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  1. poseidon2

    Londonish

    Petite comédie chez Grand Angle avec un mix entre la mule de Eastwood, une comédie de pub à l'anglaise et hommage aux groupes de musiques anglais des années 70-80. Si le principe donne envie avec une couverture pleine de mystère, je pense que Philippe Charlot à voulut trop en mettre. En effet l'aspect "mule" du weekend est développé un peu tard et n'a pas l'impact que cela devrait avoir. En fait mon sentiment en terminant cette BD c'est que le sujet so british de l'éternel débat entre Beatles et Stones mélangé à l'histoire de couple aurait été largement suffisant. Je comprends l'envie d'ajouter le coté absurde des comédies britanniques vi cette histoire de mule mais je pense que l'histoire aurait été plus intéressante sans, le burlesque britannique étant déjà bien ancré via le pub et le conflit musical. Au final une histoire sympathique mais qui aurait pu être meilleure.
  2. poseidon2

    Londonish

    Titre de l'album : Londonish Scenariste de l'album : Philippe Charlot Dessinateur de l'album : Miras Coloriste : Miras Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Tout un chacun se pose des questions à l'heure de la retraite: que faire d'un cadavre? Faut-il continuer à haïr Yoko Ono? Peut-on s'improviser tueur à gages? Max et Glenn ont de petits secrets, comme celui d'aimer la même femme. Dans le mariage pour l'un et dans le secret pour l'autre. Le premier a sacrifié à Jude sa passion de jeunesse et le second lui doit une vie sentimentale toute en retenue. Ce qui unit toujours les trois amis ? Une admiration sans bornes pour les Beatles, qu'ils affirment au «Sous-marin jaune», pub de quartier, qu'ils maintiennent à flot, bon an mal an, car le naufrage n'est pas loin. Mais, alors que Glenn trempe dans des affaires louches, mais lucratives, Max découvre que Jude n'est pas heureuse avec lui. Et Glenn pourrait bien être le traitre de toute une vie. Critique : Petite comédie chez Grand Angle avec un mix entre la mule de Eastwood, une comédie de pub à l'anglaise et hommage aux groupes de musiques anglais des années 70-80. Si le principe donne envie avec une couverture pleine de mystère, je pense que Philippe Charlot à voulut trop en mettre. En effet l'aspect "mule" du weekend est développé un peu tard et n'a pas l'impact que cela devrait avoir. En fait mon sentiment en terminant cette BD c'est que le sujet so british de l'éternel débat entre Beatles et Stones mélangé à l'histoire de couple aurait été largement suffisant. Je comprends l'envie d'ajouter le coté absurde des comédies britanniques vi cette histoire de mule mais je pense que l'histoire aurait été plus intéressante sans, le burlesque britannique étant déjà bien ancré via le pub et le conflit musical. Au final une histoire sympathique mais qui aurait pu être meilleure. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/londonish?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    La part des flammes

    La part des flammes est l'adaptation en bande dessinée du roman bestseller de Gaëlle Nohant qui s'inspire de l'incendie du Bazar de la Charité le 4 mai 1897. La plupart des victimes de ce dramatique événement sont des femmes qui n'ont pas pu être évacué à temps. Le scénariste Didier Quella-Guyot se charge du scénario pour cette adaptation en restant proche l'œuvre original. L'histoire se focalise sur plusieurs personnages principalement féminins pour mettre en évidence la condition des femmes au XIX siècle à Paris. Une des deux femmes souhaite se faire apprécier par les personnes de la haute société française suite au décès de son mari. La seconde femme refuse et annule son mariage pour se consacrer à dieu. Ces prises de décisions donneront lieu à des problématiques de l'époque. En parallèle, le personnage masculin qui se détache et un jeune journaliste qui dénonce sans détours les personnes intouchables. Les dessins de Wyllow conviennent pour ce genre de récit, dans un style très classique et sans grande finition. Les amateurs de récit historique et de drame seront comblés par ce titre et les lecteurs du roman souhaiteront peut-être redécouvrir l'histoire dans ce média.
  4. alx23

