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  1. Titre de l'album : Ouroboros - Tome 1 - L'amulette de Saladin Scenariste de l'album : Olivier Pinard & Ceyles Dessinateur de l'album : Ceyles Coloriste : Lou Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans le désert, des bédouins veillent sur Xiao, un petit garçon dont les oracles prédisent qu'il provoquera la chute de la Reine des Dragons, sa mère. Aman, aventurier charismatique et énigmatique, a volé l'amulette de Saladin qui contient l'élixir qui permettra à Xiao de vaincre sa moitié dragon et de sauver le monde. Mais le vol de l'amulette a réveillé des êtres aux pouvoirs surnaturels... Critique : Je dois bien avouer que les dernières productions Soleil m'ont plutôt plu, malheureusement cet Ouroboros est je trouve passé à côté du sujet. C'est diificile à expliquer car l'histoire en soi n'est pas mauvaise, les dessins de Ceyles (dessinateur de la série des Slohka à partir du tome 4) sont loin d'être vilains et présente quelques cases plutôt réussies. La gestion des couleurs est peut être pour moi un peu trop simple mais c'est un ressenti personnel. Par contre le positionnement de la bd m'interroge. On est à priori sur une cible d'un public jeune, mais l'histoire n'est je trouve ni assez dynamique ni sur des enjeux suffisamment clairs pour cette cible. De même l'histoire est globalement ambitieux mais cela interroge du coup pour un diptyque. Je n'ai pas été franchement convaincu par ma lecture d'Ouroboros. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ouroboros-tome-1-l-amulette-de-saladin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Enfin un album sur une femme. Bon ok elles ne sont que 6 mais c'est important d'en parler. Et d'autant plus important que ces femmes ne sont pas, par définition à l'époque, des femmes de guerres. Elles sont entrées dans les compagnons de la libération sans avoir jamais été à l'armée comme la plupart des autres. Et cela nous montre une histoire qui nous parle plus. Car Simone pourrait être n'importe quel citoyen. Enfin plutôt n'importe quels citoyens, avec assez de volonté, pourrait être Simone. Car il en fallait du courage et de la volonté pour faire ce qu'elle a fait. Si ses "faits de guerre" sont moins visuel que ceux de Kieffer ou encore de Leclerc, ils n'en restent pas moins importants et décisifs pour la victoire des alliés. Voir même l'histoire de Simone est tellement dense qu'il est difficile de tout raconter dans un seul album. Heureusement qu'il y a le cahier de fin de tome pour nous permettre d'en savoir plus. Comme les autres ce tome reste super intéressant et rend hommage à une femme sans qui notre monde actuel ne serait pas le même.
  3. Titre de l'album : Les compagnons de la libérations : Simone Michel-Lévy Scenariste de l'album : Catherine Valenti Dessinateur de l'album : Claude Plumail Coloriste : Claude Plumail Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : L'une des six femmes « Compagnons de la Libération ». Quelques femmes résistantes sont passées à la postérité. Ce n'est pas le cas de cette modeste employée de l'administration postale. Simone Michel-Lévy a pourtant contribué de façon décisive à la lutte contre l'occupant nazi. En poste à Paris en 1940, elle est profondément meurtrie par l'invasion de la capitale et les débuts de l'Occupation. Avec des collègues, elle organise un réseau aux multiples ramifications, le mouvement « Action PTT », qui secondera l'action des résistants tout au long de la guerre. Une volonté de résistance qu'elle emmènera avec elle dans les camps de la mort. Critique : Enfin un album sur une femme. Bon ok elles ne sont que 6 mais c'est important d'en parler. Et d'autant plus important que ces femmes ne sont pas, par définition à l'époque, des femmes de guerres. Elles sont entrées dans les compagnons de la libération sans avoir jamais été à l'armée comme la plupart des autres. Et cela nous montre une histoire qui nous parle plus. Car Simone pourrait être n'importe quel citoyen. Enfin plutôt n'importe quels citoyens, avec assez de volonté, pourrait être Simone. Car il en fallait du courage et de la volonté pour faire ce qu'elle a fait. Si ses "faits de guerre" sont moins visuel que ceux de Kieffer ou encore de Leclerc, ils n'en restent pas moins importants et décisifs pour la victoire des alliés. Voir même l'histoire de Simone est tellement dense qu'il est difficile de tout raconter dans un seul album. Heureusement qu'il y a le cahier de fin de tome pour nous permettre d'en savoir plus. Comme les autres ce tome reste super intéressant et rend hommage à une femme sans qui notre monde actuel ne serait pas le même. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-compagnons-de-la-liberation-simone-michel-levy?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Jimo et les spaces pillards t1

