karolus Magnus Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Eon Coloriste : Simona Rossi & Eon Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Karolus Magnus, connu aujourd'hui sous le nom de Charlemagne, est le fils aîné du premier roi de la dynastie des Carolingiens : Pépin le Bref. Il n'a d'autre choix que de faire la guerre à ses voisins afin d'agrandir le Royaume et pouvoir ainsi devenir l'Empereur de l'Occident à la façon des Augustes de la Rome Antique. Mais d'autres peuples, principautés et empires vont s'opposer à lui. Critique : Voici une lecture que j'attendais avec impatience tant la couverture est superbe et le sujet traité intéressant car encore peu exploité. Ce Karolus Magnus s'est révélé une lecture bien agréable grâce notamment au trait du dessinateur Eon, qui nous propose une belle diversité de personnages dont les inspirations semblent varier. Malgré quelques cases ou les visages sont un peu trop encrés pour moi, on n'est pas si loin du travail de M. Swolf sur Légende pour l'ambiance médiévale, et vous savez que cela ne peut être qu'un compliment pour moi. Côté Histoire je dois vous avertir cependant. Contrairement à ce que le titre et la couverture laisse à penser, Charlemagne ne sera pas le personnage principal de cette série j'en ai bien peur. Les auteurs ont choisi de nous raconter la révolte basque contre Charlemagne dans le cadre de l'une de ses guerres d'expansion. C'est un petit peu trompeur, et si je peux comprendre le procédé et qu'au final je ne me suis pas senti lesé, il n'en sera peut être pas de même pour tous. Ce Karolus Magnus se révèle être un bon premier tome d'une nouvelle série d'aventures "historiques" médiévales pour le plus grand plaisir des lecteurs. J'ai hâte d'en lire le second tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karolus-magnus-l-empereur-des-barbares-tome-1-l-otage-vascon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. En voilà une belle et bonne idée. Et si Robin des Bois et le Shériff de Nottingham ne faisaient qu'un ? Quand en plus il s'agit de la collaboration de deux scénaristes remarquables (Vincent Brugeas : Le Roy des Ribauds & Emmanuel Herzet : Centaures, Alpha, Narcos) et d'un dessinateur soigneux (Benoit Dellas, Sonora, Serpent Dieu) avouez qu'il y a de quoi aiguillonner notre curiosité. Et bien n'hésitez pas. C'est globalement très bon, même si cela reste à mon goût un tome d'introduction, ce qui fait souffrir un peu la narration parfois un brin erratique. Le dessin et l'ambiance médiévale ne sont pas sans me rappeler la série du troisième Testament, et c'est plutôt une très belle chose. Les personnages sont bien en place, la complexité s'installe, et on sent que cela va prendre de l'ampleur. La construction des planches est superbe, la couverture très réussie. En tout cas, une fois refermées les dernières pages, on sent que la dramaturgie est en place. Tant mieux, on va se régaler, place à la belle BD d'aventure médiévale dramatique qui devrait se dérouler sur 3 tomes prévus en 2 ans. chouette ! A vos Arcs !
