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  1. Titre de l'album : Cadres noirs - Tome 1 - Avant Scenariste de l'album : Pascal Bertho Dessinateur de l'album : Giuseppe Liotti Coloriste : Gaetan Georges Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Alain Delambre est un cadre de cinquante-sept ans anéanti par quatre années de chômage sans espoir. Ancien DRH, il accepte des petits jobs démoralisants. Aussi quand un employeur, divine surprise, accepte enfin d'étudier sa candidature, Alain Delambre est prêt à tout, à emprunter de l'argent, à se disqualifier aux yeux de sa femme, de ses filles et même à participer à l'ultime épreuve de recrutement : un jeu de rôle sous la forme d'une prise d'otages. Critique : Vous commencez à me connaître pour certains d'entre vous, je ne suis pas un dingue de polars. Il faut reconnaitre cependant que les adaptations des romans de Pierre Lemaitre chez Rue de Sèvres me plaisent bien. On retrouve sur ce tome Pascal Bertho qui avait déjà adapté la Brigade Verhoeven avec succès et Giuseppe Liotti dont on a connu le dessin avec la série Compte à rebours également chez Rue de Sèvres. Ce sont donc deux auteurs ayant déjà fait leurs preuve mais dont c'est la première collaboration qui nous offre ce premier tome d'une trilogie consacrée au monde de l'entreprise. Le scénario est forcément riche pour la BD comme c'est souvent le cas pour les adaptations de romans polar, mais le choix de se diriger vers une trilogie me semble bon, permettant je trouve une bonne montée en puissance tout au long de ce premier tome. Ma plus grande surprise fut le dessin plus qu'agréable de Giuseppe Liotti, et si sur Compte à rebours je n'avais pas été particulièrement marqué, il faut bien reconnaitre qu'ici son traitement des personnages, de leurs visages et de leurs personnalité convient à merveille pour ce type de polar se déroulant dans le monde sans pitié de l'entreprise. Il donne de l'âme et de la consistance à ses personnages, et ça j'adore. Cadres Noirs est pour le moment un excellent polar servi par un excellent dessin dont j'ai hâte de lire la suite, et qui se déroule dans un univers connu et familier de beaucoup : le monde des grandes entreprises actuelle. Je ne peux que vous le recommander chaudement ! Autres infos : Adaptation d'un roman de Pierre Lemaitre Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cadres-noirs-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    Unfollow

    Unfolllow est un roman graphique sur les thématiques très actuelle de l'écologie et des réseaux sociaux. L'histoire de Lukas Jüliger nous permet de suivre la naissance d'un enfant de l'âge de la Terre, il ressent les émotions de la planète et sera dès son plus âge rejeté des hommes. L'enfant décide de vivre dans un parc national, tout en partageant ses expériences d'autosuffisance pour vivre en harmonie avec la nature. Il partage tous les jours des vidéos avec son concept et très rapidement des jeunes du monde entier le suivent pour apprendre. Cet enfant d'abord rejeté devient une sorte de prophète de l'écologie. L'auteur garde en suspend la solution qui n'existe pas aujourd’hui et propose sa vision pour combattre la crise climatique. Les planches sont constituées d'une ou de quatre cases horizontales maximum avec des textes entre chaque case. Les couleurs varient du bleuté pour les passages de la nuit et des couleurs orangés pour le jour. L'utilisation des réseaux sociaux peut pousser à des dérives néfastes et comment combattre les problématiques du climat sans perdre son humanité sont les grandes questions de ce roman graphique original.
  3. alx23

    Unfollow

    Titre de l'album : Unfollow Scenariste de l'album : Lukas Jüliger Dessinateur de l'album : Lukas Jüliger Coloriste : Lukas Jüliger Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Le mystérieux Earthboi serait aussi âgé que la planète Terre. Il connaît la nature et ses êtres sous toutes leurs facettes. Ainsi, lorsqu'il constate, avec horreur, les effets dévastateurs de l'être humain sur eux, il décide de réagir. Grâce aux réseaux sociaux, @realearthboi partage sa vision à des followers de plus en plus nombreux et développe une application qui va insuffler une prise de conscience écologique chez ses utilisateurs. A une époque où la plupart des gens voudraient sauver le monde, mais où personne ne sait par où commencer, Earthboi apparaît comme leur sauveur. Mais l'influenceur va lui-même être confronté à un dilemme : l'humanité et la survie de la planète sont-elles compatibles ? Critique : Unfolllow est un roman graphique sur les thématiques très actuelle de l'écologie et des réseaux sociaux. L'histoire de Lukas Jüliger nous permet de suivre la naissance d'un enfant de l'âge de la Terre, il ressent les émotions de la planète et sera dès son plus âge rejeté des hommes. L'enfant décide de vivre dans un parc national, tout en partageant ses expériences d'autosuffisance pour vivre en harmonie avec la nature. Il partage tous les jours des vidéos avec son concept et très rapidement des jeunes du monde entier le suivent pour apprendre. Cet enfant d'abord rejeté devient une sorte de prophète de l'écologie. L'auteur garde en suspend la solution qui n'existe pas aujourd’hui et propose sa vision pour combattre la crise climatique. Les planches sont constituées d'une ou de quatre cases horizontales maximum avec des textes entre chaque case. Les couleurs varient du bleuté pour les passages de la nuit et des couleurs orangés pour le jour. L'utilisation des réseaux sociaux peut pousser à des dérives néfastes et comment combattre les problématiques du climat sans perdre son humanité sont les grandes questions de ce roman graphique original. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/unfollow?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Le codex de theo t1

