Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'bd'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Marshal Bass tome 7 - Maître Bryce Scenariste de l'album : Darko Macan Dessinateur de l'album : Igor Kordey Coloriste : Nikola Vitkovic Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : C'est un temps d'allégresse pour la famille Bass. La fête bat son plein. L'après-midi est douce, les souvenirs vont bon train... Mais l'histoire que tout le monde a envie d'entendre est celle de Marshal Bass, lorsqu'il était sous les ordres terribles de Maître Bryce. C'est l'histoire du jour où tout à basculé, où River Bass est devenu l'homme que l'on connaît. Critique : Darko Macan poursuit les aventures du Marshal Bass avec un épisode sur la jeunesse du Marshal alors qu'il était encore esclave dans le sud des États-Unis. L'histoire est sombre comme souvent dans cette série mais se veut réaliste avec les esclavagistes et leurs méthodes cruelles. Maître Bryce va apprendre au Marshal Bass alias River Bas comment tirer au fusil en échange d'un gain de pari pas tenu par Bryce. Les deux jeunes hommes vont parcourir les villes en quêtes de petits délits et autres jeux d'argent ou souvent la vie de Bass est mise en gage. Le sort de Marshal Bass revient sur cet esclave affranchis qui devient marshal après avoir été soldat durant la guerre de sécession. L’auteur semble avoir encore quelques histoires intéressantes pour son Marshal. Igor Kordey réalise un travail très minutieux sur cette série de western ou alors son style convient mieux au genre. Kordey travaille à une vitesse surprenante sur toutes ses séries avec déjà 6 albums sortis durant 2021. On retrouve toujours une touche de Richard Corben dans son trait. Les albums s’enchainent mais la qualité des histoires et des dessins est au rendez-vous pour notre plus grand plaisir avec ce western épique et violent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marshal-bass-tome-7-maitre-bryce/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Ce quatrième tome clôture la série avec beaucoup d'évènements et d'action avec peut-être un peu trop de précipitation mais la fin reste ouverte pour un éventuel deuxième cycle. Tous les personnages sont réunis pour trouver l'œuf de dragon avec des intérêts qui divergent pour son utilisation et surtout qui doit le posséder. Quelques personnages principaux vont mourir dans cette suite d'action avec des dragons et les derniers membres de la compagnie blanche. On a l'impression que l'histoire prend des raccourcis ou facilités pour donner une conclusion à la série. En tout cas, on ne s'ennuie pas avec ce quatrième tome même si les dragons sont peu présents au profit du dernier œuf de ces monstres. Les dessins de Lajos Farkas sont de qualités comme depuis sa reprise de la série à partir du deuxième tome. L’univers héroic fantasy est bien représenté sans fourmiller de détails et de finition des cases. Cette série était agréable à lire pour tous les amateurs du genre avec des dragons et la fin de leur règne ainsi que leur espèce en voie de disparition.
  3. Titre de l'album : Le dernier dragon tome 4 - Le retour du Drakon Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Lajos Farkas Coloriste : Thorn Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les survivants de la compagnie de mercenaires sont emprisonnés à Damas, dans la forteresse où se trouve le dernier oeuf de dragon. Pour Draga la sorcière Drac, Umas la dragonnière et Amaury le condottière, c'est l'ultime chance avant que l'oeuf éclose : il faut s'en emparer et libérer les mercenaires. Mais rien ne va se passer comme prévu... Critique : Ce quatrième tome clôture la série avec beaucoup d'évènements et d'action avec peut-être un peu trop de précipitation mais la fin reste ouverte pour un éventuel deuxième cycle. Tous les personnages sont réunis pour trouver l'œuf de dragon avec des intérêts qui divergent pour son utilisation et surtout qui doit le posséder. Quelques personnages principaux vont mourir dans cette suite d'action avec des dragons et les derniers membres de la compagnie blanche. On a l'impression que l'histoire prend des raccourcis ou facilités pour donner une conclusion à la série. En tout cas, on ne s'ennuie pas avec ce quatrième tome même si les dragons sont peu présents au profit du dernier œuf de ces monstres. Les dessins de Lajos Farkas sont de qualités comme depuis sa reprise de la série à partir du deuxième tome. L’univers héroic fantasy est bien représenté sans fourmiller de détails et de finition des cases. Cette série était agréable à lire pour tous les amateurs du genre avec des dragons et la fin de leur règne ainsi que leur espèce en voie de disparition. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-dernier-dragon-tome-4-le-retour-du-drakon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    L'homme de l'année Tome 18 : 1933

    La saga de l'homme de l'année se poursuit avec l'année 1933 et cette fois sur l'homme qui inventa King Kong. Jean-Pierre Pécau revient sur les deux amis et réalisateurs qui vont créer le film mythique avec cette énorme singe. L'idée est dure à vendre aux producteurs mais dès les premiers rushs montrés, les deux réalisateurs ont le faux vert pour poursuivre le film. Ainsi on suit les évènements et les nombreuses problématiques que Cooper et Schoedsack ont rencontré dans la réalisation de leur film jusqu'à l'absence de scénario. Les dessins de Dejan Nenadov sont dans un style très réalistes pour permettre aux lecteurs de rentrer dans l'histoire de la création du monstre King Kong. L'auteur dessine des planches très détaillées des villes mais aussi des décors de cinéma. Il est intéressant de voir les effets spéciaux de l'époque grâce au cadrage de l'auteur. Les séquences de film en noir et blancs ont une ambiance très réussie. Ce nouveau tome de l'homme de l'année devrait ravir les amateurs de documentaires sur le cinéma et autres anecdotes ou alors aux amateurs de King Kong.