    Mais qu'est-ce qu'ils sont cons ! Mais vraiment cons ces pirates...... Qu'est-ce que je plein leur capitaine même s'il n'est pas complètement très malin lui-même. Il faut quand même avouer qu'il n'ait pas aidé et que le malin Jimo ne veut pas se laisser zigouiller. Bon vous l'aurez compris, j'ai vraiment beaucoup ri aux aventures de Jimo et surtout rit au dépend des Spaces pillards. Porté par un dessin tout en rondeur et des couleurs flashy comme il faut, Tony Emeriau réussit le difficile exercice d'allier la BD jeune avec e l'humour qui peut aussi être lu par les parents. Il réussit à mettre un premier niveau de lecture avec des gags de situations qui font hurler de rire ma fille de 7 ans et des gags contextuels (comme ce pauvre capitaine dépité de la bêtise de ses troupes) qui parleront plus aux parents. ? Le format 4 cases permets de faire des gags incisifs mais court et donc de ne pas être obligé d'entrer dans les détails. Une réussite que je vous encourage à découvrir et à offrir !
  5. Titre de l'album : Jimo et les spaces pillards t1 Scenariste de l'album : Tony Emeriau Dessinateur de l'album : Liroy Coloriste : Liroy Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : À la mort de son capitaine de père, Jimo devient la cible privilégiée de tous les membres malveillants de l'équipage du Starskull ! Ne voulant pas de lui comme futur maître à bord, ils cherchent par tous les moyens à le faire passer de vie à trépas ! Et les choses ne s'arrangent pas lorsque Jimo et son pote Trulilo se voient confier une holocarte au trésor par le maître coq Granol ! Nos deux compères parviendront-ils à déjouer les plans des Space Pillards et trouveront-ils l'emplacement du trésor caché aux confins de la galaxie ? Poser ces questions, ce n'est pas forcément y répondre ! Critique : Mais qu'est-ce qu'ils sont cons ! Mais vraiment cons ces pirates...... Qu'est-ce que je plein leur capitaine même s'il n'est pas complètement très malin lui-même. Il faut quand même avouer qu'il n'ait pas aidé et que le malin Jimo ne veut pas se laisser zigouiller. Bon vous l'aurez compris, j'ai vraiment beaucoup ri aux aventures de Jimo et surtout rit au dépend des Spaces pillards. Porté par un dessin tout en rondeur et des couleurs flashy comme il faut, Tony Emeriau réussit le difficile exercice d'allier la BD jeune avec e l'humour qui peut aussi être lu par les parents. Il réussit à mettre un premier niveau de lecture avec des gags de situations qui font hurler de rire ma fille de 7 ans et des gags contextuels (comme ce pauvre capitaine dépité de la bêtise de ses troupes) qui parleront plus aux parents. ? Le format 4 cases permets de faire des gags incisifs mais court et donc de ne pas être obligé d'entrer dans les détails. Une réussite que je vous encourage à découvrir et à offrir ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jimo-et-les-space-pillards-tome-1-seul-contre-tous?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Le cercle de Providence est une série pour ados autour du mythe de Cthulhu et de l'univers fantastique de Lovecraft. Le premier tome nous présentait la bande d'amis qui devait faire face au monstre Cthulhu. Le scannériste Sébastien Viozat poursuit son immersion dans le monde fantastique et horrifique pour jeune avec le roi jaune, nom d'un recueil de nouvelles d'horreur. De plus, le héros est accompagné d'un ami nommé Howard, les références sont nombreuses et très utilisées pour servir l'histoire. En effet, le héros avec ses amis va tenter de conserver des livres occultes alors qu'une société d'Arkham voudrait les récupérer à des fins maléfiques. Le héros combat le mal dans le monde réel et onirique des rêves qui tournent souvent au cauchemar. Les dessins de Anne-Catherine Ott donnent un aspect visuel sympa dans un registre semi-réaliste. Les passages dans les rêves laissent à la dessinatrice le moyen de donner libre court à son imagination. Les couleurs sont réalisées par Katherine Avraam sur ce tome. Chaque tome termine le récit avec une conclusion mais laisse une ouverture pour d'autres aventures de notre équipe.
  7. Titre de l'album : Le cercle de Providence tome 2 - Le roi jaune Scenariste de l'album : Sébastien Viozat Dessinateur de l'album : Anne-Catherine Ott Coloriste : Katherine Avraam Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Francis est furieux, sa mère veut vendre le Elder Books, la librairie de son grand-père ! Il ne la laissera pas faire, d'autant que de très étranges acheteurs semblent fascinés par un ouvrage en particulier : Le Roi en jaune. Howard est fidèle au rendez-vous pour aider son ami. Même si cela crée des tensions avec Atonia, Francis sait qu'Howard fera tout pour l'aider. Tout ? Et bien plus encore... Critique : Le cercle de Providence est une série pour ados autour du mythe de Cthulhu et de l'univers fantastique de Lovecraft. Le premier tome nous présentait la bande d'amis qui devait faire face au monstre Cthulhu. Le scannériste Sébastien Viozat poursuit son immersion dans le monde fantastique et horrifique pour jeune avec le roi jaune, nom d'un recueil de nouvelles d'horreur. De plus, le héros est accompagné d'un ami nommé Howard, les références sont nombreuses et très utilisées pour servir l'histoire. En effet, le héros avec ses amis va tenter de conserver des livres occultes alors qu'une société d'Arkham voudrait les récupérer à des fins maléfiques. Le héros combat le mal dans le monde réel et onirique des rêves qui tournent souvent au cauchemar. Les dessins de Anne-Catherine Ott donnent un aspect visuel sympa dans un registre semi-réaliste. Les passages dans les rêves laissent à la dessinatrice le moyen de donner libre court à son imagination. Les couleurs sont réalisées par Katherine Avraam sur ce tome. Chaque tome termine le récit avec une conclusion mais laisse une ouverture pour d'autres aventures de notre équipe. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-cercle-de-providence-tome-2-le-roi-jaune?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. La saga jour J réussit à se renouveler à chaque album avec toutes les possibilités du concept même de la série. Jean-Pierre Pécau et Fred Duval collaborent une fois de plus sur cet épisode que l'on pourra voir comme un hommage au peintre Salvator Dali, puisqu'il se retrouve au milieu d'un intrigue sur la résistance. Le peintre excentrique va causer bien des soucis à ses allier en voulant se venger de la mort de son ami poète assassiné par les soldats de Franco. Les deux auteurs sont spécialistes des récits historiques et s'amusent à créer des uchronie très crédibles. J'avais découvert les dessins de Renato Arlem avec l'album historique le garde du corps de Massoud avec son trait réaliste et des planches très détaillées. Le dessinateur gère à merveilles ce récit autour de Dali en temps de guerre. Ce 46ème tome de Jour J est un diptyque qui commence très bien avec une histoire qui mêle histoire de guerre, espionnage et vengeance avec un peintre au centre.