    Boy power ! Et ouaip. Si Cerise a ses carnets, il n'y a pas de raison qu'un garçon ne puisse pas avoir son Codex ! C'est un peu le leitmotiv de cette BD : Reprendre le concept des carnets de cerises mais le mettre à la sauce garçon de collège au caractère fort qui le pousse à faire le malin ce qui l'envoie dans une aventure pas piqué des vers. Si le concept est maintenant devenu assez classique, il est vraiment bien transposé à un garçon. Entre réflexion de super héros et récit de bêtises à faire, ce codex est aussi rigolo que celui de Cerise était réfléchit. Concernant l'histoire elle-même, on est dans une histoire pour enfant assez standard. Une enquête légèrement tendue mais jamais trop ou le bien et les bons sentiments finissent par vaincre. Une bonne lecture jeunesse.
  5. Titre de l'album : Le codex de theo t1 Scenariste de l'album : Romain Pujol Dessinateur de l'album : Gyom Coloriste : BenBK Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : C'est la rentrée au collège Saint-Roch. Pour Théo, tout roule comme sur une planche de skate, et il compte bien passer une année au top avec ses amis Paul et Lucie. Mais Paul devient le souffre-douleur de Jack, le prof sadique de SVT, et les élèves en profitent pour le harceler. Encore pire, le trio découvre qu'une mystérieuse confrérie oeuvre pour le mal dans les sous-sols de l'école, construite dans un ancien monastère, et le père de Théo pourrait être impliqué. Mais même pas peur pour Théo, qui vous révèle tous ses secrets avec son journal très singulier. Critique : Boy power ! Et ouaip. Si Cerise a ses carnets, il n'y a pas de raison qu'un garçon ne puisse pas avoir son Codex ! C'est un peu le leitmotiv de cette BD : Reprendre le concept des carnets de cerises mais le mettre à la sauce garçon de collège au caractère fort qui le pousse à faire le malin ce qui l'envoie dans une aventure pas piqué des vers. Si le concept est maintenant devenu assez classique, il est vraiment bien transposé à un garçon. Entre réflexion de super héros et récit de bêtises à faire, ce codex est aussi rigolo que celui de Cerise était réfléchit. Concernant l'histoire elle-même, on est dans une histoire pour enfant assez standard. Une enquête légèrement tendue mais jamais trop ou le bien et les bons sentiments finissent par vaincre. Une bonne lecture jeunesse. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-codex-de-theo-tome-1-jack-le-harceleur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Avec le regain de la BD jeunesse, le leader Dupuis commence à avoir de sérieux concurrent que ce soit chez Glenat ou chez Bamboo. Et bien c'est avec des titres comme celui-ci que les éditions Dupuis se défendent le mieux : un vrai titre sérieux pour jeunes et adolescents. Non pas que les autres ne soient pas sérieux. Loin de moi cette idée. Non juste que l'on sent l'exigence de cohérence et de niveau, que ce soit graphique ou en termes d'histoire) et cela sur une histoire en plusieurs tomes et non dans le facile enchainement de one shot. Mort et Déterré en est le sublime exemple. Là où l'on s’attendait à avoir des blagues sur les zombies, on se retrouver avec un récit touchant, un questionnement sur l'impact d'une disparition tragique sur une famille mais aussi sur l'amour qui peut débarquer a n'importe quel moment de la vie.... Enfin de la mort. Et ce que l'on serait prêt à faire par amour. Ce tome trois est un excellent mélange de tout ce qui définit la bonne BD pour jeunes : Des scènes parfois cocasses, des blagues à double niveau qui raviront les parents, des bons sentiments et un récit réaliste sur les rapports humains (qu'ils soient vivants ou non.) Une très bonne fin de trilogie (avec une dernière page d'anthologie) qui devrait être suivie, pour notre plus grand bonheur, par un deuxième cycle !
  7. Titre de l'album : Mort et déterré tome 3 - Les derniers jours d'un zombie Scenariste de l'album : Jocelyn Boisvert Dessinateur de l'album : Pascal Colpron Coloriste : Pascal Colpron Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Yan Faucher, 13 ans, est un ado qui se fait accidentellement poignarder par un dealer. Un an après son inhumation, il se réveille et arrive à quitter son cercueil. Il décide de mener une double quête : retrouver son assassin et reconstruire sa famille en pleine décomposition depuis son décès. Avec l'aide de son pote Nico, un fan d'histoires de zombies, et d'Alice, une amie spécialiste en maquillage secrètement éprise de lui, Yan va mener l'enquête et retrouver sa famille. Mais Yan a peu de temps pour arranger ses histoires de famille car son assassin a tué Alice, et Yan n'a plus qu'une obsession : ramener son amoureuse à la vie ! Mort et déterré est une série haletante avec, pour la première fois, une histoire de zombie du point de vue du mort-vivant. Critique : Avec le regain de la BD jeunesse, le leader Dupuis commence à avoir de sérieux concurrent que ce soit chez Glenat ou chez Bamboo. Et bien c'est avec des titres comme celui-ci que les éditions Dupuis se défendent le mieux : un vrai titre sérieux pour jeunes et adolescents. Non pas que les autres ne soient pas sérieux. Loin de moi cette idée. Non juste que l'on sent l'exigence de cohérence et de niveau, que ce soit graphique ou en termes d'histoire) et cela sur une histoire en plusieurs tomes et non dans le facile enchainement de one shot. Mort et Déterré en est le sublime exemple. Là où l'on s’attendait à avoir des blagues sur les zombies, on se retrouver avec un récit touchant, un questionnement sur l'impact d'une disparition tragique sur une famille mais aussi sur l'amour qui peut débarquer a n'importe quel moment de la vie.... Enfin de la mort. Et ce que l'on serait prêt à faire par amour. Ce tome trois est un excellent mélange de tout ce qui définit la bonne BD pour jeunes : Des scènes parfois cocasses, des blagues à double niveau qui raviront les parents, des bons sentiments et un récit réaliste sur les rapports humains (qu'ils soient vivants ou non.) Une très bonne fin de trilogie (avec une dernière page d'anthologie) qui devrait être suivie, pour notre plus grand bonheur, par un deuxième cycle ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mort-et-deterre-tome-3-les-derniers-jours-d-un-zombie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. La série West Legends continue avec ce tome 6 consacré à une aventure de Butch Cassidy. Ici on sent bien la patte de Bec puisque cette aventure va comporter quelques traces de fantastique et d'horreur tout en restant dans le genre du Western. On se rapproche très fortement de Western du type Bone Tomahawk au niveau du scénario ce qui n'est pas si surprenant au final pour Bec. Côté Dessin on est dans la veine des autres épisodes, c'est à dire pas forcément le haut du panier du genre, mais des BD calibrées, propres, aux scènes bien rendues et assez compréhensibles avec cependant peut être quelques soucis pour la différenciation des personnages sur certaines cases. J'ai trouvé les personnages un peu fades d'une manière générale que ce soit côté scénario que côté dessin, on les sent plus spectateurs de l'intrigue finalement que vraiment acteur. Ce tome 6 surprendra un peu les habitués de West Legends avec une aventure finalement peu liée au personnage principal pour une fois, mais le cocktail suspens/western est assez bien dosé, avec les passages horrifiques assez glaçants. S'il vous a plu, foncez voir Bone Tomahawk en film, c'est fait pour vous.
  9. Titre de l'album : West Legends - Tome 6 - Butch Cassidy & The Wild Bunch Scenariste de l'album : Bec Dessinateur de l'album : Suro Coloriste : Hamilton Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le Wild Bunch de Cassidy terrorise la région depuis trop longtemps. Un avis de recherche avec une forte récompense de 3 500 $ a été posé sur la tête du malfrat, mort ou vif, ce qui attire bon nombre de chasseurs de primes. Ce soir-là dans un relais, deux d'entre eux semblent être tombés sur une partie de la bande. Cassidy vit-il ses dernières heures ? Critique : La série West Legends continue avec ce tome 6 consacré à une aventure de Butch Cassidy. Ici on sent bien la patte de Bec puisque cette aventure va comporter quelques traces de fantastique et d'horreur tout en restant dans le genre du Western. On se rapproche très fortement de Western du type Bone Tomahawk au niveau du scénario ce qui n'est pas si surprenant au final pour Bec. Côté Dessin on est dans la veine des autres épisodes, c'est à dire pas forcément le haut du panier du genre, mais des BD calibrées, propres, aux scènes bien rendues et assez compréhensibles avec cependant peut être quelques soucis pour la différenciation des personnages sur certaines cases. J'ai trouvé les personnages un peu fades d'une manière générale que ce soit côté scénario que côté dessin, on les sent plus spectateurs de l'intrigue finalement que vraiment acteur. Ce tome 6 surprendra un peu les habitués de West Legends avec une aventure finalement peu liée au personnage principal pour une fois, mais le cocktail suspens/western est assez bien dosé, avec les passages horrifiques assez glaçants. S'il vous a plu, foncez voir Bone Tomahawk en film, c'est fait pour vous. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/west-legends-tome-6-butch-cassidy-the-wild-bunch?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Semences