  5. Titre de l'album : L'homme de l'année Tome 18 : 1933 Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Dejan Nenadov Coloriste : Pierre Schelle Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : L'incroyable histoire des créateurs du gorille le plus célèbre de l'histoire du cinéma ! Quand la réalité dépasse la fiction ! Qui ne connaît pas King Kong ? Mais qui connaît ses créateurs, Cooper et Schoedsack ? Deux amis, deux, réalisateurs de documentaires à succès. King Kong sera l'unique film qu'ils produiront ensemble. Cooper deviendra producteur, Schoedsack tournera Le Fils de Kong, Les Chasses du comte Zaroff et interprétera le rôle du mitrailleur qui abat King Kong en haut de l'Empire State : tout un symbole ! Critique : La saga de l'homme de l'année se poursuit avec l'année 1933 et cette fois sur l'homme qui inventa King Kong. Jean-Pierre Pécau revient sur les deux amis et réalisateurs qui vont créer le film mythique avec cette énorme singe. L'idée est dure à vendre aux producteurs mais dès les premiers rushs montrés, les deux réalisateurs ont le faux vert pour poursuivre le film. Ainsi on suit les évènements et les nombreuses problématiques que Cooper et Schoedsack ont rencontré dans la réalisation de leur film jusqu'à l'absence de scénario. Les dessins de Dejan Nenadov sont dans un style très réalistes pour permettre aux lecteurs de rentrer dans l'histoire de la création du monstre King Kong. L'auteur dessine des planches très détaillées des villes mais aussi des décors de cinéma. Il est intéressant de voir les effets spéciaux de l'époque grâce au cadrage de l'auteur. Les séquences de film en noir et blancs ont une ambiance très réussie. Ce nouveau tome de l'homme de l'année devrait ravir les amateurs de documentaires sur le cinéma et autres anecdotes ou alors aux amateurs de King Kong. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-de-l-annee-tome-18-1933?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Ce tome dix maque la fin d'une bien belle série jeunesse. Porté par de dessins dynamiques et une coloration très flashy pour 2015, cette série a rapidement trouvé son public chez les grands enfants. Mais après la surprise du tome 7 (qui était surprenant ça n'était pas la fin), on avait un peu peur que la série ne s'éternise. Cette fin au tome 10 est donc une bonne chose surtout que Kid Toussaint réussi à sortir du panier de crabe dans lequel il était tombé. En effet en faisant grandi les enfants il était partit sur la pente savonneuse du devoir du héros à contrôler le monde tout ça tout ça. Questionnement que même Marvel n'a jamais vraiment osé aborder. Là il nous livre une fin globalement très sympa. SI le conflit avec le dictateur du Dadjoustan est vraiment la juste histoire d'avoir un décor, le coup de la rencontre avec le mage unique est bien pensée et permet une fin de série tout en douceur. Je suis un peu moins fan du choix de changer de dessinateur pour la partie dans le passé. En effet le style graphique est trop diffèrent et cela ne rend pas très bien. Reste qu'en 10 tomes Magic 7 a réussi à se faire une belle place dans le haut de la pile des séries jeunes à conseiller et ce, de bout en bout.
  7. Titre de l'album : Magic 7 t10 (fin) : le Commencement Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Kenny Ruiz Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Les sept sont en route pour le Dadjoustan où règne un cruel dictateur. Pour Léo et ses compagnons, c'est la dernière mission avant de rentrer définitivement chez eux. Tout se passe bien car aucune armée ne peut résister aux pouvoirs combinés des sept adolescents. Ils ne savent pas qu'ils vont tomber dans un piège qui vise à les priver de leurs pouvoirs... et à les exterminer! Mais les sept se déchirent sur la suite des opérations et Léo propose alors d'aller demander conseil au Mage Unique... au Moyen Âge! Critique : Ce tome dix maque la fin d'une bien belle série jeunesse. Porté par de dessins dynamiques et une coloration très flashy pour 2015, cette série a rapidement trouvé son public chez les grands enfants. Mais après la surprise du tome 7 (qui était surprenant ça n'était pas la fin), on avait un peu peur que la série ne s'éternise. Cette fin au tome 10 est donc une bonne chose surtout que Kid Toussaint réussi à sortir du panier de crabe dans lequel il était tombé. En effet en faisant grandi les enfants il était partit sur la pente savonneuse du devoir du héros à contrôler le monde tout ça tout ça. Questionnement que même Marvel n'a jamais vraiment osé aborder. Là il nous livre une fin globalement très sympa. SI le conflit avec le dictateur du Dadjoustan est vraiment la juste histoire d'avoir un décor, le coup de la rencontre avec le mage unique est bien pensée et permet une fin de série tout en douceur. Je suis un peu moins fan du choix de changer de dessinateur pour la partie dans le passé. En effet le style graphique est trop diffèrent et cela ne rend pas très bien. Reste qu'en 10 tomes Magic 7 a réussi à se faire une belle place dans le haut de la pile des séries jeunes à conseiller et ce, de bout en bout. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magic-7-tome-10-le-commencement?