    La part des flammes

    Titre de l'album : La part des flammes Scenariste de l'album : Didier Quella-Guyot Dessinateur de l'album : Wyllow Coloriste : Florent Daniel Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Le Bazar de la Charité est une vente de bienfaisance courue du Tout-Paris. Le 4 mai 1897 un effroyable incendie ravage le lieu et fait plus de 120 victimes. Parmi les participantes : la Duchesse d'Alençon, la jeune veuve à la réputation sulfureuse Violaine de Raenzel et la pieuse Constance d'Estingel. Trois femmes à la destinée liée par la tragédie du Bazar de la Charité. Mai 1897. Où se pressent donc la duchesse Sophie d'Alençon, la comtesse Violaine de Raezal et la délicieuse Constance d'Estingel ? Vers la rue Jean Goujon à Paris où a lieu tous les ans au Bazar de la charité la plus mondaine et la plus brillante des ventes de bienfaisance. Pour certaines, il s'agit d'un pas important vers la respectabilité, pour d'autres il faut y être vue tandis que quelques-unes espèrent y retrouver en secret un galant ...Mais un incendie terrible se déclare et en quelques minutes l'endroit se mue en un charnier. Très vite, la liste des portés disparus s'allonge. C'est toute la noblesse française qui pleure ses morts, ses blessés, ses défigurés à jamais. Constance qui vient de rompre avec son fiancé Lazlo par foi religieuse, est blessée et choquée. Elle sera internée de manière abusive dans la clinique du Docteur Brunet qui prétend soigner l'hystérie. Des rumeurs folles circulent dans Paris affolé : certains hommes ont-ils vraiment piétiné des femmes pour sortir de la fournaise ? Tandis que Lazlo, devenu journaliste au Figaro, cherche à laver son honneur, nos héroïnes, rebelles dans l'âme vont travailler à libérer Constance de sa prison. Extrait blog d'Ariane Bois. Critique : La part des flammes est l'adaptation en bande dessinée du roman bestseller de Gaëlle Nohant qui s'inspire de l'incendie du Bazar de la Charité le 4 mai 1897. La plupart des victimes de ce dramatique événement sont des femmes qui n'ont pas pu être évacué à temps. Le scénariste Didier Quella-Guyot se charge du scénario pour cette adaptation en restant proche l'œuvre original. L'histoire se focalise sur plusieurs personnages principalement féminins pour mettre en évidence la condition des femmes au XIX siècle à Paris. Une des deux femmes souhaite se faire apprécier par les personnes de la haute société française suite au décès de son mari. La seconde femme refuse et annule son mariage pour se consacrer à dieu. Ces prises de décisions donneront lieu à des problématiques de l'époque. En parallèle, le personnage masculin qui se détache et un jeune journaliste qui dénonce sans détours les personnes intouchables. Les dessins de Wyllow conviennent pour ce genre de récit, dans un style très classique et sans grande finition. Les amateurs de récit historique et de drame seront comblés par ce titre et les lecteurs du roman souhaiteront peut-être redécouvrir l'histoire dans ce média. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-part-des-flammes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. La disparition d'un proche est un moment tragique. Le vide qui suit est une épreuve dont certain ne se remettent jamais. Pour le héros de notre histoire, ce vide le ronge tellement qu'il a besoin de comprendre. Besoin de retracer les derniers instants de son frère. Et il nous invite à le suivre, sans fausse pudeur. Il nous présente son trouble, son sentiment de culpabilité et son envie de passer à autre chose sans se l'autoriser. Ce voyage est édifiant. Edifiant car on ne parle que peu de ce genre de drame. Les infos et les séries toujours plus violences banalise la mort et ne traite que peu de ceux qui restent. Ce one shit est super poignant et prenant. Tellement que l'on ne peut que regretter une fin un peu trop pudique justement. ON ne sait pas vraiment si notre narrateur réussi à tourner la page une fois au bout de son voyage. Et c'est un peu dommage car on ne peut s'empêcher de se demander si ce voyage à vraiment servit au final. Peut-être que l'auteur n'a lui-même pas la réponse. Mais pour le lecteur c'est un peu frustrant et gâche un peu un album pourtant super poignant.
  6. Titre de l'album : L'ombre qui marche à mes cotés Scenariste de l'album : Barroux Dessinateur de l'album : Barroux Coloriste : Barroux Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Pour beaucoup, voyager est bien souvent synonyme d'évasion. C'est une quête de dépaysement et surtout d'enrichissement personnel, une occasion unique de repousser ses limites, de s'autoriser de nouvelles expériences. Pour notre héros, il s'agit de tout ça, et de bien plus encore. Ce voyage sur les côtes brésiliennes est surtout une manière de marcher sur les traces de son frère aîné, disparu un an auparavant dans la petite ville portuaire de Belém, au Nord du pays. Un road trip riche de rencontres inattendues, de nombreux imprévus mais d'émotions fortes. Critique : La disparition d'un proche est un moment tragique. Le vide qui suit est une épreuve dont certain ne se remettent jamais. Pour le héros de notre histoire, ce vide le ronge tellement qu'il a besoin de comprendre. Besoin de retracer les derniers instants de son frère. Et il nous invite à le suivre, sans fausse pudeur. Il nous présente son trouble, son sentiment de culpabilité et son envie de passer à autre chose sans se l'autoriser. Ce voyage est édifiant. Edifiant car on ne parle que peu de ce genre de drame. Les infos et les séries toujours plus violences banalise la mort et ne traite que peu de ceux qui restent. Ce one shit est super poignant et prenant. Tellement que l'on ne peut que regretter une fin un peu trop pudique justement. ON ne sait pas vraiment si notre narrateur réussi à tourner la page une fois au bout de son voyage. Et c'est un peu dommage car on ne peut s'empêcher de se demander si ce voyage à vraiment servit au final. Peut-être que l'auteur n'a lui-même pas la réponse. Mais pour le lecteur c'est un peu frustrant et gâche un peu un album pourtant super poignant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ombre-qui-marche-a-mes-cotes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    Se jeter à l'eau

