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  1. Titre de l'album : U4 : Khronos (fin) Scenariste de l'album : Denis Lapierre / Pierre-Paul Renders Dessinateur de l'album : Denis Lapière Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Jules, Koridwen, Yannis et Stéphane sont enfin réunis à Paris. Mais pas en tant qu'amis, puisque Steph tient en joue Kori et Jules avec son arme... Une situation que les militaires, traquant les ados ayant survécu à la pandémie U4, vont vite aplanir en incendiant les lieux où le quatuor s'était dissimulé ! Découvrant qu'ils sont tous fans du jeu « Warriors of Time » (WOT) et tous convoqués par le maître du jeu Khronos, Jules, Koridwen, Yannis et Stéphane comprennent qu'ils doivent unir leurs forces. Parviendront-ils à remonter le temps, afin d'empêcher l'apocalypse qui a dévasté la planète ? Ou bien Kronos leur réserve-t-il quelques (mauvaises) surprises ? Avoir la même passion pour un jeu en ligne ne signifie pas avoir les mêmes croyances ni la même vision de l'avenir... Après quatre albums chacun consacré à l'un des héros, le cinquième et dernier tome de U4 les réunit enfin, pour une rythmique de récit inédit offrant son étonnante conclusion à la série dessinée inspirée de la quadrilogie phénomène du roman young adult ! Critique : Attention, spoiler à venir. Trop difficile sur un tome de conclusion de ne pas en dire un peu ! Bon, on ne va pas trop se le cacher, je suis un peu déçu par cette fin d'histoire. Déçu pour plusieurs raisons : déjà par l'aspect un peu facile de ce qui arrive à Kordiwen. Je vous laisserai juge, je suis surement un peu trop 'adulte" de ce côté la. Mais en fait surtout déçu par l'arrêt de cette temporalité. En effet, nos héros réussissent finalement à trouver un équilibre et du bonheur ans cette horreur, tout cela pour que tous s'efface. Ça fait vraiment bizarre, d'autant plus que Denis Lapierre met bien en avant l'évolution des personnages dans ce tome 4 pour globalement tout jeter après. Il manque une ouverture. Une possibilité de se dire qu'en fait ils continuent leurs vies par ailleurs, dans un univers parallèle ou un truc dans le genre. Il manque aussi des explications. À quoi ont donc servi les "pouvoirs" de Yannis ? Pourquoi ce comportement des adultes restants ? Comment expliquer qu'un médecin de ville ait trouvé le bon vaccin en testant des trucs et que l'état n'ait toujours pas trouvé ? Pas de mal de points qui m'ont un peu gâcher la fin d'une histoire au demeurant très sympathique. À réserver à des jeunes qui se posent moins de questions surement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/u4-khronos?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. L'iéde de parodier Goldorak, Albator et les personnages et intrigues des dessins animés de notre enfance était plutôt savoureuse sur le papier. Las, le dessin clairement ciblé humour jeunesse ne m'a pas emballé plus que ça, et la teneur des gags finalement assez limités n'a pas été compensé par la richesse des références, dont je le concède j'en ai probablement loupé une bonne moitié. Ce Récré A3 est à réserver aux fans absolus de Golodrak et Albator ayant envie de rire un peu.
  3. Titre de l'album : Récré A3 - Tome 2 - Otto Largue et Goldo Tombe Scenariste de l'album : Sylxx Dessinateur de l'album : Yockwan Coloriste : Lily Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Infatigable, le Prince d'OEufort dézingue encore et toujours les robots envoyés pour le détruire. Découragés, le grand stratosphère et la reine des Sylfilles cherchent de l'aide et croient trouver LA solution pour en finir avec lui. Pendant ce temps, malgré le soutien de Candide, Albatard vit mal la renommée croissante d'Actarustre qui pourrait en faire le plus grand héros de l'univers. Critique : L'iéde de parodier Goldorak, Albator et les personnages et intrigues des dessins animés de notre enfance était plutôt savoureuse sur le papier. Las, le dessin clairement ciblé humour jeunesse ne m'a pas emballé plus que ça, et la teneur des gags finalement assez limités n'a pas été compensé par la richesse des références, dont je le concède j'en ai probablement loupé une bonne moitié. Ce Récré A3 est à réserver aux fans absolus de Golodrak et Albator ayant envie de rire un peu. Autres infos : Parodie de Goldorak et Albator Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/recre-a3-tome-2-otto-largue-et-goldo-tombe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Je ne crois pas qu'il y ai de genre plus difficile en bd que l'humour. On a tous en tête des génies de l'humour en bd, mais il faut bien reconnaitre que si ces rares élus accèdent à une immense reconnaissance c'est aussi parce que la tâche parait difficile. Evidemment l'humour est subjectif, aussi ce qui est valable pour moi ne l'est pas pour tout le monde. Pourquoi je vous raconte cela ? Parce qu'une fois n'est pas coutume, je n'ai pas réussi à finir cette bd. Ce qui explique sa note très basse. Les dessins ne me font ni sourire ni rire, je ne les trouve pas spécialement mignons. Et les gags m'ont profondément blasé. Bref je n'ai pas ri, je n'ai pas accroché, je n'ai pas réussi. Et ce n'est pas le choix du sujet le problème, puisque étant moi même heureusement accompagné d'un chien j'étais tout disposé à rire sur ce sujet là. Bref. Ce n'était pas pour moi.