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. C'est peu dire que l'on a eu la dent dure sur le premier tome de Raven. Moi le premier j'attendais M. Lauffray au tournant après son fabuleux Long John Silver. Evidemment quand on a réalisé une telle BD qui a marqué une génération complète de lecteurs et qui fait partie des classiques de la BD pour beaucoup d'entre nous, revenir sur le même thème et seul à la réalisation était tout sauf évident. L'accueil fut d'ailleurs relativement frais, et si à peu près tout le monde à loué la qualité de cette BD, il faut bien reconnaitre qu'on fut nombreux à être un peu déçus. Au point que cette sortie phare de chez Dargaud ne soit chroniquée chez nous que début Novembre alors qu'elle est parut il y a plus d'un mois. Oui nous avions des attentes énormes, et ce Raven ne les a pas comblées. Mais le pouvait-il seulement ? Le tome 2 était donc l'occasion pour M. Lauffray de me donner tord et de me montrer que oui, il fait bien partie de ces génies de la BD capable d'écrire, de dessiner, de mettre en scène et en image une histoire. Indubitablement il faut reconnaitre que ce tome 2 est très bon. Le rythme est soutenu, et parfaitement géré, l'aventure est chouette, et l'on se sent revivre finalement une autre Ile au trésor. Ce qui à propos de beaucoup de BD se révèlerait être un compliment (après tout, n'a-t-on pas ici aussi encensé à juste titre Jim Hawkins ?) devient ici un fardeau. Oui ce tome 2 nous laisse encore un petit goût amer à la fin. Par goût de trop peu ? par envie de plus ? par manque d'originalité ? Ou simplement parce qu'on attendait de l'auteur qu'il nous livre une nouvelle fois un classique ? Je ne sais pas trop vous le dire. Ce que je sais par contre c'est que ce tome 2 m'a semblé intrinsèquement meilleur que le premier. Il est tout d'abord presque aussi sublime, certaines planches étant de vraies merveilles. Mais d'un point de vue du scénario et des personnages, les intrigues qui se dessinent semblent plus prometteuses que celles esquissées dans le premier tome. Le rythme est bon, certaines scènes sont du cinéma sur papier et je ne peux que saluer le travail. Je ne sais pas encore si ce Raven peut prétendre à devenir mieux qu'une simple très bonne histoire de Pirates, mais il faut reconnaitre qu'il se bonifie singulièrement avec ce second tome épique. Restera à Matthieu Lauffray le défi peut être le plus complexe : réinventer une nouvelle fois un mythe, pour que ce Raven trouve son identité propre, hors des pas de ses glorieuses inspirations.
  9. Titre de l'album : Raven - Tome 2 - Les contrées infernales Scenariste de l'album : Mathieu Lauffray Dessinateur de l'album : Mathieu Lauffray Coloriste : Mathieu Lauffray Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Malgré la moiteur de l'île du Morne-au-Diable, les retrouvailles entre Raven et Lady Darksee sont glaciales. En brûlant la carte du trésor de Chichen Itza, le hardi pirate a joué un bien vilain tour à sa Némésis. Désormais, seul Raven sait où se cache le magot. Une expédition, commandée par Darksee, s'organise pour récupérer le butin, caché sur les terres de terribles cannibales. Sur le camp, les rescapés du naufrage préparent leur départ. Mais le comte et sa famille n'en mènent pas large et ils savent qu'ils ne peuvent pas faire confiance à Darksee pour les ramener sains et sauf à Tortuga... Tout est en place pour que le spectacle commence ! Critique : C'est peu dire que l'on a eu la dent dure sur le premier tome de Raven. Moi le premier j'attendais M. Lauffray au tournant après son fabuleux Long John Silver. Evidemment quand on a réalisé une telle BD qui a marqué une génération complète de lecteurs et qui fait partie des classiques de la BD pour beaucoup d'entre nous, revenir sur le même thème et seul à la réalisation était tout sauf évident. L'accueil fut d'ailleurs relativement frais, et si à peu près tout le monde à loué la qualité de cette BD, il faut bien reconnaitre qu'on fut nombreux à être un peu déçus. Au point que cette sortie phare de chez Dargaud ne soit chroniquée chez nous que début Novembre alors qu'elle est parut il y a plus d'un mois. Oui nous avions des attentes énormes, et ce Raven ne les a pas comblées. Mais le pouvait-il seulement ? Le tome 2 était donc l'occasion pour M. Lauffray de me donner tord et de me montrer que oui, il fait bien partie de ces génies de la BD capable d'écrire, de dessiner, de mettre en scène et en image une histoire. Indubitablement il faut reconnaitre que ce tome 2 est très bon. Le rythme est soutenu, et parfaitement géré, l'aventure est chouette, et l'on se sent revivre finalement une autre Ile au trésor. Ce qui à propos de beaucoup de BD se révèlerait être un compliment (après tout, n'a-t-on pas ici aussi encensé à juste titre Jim Hawkins ?) devient ici un fardeau. Oui ce tome 2 nous laisse encore un petit goût amer à la fin. Par goût de trop peu ? par envie de plus ? par manque d'originalité ? Ou simplement parce qu'on attendait de l'auteur qu'il nous livre une nouvelle fois un classique ? Je ne sais pas trop vous le dire. Ce que je sais par contre c'est que ce tome 2 m'a semblé intrinsèquement meilleur que le premier. Il est tout d'abord presque aussi sublime, certaines planches étant de vraies merveilles. Mais d'un point de vue du scénario et des personnages, les intrigues qui se dessinent semblent plus prometteuses que celles esquissées dans le premier tome. Le rythme est bon, certaines scènes sont du cinéma sur papier et je ne peux que saluer le travail. Je ne sais pas encore si ce Raven peut prétendre à devenir mieux qu'une simple très bonne histoire de Pirates, mais il faut reconnaitre qu'il se bonifie singulièrement avec ce second tome épique. Restera à Matthieu Lauffray le défi peut être le plus complexe : réinventer une nouvelle fois un mythe, pour que ce Raven trouve son identité propre, hors des pas de ses glorieuses inspirations. Autres infos : Pirates ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raven-tome-2-les-contrees-infernales?