  9. Titre de l'album : Jour J tome 46 - Les noces de sang 1/2 Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau & Fred Duval Dessinateur de l'album : Renato Arlem Coloriste : Thiago Rocha Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 1936 : et si Salvador Dali s'était engagé dans la guerre civile espagnole ? Premier tome d'un dyptique haletant qui entraîne le lecteur dans l'Europe de l'entre-deux-guerres et des Surréalistes. 1936, le poète García Lorca est assassiné par les franquistes. Très touché, Salvador Dali décide de le venger. Se met alors en place une incroyable conspiration dont le but est d'empêcher Franco de prendre le pouvoir. Mais tout ne peut pas se passer normalement avec Dali... Sa vengeance va prendre des proportions internationales et sans doute changer l'avenir de l'Europe... Critique : La saga jour J réussit à se renouveler à chaque album avec toutes les possibilités du concept même de la série. Jean-Pierre Pécau et Fred Duval collaborent une fois de plus sur cet épisode que l'on pourra voir comme un hommage au peintre Salvator Dali, puisqu'il se retrouve au milieu d'un intrigue sur la résistance. Le peintre excentrique va causer bien des soucis à ses allier en voulant se venger de la mort de son ami poète assassiné par les soldats de Franco. Les deux auteurs sont spécialistes des récits historiques et s'amusent à créer des uchronie très crédibles. J'avais découvert les dessins de Renato Arlem avec l'album historique le garde du corps de Massoud avec son trait réaliste et des planches très détaillées. Le dessinateur gère à merveilles ce récit autour de Dali en temps de guerre. Ce 46ème tome de Jour J est un diptyque qui commence très bien avec une histoire qui mêle histoire de guerre, espionnage et vengeance avec un peintre au centre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jour-j-tome-46-les-noces-de-sang-1-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Vous connaissez l'enfant de l'orage ? Non et bien allez y jeter un œil. Oui et bien sachez que cette BD à un bon gout de l'enfant de l'orage. Pour moi cela veut un dessin très joli, des couleurs vives, un scenario dynamique, une histoire originale et un personnage principal très attachant. Sur ce point ci je dois vous avouez que je retrouve exactement dans cette BD ce qui me manque dans 5 terres. Si le niveau graphique n'est pas forcement aussi précis (et encore moi j'adore), le scénario est lui très prenant. Sans temps mort il n'en reste pas moins intriguant. Là ou Bruno Bessadi fait fort, c'est dans la gestion des révélations de son histoire. Chaque révélation vient à point nommé pour expliquer les questions qui nous viennent et chaque rebondissement permet de relancer l'histoire pour réussir à nous livrer une histoire sans temps mort. Cela nous donne un premier tome très vivant et qui ravira tous les fans de BD d'aventures ! Le changement de paysage annoncé en fin de tome nous permettra de voir le dessin de Bruno Bessadi à l'œuvre sur un autre terrain et rien que cela ça donne envie de l'avoir rapidement entre les mains
  11. Titre de l'album : L'ogre lion t1 : le lion barbare Scenariste de l'album : Bruno Bessadi Dessinateur de l'album : Bruno Bessadi Coloriste : Bruno Bessadi Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Un généreuse aventure tendre et farouche où s'entrechoquent démon maléfique et injustices sociales. Dans les contrées du nord, nul n'a jamais vu de lynx aussi grand. Normal: Kgosi est un lion. Mais que fait-il si loin de ses terres ? Pourquoi partage-t-il son corps avec un sanguinaire démon pourfendeur de carnivores ? C'est ce que se demande le jeune Wilt, imprévu compagnon de route du morose guerrier. La vérité se dévoile au fil de leur périple vers le royaume au-delà des mers où Kgosi doit se retrouver lui-même et se confronter à son passé pour espérer délivrer son peuple... Critique : Vous connaissez l'enfant de l'orage ? Non et bien allez y jeter un œil. Oui et bien sachez que cette BD à un bon gout de l'enfant de l'orage. Pour moi cela veut un dessin très joli, des couleurs vives, un scenario dynamique, une histoire originale et un personnage principal très attachant. Sur ce point ci je dois vous avouez que je retrouve exactement dans cette BD ce qui me manque dans 5 terres. Si le niveau graphique n'est pas forcement aussi précis (et encore moi j'adore), le scénario est lui très prenant. Sans temps mort il n'en reste pas moins intriguant. Là ou Bruno Bessadi fait fort, c'est dans la gestion des révélations de son histoire. Chaque révélation vient à point nommé pour expliquer les questions qui nous viennent et chaque rebondissement permet de relancer l'histoire pour réussir à nous livrer une histoire sans temps mort. Cela nous donne un premier tome très vivant et qui ravira tous les fans de BD d'aventures ! Le changement de paysage annoncé en fin de tome nous permettra de voir le dessin de Bruno Bessadi à l'œuvre sur un autre terrain et rien que cela ça donne envie de l'avoir rapidement entre les mains Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ogre-lion-tome-1-le-lion-barbare?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. The_PoP