  17. Titre de l'album : Nottingham - Tome 1 - La rançon du Roi Scenariste de l'album : Vincent Brugeas et Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Benoit Dellac Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les légendes se doivent d'être simples. Tout héros a une identité secrète. Tout héros a un ennemi juré à affronter. Pour Robin des Bois, rien ne sera simple : il est aussi le shérif de Nottingham. Critique : En voilà une belle et bonne idée. Et si Robin des Bois et le Shériff de Nottingham ne faisaient qu'un ? Quand en plus il s'agit de la collaboration de deux scénaristes remarquables (Vincent Brugeas : Le Roy des Ribauds & Emmanuel Herzet : Centaures, Alpha, Narcos) et d'un dessinateur soigneux (Benoit Dellas, Sonora, Serpent Dieu) avouez qu'il y a de quoi aiguillonner notre curiosité. Et bien n'hésitez pas. C'est globalement très bon, même si cela reste à mon goût un tome d'introduction, ce qui fait souffrir un peu la narration parfois un brin erratique. Le dessin et l'ambiance médiévale ne sont pas sans me rappeler la série du troisième Testament, et c'est plutôt une très belle chose. Les personnages sont bien en place, la complexité s'installe, et on sent que cela va prendre de l'ampleur. La construction des planches est superbe, la couverture très réussie. En tout cas, une fois refermées les dernières pages, on sent que la dramaturgie est en place. Tant mieux, on va se régaler, place à la belle BD d'aventure médiévale dramatique qui devrait se dérouler sur 3 tomes prévus en 2 ans. chouette ! A vos Arcs ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nottingham-tome-1-la-rancon-du-roi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. C'est peu dire que c'est l'une des très grosse sortie que j'attendais avec impatience cet automne. Le tome 1 avait frappé fort, et je l'avais beaucoup apprécié, que ce soit au niveau de l'intrigue qu'au niveau du dessin sublime de M. Pont. J'avais adoré. Et ce tome 2 poursuit exactement la même recette : révélations et scénario bien foutu, scènes d'actions bien pensées, personnages tous travaillés, couleurs et dessins des décors ou personnages somptueux. Une nouvelle vraie réussite. Et je suis ravi de savoir que nos deux auteurs bossent déjà sur le troisième tome. Faut pas laisser refroidir l'ouvrage quand on tient une belle inspiration comme celle là. L'intrigue m'a beaucoup fait penser aux romans de Michel Bussi, et c'est plutôt un compliment 🙂 Les couleurs sont belles et rendent bien les ambiances et la jungle. Inutile donc de faire long. Foncez. Ce tome est un vrai tome d'aventure, bien scénarisé, rythmé avec des personnages supers sympathiques et une intrigue roublarde servis par le dessin rond, expressif et fourmillant de détails du dessinateur de Bout d'ficelle. Rue de Sèvres tient là une sacrée série à mon humble avis. Pas étonnant donc que le tome 3 soit déjà en cours d'écriture.
  19. Titre de l'album : Un putain de salopard - Tome 2 - O Maneta Scenariste de l'album : Regis Loisel Dessinateur de l'album : Olivier Pont Coloriste : François Lapierre Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Pour échapper aux hommes de main du camp minier, Max et Baia se perdent dans la jungle. Qu'importe, Baia guide, nourrit et soigne Max. En s'enfonçant toujours davantage dans cette forêt tropicale, Baia arrive jusqu'à l'épave d'un avion écrasé il y a quelques années. A son bord, le squelette d'une enfant dont les poignets sont encore ligotés. Serait-ce l'épave de cette vieille histoire de kidnapping de la fille du patron de la mine et d'un beau magot détourné ? De leur côté, Christelle et Charlotte prennent la fuite en direction de chez Corinne. Elles quittent le dispensaire où elles abandonnent un cadavre. Recherchées, les deux infirmières pourront compter sur l'aide de Rego, un vieux flic de la région au passé douteux. Croisant malfrats, chasseurs de trésors, et vieux secrets enfouis, chaque pas dans la jungle amazonienne semble réduire les chances de survie de nos héros. Critique : C'est peu dire que c'est l'une des très grosse sortie que j'attendais avec impatience cet automne. Le tome 1 avait frappé fort, et je l'avais beaucoup apprécié, que ce soit au niveau de l'intrigue qu'au niveau du dessin sublime de M. Pont. J'avais adoré. Et ce tome 