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  1. Titre de l'album : Les coeurs de ferraille tome 2 - L'inspiration Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : José-Luis Munuera Coloriste : José-Luis Munuera Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Eva, une jeune vagabonde accompagnée de son chien Jesper, mène une vie de liberté, de solitude et de chapardage. Elle a un jour la bonne surprise de trouver un livre qui va lui bouleverser l'âme. Mais aussi bouleverser sa vie. Car Halfa, un riche suprémaciste, a chargé deux robots Limiers de retrouver les exemplaires de ce livre et d'assassiner son auteur, Weldon, un robot : laisser en circulation pareil ouvrage pourrait bien accréditer la thèse qu'une mécanique peut avoir une âme. Et ça, Halfa, qui craint que les robots ne remplacent les humains, ne le veut pour rien au monde. Après un tome 1 qui posait les jalons de leur univers ? un État du Sud des États-Unis uchronique où vivent humains et robots ? les BeKa et Munuera proposent un deuxième tome plein d'humour, d'action et d'humanisme. Critique : Le premier tome des "cœurs de ferrailles" avait été un vrai coup de cœur. Graphiquement, Munuera nous avait livré une partition parfaite et Beka un scenario d'une fraicheur inouïe. C'est donc peu dire que ce tome deux était attendu. Et... j'ai été surpris. Surpris de voir qu'il ne s'agissait en aucun cas d'une suite. C'est une histoire toute neuve dans le même univers. Enfin toute neuve, pas vraiment. On retrouve une jeune fille toute seule qui mène une aventure dans cet univers rétrofuturiste. On retrouve aussi une grande partie des thèmes du premier avec l'exclusion et le racisme anti robot. Si cette histoire est toujours bonne, avec cette fois une interrogation sur les facultés qui ne "seraient" propriétés que des humains, comme l'inspiration, et le dessin toujours superbe, ce deuxième conte n'a pas tout à fait la saveur du premier. La surprise de l'univers n'est plus là mais surtout la fin est moins marquante. Un peu plus facile et convenue. La lecture reste très plaisante, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. On redescend juste de l'arc en ciel pour se reposer tranquillement sur le plancher des vaches. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-coeurs-de-ferraille-tome-2-l-inspiration?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    Pour quelques degrés de plus

    Le titre fait référence en hommage à un bon vieux western, d'ailleurs c'est justement dans un décor désertique et aride que va se dérouler les trois scénarios différents présents dans cet album. Pour quelques degrés de plus est proposé dans un format à l'italienne, séparé en trois bandes horizontales, avec une intrigue principale imaginée différemment suivant le nombre de degré supplémentaire qu'il y a sur terre en 2100. A travers ce western, Ulysse Gry dénonce le réchauffement planétaire actuel et à venir. On embarque avec le héros dans un road trip bien prenant avec beaucoup d'humour et d’action. L’auteur s'amuse avec l'histoire et le format de la bande dessinée quand le héros d'un scénario peut impacter les autres. Pour la partie graphique, les couleurs dominantes sont chaudes, voire très foncées pour le scénario avec le degré le plus élevé. Pour quelques degrés de plus est la véritable surprise de cet été, à lire absolument pour la performance et l’univers très bien pensé avec en prime trois histoires pour le prix d’une.
