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  1. poseidon2

    Movie Ghosts t1

    En voilà une BD envoutante. Où est-ce la période ? Le bon amalgame des deux je pense, porté par un dessin qui est tout aussi envoutant. C'est aussi bien l'intérêt que le petit problème de cette BD. En effet, l'atmosphère est tellement prenante qu'elle prend un peu le pas sur l'histoire. Enfin sur les histoires. On a l'impression que nos auteurs, en voulant renforcer leur atmosphère du Hollywood des années 60, ont sacrifié un peu cohésion. On a des petites histoires qui se mélangent, toutes sympathiques, mais qui manquent toutes d'un petit plus. On suit notre enquêteur, lui aussi très mystérieux, mais pas très dynamique. On se croirait vraiment dans un film de gangsters des années 60 finalement. C'est surement le but recherché, mais la BD dégage aussi cet aspect suranné et issue d'une autre époque. Pas forcément le genre que j'avais envie de lire. À voir si le tome deux a plus de liant et un scénario se reposant un peu moins sur l'ambiance pour exister.
  2. poseidon2

    Movie Ghosts t1

    Titre de l'album : Movie Ghosts t1 Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Attila Futaki Coloriste : Attila Futaki Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Les morts ont besoin qu'on fouille les cauchemars de leur disparition. Jerry Fifth connaît tous les péchés de la Cité des Anges, des prostituées de Sunset Boulevard aux divas de Hollywood, des producteurs sur le retour aux jeunes acteurs sur le chemin de la gloire. On le paie pour trouver des amants, des enfants illégitimes, des assassins, des assassinés. Pourtant, Jerry a un problème. Il entend les voix des fantômes d'étoiles éteintes. Pourquoi a-t-il accès à ces voix, à ces visages en quête de vérités perdues ? Au coeur d'un siècle de cinéma, des salles à deux sous aux machines à rêve des grands studios, Jerry va découvrir les ruines d'une ville dans la ville, des secrets à l'intérieur d'autres secrets. Critique : En voilà une BD envoutante. Où est-ce la période ? Le bon amalgame des deux je pense, porté par un dessin qui est tout aussi envoutant. C'est aussi bien l'intérêt que le petit problème de cette BD. En effet, l'atmosphère est tellement prenante qu'elle prend un peu le pas sur l'histoire. Enfin sur les histoires. On a l'impression que nos auteurs, en voulant renforcer leur atmosphère du Hollywood des années 60, ont sacrifié un peu cohésion. On a des petites histoires qui se mélangent, toutes sympathiques, mais qui manquent toutes d'un petit plus. On suit notre enquêteur, lui aussi très mystérieux, mais pas très dynamique. On se croirait vraiment dans un film de gangsters des années 60 finalement. C'est surement le but recherché, mais la BD dégage aussi cet aspect suranné et issue d'une autre époque. Pas forcément le genre que j'avais envie de lire. À voir si le tome deux a plus de liant et un scénario se reposant un peu moins sur l'ambiance pour exister. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/movie-ghosts-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Soleil n'attend pas, et voici donc le 3ème tome de cette série de Zombies qui m'avait laissé une plutôt belle impression. Le rythme de parution étant effréné comme sur pas mal de leurs productions, ils font de nouveau appel à plusieurs auteurs pour collaborer sur un seul album. Ici depuis le tome 2 c'est Monsieur Benoît Dellac qui a pris la main sur les storyboards pour aider l'équipe en charge de ce No Zombies. Cette série dédiées au Zombies commence à ressembler dans sa construction de plus en plus à Conquêtes, la série de SF de Soleil. En effet chaque tome vient nous changer le narrateur, même si ici, si chaque tome peut encore se lire assez facilement seul, ils prennent tout de même la continuité du précédent. Ce qu'on y gagne en intérêt sur l'histoire globale, on le perd probablement un peu en immersion dans l'intrigue. Ce que je trouve un peu dommage car sur No Zombies, le paradigme posé dès le début était plus que prometteur, à la manière d'un Convoyeur par exemple, on aurait pu espérer peut être une série présentant un peu plus d'ambition. Là au fil des tomes, on se rapproche finalement d'un ersatz de Walking Dead assez bien réalisé mais qui a du mal au bout du compte à nous prendre réellement aux tripes. La partie graphique de Evgeniy Bornyakov est propre et bien adapté à ce type de production, mais sans réelle prise de risque donc.
  4. Titre de l'album : No Zombies - Tome 3 - Le livre de Lila Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Evgeniy Bornyakov Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lila a été mordue. Son esprit se disloque, elle rejoint les rangs des mort-vivants. Mais sa conscience s'accroche à ses souvenirs récents... Pourquoi a-t-elle rejoint les No Zombies ? Pourquoi l'ont-ils abandonnée dans les ruines de Pittsburgh ? Sont-ils morts ? Peut-elle encore les sauver alors qu'elle sent monter le goût du sang en elle ? Et qui la sauvera elle ? Qui lui inoculera le vaccin ? Critique : Soleil n'attend pas, et voici donc le 3ème tome de cette série de Zombies qui m'avait laissé une plutôt belle impression. Le rythme de parution étant effréné comme sur pas mal de leurs productions, ils font de nouveau appel à plusieurs auteurs pour collaborer sur un seul album. Ici depuis le tome 2 c'est Monsieur Benoît Dellac qui a pris la main sur les storyboards pour aider l'équipe en charge de ce No Zombies. Cette série dédiées au Zombies commence à ressembler dans sa construction de plus en plus à Conquêtes, la série de SF de Soleil. En effet chaque tome vient nous changer le narrateur, même si ici, si chaque tome peut encore se lire assez facilement seul, ils prennent tout de même la continuité du précédent. Ce qu'on y gagne en intérêt sur l'histoire globale, on le perd probablement un peu en immersion dans l'intrigue. Ce que je trouve un peu dommage car sur No Zombies, le paradigme posé dès le début était plus que prometteur, à la manière d'un Convoyeur par exemple, on aurait pu espérer peut être une série présentant un peu plus d'ambition. Là au fil des tomes, on se rapproche finalement d'un ersatz de Walking Dead assez bien réalisé mais qui a du mal au bout du compte à nous prendre réellement aux tripes. La partie graphique de Evgeniy Bornyakov est propre et bien adapté à ce type de production, mais sans réelle prise de risque donc. Autres infos : Post apocalyptique Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-zombies-tome-3-le-livre-de-lila?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Elles - Tome 2 - Universelle(s)