    Bitter Root - Tome 3 - Héritage

    Bon, assez échaudé par les "fins" un peu précipitées de Skyward et d'Invisible Kingdom chez Hi Comics, j'attendais ce dernier tome de Bitter Root avec beaucoup de craintes. L'univers présenté, les personnage, l'intrigue étaient trop complexes pour moi pour permettre une fin propre à une série qui est allée depuis le début, très très très vite. Je me suis trompé. C'était possible, et ce tome 3 est juste une apothéose, une conclusion logique et attendue à une trilogie traitant d'un point de vue fantastique d'une mal connu et réel. On est presque sur la mythologie Star Wars là, tellement ces 3 premiers tomes semblent construits sur le même schéma que la première trilogie. La dramaturgie est donc palpable, la montée en puissance aussi, et le dénouement, logique et sans surprise reste agréable à lire. Oui un dénouement qui coule de source n'était pas gagné pour une série qui a joué depuis le début avec les nerfs de ses lecteurs, sauts dans le temps, plusieurs univers présentés, famille ultra nombreuse, représentations graphiques ultra fouillées, pffff il a fallut s'accrocher. Cela en valait la peine puisque le tout forme une très belle fresque complète, avec tous les enjeux que l'on s'attend à y retrouver et bien plus encore, laissant finalement que peu de questions en suspens. A noter également le magnifique travail d'éditeur qui nous livre en fin d'album des entretiens fascinants et passionnants sur le sujet de l'album. A éviter donc pour ceux que les mots "black power" effraient. A recommander pour tous les autres, sympathisants, curieux, ouverts d'esprit, ouverts au débat, et amateur de fantastique dans un Univers d'une rare originalité. Seul bémol pour ma part, j'aurais aimé une construction un brin moins tarabiscotée parfois afin de gagner en intensité dramatique, et peut être un tome de plus afin de réduire un peu le rythme, car là, si vous lisez les 3 tomes d'affilée, vous n'aurez juste plus de souffle. La note de cet album reflète pour autant mon admiration devant cette série.
  13. Titre de l'album : Bitter Root - Tome 3 - Héritage Scenariste de l'album : Walker & Brown & Greene Dessinateur de l'album : Walker & Brown & Greene Coloriste : Sofie Dodgson Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Lauréat de l'Eisner Award 2020 de la meilleure série régulière. Nommé au Eisner Award 2019 de la meilleure nouvelle série. Nommé au Eisner Award 2021 de la meilleure série en cours. Tandis qu'un mal terrible s'abat sur le monde, la famille Sangerye réalise que cette fois, elle pourra difficilement se protéger... tout comme le reste de l'humanité. Pour réussir à vaincre ces sinistres forces qui ravagent la terre, les Sangerye devront combattre leurs propres démons, mais tous ne survivront pas... Un affrontement épique dans le Harlem de la Renaissance, qui scellera le destin d'une famille, et celui du monde entier ! Récompensés par le prestigieux Eisner Award de la meilleure série régulière, David F. Walker, Chuck Brown et Sanford Greene offrent aux Sangerye un final magistral. Dernier tome de la série. Critique : Bon, assez échaudé par les "fins" un peu précipitées de Skyward et d'Invisible Kingdom chez Hi Comics, j'attendais ce dernier tome de Bitter Root avec beaucoup de craintes. L'univers présenté, les personnage, l'intrigue étaient trop complexes pour moi pour permettre une fin propre à une série qui est allée depuis le début, très très très vite. Je me suis trompé. C'était possible, et ce tome 3 est juste une apothéose, une conclusion logique et attendue à une trilogie traitant d'un point de vue fantastique d'une mal connu et réel. On est presque sur la mythologie Star Wars là, tellement ces 3 premiers tomes semblent construits sur le même schéma que la première trilogie. La dramaturgie est donc palpable, la montée en puissance aussi, et le dénouement, logique et sans surprise reste agréable à lire. Oui un dénouement qui coule de source n'était pas gagné pour une série qui a joué depuis le début avec les nerfs de ses lecteurs, sauts dans le temps, plusieurs univers présentés, famille ultra nombreuse, représentations graphiques ultra fouillées, pffff il a fallut s'accrocher. Cela en valait la peine puisque le tout forme une très belle fresque complète, avec tous les enjeux que l'on s'attend à y retrouver et bien plus encore, laissant finalement que peu de questions en suspens. A noter également le magnifique travail d'éditeur qui nous livre en fin d'album des entretiens fascinants et passionnants sur le sujet de l'album. A éviter donc pour ceux que les mots "black power" effraient. A recommander pour tous les autres, sympathisants, curieux, ouverts d'esprit, ouverts au débat, et amateur de fantastique dans un Univers d'une rare originalité. Seul bémol pour ma part, j'aurais aimé une construction un brin moins tarabiscotée parfois afin de gagner en intensité dramatique, et peut être un tome de plus afin de réduire un peu le rythme, car là, si vous lisez les 3 tomes d'affilée, vous n'aurez juste plus de souffle. La note de cet album reflète pour autant mon admiration devant cette série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bitter-root-tome-3-heritage-223087?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Soufflement de narines