  5. Titre de l'album : Clebs - Tome 2 -Il était une fois dans l'os Scenariste de l'album : Olivier Supiot Dessinateur de l'album : Olivier Supiot Coloriste : Olivier Supiot Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Clebs ! est une série de gags dont les héros ou plutôt les anti-héros sont nos plus fidèles compagnons, les chiens. Chaque personnage possède un caractère singulier : le crétin de service, l'obsédé sexuel myope, la fashion victime relookeuse, le gueulard maladroit etc. Des clebs avec des travers très humains qui nous rappellent notre côté cabot... Critique : Je ne crois pas qu'il y ai de genre plus difficile en bd que l'humour. On a tous en tête des génies de l'humour en bd, mais il faut bien reconnaitre que si ces rares élus accèdent à une immense reconnaissance c'est aussi parce que la tâche parait difficile. Evidemment l'humour est subjectif, aussi ce qui est valable pour moi ne l'est pas pour tout le monde. Pourquoi je vous raconte cela ? Parce qu'une fois n'est pas coutume, je n'ai pas réussi à finir cette bd. Ce qui explique sa note très basse. Les dessins ne me font ni sourire ni rire, je ne les trouve pas spécialement mignons. Et les gags m'ont profondément blasé. Bref je n'ai pas ri, je n'ai pas accroché, je n'ai pas réussi. Et ce n'est pas le choix du sujet le problème, puisque étant moi même heureusement accompagné d'un chien j'étais tout disposé à rire sur ce sujet là. Bref. Ce n'était pas pour moi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clebs-tome-2-il-etait-une-fois-dans-l-os?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Ce troisième clôture le premier cycle des enquêtes fantastiques de Malcolm Max et sa partenaire Charisma. Peter Menniger utilise dans cette fiction, des faits historiques ainsi que des personnages historiques ou leurs inventions. L’époque victorienne se prête bien au récit steampunk pour les décors et contexte historiques. Ce dernier tome reste toujours aussi verbeux avec peut-être trop de dialogues ou de phylactères narratifs qui perturbent un peu la fluidité de la lecture. Après ces nombreux dialogues sont souvent l'occasion pour l'auteur d'apporter des touches d'humour, surtout avec les dialogues de la reine Victoria. Sinon ce dernier tome vous réserve beaucoup d'action avec la résolution de l'enquête et des combats contre des humanoïdes, des fantômes et la force de Charisma la demi-vampire. Ingo Römling assure une partie graphique très plaisante et qui se démarque des productions du même genre en bande dessinée. L'album se termine par quelques références sur les personnages et lieux qui apparaissent dans cet épisode. Cette trilogie est un mélange des genres avec l’enquête policière proche de celle de Sherlock Holmes pendant la même époque et le fantastique apporte l’originalité au récit.