  3. Titre de l'album : Pour quelques degrés de plus Scenariste de l'album : Ulysse Gry Dessinateur de l'album : Ulysse Gry Coloriste : Ulysse Gry Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : 2100. Trois desperados sillonnent l’Amérique à la recherche d’un butin. Mais désormais, c’est le climat qui fait la loi... jusqu’à quel point ? Faites grimper le thermomètre de 2, 3 ou 4 degrés et regardez l’histoire changer : le monde est plus ou moins apocalyptique, les catastrophes naturelles plus ou moins fortes et les hommes plus ou moins dans la merde...Quelle que soit la cuisson de la Terre, pour Josh, ce ne sera pas une partie de plaisir. Critique : Le titre fait référence en hommage à un bon vieux western, d'ailleurs c'est justement dans un décor désertique et aride que va se dérouler les trois scénarios différents présents dans cet album. Pour quelques degrés de plus est proposé dans un format à l'italienne, séparé en trois bandes horizontales, avec une intrigue principale imaginée différemment suivant le nombre de degré supplémentaire qu'il y a sur terre en 2100. A travers ce western, Ulysse Gry dénonce le réchauffement planétaire actuel et à venir. On embarque avec le héros dans un road trip bien prenant avec beaucoup d'humour et d’action. L’auteur s'amuse avec l'histoire et le format de la bande dessinée quand le héros d'un scénario peut impacter les autres. Pour la partie graphique, les couleurs dominantes sont chaudes, voire très foncées pour le scénario avec le degré le plus élevé. Pour quelques degrés de plus est la véritable surprise de cet été, à lire absolument pour la performance et l’univers très bien pensé avec en prime trois histoires pour le prix d’une. Autres infos : Edition : Presque lune Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pour-quelques-degres-de-plus/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Derniers tomes du triptyque de Thomas Gilbert la violence faite des plus "forts" aux plus" faible". Après L'excellent "Les filles de Salem" et le très complexe "Nos corps alchimiques", il ferme cette critique de la violence en société par une histoire se passant en l'an Mil. Peut-être la période de l'histoire ou l'obscurantisme religieux était à son paroxysme. Une critique sans concession à une époque où la vie des pauvres gens ne valaient rien. Notre auteur n'épargne personne à l'exemple de ce qui devait être le cas à l'époque. Entre mysticisme, thriller et discours pacifiste, cette lecture est tellement prenante que l'on se croirait dans un film. C'est ce qui en fiat ma lecture préférée des trois ouvrages de Thomas Gilbert. Plus fluide, mais pas moins complexe, il permet d'associer lecture de divertissement et lecture intéressante. Une vraie réussite.
  5. Titre de l'album : La voix des bête, la faim des hommes Scenariste de l'album : Thomas Gilbert Dessinateur de l'album : Thomas Gilbert Coloriste : Thomas Gilbert Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Brunehilde est meneuse de loups. Elle vit à la fin du Moyen Âge, cette période incertaine où le christianisme combat intensément pour gagner les populations, essentiellement rurales. Nomade, considérée comme une sorcière, elle doit se méfier des brigands, des bêtes, des esclavagistes, de l'accueil des villageois, parfois. Quand elle arrive dans cette vallée forestière du Sud-Ouest de la France, elle découvre une situation terrible : des gens sont atrocement tués dans les bois, mutilés, et le village est persuadé qu'un démon ou un loup-garou sévit. Première suspecte, Brunehilde, aidée de Paulin, un vague commerçant itinérant croisé en route, est vite obligée de mener l'enquête sur ces meurtres. Critique : Derniers tomes du triptyque de Thomas Gilbert la violence faite des plus "forts" aux plus" faible". Après L'excellent "Les filles de Salem" et le très complexe "Nos corps alchimiques", il ferme cette critique de la violence en société par une histoire se passant en l'an Mil. Peut-être la période de l'histoire ou l'obscurantisme religieux était à son paroxysme. Une critique sans concession à une époque où la vie des pauvres gens ne valaient rien. Notre auteur n'épargne personne à l'exemple de ce qui devait être le cas à l'époque. Entre mysticisme, thriller et discours pacifiste, cette lecture est tellement prenante que l'on se croirait dans un