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  1. Nous avions globalement eu un avis identique sur le premier tome, chez 1001bd : c'était très bien, mais il manquait un petit quelque chose pour en faire un excellent tome. Et bien ce tome 2 gomme ces doutes pour nous proposer un tome tout bonnement excellent. Le rythme un peu trop calme et trop descriptif du premier tome est remplacé par un scenario à couper au couteau. Une course qui mêle admirablement survie et découverte d'un continent complètement nouveau. En tant que lecteur, cela nous donne une découverte très intéressante avec un côté post-apocalyptique plus prégnant par les ruines que notre héroïne traverse, un peu comme dans le tome 1, mais avec en plus le petit coup d'adrénaline en plus qui nous manquait. On se retrouve avec un album proche de la perfection, avec un Didier Poli qui réussit à augmenter encore sa maitrise des personnages et notre offre un bestiaire particulièrement travaillé dans une ambiance qui ne déplaira pas aux amateurs du convoyeur. Mention ++ à la colorisation de Burno Tatti qui est sublime. Les couleurs imposent une ambiance aussi angoissante la nuit et qu'intrigante au lever du soleil. J'en veux encore !!
  2. Les carnets de cerise n'en finissent pas de faire des émules et c'est tant mieux quand les éditeurs mettent les moyens nécessaires pour nous donner une production de qualité. Et c'est encore une fois le cas avec Drakoo et ce "jardin des fées". Graphiquement déjà, on est dans la mouvance actuelle des albums pour jeunes lecteurs avec des dessins de haut niveau, très colorés et très dynamiques. Niveau scenario, ce jardin des fées est assez innovant et très intéressant. On a un scenario qui montre crescendo en pression et se dévoile petit à petit. La gestion des pages de "cahier" est faite intelligemment avec beaucoup de détails intéressants, mais pas obligatoires et les surprises sont légion et bien reparties. Une vraie belle lecture qui promet au moins un deuxième tome cohérents et intéressant. Des BDs jeunesses comme cela, on en souhaiterait plus 🙂
  3. Titre de l'album : Le jardin des fées t1 : Bergère des fées Scenariste de l'album : Audrey Alwett Dessinateur de l'album : Nora Moretti Coloriste : Nora Moretti Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Elles exaucent votre souhait, mais elles en meurent. Règle n°1 : Le berger doit garder secrète l'existence des fées. Règle n°2 : Jamais il n'exigera de voeu, car chaque voeu tue la fée qui l'exauce. Règle n°3 : Il leur fournira des fleurs,pour qu'elles conçoivent le miel qui soigne tous les maux. Règle n°4 : Pour cela, il ira sur les routeset un jour, il leur trouvera enfinUN JARDIN. Une enquête féérique àla croisée de Beatrix Potter, de l'affaire des Fées de Cottingley et du Jardin Secretde F. H. Burnett. Critique : Les carnets de cerise n'en finissent pas de faire des émules et c'est tant mieux quand les éditeurs mettent les moyens nécessaires pour nous donner une production de qualité. Et c'est encore une fois le cas avec Drakoo et ce "jardin des fées". Graphiquement déjà, on est dans la mouvance actuelle des albums pour jeunes lecteurs avec des dessins de haut niveau, très colorés et très dynamiques. Niveau scenario, ce jardin des fées est assez innovant et très intéressant. On a un scenario qui montre crescendo en pression et se dévoile petit à petit. La gestion des pages de "cahier" est faite intelligemment avec beaucoup de détails intéressants, mais pas obligatoires et les surprises sont légion et bien reparties. Une vraie belle lecture qui promet au moins un deuxième tome cohérents et intéressant. Des BDs jeunesses comme cela, on en souhaiterait plus 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-jardin-des-fees-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Mettons les choses au clair d'emblée, je suis un immense fan de la série Le Scorpion tant elle a enchanté ma passion pour la bd. La passation d'auteur entre Enrico Marini et Luigi Critone s'avérait donc périlleuse, et le tome 13, le précédent avait été plutôt rassurant finalement avec le démarrage d'un nouveau cycle. Las, je vous le dis sans cachotterie, quand j'ai reçu ce tome du Scorpion, c'est finalement la dernière bd que j'ai lue de ma commande. Et ce n'est pas vraiment bon signe tant je privilégie habituellement les séries plaisir, au rang duquel Le Scorpion fait habituellement figure de favori. Oui en feuilletant au préalable ce tome je n'ai pas eu envie de le lire plus que ça. Une impression d'ennui, d'une forme de statique dans le dessin, et certaines colorisation manquant de nuances pour moi m'ont refroidi. Méjaï a perdu de son charme et ce n'est pas peu significatif. C'était mes premières impression, et la lecture devait me dire si j'étais à côté de la plaque ou non. Le bilan est mitigé. Si globalement je ne me suis pas ennuyé, et que j'ai aimé les ramifications de l'enquêtes que Le Scorpion mène cette fois-ci, j'ai tout de même trouvé les scènes d'actions très plates, les scènes de séduction fades, et les couleurs parfois gênantes. Le soucis est que si l'idée de base de la série Le Scorpion avec ces "familles" imaginant la création d'une église catholique visant à préserver leurs intérêts était brillante, une fois ce cycle refermé la suite est compliquée. Alors même si Stephen Desberg nous livre un scénario intéressant, la baisse de l'ambiance film de Cape et d'épée d'époque que Marini avait su insuffler à sa série est désormais préjudiciable je trouve, et les passages narratifs ou les échanges un peu trop verbeux ne font que renforcer cette impression. Pourtant les dessins de Luigi Critone sont beaux, simplement les qualités de son dessin ne sont pas les mêmes que celles du dessin de son prédécesseur, et ce dynamisme bloque le souffle d'aventure épique qui devrait régner en maître sur cette série. Oui le tout manque de panache. Ce tome 14 marque donc pour moi le changement de style de la série Le Scorpion, et son retour dans le plus relatif anonymat des séries BD de qualité mais qui ne sont pas marquantes pour autant.
  5. Titre de l'album : Le Scorpion - Tome 14 - La tombe d'un dieu Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Luigi Critone Coloriste : Luigi Critone Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Au Caire, le Scorpion a retrouvé Méjaï. Mais elle lui a interdit de se mêler de sa vie et de celle de leur enfant... qui semble avoir disparu. À bord d'une felouque descendant les eaux du Nil, le Scorpion compte bien découvrir la vérité, mais il a besoin d'argent. Ainsi se remet-il au service de la Sabbatéenne, une femme plus dangereuse encore, capable de percer les mystères du passé. La Sabbatéenne s'est lancée sur les traces du plus mystérieux des pharaons, Akhenaton, l'inventeur du dieu unique. Elle est persuadée qu'en trouvant sa tombe, elle pourra faire le lien avec son grand prêtre Tamose, le Moïse de la Bible, et l'exode vers la Palestine, aujourd'hui revendiquée par les juifs, les musulmans et les chrétiens d'Occident. Mais la quête tourne mal. Des hommes armés les attaquent. Le trésor de la tombe d'Akhenaton attire toutes les convoitises, et particulièrement celles du puissant Al Kabir, le maître de Méjaï qui possède la clé de ses secrets. Deuxième volet d'un nouveau cycle de la saga Le Scorpion, cet album, qui conjugue l'exotisme et la grande aventure chère à Stephen Desberg, est magnifié par le coup de pinceau et les couleurs éclatantes de Luigi Critone, digne successeur d'Enrico Marini. Critique : Mettons les choses au clair d'emblée, je suis un immense fan de la série Le Scorpion tant elle a enchanté ma passion pour la bd. La passation d'auteur entre Enrico Marini et Luigi Critone s'avérait donc périlleuse, et le tome 13, le précédent avait été plutôt rassurant finalement avec le démarrage d'un nouveau cycle. Las, je vous le dis sans cachotterie, quand j'ai reçu ce tome du Scorpion, c'est finalement la dernière bd que j'ai lue de ma commande. Et ce n'est pas vraiment bon signe tant je privilégie habituellement les séries plaisir, au rang duquel Le Scorpion fait habituellement figure de