  7. Titre de l'album : Malcolm Max tome 3 - Projet nightfall Scenariste de l'album : Peter Menniger Dessinateur de l'album : Ingo Römling Coloriste : Ingo Römling Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Bienvenue aux origines de la fin du monde, où Malcolm Max et Charisma ont affaire à une armée d'hommes mécaniques indestructibles dont la colère dévastatrice va se répandre dans les rues de Londres comme une traînée de poudre. Ces créatures ont pour objectif l'annihilation de la race humaine. Meurtre, carnage et chaos sont au menu de ce récit palpitant ! Critique : Ce troisième clôture le premier cycle des enquêtes fantastiques de Malcolm Max et sa partenaire Charisma. Peter Menniger utilise dans cette fiction, des faits historiques ainsi que des personnages historiques ou leurs inventions. L’époque victorienne se prête bien au récit steampunk pour les décors et contexte historiques. Ce dernier tome reste toujours aussi verbeux avec peut-être trop de dialogues ou de phylactères narratifs qui perturbent un peu la fluidité de la lecture. Après ces nombreux dialogues sont souvent l'occasion pour l'auteur d'apporter des touches d'humour, surtout avec les dialogues de la reine Victoria. Sinon ce dernier tome vous réserve beaucoup d'action avec la résolution de l'enquête et des combats contre des humanoïdes, des fantômes et la force de Charisma la demi-vampire. Ingo Römling assure une partie graphique très plaisante et qui se démarque des productions du même genre en bande dessinée. L'album se termine par quelques références sur les personnages et lieux qui apparaissent dans cet épisode. Cette trilogie est un mélange des genres avec l’enquête policière proche de celle de Sherlock Holmes pendant la même époque et le fantastique apporte l’originalité au récit. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/malcolm-max-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Un nouveau titre pour la collection coup de tête après l'album biographique sur George Best le mois précédent. Aujourd'hui, les auteurs Elsa Krim et Fred Campoy s'associent pour retracer le parcours singulier de Tony Estanguet, le premier sportif français a avoir gagné trois médailles d'or olympiques et être trois fois champion de France. Le père de la famille Estanguet était déjà champion de Kayak, il a su donner à ses trois fils la passion de ce sport. Tony est le cadet de la famille avec le sentiment de devoir se donner à fond pour égaler ses frères, avec un esprit de compétition très élevé. Cette première partie début avec les premières compétitions, l'entrainement de Tony et la médaille de bronze pour son frère aîné. L'album se termine avec un cahier souvenir de la famille Estanguet avec des photos commentées par les frères. La partie graphique est de qualité même si quelques visages sont étranges dans leur proportion. Tony, l'enfant des rivières est un très bon album sportif, démontrant l'engagement et les efforts pour se dépasser et être le meilleur dans un sport.
  9. Titre de l'album : Tony - L'enfant des rivières tome 1 Scenariste de l'album : Elsa Krim & Fred Campoy Dessinateur de l'album : Fred Campoy Coloriste : Cyril Vincent Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Triple champion du monde de canoë monoplace, il est le 1er sportif français à remporter trois médailles d'or lors de trois Jeux Olympiques différents. Le parcours de Tony Estanguet est une incroyable aventure humaine. Aux Jeux Olympiques de Londres, le 31 juillet 2012, Tony se tient au sommet du stade d'eau vive de Lee Valley. Les jambes prises dans son canoë, il s'apprête à se lancer pour une troisième médaille d'or dans ce slalom historique. Il a alors 34 ans. Pour en arriver là, Tony Estanguet est parti de loin. Tout commence en 1978 à Pau au pied des Pyrénées, une enfance dans les rapides. Critique : Un nouveau titre pour la collection coup de tête après l'album biographique sur George Best le mois précédent. Aujourd'hui, les auteurs Elsa Krim et Fred Campoy s'associent pour retracer le parcours singulier de Tony Estanguet, le premier sportif français a avoir gagné trois médailles d'or olympiques et être trois fois champion de France. Le père de la famille Estanguet était déjà champion de Kayak, il a su donner à ses trois fils la passion de ce sport. Tony est le cadet de la famille avec le sentiment de devoir se donner à fond pour égaler ses frères, avec un esprit de compétition très élevé. Cette première partie début avec les premières compétitions, l'entrainement de Tony et la médaille de bronze pour son frère aîné. L'album se termine avec un cahier souvenir de la famille Estanguet avec des photos commentées par les frères. La partie graphique est de qualité même si quelques visages sont étranges dans leur proportion. Tony, l'enfant des rivières est un très bon album sportif, démontrant l'engagement et les efforts pour se dépasser et être le meilleur dans un sport. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tony-tome-1-enfant-des-rivieres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. alx23

    Année zéro

    L'année zéro est un roman graphique sur la naissance d'un premier enfant pour un jeune couple avec la vision précédent l'évènement puis celle après la naissance avec le bouleversement dans la vie du couple. La scénariste Anna Roy raconte sa propre expérience dans cette bande dessinée, cette sage-femme pensait connaitre tous les secrets entourant la grossesse ainsi que l'accouchement et pourtant elle va vite changer d'avis. Les angoisses sur la bonne santé de l'enfant sont bien présentes ainsi que la fatigue pour une femme enceinte qui marche sans cesse d'une patience à une autre. Après la naissance du bébé, la vie du couple évolue pour former une petite famille. Il est intéressant de suivre l’évolution de la vie du couple même après la naissance avec les changements que cela occasionne. On se laisse porter par la lecture en suivant le fil rouge bien présent dans le dessin comme on peut le voir sur la couverture. Les dessins de Mademoiselle Caroline sont dans un style minimaliste et très dynamique. Année zéro conviendra particulièrement à un public féminin et encore plus pour les jeunes femmes désirant un enfant.
