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  1. J'avoue que je ne suis pas un lecteur assidu des Clifton, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de celui-ci. L'essentiel des vannes reposent sur la rivalité franco anglaise, que Turk et Zidrou nous présentent officiellement du point de vue anglais, mais qui reste avant tout une source de blagues inépuisables pour qui aime détester la perfide albion. Petits et grands gags se succèdent donc avec toutefois un petit moment émotion bien vite balayé pour laisser place à l'aventure et l'humour. Je trouve que le format d'aventure ou d'histoire complète est particulièrement bien adapté à l'humour développé, puisque si une série de gags auraient peut être finis par nous lasser, là le parfum de l'aventure ou de l'enquête permet un relais agréable. Une lecture des plus sympathique donc.
  2. Titre de l'album : Clifton - Tome 24 - Le dernier des Clifton Scenariste de l'album : Zidrou Dessinateur de l'album : Turk Coloriste : Kaël Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Si le colonel Harold Wilberforce Clifton s'enorgueillit de son inestimable collection de bagues de cigares, il est plus fier encore de son nom et de sa lignée. Mais qui dit dynastie séculaire dit secrets de famille. Et, par la faute d'un de ses ancêtres, notre colonel favori doit faire face à une mystérieuse bande d'assassins français - donc antipathiques - bien décidés à éteindre la lignée des Clifton ! Holy cow ! Critique : J'avoue que je ne suis pas un lecteur assidu des Clifton, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de celui-ci. L'essentiel des vannes reposent sur la rivalité franco anglaise, que Turk et Zidrou nous présentent officiellement du point de vue anglais, mais qui reste avant tout une source de blagues inépuisables pour qui aime détester la perfide albion. Petits et grands gags se succèdent donc avec toutefois un petit moment émotion bien vite balayé pour laisser place à l'aventure et l'humour. Je trouve que le format d'aventure ou d'histoire complète est particulièrement bien adapté à l'humour développé, puisque si une série de gags auraient peut être finis par nous lasser, là le parfum de l'aventure ou de l'enquête permet un relais agréable. Une lecture des plus sympathique donc. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clifton-tome-24-le-dernier-des-clifton?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Qu'il est difficile d'expliquer pourquoi l'on s'attache parfois à une série et pas a une autre... Tango est clairement une des séries que j'aime beaucoup et dont je lis toujours les aventures avec grand plaisir... Pour autant la baisse d'intensité des derniers tomes, le côté assez prévisible des situations, et l'ensemble finalement très classique et masculin des aventures rendent l'ensemble ni vraiment original ni particulièrement audacieux. Alors pourquoi j'aime autant cette série ? Tango c'est de la bd de polar / aventures à l'ancienne, avec les bonnes recettes traditionnelles : héros baroudeur charismatique, taiseux et mystérieux, aventure en pays exotique pour nous franco-belges, belles femmes fatales et violence maitrisée... Il y a du Bob Morane, du XIII et du Bernard Prince dans Tango. Pour les amateurs de jeux vidéo, ce nouvel opus vous fera forcément penser à Nathan Drake aussi... Car oui ce tome 7 lance un nouveau cycle qui nous emmène sur la trace d'un trésor presque de pirate aux philippines ! Et ce n'est pas plus mal tant l'intrigue des premiers tomes était arrivée au bout, et tant Tango gagne en intérêt dans les scénarios clairs et limpides. Bref, voici un nouveau tome de Tango, et je ne peux que m'en réjouir, je continue cette série qui relance bien son intérêt après quelques tomes moins trépidants et plus faciles. Certes les ficelles sont toujours connues et un peu grosses, certes l'histoire a pour le moment un parfum de déjà vu, mais il continue de faire rêver le petit garçon qui sommeille encore en moi, et ça ce n'est pas rien finalement. Tango c'est avant tout un parfum des bd d'aventures action des années 70-90, héros viril, jolies filles, soleil et aventures exotiques...