    Prenez un bon épisode d'X-Files, mettez y Marazano aux manettes et vous aurez Semences : Une fable d'anticipation sur fond de fin du monde et d'extra terrestre dont le but véritable échappera au commun des mortels. C'est marrant car jusqu'a la dernière page, et l'apparition de "GB" je pensais avoir saisi l'essentiel. Mais une fois cette page apparue j'ai fait plein de retour en arrière pour essayer, comme dans un certain nombre de Marazano, de vraiment comprendre le fin mot de l'histoire. Et je ne suis pas sur d'avoir réussi. Ce qui est réussi dans cet album, c'est l'apsect graphique et l'ambiance qui decoule de cette fin du monde programmée. L'ambiance est lourde et les personnnages ne se font plus d'illusion. Le monde et les habitants ont passé le stade de la déprime. Et cela on le ressent bien tout comme le besoin de sensation et le besoin de quelque chose de nouveau et de dynamisant comme croire en l'existence des extraterrestres. C'est donc vraiment dommage que le scénario soit si "ouvert". On laisse tellement de possibilités différentes au lecteur qu'il finit par ne plus savoir laquelle suivre. Et ca gache un peu le plaisir car nous laisse frustré. Dommage.
  11. poseidon2

    Semences

    Titre de l'album : Semences Scenariste de l'album : Ann Nocenti Dessinateur de l'album : David Aja Coloriste : David Aja Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : La Zone est un refuge, à l'abri des drones et de toute technologie, où les gens ont adopté un autre mode de vie, plus sauvage et plus libre. Astra est une journaliste qui se bat pour sa passion et son intégrité professionnelle dans un univers où les fake news deviennent la norme. Lorsqu'elle se rend dans la Zone, elle découvre la liaison interdite entre la téméraire et empathique Lola qui s'est éprise de Race, un extraterrestre doué de sensibilité. Alors que les extraterrestres s'apprêtent à partir, le compte à rebours est lancé pour Astra et pour la planète. Car les extraterrestres sont dangereux... mais le sont-ils plus que les humains ? Alors que la Zone s'érode, alors que croît la panique de Race et Lola, Astra doit prendre une décision susceptible de changer la perspective du monde. Un récit ciselé à la fin surprenante dans un monde de science-fiction en décomposition, mais étrangement proche du nôtre. Au croisement du thriller technologique d'éco-fiction et de l'histoire d'amour : un groupe de rebelles qui fuit une société obsédée par la technologie, quelques extraterrestres venus récolter les dernières graines de l'humanité, le tout bouleversé par une liaison interdite... Critique : Prenez un bon épisode d'X-Files, mettez y Marazano aux manettes et vous aurez Semences : Une fable d'anticipation sur fond de fin du monde et d'extra terrestre dont le but véritable échappera au commun des mortels. C'est marrant car jusqu'a la dernière page, et l'apparition de "GB" je pensais avoir saisi l'essentiel. Mais une fois cette page apparue j'ai fait plein de retour en arrière pour essayer, comme dans un certain nombre de Marazano, de vraiment comprendre le fin mot de l'histoire. Et je ne suis pas sur d'avoir réussi. Ce qui est réussi dans cet album, c'est l'apsect graphique et l'ambiance qui decoule de cette fin du monde programmée. L'ambiance est lourde et les personnnages ne se font plus d'illusion. Le monde et les habitants ont passé le stade de la déprime. Et cela on le ressent bien tout comme le besoin de sensation et le besoin de quelque chose de nouveau et de dynamisant comme croire en l'existence des extraterrestres. C'est donc vraiment dommage que le scénario soit si "ouvert". On laisse tellement de possibilités différentes au lecteur qu'il finit par ne plus savoir laquelle suivre. Et ca gache un peu le plaisir car nous laisse frustré. Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/semences?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Le lion de Judah Livre 3