  11. alx23

    Année zéro

    Titre de l'album : Année zéro Scenariste de l'album : Anna Roy Dessinateur de l'album : Mademoiselle Caroline Coloriste : Mademoiselle Caroline Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Madeleine est sage-femme et pourtant dès la naissance de son enfant, rien ne se passe comme prévu. Elle galère dans son post-partum, sa parentalité, son couple... Elle passe de la joie au désespoir, de l'énergie à tout casser à la fatigue extrême. Anna et Caroline nous rassurent : c'est normal. Tout le monde passe par là. « Devenir parent » est l'un des plus grands chambardements de l'existence... Critique : L'année zéro est un roman graphique sur la naissance d'un premier enfant pour un jeune couple avec la vision précédent l'évènement puis celle après la naissance avec le bouleversement dans la vie du couple. La scénariste Anna Roy raconte sa propre expérience dans cette bande dessinée, cette sage-femme pensait connaitre tous les secrets entourant la grossesse ainsi que l'accouchement et pourtant elle va vite changer d'avis. Les angoisses sur la bonne santé de l'enfant sont bien présentes ainsi que la fatigue pour une femme enceinte qui marche sans cesse d'une patience à une autre. Après la naissance du bébé, la vie du couple évolue pour former une petite famille. Il est intéressant de suivre l’évolution de la vie du couple même après la naissance avec les changements que cela occasionne. On se laisse porter par la lecture en suivant le fil rouge bien présent dans le dessin comme on peut le voir sur la couverture. Les dessins de Mademoiselle Caroline sont dans un style minimaliste et très dynamique. Année zéro conviendra particulièrement à un public féminin et encore plus pour les jeunes femmes désirant un enfant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/annee-zero?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Aquarica est décidément une série à part dans l'univers de la BD actuelle. Elle marque d'abord la réunion de deux immenses références et talent de la bande dessinée. Sa génèse et tous les détours qu'elle a emprunté avant de devenir une bande dessinée est passionnante. Elle marque surtout leur indéfectible amitié. Et ce tome 2, dont le dessin est terminé par François Schuiten après le décès de son ami Benoît Sokal vient encore renforcer cette impression. Tout le cheminement dans la réalisation de ce projet, initialement destiné à au cinéma et au film d'animation est d'ailleurs expliqué en fin d'album. Aquarica est une fable puissante, qui aimante l'imaginaire, la poésie et la réflexion autour de sujet toujours plus actuels. C'est un mini monde en mouvement qui oblige les personnages à faire leurs choix et en cela elle ne peut que nous parler. Toutefois si le tome 1 vous a laissé insensible, ce tome 2 ne vous plaira guère plus. Pourtant il se niche au coeur de ces pages une mélancolie et une lenteur puissante qui renforcent l'atmosphère, les questionnements et l'imaginaire. Aquarica est définitivement hors du temps.
  13. Titre de l'album : Aquarica - Tome 2 - La baleine géante Scenariste de l'album : Benoît Sokal & François Schuiten Dessinateur de l'album : Benoît Sokal & François Schuiten Coloriste : Benoît Sokal & François Schuiten Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : John Greyford et le Lieutenant O'Bryan sont à bord de l'étrange submersible d'Aquarica, en route vers la lointaine terre natale de cette dernière, supposée se situer sur le dos d'une gigantesque baleine. Au terme de leur voyage se dévoile à eux un monde nouveau, hors de toute réalité connue, mais à l'équilibre fragile. Un monde que Baltimore et ses hommes, animés par leur désir de vengeance, ont bien l'intention de faire disparaître. Une course-poursuite s'engage alors entre le baleinier de ces derniers et nos trois héros, avec pour enjeu la survie de tout un peuple. Parviendront-ils à stopper la folie de ces hommes esseulés par leurs malheurs et leurs croyances ? Entre fable écologique et récit d'aventure, la réunion de deux auteurs majeurs de la bande dessinée autour d'une histoire à portée universelle. Critique : Aquarica est décidément une série à part dans l'univers de la BD actuelle. Elle marque d'abord la réunion de deux immenses références et talent de la bande dessinée. Sa génèse et tous les détours qu'elle a emprunté avant de devenir une bande dessinée est passionnante. Elle marque surtout leur indéfectible amitié. Et ce tome 2, dont le dessin est terminé par François Schuiten après le décès de son ami Benoît Sokal vient encore renforcer cette impression. Tout le cheminement dans la réalisation de ce projet, initialement destiné à au cinéma et au film d'animation est d'ailleurs expliqué en fin d'album. Aquarica est une fable puissante, qui aimante l'imaginaire, la poésie et la réflexion autour de sujet toujours plus actuels. C'est un mini monde en mouvement qui oblige les personnages à faire leurs choix et en cela elle ne peut que nous parler. Toutefois si le tome 1 vous a laissé insensible, ce tome 2 ne vous plaira guère plus. Pourtant il se niche au coeur de ces pages une mélancolie et une lenteur puissante qui renforcent l'atmosphère, les questionnements et l'imaginaire. Aquarica est définitivement hors du temps. Autres infos : Merci aux deux auteurs. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aquarica-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Movie Ghosts t1

    En voilà une BD envoutante. Où est-ce la période ? Le bon amalgame des deux je pense, porté par un dessin qui est tout aussi envoutant. C'est aussi bien l'intérêt que le petit problème de cette BD. En effet, l'atmosphère est tellement prenante qu'elle prend un peu le pas sur l'histoire. Enfin sur les histoires. On a l'impression que nos auteurs, en voulant renforcer leur atmosphère du Hollywood des années 60, ont sacrifié un peu cohésion. On a des petites histoires qui se mélangent, toutes sympathiques, mais qui manquent toutes d'un petit plus. On suit notre enquêteur, lui aussi très mystérieux, mais pas très dynamique. On se croirait vraiment dans un film de gangsters des années 60 finalement. C'est surement le but recherché, mais la BD dégage aussi cet aspect suranné et issue d'une autre époque. Pas forcément le genre que j'avais envie de lire. À voir si le tome deux a plus de liant et un scénario se reposant un peu moins sur l'ambiance pour exister.