favori. Oui en feuilletant au préalable ce tome je n'ai pas eu envie de le lire plus que ça. Une impression d'ennui, d'une forme de statique dans le dessin, et certaines colorisation manquant de nuances pour moi m'ont refroidi. Méjaï a perdu de son charme et ce n'est pas peu significatif. C'était mes premières impression, et la lecture devait me dire si j'étais à côté de la plaque ou non. Le bilan est mitigé. Si globalement je ne me suis pas ennuyé, et que j'ai aimé les ramifications de l'enquêtes que Le Scorpion mène cette fois-ci, j'ai tout de même trouvé les scènes d'actions très plates, les scènes de séduction fades, et les couleurs parfois gênantes. Le soucis est que si l'idée de base de la série Le Scorpion avec ces "familles" imaginant la création d'une église catholique visant à préserver leurs intérêts était brillante, une fois ce cycle refermé la suite est compliquée. Alors même si Stephen Desberg nous livre un scénario intéressant, la baisse de l'ambiance film de Cape et d'épée d'époque que Marini avait su insuffler à sa série est désormais préjudiciable je trouve, et les passages narratifs ou les échanges un peu trop verbeux ne font que renforcer cette impression. Pourtant les dessins de Luigi Critone sont beaux, simplement les qualités de son dessin ne sont pas les mêmes que celles du dessin de son prédécesseur, et ce dynamisme bloque le souffle d'aventure épique qui devrait régner en maître sur cette série. Oui le tout manque de panache. Ce tome 14 marque donc pour moi le changement de style de la série Le Scorpion, et son retour dans le plus relatif anonymat des séries BD de qualité mais qui ne sont pas marquantes pour autant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-scorpion-tome-14-la-tombe-d-un-dieu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Jusqu'à maintenant toutes les reines proposées étaient plus ou moins connues mais avec Kahina, la reine berbère, c'était une véritable découverte pour moi. L'histoire retranscrit par le scénariste Simon Treins est très bien amenée. Le récit débute avec l'émir omeyyade qui envoie ses armées en terminer avec les forces berbères pour imposer la foi du prophète. Ce sera une défaite pour l'émir mais le roi Tabeta des Djerawa succombe sur le champ de bataille et laisse Dihya sa fille orpheline. Dès lors, elle devra imposer sa force pour devenir une femme pour diriger son peuple. Tout le monde va la craindre et la surnomme Kahina qui veut dire la prophétesse. On ne se s’ennuie pas un moment avec ce récit épique ou les combats s'enchainent avec en parallèle les problématiques que Kahina rencontre en tant que femme. Les dessins de Dragan Paunovic sont dans un style réalistes très travaillés. Le résultat final est très impressionnant et donne vraiment envie de poursuivre la lecture de cet album. Ce premier tome démarre très bien le récit de cette reine qui m'était encore inconnue avant la lecture de cet album. On s’éloigne des reines européennes qui sont beaucoup présentes dans cette série des reines de sang, pour cette fois gagner en exotisme.
  7. Titre de l'album : Les reines de sang - Kahina, la reine berbère tome 1 Scenariste de l'album : Simon Treins Dessinateur de l'album : Dragan Paunovic Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : À l'aube du VIIème siècle, les armées omeyyades déferlent sur le Maghreb. Dihya, la Kahina, signifiant « prophétesse » en berbère, se dressera contre elles. Elle rassembla les tribus contre l'envahisseur, et repoussera durant 10 ans les armées arabes. Elle reste à ce jour une icône pour les Berbères qui lui accordent des pouvoirs surnaturels de devineresse qui vont nourrir sa légende. Critique : Jusqu'à maintenant toutes les reines proposées étaient plus ou moins connues mais avec Kahina, la reine berbère, c'était une véritable découverte pour moi. L'histoire retranscrit par le scénariste Simon Treins est très bien amenée. Le récit débute avec l'émir omeyyade qui envoie ses armées en terminer avec les forces berbères pour imposer la foi du prophète. Ce sera une défaite pour l'émir mais le roi Tabeta des Djerawa succombe sur le champ de bataille et laisse Dihya sa fille orpheline. Dès lors, elle devra imposer sa force pour devenir une femme pour diriger son peuple. Tout le monde va la craindre et la surnomme Kahina qui veut dire la prophétesse. On ne se s’ennuie pas un moment avec ce récit épique ou les combats s'enchainent avec en parallèle les problématiques que Kahina rencontre en tant que femme. Les dessins de Dragan Paunovic sont dans un style réalistes très travaillés. Le résultat final est très impressionnant et donne vraiment envie de poursuivre la lecture de cet album. Ce premier tome démarre très bien le récit de cette reine qui m'était encore inconnue avant la lecture de cet album. On s’éloigne des reines européennes qui sont beaucoup présentes dans cette série des reines de sang, pour cette fois gagner en exotisme. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-reines-de-sang-kahina-la-reine-berbere-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Et voilà il fallait s'y attendre. Le premier tome de la série du convoyeur à laquelle je ne mets pas 5 étoiles... mais seulement 4.5... Pourtant le dessin de Dimitri Armand est toujours aussi bon, et l'histoire concoctée par Tristan Roulot avance bien et nous déroule révélations et actions sur un rythme soutenu. Simplement, il est un cran légèrement dessous par rapport aux deux premiers tomes exceptionnels qui nous avaient immergés dans un monde complètement imaginaire et original avec une action omni présente et savoureuse et des révélations plus qu'ahurissantes. Le second tome notamment nous avait gratifié d'un effet table renversée époustouflant, même pour nous, lecteurs blasés ayant l'habitude de lire des bd de post apo. Bref, ce Convoyeur reste une série de très grande qualité, servis par des dessins dynamiques et puissants. Un tome 3 se retrouvant légèrement en dessous en terme de densité de narration ne me refroidit pas vraiment puisque c'est finalement plutôt un gage de qualité quand à la trame et à la cohérence de l'histoire finale. Merci messieurs, on a toujours hâte de lire la suite.
  9. Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 3 - Ces ténèbres qui nous lient Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La "Rouille" a peut-être fait disparaître toute trace de fer, mais pas celui qui caractérise la volonté de Minerva. Scientifique devenue sorcière aux yeux du monde, elle a juré de retrouver l'homme qu'elle aime. L'homme qui l'aima avant de répondre à l'appel et devenir le Convoyeur. Ou plutôt... un Convoyeur ! Minerva s'est adjoint les services du Renifleur pour mener à bien sa mission. Mais une femme seule peut-elle faire face à l'inexorable destin de l'humanité, cette multitude au visage unique qu'est le Convoyeur ? Critique : Et voilà il fallait s'y attendre. Le premier tome de la série du convoyeur à laquelle je ne mets pas 5 étoiles... mais seulement 4.5... Pourtant le dessin de Dimitri Armand est toujours aussi bon, et l'histoire concoctée par Tristan Roulot avance bien et nous déroule révélations et actions sur un rythme soutenu. Simplement, il est un cran légèrement dessous par rapport aux deux premiers tomes exceptionnels qui nous avaient immergés dans un monde complètement imaginaire et original avec une action omni présente et savoureuse et des révélations plus qu'ahurissantes. Le second tome notamment nous avait gratifié d'un effet table renversée époustouflant, même pour nous, lecteurs blasés ayant l'habitude de lire des bd de post apo. Bref, ce Convoyeur reste une série de très grande qualité, servis par des dessins dynamiques et puissants. Un tome 3 se retrouvant légèrement en dessous en terme de densité de narration ne me refroidit pas vraiment puisque c'est finalement plutôt un gage de qualité quand à la trame et à la cohérence de l'histoire finale. Merci messieurs, on a toujours hâte de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-3-ces-tenebres-qui-nous-lient?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Les petits monarques