film. C'est ce qui en fiat ma lecture préférée des trois ouvrages de Thomas Gilbert. Plus fluide, mais pas moins complexe, il permet d'associer lecture de divertissement et lecture intéressante. Une vraie réussite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-voix-des-betes-la-faim-des-hommes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. La recherche d'explication sur ses origines est un sujet qui touche beaucoup de Français. C'est aussi un sujet trop souvent associé à l'immigration et au détachement du sentiment d'être français. En tout cas dans les médias. Ici, ce n'est pas du tout le cas. Si la recherche de ces racines n'est pas un thème nouveau, notre auteur choisit de nous montrer qu'il ne touche pas tout le monde de la même façon. Et c'est ce miroir entre les deux frères, pour qui ce besoin est différent, qui rend cette BD intéressante. On dépasse la simple recherche pour se pencher sur le "pourquoi" du besoin viscéral de cette recherche. Un pourquoi que son frère ne comprend pas et que l'auteur parvient à peine à expliquer lui-même. Plus qu'une BD sur l'immigration, c'est avant tout une BD sur la nécessité, par moment, d'introspection et d'aller aux bouts de certaines questions pour pouvoir avancer. Une belle BD, bien dessinée, nous offrant aussi bien le regard décalé de l'européen sur la Turquie que nous invitant à réfléchir sur nos propres questions non résolues
  7. Titre de l'album : Carole, ce que nous laissons derriere nous Scenariste de l'album : Clement C. Fabre Dessinateur de l'album : Clement C. Fabre Coloriste : Clement C. Fabre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Clément et son frère partent à Istanbul avec comme but de trouver la tombe de Carole, la première-née de leurs grands-parents paternels. Carole est morte quelques semaines après sa naissance, quelques années avant le départ de ses parents pour la France, eux les Arméniens d'Istanbul. Clément a interrogé ses grands-parents et ses parents, il a senti des non-dits. Il s'apercevra en Turquie, après des démarches nombreuses et infructueuses, que ce qu'il vient d'accomplir avec son frère est bien plus un travail d'introspection qu'une enquête sur un fait bien établi. Une exploration littéraire magnifique, et parfaitement réussie, de notre réalité consciente et inconsciente, des liens et des histoires familiaux et de leur influence sur nos psychés. Critique : La recherche d'explication sur ses origines est un sujet qui touche beaucoup de Français. C'est aussi un sujet trop souvent associé à l'immigration et au détachement du sentiment d'être français. En tout cas dans les médias. Ici, ce n'est pas du tout le cas. Si la recherche de ces racines n'est pas un thème nouveau, notre auteur choisit de nous montrer qu'il ne touche pas tout le monde de la même façon. Et c'est ce miroir entre les deux frères, pour qui ce besoin est différent, qui rend cette BD intéressante. On dépasse la simple recherche pour se pencher sur le "pourquoi" du besoin viscéral de cette recherche. Un pourquoi que son frère ne comprend pas et que l'auteur parvient à peine à expliquer lui-même. Plus qu'une BD sur l'immigration, c'est avant tout une BD sur la nécessité, par moment, d'introspection et d'aller aux bouts de certaines questions pour pouvoir avancer. Une belle BD, bien dessinée, nous offrant aussi bien le regard décalé de l'européen sur la Turquie que nous invitant à réfléchir sur nos propres questions non résolues Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/carole?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Partitions irlandaises tome 2

    Deuxième tome des partitions irlandaises et tome plus dans l'action que dans l'émotion. Le premier avait été marquant grâce à l'aspect immoral de ce qui arrive à nos deux amoureux. Ce tome ci est résolument dans l'action ! Notre héros a décidé de ne pas se laisser faire. Et, pour ce faire, il se rappelle ce que son père lui a appris, mais il se rappelle surtout ce qui est arrivé à sa mère. Il décide de lui-même de trouver un moyen radical à un problème que les policiers laisse pourrir. C''est toujours aussi bien dessiné, mais bien plus dur. C'est prenant, c'est dense et ça donne une envie furieuse de lire la fin. C'est un super tome deux pour une histoire du XXIieme siècle comme on aimerait qu'elle n'existe pas.