2 poursuit exactement la même recette : révélations et scénario bien foutu, scènes d'actions bien pensées, personnages tous travaillés, couleurs et dessins des décors ou personnages somptueux. Une nouvelle vraie réussite. Et je suis ravi de savoir que nos deux auteurs bossent déjà sur le troisième tome. Faut pas laisser refroidir l'ouvrage quand on tient une belle inspiration comme celle là. L'intrigue m'a beaucoup fait penser aux romans de Michel Bussi, et c'est plutôt un compliment 🙂 Les couleurs sont belles et rendent bien les ambiances et la jungle. Inutile donc de faire long. Foncez. Ce tome est un vrai tome d'aventure, bien scénarisé, rythmé avec des personnages supers sympathiques et une intrigue roublarde servis par le dessin rond, expressif et fourmillant de détails du dessinateur de Bout d'ficelle. Rue de Sèvres tient là une sacrée série à mon humble avis. Pas étonnant donc que le tome 3 soit déjà en cours d'écriture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-putain-de-salopard-tome-2-o-maneta?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Histoires du Vendée Globe

    Ca y est ils sont partis !!! Déjà plus de 4 jours de mer et encore beaucoup d'autres à venir pour nos héros modernes. Peut-être les vrais derniers aventuriers qui osent braver tout seul des conditions toujours différentes. Si vous souhaitez soit les supporter soit vous immerger un peu plus dans cette grande aventure qu'est le Vendée Globe, cet album des éditions Dargaud est pour vous. Car plus qu'une BD il faut bien parler ici d'album à part entière. En effet la partie bande dessinée est à peine la moitié de l'album. Le reste est un récit de voyage et de ressentit de ce que c'est d'être seul à bord durant 3 mois. Et au final ce format est très agréable à lire. En effet le texte immerge encore plus profondément dans l'esprit des compétiteurs mais la partie dessinée permet de donner de la vivacité à la lecture et rend le tout plus agréable qu'un long reportage écrit. Un bel album très bien documenté qui ravira les fans du Vendée Globe et permettra au plus grand nombre d'en savoir plus sur cette course mythique, de la préparation du bateau au retour aux Sables d'Olonne. Cette réédition comporte en plus un nouveau cahier dédié à l'édition 2020 qui, malheureusement, ne justifie pas forcement l'achat de cette version si vous l'avez déjà. Si vous ne l'avez pas par contre, et que vous aimez ce sport et l'aventure en général, je ne peux que vous conseillez d'investir. Et ça ferait un super beau cadeau de Noel !
  21. Titre de l'album : Histoires du Vendée Globe Scenariste de l'album : Alexandre Chenet Dessinateur de l'album : Renaud Garreta Coloriste : Renaud Garreta Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le Vendée Globe, qualifié d'Everest des mers, raconté par celles et ceux qui le vivent, aventuriers des océans. Pendant plus de trois ans, Alexandre Chenet et Renaud Garreta sont allés à la rencontre de skippers partis à l'assaut de ce tour du monde sans égal. En mer, au coeur de la course, entre navigation et incidents techniques, choix stratégiques et engagement humain, ils nous emmènent au coeur de cette course légendaire qui passionne énormément de lecteurs. Critique : Ca y est ils sont partis !!! Déjà plus de 4 jours de mer et encore beaucoup d'autres à venir pour nos héros modernes. Peut-être les vrais derniers aventuriers qui osent braver tout seul des conditions toujours différentes. Si vous souhaitez soit les supporter soit vous immerger un peu plus dans cette grande aventure qu'est le Vendée Globe, cet album des éditions Dargaud est pour vous. Car plus qu'une BD il faut bien parler ici d'album à part entière. En effet la partie bande dessinée est à peine la moitié de l'album. Le reste est un récit de voyage et de ressentit de ce que c'est d'être seul à bord durant 3 mois. Et au final ce format est très agréable à lire. En effet le texte immerge encore plus profondément dans l'esprit des compétiteurs mais la partie dessinée permet de donner de la vivacité à la lecture et rend le tout plus agréable qu'un long reportage écrit. Un bel album très bien documenté qui ravira les fans du Vendée Globe et permettra au plus grand nombre d'en savoir plus sur cette course mythique, de la préparation du bateau au retour