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  1. Ce conte d'heroic fantasy commence très bien une nouvelle série médiévale en compagnie d'un jeune enfant à la recherche de sa sœur. L'enfant rentre au service de son seigneur avec le but de devenir soldat pour partir combattre le clan des ours, qu'il soupçonne d'avoir kidnappé sa sœur. L'histoire de Cyrielle Blaire n'est pas forcément originale dans ce registre mais l'on se laisse prendre par le récit avec cet enfant particulier, aux rêves étranges et effrayants par leur réalisme. Maïlis Colombié réalise des planches de qualité pour dépeindre cet univers fantastique où des hommes ont la capacité à se transformer en ours par le biais de la magie du sang. Les couleurs sont réalisées par Maïlis Colombié et Drac. Ce tome se termine sur des recherches graphiques et esquisses de Colombié. Ce premier tome est une réussite, on prend plaisir à suivre l'évolution de cet enfant en jeune adulte et connaitre la vérité. La partie onirique apporte un intérêt et nous questionne sur l’avenir de ce héros sans peur. La suite nous révèlera le potentiel des songes du roi griffu.
  2. Titre de l'album : Les songes du roi griffu tome 1 - Le fils de l'hiver Scenariste de l'album : Cyrielle Blaire Dessinateur de l'album : Maïlis Colombié Coloriste : Maïlis Colombié & Drac Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un jour de solstice d'hiver, le jeune Owein et sa soeur Pellah surprennent dans les bois un ours solitaire. Sous leurs yeux émerveillés, la bête se métamorphose en homme et les deux enfants s'élancent sur sa piste. Cette traque les mène jusqu'au coeur de la montagne où ils assistent à un rituel interdit. Alors qu'ils fuient la scène, Pellah disparait dans la nuit... Critique : Ce conte d'heroic fantasy commence très bien une nouvelle série médiévale en compagnie d'un jeune enfant à la recherche de sa sœur. L'enfant rentre au service de son seigneur avec le but de devenir soldat pour partir combattre le clan des ours, qu'il soupçonne d'avoir kidnappé sa sœur. L'histoire de Cyrielle Blaire n'est pas forcément originale dans ce registre mais l'on se laisse prendre par le récit avec cet enfant particulier, aux rêves étranges et effrayants par leur réalisme. Maïlis Colombié réalise des planches de qualité pour dépeindre cet univers fantastique où des hommes ont la capacité à se transformer en ours par le biais de la magie du sang. Les couleurs sont réalisées par Maïlis Colombié et Drac. Ce tome se termine sur des recherches graphiques et esquisses de Colombié. Ce premier tome est une réussite, on prend plaisir à suivre l'évolution de cet enfant en jeune adulte et connaitre la vérité. La partie onirique apporte un intérêt et nous questionne sur l’avenir de ce héros sans peur. La suite nous révèlera le potentiel des songes du roi griffu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-songes-du-roi-griffu-tome-1-le-fils-de-l-hiver?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Le premier tome Les antres démarre une trilogie pour un public jeune mais qui ne laissera pas indifférent les adultes avec cet univers riche et original. En effet, Eric Puybaret nous emmène dans une aventure loufoque où le héros est un homme qui vient de mourir mais le passeur n'a pas eu le temps de lui dessiner sa ligne post-mortem, pour son passage dans le monde des morts. Ce héros ne pèse rien et s'envole au grès des vents qui souffrent. Ainsi, le héros fera des rencontres hautes en couleur comme Napoléon qui tient dans une boule à neige pour exemple et d'autres personnages farfelus. Ce monde fantastique et étrange est assez surprenant avec de nombreuses idées étonnantes qui nous donnent envie de poursuivre cette aventure assez folle. Les dessins de l'auteur fonctionnent bien avec un trait déformants les personnages et tout en rondeur. Le monde des morts n’est pas effrayant dans les antres qui définit justement la zone bizarre où se trouve notre héros sans poids. Cette introduction devrait ravir les plus jeunes lecteurs.
  4. Titre de l'album : Les Antres Tome 1 : L'homme sans poids Scenariste de l'album : Eric Puybaret Dessinateur de l'album : Eric Puybaret Coloriste : Eric Puybaret Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lorsque notre héros meurt dans le naufrage de son voilier, le passeur qui vient à sa rencontre ne parvient pas à graver sur sa paume sa ligne post-mortem qui décidera de sa destination finale après sa mort. Privé de poids et balayé par les vents, celui-ci s'envole alors pour les Antres. Le malheureux est désormais une âme errante dans un monde à la logique et aux habitants bien particuliers. Critique : Le premier tome Les antres démarre une trilogie pour un public jeune mais qui ne laissera pas indifférent les adultes avec cet univers riche et original. En effet, Eric Puybaret nous emmène dans une aventure loufoque où le héros est un homme qui vient de mourir mais le passeur n'a pas eu le temps de lui dessiner sa ligne post-mortem, pour son passage dans le monde des morts. Ce héros ne pèse rien et s'envole au grès des vents qui souffrent. Ainsi, le héros fera des rencontres hautes en couleur comme Napoléon qui tient dans une boule à neige pour exemple et d'autres personnages farfelus. Ce monde fantastique et étrange est assez surprenant avec de nombreuses idées étonnantes qui nous donnent envie de poursuivre cette aventure assez folle. Les dessins de l'auteur fonctionnent bien avec un trait déformants les personnages et tout en rondeur. Le monde des morts n’est pas effrayant dans les antres qui définit justement la zone bizarre où se trouve notre héros sans poids. Cette introduction devrait ravir les plus jeunes lecteurs. Autres infos : Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-antres-tome-1-l-homme-sans-poids?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Le silence de l'ombre