  4. Titre de l'album : Tango - Tome 7 - La flèche de Magellan Scenariste de l'album : Matz Dessinateur de l'album : Philippe Xavier Coloriste : Jérome Maffre Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Manille, Philippines. Tango et Mario ont du temps à tuer, alors pourquoi ne pas se mettre en chasse de reliques oubliées : le casque du plus grand navigateur de l'histoire, Magellan, et la flèche qui l'a tué sur ces rivages lointains ? Seulement, cette idée romantique et aventureuse s'avère bien plus compliquée et dangereuse que prévu. Tango n'est pas au bout de ses surprises... Critique : Qu'il est difficile d'expliquer pourquoi l'on s'attache parfois à une série et pas a une autre... Tango est clairement une des séries que j'aime beaucoup et dont je lis toujours les aventures avec grand plaisir... Pour autant la baisse d'intensité des derniers tomes, le côté assez prévisible des situations, et l'ensemble finalement très classique et masculin des aventures rendent l'ensemble ni vraiment original ni particulièrement audacieux. Alors pourquoi j'aime autant cette série ? Tango c'est de la bd de polar / aventures à l'ancienne, avec les bonnes recettes traditionnelles : héros baroudeur charismatique, taiseux et mystérieux, aventure en pays exotique pour nous franco-belges, belles femmes fatales et violence maitrisée... Il y a du Bob Morane, du XIII et du Bernard Prince dans Tango. Pour les amateurs de jeux vidéo, ce nouvel opus vous fera forcément penser à Nathan Drake aussi... Car oui ce tome 7 lance un nouveau cycle qui nous emmène sur la trace d'un trésor presque de pirate aux philippines ! Et ce n'est pas plus mal tant l'intrigue des premiers tomes était arrivée au bout, et tant Tango gagne en intérêt dans les scénarios clairs et limpides. Bref, voici un nouveau tome de Tango, et je ne peux que m'en réjouir, je continue cette série qui relance bien son intérêt après quelques tomes moins trépidants et plus faciles. Certes les ficelles sont toujours connues et un peu grosses, certes l'histoire a pour le moment un parfum de déjà vu, mais il continue de faire rêver le petit garçon qui sommeille encore en moi, et ça ce n'est pas rien finalement. Tango c'est avant tout un parfum des bd d'aventures action des années 70-90, héros viril, jolies filles, soleil et aventures exotiques... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tango-tome-7-la-fleche-de-magellan?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    Les enfants du ciel

    C'est une équipe rodée qui nous en met plein la vue avec ce roman graphique à l'élégance certaine ! Desberg et Vrancken , les auteurs de la saga IRS , ont mis les petits plats dans les grands pour nous servir un one-shot de très haut niveau . Prenez Le scorpion , Indiana Jones et un soupçon du Triangle secret et vous aurez une petite idée de ce qui vous attend . Comme un bon Bandol , Bernard Vrancken voit son trait se bonifier avec l'âge , c'est assez stupéfiant . Il délivre des planches raffinées aux couleurs chaudes comme le désert d'Egypte . Mais il peut s'adapter aux circonstances scénaristiques en s'essayant au style Franck Miller noir et blanc avec ses ombrages inversés dans des passages "flashbacks" de l'histoire ; tout simplement délicieux ! En grand passionné d'histoire , Stephen Desberg met en place un scénario remontant à l'idée même de la création d'un Etat d'Israël . Une terre pour le peuple juif et ses symboles , comme la menorah originelle . Se déroulant pendant la seconde guerre mondiale , l'enquête d'Alexandre va le mener aux confins de notre ère , en période Empire romain post Jésus Christ . Deux membres du peuple juif ont des divergences sur leur acceptation de la domination romaine . A travers leurs symboles sacrés dont une menorah en or massif , ils vont se déchirer et l'histoire se perd dans les méandres du temps . Pour être de nouveau sujet à une course entre les nazis , Alexandre missionné par le Vatican , et les russes ! De l'espionnage , du suspens , une femme fatale , de la vengeance ,des morts , bref , tous les ingrédients d'un formidable polar historique au bon goût d'aventure et de mystères .