    Les romans graphiques écologiques sont très tendances actuellement, on découvre cette fois-ci Se jeter à l'eau. Le climat doit rester une priorité pour les générations futures et leur avenir. Avec se jeter à l'eau, la scénariste Gwénola Morizur nous propose de suivre une jeune femme passionnée par les baleines et le monde sous-marins. Son travail dans un aquarium ne lui suffit plus assez pour la combler. Progressivement, sa passion va devenir un engagement pour sauver les espèces menacées par la pêche et surtout les baleines. L'histoire va se centrer sur l’implication du personnage principale pour venir en aide aux baleines et permettre leur survivre. Les dessins d'Elléa Bird sont bien mais on pourrait reprocher son approche gentilé alors que le public visé ne sont pas les jeunes. Les amateurs de récits écologiques et de romances devrait trouver leur compte avec Se jeter à l’eau.
  8. alx23

    Se jeter à l'eau

    Titre de l'album : Se jeter à l'eau Scenariste de l'album : Gwénola Morizur Dessinateur de l'album : Elléa Bird Coloriste : Elléa Bird Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Leïla vit une vie tranquille et lisse, un ronron quotidien dans lequel elle se sent un peu à l'étroit. Cette vie, qu'elle a l'impression d'avoir choisie, semble l'étouffer, sans qu'elle sache vraiment pourquoi. C'est une succession de signes qui l'amènent à prendre la route, partir en Bretagne sur les traces de sa vie, de ses envies et de son histoire pour se bâtir le futur qu'elle désire et le tourner vers le monde, la mer et les baleines. Critique : Les romans graphiques écologiques sont très tendances actuellement, on découvre cette fois-ci Se jeter à l'eau. Le climat doit rester une priorité pour les générations futures et leur avenir. Avec se jeter à l'eau, la scénariste Gwénola Morizur nous propose de suivre une jeune femme passionnée par les baleines et le monde sous-marins. Son travail dans un aquarium ne lui suffit plus assez pour la combler. Progressivement, sa passion va devenir un engagement pour sauver les espèces menacées par la pêche et surtout les baleines. L'histoire va se centrer sur l’implication du personnage principale pour venir en aide aux baleines et permettre leur survivre. Les dessins d'Elléa Bird sont bien mais on pourrait reprocher son approche gentilé alors que le public visé ne sont pas les jeunes. Les amateurs de récits écologiques et de romances devrait trouver leur compte avec Se jeter à l’eau. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/se-jeter-a-l-eau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Ce tome 2 est... un tome 2. Cela peut paraitre idiot comme introduction mais c'est ce qui le caractérise le plus. En effet on retrouve les personnages que l'on a découvert dans le tome 1, on poursuit leur aventure sans pour autant pouvoir imaginer la fin. Si le niveau graphique reste très sympa avec un "bestiaire" de robot toujours plus original, le scénario est un poil plus cliché dans ce tome 2. Le tome un nous montrait un univers vraiment nouveau avec une découverte de l'univers des robots et des relations entre robot et humains. Ce tome ci est bien plus classique. L'humaine qui veut aider les robots, qui pousse à la révolte tout ça tout ça.... On est dans le classique de chez classique du peuple exploité qui lutte contre un peuple exploitant rempli de méchant sauf Elle. Donc sympa mais déjà vu. Heureusement la fin est tout autre avec une revalions vraiment intéressante pour le devenir de notre couple pas comme les autres.
  10. Titre de l'album : Love love love t2 : Bang bang Shoot Shoot Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Andrés Garrido Coloriste : Andrés Garrido Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Elle et Karel poursuivent leur relation amoureuse, dans une société où les robots revendiquent la liberté auprès de maîtres les ayant condamnés à l'obsolescence programmée. Dans ces conditions, difficile pour l'humaine et le mécha de se laisser aller à la légèreté ! D'autant que Karel, qui a empêché son coloc Andy de faire sauter les verrous d'agressivité des robots, se trouve maintenant visé par ses propres pairs. Problèmes supplémentaires : le plasticage de son appartement, sa date d'obsolescence qui approche furieusement, mais aussi les sombres agissements d'un tueur en série dont on ignore toujours l'identité... En se cherchant une vie meilleure, le jeune couple n'est-il pas en train de se précipiter vers le chaos ? Kid Toussaint et Andres Garrido poursuivent leur très prenante saga young adult. Entre société de caste, injustices, violences policières et statut de l'IA, c'est de notre société qu'ils parlent, sur fond d'une très inattendue histoire d'amour... Critique : Ce tome 2 est... un tome 2. Cela peut paraitre idiot comme introduction mais c'est ce qui le caractérise le plus. En effet on retrouve les personnages que l'on a découvert dans le tome 1, on poursuit leur aventure sans pour autant pouvoir imaginer la fin. Si le niveau graphique reste très sympa avec un "bestiaire" de robot toujours plus original, le scénario est un poil plus cliché dans ce tome 2. Le tome un nous montrait un univers vraiment nouveau avec une découverte de l'univers des robots et des relations entre robot et humains. Ce tome ci est bien plus classique. L'humaine qui veut aider les robots, qui pousse à la révolte tout ça tout ça.... On est dans le classique de chez classique du peuple exploité qui lutte contre un peuple exploitant rempli de méchant sauf Elle. Donc sympa mais déjà vu. Heureusement la fin est tout autre avec une revalions vraiment intéressante pour le devenir de notre couple pas comme les autres. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-love-love-tome-2-bang-bang-shoot-shoot?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Futur antérieur