    Tiens donc, un post apo pour ados..... Bon on va dire ado lecteurs, mais ados quand même. Ne voyez rien de moqueur ou de dégradant à ma remarque. C'est juste qu'a contrario de "walking dead" ou de "la route", ce post apocalypse ci ne montrera rien d'horrible, de malsain et presque personne de méchants (sur 256 pages il en faut un peu) et finira… comme une BD pour ado finie habituellement. Mais une fois ceci dit, cette BD fut une très bonne lecture. Déjà l'apocalypse n'est pas nucléaire ni un virus agressif. La cause est "nouvelle" et en lien direct avec des dérèglements climatiques. Ensuite, le couple entre Elvie et Flora est plein de bonne humeur et de bons sentiments. L'amour qu'elles se portent est communicatif et nous entraine dans leur road movie à la recherche de papillons. L'autre point qui fait de cette BD une vraie belle lecture, ce sont les cahiers de notes qui jonchent l'histoire et qui permettent à tous ceux qui le souhaitent d'en apprendre plus sur la crise, la vie durant cette éruption solaire majeure ou encore les papillons et la recherche de vaccin. Un road movie attachant, globalement gentil et dense... Une lecture de vacances parfaites pour faire décrocher nos ados des leurs écrans.
  11. Titre de l'album : Les petits monarques Scenariste de l'album : Jonathan Case Dessinateur de l'album : Jonathan Case Coloriste : Jonathan Case Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Cela fait cinquante ans que la maladie du soleil a annihilé presque toute vie mammifère sur la Terre, et le monde retourne lentement à un état naturel. Les rares communautés humaines à avoir survécu se protègent sous terre, et ne peuvent sortir que la nuit. Mais aujourd'hui, deux humaines parviennent à vivre et à voyager librement à la lumière du jour : Elvie, 10 ans, et sa gardienne Flora, une biologiste qui a fait une incroyable découverte. À l'aide de quelques écailles issues des ailes de papillons Monarques, Flora a créé un antidote à la maladie du soleil. Suivant la migration des Monarques à travers ce qui fut la partie ouest des États-Unis, Elvie et Flora sont déterminées à développer un vaccin et à le partager avec tout le monde. Vont-elles y parvenir ? Ou seront-elles victimes d'un désastre naturel, de la maladie ou des personnes mêmes qu'elles cherchent à aider ? Critique : Tiens donc, un post apo pour ados..... Bon on va dire ado lecteurs, mais ados quand même. Ne voyez rien de moqueur ou de dégradant à ma remarque. C'est juste qu'a contrario de "walking dead" ou de "la route", ce post apocalypse ci ne montrera rien d'horrible, de malsain et presque personne de méchants (sur 256 pages il en faut un peu) et finira… comme une BD pour ado finie habituellement. Mais une fois ceci dit, cette BD fut une très bonne lecture. Déjà l'apocalypse n'est pas nucléaire ni un virus agressif. La cause est "nouvelle" et en lien direct avec des dérèglements climatiques. Ensuite, le couple entre Elvie et Flora est plein de bonne humeur et de bons sentiments. L'amour qu'elles se portent est communicatif et nous entraine dans leur road movie à la recherche de papillons. L'autre point qui fait de cette BD une vraie belle lecture, ce sont les cahiers de notes qui jonchent l'histoire et qui permettent à tous ceux qui le souhaitent d'en apprendre plus sur la crise, la vie durant cette éruption solaire majeure ou encore les papillons et la recherche de vaccin. Un road movie attachant, globalement gentil et dense... Une lecture de vacances parfaites pour faire décrocher nos ados des leurs écrans. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-petits-monarques?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    BFF