  6. Titre de l'album : Les enfants du ciel Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Bernard Vrancken Coloriste : Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : D'Europe en Égypte, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, la grande Histoire et la petite se rencontrent à travers les destins de trois personnages. Entre récit d'aventure et fresque historique, Desberg et Vrancken se renouvellent et donnent leur meilleur dans un somptueux one-shot. L'histoire débute en 1936 sous l'Italie de Mussolini et s'achève en 1942 à Jérusalem au moment où naît l'idée d'un état juif débarrassé de la tutelle anglaise, loin des atrocités commises en Europe. Alexandre est archéologue. Il perd sa femme en 1936, sous le régime fasciste de Mussolini. Anéanti par le chagrin, il exige la vérité sur les circonstances de cette mort et ne pense qu'à se venger. Pour l'éloigner et le protéger, ses appuis l'envoient en Égypte pour mettre au jour le mystère historique du ralliement du peuple juif à l'Empire romain au Ier siècle après J.-C. Il ne pensait pas que ses recherches pouvaient résonner avec autant de justesse avec l'époque actuelle. Quelle vérité, dangereuse et cachée, surgira du passé ? Critique : C'est une équipe rodée qui nous en met plein la vue avec ce roman graphique à l'élégance certaine ! Desberg et Vrancken , les auteurs de la saga IRS , ont mis les petits plats dans les grands pour nous servir un one-shot de très haut niveau . Prenez Le scorpion , Indiana Jones et un soupçon du Triangle secret et vous aurez une petite idée de ce qui vous attend . Comme un bon Bandol , Bernard Vrancken voit son trait se bonifier avec l'âge , c'est assez stupéfiant . Il délivre des planches raffinées aux couleurs chaudes comme le désert d'Egypte . Mais il peut s'adapter aux circonstances scénaristiques en s'essayant au style Franck Miller noir et blanc avec ses ombrages inversés dans des passages "flashbacks" de l'histoire ; tout simplement délicieux ! En grand passionné d'histoire , Stephen Desberg met en place un scénario remontant à l'idée même de la création d'un Etat d'Israël . Une terre pour le peuple juif et ses symboles , comme la menorah originelle . Se déroulant pendant la seconde guerre mondiale , l'enquête d'Alexandre va le mener aux confins de notre ère , en période Empire romain post Jésus Christ . Deux membres du peuple juif ont des divergences sur leur acceptation de la domination romaine . A travers leurs symboles sacrés dont une menorah en or massif , ils vont se déchirer et l'histoire se perd dans les méandres du temps . Pour être de nouveau sujet à une course entre les nazis , Alexandre missionné par le Vatican , et les russes ! De l'espionnage , du suspens , une femme fatale , de la vengeance ,des morts , bref , tous les ingrédients d'un formidable polar historique au bon goût d'aventure et de mystères . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-du-ciel/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Joseph Kessel, l'indomptable Scenariste de l'album : Jonathan Hayoun , Judith Cohen-Solal Dessinateur de l'album : Nicoas Otero Coloriste : Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Les dernières confessions de Joseph Kessel Durant soixante ans, Joseph Kessel a parcouru les continents sur la trace de ces instants de vie où l'homme affronte la mort. Homme d'action autant qu'homme de lettres, cet écrivain voyageur, journaliste, aventurier, résistant, aviateur est le témoin direct et le conteur exceptionnel des événements qui ont marqué l'histoire du xxe siècle. Lors d'un dernier entretien, encore inédit, il se livre à son filleul. Il nous laisse entrevoir ce qu'il cherchait en consacrant sa vie à braver la mort. Critique : Russe , juif , écrivain , aviateur ,résistant , ayant vécu à Nice ... Non vous n'êtes dans Les promesses de l'aube , roman autobiographique de Romain Gary ! Si tant est que l'on puisse réduire sa vie à ses mots et titres , je peux ajouter aventurier , reporter de guerre , académicien etc .... Des similitudes avec Gary , mais pas que , Joseph Kessel est immense dans le paysage des écrivains français . Pour tout vous dire , en dehors de son fameux livre Le lion , dont vous avez sûrement fait des dictées à l'école vous aussi , je ne connaissais pourtant le romancier que de nom . J'étais très loin de penser à quel point sa vie a été riche et dangereuse . A travers la discussion entre lui et son filleul , nous découvrons sous la plume des deux auteurs Judith Cohen-Solal (psychanalyste) et Jonathan Hayoun (réalisateur) la vie de ce monstre sacré de la littérature française . Des pogroms que sa famille subit en Russie , leur fuite vers l'Argentine puis l'arrivée en France , son adolescence et surtout , sa relation presque gémellaire avec son cadet de frère qui va être prépondérante dans ses choix de carrière ; tout est relaté par un Joseph Kessel , usé par la vie , par sa vie ! Le duo d'auteurs se permet même d'incorporer du suspens dans la lecture en mettant comme fil rouge le destin funeste du frère . Vous verrez Joseph Kessel partir sur le front des guerres "franquistes" , puis irlandaises , il rencontrera même Hitler en Allemagne en 1932 . Puis sous l'occupation avec son engagement auprès des forces françaises libres (De Gaulle le comparant lui aussi à Romain Gary) . Ses mariages , avec justement son voyage de noces au Kenya (en plein soulèvement contre l'occupant britannique) , lieu fertile d'où naîtra son livre le plus connu . Enfin ,son entrée à l'académie française , le rendant immortel . Je vous invite à lire son discours d'intronisation en annexe du roman graphique , où comment la littérature française porte ses lettres de noblesses avec des écrivains tels que lui . En toute fin vous comprendrez pourquoi il a vécu sa vie comme un roman , bravo aux auteurs ! Bravo aussi à Nicolas Otero , que l'on connaissait pour ses 9 tomes Amerikkka entre autres , qui nous démontre toute l'étendue de son talent . Il n'use pas moins de 3 techniques de dessin : une ligne claire pour le présent , du crayonné du plus bel effet pour des visions chimériques ,et du pastel pour le passé . Un très beau résultat pour un hommage réussi à Monsieur Joseph Kessel ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joseph-kessel-l-indomptable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Kevin Nivek