  9. Titre de l'album : Partitions irlandaises tome 2 Scenariste de l'album : Kris Dessinateur de l'album : Vincent Bailly Coloriste : Vincent Bailly Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : 30 ans après, le passé se rappelle aux mauvais souvenirs de la famille Pearse... et de Tim ! Déclenchée par Johnny et ses soldats de l'Ulster unioniste, une fusillade crible de balles la façade de la maison des Pearse. Un homme est tué qui s'écroule dans les bras de Mary. C'est Tim qui est visé, c'est Dylan, l'ex-petit ami de Mary, qui est tué.Le forfait est signé «Crazy Dog». Frank «Crazy Dog» Brown, le père de Tim... mort et enterré il y a vingt ans ! Tim est alors exfiltré de Belfast, sous protection policière, vers l'Irlande républicaine. C'est un témoin précieux pour la police. Mais un témoin indocile. La vie recluse ne l'enchante guère. D'autant que Mary, que la police a fait venir pour le convaincre de parler, annonce qu'elle est enceinte, et que Tim est le père. Alors ce dernier décide de fausser compagnie à ses protecteurs et de régler lui-même ses comptes avec le passé...Une histoire d'amour magnifique et tourmentée dans le Belfast tout aussi tourmenté d'aujourd'hui, entre Brexit et retour des tensions identitaires. Kris et Vincent Bailly reviennent en Irlande du Nord douze ans après le succès du récit complet Coupures irlandaises. Critique : Deuxième tome des partitions irlandaises et tome plus dans l'action que dans l'émotion. Le premier avait été marquant grâce à l'aspect immoral de ce qui arrive à nos deux amoureux. Ce tome ci est résolument dans l'action ! Notre héros a décidé de ne pas se laisser faire. Et, pour ce faire, il se rappelle ce que son père lui a appris, mais il se rappelle surtout ce qui est arrivé à sa mère. Il décide de lui-même de trouver un moyen radical à un problème que les policiers laisse pourrir. C''est toujours aussi bien dessiné, mais bien plus dur. C'est prenant, c'est dense et ça donne une envie furieuse de lire la fin. C'est un super tome deux pour une histoire du XXIieme siècle comme on aimerait qu'elle n'existe pas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/partitions-irlandaises-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Étonnamment, je pensais que nous n'aurions que 3 tomes sur les sœurs Gremillets, un par soeur. Et bien, il se trouve donc que non. Ce quatrième tome n'est pas pour autant mauvais. Je dirais même qu'il se trouve être l'un des meilleurs. En effet, au lieu de se focaliser sur une seule des trois filles, on retrouve notre famille au grand complet. Famille qui doit gérer avec ces trois caractères bien trempés. Famille aussi avec la première apparition du père. Papa très occupé qui est le centre de cet album. Album donnant lieu à une enquête de nos jeunes filles bien sur. Enquête qui, si elle est le centre de l'histoire, n'est pas l'important, au regard des relations entre les trois filles et le regard que chacune porte à leur père. Une excellente histoire de famille pour l'un des meilleurs tome de la série
  11. Titre de l'album : Les soeurs Grémillet tome 4 - Le chamois et la comète Scenariste de l'album : Giovanni Di Gregorio Dessinateur de l'album : Alessandro Barbucci Coloriste : Alessandro Barbucci Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Sarah, Cassiopée et Lucille se rendent dans les Alpes françaises, merveille géographique d'harmonie avec la nature. Leur destination ? L'observatoire où travaille un astronome extrêmement pris par son travail. Un certain Philippe Grémillet, leur papa ! Redécouvrant ce personnage haut en passions, les soeurs vont chacune réagir de manière différente. Philippe saura-t-il leur accorder toute l'attention qu'elles méritent ? Car ses filles arrivent au moment où s'approche une comète que le scientifique attend depuis si longtemps... Di Gregorio et Barbucci introduisent dans leur petite famille le papa des filles, un personnage essentiel, donnant une nouvelle dimension à l'émotion et la poésie omniprésentes dans leur remarquable série. Critique : Étonnamment, je pensais que nous n'aurions que 3 tomes sur les sœurs Gremillets, un par soeur. Et bien, il se trouve donc que non. Ce quatrième tome n'est pas pour autant mauvais. Je dirais même qu'il se trouve être l'un des meilleurs. En effet, au lieu de se focaliser sur une seule des trois filles, on retrouve notre famille au grand complet. Famille qui doit gérer avec ces trois caractères bien trempés. Famille aussi avec la première apparition du père. Papa très occupé qui est le centre de cet album. Album donnant lieu à une enquête de nos jeunes filles bien sur. Enquête qui, si elle est le centre de l'histoire, n'est pas l'important, au regard des relations entre les trois filles et le regard que chacune porte à leur père. Une excellente histoire de famille pour l'un des meilleurs tome de la série Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-soeurs-gremillet-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    L'heritage Wagner

    En voila un one shot marquant. Marquant car ne cherchant pas à satisfaire à la bonne morale. Un album qui, sous couvert des résidus de nazisme dans les années 60, est en fait une très belle, et bien pensée, histoire d'amour. Stephen Desberg tompe bie son monde sur cet album. Nous présentant notre héroïne comme une arriviste du spectacle, il nous cache, au début, son histoire d'amour, entre récit historique et envie de gloire. Mais plus on avance, plus on se rend compte qu'il est en fait question d'amour entre deux personnes provenant d'horizons différents. Deux personnes que l'histoire a marqué et qui essaye de lutter contre ces boulets historiques et contre les étiquettes qu'on leur colle. Une bien belle surprise pour une lecture dense et émouvante.