    Les deux scénaristes Thomas Cadène et Joseph Safieddine collaborent de nouveau ensemble sur BFF pour relater le quotidien d'une bande d'amis unis depuis l'enfance. Ils s'entendent tous très bien mais aucun d'eux ne dit vraiment la vérité. Les auteurs nous proposent donc de suivre cette histoire d'amitié qui se base sur des mensonges dans notre époque. Le quotidien de chacun est difficile à gérer entre les adultères, le fait de cacher la réussite professionnelle et bien d'autres thèmes seront abordés dans ce roman graphique à la pagination importante. L'album est donc composé de 24 chapitres avant que les vérités ne soient mises à jour par cette bande de trentenaire qui se voient souvent. L'histoire se centralise sur le personnage de Gro un pianiste de renommé qui préfère le cacher à ses amis en vivant d'un petit appartement qui donne accès à un énorme loft. Pour la partie graphique, la couverture est bien représentative des planches intérieures. Les décors sont souvent vides ou minimalistes pour mettre en avant les relations des amis avec des fonds unis. BFF est paru initialement sous la forme d'un webtoon pour webtoon factory avant d'être aujourd'hui proposé dans un format roman graphique. BFF nous donne des tranches de vie avec la problématique de comment de sortir de ses mensonges et vivre dans la réalité.
  13. alx23