    Joseph Kessel, l'indomptable

    Russe , juif , écrivain , aviateur ,résistant , ayant vécu à Nice ... Non vous n'êtes dans Les promesses de l'aube , roman autobiographique de Romain Gary ! Si tant est que l'on puisse réduire sa vie à ses mots et titres , je peux ajouter aventurier , reporter de guerre , académicien etc .... Des similitudes avec Gary , mais pas que , Joseph Kessel est immense dans le paysage des écrivains français . Pour tout vous dire , en dehors de son fameux livre Le lion , dont vous avez sûrement fait des dictées à l'école vous aussi , je ne connaissais pourtant le romancier que de nom . J'étais très loin de penser à quel point sa vie a été riche et dangereuse . A travers la discussion entre lui et son filleul , nous découvrons sous la plume des deux auteurs Judith Cohen-Solal (psychanalyste) et Jonathan Hayoun (réalisateur) la vie de ce monstre sacré de la littérature française . Des pogroms que sa famille subit en Russie , leur fuite vers l'Argentine puis l'arrivée en France , son adolescence et surtout , sa relation presque gémellaire avec son cadet de frère qui va être prépondérante dans ses choix de carrière ; tout est relaté par un Joseph Kessel , usé par la vie , par sa vie ! Le duo d'auteurs se permet même d'incorporer du suspens dans la lecture en mettant comme fil rouge le destin funeste du frère . Vous verrez Joseph Kessel partir sur le front des guerres "franquistes" , puis irlandaises , il rencontrera même Hitler en Allemagne en 1932 . Puis sous l'occupation avec son engagement auprès des forces françaises libres (De Gaulle le comparant lui aussi à Romain Gary) . Ses mariages , avec justement son voyage de noces au Kenya (en plein soulèvement contre l'occupant britannique) , lieu fertile d'où naîtra son livre le plus connu . Enfin ,son entrée à l'académie française , le rendant immortel . Je vous invite à lire son discours d'intronisation en annexe du roman graphique , où comment la littérature française porte ses lettres de noblesses avec des écrivains tels que lui . En toute fin vous comprendrez pourquoi il a vécu sa vie comme un roman , bravo aux auteurs ! Bravo aussi à Nicolas Otero , que l'on connaissait pour ses 9 tomes Amerikkka entre autres , qui nous démontre toute l'étendue de son talent . Il n'use pas moins de 3 techniques de dessin : une ligne claire pour le présent , du crayonné du plus bel effet pour des visions chimériques ,et du pastel pour le passé . Un très beau résultat pour un hommage réussi à Monsieur Joseph Kessel !
  9. Titre de l'album : Chroniques diplomatiques - Tome 2 - Birmanie, 1954 Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Christophe Simon Coloriste : Alexandre Carpentier Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les prises de position de Jean d'Arven en Iran lui ont valu un retour express au Quai d'Orsay, suivi d'une nomination comme légat intérimaire à Rangoon en guise de punition. Mais ce poste pourrait bien se révéler plus trépident que prévu. Véritable carrefour d'influences extrême-orientales où s'entremêlent junte militaire, guerre religieuse et trafic de jade, la Birmanie attise les convoitises. Au coeur de cette poudrière, son ange gardien, Jacques, devra tout risquer pour préserver la sécurité de la mission diplomatique... Critique : Le premier tome des chroniques diplomatiques m'avait laissé une bonne impression. J'aimais cette plongée dans les enjeux géopolitiques de la diplomatie concernant des périodes décisives mais rarement étudiées ou documentées de nos jours. C'était une réussite car l'aventure se mêlait à la découverte. Ce tome 2 repart sur les mêmes bases avec un contexte encore une fois peu maîtrisé mais dont les répercussion sont encore bien actuelles. Certes ce tome fait la part belle à l'aventure plus que le premier, mais c'est bien fait et assez agréable à lire. Les dessins de Christophe Simon et les couleurs d'Alexandre Carpentier sont très sobre, en accord avec le ton sérieux de la la série. J'espère que nous aurons droit à un prochain tome sur cette série discrète mais réellement attachante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-diplomatiques-tome-2-birmanie-1954?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Le premier tome des chroniques diplomatiques m'avait laissé une bonne impression. J'aimais cette plongée dans les enjeux géopolitiques de la diplomatie concernant des périodes décisives mais rarement étudiées ou documentées de nos jours. C'était une réussite car l'aventure se mêlait à la découverte. Ce tome 2 repart sur les mêmes bases avec un contexte encore une fois peu maîtrisé mais dont les répercussion sont encore bien actuelles. Certes ce tome fait la part belle à l'aventure plus que le premier, mais c'est bien fait et assez agréable à lire. Les dessins de Christophe Simon et les couleurs d'Alexandre Carpentier sont très sobre, en accord avec le ton sérieux de la la série. J'espère que nous aurons droit à un prochain tome sur cette série discrète mais réellement attachante.