aux Sables d'Olonne. Cette réédition comporte en plus un nouveau cahier dédié à l'édition 2020 qui, malheureusement, ne justifie pas forcement l'achat de cette version si vous l'avez déjà. Si vous ne l'avez pas par contre, et que vous aimez ce sport et l'aventure en général, je ne peux que vous conseillez d'investir. Et ça ferait un super beau cadeau de Noel ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/histoires-du-vendee-globe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Thorgal - Tome 38 - La selkie Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Fred Vignaux Coloriste : Gaetan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Louve a disparu ! Thorgal et Jolan s'empressent de prendre la mer pour retrouver la jeune fille, enlevée et emportée sur la mystérieuse île de Kalsoy. Mais l'île est jalousement gardée par la statue de Kopakonan, une femme-phoque qui a jeté une malédiction sur tout le village. Aux prises avec des habitants revanchards, nos héros seront malgré eux confrontés à une légende ancienne mais redoutable. Critique : Et nous voici avec un nouveau Thorgal, le 38ème, excusez du peu !!! Bon donc forcément au niveau de l'originalité ça commence à se ressentir depuis quelques tomes hein. Il faut reconnaitre que Thorgal avec son passé, ses aventures et sa famille devient un Héros un peu encombrant pour Yann qui a repris les scénarios de la série accompagné de Vignaux au dessin. Mais qu'à cela ne tienne, ce duo talentueux relève le défi à sa façon. Thorgal poursuit donc sa mue, moins impulsif, moins orienté sur l'action, moins décisif aussi, il continue pourtant d'explorer mythes et légendes des contrées nordiques au fil de ses aventures. Et de ce point de vue cet album est une réussite. Les îles Féroë sont un beau terrain de jeux, et les légendes abordées sont plutôt sympas. Les personnages sont réussis, et la morale façon Thorgal est toujours intéressante et fidèle au héros depuis ses débuts. Côté dessin, l'ambiance est chouette, les visages sont vraiment profonds, très travaillés et expressifs. Certes les décors ne sont pas forcément le point fort de ce Thorgal, mais Thorgal s'est toujours plus intéressé aux hommes qu'aux décors. Quoiqu'il en soit j'aime beaucoup. Certes c'est moins épique que ce que l'on pouvait connaitre, c'est assez passif même comparé aux BD actuelles, mais cela n'empêche l'aventure d'en être une, même si Thorgal n'affronte guère d'ennemis à la pointe de son épée. Alors oui ce n'est plus révolutionnaire, mais ça reste un Thorgal sympa, proche des débuts. Autres infos : L'immortel Thorgal Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-38-la-selkie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. The_PoP

    Thorgal - Tome 38 - La selkie

    Et nous voici avec un nouveau Thorgal, le 38ème, excusez du peu !!! Bon donc forcément au niveau de l'originalité ça commence à se ressentir depuis quelques tomes hein. Il faut reconnaitre que Thorgal avec son passé, ses aventures et sa famille devient un Héros un peu encombrant pour Yann qui a repris les scénarios de la série accompagné de Vignaux au dessin. Mais qu'à cela ne tienne, ce duo talentueux relève le défi à sa façon. Thorgal poursuit donc sa mue, moins impulsif, moins orienté sur l'action, moins décisif aussi, il continue pourtant d'explorer mythes et légendes des contrées nordiques au fil de ses aventures. Et de ce point de vue cet album est une réussite. Les îles Féroë sont un beau terrain de jeux, et les légendes abordées sont plutôt sympas. Les personnages sont réussis, et la morale façon Thorgal est toujours intéressante et fidèle au héros depuis ses débuts. Côté dessin, l'ambiance est chouette, les visages sont vraiment profonds, très travaillés et expressifs. Certes les décors ne sont pas forcément le point fort de ce Thorgal, mais Thorgal s'est toujours plus intéressé aux hommes qu'aux décors. Quoiqu'il en soit j'aime beaucoup. Certes c'est moins épique que ce que l'on pouvait connaitre, c'est assez passif même comparé aux BD actuelles, mais cela n'empêche l'aventure d'en être une, même si Thorgal n'affronte guère d'ennemis à la pointe de son épée. Alors oui ce n'est plus révolutionnaire, mais ça reste un Thorgal sympa, proche des débuts.
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