  13. Titre de l'album : L'heritage Wagner Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Emilio Van Der Zuiden Coloriste : Emilio Van Der Zuiden Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : L'histoire d'amour passionnée et interdite qui redonna vie à l'oeuvre de Richard Wagner... Chanteuse d'opéra, Anja renverse les convenances puritaines du monde musical allemand de l'après-guerre. Wieland, héritier du passé sulfureux de la famille Wagner, ancien protégé du Fuhrer lui-même, rêve de rompre avec les traditions d'une époque qui a laissé son pays en ruines.Bientôt unis par un amour violent, Anja et Wieland se retrouvent opposés aux gardiens du temple de Bayreuth, une élite conservatrice qui cache à peine sa nostalgie du Troisième Reich.Grâce à la force d'Anja, Wieland veut redonner vie et espoir à la musique de son grand-père, Richard Wagner, mais pour cela il lui faudra d'abord se confronter aux démons de son propre passé, à des secrets qu'il a toujours refoulés. Critique : En voila un one shot marquant. Marquant car ne cherchant pas à satisfaire à la bonne morale. Un album qui, sous couvert des résidus de nazisme dans les années 60, est en fait une très belle, et bien pensée, histoire d'amour. Stephen Desberg tompe bie son monde sur cet album. Nous présentant notre héroïne comme une arriviste du spectacle, il nous cache, au début, son histoire d'amour, entre récit historique et envie de gloire. Mais plus on avance, plus on se rend compte qu'il est en fait question d'amour entre deux personnes provenant d'horizons différents. Deux personnes que l'histoire a marqué et qui essaye de lutter contre ces boulets historiques et contre les étiquettes qu'on leur colle. Une bien belle surprise pour une lecture dense et émouvante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-heritage-wagner?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Carma de Portepoisse

    Nouveau one shot chez Darkoo avec une recette qui devient habituelle : Un personnage charismatique, mais gaffeur au possible secondé par plein de second rôle amenant une caution humoristique. Mais c'est encore une fois bien fait. Le personnage principal, parait un peu bizarre de prime abord, cherchant à n'avoir ni trop de chance ni trop peu. Mais, sa rencontre avec le personnage de Lomélie hyper poissarde, fait prendre une saveur intéressante à cette histoire. En effet, nos héroïnes jouent avec cette poisse pour se tirer de situations cocasses, mais bien pensées. On s'amuse à suivre les déboires de nos héroïnes et à bien comprendre les mysticismes qui font loi dans cet univers. Rien de vraiment innovant chez Drakoo mais un bon moment de détente.