  11. Titre de l'album : The most notorious talker tome 5 Scenariste de l'album : Jaki Dessinateur de l'album : Yamorichan Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le duel entre Noel et les Gambino, arbitré par Finocchio, commence enfin ! N'étant doté d'aucune compétence martiale, Albert envoie Kôga se battre à sa place... Leur combat à mort reprend enfin. Après trois affrontements, chacun connaît la valeur de l'autre... Et Kôga a eu tout le loisir d'observer Noel qui vise la suprématie malgré son job ! Quel chemin choisira notre fine-lame ? Noel commence les démarches pour fonder son propre clan tout en reprenant son activité de Seeker. Son ascension semble s'accélérer, mais les choses se passeront-elles vraiment aussi simplement ? L'aventure continue pour notre jeune Talker qui manipule sans scrupules les aventuriers les plus forts, dans un cinquième tome décisif ! Critique : Rhhhhaa décidément cette série est excellente ! Excellente parce qu'elle est orientée vers un public averti et ne nous propose donc pas un manga d'aventure gentillet comme souvent. Mais il garde quand même les codes du manga d'aventure avec les montées en compétence, la formation d'une équipe étc.... Et ce tome 5 continue dans la foulée du précédent avec la fin de partie entre le groupe de Noel et le clan de Gambino. Une fin haute en couleur qui réussit à passer l'aspect courut d'avance du combat (car oui Noel ne va pas mourir) en nous livrant, encore une fois, une réflexion impressionnante de maturité et de fourberie de la part de Noel. Intelligemment, la renommée du petit groupe commence à se répandre et on voit arriver, au fur et à mesure, des gros poissons intrigué par le groupe... que ce soit en tant que futur concurrent ou futur alliés. La montée en puissance continue et notre intérêt pour cette série finalement hors norme s'en trouve renforcé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-most-notorious-talker-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Rhhhhaa décidément cette série est excellente ! Excellente parce qu'elle est orientée vers un public averti et ne nous propose donc pas un manga d'aventure gentillet comme souvent. Mais il garde quand même les codes du manga d'aventure avec les montées en compétence, la formation d'une équipe étc.... Et ce tome 5 continue dans la foulée du précédent avec la fin de partie entre le groupe de Noel et le clan de Gambino. Une fin haute en couleur qui réussit à passer l'aspect courut d'avance du combat (car oui Noel ne va pas mourir) en nous livrant, encore une fois, une réflexion impressionnante de maturité et de fourberie de la part de Noel. Intelligemment, la renommée du petit groupe commence à se répandre et on voit arriver, au fur et à mesure, des gros poissons intrigué par le groupe... que ce soit en tant que futur concurrent ou futur alliés. La montée en puissance continue et notre intérêt pour cette série finalement hors norme s'en trouve renforcé.