  15. poseidon2

    Movie Ghosts t1

    Titre de l'album : Movie Ghosts t1 Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Attila Futaki Coloriste : Attila Futaki Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Les morts ont besoin qu'on fouille les cauchemars de leur disparition. Jerry Fifth connaît tous les péchés de la Cité des Anges, des prostituées de Sunset Boulevard aux divas de Hollywood, des producteurs sur le retour aux jeunes acteurs sur le chemin de la gloire. On le paie pour trouver des amants, des enfants illégitimes, des assassins, des assassinés. Pourtant, Jerry a un problème. Il entend les voix des fantômes d'étoiles éteintes. Pourquoi a-t-il accès à ces voix, à ces visages en quête de vérités perdues ? Au coeur d'un siècle de cinéma, des salles à deux sous aux machines à rêve des grands studios, Jerry va découvrir les ruines d'une ville dans la ville, des secrets à l'intérieur d'autres secrets. Critique : En voilà une BD envoutante. Où est-ce la période ? Le bon amalgame des deux je pense, porté par un dessin qui est tout aussi envoutant. C'est aussi bien l'intérêt que le petit problème de cette BD. En effet, l'atmosphère est tellement prenante qu'elle prend un peu le pas sur l'histoire. Enfin sur les histoires. On a l'impression que nos auteurs, en voulant renforcer leur atmosphère du Hollywood des années 60, ont sacrifié un peu cohésion. On a des petites histoires qui se mélangent, toutes sympathiques, mais qui manquent toutes d'un petit plus. On suit notre enquêteur, lui aussi très mystérieux, mais pas très dynamique. On se croirait vraiment dans un film de gangsters des années 60 finalement. C'est surement le but recherché, mais la BD dégage aussi cet aspect suranné et issue d'une autre époque. Pas forcément le genre que j'avais envie de lire. À voir si le tome deux a plus de liant et un scénario se reposant un peu moins sur l'ambiance pour exister. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/movie-ghosts-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Soleil n'attend pas, et voici donc le 3ème tome de cette série de Zombies qui m'avait laissé une plutôt belle impression. Le rythme de parution étant effréné comme sur pas mal de leurs productions, ils font de nouveau appel à plusieurs auteurs pour collaborer sur un seul album. Ici depuis le tome 2 c'est Monsieur Benoît Dellac qui a pris la main sur les storyboards pour aider l'équipe en charge de ce No Zombies. Cette série dédiées au Zombies commence à ressembler dans sa construction de plus en plus à Conquêtes, la série de SF de Soleil. En effet chaque tome vient nous changer le narrateur, même si ici, si chaque tome peut encore se lire assez facilement seul, ils prennent tout de même la continuité du précédent. Ce qu'on y gagne en intérêt sur l'histoire globale, on le perd probablement un peu en immersion dans l'intrigue. Ce que je trouve un peu dommage car sur No Zombies, le paradigme posé dès le début était plus que prometteur, à la manière d'un Convoyeur par exemple, on aurait pu espérer peut être une série présentant un peu plus d'ambition. Là au fil des tomes, on se rapproche finalement d'un ersatz de Walking Dead assez bien réalisé mais qui a du mal au bout du compte à nous prendre réellement aux tripes. La partie graphique de Evgeniy Bornyakov est propre et bien adapté à ce type de production, mais sans réelle prise de risque donc.