    Ne nous cachons pas, ce Elle avait été une véritable claque pour nous l'année dernière. Autant vous dire que ce tome 2 était attendu, et chose rarissime chez moi, mon épouse l'a pris et dévoré avant que j'ai pu y mettre la main dessus. La pagination de ce tome 2 est identique à celle du premier tome, à savoir un petit format de 90 pages. Côté dessin, je tire un très grand coup de chapeau à Aveline Stokart qui nous livre un truc hallucinant. C'est bluffant. Les pages s'animent toutes seules. On en vient donc à ma petite déception perso : j'ai trouvé ce tome un peu "plat" ou plutôt convenu... Peut être est-ce nos attentes qui étaient trop élevées après ce premier tome magistrale, mais que ce soit dans le déroulement ou dans les "révélations" de fin, j'ai trouvé l'ensemble finalement un peu convenu. Alors ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : cela reste très bien. Mais l'expérience du premier tome n'est pas tout à faire renouvelée pour moi. Ceci étant dit on reste sur de la bd jeunesse de très très haut niveau que je ne peux toujours que vous recommander.
  6. Titre de l'album : Elles - Tome 2 - Universelle(s) Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Aveline Stokart Coloriste : Aveline Stokart Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les récents chocs psychologiques subis par Elle ont permis à Bleue, sa personnalité la mieux enfouie, de prendre le contrôle total, reléguant Elle dans les limbes de son propre subconscient. Bleue est sociable, enjouée, efficace, douée artistiquement... En fait, Bleue est un peu une synthèse de toutes les personnalités d'Elle. Mais si Bleue est si géniale que cela, alors pourquoi est-ce qu'Elle a passé sa vie à tenter de la retenir prisonnière au fin fond d'elle-même...? Critique : Ne nous cachons pas, ce Elle avait été une véritable claque pour nous l'année dernière. Autant vous dire que ce tome 2 était attendu, et chose rarissime chez moi, mon épouse l'a pris et dévoré avant que j'ai pu y mettre la main dessus. La pagination de ce tome 2 est identique à celle du premier tome, à savoir un petit format de 90 pages. Côté dessin, je tire un très grand coup de chapeau à Aveline Stokart qui nous livre un truc hallucinant. C'est bluffant. Les pages s'animent toutes seules. On en vient donc à ma petite déception perso : j'ai trouvé ce tome un peu "plat" ou plutôt convenu... Peut être est-ce nos attentes qui étaient trop élevées après ce premier tome magistrale, mais que ce soit dans le déroulement ou dans les "révélations" de fin, j'ai trouvé l'ensemble finalement un peu convenu. Alors ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : cela reste très bien. Mais l'expérience du premier tome n'est pas tout à faire renouvelée pour moi. Ceci étant dit on reste sur de la bd jeunesse de très très haut niveau que je ne peux toujours que vous recommander. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elles-tome-2-universelle-s?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. La collection les futurs de Liu Cixin se poursuit au début de ce mois de mai avec deux nouveaux albums, Pour que respire le désert et les trois lois du monde. Pour rappel, cette nouvelle collection proposera une quinzaine d'adaptations des nouvelles et romans de l'auteur chinois à succès Liu Cixin. Ce dernier est spécialisé dans les récits de science-fiction avec souvent une thématique autour du futur de la planète Terre et plus généralement de l'humanité. L'auteur donne une vision souvent très technique et poussé pour expliquer et rendre crédibles toutes ces idées originales. Avec Pour que respire le désert, on comprend directement la problématique qui nous attend dans cet épisode et Valérie Mangin se charge de l'écriture de l'adaptation. L'album se rapproche d'un album classique de bande dessinée avec une pagination moins importante que pour le premier tome de la collection. L'histoire se sépare en deux parties avec un père préoccupé par le manque d'eau qui touche la région où il habite et sa fille qui grandit dans ce climat catastrophique tout en restant positive. Les dessins de Steven Dupré sont de qualité et d'ailleurs on pourra en profiter avec un panoramique dépliant. Ce deuxième épisode est une réussite avec un récit moins technique certainement dû au format plus court de la nouvelle de Cixin.