    Le soufflement de narines est considéré comme une façon de rire de quelque chose, c'est bien approprié quand on rit en lisant. Donc ce titre convient très bien à ce recueil de strips de J. Personne. L'auteur fait de l'humour décalée, noir et de non-sens avec beaucoup de talent. Je trouve que l'humour en lecture est assez difficile à retranscrire ou alors je suis mauvais public en général mais avec Soufflement de narines je me suis bien amusé. Il y a deux strips présentées sur chaque page d'une à quatre cases maximums pour les plus longues. Certaines thématiques reviennent avec la même la construction graphique mais avec des textes différents, toujours percutants. Pour exemples, les dialogues entre un adulte et son enfant, ou deux adultes à l'apéro... Les dessins de J. Personne sont minimalistes avec les mêmes silhouettes de femmes, d'hommes ou d'enfants avec des fonds de couleur uniques. Les dessins ne servent qu’à mettre la situation pour les histoires amusantes de l'auteur. Soufflement de narines m'a agréablement surpris et beaucoup amusé. Je vous conseille de lire une ou deux histoires pour voir si vous appréciez le style.
  15. Titre de l'album : Soufflement de narines Scenariste de l'album : J. Personne Dessinateur de l'album : J. Personne Coloriste : J. Personne Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Soufflement de Narines aborde, en près de 180 strips, les questionnements métaphysico-humoristes sur le et les sens de la vie, sur les relations interpersonnelles, etc, sous la forme d'aphorismes. Le tout est habillé d'un dessin élégant et sobre qui met en avant les textes et traits d'esprit et avec des personnages en silhouettes rendus ainsi universels, tout comme les questionnements évoqués. Critique : Le soufflement de narines est considéré comme une façon de rire de quelque chose, c'est bien approprié quand on rit en lisant. Donc ce titre convient très bien à ce recueil de strips de J. Personne. L'auteur fait de l'humour décalée, noir et de non-sens avec beaucoup de talent. Je trouve que l'humour en lecture est assez difficile à retranscrire ou alors je suis mauvais public en général mais avec Soufflement de narines je me suis bien amusé. Il y a deux strips présentées sur chaque page d'une à quatre cases maximums pour les plus longues. Certaines thématiques reviennent avec la même la construction graphique mais avec des textes différents, toujours percutants. Pour exemples, les dialogues entre un adulte et son enfant, ou deux adultes à l'apéro... Les dessins de J. Personne sont minimalistes avec les mêmes silhouettes de femmes, d'hommes ou d'enfants avec des fonds de couleur uniques. Les dessins ne servent qu’à mettre la situation pour les histoires amusantes de l'auteur. Soufflement de narines m'a agréablement surpris et beaucoup amusé. Je vous conseille de lire une ou deux histoires pour voir si vous appréciez le style. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soufflement-de-narines?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    U4 - Jules

    Eh bien voilà ça y est. Avec un peu de retard j'ai fini les 4UY4 lu dans un ordre complètement aléatoire. Et bien on sent bien que plus on en lit plus l'histoire nous intéresse. Et ce Jules particulièrement, surtout si on aime le coté guérilla urbaine et survivaliste. Ce tome est pour ainsi dire à l'opposé de celui de Stephane. On y vit ici la crise des ados de l'intérieur d'une ville. Via un groupe de gens qui se refuse à rejoindre une R-Point de peur du contrôle et des restrictions. Ce tome est encore une fois vraiment différent des autres. S'il est complémentaire avec Korwiden et plus accès WOT que Stephane ou Yannis, il est plus global sur la crise avec cet aspect jeu mais aussi un fort aspect post apocalyptique. Au final, ces 4 histoires forment un bel ensemble dont on a hâte de connaitre la fin, même si l'album de Korwiden en a un peu trop dit sur le sujet. Si la pub indique que l'on peut lire ces albums dans n'importe quel ordre, je vous conseillerais, pour un plaisir de lecture plus grand, l'ordre suivant ; Yannis Jules Stephane Korwiden Et... bien Khronos à venir très bientôt j’espère
  17. poseidon2