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Un changement de dessinateur entre un tome 1 réussi et un tome 2 c'est peu courant. Mais un nouveau changement de dessinateur au milieu du tome 2 ça l'est encore moins. J'ai donc posé la question à l'éditeur et dès que j'aurais la réponse promis je vous tiens informé des raisons de cette curiosité. Il faut reconnaitre que si à, première vue, ce n'est guère engageant, le premier tome de Tarzan nous avait ceci dit laissé une très belle impression. Soyons francs, je m'étais régalé à l'époque et c'est donc avec grand plaisir que j'ai dévoré ce tome 2. L'histoire est forcément plus originale que le premier tome puisque celui-ci retraçait simplement la légende de Tarzan telle qu'on la connait. Ce second opus nous livre une histoire moins connue écrite par Edgar Rice Burroughs autour de son personnage de Tarzan. Se déroulant juste après la fin du tome précédent, on y retrouve Tarzan mêlé à une aventure ou le fantastique et l'esprit de Jules Vernes cohabitent afin de livrer au roi de la jungle de nouveaux défis. Si l'on pourrait rester dubitatif sur la cohérence de l'ensemble, le gosse que je suis resté à globalement beaucoup aimé se replonger dans l'univers des histoires d'aventures se son enfance une nouvelle fois. Vous l'aurez compris, sio ce tome 2 est pour moi un cran en dessous du premier, ne prenons donc pas ce Tarzan aussi sérieusement que le précéndent qui brillait par sa noirceur et son atmosphère et ne boudons pas pour autant notre plaisir avec ce Tarzan intrépide et sauvage. A noter que la couverture est réalisée par l'excellent Eric Bourgier.
  11. Titre de l'album : Tarzan - Tome 2 - Au centre de la Terre Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Rob de la Torre & Stefano Raffaelle Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Parti en expédition à la recherche de la légendaire cité d'Opar et de ses trésors, Tarzan va vivre l'une de ses plus palpitantes aventures. Elle le mènera à bord d'un zeppelin jusqu'à Pellucidar, la terre creuse, monde souterrain préhistorique regorgeant de dangers dont il pourrait bien ne pas revenir indemne. Critique : Un changement de dessinateur entre un tome 1 réussi et un tome 2 c'est peu courant. Mais un nouveau changement de dessinateur au milieu du tome 2 ça l'est encore moins. J'ai donc posé la question à l'éditeur et dès que j'aurais la réponse promis je vous tiens informé des raisons de cette curiosité. Il faut reconnaitre que si à, première vue, ce n'est guère engageant, le premier tome de Tarzan nous avait ceci dit laissé une très belle impression. Soyons francs, je m'étais régalé à l'époque et c'est donc avec grand plaisir que j'ai dévoré ce tome 2. L'histoire est forcément plus originale que le premier tome puisque celui-ci retraçait simplement la légende de Tarzan telle qu'on la connait. Ce second opus nous livre une histoire moins connue écrite par Edgar Rice Burroughs autour de son personnage de Tarzan. Se déroulant juste après la fin du tome précédent, on y retrouve Tarzan mêlé à une aventure ou le fantastique et l'esprit de Jules Vernes cohabitent afin de livrer au roi de la jungle de nouveaux défis. Si l'on pourrait rester dubitatif sur la cohérence de l'ensemble, le gosse que je suis resté à globalement beaucoup aimé se replonger dans l'univers des histoires d'aventures se son enfance une nouvelle fois. Vous l'aurez compris, sio ce tome 2 est pour moi un cran en dessous du premier, ne prenons donc pas ce Tarzan aussi sérieusement que le précéndent qui brillait par sa noirceur et son atmosphère et ne boudons pas pour autant notre plaisir avec ce Tarzan intrépide et sauvage. A noter que la couverture est réalisée par l'excellent Eric Bourgier. Autres infos : D'après l'oeuvre d'Edgar Rice Burroughs Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tarzan-tome-2-au-centre-de-la-terre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Ce septième tome démarre le deuxième cycle de la grande saga des 5 Terres, où l'on va découvrir Alysandra la plus grande cité du peuple des singes. Après toutes les tentatives de complots de trahisons à Angleon au sein de la capitale des félins, on débarque à Alysandra avec Keona qui était retenue prisonnière à Angleon avec trois autres émissaires de peuples différents. Le collectif de scénaristes nous réserve bien des aventures à venir et nous présente les nouveaux protagonistes qui seront les héros de ce second cycle à venir. Les lecteurs seront ravis de prendre en compte les enjeux avec le peuple des singes qui relance l'intérêt de cette série d'intrigue au cœur des gouvernements. Les dessins de Jérôme Lereculey sont parfaits comme pour les albums précédents et l'on peut profiter des nouveaux décors qui s'offrent à nous avec la cité des singes. Trois albums sont déjà programmés pour l'année 2022, ce qui devrait nous tenir en haleine durant toute l'année. Un album en noir et blanc en édition limitée accompagne aussi la sortie de ce septième épisode.