  17. Titre de l'album : No Zombies - Tome 3 - Le livre de Lila Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Evgeniy Bornyakov Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lila a été mordue. Son esprit se disloque, elle rejoint les rangs des mort-vivants. Mais sa conscience s'accroche à ses souvenirs récents... Pourquoi a-t-elle rejoint les No Zombies ? Pourquoi l'ont-ils abandonnée dans les ruines de Pittsburgh ? Sont-ils morts ? Peut-elle encore les sauver alors qu'elle sent monter le goût du sang en elle ? Et qui la sauvera elle ? Qui lui inoculera le vaccin ? Critique : Soleil n'attend pas, et voici donc le 3ème tome de cette série de Zombies qui m'avait laissé une plutôt belle impression. Le rythme de parution étant effréné comme sur pas mal de leurs productions, ils font de nouveau appel à plusieurs auteurs pour collaborer sur un seul album. Ici depuis le tome 2 c'est Monsieur Benoît Dellac qui a pris la main sur les storyboards pour aider l'équipe en charge de ce No Zombies. Cette série dédiées au Zombies commence à ressembler dans sa construction de plus en plus à Conquêtes, la série de SF de Soleil. En effet chaque tome vient nous changer le narrateur, même si ici, si chaque tome peut encore se lire assez facilement seul, ils prennent tout de même la continuité du précédent. Ce qu'on y gagne en intérêt sur l'histoire globale, on le perd probablement un peu en immersion dans l'intrigue. Ce que je trouve un peu dommage car sur No Zombies, le paradigme posé dès le début était plus que prometteur, à la manière d'un Convoyeur par exemple, on aurait pu espérer peut être une série présentant un peu plus d'ambition. Là au fil des tomes, on se rapproche finalement d'un ersatz de Walking Dead assez bien réalisé mais qui a du mal au bout du compte à nous prendre réellement aux tripes. La partie graphique de Evgeniy Bornyakov est propre et bien adapté à ce type de production, mais sans réelle prise de risque donc. Autres infos : Post apocalyptique Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-zombies-tome-3-le-livre-de-lila?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. The_PoP

    Elles - Tome 2 - Universelle(s)

    Ne nous cachons pas, ce Elle avait été une véritable claque pour nous l'année dernière. Autant vous dire que ce tome 2 était attendu, et chose rarissime chez moi, mon épouse l'a pris et dévoré avant que j'ai pu y mettre la main dessus. La pagination de ce tome 2 est identique à celle du premier tome, à savoir un petit format de 90 pages. Côté dessin, je tire un très grand coup de chapeau à Aveline Stokart qui nous livre un truc hallucinant. C'est bluffant. Les pages s'animent toutes seules. On en vient donc à ma petite déception perso : j'ai trouvé ce tome un peu "plat" ou plutôt convenu... Peut être est-ce nos attentes qui étaient trop élevées après ce premier tome magistrale, mais que ce soit dans le déroulement ou dans les "révélations" de fin, j'ai trouvé l'ensemble finalement un peu convenu. Alors ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : cela reste très bien. Mais l'expérience du premier tome n'est pas tout à faire renouvelée pour moi. Ceci étant dit on reste sur de la bd jeunesse de très très haut niveau que je ne peux toujours que vous recommander.
  19. Titre de l'album : Elles - Tome 2 - Universelle(s) Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Aveline Stokart Coloriste : Aveline Stokart Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les récents chocs psychologiques subis par Elle ont permis à Bleue, sa personnalité la mieux enfouie, de prendre le contrôle total, reléguant Elle dans les limbes de son propre subconscient. Bleue est sociable, enjouée, efficace, douée artistiquement... En fait, Bleue est un peu une synthèse de toutes les personnalités d'Elle. Mais si Bleue est si géniale que cela, alors pourquoi est-ce qu'Elle a passé sa vie à tenter de la retenir prisonnière au fin fond d'elle-même...? Critique : Ne nous cachons pas, ce Elle avait été une véritable claque pour nous l'année dernière. Autant vous dire que ce tome 2 était attendu, et chose rarissime chez moi, mon épouse l'a pris et dévoré avant que j'ai pu y mettre la main dessus. La pagination de ce tome 2 est identique à celle du premier tome, à savoir un petit format de 90 pages. Côté dessin, je tire un très grand coup de chapeau à Aveline Stokart qui nous livre un truc hallucinant. C'est bluffant. Les pages s'animent toutes seules. On en vient donc à ma petite déception perso : j'ai trouvé ce tome un peu "plat" ou plutôt convenu... Peut être est-ce nos attentes qui étaient trop élevées après ce premier tome magistrale, mais que ce soit dans le déroulement ou dans les "révélations" de fin, j'ai trouvé l'ensemble finalement un peu convenu. Alors ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : cela reste très bien. Mais l'expérience du premier tome n'est pas tout à faire renouvelée pour moi. Ceci étant dit on reste sur de la bd jeunesse de très très haut niveau que je ne peux toujours que vous recommander. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elles-tome-2-universelle-s?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. La collection les futurs de Liu Cixin se poursuit au début de ce mois de mai avec deux nouveaux albums, Pour que respire le désert et les trois lois du monde. Pour rappel, cette nouvelle collection proposera une quinzaine d'adaptations des nouvelles et romans de l'auteur chinois à succès Liu Cixin. Ce dernier est spécialisé dans les récits de science-fiction avec souvent une thématique autour du futur de la planète Terre et plus généralement de l'humanité. L'auteur donne une vision souvent très technique et poussé pour expliquer et rendre crédibles toutes ces idées originales. Avec Pour que respire le désert, on comprend directement la problématique qui nous attend dans cet épisode et Valérie Mangin se charge de l'écriture de l'adaptation. L'album se rapproche d'un album classique de bande dessinée avec une pagination moins importante que pour le premier tome de la collection. L'histoire se sépare en deux parties avec un père préoccupé par le manque d'eau qui touche la région où il habite et sa fille qui grandit dans ce climat catastrophique tout en restant positive. Les dessins de Steven Dupré sont de qualité et d'ailleurs on pourra en profiter avec un panoramique dépliant. Ce deuxième épisode est une réussite avec un récit moins technique certainement dû au format plus court de la nouvelle de Cixin.
  21. Titre de l'album : Les futurs de liu cixin - Pour que respire le désert Scenariste de l'album : Valérie Mangin Dessinateur de l'album : Steven Dupré Coloriste : Cyril Saint-Blancat Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : La passion de Yuanyuan pour les bulles de savon irritait son père depuis toujours. Lui qui avait voué sa vie à la protection de la Cité de la Route de la Soie contre une désertification galopante, ne pouvait admettre son goût pour la légèreté. Oublierait-il que nombre de d'avancées scientifiques naissent d'une idée fantaisiste, jaillissent d'esprits originaux et créatifs ? Critique : La collection les futurs de Liu Cixin se poursuit au début de ce mois de mai avec deux nouveaux albums, Pour que respire le désert et les trois lois du monde. Pour rappel, cette nouvelle collection proposera une quinzaine d'adaptations des nouvelles et romans de l'auteur chinois à succès Liu Cixin. Ce dernier est spécialisé dans les récits de science-fiction avec souvent une thématique autour du futur de la planète Terre et plus généralement de l'humanité. L'auteur donne une vision souvent très technique et poussé pour expliquer et rendre crédibles toutes ces idées originales. Avec Pour que respire le désert, on comprend directement la problématique qui nous attend dans cet épisode et Valérie Mangin se charge de l'écriture de l'adaptation. L'album se rapproche d'un album classique de bande dessinée avec une pagination moins importante que pour le premier tome de la collection. L'histoire se sépare en deux parties avec un père préoccupé par le manque d'eau qui touche la région où il habite et sa fille qui grandit dans ce climat catastrophique tout en restant positive. Les dessins de Steven Dupré sont de qualité et d'ailleurs on pourra en profiter avec un panoramique dépliant. Ce deuxième épisode est une réussite avec un récit moins technique certainement dû au format plus court de la nouvelle de Cixin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-pour-que-respire-le-desert?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Encore une très belle couverture proposée par Grand angle et une couverture qui donne furieusement envie. Cet aspect puzzle qui répond avec le puzzle que peu être la vie et la beauté qui en découle quand les pièces s'assemblent bien comme il faut. Et cette couverture est peut-être trop bien faite, car malheureusement ces promesses ne sont pas toutes tenues à l'intérieur. Enfin, on dira plutôt que nos auteurs ont cherchés à trop en faire et que les pistes démarrées s'en trouvent être toutes fermées trop rapidement. En effet, entre le la fille qui cherche un amoureux, le prof qui tombe raide dingue de la fille, le veuf qui n'arrive pas à reprendre le flambeau de sa femme, les puzzles qui ne se vendent plus, la problématique de trouver du monde pour la manifestation spécial puzzle et les personnages secondaires... on a trop de sujet pour pas assez de page. Les histoires, toutes sympathiques, s'en trouve raccourcis et perdent un peu de leur intérêt avec, a mon avis, peut être le moins intime mise en avant avec cette histoire… de puzzle. Plein de bonnes idées, une couverture accrocheuse, un dessin et une coloration très sympa... plein de truc qui font qu'il y avait de quoi faire quelque chose de moins ambitieux, mais de plus fini.