  8. Titre de l'album : Les futurs de liu cixin - Pour que respire le désert Scenariste de l'album : Valérie Mangin Dessinateur de l'album : Steven Dupré Coloriste : Cyril Saint-Blancat Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : La passion de Yuanyuan pour les bulles de savon irritait son père depuis toujours. Lui qui avait voué sa vie à la protection de la Cité de la Route de la Soie contre une désertification galopante, ne pouvait admettre son goût pour la légèreté. Oublierait-il que nombre de d'avancées scientifiques naissent d'une idée fantaisiste, jaillissent d'esprits originaux et créatifs ? Critique : La collection les futurs de Liu Cixin se poursuit au début de ce mois de mai avec deux nouveaux albums, Pour que respire le désert et les trois lois du monde. Pour rappel, cette nouvelle collection proposera une quinzaine d'adaptations des nouvelles et romans de l'auteur chinois à succès Liu Cixin. Ce dernier est spécialisé dans les récits de science-fiction avec souvent une thématique autour du futur de la planète Terre et plus généralement de l'humanité. L'auteur donne une vision souvent très technique et poussé pour expliquer et rendre crédibles toutes ces idées originales. Avec Pour que respire le désert, on comprend directement la problématique qui nous attend dans cet épisode et Valérie Mangin se charge de l'écriture de l'adaptation. L'album se rapproche d'un album classique de bande dessinée avec une pagination moins importante que pour le premier tome de la collection. L'histoire se sépare en deux parties avec un père préoccupé par le manque d'eau qui touche la région où il habite et sa fille qui grandit dans ce climat catastrophique tout en restant positive. Les dessins de Steven Dupré sont de qualité et d'ailleurs on pourra en profiter avec un panoramique dépliant. Ce deuxième épisode est une réussite avec un récit moins technique certainement dû au format plus court de la nouvelle de Cixin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-pour-que-respire-le-desert?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Encore une très belle couverture proposée par Grand angle et une couverture qui donne furieusement envie. Cet aspect puzzle qui répond avec le puzzle que peu être la vie et la beauté qui en découle quand les pièces s'assemblent bien comme il faut. Et cette couverture est peut-être trop bien faite, car malheureusement ces promesses ne sont pas toutes tenues à l'intérieur. Enfin, on dira plutôt que nos auteurs ont cherchés à trop en faire et que les pistes démarrées s'en trouvent être toutes fermées trop rapidement. En effet, entre le la fille qui cherche un amoureux, le prof qui tombe raide dingue de la fille, le veuf qui n'arrive pas à reprendre le flambeau de sa femme, les puzzles qui ne se vendent plus, la problématique de trouver du monde pour la manifestation spécial puzzle et les personnages secondaires... on a trop de sujet pour pas assez de page. Les histoires, toutes sympathiques, s'en trouve raccourcis et perdent un peu de leur intérêt avec, a mon avis, peut être le moins intime mise en avant avec cette histoire… de puzzle. Plein de bonnes idées, une couverture accrocheuse, un dessin et une coloration très sympa... plein de truc qui font qu'il y avait de quoi faire quelque chose de moins ambitieux, mais de plus fini.
  10. Titre de l'album : Ces petits riens qui changent tout Scenariste de l'album : Dominique Legeard Dessinateur de l'album : Jerome Felix / Alain Janolle Coloriste : Jerome Felix / Alain Janolle Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Un petit bijou d'humanité et de bonne humeur. Une petite commune normande dont le maire cherche désespérément une idée pour l'animation de sa fête annuelle, une jolie baby-sitter tiraillée entre deux soupirants, une grand-mère qui joue les entremetteuses, un instituteur amoureux, un beau skipper appelé par le large... et toute une population mobilisée pour un projet fou : réaliser le plus grand puzzle du monde ! Une comédie lumineuse, jouissive et légère, toute simple... mais qui change tout ! Critique : Encore une très belle couverture proposée par Grand angle et une couverture qui donne furieusement envie. Cet aspect puzzle qui répond avec le puzzle que peu être la vie et la beauté qui en découle quand les pièces s'assemblent bien comme il faut. Et cette couverture est peut-être trop bien faite, car malheureusement ces promesses ne sont pas toutes tenues à l'intérieur. Enfin, on dira plutôt que nos auteurs ont cherchés à trop en faire et que les pistes démarrées s'en trouvent être toutes fermées trop rapidement. En effet, entre le la fille qui cherche un amoureux, le prof qui tombe raide dingue de la fille, le veuf qui n'arrive pas à reprendre le flambeau de sa femme, les puzzles qui ne se vendent plus, la problématique de trouver du monde pour la manifestation spécial puzzle et les personnages secondaires... on a trop de sujet pour pas assez de page. Les histoires, toutes sympathiques, s'en trouve raccourcis et perdent un peu de leur intérêt avec, a mon avis, peut être le moins intime mise en avant avec cette histoire… de puzzle. Plein de bonnes idées, une couverture accrocheuse, un dessin et une coloration très sympa... plein de truc qui font qu'il y avait de quoi faire quelque chose de moins ambitieux, mais de plus fini. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ces-petits-riens-qui-changent-tout?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Vent debout