  13. Titre de l'album : La voie du glaive - Tome 1 - Les frères furieux Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet & Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Benoît Dellac Coloriste : Denis Béchu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Lento le tacticien, Sutura le flamboyant. Dans les arènes de Ravenne, les « Frères Furieux » sont de vraies célébrités. Et leur avenir s'annonce radieux, tandis que s'ouvrent à eux les sélections pour les jeux du Colisée. Rome : l'occasion de se faire un nom. Malgré tout, Lento n'entend pas arrêter ses petites combines parallèles et espère toujours faire fortune en marge des circuits légaux. Hélas, dans les bas-fonds, la violence n'a rien d'un spectacle. Ici-bas, on tranche pour tuer, pas pour briller. Critique : Bon, je suis habituellement très fan du travail de Messieurs Dellac Brugeas et Herzet, alors vous pensez bien qu'une nouvelle série de bd façon péplum avec ces 3 auteurs qui nous ont déjà livrés les 3 très bons tomes de Nottingham, cela ne pouvait que me tenter fortement. Je vais rester prudent car ces 3 auteurs nous ont habitué à de très belles choses mais ce tome 1 m'a laissé un peu sur ma faim. Il manque un petit quelque chose je trouve à notre duo de héros pour nous embarquer avec eux, cela viendra peut être mais ce premier tome, s'il pose bien les bases d'une aventure à tiroirs prometteuse, manque peut être un poil de panache ou d'héroïsme pour nous faire vibrer. Par contre l'histoire est réellement originale là où j'aurais pu craindre une trame trop classique. J'ai par contre parfois eu un peu de mal avec les visages dessinés par Benoit Dellac. Attendons donc de voir ce que la tome 2 aura sous le pied. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-voie-du-glaive-tome-1-les-freres-furieux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Bon, je suis habituellement très fan du travail de Messieurs Dellac Brugeas et Herzet, alors vous pensez bien qu'une nouvelle série de bd façon péplum avec ces 3 auteurs qui nous ont déjà livrés les 3 très bons tomes de Nottingham, cela ne pouvait que me tenter fortement. Je vais rester prudent car ces 3 auteurs nous ont habitué à de très belles choses mais ce tome 1 m'a laissé un peu sur ma faim. Il manque un petit quelque chose je trouve à notre duo de héros pour nous embarquer avec eux, cela viendra peut être mais ce premier tome, s'il pose bien les bases d'une aventure à tiroirs prometteuse, manque peut être un poil de panache ou d'héroïsme pour nous faire vibrer. Par contre l'histoire est réellement originale là où j'aurais pu craindre une trame trop classique. J'ai par contre parfois eu un peu de mal avec les visages dessinés par Benoit Dellac. Attendons donc de voir ce que la tome 2 aura sous le pied.
  15. Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau.
  16. Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 4 - La saison des spores Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Lucille Noël et Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Minerva a récupéré son aimé mais l'esprit de ce dernier appartient toujours à la Reine des Convoyeurs. Et les stocks du sérum capable de le rendre à son humanité diminuent drastiquement. A présent, pour sauver Kivan, à défaut d'avoir pu sauver leur fils Iram, Minerva n'a plus le choix : elle doit retrouver le cargo et tuer la Reine ! Enfin, si la horde des Convoyeurs, la Nature ou le mystérieux homme lancé à ses trousses ne la tuent pas avant... Critique : Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-4-la-saison-des-spores?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Casteman n'est pas un des plus acteurs du marché du manga, mais il faut bien dire qu'ils ont mis ici la main sur un excellent premier tome ! En contre-pieds avec les mangas d'aventures standard, ce "Survivants d'Ormélion" commence par "la fin" avec des personnages déjà adultes et surtout un manga qui commence par un drame et une ambiance de fin du monde. Ici notre héros ne monte pas vraiment en compétence, mais essaye de profiter des compétences des autres. La problématique de survie des personnages est aussi une nouveauté et un point intéressant : comment faire manger des gens quand on est un noble et qu'on ne sait que se battre ? Et si la protection des autres n'était pas un "luxe" quand on n'a rien pour manger ? Un manga rafraichissant qui change des mangas d'aventure traditionnels !