    Suite et fin de la trilogie mystique de Desberg et Labiano. Fin completement à l'image de la série : énigmatique. Si Desberg reussit à répondre aux questions évidentes dans ce tome trois sur les "pouvoirs", le sorcier ou l'histoire de Naisha, le reste de l'album reste quand meme très mysterieux. En effet notre "héros"est porté par les événements et ne contrôle rien du tout. Il suit. Et cette absence de contrôle nous empêche de bien aller au fond des choses. On se retrouve donc avec un troisième tome avec un coté road movie intéressant mais qui n'a pas le temps de nous offrir une vraie fin d'histoire. On a plutot l'impression que c'est la fin de l'introduction sur la vie à venir de Wallace. Vie sans aucun but ni objectif. Bref un épilogue très énigmatique mais qui m'a laissé sur ma faim. Bien dommage au vu de la qualité graphique des dessins de Labiano et des perspectives que nous offrait le tome précédent.
  13. Titre de l'album : Le lion de Judah Livre 3 Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Hugues Labiano Coloriste : Hugues Labiano Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : lors que l'origine des mystérieux liens entre Naïsha et Wallace est révélée, ce dernier découvre le tombeau de l'apôtre Mathias dans la région du Rift. Acculé par le gouvernement et par Naïsha, et loin d'avoir trouvé le trésor espéré, Wallace met néanmoins la main sur la bague du lion de Judah, un artefact aux pouvoirs insoupçonnés... Pendant ce temps, le maître sorcier, qui semble posséder l'esprit de Naïsha, est bien décidé à se débarrasser d'elle et de Wallace dont le destin semble lié. Critique : Suite et fin de la trilogie mystique de Desberg et Labiano. Fin completement à l'image de la série : énigmatique. Si Desberg reussit à répondre aux questions évidentes dans ce tome trois sur les "pouvoirs", le sorcier ou l'histoire de Naisha, le reste de l'album reste quand meme très mysterieux. En effet notre "héros"est porté par les événements et ne contrôle rien du tout. Il suit. Et cette absence de contrôle nous empêche de bien aller au fond des choses. On se retrouve donc avec un troisième tome avec un coté road movie intéressant mais qui n'a pas le temps de nous offrir une vraie fin d'histoire. On a plutot l'impression que c'est la fin de l'introduction sur la vie à venir de Wallace. Vie sans aucun but ni objectif. Bref un épilogue très énigmatique mais qui m'a laissé sur ma faim. Bien dommage au vu de la qualité graphique des dessins de Labiano et des perspectives que nous offrait le tome précédent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-lion-de-judah-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Filles uniques t2 : Celeste Scenariste de l'album : Beka Dessinateur de l'album : Camille Méhu Coloriste : Camille Méhu Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Céleste se sent comme une tache qu'on souhaite effacer. Nulle, insignifiante, indigne de toute amitié. Chaque jour, elle se replie un peu plus sur elle-même et tente de se faire oublier. D'ailleurs, elle en est intimement persuadée, si elle ne faisait plus partie du Club des mal-barrées, les autres filles ne remarqueraient même pas son absence. C'est qu'elle a l'habitude de se fondre dans le décor pour éviter qu'on la rejette, qu'on la fuie et, par-dessus tout, qu'on se moque d'elle. Depuis quelques temps, Céleste reçoit des sms qui la dévorent. Des centaines de sms insidieux venant de trois numéros différents. Céleste est harcelée. Elle ne voit plus d'autre solution que de se résoudre à en parler à ses amies. Contrairement à ce qu'elle pensait, la réaction est immédiate dans le Club des mal-barrées. Quel que soit le moyen, Apolline, Chélonia, Sierra et Paloma sont bien décidées à démasquer les harceleurs. Mais le mal qui ronge Céleste est bien plus important qu'il n'y parait et les membres du Club ne sont pas au bout de leurs surprises. Critique : Je pensais l'histoire de Paloma compliquée. Et je pensais que Céleste, au vu de ce que l'on nous en a montré dans le premier volume, était juste une fille réservée. Et bien en termes de problème je pense que ceux de Céleste valent largement ceux de Paloma. Maintenant que Beka a installé son groupe de fille, ce tome n'a même plus besoin de présenter les personnages et consacre donc l'entièreté de son histoire à Céleste, et ce n'est pas de trop. En effet le cas de Céleste est moins facile à expliquer que celui de Paloma. Car Céleste cherche justement à ce que personne ne s'intéresse à elle. C'est encore plus dur à montrer en BD. Montrer une fille en colère contre tout c'est "facile. Montrer une fille qui ne veut pas qu'on la voit, c'est différent. Et Beka et Camille Méhu réussissent avec brio ce challenge. On ressent profondément le mal-être de Céleste. Au travers d'un très beau jeu graphique qui enchaine les scènes ou le décor disparait en fondu pour laisser Céleste seule, on s'approprie son envie de rester seule et loin de tout. Cela rend le personnage super attachant. L'autre bon point de ce deuxième tome c'est qu'il n'oublie pas le premier. Outre l'histoire principale sur Céleste, on a aussi le droit à la suite de l'histoire de Paloma. La conclusion je devrais dire. Un super tome pour une super série sur des enfants malheureusement trop réalistes pour se dire que des cas comme ça n''existent pas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/filles-uniques-tome-2-celeste?