    Nicole Augereau et Grégory Jarry sont des auteurs de bande dessinée qui voyagent autour du monde en compagnie de leurs enfants avec les moyens du bord. Lors d'un voyage en Indonésie, la petite famille rencontre Robert, un homme âgé qui voyage durant la moitié de l'année en Asie. Ils sympathisent et ce dernier leur raconte quelques anecdotes de voyage dont celle d'un couple qui souhaitait vivre sur un petit bateau, à la destinée tragique. C'est en partant de ces petites histoires que le couple d'auteurs a réalisé cette bande dessinée, vent debout et le nom du bateau du couple qui comptait faire le tour du monde. Ce titre permet de suivre trois histoires en parallèle, celle de la famille d'auteurs, celle de Robert le retraité baroudeur et celle du couple en bateau. Les dessins sont de qualité et les auteurs quelques photos à leurs dessins pour nous permettre de voir les magnifiques paysages ou temples. Le rythme de cet album est prenant et l'on souhaite connaitre la destinée du couple en bateau mais également de la famille avec leur rencontre durant leur voyage. Vent debout est un récit fort, intense et émouvant.
  12. alx23

    Vent debout

    Titre de l'album : Vent debout Scenariste de l'album : Nicole Augereau & Grégory Jarry Dessinateur de l'album : Lucie Castel Coloriste : Guillaume Heurtault & Léo Louis-Honoré Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Comment donner du sens au voyage aujourd'hui ? Le monde est-il encore un espace de découvertes et d'émerveillement ? Ce livre, basé sur des histoires vraies, montre au travers de trois récits entremêlés qu'il est toujours possible de vivre libre, contre vents et marées. Critique : Nicole Augereau et Grégory Jarry sont des auteurs de bande dessinée qui voyagent autour du monde en compagnie de leurs enfants avec les moyens du bord. Lors d'un voyage en Indonésie, la petite famille rencontre Robert, un homme âgé qui voyage durant la moitié de l'année en Asie. Ils sympathisent et ce dernier leur raconte quelques anecdotes de voyage dont celle d'un couple qui souhaitait vivre sur un petit bateau, à la destinée tragique. C'est en partant de ces petites histoires que le couple d'auteurs a réalisé cette bande dessinée, vent debout et le nom du bateau du couple qui comptait faire le tour du monde. Ce titre permet de suivre trois histoires en parallèle, celle de la famille d'auteurs, celle de Robert le retraité baroudeur et celle du couple en bateau. Les dessins sont de qualité et les auteurs quelques photos à leurs dessins pour nous permettre de voir les magnifiques paysages ou temples. Le rythme de cet album est prenant et l'on souhaite connaitre la destinée du couple en bateau mais également de la famille avec leur rencontre durant leur voyage. Vent debout est un récit fort, intense et émouvant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vent-debout-231764?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. The_PoP