    En très grand amateur des bande dessinées de Sergio Toppi, c'est avec plaisir que je découvre que l'auteur avait réalisé des histoires de science-fiction. J'ai toujours lu des histoires de l'auteur qui nous faisant voyager à travers le monde avec des mythes et légendes ou bien des histoires passées mais jamais de récits futuristes. Avec Futur antérieur, l'auteur nous livre dans ce recueil neuf récits courts avec toute sa maitrise et son génie pour mettre en image son imaginaire. Dans cet album, les héros vont côtoyer les extraterrestres, des lézards ou des dinosaures dans des histoires toujours surprenantes. Les planches de Sergio Toppi sont en noir et blanc et fourmillent de détails. On ne lit pas une bande dessinée classique dans sa construction avec cet auteur. En effet, Toppi déstructure les cases et les personnages se mélanges dans une bonne harmonie dont il avait le secret. C'est donc quelque 120 magnifiques planches de bande dessinée qui vous attendent et les éditions Mosquitos font un travail fantastique pour nous présenter toutes les œuvres de Sergio Toppi depuis de nombreuses années dans des recueils de qualité. Je vous conseille de lire la préface après avoir terminé l’album car trop d’information sont présentes sur les histoires de futur antérieur.
  12. alx23

    Futur antérieur

    Titre de l'album : Futur antérieur Scenariste de l'album : Sergio Toppi Dessinateur de l'album : Sergio Toppi Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Le maestro italien était aussi un grand féru de science-fiction. Ce recueil rassemble quelques unes de ses histoires brèves dans lesquelles Toppi savait à merveille mêler fantastique et ironie. Critique : En très grand amateur des bande dessinées de Sergio Toppi, c'est avec plaisir que je découvre que l'auteur avait réalisé des histoires de science-fiction. J'ai toujours lu des histoires de l'auteur qui nous faisant voyager à travers le monde avec des mythes et légendes ou bien des histoires passées mais jamais de récits futuristes. Avec Futur antérieur, l'auteur nous livre dans ce recueil neuf récits courts avec toute sa maitrise et son génie pour mettre en image son imaginaire. Dans cet album, les héros vont côtoyer les extraterrestres, des lézards ou des dinosaures dans des histoires toujours surprenantes. Les planches de Sergio Toppi sont en noir et blanc et fourmillent de détails. On ne lit pas une bande dessinée classique dans sa construction avec cet auteur. En effet, Toppi déstructure les cases et les personnages se mélanges dans une bonne harmonie dont il avait le secret. C'est donc quelque 120 magnifiques planches de bande dessinée qui vous attendent et les éditions Mosquitos font un travail fantastique pour nous présenter toutes les œuvres de Sergio Toppi depuis de nombreuses années dans des recueils de qualité. Je vous conseille de lire la préface après avoir terminé l’album car trop d’information sont présentes sur les histoires de futur antérieur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/futur-anterieur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. The_PoP