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Filles uniques t2 : Celeste

    Je pensais l'histoire de Paloma compliquée. Et je pensais que Céleste, au vu de ce que l'on nous en a montré dans le premier volume, était juste une fille réservée. Et bien en termes de problème je pense que ceux de Céleste valent largement ceux de Paloma. Maintenant que Beka a installé son groupe de fille, ce tome n'a même plus besoin de présenter les personnages et consacre donc l'entièreté de son histoire à Céleste, et ce n'est pas de trop. En effet le cas de Céleste est moins facile à expliquer que celui de Paloma. Car Céleste cherche justement à ce que personne ne s'intéresse à elle. C'est encore plus dur à montrer en BD. Montrer une fille en colère contre tout c'est "facile. Montrer une fille qui ne veut pas qu'on la voit, c'est différent. Et Beka et Camille Méhu réussissent avec brio ce challenge. On ressent profondément le mal-être de Céleste. Au travers d'un très beau jeu graphique qui enchaine les scènes ou le décor disparait en fondu pour laisser Céleste seule, on s'approprie son envie de rester seule et loin de tout. Cela rend le personnage super attachant. L'autre bon point de ce deuxième tome c'est qu'il n'oublie pas le premier. Outre l'histoire principale sur Céleste, on a aussi le droit à la suite de l'histoire de Paloma. La conclusion je devrais dire. Un super tome pour une super série sur des enfants malheureusement trop réalistes pour se dire que des cas comme ça n''existent pas.
  16. Titre de l'album : Shi t5 Black Friday Scenariste de l'album : Zidrou Dessinateur de l'album : Homs Coloriste : Homs Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après les récents événements survenus à Londres, Jay et Kita sont, plus que jamais, considérées comme des terroristes par la bourgeoisie bien-pensante. Toutefois, grâce aux "Angry Mothers", un groupuscule de mères activistes fondé par les deux jeunes femmes, leur lutte s'est répandue comme une trainée de poudre. Si bien que la marque SHI n'a jamais été aussi visible dans tout Londres, servant aussi bien les droits des femmes que ceux des enfants. Sur la tombe de Jay, Apolline commence à prendre conscience de la vie que sa mère biologique menait jusqu'alors. Une vie de luttes et de combats, au service d'une cause. Mais Apolline a-t-elle les épaules assez solides pour porter le poids de son héritage ? Est-elle prête à prendre le relais de cette génitrice défunte dont elle ne connait rien, sinon les rumeurs populaires et les avis de recherche contre rançon ? Zidrou nous emmène, entre le Japon et l'Angleterre, dans un deuxième cycle explosif de SHI magnifié, comme à l'accoutumée, par la maestria graphique de Homs. Critique : Le retour des mères en colères dans une deuxième cycle qui s'annonce encore plu explosif que le premier. Déjà ce deuxième cycle est annoncé en 2 tomes et non 4 comme le premier. Ensuite avec un premier tome de cette densité et de cette intensité, on ne pourra qu'avoir un diptyque de folie. Car ce tome 5 est tout simplement à couper e souffle. Graphiquement j'avais presque oublié que Homs était aussi bon. Graphiquement c'est sublime ! Que ce soit les décors, les personnages ou les scènes d'action, c'est magnifique. Mention particulière à la scène ou Jay est prostrée et ou son démon "sort" pour la protéger. Sublime. Coté scénario Zidrou n'est pas en reste ! Tout en restant dans la continuité du premier cycle, on enclenche la seconde avec une histoire qui s'emballe et qui maintient le lecteur dans une frénésie de lecture jusqu'à la fin. Une fin ou l'on reprend calmement l'album pour regarder les dessins qu'on a que trop survolé lors de notre première lecture. Et encore je suis sûr à 100% que cette histoire serait encore meilleure (si c'est possible) en relisant le premier cycle. J'en viens à espérer que le prochain album ne soit pas le dernier de la série. C’est assez rare pour être souligné ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shi-tome-5-black-friday?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Shi t5 Black Friday