    Jeremiah Johnson - Chapitre 3

    Décidément les parutions chez Soleil se font toujours à un rythme effréné puisque nous voilà déjà rendus sur le tome 3 de Jeremiah Johnson. Et je vous avoue que j'ai encore du mal à m'attacher réellement à cette série pourtant objectivement plutôt réussie. La faute je pense à plusieurs points qui me sont propres. En premier lieu, cela fait désormais 2 tomes qu'on empile beaucoup de massacres je trouve, et finalement cela rejaillit pas mal sur notre vision du personnage central. L'histoire commence à devenir même franchement malaisante par moment. Ok c'est l'Ouest et c'était très probablement très rude comme milieu, mais là le personnage se déshumanise progressivement et comme il ne partait pas avec un capital sympathie si élevé, et bien je crois qu'à la fin, le lecteur se désintéresse de son sort. et se désolidarise de cette histoire de vengeance devenue absurde. Le second point qui vient pour moi renforcer cette impression tient au trait de Jack Jadson, dont je trouve les visages assez peu expressifs et très statiques. C'est encore une impression personnelle, et il faut bien reconnaître que globalement les planches de ce Jeremiah Johnson sont encore une fois de belle facture avec des décors et des scènes d'actions bien travaillées. Mais la représentation des visages des personnages vient pour moi renforcer le manque d'empathie que l'on peut ressentir pour eux en les déshumanisant. Au final, et je reconnais que je suis relativement dur avec ce Jeremiah Johnson, on se retrouve avec un western âpre, terrible, représentant probablement au plus près la réalité des guerres indiennes. Cela reste une lecture intéressante, mais qui ne marque pas forcément le lecteur autant qu'elle aurait pu avec cette histoire pourtant hors du commun.
  14. Titre de l'album : Jeremiah Johnson - Chapitre 3 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Jack Jadson Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Jeremiah Johnson, le tueur de Crows, continue d'exercer sa féroce vengeance contre une tribu de Flathead qui l'avait fait prisonnier. Puis, pendant la guerre civile, il s'engage au sein des armées de l'Union et revient bien vite dans ses montagnes sauvages. Mais l'épopée tire à sa fin, il tue le vingtième Crow et se rend compte à cette occasion de la noblesse des tribus indiennes. Critique : Décidément les parutions chez Soleil se font toujours à un rythme effréné puisque nous voilà déjà rendus sur le tome 3 de Jeremiah Johnson. Et je vous avoue que j'ai encore du mal à m'attacher réellement à cette série pourtant objectivement plutôt réussie. La faute je pense à plusieurs points qui me sont propres. En premier lieu, cela fait désormais 2 tomes qu'on empile beaucoup de massacres je trouve, et finalement cela rejaillit pas mal sur notre vision du personnage central. L'histoire commence à devenir même franchement malaisante par moment. Ok c'est l'Ouest et c'était très probablement très rude comme milieu, mais là le personnage se déshumanise progressivement et comme il ne partait pas avec un capital sympathie si élevé, et bien je crois qu'à la fin, le lecteur se désintéresse de son sort. et se désolidarise de cette histoire de vengeance devenue absurde. Le second point qui vient pour moi renforcer cette impression tient au trait de Jack Jadson, dont je trouve les visages assez peu expressifs et très statiques. C'est encore une impression personnelle, et il faut bien reconnaître que globalement les planches de ce Jeremiah Johnson sont encore une fois de belle facture avec des décors et des scènes d'actions bien travaillées. Mais la représentation des visages des personnages vient pour moi renforcer le manque d'empathie que l'on peut ressentir pour eux en les déshumanisant. Au final, et je reconnais que je suis relativement dur avec ce Jeremiah Johnson, on se retrouve avec un western âpre, terrible, représentant probablement au plus près la réalité des guerres indiennes. Cela reste une lecture intéressante, mais qui ne marque pas forcément le lecteur autant qu'elle aurait pu avec cette histoire pourtant hors du commun. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jeremiah-johnson-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Derrière le rideau

    Le sujet de la guerre et de la discrimination progressive des juifs, qui a mené aux déportations et aux massacres que l'on connait, ont déjà été beaucoup traité en bande dessinée. Il est donc difficile de produire un album vraiment innovant. Et bien ce derrière le rideau fait partie de ceux-là. En effet, notre auteure choisit de nous montrer l'évolution de la société au travers des yeux d'une petite fille qui n'a rien demandée. Ni sa religion, ni l'apparition d'une belle-mère, ni le fait d'être partie prenante d'une guerre de grand. C'est ce regard de fillette qui change tout. Cela change tout car ce là, se heurte à notre compréhension d'adulte. Ce qu'elle et sa sœur voient ou ne comprennent pas, nous le voyons différemment et l'interprétons différemment. Le rôle de la belle-mère est particulièrement magnifiquement traité. Un traitement intéressant qui fait d'une période sombre une très belle histoire.
  16. Titre de l'album : Derrière le rideau Scenariste de l'album : Sara Del Giudice Dessinateur de l'album : Sara Del Giudice Coloriste : Sara Del Giudice Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À la fin des années 1930, dans un village provençal, Yaël et sa petite soeur Émilie, croquent la vie à pleines dents. Malheureusement, leur vie va basculer lorsque leur mère meurt et que leur père se remarie quelques mois plus tard avec Ophélie. Pour les deux petites filles, jamais cette bêtasse ne pourrait remplacer leur maman adorée ! Pourtant, à mesure que Yaël grandit, la dure réalité de la guerre et des lois raciales antisémites vont la rattraper. La jeune fille prend douloureusement conscience de son identité et de sa religion. Critique : Le sujet de la guerre et de la discrimination progressive des juifs, qui a mené aux déportations et aux massacres que l'on connait, ont déjà été beaucoup traité en bande dessinée. Il est donc difficile de produire un album vraiment innovant. Et bien ce derrière le rideau fait partie de ceux-là. En effet, notre auteure choisit de nous montrer l'évolution de la société au travers des yeux d'une petite fille qui n'a rien demandée. Ni sa religion, ni l'apparition d'une belle-mère, ni le fait d'être partie prenante d'une guerre de grand. C'est ce regard de fillette qui change tout. Cela change tout car ce là, se heurte à notre compréhension d'adulte. Ce qu'elle et sa sœur voient ou ne comprennent pas, nous le voyons différemment et l'interprétons différemment. Le rôle de la belle-mère est particulièrement magnifiquement traité. Un traitement intéressant qui fait d'une période sombre une très belle histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/derriere-le-rideau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Cinq avril t1