    BFF

    Titre de l'album : BFF Scenariste de l'album : Thomas Cadène & Joseph Safieddine Dessinateur de l'album : Clément C. Fabre Coloriste : Clément C. Fabre Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Gro est un artiste, du genre qui galère et vit dans un studio miteux. C'est ce que croient ses potes... En réalité, il est un pianiste classique à succès. Dans son groupe d'amis, c'est le raté sympa dont l'échec rassure, ils l'aiment comme ça et il ne veut pas que ça change. Mais tous ont des secrets... Et la préparation du mariage d'Oscar et Claire va faire vaciller cet édifice de mensonges. Critique : Les deux scénaristes Thomas Cadène et Joseph Safieddine collaborent de nouveau ensemble sur BFF pour relater le quotidien d'une bande d'amis unis depuis l'enfance. Ils s'entendent tous très bien mais aucun d'eux ne dit vraiment la vérité. Les auteurs nous proposent donc de suivre cette histoire d'amitié qui se base sur des mensonges dans notre époque. Le quotidien de chacun est difficile à gérer entre les adultères, le fait de cacher la réussite professionnelle et bien d'autres thèmes seront abordés dans ce roman graphique à la pagination importante. L'album est donc composé de 24 chapitres avant que les vérités ne soient mises à jour par cette bande de trentenaire qui se voient souvent. L'histoire se centralise sur le personnage de Gro un pianiste de renommé qui préfère le cacher à ses amis en vivant d'un petit appartement qui donne accès à un énorme loft. Pour la partie graphique, la couverture est bien représentative des planches intérieures. Les décors sont souvent vides ou minimalistes pour mettre en avant les relations des amis avec des fonds unis. BFF est paru initialement sous la forme d'un webtoon pour webtoon factory avant d'être aujourd'hui proposé dans un format roman graphique. BFF nous donne des tranches de vie avec la problématique de comment de sortir de ses mensonges et vivre dans la réalité. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bff?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Le passage intérieur est un magnifique roman graphique sur une expédition menée par quatre amis pour traverser l'Alaska en kayak. Le scénariste Maxime De Lisle fait partie de cette expédition et nous propose de retracer toute cette aventure. L'auteur commence avec toute la préparation qu'il faudra aux membres pour se former et maitriser leur kayak. Les provisions essentielles qu'il faudra prendre ainsi que le matériel sans trop se charger de choses inutiles. L'expédition peut alors débuter et nous emmène dans des paysages de toute beauté. L'auteur insère également quelques informations écologiques avec le dérèglement climatique dont les effets négatives sont déjà très visibles en Alaska. Les dessins de Mai Bach en couleurs directes apportent la touche finale, pour donner une dimension incroyable à l'histoire. Les paysages sont terribles, les animaux très bien représentés. Plusieurs planches ont les dessins en noir et blanc avec quelques éléments en couleur dans les cases pour leurs donner de l'importance au départ et à la fin de l'aventure. Pour leur première bande dessinée, les deux auteurs du passage intérieur réussissent un tour de force pour nous passionner et suivre leur voyage. Les auteurs insèrent des conseils, des informations sur la nature pour mieux affronter les éléments. Les doubles planches nous permettent de nous perdre dans les paysages de l’Alaska. Je recommande la lecture de ce voyage incroyable.
  15. Titre de l'album : Le passage intérieur - Voyage essentiel en Alaska Scenariste de l'album : Maxime De Lisle Dessinateur de l'album : Mai Bach Coloriste : Mai Bach Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Premier livre de Maxime de Lisle et Bach Maï, Le Passage intérieur est un témoignage émouvant, une réflexion sur ce qu'est être Humain au milieu d'une nature si puissante et sauvage. C'est aussi un guide pratique pour ceux qui souhaitent se lancer dans une telle aventure. Le récit d'un moment essentiel, la prise de conscience de l'extrême fragilité de notre planète bleue. Critique : Le passage intérieur est un magnifique roman graphique sur une expédition menée par quatre amis pour traverser l'Alaska en kayak. Le scénariste Maxime De Lisle fait partie de cette expédition et nous propose de retracer toute cette aventure. L'auteur commence avec toute la préparation qu'il faudra aux membres pour se former et maitriser leur kayak. Les provisions essentielles qu'il faudra prendre ainsi que le matériel sans trop se charger de choses inutiles. L'expédition peut alors débuter et nous emmène dans des paysages de toute beauté. L'auteur insère également quelques informations écologiques avec le dérèglement climatique dont les effets négatives sont déjà très visibles en Alaska. Les dessins de Mai Bach en couleurs directes apportent la touche finale, pour donner une dimension incroyable à l'histoire. Les paysages sont terribles, les animaux très bien représentés. Plusieurs planches ont les dessins en noir et blanc avec quelques éléments en couleur dans les cases pour leurs donner de l'importance au départ et à la fin de l'aventure. Pour leur première bande dessinée, les deux auteurs du passage intérieur réussissent un tour de force pour nous passionner et suivre leur voyage. Les auteurs insèrent des conseils, des informations sur la nature pour mieux affronter les éléments. Les doubles planches nous permettent de nous perdre dans les paysages de l’Alaska. Je recommande la lecture de ce voyage incroyable. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/passage-interieur-voyage-essentiel-en-alaska?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Breakwater