  13. Titre de l'album : Les 5 terres tome 7 - L'heure du cadeau Scenariste de l'album : Lewelyn Dessinateur de l'album : Jérôme Lereculey Coloriste : Dimitris Martinos Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les bas-fonds d'Alysandra, capitale du royaume des singes, bruissent de la rumeur : Alissa, la terrible héritière du clan du Sistre est sortie de prison. Un retour qui va mettre le feu aux poudres... Alysandra est en fête : Keona, la fille de la reine, est de retour parmi les siens. Dans les bas-fonds du treizième quartier, c'est une autre libération qu'on célèbre : celle de la redoutable Alissa. Son oncle Djen, qui a pris la tête du clan du Sistre, s'apprête à lui remettre les clés d'un royaume clandestin... Qui va soudain être ébranlé par un événement aussi inattendu que brutal. Critique : Ce septième tome démarre le deuxième cycle de la grande saga des 5 Terres, où l'on va découvrir Alysandra la plus grande cité du peuple des singes. Après toutes les tentatives de complots de trahisons à Angleon au sein de la capitale des félins, on débarque à Alysandra avec Keona qui était retenue prisonnière à Angleon avec trois autres émissaires de peuples différents. Le collectif de scénaristes nous réserve bien des aventures à venir et nous présente les nouveaux protagonistes qui seront les héros de ce second cycle à venir. Les lecteurs seront ravis de prendre en compte les enjeux avec le peuple des singes qui relance l'intérêt de cette série d'intrigue au cœur des gouvernements. Les dessins de Jérôme Lereculey sont parfaits comme pour les albums précédents et l'on peut profiter des nouveaux décors qui s'offrent à nous avec la cité des singes. Trois albums sont déjà programmés pour l'année 2022, ce qui devrait nous tenir en haleine durant toute l'année. Un album en noir et blanc en édition limitée accompagne aussi la sortie de ce septième épisode. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-5-terres-tome-7-l-heure-du-cadeau/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Empire Falls Building

    Décidément la collection Noctambule de chez Soleil n'en finit plus de m'épater. Après un Dernier souffle exaltant et original, cet Empire Falls Building vient tout simplement prétendre au titre de la BD la plus originale, osée, et créative de l'année. Je ne vous spoile pas, mais l'idée des calques est vraiment une réussite, dont le seul bémol est leur sous exploitation, on ne voulait plus. Pour le reste entre le dessin terriblement touchant et émotionnel de Tommy Redolfi et l'histoire toute en poésie, en finesse, en ouvertures et en atmosphère de Jean-Christophe Deveney, cet Empire Falls Building est un Ovni que certains aimeront lire et découvrir tandis que d'autres ne dépasseront pas la dixième page... Impossible de rester indifférent je pense. Si en plus vous êtes fans d'architecture, alors je serais plus clair : vous devriez la lire. Je fustige régulièrement les éditions soleil pour leur manque de créativité mais il faut bien reconnaitre qu'ils font un très solide boulot sur leur gamme Noctambule. J'espère simplement que cette gamme trouvera son public.
  15. Titre de l'album : Empire Falls Building Scenariste de l'album : Jean-Christophe Deveney Dessinateur de l'album : Tommy Redolfi Coloriste : Tommy Redolfi Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Edgard Whitman, jeune architecte prometteur, est engagé par le richissime homme d'affaires Kosmo Vassilian pour achever la construction de l'Empire Falls Building, son célèbre et monumental hôtel new-yorkais, pourtant flambant neuf. L'architecte est alors loin d'imaginer que cette entreprise va le conduire au-delà de ce qu'il pensait réalisable, au-delà de ses propres limites... Critique : Décidément la collection Noctambule de chez Soleil n'en finit plus de m'épater. Après un Dernier souffle exaltant et original, cet Empire Falls Building vient tout simplement prétendre au titre de la BD la plus originale, osée, et créative de l'année. Je ne vous spoile pas, mais l'idée des calques est vraiment une réussite, dont le seul bémol est leur sous exploitation, on ne voulait plus. Pour le reste entre le dessin terriblement touchant et émotionnel de Tommy Redolfi et l'histoire toute en poésie, en finesse, en ouvertures et en atmosphère de Jean-Christophe Deveney, cet Empire Falls Building est un Ovni que certains aimeront lire et découvrir tandis que d'autres ne dépasseront pas la dixième page... Impossible de rester indifférent je pense. Si en plus vous êtes fans d'architecture, alors je serais plus clair : vous devriez la lire. Je fustige régulièrement les éditions soleil pour leur manque de créativité mais il faut bien reconnaitre qu'ils font un très solide boulot sur leur gamme Noctambule. J'espère simplement que cette gamme trouvera son public. Autres infos : A découvrir Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/empire-falls-building?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Kong Crew t2 Hudson Megalodon

    Eric Herenguel s'est fait attendre pour ce tome 2. 2 ans. Ça peut paraitre peu mais quand on attend une BD ça fait beaucoup. Parce que ce tome 2 de Kong Crew était attendu par tous les fans de films d'aventures des années 80-90. Et si je dois bien dire que le cité aventure et ce qu'il se passe sur l'ile m'a enchanté, je l'ai été un peu moins par la partie sur le chien. SI on comprend la métaphore, je trouve qu'on passe trop de temps à parler de cela alors qu'on pourrait avancer sur les différents fronts des hommes qui tentent de survivre dans l'ile. Parce que dans l'ile ça déménage. Entre possible raison de ce gros bazar, Virgil qui drague et des marines en déroutent, il y a de quoi raconter et continuer de nous raconter. Alors les périodes hors de l'ile paraissent un peu pauvres et trop nombreuses. Bon on reste quand même sur un super divertissement rempli de clin d'œil et de planche sublime signée Eric Herenguel !