    U4 - Jules

    Titre de l'album : U4 - Jules Scenariste de l'album : Pierre-Paul Renders / Denis Lapière Dessinateur de l'album : Adrián Huelva Coloriste : Adrián Huelva Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : « Je m'appelle Jules. Ce rendez-vous, j'y vais parce que j'y crois ». Paris. Jules vit reclus dans l'appartement familial du boulevard Saint-Michel depuis l'explosion du virus U4, qui a exterminé en dix jours la population, à l'exception des adolescents. Alors que les rues jonchées de cadavres sont le domaine des gangs violents, le garçon prend le risque de sortir pour trouver de la nourriture. Pour se donner du courage, il se met dans la peau du guerrier impavide qu'il incarne dans son jeu en ligne préféré, « Warriors of Time » (WOT). Les ados qu'il va croiser là-dehors seront-ils des ennemis féroces ou des alliés mus par un désir d'entraide ? Qu'est devenu son frère Pierre, qui avait un problème de drogue ? Leurs parents qui étaient à l'étranger sont-ils vraiment morts ? Les quelques militaires survivants sont-ils bienveillants ? Pour ne pas devenir fou, Jules s'accroche à son objectif : survivre jusqu'au jour du rendez-vous avec l'énigmatique Khronos, le maître du jeu. Se pourrait-il qu'il soit aussi le Maître du Temps ? Critique : Eh bien voilà ça y est. Avec un peu de retard j'ai fini les 4UY4 lu dans un ordre complètement aléatoire. Et bien on sent bien que plus on en lit plus l'histoire nous intéresse. Et ce Jules particulièrement, surtout si on aime le coté guérilla urbaine et survivaliste. Ce tome est pour ainsi dire à l'opposé de celui de Stephane. On y vit ici la crise des ados de l'intérieur d'une ville. Via un groupe de gens qui se refuse à rejoindre une R-Point de peur du contrôle et des restrictions. Ce tome est encore une fois vraiment différent des autres. S'il est complémentaire avec Korwiden et plus accès WOT que Stephane ou Yannis, il est plus global sur la crise avec cet aspect jeu mais aussi un fort aspect post apocalyptique. Au final, ces 4 histoires forment un bel ensemble dont on a hâte de connaitre la fin, même si l'album de Korwiden en a un peu trop dit sur le sujet. Si la pub indique que l'on peut lire ces albums dans n'importe quel ordre, je vous conseillerais, pour un plaisir de lecture plus grand, l'ordre suivant ; Yannis Jules Stephane Korwiden Et... bien Khronos à venir très bientôt j’espère Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/u4-jules?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    Mort aux cons

    Éric Corbeyran se charge de l'adaptation du scénario en bande dessinée du roman de Carl Aderhold. Je ne connaissais pas le roman mais l'histoire est terrible pour un récit policier avec une touche d'humour très noir. En effet, comme on est tous le con de quelqu'un, le sujet est très vaste pour le héros. D'ailleurs, tout au long de l'histoire le héros doit expérimenter pour trouver les cons et ne pas se tromper de cible. Car la finalité est de tuer le con en question pour le bien personnel du héros mais aussi celui du voisinage puis de l'ensemble de la population. Le crime n'est plus une faute puisqu'il rend servie au plus grand nombre. De plus, notre héros en recherche de travail suite à une carrière de musicien inexistante, dénonce quelques problématiques de notre société et de l'administration. Les dessins d'Alexis Saint-Georges sont parfaits dans un style réaliste pour convenir au récit policier même si certains personnages sont caricaturés pour exagérer leurs expressions. Mort aux cons est une excellente surprise, je ne m'attendais pas à apprécier autant ce titre en compagnie de ce tueur de sang-froid avec un jugement catégorique.
  19. alx23