    Révélation britannique de l'année du New York Times, ce Breakwater nous présente un roman graphique à part dans les parutions actuelles. En effet, c'est un roman graphique qui ne cherche pas à surfer sur ce qui marche bien en boutique, mais qui cherche à parler aux gens qui ne reconnaissent pas dans les parutions actuelles : les personnes que l'on ne remarque pas. La tranche qui n'est ni ado ni âgé. Sans problème de famille ni secret dérangeant. Des gens qui sont juste des gens. Qui font un boulot de services que l'on ne remarque pas assez. C'est a ces gens que ce roman graphique s'adresse. Ou à tous ceux qui ont envie de changer de lecture. Et une fois que l'on a compris cela, on se rend compte à quel point cet album est bon. Il est bon, car il va au rythme de personnes qui n'ont pas envie de vivre la grande vie, mais qui ont des plaisirs simples. Des gens qui n'ont pas fait d'études et n'arrivent pas à avoir des perspectives. Mais des gens pour qui l'amitié est encore plus important. Et l'amitié, c'est soutenir ces amis dans les moments facile, mais aussi dans les moments difficiles. Une belle histoire d'amitié.
  17. poseidon2

    Breakwater

    Titre de l'album : Breakwater Scenariste de l'album : Katriona Chapman Dessinateur de l'album : Katriona Chapman Coloriste : Katriona Chapman Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Le Breakwater, ce cinéma de Brighton, a définitivement connu des jours meilleurs : autrefois grande et somptueuse cette salle est désormais vide à l'exception des souris, des oiseaux, des employés occasionnels en pause, et de quelques rares spectateurs habitués. Assez étrangement, cependant, il est toujours en activité, détenu de manière indépendante par un vieil alcoolique. Chris est une femme introvertie d'une quarantaine d'années, isolée socialement et sous-employée, apparemment par choix, dont les rêves d'un diplôme en travail social sont depuis longtemps derrière elle. Mais, lorsque Dan commence à travailler au Breakwater, il ravive le désir en elle de retourner peut-être à ses études et faire autre chose de sa vie malgré - ou peut-être à cause de - leurs différences évidentes. Car Dan est gay, asiatique, et beaucoup plus jeune. Mais Dan est lui-même désemparé, il vient d'arriver en ville et ne connaît personne. Au fil des jours, une amitié va naître... Le premier roman graphique publié en français de Katriona Chapman, ouvrage époustouflant d'une jeune créatrice qui fera à coup sûr parler d'elle. Élu l'un des meilleurs romans graphiques de 2020 du New York Times. Critique : Révélation britannique de l'année du New York Times, ce Breakwater nous présente un roman graphique à part dans les parutions actuelles. En effet, c'est un roman graphique qui ne cherche pas à surfer sur ce qui marche bien en boutique, mais qui cherche à parler aux gens qui ne reconnaissent pas dans les parutions actuelles : les personnes que l'on ne remarque pas. La tranche qui n'est ni ado ni âgé. Sans problème de famille ni secret dérangeant. Des gens qui sont juste des gens. Qui font un boulot de services que l'on ne remarque pas assez. C'est a ces gens que ce roman graphique s'adresse. Ou à tous ceux qui ont envie de changer de lecture. Et une fois que l'on a compris cela, on se rend compte à quel point cet album est bon. Il est bon, car il va au rythme de personnes qui n'ont pas envie de vivre la grande vie, mais qui ont des plaisirs simples. Des gens qui n'ont pas fait d'études et n'arrivent pas à avoir des perspectives. Mais des gens pour qui l'amitié est encore plus important. Et l'amitié, c'est soutenir ces amis dans les moments facile, mais aussi dans les moments difficiles. Une belle histoire d'amitié. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/breakwater/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    Lucien

    Stéphane Sénégas et Guillaume Carayol nous proposent de découvrir l'histoire de Lucien, le cantonnier d'un petit village. Lucien est la cible de toutes les moqueries des habitants qui s'en prennent à lui ouvertement. Ce dernier ne réagit pas ou préfère balayer dans le parc pour être tranquille avec beaucoup d'énergie dans l'accomplissement de son travail. Les enfants lui mènent également la vie dure sauf l'un d'entre eux qui subit aussi les brimades de ses camarades de jeux. L'album est séparé en deux parties et la première relate une histoire dramatique autour de cet étrange personnage. La seconde partie change la donne avec un récit surprenant à la suite du démarrage. Le héros pourrait bien avoir un autre comportement avec la vie qui n'est pas facile pour lui. Les dessins sont en noir et blanc pour renforcer l'ambiance de ce récit assez sombre. Lucien ne laissera indifférents les lecteurs tout en surprenant avec un récit voguant sur plusieurs genres. Ce roman graphique est un petit pavé de plus de 250 pages pour mettre en image cette histoire qui chamboule avec tous les personnages et leur agissements.
  19. alx23