  17. Titre de l'album : Kong Crew t2 Hudson Megalodon Scenariste de l'album : Eric Herenguel Dessinateur de l'album : Eric Herenguel Coloriste : Eric Herenguel Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Alors que Virgil se retrouve aux mains d’étranges et dangereuses amazones, des éléments du passé refont surface, permettant d’élucider certains mystères. Vous voulez savoir d’où provient cette mystérieuse faune qui semble s'être installée en plein cœur de Manhattan ? Où sont passés Jonas et Irvin ? Quand aura lieu la prochaine rencontre avec le fameux Kong ? Si Betty aura enfin des nouvelles de Virgil et, surtout... ce qui est arrivé à votre teckel préféré ? Dans ce cas, envolez-vous une nouvelle fois aux côtés de l’escadron d’élites de Manhattan ! Critique : Eric Herenguel s'est fait attendre pour ce tome 2. 2 ans. Ça peut paraitre peu mais quand on attend une BD ça fait beaucoup. Parce que ce tome 2 de Kong Crew était attendu par tous les fans de films d'aventures des années 80-90. Et si je dois bien dire que le cité aventure et ce qu'il se passe sur l'ile m'a enchanté, je l'ai été un peu moins par la partie sur le chien. SI on comprend la métaphore, je trouve qu'on passe trop de temps à parler de cela alors qu'on pourrait avancer sur les différents fronts des hommes qui tentent de survivre dans l'ile. Parce que dans l'ile ça déménage. Entre possible raison de ce gros bazar, Virgil qui drague et des marines en déroutent, il y a de quoi raconter et continuer de nous raconter. Alors les périodes hors de l'ile paraissent un peu pauvres et trop nombreuses. Bon on reste quand même sur un super divertissement rempli de clin d'œil et de planche sublime signée Eric Herenguel ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-kong-crew-tome-2-hudson-megalodon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Suite et fin de ce cycle entamé par Hautière et Reno , démarré en 2011 ! Ils avaient marqué une rupture graphique importante avec ces dessins plus "réalistes" , plus cinématographiques . On aime ou on aime pas , je le conçois . Etant fan de l'univers de Nao depuis ses débuts , j'ai adhéré totalement . Hautière se sert de problématiques actuelles telles l'écologie , la colonisation pour tisser son histoire et cela fonctionne parfaitement . Trahisons , vaisseaux spatiaux , mékas , lagons , surprises aussi , le cycle termine en feux d'artifices . Je dois préciser cependant que mes anciens Aquablue sont dans les cartons et je ne me souvenais plus tout à fait des tenants et aboutissants , j'aurai des blans à combler lorsque je relirai tout d'une traite . Il faut noter que la fin est une fin au sens propre du terme . Soit ils repartent sur un nouveau cycle , soit ils arrêtent . Avec toutes ces séries interminables , je trouve la démarche bienvenue . Un bon opus , dans la lignée des précédents , qui devrait combler les amateurs de l'autre planète bleue . Rakahanga Par @Kevin Nivek
  19. Titre de l'album : Aquablue T17 - La nuit de la miséricorde Scenariste de l'album : Hautière Dessinateur de l'album : Reno Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Terrorisme, écologie, xénophobie, extrémisme religieux, ce cycle, Retour aux Sources, aura abordé des sujets très en phase avec l'actualité et se conclue avec un formidable et généreux épisode de résolution. Sur Aquablue, Landon préside un banquet entre indigènes et colons humains pour célébrer l'apaisement et organiser la vie future en bonne entente. Nao, toujours prisonnier de son mystérieux geôlier, assiste à l'évènement par écran interposé. Bientôt le spectacle tourne au cauchemar et la situation s'embourbe. Il ne reste guère de solution diplomatique : « Si tu veux la paix, prépare la guerre ». Critique : Suite et fin de ce cycle entamé par Hautière et Reno , démarré en 2011 ! Ils avaient marqué une rupture graphique importante avec ces dessins plus "réalistes" , plus cinématographiques . On aime ou on aime pas , je le conçois . Etant fan de l'univers de Nao depuis ses débuts , j'ai adhéré totalement . Hautière se sert de problématiques actuelles telles l'écologie , la colonisation pour tisser son histoire et cela fonctionne parfaitement . Trahisons , vaisseaux spatiaux , mékas , lagons , surprises aussi , le cycle termine en feux d'artifices . Je dois préciser cependant que mes anciens Aquablue sont dans les cartons et je ne me souvenais plus tout à fait des tenants et aboutissants , j'aurai des blans à combler lorsque je relirai tout d'une traite . Il faut noter que la fin est une fin au sens propre du terme . Soit ils repartent sur un nouveau cycle , soit ils arrêtent . Avec toutes ces séries interminables , je trouve la démarche bienvenue . Un bon opus , dans la lignée des précédents , qui devrait combler les amateurs de l'autre planète bleue . Rakahanga Par @Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aquablue-tome-17-la-nuit-de-la-misericorde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Morgue pleine

    J'ai toujours voulu me lancer dans ces adaptations de Manchette par Cabanes. N'étant pas un fan de polar je l'interrogeais plus sur l'adaptation d'un polar en BD. En effet le genre pur de polar est un genre lent, plein de réflexion, de critique de la société au travers du regard du personnage principal souvent désabusé. Un cocktail qui se passe souvent de dialogue et est plutôt dans la description. J'étais curieux de savoir comment adapter cette partie "voix off" en BD. Et bien j'ai ma réponse : cela ne s'adapte pas. Alors ne vous trompez pas. Cabanes ne livre pas une version tronquée de l'histoire. Non non. Il livre l'histoire. Pour tout vous avouer milieu de l'album je me suis dit qu'il y avait moins de texte dans Blake et Mortimer. En effet Cabanes choisit de retranscrire l'ambiance avec son dessin mais de ne pas toucher aux complexes pensées de son privé. C'est à mon avis le bon choix car surement le seul qui permet de ne pas trahir l'œuvre originale. Par contre cela rend la lecture.... longue. Très longue. Sans mentir il m'a fallu 3 semaines pour le finir. Les semaines avants Noel étant chargée, je me suis invariablement endormi dessus un certain nombre de soir. Ce qui prouve la qualité de l'album, c'est que cela n'a en rien gâché mon plaisir de lire l'histoire et de vouloir savoir la fin. C'est juste à savoir. Cela m'a tout de même montré que ce genre d'adaptation était surtout à destination des fans du genre ce que je ne suis pas. Mais je suis content de mon expérience et j'encourage toute personne à la tenter.