  15. Titre de l'album : Carma de Portepoisse Scenariste de l'album : Rutile Dessinateur de l'album : Remuzat Coloriste : Remuzat Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Être superstitieux, ça porte malheur, surtout quand on est Portepoisse ! Carma de Portepoisse est une mercenaire qui ne doit avoir ni trop de chance, ni trop de malchance, sous peine de subir les conséquences d'une malédiction familiale. Hélas son destin se retrouve lié à Loméllie, princesse dont la malchance légendaire a causé la chute d'un empire. Et pour ne rien arranger, un paladin béni des dieux veut les capturer pour les amener à la justice : Carma pourra-t-elle échapper à l'homme le plus chanceux du monde tout en se traînant la fille la plus maudite qui soit ? Critique : Nouveau one shot chez Darkoo avec une recette qui devient habituelle : Un personnage charismatique, mais gaffeur au possible secondé par plein de second rôle amenant une caution humoristique. Mais c'est encore une fois bien fait. Le personnage principal, parait un peu bizarre de prime abord, cherchant à n'avoir ni trop de chance ni trop peu. Mais, sa rencontre avec le personnage de Lomélie hyper poissarde, fait prendre une saveur intéressante à cette histoire. En effet, nos héroïnes jouent avec cette poisse pour se tirer de situations cocasses, mais bien pensées. On s'amuse à suivre les déboires de nos héroïnes et à bien comprendre les mysticismes qui font loi dans cet univers. Rien de vraiment innovant chez Drakoo mais un bon moment de détente. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/carma-de-portepoisse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. j'adore cette série. Elle rallume la flamme du petit garçon fan de science que j'étais. Elle réussit à nous expliquer l'espace (le grand) de façon claire, intéressante et sans nous perdre. Elle réussit l'extrêmement difficile travail de vulgarisation, tout en concevant l'aspect "wahouuu" des descriptions. Cela bien aidé par une mise en image assez magique qui donne envie à tout lecteur de se précipiter à l'observatoire le plus proche pour voir ces merveilles de ses propres yeux.... Une excellente BD de vulgarisation scientifique comme on en voit trop rarement ! À mettre dans toutes les écoles, dans le coin lecture !
  17. Titre de l'album : Science infuse t2 : Trou noir, entropie et spaghetti Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Julien Mariolle Coloriste : Julien Mariolle Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une série pleine d'humour et de péripéties pour découvrir la science de manière amusante et intuitive Un soir, Justin et Solène reçoivent la visite d'Ulwazi, un étrange voyageur du futur. Venu leur délivrer un message crucial pour l'humanité, Ulwazi doit d'abord leur expliquer les bases scientifiques nécessaires à sa bonne compréhension...Justin, Solène et Ulwazi vont donc partir ensemble décoder les mystères de l'univers. De la Lune aux confins du système solaire, et même au-delà, Justin et Solène découvrent les concepts fondamentaux de l'astronomie et de la cosmologie afin de mieux comprendre le monde qui les entoure... tout en s'amusant. CONCEPT : Véritable aventure riche en enseignement, cette série de bande dessinée destinée à la jeunesse présente de façon simple, pédagogique et amusante les principales théories de la science actuelle : l'astrophysique et le cosmos, la mécanique quantique et l'infiniment petit, les mathématiques appliquées et la biotechnologie. De quoi faire rêver les jeunes (et les plus grands) grâce à la Science... Infuse ! Critique : j'adore cette série. Elle rallume la flamme du petit garçon fan de science que j'étais. Elle réussit à nous expliquer l'espace (le grand) de façon claire, intéressante et sans nous perdre. Elle réussit l'extrêmement difficile travail de vulgarisation, tout en concevant l'aspect "wahouuu" des descriptions. Cela bien aidé par une mise en image assez magique qui donne envie à tout lecteur de se précipiter à l'observatoire le plus proche pour voir ces merveilles de ses propres yeux.... Une excellente BD de vulgarisation scientifique comme on en voit trop rarement ! À mettre dans toutes les écoles, dans le coin lecture ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/science-infuse-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Et bien voilà une belle surprise en bd, et pourtant c'est peu dire que la couverture ne m'inspirait pas. Et puis, et puis, sans savoir de quoi cela allait nous parler je me suis plongé dedans, et en la refermant j'ai envie d'en lire la suite. Preuve à minima d'une histoire réussie et bien menée. Le scénario s'il n'est pas des plus original et a un parfum de déjà vu a le mérite d'apporter des éléments en plus par petites touches bien dosées. Je m'y suis pris. Le dessin de Elisa Ferrari est finalement plutôt bien, même si pas mal d'arrières plans et de cases manquent de détails pour moi, les personnages sont finalement bien rendus et le découpage des cases et des scènes est efficace. Ce n'est pas l'ouvrage artistique de l'année en bd, mais c'est un polar et il faut que le lecteur puisse se laisser emporter par l'intrigue. Ici ça fonctionne. Bref je vous conseille d'aller jeter un oeil là dessus si vous êtes amateurs de polar.