    Nouvelle série d'aventures jeunesse chez Dupuis. Cette fois-ci, cette série se base dans un contexte historique. Pas n'importe lequel : L'intégration de la Bretagne au royaume de France via le mariage d'Anne de Bretagne aux rois de France. Période à la mode avec Le bossu de Montfaucon qui parait en parallèle (mais pour les adultes). Qui dit période historique dit besoin de rappeler les états des forces en présence et le pourquoi des tensions actuelles. Si cela est plutôt bien fait dans ce "Cinq avril", nos auteurs on voulut ajouter un côté fantastique avec un ajout de Léonard de Vinci et de ses inventions. SI cela rend le récit plus sympa et plus dynamique, cela le rend aussi plus lourd et plus dense. A mon avis un peu trop dense pour le public cible. Les adultes réussiront sans soucis à appréhender le côté historique et le côté aventureux, appréciant donc un album dynamique et dense, j'ai bien peur que le jeune public ne soit un peu noyer par ces explications historiques et "mystiques". Un album que je conseillerais de ce fait au plus de 12 ans.
  18. poseidon2

    Cinq avril t1

    Titre de l'album : Cinq avril t1 Scenariste de l'album : Duval Fred / Bussi Dessinateur de l'album : Monin Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 5 avril 1510. Une noble mystérieuse dépose aux portes du château du Clos Lucé un nouveau-né portant pour seul bagage un étrange collier d'or. Baptisé « Cinq Avril » par les cuisinières qui le recueillent et pris sous l'aile éducatrice d'un autre résident du château - un certain Léonard de Vinci -, l'enfant grandit en énergie et en savoir, initié à de nombreux secrets. À la mort de son mentor, le jeune homme découvre une lettre posthume lui expliquant qu'il porte en lui le pouvoir de changer le cours de l'Histoire, et de sauver des millions de vies humaines pour les siècles à venir, s'il perce le secret de sa naissance... Traqué dès lors par le cardinal Sordi - un religieux brûlant de détruire l'héritage « impie » de Léonard - Avril doit fuir vers la Bretagne en quête de ses origines, guidé par les maigres indices laissés à sa disposition. Sur ses traces, l'ombre discrète et protectrice d'Ariane, la fille de son maître d'arme, formée depuis l'enfance à protéger Avril au prix de sa vie... La grande aventure sur fond de grande Histoire vient de commencer ! Fred Duval, scénariste unanimement reconnu pour ses talents, s'associe ici à l'écrivain Michel Bussi (Un Avion sans elle) dont il avait déjà adapté Les Nymphéas noirs. Noë Monin leur apporte son trait plein de vie et d'énergie. Critique : Nouvelle série d'aventures jeunesse chez Dupuis. Cette fois-ci, cette série se base dans un contexte historique. Pas n'importe lequel : L'intégration de la Bretagne au royaume de France via le mariage d'Anne de Bretagne aux rois de France. Période à la mode avec Le bossu de Montfaucon qui parait en parallèle (mais pour les adultes). Qui dit période historique dit besoin de rappeler les états des forces en présence et le pourquoi des tensions actuelles. Si cela est plutôt bien fait dans ce "Cinq avril", nos auteurs on voulut ajouter un côté fantastique avec un ajout de Léonard de Vinci et de ses inventions. SI cela rend le récit plus sympa et plus dynamique, cela le rend aussi plus lourd et plus dense. A mon avis un peu trop dense pour le public cible. Les adultes réussiront sans soucis à appréhender le côté historique et le côté aventureux, appréciant donc un album dynamique et dense, j'ai bien peur que le jeune public ne soit un peu noyer par ces explications historiques et "mystiques". Un album que je conseillerais de ce fait au plus de 12 ans. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cinq-avril-tome-1-l-heritier-de-da-vinci?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. alx23

    The magic fish

    The magic fish est le premier roman graphique de Trung Le Nguyen sortit en 2020 aux états-unis. Cette histoire se déroule en trois récits distincts avec des couleurs différentes pour permettre aux lecteurs de bien faire les transitions. Le récit dans des couleurs rouge représente le présent avec le jeune Tiến, ensuite le récit en couleur bleu représente les contes et enfin le dernier en couleur jaune est pour les souvenirs de la mère de Tiến. Au départ, cette technique est pas évidente à comprendre avec des cases de couleurs différentes avec des histoires complétement différentes qui rappellent des souvenirs ou d'autres situations durant le conte ou le présent. L'intrigue met très vite en place les souvenirs traumatisants que la mère à subit lors de la guerre du Vietnam qui ressurgissent souvent. De son côté, son fils mène une vie parfaite aux états-unis sans avoir connu la guerre, il suit l'école avec ces amis Claire et Julian. Progressivement, il se sent attiré par son ami Julian. Ce roman graphique possède une partie autobiographique de la vie de l’auteur, avec sa difficulté à annoncer à sa mère son homosexualité et en même temps à lui apprendre à mieux parler l’anglais avec des contes enfantin. Le traitement de l'histoire est intéressant avec les contes racontés pour mettre en avant des problématiques.
  20. alx23