  21. poseidon2

    Morgue pleine

    Titre de l'album : Morgue pleine Scenariste de l'album : Cabanes adapte Manchette Dessinateur de l'album : Cabanes Coloriste : Cabanes Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Paris, 1975 : les années pop, le papier mural à fleurs, les pattes d'eph'... Eugène Tarpon, un ex-gendarme désabusé, a quitté la police à la suite d'une bavure pour s'établir détective privé à son compte. Tarpon est un brave type au grand coeur, toujours prêt à défendre les plus faibles. Mais la chance lui tourne décidément le dos... Un soir, après quelques verres de trop, il décide de renoncer à son nouveau métier et de retourner vivre chez sa mère, en province. C'est alors qu'au beau milieu de la nuit, Tarpon voit débouler à sa porte une jeune femme en état de choc, qui répond au doux nom de Memphis Charles. Memphis a un sérieux problème : sa colocataire a été égorgée et elle a peur que la police l'accuse du crime. N'écoutant que son courage, le détective va se porter à son secours et se retrouver entraîné dans un tourbillon d'événements qui le dépassent totalement... Quand Manchette et Cabanes revisitent le classique personnage du détective privé, il faut s'attendre à de l'explosif, du décapant, du cocasse, dans un polar mené à 100 à l'heure en 100 pages trépidantes. Critique : J'ai toujours voulu me lancer dans ces adaptations de Manchette par Cabanes. N'étant pas un fan de polar je l'interrogeais plus sur l'adaptation d'un polar en BD. En effet le genre pur de polar est un genre lent, plein de réflexion, de critique de la société au travers du regard du personnage principal souvent désabusé. Un cocktail qui se passe souvent de dialogue et est plutôt dans la description. J'étais curieux de savoir comment adapter cette partie "voix off" en BD. Et bien j'ai ma réponse : cela ne s'adapte pas. Alors ne vous trompez pas. Cabanes ne livre pas une version tronquée de l'histoire. Non non. Il livre l'histoire. Pour tout vous avouer milieu de l'album je me suis dit qu'il y avait moins de texte dans Blake et Mortimer. En effet Cabanes choisit de retranscrire l'ambiance avec son dessin mais de ne pas toucher aux complexes pensées de son privé. C'est à mon avis le bon choix car surement le seul qui permet de ne pas trahir l'œuvre originale. Par contre cela rend la lecture.... longue. Très longue. Sans mentir il m'a fallu 3 semaines pour le finir. Les semaines avants Noel étant chargée, je me suis invariablement endormi dessus un certain nombre de soir. Ce qui prouve la qualité de l'album, c'est que cela n'a en rien gâché mon plaisir de lire l'histoire et de vouloir savoir la fin. C'est juste à savoir. Cela m'a tout de même montré que ce genre d'adaptation était surtout à destination des fans du genre ce que je ne suis pas. Mais je suis content de mon expérience et j'encourage toute personne à la tenter. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/morgue-pleine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Sublime couverture. C'est ce que j'ai pensé en voyant la couverture bien avant la sortie. Parlante, épurée et émouvante. J'attendais donc avec beaucoup d'impatience de lire cette fable écologique. Et j'ai été... à moitié comblé. A motié parce que graphiquement cela m'a beaucoup plus. Si le trait d'Olivier Boiscommun est très classique la coloration est elle surprenante avec des aquarelles qui renforcent le coté éthéré des fantomes et le coté mysthique de la fable. Coté scénario, cette fable écologique est frappante mais un peu trop rapide à mon gout. Si le groupe des musiciens est bien detaillé, on a peine le temps de comprendre le fond de notre "héros" et donc pas du tout le temps de voir l'impact de notre jeune fille dansant avec les méduses. On regrette, en fermant la BD, de ne pas en savoir plus sur la quête qui doit etre mené et, surtout, d'avoir plus d'explication sur l'impact et l'intérêt de cette quête. Bref plein de bonnes idées, un coloration innovante mais un récit qui ne se donne pas le nombre de pages qui va avec ses ambitions. Un poil dommage.