    Cadres noirs - Tome 1 - Avant

    Vous commencez à me connaître pour certains d'entre vous, je ne suis pas un dingue de polars. Il faut reconnaitre cependant que les adaptations des romans de Pierre Lemaitre chez Rue de Sèvres me plaisent bien. On retrouve sur ce tome Pascal Bertho qui avait déjà adapté la Brigade Verhoeven avec succès et Giuseppe Liotti dont on a connu le dessin avec la série Compte à rebours également chez Rue de Sèvres. Ce sont donc deux auteurs ayant déjà fait leurs preuve mais dont c'est la première collaboration qui nous offre ce premier tome d'une trilogie consacrée au monde de l'entreprise. Le scénario est forcément riche pour la BD comme c'est souvent le cas pour les adaptations de romans polar, mais le choix de se diriger vers une trilogie me semble bon, permettant je trouve une bonne montée en puissance tout au long de ce premier tome. Ma plus grande surprise fut le dessin plus qu'agréable de Giuseppe Liotti, et si sur Compte à rebours je n'avais pas été particulièrement marqué, il faut bien reconnaitre qu'ici son traitement des personnages, de leurs visages et de leurs personnalité convient à merveille pour ce type de polar se déroulant dans le monde sans pitié de l'entreprise. Il donne de l'âme et de la consistance à ses personnages, et ça j'adore. Cadres Noirs est pour le moment un excellent polar servi par un excellent dessin dont j'ai hâte de lire la suite, et qui se déroule dans un univers connu et familier de beaucoup : le monde des grandes entreprises actuelle. Je ne peux que vous le recommander chaudement !
  14. Titre de l'album : Cadres noirs - Tome 1 - Avant Scenariste de l'album : Pascal Bertho Dessinateur de l'album : Giuseppe Liotti Coloriste : Gaetan Georges Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Alain Delambre est un cadre de cinquante-sept ans anéanti par quatre années de chômage sans espoir. Ancien DRH, il accepte des petits jobs démoralisants. Aussi quand un employeur, divine surprise, accepte enfin d'étudier sa candidature, Alain Delambre est prêt à tout, à emprunter de l'argent, à se disqualifier aux yeux de sa femme, de ses filles et même à participer à l'ultime épreuve de recrutement : un jeu de rôle sous la forme d'une prise d'otages. Critique : Vous commencez à me connaître pour certains d'entre vous, je ne suis pas un dingue de polars. Il faut reconnaitre cependant que les adaptations des romans de Pierre Lemaitre chez Rue de Sèvres me plaisent bien. On retrouve sur ce tome Pascal Bertho qui avait déjà adapté la Brigade Verhoeven avec succès et Giuseppe Liotti dont on a connu le dessin avec la série Compte à rebours également chez Rue de Sèvres. Ce sont donc deux auteurs ayant déjà fait leurs preuve mais dont c'est la première collaboration qui nous offre ce premier tome d'une trilogie consacrée au monde de l'entreprise. Le scénario est forcément riche pour la BD comme c'est souvent le cas pour les adaptations de romans polar, mais le choix de se diriger vers une trilogie me semble bon, permettant je trouve une bonne montée en puissance tout au long de ce premier tome. Ma plus grande surprise fut le dessin plus qu'agréable de Giuseppe Liotti, et si sur Compte à rebours je n'avais pas été particulièrement marqué, il faut bien reconnaitre qu'ici son traitement des personnages, de leurs visages et de leurs personnalité convient à merveille pour ce type de polar se déroulant dans le monde sans pitié de l'entreprise. Il donne de l'âme et de la consistance à ses personnages, et ça j'adore. Cadres Noirs est pour le moment un excellent polar servi par un excellent dessin dont j'ai hâte de lire la suite, et qui se déroule dans un univers connu et familier de beaucoup : le monde des grandes entreprises actuelle. Je ne peux que vous le recommander chaudement ! Autres infos : Adaptation d'un roman de Pierre Lemaitre Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cadres-noirs-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Unfollow

    Unfolllow est un roman graphique sur les thématiques très actuelle de l'écologie et des réseaux sociaux. L'histoire de Lukas Jüliger nous permet de suivre la naissance d'un enfant de l'âge de la Terre, il ressent les émotions de la planète et sera dès son plus âge rejeté des hommes. L'enfant décide de vivre dans un parc national, tout en partageant ses expériences d'autosuffisance pour vivre en harmonie avec la nature. Il partage tous les jours des vidéos avec son concept et très rapidement des jeunes du monde entier le suivent pour apprendre. Cet enfant d'abord rejeté devient une sorte de prophète de l'écologie. L'auteur garde en suspend la solution qui n'existe pas aujourd’hui et propose sa vision pour combattre la crise climatique. Les planches sont constituées d'une ou de quatre cases horizontales maximum avec des textes entre chaque case. Les couleurs varient du bleuté pour les passages de la nuit et des couleurs orangés pour le jour. L'utilisation des réseaux sociaux peut pousser à des dérives néfastes et comment combattre les problématiques du climat sans perdre son humanité sont les grandes questions de ce roman graphique original.
  16. alx23

    Unfollow

    Titre de l'album : Unfollow Scenariste de l'album : Lukas Jüliger Dessinateur de l'album : Lukas Jüliger Coloriste : Lukas Jüliger Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Le mystérieux Earthboi serait aussi âgé que la planète Terre. Il connaît la nature et ses êtres sous toutes leurs facettes. Ainsi, lorsqu'il constate, avec horreur, les effets dévastateurs de l'être humain sur eux, il décide de réagir. Grâce aux réseaux sociaux, @realearthboi partage sa vision à des followers de plus en plus nombreux et développe une application qui va insuffler une prise de conscience écologique chez ses utilisateurs. A une époque où la plupart des gens voudraient sauver le monde, mais où personne ne sait par où commencer, Earthboi apparaît comme leur sauveur. Mais l'influenceur va lui-même être confronté à un dilemme : l'humanité et la survie de la planète sont-elles compatibles ? Critique : Unfolllow est un roman graphique sur les thématiques très actuelle de l'écologie et des réseaux sociaux. L'histoire de Lukas Jüliger nous permet de suivre la naissance d'un enfant de l'âge de la Terre, il ressent les émotions de la planète et sera dès son plus âge rejeté des hommes. L'enfant décide de vivre dans un parc national, tout en partageant ses expériences d'autosuffisance pour vivre en harmonie avec la nature. Il partage tous les jours des vidéos avec son concept et très rapidement des jeunes du monde entier le suivent pour apprendre. Cet enfant d'abord rejeté devient une sorte de prophète de l'écologie. L'auteur garde en suspend la solution qui n'existe pas aujourd’hui et propose sa vision pour combattre la crise climatique. Les planches sont constituées d'une ou de quatre cases horizontales maximum avec des textes entre chaque case. Les couleurs varient du bleuté pour les passages de la nuit et des couleurs orangés pour le jour. L'utilisation des réseaux sociaux peut pousser à des dérives néfastes et comment combattre les problématiques du climat sans perdre son humanité sont les grandes questions de ce roman graphique original. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/unfollow?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Le codex de theo t1