    The magic fish

    Titre de l'album : The magic fish Scenariste de l'album : Trung Le Nguyen Dessinateur de l'album : Trung Le Nguyen Coloriste : Trung Le Nguyen Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Hiền et son fils, Tiến, aiment se lire des contes de fées. Une façon pour la mère de perfectionner son anglais et de transmettre son héritage au jeune garçon qui n’est jamais allé au Vietnam. Pourtant, si le vietnamien de Tiến s'améliore au fur et à mesure de leurs lectures, une conversation lui échappe toujours : comment dévoiler à ses parents qu’il aime les garçons ? Critique : The magic fish est le premier roman graphique de Trung Le Nguyen sortit en 2020 aux états-unis. Cette histoire se déroule en trois récits distincts avec des couleurs différentes pour permettre aux lecteurs de bien faire les transitions. Le récit dans des couleurs rouge représente le présent avec le jeune Tiến, ensuite le récit en couleur bleu représente les contes et enfin le dernier en couleur jaune est pour les souvenirs de la mère de Tiến. Au départ, cette technique est pas évidente à comprendre avec des cases de couleurs différentes avec des histoires complétement différentes qui rappellent des souvenirs ou d'autres situations durant le conte ou le présent. L'intrigue met très vite en place les souvenirs traumatisants que la mère à subit lors de la guerre du Vietnam qui ressurgissent souvent. De son côté, son fils mène une vie parfaite aux états-unis sans avoir connu la guerre, il suit l'école avec ces amis Claire et Julian. Progressivement, il se sent attiré par son ami Julian. Ce roman graphique possède une partie autobiographique de la vie de l’auteur, avec sa difficulté à annoncer à sa mère son homosexualité et en même temps à lui apprendre à mieux parler l’anglais avec des contes enfantin. Le traitement de l'histoire est intéressant avec les contes racontés pour mettre en avant des problématiques. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-magic-fish?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Après une première trilogie sur les aventures d'Achille, Cosimo Ferri l'auteur italien poursuit les adaptations en bande dessinée de l'Odyssée d'Homère. Cette fois ci, le héros mis en avant est le célèbre Ulysse dans une nouvelle trilogie. Cosimo commence donc son récit avec la captivité d'Ulysse sur l'île d'Ogygie par la nymphe Calypso. En parallèle, son fils Télémaque se lance dans une quête à la recherche de son père. Pénélope sa femme est la convoité par plusieurs hommes et l'on sent déjà arriver une fin tragique à un moment donné. Cosimo reste fidèle au récit d'origine, plus ou moins connu du public. Il est vrai que les adaptations de l'Odyssée sont nombreuses en bande dessinée voir des sources d'inspirations. Les dessins Cosimo Ferri sont de qualité pour dépeindre la mythologie grecque même si l’on pourrait regretter l'aspect figé de certain personnage. A noter que comme pour Achille, les éditions Tabou publient en parallèle une version adulte érotique d'Ulysse identique mais avec plus de page pour des scènes de sexe plus détaillées. Ce premier tome démarre bien et devrait ravir les lecteurs désirant découvrir ou redécouvrir les aventures d'Ulysse désirant rentrer chez lui.
  22. Titre de l'album : Ulysse tome 1 - Prisonnier du destin Scenariste de l'album : Cosimo Ferri Dessinateur de l'album : Cosimo Ferri Coloriste : Cosimo Ferri Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Ce premier opus s'ouvre sur le naufrage d'Ulysse sur l'île de la nymphe Calypso. Tombée éperdument amou­reuse de lui, Calypso réussit à le retenir sur son île, lui offrant même l'immor­talité s'il consent à rester auprès d'elle. Mais Zeus influencé par Athéna, envoie Hermès imposer à la nymphe de relâcher Ulysse. Elle obéit contre son gré à la volonté divine et laisse, le coeur brisé, le héros reprendre la mer vers d'autres dangers. Premier volume d'une série légendaire de la mythologie grecque, Ulysse associe rigueur historique et talent artistique qui fera la joie des amateurs d'Histoire et de Littérature. Critique : Après une première trilogie sur les aventures d'Achille, Cosimo Ferri l'auteur italien poursuit les adaptations en bande dessinée de l'Odyssée d'Homère. Cette fois ci, le héros mis en avant est le célèbre Ulysse dans une nouvelle trilogie. Cosimo commence donc son récit avec la captivité d'Ulysse sur l'île d'Ogygie par la nymphe Calypso. En parallèle, son fils Télémaque se lance dans une quête à la recherche de son père. Pénélope sa femme est la convoité par plusieurs hommes et l'on sent déjà arriver une fin tragique à un moment donné. Cosimo reste fidèle au récit d'origine, plus ou moins connu du public. Il est vrai que les adaptations de l'Odyssée sont nombreuses en bande dessinée voir des sources d'inspirations. Les dessins Cosimo Ferri sont de qualité pour dépeindre la mythologie grecque même si l’on pourrait regretter l'aspect figé de certain personnage. A noter que comme pour Achille, les éditions Tabou publient en parallèle une version adulte érotique d'Ulysse identique mais avec plus de page pour des scènes de sexe plus détaillées. Ce premier tome démarre bien et devrait ravir les lecteurs désirant découvrir ou redécouvrir les aventures d'Ulysse désirant rentrer chez lui. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ulysse-tome-1-prisonnier-du-destin?ref=44?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : Ulysse tome 1 - Prisonnier du destin Scenariste de l'album : Cosimo Ferri Dessinateur de l'album : Cosimo Ferri Coloriste : Cosimo Ferri Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Ce premier opus s'ouvre sur le naufrage d'Ulysse sur l'île de la nymphe Calypso. Tombée éperdument amou­reuse de lui, Calypso réussit à le retenir sur son île, lui offrant même l'immor­talité s'il consent à rester auprès d'elle. Mais Zeus influencé par Athéna, envoie Hermès imposer à la nymphe de relâcher Ulysse. Elle obéit contre son gré à la volonté divine et laisse, le coeur brisé, le héros reprendre la mer vers d'autres dangers. Premier volume d'une série légendaire de la mythologie grecque, Ulysse associe rigueur historique et talent artistique qui fera la joie des amateurs d'Histoire et de Littérature. Critique : Après une première trilogie sur les aventures d'Achille, Cosimo Ferri l'auteur italien poursuit les adaptations en bande dessinée de l'Odyssée d'Homère. Cette fois ci, le héros mis en avant est le célèbre Ulysse dans une nouvelle trilogie. Cosimo commence donc son récit avec la captivité d'Ulysse sur l'île d'Ogygie par la nymphe Calypso. En parallèle, son fils Télémaque se lance dans une quête à la recherche de son père. Pénélope sa femme est la convoité par plusieurs hommes et l'on sent déjà arriver une fin tragique à un moment donné. Cosimo reste fidèle au récit d'origine, plus ou moins connu du public. Il est vrai que les adaptations de l'Odyssée sont nombreuses en bande dessinée voir des sources d'inspirations. Les dessins Cosimo Ferri sont de qualité pour dépeindre la mythologie grecque même si l’on pourrait regretter l'aspect figé de certain personnage. A noter que comme pour Achille, les éditions Tabou publient en parallèle une version adulte érotique d'Ulysse identique mais avec plus de page pour des scènes de sexe plus détaillées. Ce premier tome démarre bien et devrait ravir les lecteurs désirant découvrir ou redécouvrir les aventures d'Ulysse désirant rentrer chez lui. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ulysse-tome-1-prisonnier-du-destin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Le mirage de la croissance verte