  19. Titre de l'album : Le regard invisible - Tome 1 - La marque des souvenirs Scenariste de l'album : Gwenaël & Serge Carrère Dessinateur de l'album : Elisa Ferrari Coloriste : Alex Gonzalbo Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Voilà sept ans, cinq amis, adolescents à l'époque, ont vécu une expérience traumatisante lors d'un séjour en montagne. Aujourd'hui, alors qu'ils vivent chacun leur vie mais gardent ce secret enfoui dans leur mémoire, des lettres leur parviennent qui font explicitement référence à leurs souvenirs. Qui connaît autant de détails ?... Ils trouveront des réponses mais qu'ils paieront au prix fort... Critique : Et bien voilà une belle surprise en bd, et pourtant c'est peu dire que la couverture ne m'inspirait pas. Et puis, et puis, sans savoir de quoi cela allait nous parler je me suis plongé dedans, et en la refermant j'ai envie d'en lire la suite. Preuve à minima d'une histoire réussie et bien menée. Le scénario s'il n'est pas des plus original et a un parfum de déjà vu a le mérite d'apporter des éléments en plus par petites touches bien dosées. Je m'y suis pris. Le dessin de Elisa Ferrari est finalement plutôt bien, même si pas mal d'arrières plans et de cases manquent de détails pour moi, les personnages sont finalement bien rendus et le découpage des cases et des scènes est efficace. Ce n'est pas l'ouvrage artistique de l'année en bd, mais c'est un polar et il faut que le lecteur puisse se laisser emporter par l'intrigue. Ici ça fonctionne. Bref je vous conseille d'aller jeter un oeil là dessus si vous êtes amateurs de polar. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-regard-invisible-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    La fabrique des rêves - Tome 1

    Après la fin d'Elles, les éditions Lombard lancent une nouvelles séries, graphiquement assez proche de ce qui se fait dans le monde du dessin animé de qualité, sur le thème des rêves. Vous l'aurez compris on va chasser sur les terres de Pixar, dans le ton comme sur la forme, mais finalement est-ce un problème ? Les dessins de Goum sont largement au niveau, et l'édition et la qualité de papier et d'impression lui rend bien hommage, on glisse sur les personnages et les pleines pages. Le scénario quand à lui n'est pas en reste avec un personnage vite attachant, et une intrigue pas si simple qu'il n'y parait. On reste cependant sur un tome de mise en place quand même, et le prochain tome aura la lourde tâche de confirmer l'essai. J'ai passé un bon moment de lecture avec cette fabrique des rêves, même si clairement sa forte ressemblance avec les dessins animés pourra probablement rebuter quelques lecteurs.
  21. Titre de l'album : La fabrique des rêves - Tome 1 Scenariste de l'album : Boriau Dessinateur de l'album : Goum Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Être narcoleptique quand on est adolescent, ce n'est vraiment pas une vie de rêve. Andy s'endort partout et tout le temps, surtout dans les moments les plus critiques. Tout ce temps passé dans les bras de Morphée lui offre un jour l'occasion de découvrir l'envers du décor : La Fabrique des rêves. En se faisant passer pour un stagiaire, le jeune garçon va pouvoir découvrir de l'intérieur cette organisation créée pour réguler les rêves et les cauchemars de tout le monde. Dans cet univers merveilleux où tout devient possible, Andy va chercher à découvrir pourquoi il s'endort aussi souvent. Le danger est partout : aucun rêveur n'a le droit de quitter sa bulle et La Fabrique lance rapidement des agents à sa recherche... Critique : Après la fin d'Elles, les éditions Lombard lancent une nouvelles séries, graphiquement assez proche de ce qui se fait dans le monde du dessin animé de qualité, sur le thème des rêves. Vous l'aurez compris on va chasser sur les terres de Pixar, dans le ton comme sur la forme, mais finalement est-ce un problème ? Les dessins de Goum sont largement au niveau, et l'édition et la qualité de papier et d'impression lui rend bien hommage, on glisse sur les personnages et les pleines pages. Le scénario quand à lui n'est pas en reste avec un personnage vite attachant, et une intrigue pas si simple qu'il n'y parait. On reste cependant sur un tome de mise en place quand même, et le prochain tome aura la lourde tâche de confirmer l'essai. J'ai passé un bon moment de lecture avec cette fabrique des rêves, même si clairement sa forte ressemblance avec les dessins animés pourra probablement rebuter quelques lecteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fabrique-des-reves-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Bon alors autant je me suis un peu mit au BD d'humour, autant ce best of est vraiment pauvre. Enchainer les objets "rigolos" pour les profs, ce n'était pas l'idée du siècle. Même mes enfants, d'habitude très friands des "profs" et des bds d'humour en général, se sont ennuyés. Pas de fils rouge, des gags hyper tiré par les cheveux et une redondance presque pénible. Passer votre chemin.... et acheter plutôt le dernier Boulard