    Le retour des mères en colères dans une deuxième cycle qui s'annonce encore plu explosif que le premier. Déjà ce deuxième cycle est annoncé en 2 tomes et non 4 comme le premier. Ensuite avec un premier tome de cette densité et de cette intensité, on ne pourra qu'avoir un diptyque de folie. Car ce tome 5 est tout simplement à couper e souffle. Graphiquement j'avais presque oublié que Homs était aussi bon. Graphiquement c'est sublime ! Que ce soit les décors, les personnages ou les scènes d'action, c'est magnifique. Mention particulière à la scène ou Jay est prostrée et ou son démon "sort" pour la protéger. Sublime. Coté scénario Zidrou n'est pas en reste ! Tout en restant dans la continuité du premier cycle, on enclenche la seconde avec une histoire qui s'emballe et qui maintient le lecteur dans une frénésie de lecture jusqu'à la fin. Une fin ou l'on reprend calmement l'album pour regarder les dessins qu'on a que trop survolé lors de notre première lecture. Et encore je suis sûr à 100% que cette histoire serait encore meilleure (si c'est possible) en relisant le premier cycle. J'en viens à espérer que le prochain album ne soit pas le dernier de la série. C’est assez rare pour être souligné !
  18. poseidon2

    La mer verticale

    Comment vivre avec une maladie de longue durée ? Ne vous trompez pas je parle de vivre vraiment et ne pas survivre. C'est toute la problématique posée dans cette "mer verticale". Comment réussir à faire son travail, à continuer à avoir une vie de couple, quand on a des crises d'angoisses ? Comment encaisser les regards des autres et surtout des parents qui vous prennes pour une folle et ont peur pour leurs enfants ? Ce sont tous ces sujets que traite Brian Freschi dans ce très beau roman graphique. Des sujets difficiles mais bien présenté car porté par une héroïne qui choisit de ne pas se laisser abattre. Une héroïne (car c'est bien le terme adéquat) soutenue par des gens pas plus fort que vous et moi. Justes ouverts. Ce qui est bien traité dans ce roman graphique c'est que, mise à part quelques personnes, nos auteurs ne diabolisent pas non plus les parents qui ont pour reflexe de vouloir une maitresse normale pour leurs enfants. La réaction des enfants est sublime et la fin très touchante. Un beau livre sur un vraie problème de société.
  19. Titre de l'album : La mer verticale Scenariste de l'album : Brian Freschi Dessinateur de l'album : Ilaria Urbinati Coloriste : Ilaria Urbinati Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : India est sujette à des crises de panique. L'air lui manque soudain au point de la faire suffoquer. Pourtant, elle a tout pour être heureuse : un compagnon, qui l'aime - Pier - et un métier qu'elle adore - institutrice. Mais quand une de ces attaques la surprend en pleine classe, les parents mettent la pression sur la direction pour qu'elle soit licenciée. Quant à Pier, il est perdu. Peu à peu, elle prend conscience que chercher à vaincre son « ennemi » est vain. Et qu'il vaut mieux tenter de l'apprivoiser. En parallèle à la thérapie qu'elle entame dès le premier chapitre, elle a recours à l'écriture et fait appel à son imagination. Une belle histoire de résilience intime délicatement mise en scène par un dessin hyper sensible et une palette de couleurs tout en nuances et en fragilité. Le noir, magnifique et inquiétant, illustre les états dans lesquels est plongé le personnage et les contes qu'elle raconte à ses élèves. Critique : Comment vivre avec une maladie de longue durée ? Ne vous trompez pas je parle de vivre vraiment et ne pas survivre. C'est toute la problématique posée dans cette "mer verticale". Comment réussir à faire son travail, à continuer à avoir une vie de couple, quand on a des crises d'angoisses ? Comment encaisser les regards des autres et surtout des parents qui vous prennes pour une folle et ont peur pour leurs enfants ? Ce sont tous ces sujets que traite Brian Freschi dans ce très beau roman graphique. Des sujets difficiles mais bien présenté car porté par une héroïne qui choisit de ne pas se laisser abattre. Une héroïne (car c'est bien le terme adéquat) soutenue par des gens pas plus fort que vous et moi. Justes ouverts. Ce qui est bien traité dans ce roman graphique c'est que, mise à part quelques personnes, nos auteurs ne diabolisent pas non plus les parents qui ont pour reflexe de vouloir une maitresse normale pour leurs enfants. La réaction des enfants est sublime et la fin très touchante. Un beau livre sur un vraie problème de société. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-mer-verticale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. alx23