    Avec le silence de l'ombre, les auteurs proposent un conte fantastique pour les enfants sur le thématique de la perte d’un proche. En effet, un enfant voit son grand-père mourir devant lui alors qu'ils étaient très proche. La tristesse que ressent l'enfant semble impossible à surmonter. Sa mère va alors lui raconter sa propre expérience avec le décès de sa sœur jumelle quand elle était encore qu’une enfant. Progressivement, on comprend alors le titre de cette bande dessinée, Xavier Bétaucourt met en évidence justement cette ombre et la personnifie dans un conte fantastique que la mère raconte. Par le biais du conte, la mère explique comprend accepter et surmonter sa peine face à la mort d'un membre de sa famille. Élodie Garcia illustre avec beaucoup de maitrise ce sujet et ses planches sont magnifiques. Cette bande dessinée est destinée avant tout à un public jeune pour leur apprendre à accepter de perdre une personne qui leur est cher.
  6. Titre de l'album : Le silence de l'ombre Scenariste de l'album : Xavier Bétaucourt & Élodie Garcia Dessinateur de l'album : Élodie Garcia Coloriste : Élodie Garcia Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Nao est inconsolable, il vient de perdre son grand-père et ne l'accepte pas. Aïko, sa maman, a vécu un chagrin identique lorsqu'elle était une petite fille. Elle emmène alors son fils dans son monde imaginaire, là où elle a combattu l'ombre, une créature qui voulait geler son coeur. Commence alors un voyage fantastique qui aidera le jeune garçon à accepter la disparition de son grand-père. Critique : Avec le silence de l'ombre, les auteurs proposent un conte fantastique pour les enfants sur le thématique de la perte d’un proche. En effet, un enfant voit son grand-père mourir devant lui alors qu'ils étaient très proche. La tristesse que ressent l'enfant semble impossible à surmonter. Sa mère va alors lui raconter sa propre expérience avec le décès de sa sœur jumelle quand elle était encore qu’une enfant. Progressivement, on comprend alors le titre de cette bande dessinée, Xavier Bétaucourt met en évidence justement cette ombre et la personnifie dans un conte fantastique que la mère raconte. Par le biais du conte, la mère explique comprend accepter et surmonter sa peine face à la mort d'un membre de sa famille. Élodie Garcia illustre avec beaucoup de maitrise ce sujet et ses planches sont magnifiques. Cette bande dessinée est destinée avant tout à un public jeune pour leur apprendre à accepter de perdre une personne qui leur est cher. Autres infos : Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-silence-de-l-ombre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Merci monsieur Peeters. Merci d'avoir pris le temps de faire un recueil sur la bande dessinée. Un recueil parmis tant d'autre mais qui se trouve d'avoir l'intelligence de ne snober ni la bande dessinée des années 2000 (et +), ni les mangas, ni les comics. Merci Monsieur Peeters de mettre à mal l'élitisme à l'européene pour traiter la bd dans son ensemble. Merci aussi pour le format choisi. En effet chaque page est constuitué d'un résumé lisible en 3 secondes, d'une reflexion en 30 secondes et d'un article de fond illustré. Cela permet à tous les types de lecteurs de se retrouver dans cette présentation de la bande dessinée. On peut très bien le laisser dans le salon pour que les gens le feuilettent et lisent les 3 secondes. Ou alors le prendre dans sa chambre et se refaire une culture BD en profondeur. Vous l'aurez compris, j'ai adoré autant le format que la qualité de l'ouvrage. A offrir à tous les fans de BDs !
  8. Titre de l'album : 3 minutes pour comprendre 50 moments-clés de l'histoire de la bande dessinée Scenariste de l'album : Benoit Peeters Dessinateur de l'album : Divers Coloriste : Divers Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Depuis près de deux siècles, la bande dessinée a connu des développements remarquables, dans les directions les plus diverses. Elle était comique avec Töpffer, Christophe et Rudolf Dirks ; elle l'est restée avec Astérix, Dragon Ball et Titeuf. Mais elle s'est faite poétique avec Winsor McCay et Frank King, épique avec Flash Gordon et Batman, feuilletonesque avec Hugo Pratt et Naoki Urasawa, intimiste avec Alison Bechdel et Fabrice Neaud, romanesque avec Posy Simmonds et Alan Moore, minimaliste avec Charles Schulz et Claire Bretécher, picturale avec Charlotte Salomon et Lorenzo Mattotti... Grâce à des albums comme Maus, C'était la guerre des tranchées ou Gen d'Hiroshima, la bande dessinée est parvenue à représenter les plus grandes tragédies de l'Histoire. Robert Crumb, Yoshiharu Tsuge et Marjane Satrapi ont montré à quel point elle se prêtait à l'autobiographie. Joe Sacco, Guy Delisle et Emmanuel Guibert lui ont permis de renouer avec le grand reportage, nous entraînant en Palestine, en Corée du Nord ou en Afghanistan. Les nombreux médias qui se sont développés après la bande dessinée, de la photographie à internet en passant par le cinéma et la télévision, ne lui ont rien ôté de sa pertinence. De réalisation légère, de fabrication peu coûteuse, elle a encore de beaux jours devant elle. Sans prétendre à l'exhaustivité, le livre de Benoît Peeters permet de découvrir la richesse du neuvième art et quelques grands moments de son histoire. Critique : Merci monsieur Peeters. Merci d'avoir pris le temps de faire un recueil sur la bande dessinée. Un recueil parmis tant d'autre mais qui se trouve d'avoir l'intelligence de ne snober ni la bande dessinée des années 2000 (et +), ni les mangas, ni les comics. Merci Monsieur Peeters de mettre à mal l'élitisme à l'européene pour traiter la bd dans son ensemble. Merci aussi pour le format choisi. En effet chaque page est constuitué d'un résumé lisible en 3 secondes, d'une reflexion en 30 secondes et d'un article de fond illustré. Cela permet à tous les types de lecteurs de se retrouver dans cette présentation de la bande dessinée. On peut très bien le laisser dans le salon pour que les gens le feuilettent et lisent les 3 secondes. Ou alors le prendre dans sa chambre et se refaire une culture BD en profondeur. Vous l'aurez compris, j'ai adoré autant le format que la qualité de l'ouvrage. A offrir à tous les fans de BDs ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/3-minutes-pour-comprendre-50-moments-cles-de-l-histoire-de-la-bande-dessinee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. alx23