    Lucien

    Titre de l'album : Lucien Scenariste de l'album : Stéphane Sénégas & Guillaume Carayol Dessinateur de l'album : Stéphane Sénégas Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lucien est le gentil balayeur du parc, un virtuose de la feuille morte, un poète de la bourrasque qui aime les choses simples. Son existence est réglée comme du papier à musique. Il ne veut surtout pas que ça change. Mais on ne le sait que trop, la vie fait ce qu'elle veut. Un jour, au coeur même du parc, tout va imploser, voilant d'une teinte sombre le destin de Lucien... Critique : Stéphane Sénégas et Guillaume Carayol nous proposent de découvrir l'histoire de Lucien, le cantonnier d'un petit village. Lucien est la cible de toutes les moqueries des habitants qui s'en prennent à lui ouvertement. Ce dernier ne réagit pas ou préfère balayer dans le parc pour être tranquille avec beaucoup d'énergie dans l'accomplissement de son travail. Les enfants lui mènent également la vie dure sauf l'un d'entre eux qui subit aussi les brimades de ses camarades de jeux. L'album est séparé en deux parties et la première relate une histoire dramatique autour de cet étrange personnage. La seconde partie change la donne avec un récit surprenant à la suite du démarrage. Le héros pourrait bien avoir un autre comportement avec la vie qui n'est pas facile pour lui. Les dessins sont en noir et blanc pour renforcer l'ambiance de ce récit assez sombre. Lucien ne laissera indifférents les lecteurs tout en surprenant avec un récit voguant sur plusieurs genres. Ce roman graphique est un petit pavé de plus de 250 pages pour mettre en image cette histoire qui chamboule avec tous les personnages et leur agissements. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lucien?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. alx23

    Chloé densité

    Les trois albums de cette série étaient déjà parus dans la collection contrebande aux éditions Declourt, dans le format comics en version française. Aujourd'hui, l'intégrale sort dans une nouvelle mouture et dans la collection Shampooing pour permettre à un plus large public de pouvoir lire ce titre de Lewis Trondheim avec Vince & Stan aux dessins. D'ailleurs même le titre est différent pour cette intégrale et passe de Density à Chloé densité. Ma première impression est que le format convient davantage à l'histoire comme dans le premier épisode, il ne se passe pas grand-chose à part la découverte des pouvoirs pour Chloé. Cette introduction avec l'enchainement de la suite directe permet de ne pas rester sur sa faim. L'histoire ne joue pas sur l'originalité avec des pouvoirs, des extraterrestres et une menace pour l'humanité. Trondheim réussit à placer beaucoup de situation ou de dialogues humoristiques pour passer un bon moment de lecture. La partie graphique de Stan et Vince sont classiques. Super-pouvoir, braquage, humour et science-fiction sont au rendez-vous de Chloé densité qui trouvera peut-être de nouveaux lecteurs ayant boudés la sortie du titre dans le format comics.
  21. alx23