    Volage : Chronique des enfers

    Stephen Desberg nous emmène dans une visite des enfers avec Volage. Le héros est un homme qui arrive en enfers dès la première page pour être affecté dans les profondeurs afin d'y creuser des marches d'escaliers pour les futurs arrivant. On apprend que les personnes aux crimes les plus atroces débarquent dans cette partie. Ces compagnons d'infortunes sont un ancien nazi, une pirate et quelques beaux exemples de personnages cruels. Très vite le héros espère pouvoir s'échapper des enfers avec huit autres morts. Stephen Desberg nous décrit cet univers macabre et terrible où les hommes purgent leurs fautes dans la souffrance. On rencontrera plusieurs personnages emblématiques et gardiens des enfers comme L'équarisseur ou Torquemada et bien d'autres encore. De plus comment faire confiance à des personnes en enfers même dans un but commun. Les dessins de Tony Sandoval sont magnifiques pour représenter ce monde infernal. Dès l'introduction, le héros est éjecté ou renaît par le biais d'un passage organique. Toutes les créatures rencontrées nous rappellent le lieu où se déroule l'histoire ! Volage est un excellent récit complet dans ce format d'album double par sa pagination et dans un format classique. Volage est le personnage de la belle femme-oiseau que l'on retrouve sur la couverture mais aussi un ange déchu.
  21. Titre de l'album : Volage : Chronique des enfers Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Tony Sandoval Coloriste : Tony Sandoval Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Un homme se réveille dans un étrange paysage. Il est sous terre et les lumières sombres, rougeâtres, ne lui laissent pas de doute sur l'endroit où il est. Cet homme s'appelle Ian McGilles et il s'est réveillé en Enfer. ?Qu'a-t-il fait pour mériter cela ? McGilles partage sa prison avec plusieurs autres captifs, habitués du lieu, qui ne tardent pas a se présenter. Des criminels de guerre, des personnages historiques et des serial-killers qui ont cent fois mérité leur place en ce lieu. Cette inquiétante assemblée lui fait part d'un projet auquel ils veulent l'associer : il s'agit ni plus ni moins que de s'évader de l'Enfer. Les fugitifs sont Fegelein, un criminel de guerre nazi, Gesualdo, prince compositeur et meurtrier, Locuste, l'empoisonneuse de la Rome antique, Anne Bonny, la pirate sans merci ou encore Jack l'éventreur, autrefois habitué à d'autres bas-fonds. Quittant les profondeurs et les labyrinthes encerclés de lave, McGilles et ses compagnons gagnent la surface et sont pris en chasse par le gardien des Enfers, celui dont il est dangereux de seulement prononcer le nom : L'Équarisseur et sa meute de chiens enragés. Pour lui échapper, ils rejoignent une caravane peuplée d'animaux fantastiques destinés à être sacrifiés. Dans une cage, une femme-oiseau retient l'attention de McGilles. Elle s'appelle Volage et elle est prête à l'aimer, même dans ce pays de ruines et de désolation. Elle est d'une beauté absolue, et cet ange déchu est probablement son dernier espoir. Critique : Stephen Desberg nous emmène dans une visite des enfers avec Volage. Le héros est un homme qui arrive en enfers dès la première page pour être affecté dans les profondeurs afin d'y creuser des marches d'escaliers pour les futurs arrivant. On apprend que les personnes aux crimes les plus atroces débarquent dans cette partie. Ces compagnons d'infortunes sont un ancien nazi, une pirate et quelques beaux exemples de personnages cruels. Très vite le héros espère pouvoir s'échapper des enfers avec huit autres morts. Stephen Desberg nous décrit cet univers macabre et terrible où les hommes purgent leurs fautes dans la souffrance. On rencontrera plusieurs personnages emblématiques et gardiens des enfers comme L'équarisseur ou Torquemada et bien d'autres encore. De plus comment faire confiance à des personnes en enfers même dans un but commun. Les dessins de Tony Sandoval sont magnifiques pour représenter ce monde infernal. Dès l'introduction, le héros est éjecté ou renaît par le biais d'un passage organique. Toutes les créatures rencontrées nous rappellent le lieu où se déroule l'histoire ! Volage est un excellent récit complet dans ce format d'album double par sa pagination et dans un format classique. Volage est le personnage de la belle femme-oiseau que l'on retrouve sur la couverture mais aussi un ange déchu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfer-227611?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Menji t1