    Boy power ! Et ouaip. Si Cerise a ses carnets, il n'y a pas de raison qu'un garçon ne puisse pas avoir son Codex ! C'est un peu le leitmotiv de cette BD : Reprendre le concept des carnets de cerises mais le mettre à la sauce garçon de collège au caractère fort qui le pousse à faire le malin ce qui l'envoie dans une aventure pas piqué des vers. Si le concept est maintenant devenu assez classique, il est vraiment bien transposé à un garçon. Entre réflexion de super héros et récit de bêtises à faire, ce codex est aussi rigolo que celui de Cerise était réfléchit. Concernant l'histoire elle-même, on est dans une histoire pour enfant assez standard. Une enquête légèrement tendue mais jamais trop ou le bien et les bons sentiments finissent par vaincre. Une bonne lecture jeunesse.
  18. Titre de l'album : Le codex de theo t1 Scenariste de l'album : Romain Pujol Dessinateur de l'album : Gyom Coloriste : BenBK Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : C'est la rentrée au collège Saint-Roch. Pour Théo, tout roule comme sur une planche de skate, et il compte bien passer une année au top avec ses amis Paul et Lucie. Mais Paul devient le souffre-douleur de Jack, le prof sadique de SVT, et les élèves en profitent pour le harceler. Encore pire, le trio découvre qu'une mystérieuse confrérie oeuvre pour le mal dans les sous-sols de l'école, construite dans un ancien monastère, et le père de Théo pourrait être impliqué. Mais même pas peur pour Théo, qui vous révèle tous ses secrets avec son journal très singulier. Critique : Boy power ! Et ouaip. Si Cerise a ses carnets, il n'y a pas de raison qu'un garçon ne puisse pas avoir son Codex ! C'est un peu le leitmotiv de cette BD : Reprendre le concept des carnets de cerises mais le mettre à la sauce garçon de collège au caractère fort qui le pousse à faire le malin ce qui l'envoie dans une aventure pas piqué des vers. Si le concept est maintenant devenu assez classique, il est vraiment bien transposé à un garçon. Entre réflexion de super héros et récit de bêtises à faire, ce codex est aussi rigolo que celui de Cerise était réfléchit. Concernant l'histoire elle-même, on est dans une histoire pour enfant assez standard. Une enquête légèrement tendue mais jamais trop ou le bien et les bons sentiments finissent par vaincre. Une bonne lecture jeunesse. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-codex-de-theo-tome-1-jack-le-harceleur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Avec le regain de la BD jeunesse, le leader Dupuis commence à avoir de sérieux concurrent que ce soit chez Glenat ou chez Bamboo. Et bien c'est avec des titres comme celui-ci que les éditions Dupuis se défendent le mieux : un vrai titre sérieux pour jeunes et adolescents. Non pas que les autres ne soient pas sérieux. Loin de moi cette idée. Non juste que l'on sent l'exigence de cohérence et de niveau, que ce soit graphique ou en termes d'histoire) et cela sur une histoire en plusieurs tomes et non dans le facile enchainement de one shot. Mort et Déterré en est le sublime exemple. Là où l'on s’attendait à avoir des blagues sur les zombies, on se retrouver avec un récit touchant, un questionnement sur l'impact d'une disparition tragique sur une famille mais aussi sur l'amour qui peut débarquer a n'importe quel moment de la vie.... Enfin de la mort. Et ce que l'on serait prêt à faire par amour. Ce tome trois est un excellent mélange de tout ce qui définit la bonne BD pour jeunes : Des scènes parfois cocasses, des blagues à double niveau qui raviront les parents, des bons sentiments et un récit réaliste sur les rapports humains (qu'ils soient vivants ou non.) Une très bonne fin de trilogie (avec une dernière page d'anthologie) qui devrait être suivie, pour notre plus grand bonheur, par un deuxième cycle !
  20. Titre de l'album : Mort et déterré tome 3 - Les derniers jours d'un zombie Scenariste de l'album : Jocelyn Boisvert Dessinateur de l'album : Pascal Colpron Coloriste : Pascal Colpron Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Yan Faucher, 13 ans, est un ado qui se fait accidentellement poignarder par un dealer. Un an après son inhumation, il se réveille et arrive à quitter son cercueil. Il décide de mener une double quête : retrouver son assassin et reconstruire sa famille en pleine décomposition depuis son décès. Avec l'aide de son pote Nico, un fan d'histoires de zombies, et d'Alice, une amie spécialiste en maquillage secrètement éprise de lui, Yan va mener l'enquête et retrouver sa famille. Mais Yan a peu de temps pour arranger ses histoires de famille car son assassin a tué Alice, et Yan n'a plus qu'une obsession : ramener son amoureuse à la vie ! Mort et déterré est une série haletante avec, pour la première fois, une histoire de zombie du point de vue du mort-vivant. Critique : Avec le regain de la BD jeunesse, le leader Dupuis commence à avoir de sérieux concurrent que ce soit chez Glenat ou chez Bamboo. Et bien c'est avec des titres comme celui-ci que les éditions Dupuis se défendent le mieux : un vrai titre sérieux pour jeunes et adolescents. Non pas que les autres ne soient pas sérieux. Loin de moi cette idée. Non juste que l'on sent l'exigence de cohérence et de niveau, que ce soit graphique ou en termes d'histoire) et cela sur une histoire en plusieurs tomes et non dans le facile enchainement de one shot. Mort et Déterré en est le sublime exemple. Là où l'on s’attendait à avoir des blagues sur les zombies, on se retrouver avec un récit touchant, un questionnement sur l'impact d'une disparition tragique sur une famille mais aussi sur l'amour qui peut débarquer a n'importe quel moment de la vie.... Enfin de la mort. Et ce que l'on serait prêt à faire par amour. Ce tome trois est un excellent mélange de tout ce qui définit la bonne BD pour jeunes : Des scènes parfois cocasses, des blagues à double niveau qui raviront les parents, des bons sentiments et un récit réaliste sur les rapports humains (qu'ils soient vivants ou non.) Une très bonne fin de trilogie (avec une dernière page d'anthologie) qui devrait être suivie, pour notre plus grand bonheur, par un deuxième cycle ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mort-et-deterre-tome-3-les-derniers-jours-d-un-zombie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. La série West Legends continue avec ce tome 6 consacré à une aventure de Butch Cassidy. Ici on sent bien la patte de Bec puisque cette aventure va comporter quelques traces de fantastique et d'horreur tout en restant dans le genre du Western. On se rapproche très fortement de Western du type Bone Tomahawk au niveau du scénario ce qui n'est pas si surprenant au final pour Bec. Côté Dessin on est dans la veine des autres épisodes, c'est à dire pas forcément le haut du panier du genre, mais des BD calibrées, propres, aux scènes bien rendues et assez compréhensibles avec cependant peut être quelques soucis pour la différenciation des personnages sur certaines cases. J'ai trouvé les personnages un peu fades d'une manière générale que ce soit côté scénario que côté dessin, on les sent plus spectateurs de l'intrigue finalement que vraiment acteur. Ce tome 6 surprendra un peu les habitués de West Legends avec une aventure finalement peu liée au personnage principal pour une fois, mais le cocktail suspens/western est assez bien dosé, avec les passages horrifiques assez glaçants. S'il vous a plu, foncez voir Bone Tomahawk en film, c'est fait pour vous.
  22. Titre de l'album : West Legends - Tome 6 - Butch Cassidy & The Wild Bunch Scenariste de l'album : Bec Dessinateur de l'album : Suro Coloriste : Hamilton Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le Wild Bunch de Cassidy terrorise la région depuis trop longtemps. Un avis de recherche avec une forte récompense de 3 500 $ a été posé sur la tête du malfrat, mort ou vif, ce qui attire bon nombre de chasseurs de primes. Ce soir-là dans un relais, deux d'entre eux semblent être tombés sur une partie de la bande. Cassidy vit-il ses dernières heures ? Critique : La série West Legends continue avec ce tome 6 consacré à une aventure de Butch Cassidy. Ici on sent bien la patte de Bec puisque cette aventure va comporter quelques traces de fantastique et d'horreur tout en restant dans le genre du Western. On se rapproche très fortement de Western du type Bone Tomahawk au niveau du scénario ce qui n'est pas si surprenant au final pour Bec. Côté Dessin on est dans la veine des autres épisodes, c'est à dire pas forcément le haut du panier du genre, mais des BD calibrées, propres, aux scènes bien rendues et assez compréhensibles avec cependant peut être quelques soucis pour la différenciation des personnages sur certaines cases. J'ai trouvé les personnages un peu fades d'une manière générale que ce soit côté scénario que côté dessin, on les sent plus spectateurs de l'intrigue finalement que vraiment acteur. Ce tome 6 surprendra un peu les habitués de West Legends avec une aventure finalement peu liée au personnage principal pour une fois, mais le cocktail suspens/western est assez bien dosé, avec les passages horrifiques assez glaçants. S'il vous a plu, foncez voir Bone Tomahawk en film, c'est fait pour vous. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/west-legends-tome-6-butch-cassidy-the-wild-bunch?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Semences