  23. Titre de l'album : Ces petits riens qui changent tout Scenariste de l'album : Dominique Legeard Dessinateur de l'album : Jerome Felix / Alain Janolle Coloriste : Jerome Felix / Alain Janolle Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Un petit bijou d'humanité et de bonne humeur. Une petite commune normande dont le maire cherche désespérément une idée pour l'animation de sa fête annuelle, une jolie baby-sitter tiraillée entre deux soupirants, une grand-mère qui joue les entremetteuses, un instituteur amoureux, un beau skipper appelé par le large... et toute une population mobilisée pour un projet fou : réaliser le plus grand puzzle du monde ! Une comédie lumineuse, jouissive et légère, toute simple... mais qui change tout ! Critique : Encore une très belle couverture proposée par Grand angle et une couverture qui donne furieusement envie. Cet aspect puzzle qui répond avec le puzzle que peu être la vie et la beauté qui en découle quand les pièces s'assemblent bien comme il faut. Et cette couverture est peut-être trop bien faite, car malheureusement ces promesses ne sont pas toutes tenues à l'intérieur. Enfin, on dira plutôt que nos auteurs ont cherchés à trop en faire et que les pistes démarrées s'en trouvent être toutes fermées trop rapidement. En effet, entre le la fille qui cherche un amoureux, le prof qui tombe raide dingue de la fille, le veuf qui n'arrive pas à reprendre le flambeau de sa femme, les puzzles qui ne se vendent plus, la problématique de trouver du monde pour la manifestation spécial puzzle et les personnages secondaires... on a trop de sujet pour pas assez de page. Les histoires, toutes sympathiques, s'en trouve raccourcis et perdent un peu de leur intérêt avec, a mon avis, peut être le moins intime mise en avant avec cette histoire… de puzzle. Plein de bonnes idées, une couverture accrocheuse, un dessin et une coloration très sympa... plein de truc qui font qu'il y avait de quoi faire quelque chose de moins ambitieux, mais de plus fini. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ces-petits-riens-qui-changent-tout?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Vent debout

    Nicole Augereau et Grégory Jarry sont des auteurs de bande dessinée qui voyagent autour du monde en compagnie de leurs enfants avec les moyens du bord. Lors d'un voyage en Indonésie, la petite famille rencontre Robert, un homme âgé qui voyage durant la moitié de l'année en Asie. Ils sympathisent et ce dernier leur raconte quelques anecdotes de voyage dont celle d'un couple qui souhaitait vivre sur un petit bateau, à la destinée tragique. C'est en partant de ces petites histoires que le couple d'auteurs a réalisé cette bande dessinée, vent debout et le nom du bateau du couple qui comptait faire le tour du monde. Ce titre permet de suivre trois histoires en parallèle, celle de la famille d'auteurs, celle de Robert le retraité baroudeur et celle du couple en bateau. Les dessins sont de qualité et les auteurs quelques photos à leurs dessins pour nous permettre de voir les magnifiques paysages ou temples. Le rythme de cet album est prenant et l'on souhaite connaitre la destinée du couple en bateau mais également de la famille avec leur rencontre durant leur voyage. Vent debout est un récit fort, intense et émouvant.
  25. alx23

    Vent debout

    Titre de l'album : Vent debout Scenariste de l'album : Nicole Augereau & Grégory Jarry Dessinateur de l'album : Lucie Castel Coloriste : Guillaume Heurtault & Léo Louis-Honoré Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Comment donner du sens au voyage aujourd'hui ? Le monde est-il encore un espace de découvertes et d'émerveillement ? Ce livre, basé sur des histoires vraies, montre au travers de trois récits entremêlés qu'il est toujours possible de vivre libre, contre vents et marées. Critique : Nicole Augereau et Grégory Jarry sont des auteurs de bande dessinée qui voyagent autour du monde en compagnie de leurs enfants avec les moyens du bord. Lors d'un voyage en Indonésie, la petite famille rencontre Robert, un homme âgé qui voyage durant la moitié de l'année en Asie. Ils sympathisent et ce dernier leur raconte quelques anecdotes de voyage dont celle d'un couple qui souhaitait vivre sur un petit bateau, à la destinée tragique. C'est en partant de ces petites histoires que le couple d'auteurs a réalisé cette bande dessinée, vent debout et le nom du bateau du couple qui comptait faire le tour du monde. Ce titre permet de suivre trois histoires en parallèle, celle de la famille d'auteurs, celle de Robert le retraité baroudeur et celle du couple en bateau. Les dessins sont de qualité et les auteurs quelques photos à leurs dessins pour nous permettre de voir les magnifiques paysages ou temples. Le rythme de cet album est prenant et l'on souhaite connaitre la destinée du couple en bateau mais également de la famille avec leur rencontre durant leur voyage. Vent debout est un récit fort, intense et émouvant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vent-debout-231764?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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