    Menji est une nouvelle série jeunesse non pas chez Dupuis mais bien chez le grand frère Dargaud. Et c'est surement du au graphisme de l'album. Car si l'histoire d'aventure enfantine au parfum asiatique (inspiration Raya et le dernier dragon) auraient tout à fait eu leur place dans le catalogue de Dupuis, avec une histoire prenante mais pas trop compliqué et un héros un peu beta mais attachant, le graphisme est quant à lui complètement hors du cadre mainstream de Dupuis. En effet le graphisme minimaliste tire plus une inspiration du comics pour enfant et de série genre Gumball et autre cartoonnerie américaines. SI ce n'est pas dérangeant à la lecture, cela risque d'être un frein pour les achats "impulsifs" en magasin. Par exemple si ma fille de 7 ans l'a lu sans soucis, mes autres enfants n'ont pas voulu l'ouvrir "à cause des dessins". Et pour les adultes (moi en l'occurrence), c'est sympa mais un poil déjà vu. Je vous laisserais donc juger en magasin.
  23. poseidon2

    Menji t1

    Titre de l'album : Menji t1 Scenariste de l'album : Fabien Grolleau Dessinateur de l'album : Mathieu Demore Coloriste : Mathieu Demore Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le moment est venu de l'accomplissement de la légende : le retour du serpent-dragon est pour bientôt ! Renard, le maître du jeune chat Menji, serviteur un peu trouillard et peu dégourdi, est décidé à profiter des pouvoirs du serpent-dragon pour prendre le pouvoir sur l'archipel des Grouillants. Pour cela, il a besoin de l'aide de Menji, mais de dangereux concurrents ont bien l'intention d'arriver les premiers ! Critique : Menji est une nouvelle série jeunesse non pas chez Dupuis mais bien chez le grand frère Dargaud. Et c'est surement du au graphisme de l'album. Car si l'histoire d'aventure enfantine au parfum asiatique (inspiration Raya et le dernier dragon) auraient tout à fait eu leur place dans le catalogue de Dupuis, avec une histoire prenante mais pas trop compliqué et un héros un peu beta mais attachant, le graphisme est quant à lui complètement hors du cadre mainstream de Dupuis. En effet le graphisme minimaliste tire plus une inspiration du comics pour enfant et de série genre Gumball et autre cartoonnerie américaines. SI ce n'est pas dérangeant à la lecture, cela risque d'être un frein pour les achats "impulsifs" en magasin. Par exemple si ma fille de 7 ans l'a lu sans soucis, mes autres enfants n'ont pas voulu l'ouvrir "à cause des dessins". Et pour les adultes (moi en l'occurrence), c'est sympa mais un poil déjà vu. Je vous laisserais donc juger en magasin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/menji-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Ce conte d'heroic fantasy commence très bien une nouvelle série médiévale en compagnie d'un jeune enfant à la recherche de sa sœur. L'enfant rentre au service de son seigneur avec le but de devenir soldat pour partir combattre le clan des ours, qu'il soupçonne d'avoir kidnappé sa sœur. L'histoire de Cyrielle Blaire n'est pas forcément originale dans ce registre mais l'on se laisse prendre par le récit avec cet enfant particulier, aux rêves étranges et effrayants par leur réalisme. Maïlis Colombié réalise des planches de qualité pour dépeindre cet univers fantastique où des hommes ont la capacité à se transformer en ours par le biais de la magie du sang. Les couleurs sont réalisées par Maïlis Colombié et Drac. Ce tome se termine sur des recherches graphiques et esquisses de Colombié. Ce premier tome est une réussite, on prend plaisir à suivre l'évolution de cet enfant en jeune adulte et connaitre la vérité. La partie onirique apporte un intérêt et nous questionne sur l’avenir de ce héros sans peur. La suite nous révèlera le potentiel des songes du roi griffu.
  25. Titre de l'album : Les songes du roi griffu tome 1 - Le fils de l'hiver Scenariste de l'album : Cyrielle Blaire Dessinateur de l'album : Maïlis Colombié Coloriste : Maïlis Colombié & Drac Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un jour de solstice d'hiver, le jeune Owein et sa soeur Pellah surprennent dans les bois un ours solitaire. Sous leurs yeux émerveillés, la bête se métamorphose en homme et les deux enfants s'élancent sur sa piste. Cette traque les mène jusqu'au coeur de la montagne où ils assistent à un rituel interdit. Alors qu'ils fuient la scène, Pellah disparait dans la nuit... Critique : Ce conte d'heroic fantasy commence très bien une nouvelle série médiévale en compagnie d'un jeune enfant à la recherche de sa sœur. L'enfant rentre au service de son seigneur avec le but de devenir soldat pour partir combattre le clan des ours, qu'il soupçonne d'avoir kidnappé sa sœur. L'histoire de Cyrielle Blaire n'est pas forcément originale dans ce registre mais l'on se laisse prendre par le récit avec cet enfant particulier, aux rêves étranges et effrayants par leur réalisme. Maïlis Colombié réalise des planches de qualité pour dépeindre cet univers fantastique où des hommes ont la capacité à se transformer en ours par le biais de la magie du sang. Les couleurs sont réalisées par Maïlis Colombié et Drac. Ce tome se termine sur des recherches graphiques et esquisses de Colombié. Ce premier tome est une réussite, on prend plaisir à suivre l'évolution de cet enfant en jeune adulte et connaitre la vérité. La partie onirique apporte un intérêt et nous questionne sur l’avenir de ce héros sans peur. La suite nous révèlera le potentiel des songes du roi griffu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-songes-du-roi-griffu-tome-1-le-fils-de-l-hiver?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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