    La vie de ma mort

    Nouveau titre de la collection Pataquès la vie de ma mort, rien que le titre annonce la couleur de ce qui nous attend comme genre d'humour dans cet album. Les petites histoires de Fortu sont constituées de huit cases avec la chute mais avec un fil conducteur entre toutes les histoires qui s'enchainent. En effet, la famille de zombies veut absolument inviter une famille de vivants pour s'excuser que leur fille a agressé leur leur enfant. On suit donc le quotidien de cette famille zombie qui tente de vivre dans leur mort comme n'importe quelle famille de vivants. On va découvrir, comment cette famille peut se faire accepter malgré leurs différences. Les dessins sont minimalistes avec les quatre personnages principaux de la famille qui sont des zombies et quelques vivants. La collection Pataquès commence à avoir une grande sélection d'album à l'humour tordant et souvent original. Après l'excellent soufflement de narines, on découvre avec amusement la vie de ma mort. Le petit format des albums convient très bien comme les dessins ne sont pas l'atout majeur des titres d'humour.
  10. alx23

    La vie de ma mort

    Titre de l'album : La vie de ma mort Scenariste de l'album : Fortu Dessinateur de l'album : Fortu Coloriste : Fortu Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Quel est le quotidien d'un zombie ? Quelles sont ses aspirations dans l'après-vie ? Les zombies ont certes une anatomie particulière, un régime alimentaire un peu excluant, mais ils n'ont qu'une envie : devenir nos amis, être acceptés avec leurs différences. Fortu aborde avec humour les sujets de l'intégration, de la discrimination, des préjugés, par le biais de ces nouvelles figures pop. Critique : Nouveau titre de la collection Pataquès la vie de ma mort, rien que le titre annonce la couleur de ce qui nous attend comme genre d'humour dans cet album. Les petites histoires de Fortu sont constituées de huit cases avec la chute mais avec un fil conducteur entre toutes les histoires qui s'enchainent. En effet, la famille de zombies veut absolument inviter une famille de vivants pour s'excuser que leur fille a agressé leur leur enfant. On suit donc le quotidien de cette famille zombie qui tente de vivre dans leur mort comme n'importe quelle famille de vivants. On va découvrir, comment cette famille peut se faire accepter malgré leurs différences. Les dessins sont minimalistes avec les quatre personnages principaux de la famille qui sont des zombies et quelques vivants. La collection Pataquès commence à avoir une grande sélection d'album à l'humour tordant et souvent original. Après l'excellent soufflement de narines, on découvre avec amusement la vie de ma mort. Le petit format des albums convient très bien comme les dessins ne sont pas l'atout majeur des titres d'humour. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vie-de-ma-mort?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Aristophania t4 (fin)