    Anthony Auffret nous donne une analyse de la situation économique actuelle de la France dont les enjeux sont la croissance et l'écologie. Le thème de cette bande dessinée documentaire est très actuel et nous concerne tous. L'histoire débute avec un discours du président de la France qui date de 2020 sur les problématiques climatiques. Anthony Auffret nous donne alors la version de l'avenir d'un couple français modèle et du père de la femme de ce couple. Ce dernier ressemble à un savant fou avec des théories alarmistes sur notre avenir proche. Alors débute un débat avec des arguments de chaque partie pour comprendre la situation. L'auteur conserve une touche d'humour dans son récit malgré les thématiques ou problématiques à venir ou de la croissance verte. Les explications sont vulgarisées pour bien comprendre tout en gardant une légèreté à l'histoire. Les dessins vont dans ce sens avec un trait caricatural. Des pistes sont envisageables mais il faudra changer notre façon de vivre pour le futur. Les bandes dessinées documentaires sont pédagogiques tout en restant distrayante pour traiter des sujets importants, politiques, économiques. Tout est bien expliqué pour que les lecteurs puissent poursuivre sans être perdu dans des sujets trop techniques.
  25. Titre de l'album : Le mirage de la croissance verte Scenariste de l'album : Anthony Auffret Dessinateur de l'album : Anthony Auffret Coloriste : Anthony Auffret Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 29 juin 2020. Convention citoyenne sur le climat. Emmanuel Macron adopte 146 propositions citoyennes. Arnaud, devant le discours, est content : des solutions vont enfin être apportées pour adapter notre économie aux enjeux climatiques. Mais ce n'est pas l'avis de son beau-père Doc qui, tout en l'écoutant dérouler ses arguments, va tout faire pour le détromper... Critique : Anthony Auffret nous donne une analyse de la situation économique actuelle de la France dont les enjeux sont la croissance et l'écologie. Le thème de cette bande dessinée documentaire est très actuel et nous concerne tous. L'histoire débute avec un discours du président de la France qui date de 2020 sur les problématiques climatiques. Anthony Auffret nous donne alors la version de l'avenir d'un couple français modèle et du père de la femme de ce couple. Ce dernier ressemble à un savant fou avec des théories alarmistes sur notre avenir proche. Alors débute un débat avec des arguments de chaque partie pour comprendre la situation. L'auteur conserve une touche d'humour dans son récit malgré les thématiques ou problématiques à venir ou de la croissance verte. Les explications sont vulgarisées pour bien comprendre tout en gardant une légèreté à l'histoire. Les dessins vont dans ce sens avec un trait caricatural. Des pistes sont envisageables mais il faudra changer notre façon de vivre pour le futur. Les bandes dessinées documentaires sont pédagogiques tout en restant distrayante pour traiter des sujets importants, politiques, économiques. Tout est bien expliqué pour que les lecteurs puissent poursuivre sans être perdu dans des sujets trop techniques. Autres infos : Ecologie, Politique, Croissance Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mirage-de-la-croissance-verte?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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