    Chloé densité

    Titre de l'album : Chloé densité Scenariste de l'album : Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Vince & Stan Coloriste : Julia Pinchuk & Walter Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Chloé, en voyage aux USA, se retrouve affublé d'un super pouvoir qu'elle ne désirait pas : pouvoir changer sa densité. S'ajoute à cela des extra-terrestres belliqueux qui veulent conquérir la Terre, et d'autres simplement suivre les feuilletons télé des humains... Il s'agit de l'intégrale de Density sous un format plus grand. Critique : Les trois albums de cette série étaient déjà parus dans la collection contrebande aux éditions Declourt, dans le format comics en version française. Aujourd'hui, l'intégrale sort dans une nouvelle mouture et dans la collection Shampooing pour permettre à un plus large public de pouvoir lire ce titre de Lewis Trondheim avec Vince & Stan aux dessins. D'ailleurs même le titre est différent pour cette intégrale et passe de Density à Chloé densité. Ma première impression est que le format convient davantage à l'histoire comme dans le premier épisode, il ne se passe pas grand-chose à part la découverte des pouvoirs pour Chloé. Cette introduction avec l'enchainement de la suite directe permet de ne pas rester sur sa faim. L'histoire ne joue pas sur l'originalité avec des pouvoirs, des extraterrestres et une menace pour l'humanité. Trondheim réussit à placer beaucoup de situation ou de dialogues humoristiques pour passer un bon moment de lecture. La partie graphique de Stan et Vince sont classiques. Super-pouvoir, braquage, humour et science-fiction sont au rendez-vous de Chloé densité qui trouvera peut-être de nouveaux lecteurs ayant boudés la sortie du titre dans le format comics. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chloe-densite?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Les veuves électriques poursuivent leur combat avec la prise en otage du directeur de la centrale nucléaire. La médiatisation de cet événement aux informations donne des idées à d'autres habitants avec des causes décalées pour servir l'humour. Ainsi les veuves vont se réfugier avec leur otage dans un village où les habitants viennent d'être privé de l'accès à leur source d'eau. Le scénariste Relom ajoute ainsi de nouveaux éléments pour parfaire sa satire politique, sociale et écologique. Le président et les forces de l'ordre sont toujours sur le devant de la scène pour être tourner en dérision. Si vous avez bien appréciés le premier épisode vous devriez trouver votre compte avec cette suite dans la continuité du premier. Les dessins de Damien Geffroy sont parfaits avec un style caricatural qui convient très bien au genre. Les veuves électriques est une série d'humour légère et sans prise de tête avec encore plus de personnages ridicules dans ce deuxième tome.
  23. Titre de l'album : Les veuves électriques tome 2 - La Fontaine-aux-Sources Scenariste de l'album : Relom Dessinateur de l'album : Damien Geffroy Coloriste : Degreff Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Encombré du directeur de la centrale nucléaire, dont elles s'acharnent à obtenir la fermeture suite aux décès de leurs maris, nos héroïnes et leurs chevaliers servants s'enfuient à Troucreux poursuivis par la maréchaussée. Mais un raccourci involontaire les projette à La Fontaine-aux-Sources dont la population s'oppose à la privatisation de son eau. Un nouveau défi pour les Veuves électriques ! Critique : Les veuves électriques poursuivent leur combat avec la prise en otage du directeur de la centrale nucléaire. La médiatisation de cet événement aux informations donne des idées à d'autres habitants avec des causes décalées pour servir l'humour. Ainsi les veuves vont se réfugier avec leur otage dans un village où les habitants viennent d'être privé de l'accès à leur source d'eau. Le scénariste Relom ajoute ainsi de nouveaux éléments pour parfaire sa satire politique, sociale et écologique. Le président et les forces de l'ordre sont toujours sur le devant de la scène pour être tourner en dérision. Si vous avez bien appréciés le premier épisode vous devriez trouver votre compte avec cette suite dans la continuité du premier. Les dessins de Damien Geffroy sont parfaits avec un style caricatural qui convient très bien au genre. Les veuves électriques est une série d'humour légère et sans prise de tête avec encore plus de personnages ridicules dans ce deuxième tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-veuves-electriques-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Snaergard

    Les éditions Mosquito nous propose une réédition de l'intégrale de Snaergard de Vincent Wagner. Ce titre nous emmène dans la Scandinavie médiévale du XIIIème siècle. Les vikings vivent encore de leur mythologie mais la religion catholique est bien implantée dans les croyances des guerriers. L'histoire se centralise autour de Pelle le fils aîné du terrible messire Eiwind. Cet enfant subit les ordres, les brimades et l'humeur exécrable de son tortionnaire de père qui souhaite en faire un homme sans émotion. Le jeune homme est mandaté par son père pour traquer une bête afin de venir en aide aux villageois sous la protection de son père. Vincent Wagner a beaucoup travaillé sur la réalisation de cette intégrale pour apporter une partie graphique proche de la réalité de l'époque tout en conservant la mythologie scandinave et les légendes de l'époque. Les planches sont maitrisées avec beaucoup d'encrage et très peu de couleur pour soutenir l'ambiance sombre de l'histoire mais aussi pour représenter la luminosité des pays nordique. L'auteur détaille la réalisation de Snaergard en début d’album avec ses recherches et voyages. Snaergard nous emmène dans une quête mystérieuse et tragique pour combattre une malédiction à une époque violente. Ce récit est très prenant avec une réalisation soignée.
  25. alx23

    Snaergard

    Titre de l'album : Snaergard Scenariste de l'album : Vincent Wagner Dessinateur de l'album : Vincent Wagner Coloriste : Vincent Wagner Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Un jeune seigneur viking renonce à sa fortune et à son rang. La traque d'un loup blanc solitaire lui apprendra bien des choses sur sa destinée. Critique : Les éditions Mosquito nous propose une réédition de l'intégrale de Snaergard de Vincent Wagner. Ce titre nous emmène dans la Scandinavie médiévale du XIIIème siècle. Les vikings vivent encore de leur mythologie mais la religion catholique est bien implantée dans les croyances des guerriers. L'histoire se centralise autour de Pelle le fils aîné du terrible messire Eiwind. Cet enfant subit les ordres, les brimades et l'humeur exécrable de son tortionnaire de père qui souhaite en faire un homme sans émotion. Le jeune homme est mandaté par son père pour traquer une bête afin de venir en aide aux villageois sous la protection de son père. Vincent Wagner a beaucoup travaillé sur la réalisation de cette intégrale pour apporter une partie graphique proche de la réalité de l'époque tout en conservant la mythologie scandinave et les légendes de l'époque. Les planches sont maitrisées avec beaucoup d'encrage et très peu de couleur pour soutenir l'ambiance sombre de l'histoire mais aussi pour représenter la luminosité des pays nordique. L'auteur détaille la réalisation de Snaergard en début d’album avec ses recherches et voyages. Snaergard nous emmène dans une quête mystérieuse et tragique pour combattre une malédiction à une époque violente. Ce récit est très prenant avec une réalisation soignée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/snaergard-231111?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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