    Prenez un bon épisode d'X-Files, mettez y Marazano aux manettes et vous aurez Semences : Une fable d'anticipation sur fond de fin du monde et d'extra terrestre dont le but véritable échappera au commun des mortels. C'est marrant car jusqu'a la dernière page, et l'apparition de "GB" je pensais avoir saisi l'essentiel. Mais une fois cette page apparue j'ai fait plein de retour en arrière pour essayer, comme dans un certain nombre de Marazano, de vraiment comprendre le fin mot de l'histoire. Et je ne suis pas sur d'avoir réussi. Ce qui est réussi dans cet album, c'est l'apsect graphique et l'ambiance qui decoule de cette fin du monde programmée. L'ambiance est lourde et les personnnages ne se font plus d'illusion. Le monde et les habitants ont passé le stade de la déprime. Et cela on le ressent bien tout comme le besoin de sensation et le besoin de quelque chose de nouveau et de dynamisant comme croire en l'existence des extraterrestres. C'est donc vraiment dommage que le scénario soit si "ouvert". On laisse tellement de possibilités différentes au lecteur qu'il finit par ne plus savoir laquelle suivre. Et ca gache un peu le plaisir car nous laisse frustré. Dommage.
  24. poseidon2

    Semences

    Titre de l'album : Semences Scenariste de l'album : Ann Nocenti Dessinateur de l'album : David Aja Coloriste : David Aja Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : La Zone est un refuge, à l'abri des drones et de toute technologie, où les gens ont adopté un autre mode de vie, plus sauvage et plus libre. Astra est une journaliste qui se bat pour sa passion et son intégrité professionnelle dans un univers où les fake news deviennent la norme. Lorsqu'elle se rend dans la Zone, elle découvre la liaison interdite entre la téméraire et empathique Lola qui s'est éprise de Race, un extraterrestre doué de sensibilité. Alors que les extraterrestres s'apprêtent à partir, le compte à rebours est lancé pour Astra et pour la planète. Car les extraterrestres sont dangereux... mais le sont-ils plus que les humains ? Alors que la Zone s'érode, alors que croît la panique de Race et Lola, Astra doit prendre une décision susceptible de changer la perspective du monde. Un récit ciselé à la fin surprenante dans un monde de science-fiction en décomposition, mais étrangement proche du nôtre. Au croisement du thriller technologique d'éco-fiction et de l'histoire d'amour : un groupe de rebelles qui fuit une société obsédée par la technologie, quelques extraterrestres venus récolter les dernières graines de l'humanité, le tout bouleversé par une liaison interdite... Critique : Prenez un bon épisode d'X-Files, mettez y Marazano aux manettes et vous aurez Semences : Une fable d'anticipation sur fond de fin du monde et d'extra terrestre dont le but véritable échappera au commun des mortels. C'est marrant car jusqu'a la dernière page, et l'apparition de "GB" je pensais avoir saisi l'essentiel. Mais une fois cette page apparue j'ai fait plein de retour en arrière pour essayer, comme dans un certain nombre de Marazano, de vraiment comprendre le fin mot de l'histoire. Et je ne suis pas sur d'avoir réussi. Ce qui est réussi dans cet album, c'est l'apsect graphique et l'ambiance qui decoule de cette fin du monde programmée. L'ambiance est lourde et les personnnages ne se font plus d'illusion. Le monde et les habitants ont passé le stade de la déprime. Et cela on le ressent bien tout comme le besoin de sensation et le besoin de quelque chose de nouveau et de dynamisant comme croire en l'existence des extraterrestres. C'est donc vraiment dommage que le scénario soit si "ouvert". On laisse tellement de possibilités différentes au lecteur qu'il finit par ne plus savoir laquelle suivre. Et ca gache un peu le plaisir car nous laisse frustré. Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/semences?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Le lion de Judah Livre 3

    Suite et fin de la trilogie mystique de Desberg et Labiano. Fin completement à l'image de la série : énigmatique. Si Desberg reussit à répondre aux questions évidentes dans ce tome trois sur les "pouvoirs", le sorcier ou l'histoire de Naisha, le reste de l'album reste quand meme très mysterieux. En effet notre "héros"est porté par les événements et ne contrôle rien du tout. Il suit. Et cette absence de contrôle nous empêche de bien aller au fond des choses. On se retrouve donc avec un troisième tome avec un coté road movie intéressant mais qui n'a pas le temps de nous offrir une vraie fin d'histoire. On a plutot l'impression que c'est la fin de l'introduction sur la vie à venir de Wallace. Vie sans aucun but ni objectif. Bref un épilogue très énigmatique mais qui m'a laissé sur ma faim. Bien dommage au vu de la qualité graphique des dessins de Labiano et des perspectives que nous offrait le tome précédent.
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