  23. Titre de l'album : Les profs - best or - shopping profs Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : LE catalogue indispensable pour s'offrir (enfin) une vie de prof bien classe ! Vous êtes prof et vous rêvez d'une machine à corriger les copies à grande vitesse ? Vous avez besoin d'urgence d'un simulateur de panne de photocopieur ? La réunion parents/profs vous stresse et vous voulez vous procurer le neutraliseur de parents ? Pas de panique, dans cet album best of, vous retrouverez tous les meilleurs articles vendus par Shopping Prof. Des articles qui n'ont qu'un seul et unique but : aider les profs à survivre à leurs études. Critique : Bon alors autant je me suis un peu mit au BD d'humour, autant ce best of est vraiment pauvre. Enchainer les objets "rigolos" pour les profs, ce n'était pas l'idée du siècle. Même mes enfants, d'habitude très friands des "profs" et des bds d'humour en général, se sont ennuyés. Pas de fils rouge, des gags hyper tiré par les cheveux et une redondance presque pénible. Passer votre chemin.... et acheter plutôt le dernier Boulard Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-profs-best-or-shopping-profs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nouveau 100% Stalner chez Grand Angle après l'étonnant Bertille et Bertille. Stalner reste dans cette époque du début du XXieme siècle pour nous livrer un road movie charmant. A contrario des road movie du cinéma américain, il nous présente ici une histoire empreinte du charme désuet des dandy des années 60. Un road movie dans lequel notre "héros" est un spectateur au même titre que le lecteur. Tous comme nous, il découvre une soirée préparée de longue date. Une soirée hors du temps qui change radicalement la vie de Jonathan et qui garde lecteur sur un petit nuage magique, ou les surprises sont nombreuses mais sans ne jamais sortir l'ambiance joyeuse des soirées des sixites américaines. Tout ce qu'on attend d'un one shot aux ambitions mesurées mais qui al bon gout d'y répondre pleinement !
  25. Titre de l'album : 13 heures 17 dans la vie de Jonathan Lassiter Scenariste de l'album : Eric Stalner Dessinateur de l'album : Eric Stalner Coloriste : Eric Stalner Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Quand on n'a plus rien à perdre, on peut prendre tous les risques... Chassé de son boulot dans une petite société d'assurance de la triste ville de Keanway dans le Nebraska, quitté par sa copine, Jonathan Lassiter voit sa vie bouleversée. Sous une pluie d'orage, alors qu'il vient de se faire détrousser par un pickpocket, il se réfugie dans un petit pub à moitié désert. La rencontre avec Edward, homme distingué, cultivé et cynique qui fête un curieux anniversaire, va initier une folle équipée de 13 heures et 17 minutes dont Jonathan sortira épuisé, rincé, bouleversé et transformé. Critique : Nouveau 100% Stalner chez Grand Angle après l'étonnant Bertille et Bertille. Stalner reste dans cette époque du début du XXieme siècle pour nous livrer un road movie charmant. A contrario des road movie du cinéma américain, il nous présente ici une histoire empreinte du charme désuet des dandy des années 60. Un road movie dans lequel notre "héros" est un spectateur au même titre que le lecteur. Tous comme nous, il découvre une soirée préparée de longue date. Une soirée hors du temps qui change radicalement la vie de Jonathan et qui garde lecteur sur un petit nuage magique, ou les surprises sont nombreuses mais sans ne jamais sortir l'ambiance joyeuse des soirées des sixites américaines. Tout ce qu'on attend d'un one shot aux ambitions mesurées mais qui al bon gout d'y répondre pleinement ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/13-heures-17-dans-la-vie-de-jonathan-lassiter?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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