  18. Titre de l'album : Les survivants d'Ormélion tome 1 Scenariste de l'album : Masaru Chikamoto Dessinateur de l'album : Gonbe Shinkawa Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : De retour d'une longue chasse, Aglédios, fils du seigneur d'une colonie située dans les marches du royaume, retrouve son village décimé. Tout laisse entendre que la sorcière de la forêt interdite est responsable du massacre. Ivre de vengeance, Aglédios se lance à sa recherche. Mais au lendemain de la tragédie, que commande l'urgence ? Châtier ceux qu'on tient pour coupables et rendre justice aux morts, ou rebâtir et aider les survivants ? Critique : Casteman n'est pas un des plus acteurs du marché du manga, mais il faut bien dire qu'ils ont mis ici la main sur un excellent premier tome ! En contre-pieds avec les mangas d'aventures standard, ce "Survivants d'Ormélion" commence par "la fin" avec des personnages déjà adultes et surtout un manga qui commence par un drame et une ambiance de fin du monde. Ici notre héros ne monte pas vraiment en compétence, mais essaye de profiter des compétences des autres. La problématique de survie des personnages est aussi une nouveauté et un point intéressant : comment faire manger des gens quand on est un noble et qu'on ne sait que se battre ? Et si la protection des autres n'était pas un "luxe" quand on n'a rien pour manger ? Un manga rafraichissant qui change des mangas d'aventure traditionnels ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-survivants-d-ormelion-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Révolutionnaires - Tome 2 - Le grand désordre de l'an 1 Scenariste de l'album : Régis Hautière Dessinateur de l'album : Xavier Fourquemin Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le terrible Mange-Doigts, roi des bas-fonds nantais, tient désormais la jeune Célénie de Montencourt prisonnière. Mais son oncle, le Marquis de Valoire, entend payer l'orgueilleux roturier en plomb. Dans tous les cas, l'avenir de la jeune héritière semble bien compromis, si Mélina et Pince-Mitraille ne se dépêchent pas de la secourir. Car, Révolution ou pas, tous les hommes sont égaux lorsqu'il s'agit de faire couler le sang... Critique : Après la sortie du dernier tome des omniscients c'est au tour de Révolutionnaires l'autre série jeunesse récente de chez Le Lombard de sortir son second tome. Si le premier m'avait plutôt intéressé notamment grâce à son contexte historique riche et encore sous exploité, il lui avait manqué un petit quelque chose tant au niveau graphique que sur son intrigue pour rejoindre les rangs des excellentes séries jeunesse du Lombard comme La forêt du temps. Ce tome 2 nous emmène donc sur les traces de nos jeunes protagonistes dans une ville de Nantes troublée par la révolution. L'intrigue reste agréable à suivre même si elle ne présente pour le moment pas de gros rebondissements, et les personnages me semblent un peu sous exploité malheureusement, on a du mal à s'attacher à leur sort. Le dessin de Xavier Fourquemin, très expressif, ne participe malheureusement pas vraiment à nous rendre les personnages plus attachants. L'ambiance est graphiquement bien restituée et participe à l'intérêt du récit. Dommage, il ne manque pas grand chose pour que cette série se révèle plus marquante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/revolutionnaires-tome-2-le-grand-desordre-de-l-an-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Après la sortie du dernier tome des omniscients c'est au tour de Révolutionnaires l'autre série jeunesse récente de chez Le Lombard de sortir son second tome. Si le premier m'avait plutôt intéressé notamment grâce à son contexte historique riche et encore sous exploité, il lui avait manqué un petit quelque chose tant au niveau graphique que sur son intrigue pour rejoindre les rangs des excellentes séries jeunesse du Lombard comme La forêt du temps. Ce tome 2 nous emmène donc sur les traces de nos jeunes protagonistes dans une ville de Nantes troublée par la révolution. L'intrigue reste agréable à suivre même si elle ne présente pour le moment pas de gros rebondissements, et les personnages me semblent un peu sous exploité malheureusement, on a du mal à s'attacher à leur sort. Le dessin de Xavier Fourquemin, très expressif, ne participe malheureusement pas vraiment à nous rendre les personnages plus attachants. L'ambiance est graphiquement bien restituée et participe à l'intérêt du récit. Dommage, il ne manque pas grand chose pour que cette série se révèle plus marquante.
  21. Titre de l'album : Les omniscients - Tome 4 - Scenariste de l'album : Vincent Dugomier Dessinateur de l'album : Renata Castellani Coloriste : Benoît Beckaert Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Trois mois après la découverte du secret le mieux enfoui de New York, la compétition qui oppose les Omniscients aux Iconoclastes prend désormais un tour très public. Et puisque l'origine de leurs dons semble liée aux ruines tazmèdes, quoi de mieux qu'un duel d'archéologie pour régler leur différend ? Malheureusement, personne n'a anticipé qu'exhumer les fondations du passé peut faire vaciller l'édifice du présent... Critique : Les omniscients est l'une des série jeunesse phare du Lombard, mais il faut bien reconnaitre que j'ai du mal à y adhérer. Le premier tome laissait entrevoir de belles promesses mais pour le moment cela ne décolle pas vraiment pour moi, la faute à un scénario un peu fourre-tout je trouve et dont on a du mal à discerner les enjeux. Vincent Dugommier nous avait pourtant habitué à des scénarios plus efficaces sur ces précédentes séries, notamment sur Les enfants de la résistance. Le dessin de Renata Castellani est lui dans la ligne des séries jeunesse du Lombard, avec notamment des visages assez fin nous restituant bien les expressions, mouvements et émotions. J'espère que le prochain tome va clarifier un peu le scénario et ses enjeux pour ne pas me perdre pour cette série. En tous cas, la conclusion approche à grand pas avec son lot de révélations... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-omniscients-tome-4-affrontements?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    Les omniscients - Tome 4 -

    Les omniscients est l'une des série jeunesse phare du Lombard, mais il faut bien reconnaitre que j'ai du mal à y adhérer. Le premier tome laissait entrevoir de belles promesses mais pour le moment cela ne décolle pas vraiment pour moi, la faute à un scénario un peu fourre-tout je trouve et dont on a du mal à discerner les enjeux. Vincent Dugommier nous avait pourtant habitué à des scénarios plus efficaces sur ces précédentes séries, notamment sur Les enfants de la résistance. Le dessin de Renata Castellani est lui dans la ligne des séries jeunesse du Lombard, avec notamment des visages assez fin nous restituant bien les expressions, mouvements et émotions. J'espère que le prochain tome va clarifier un peu le scénario et ses enjeux pour ne pas me perdre pour cette série. En tous cas, la conclusion approche à grand pas avec son lot de révélations...