  23. Titre de l'album : La baleine blanche des mers mortes Scenariste de l'album : Aurelie Wellenstein Dessinateur de l'album : Olivier Boiscommun Coloriste : Olivier Boiscommun Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Mers et océans ont disparu. L'eau s'est évaporée, tous les animaux marins sont morts. Dans un monde changé en désert, la mer fantôme revient hanter les hommes. Paris en ruines tremble sous l'ombre d'une baleine blanche et seuls les musiciens de l'Opéra parviennent à canaliser sa fureur en jouant pour elle. Jusqu'au jour où deux voyageurs s'en mêlent?: une femme qui danse avec les méduses et un homme au passé trouble. Sont-ils du côté des survivants ou de celui des spectres?? Critique : Sublime couverture. C'est ce que j'ai pensé en voyant la couverture bien avant la sortie. Parlante, épurée et émouvante. J'attendais donc avec beaucoup d'impatience de lire cette fable écologique. Et j'ai été... à moitié comblé. A motié parce que graphiquement cela m'a beaucoup plus. Si le trait d'Olivier Boiscommun est très classique la coloration est elle surprenante avec des aquarelles qui renforcent le coté éthéré des fantomes et le coté mysthique de la fable. Coté scénario, cette fable écologique est frappante mais un peu trop rapide à mon gout. Si le groupe des musiciens est bien detaillé, on a peine le temps de comprendre le fond de notre "héros" et donc pas du tout le temps de voir l'impact de notre jeune fille dansant avec les méduses. On regrette, en fermant la BD, de ne pas en savoir plus sur la quête qui doit etre mené et, surtout, d'avoir plus d'explication sur l'impact et l'intérêt de cette quête. Bref plein de bonnes idées, un coloration innovante mais un récit qui ne se donne pas le nombre de pages qui va avec ses ambitions. Un poil dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-baleine-blanche-des-mers-mortes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Haruki Murakami est un écrivain japonais qui a remporté de nombreux prix de littérature pour ses romans mais aussi ses nouvelles. Avec le septième homme et autres récits, l'auteur a accepté les adaptations de neufs nouvelles en bande dessinée. Jean-Christophe Deveney un scénariste de bande dessinée se charge des adaptations depuis les traductions. Avec ce recueil de plus de 400 pages, les lecteurs vont pouvoir découvrir des histoires pour le moins surprenantes déjà par le côté culturel mais aussi par les thèmes abordés. La première histoire met en place une énorme grenouille qui doit sauver le Tokyo avec l'aide d'un homme lambda sans aucune caractéristiques particulières et loin des clichés des super-héros. Les autres histoires sont moins fantastiques mais restent toujours dans un thème onirique présent et étrange en même temps. Le dessinateur PMGL change de style pour mettre en image les neuf histoires de ce recueil avec évidement un trait similaire pour la représentation des personnages. Le rendu est un peu brouillon par moment et d'autre fois plus soigné. Le récit Le septième homme est certainement l'histoire la plus aboutie de cet album avec une thème sur la peur et comment on la ressent ou comment la combattre pour améliorer son quotidien. Le fantastique n'est jamais très loin et se mélange au quotidien de chacun avec Haruki Murakami. On a l'impression qu'il ne se passe pas grand chose dans les histoires assez sordides mais pas prenantes pour autant. Je ne connais pas cet auteur japonais donc je ne sais pas si c'est son style ce genre d'histoire.
  25. Titre de l'album : Haruki Murakami - Le septième homme et autres récits Scenariste de l'album : Jean-Christophe Deveney Dessinateur de l'album : PMGL Coloriste : PMGL Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les histoires de Murakami ont une saveur unique, que ses millions de lecteurs dans le monde reconnaissent instantanément... entre réalisme social et romantisme fantastique, dans les interstices du Japon contemporain. Un crapaud géant décide de sauver Tokyo d'un tremblement de terre avec l'aide d'un banal salaryman, une jeune serveuse de vingt ans peut exaucer un seul et unique voeu... Critique : Haruki Murakami est un écrivain japonais qui a remporté de nombreux prix de littérature pour ses romans mais aussi ses nouvelles. Avec le septième homme et autres récits, l'auteur a accepté les adaptations de neufs nouvelles en bande dessinée. Jean-Christophe Deveney un scénariste de bande dessinée se charge des adaptations depuis les traductions. Avec ce recueil de plus de 400 pages, les lecteurs vont pouvoir découvrir des histoires pour le moins surprenantes déjà par le côté culturel mais aussi par les thèmes abordés. La première histoire met en place une énorme grenouille qui doit sauver le Tokyo avec l'aide d'un homme lambda sans aucune caractéristiques particulières et loin des clichés des super-héros. Les autres histoires sont moins fantastiques mais restent toujours dans un thème onirique présent et étrange en même temps. Le dessinateur PMGL change de style pour mettre en image les neuf histoires de ce recueil avec évidement un trait similaire pour la représentation des personnages. Le rendu est un peu brouillon par moment et d'autre fois plus soigné. Le récit Le septième homme est certainement l'histoire la plus aboutie de cet album avec une thème sur la peur et comment on la ressent ou comment la combattre pour améliorer son quotidien. Le fantastique n'est jamais très loin et se mélange au quotidien de chacun avec Haruki Murakami. On a l'impression qu'il ne se passe pas grand chose dans les histoires assez sordides mais pas prenantes pour autant. Je ne connais pas cet auteur japonais donc je ne sais pas si c'est son style ce genre d'histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murakami-le-septieme-homme-et-autres-recits?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...