    Mort aux cons

    Titre de l'album : Mort aux cons Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Alexis Saint-Georges Coloriste : Alexis Saint-Georges Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Des cons, il y en a partout. Il y en a toujours eu. Il y en aura toujours. Le con est une engeance qui s'adapte à tous les climats, à tous les reliefs, à toutes les époques. Le con est endémique, on n'arrive pas à s'en débarrasser, comme le chiendent, c'est à désespérer. L'histoire que vous allez lire prouve pourtant qu'avec un zeste de bonne volonté, une dose de lucidité et un plan d'action solide, on peut s'attaquer au problème à la racine. L'élimination systématique des cons n'est cependant pas une entreprise ordinaire. Ça n'a rien d'un hobby innocent, c'est un job à plein temps. Mieux : un combat. Critique : Éric Corbeyran se charge de l'adaptation du scénario en bande dessinée du roman de Carl Aderhold. Je ne connaissais pas le roman mais l'histoire est terrible pour un récit policier avec une touche d'humour très noir. En effet, comme on est tous le con de quelqu'un, le sujet est très vaste pour le héros. D'ailleurs, tout au long de l'histoire le héros doit expérimenter pour trouver les cons et ne pas se tromper de cible. Car la finalité est de tuer le con en question pour le bien personnel du héros mais aussi celui du voisinage puis de l'ensemble de la population. Le crime n'est plus une faute puisqu'il rend servie au plus grand nombre. De plus, notre héros en recherche de travail suite à une carrière de musicien inexistante, dénonce quelques problématiques de notre société et de l'administration. Les dessins d'Alexis Saint-Georges sont parfaits dans un style réaliste pour convenir au récit policier même si certains personnages sont caricaturés pour exagérer leurs expressions. Mort aux cons est une excellente surprise, je ne m'attendais pas à apprécier autant ce titre en compagnie de ce tueur de sang-froid avec un jugement catégorique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mort-aux-cons?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Nottingham - Tome 2 - La Traque

    Bon quand le plus grand défaut d'un tome d'une série de BD en cours est d'être trop court c'est que globalement c'est une réussite. C'est exactement le cas avec ce Nottingham, qui après un premier tome qui m'avait enthousiasmé confirme bien mon intérêt avec ce tome 2 toujours dynamique et graphiquement superbe. L'histoire avance tranquillement et même si, une fois la bd refermée, on se demande si ce n'était pas trop court, quand on prend le temps d'y repenser, la réponse devient évidente : c'était très bon et on en veut juste encore. Une narration maîtrisée et fluide, sans fioritures mais mettant en avant le parfum d'aventure et de romanesque de ce Robin des bois sauce moyenâgeuse. Le dessin et l'ambiance me rappelle furieusement le Troisième Testament, et ce n'est pas un mince compliment dans ma bouche. Reste que, ne nous leurrons pas, du fait d'enjeux moins élevés, le parfum épique qui en ressort au final est moindre. Ne boudons pas pour autant notre plaisir, car en série médiévale réaliste, je n'ai guère d'équivalent à ce Nottingham à vous proposer en ce moment. Un bonbon !
  21. Titre de l'album : Nottingham - Tome 2 - La Traque Scenariste de l'album : Vincent Brugeas et Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Benoît Dellac Coloriste : Denis Béchu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Pour mieux mener son combat contre le Prince Jean, le shérif de Nottingham a créé un mythe : la « capuche de Sherwood ». Mais la ligne est fine entre légende et mensonge. Et si les premières rassemblent, les seconds divisent. Au sortir du braquage de l'or de Morville et de ses conséquences sanglantes, les alliés d'hier sont aujourd'hui à couteaux tirés... lorsqu'ils se parlent encore. William est empêtré dans la toile de ses secrets. Et cette dernière l'empêche de voir que, depuis Londres, le Prince Jean prépare sa riposte... Critique : Bon quand le plus grand défaut d'un tome d'une série de BD en cours est d'être trop court c'est que globalement c'est une réussite. C'est exactement le cas avec ce Nottingham, qui après un premier tome qui m'avait enthousiasmé confirme bien mon intérêt avec ce tome 2 toujours dynamique et graphiquement superbe. L'histoire avance tranquillement et même si, une fois la bd refermée, on se demande si ce n'était pas trop court, quand on prend le temps d'y repenser, la réponse devient évidente : c'était très bon et on en veut juste encore. Une narration maîtrisée et fluide, sans fioritures mais mettant en avant le parfum d'aventure et de romanesque de ce Robin des bois sauce moyenâgeuse. Le dessin et l'ambiance me rappelle furieusement le Troisième Testament, et ce n'est pas un mince compliment dans ma bouche. Reste que, ne nous leurrons pas, du fait d'enjeux moins élevés, le parfum épique qui en ressort au final est moindre. Ne boudons pas pour autant notre plaisir, car en série médiévale réaliste, je n'ai guère d'équivalent à ce Nottingham à vous proposer en ce moment. Un bonbon ! Autres infos : chaudement recommandé Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nottingham-tome-2-la-traque?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    La conférence

    Assez malheureusement j'ai toujours eu un peu de mal avec la philosophie. Et je pense sincèrement que pour apprécier cette BD inspirée de Frank Kafka, il faut avoir cette fibre philosophique pour bien apprécier la réflexion faites par l'auteur sur l'évolution de l'homme et sa définition même de part un apprentissage qui permet d'aller au-delà de sa "nature" profonde. Car c'est de cela que traite notre histoire : d'un singe devenu homme et de son point de vue sur son évolution. Et je n'ai réussi qu'à être spectateur de ce récit. Si graphiquement c'est très joli et donc agréable à lire avec des superbes pleines planches, il m'a manqué quelque chose lors de la lecture de ce monologue. Si vous êtes comme moi, je ne pourrais vous conseiller cette BD. Si par contre vous aimez les BDs qui poussent à la réflexion sur le genre humain, celle-ci vous plaira sans aucun doute !
  23. poseidon2