  23. Grym est le dernier tome et conclusion de la série spin off sur la jeunesse de Thorgal. Cette série a été un vrai plaisir pour moi, tant j'ai retrouvé les ambiances des premiers Thorgal. Des vikings, des mythes, de l'aventure. Certes ce Thorgal version jeune est un combattant plus tendre que sa version adulte, mais il brille déjà par son courage et sa morale. Ses qualités lui attirent déjà ennemis et amis, mais surtout des aventures à n'en plus finir. La jeune Aaricia ne démérite pas pour autant et offre un personnage faisant écho à celui de Thorgal, parfois même un peu dépassé. Les drames et les rebondissements vont se succéder dans cet épisode qui va voir une nouvelle fois des peuples du nord s'affronter sur fond d'exclusion et de conflits larvés. Le personnage de Grym se révèlera particulièrement intéressant par sa dramaturgie. Pour le dessin, il n'y a évidemment pas grand chose à redire sur le travail remarquable de Surzhenko qui dessine désormais cette série depuis le début et à su comme le créateur de Thorgal s'approprier finalement ce héros hors du commun et son univers graphique. C'est beau, c'est bien, c'est réussi. Merci donc pour cette petite rallonge de plaisir de 11 tomes qui nous aura fait profiter de Thorgal un peu plus. Place désormais à Thorgal Saga !
  24. Titre de l'album : La jeunesse de Thorgal - Tome 11 - Grym Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Roman Surzhenko Coloriste : Elvire De Cock Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Thorgal est mort... mais ce n'est pas encore aujourd'hui que Hel l'accueillera en son royaume ! Ayyur, la déesse berbère de la Lune, l'a pris sous sa protection. Mais pour revenir des limbes, il y aura un prix à payer ! Critique : Grym est le dernier tome et conclusion de la série spin off sur la jeunesse de Thorgal. Cette série a été un vrai plaisir pour moi, tant j'ai retrouvé les ambiances des premiers Thorgal. Des vikings, des mythes, de l'aventure. Certes ce Thorgal version jeune est un combattant plus tendre que sa version adulte, mais il brille déjà par son courage et sa morale. Ses qualités lui attirent déjà ennemis et amis, mais surtout des aventures à n'en plus finir. La jeune Aaricia ne démérite pas pour autant et offre un personnage faisant écho à celui de Thorgal, parfois même un peu dépassé. Les drames et les rebondissements vont se succéder dans cet épisode qui va voir une nouvelle fois des peuples du nord s'affronter sur fond d'exclusion et de conflits larvés. Le personnage de Grym se révèlera particulièrement intéressant par sa dramaturgie. Pour le dessin, il n'y a évidemment pas grand chose à redire sur le travail remarquable de Surzhenko qui dessine désormais cette série depuis le début et à su comme le créateur de Thorgal s'approprier finalement ce héros hors du commun et son univers graphique. C'est beau, c'est bien, c'est réussi. Merci donc pour cette petite rallonge de plaisir de 11 tomes qui nous aura fait profiter de Thorgal un peu plus. Place désormais à Thorgal Saga ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Décidément le printemps est la saison des Schtroumpfs ! On n'en doutait pas mais ce tome 6 de la série spin off sur le village des filles Schtroumpfs vient nous le rappeler de belle manière avec cette aventure qui continue, de tome en tome, faisant voyager nos trois héroïnes Schtroumpfs un peu plus loin dans l'imaginaire. On retrouvera avec plaisir l'humour des Schtroumpfs et leur bonne humeur et légèreté bienveillante. Le dessin est dans la droite ligne de l'héritage de la série mère, et cet opus est un bon moyen de retomber dans sa jeunesse pendant le temps de sa lecture.
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