    La conférence

    Titre de l'album : La conférence Scenariste de l'album : Mahi Grand d'apres Kafka Dessinateur de l'album : Mahi Grand Coloriste : Mahi Grand Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Un homme est invité à l'Académie des Sciences pour raconter son expérience, celle de sa fabuleuse métamorphose : en cinq années, il est passé de la condition de singe à celle d'homme, jusqu'à en perdre une partie de son apparence simiesque... Capturé en Afrique, il est envoyé en Europe à bord d'un navire. Il comprend que sa seule issue pour échapper à l'enfermement sera de renoncer à sa nature de singe et de s'adapter au monde des hommes. La condition de sa survie : courber l'échine, consentir à tout et observer l'homme pour mieux l'imiter, il devra le singer en tous points, jusqu'aux moindres défauts et perversions... Jusqu'à devenir humain pour autant ? Critique : Assez malheureusement j'ai toujours eu un peu de mal avec la philosophie. Et je pense sincèrement que pour apprécier cette BD inspirée de Frank Kafka, il faut avoir cette fibre philosophique pour bien apprécier la réflexion faites par l'auteur sur l'évolution de l'homme et sa définition même de part un apprentissage qui permet d'aller au-delà de sa "nature" profonde. Car c'est de cela que traite notre histoire : d'un singe devenu homme et de son point de vue sur son évolution. Et je n'ai réussi qu'à être spectateur de ce récit. Si graphiquement c'est très joli et donc agréable à lire avec des superbes pleines planches, il m'a manqué quelque chose lors de la lecture de ce monologue. Si vous êtes comme moi, je ne pourrais vous conseiller cette BD. Si par contre vous aimez les BDs qui poussent à la réflexion sur le genre humain, celle-ci vous plaira sans aucun doute ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-conference?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Adlivun

    Vincenzo Balzano construit son histoire à partir du mystère qui entoure le navire Mary Celeste retrouvé au XIX ème siècle proche du détroit de Gibraltar et de deux autres navires disparut au XV ème siècle. L'auteur nous emporte dans une expédition en antarctique, pour un sauvetage qui ressemble dès le départ à une mission suicide pour l'équipage. Balzano développe très vite une partie fantastique en se servant des croyances et coutumes des inuits. Il est amusant de retrouver un personnage ayant voyagé sur le Pequod dans cette histoire en référence au fameux Moby Dick. Le docteur à bord est le seul à plonger avec le scaphandre pour explorer les épaves des navires à la recherche d’indices ou d’explications. Vincenzo Balzano réalise aussi la partie graphique avec des aquarelles en pleine page pour donner une ambiance inquiétante au récit. Souvent l'auteur donne les visions de l'équipage avec des fantômes et autres présences surréaliste comme le passage avec les cavaliers en pleine mer. Après Clinton road du même auteur, j'ai trouvé plus abouti Adlivun avec une montée progressive du suspense pour essayer de comprendre ce qu'il se passe.
  25. alx23

    Adlivun

    Titre de l'album : Adlivun Scenariste de l'album : Vincenzo Balzano Dessinateur de l'album : Vincenzo Balzano Coloriste : Vincenzo Balzano Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : 1847, Angleterre. Le Mary Céleste, navire du capitaine Briggs, est accosté au port de Douvres. Les autorités britanniques sont à la recherche d'hommes assez téméraires pour retrouver l'Erebus et le Terror, deux vaisseaux d'exploration disparus il y a un peu plus d'un an lors d'une expédition en Arctique. Motivés par une belle récompense, Briggs et son équipage décident d'entreprendre la mission de sauvetage. Mais une fois arrivés en terre inuit, ils tombent sur un navire fantôme, trop petit pour être l'Erebus ou le Terror. Leur périple prend alors une tournure inattendue... Après Clinton Road, Vincenzo Balzano étend son exploration de l'imaginaire fantastique, avec un récit d'aventure haletant en terre arctique. Critique : Vincenzo Balzano construit son histoire à partir du mystère qui entoure le navire Mary Celeste retrouvé au XIX ème siècle proche du détroit de Gibraltar et de deux autres navires disparut au XV ème siècle. L'auteur nous emporte dans une expédition en antarctique, pour un sauvetage qui ressemble dès le départ à une mission suicide pour l'équipage. Balzano développe très vite une partie fantastique en se servant des croyances et coutumes des inuits. Il est amusant de retrouver un personnage ayant voyagé sur le Pequod dans cette histoire en référence au fameux Moby Dick. Le docteur à bord est le seul à plonger avec le scaphandre pour explorer les épaves des navires à la recherche d’indices ou d’explications. Vincenzo Balzano réalise aussi la partie graphique avec des aquarelles en pleine page pour donner une ambiance inquiétante au récit. Souvent l'auteur donne les visions de l'équipage avec des fantômes et autres présences surréaliste comme le passage avec les cavaliers en pleine mer. Après Clinton road du même auteur, j'ai trouvé plus abouti Adlivun avec une montée progressive du suspense pour essayer de comprendre ce qu'il se passe. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adlivun?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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