    Fin de la série fantastique de Dorison et Parnotte avec une fin en apothéose. Cette fin était très attendu car Dorison nous avait livré un scénario assez inhabituel. En effet ce quatrième et dernier tome détient, à lui tout seul, toutes les clefs des 3 premiers. Si ces trois premiers tomes ne manquaient pas d'aventure et d'action, ils n'en restaient pas moins assez évasif sur les vraies motivations de chacun et ne révélaient absolument aucune clef sur la fin de l'histoire. Toutes les énigmes étaient dépendantes de ce quatrième et dernier tome. Grosse pression sur le scénariste. Et Dorison à brillamment réussi ce challenge. Il nous livre un tome dense en information, revelations et retournement de situations et cela sans trancher avec le fantastique et l'aventure. Porté par les toujours sublimes dessins de Parnotte, ce Aristophania conclut une superbe série, qui, si on ne peux dire que ce dernier tome brille par ses surprises, brille par son ode à la vie et à la rédemption.
  12. Titre de l'album : Aristophania t4 (fin) Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Joël Parnotte Coloriste : Joël Parnotte Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : La révolte de Gédéon, le Roi banni, est en marche. La haine qui l'anime, et dans laquelle il puise la force de son Azur noir, est plus puissante que jamais. C'est justement cette haine, cette colère des opprimés, qui sera l'ingrédient principal de la grande révolution qu'il prédit à la Montagne rouge. En effet, Gédéon, gonflé de rancoeur, est bien décidé à faire basculer l'histoire et à gagner la lutte perdue lors de la Commune de Paris... à cause de la Cour d'Azur et d'Aristophania. Sans compter que Gédéon a des comptes personnels à résoudre avec la vieille comtesse, qu'il juge en partie responsable de la mort de leur fils, et qu'il essaie de faire souffrir par tous les moyens. Dans ces conditions, le chemin vers la paix paraît plus inatteignable que jamais... Pour empêcher les desseins du Roi banni de se réaliser, Calixte, accompagnée de son frère Victor, poursuit sa quête de la Source Aurore. Mais le temps presse : la Commune de Marseille est sur le point d'éclater et les laquais de Gédéon sont à leurs trousses. Leur grand frère Basile, quant à lui, a rejoint les rangs du Roi banni. Manipulé par Gédéon et son Azur noir, il demeure persuadé d'avoir été trahi par Aristophania. Il en est sûr désormais : ce n'est que grâce aux forces obscures de l'Azur qu'il pourra améliorer durablement le destin de sa famille... Mais ses nouveaux alliés sont-ils aussi sincères et protecteurs qu'ils n'y paraissent ? Critique : Fin de la série fantastique de Dorison et Parnotte avec une fin en apothéose. Cette fin était très attendu car Dorison nous avait livré un scénario assez inhabituel. En effet ce quatrième et dernier tome détient, à lui tout seul, toutes les clefs des 3 premiers. Si ces trois premiers tomes ne manquaient pas d'aventure et d'action, ils n'en restaient pas moins assez évasif sur les vraies motivations de chacun et ne révélaient absolument aucune clef sur la fin de l'histoire. Toutes les énigmes étaient dépendantes de ce quatrième et dernier tome. Grosse pression sur le scénariste. Et Dorison à brillamment réussi ce challenge. Il nous livre un tome dense en information, revelations et retournement de situations et cela sans trancher avec le fantastique et l'aventure. Porté par les toujours sublimes dessins de Parnotte, ce Aristophania conclut une superbe série, qui, si on ne peux dire que ce dernier tome brille par ses surprises, brille par son ode à la vie et à la rédemption. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aristophania-tome-4-la-montagne-rouge?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    Maudite baleine

    Lors de la seconde guerre mondiale, Maudite baleine est le surnom donné au paquebot qui stationne aux bords des côtes, par les habitants d'un petit village d'Italie. Le jeune cuisinier Giovanni vient d'y être affecté suite à ses blessures de guerres traumatisantes. L'auteur italien Walter Chendi réalise intégralement cette bande dessinée historique et dramatique. L'auteur nous emmène sur un paquebot maquillé en en navire infirmier pour éviter qu'il soit pris par les tirs ennemis. Très vite l'intrigue se met en place avec les mystères qui entourent l'équipage du paquebot avec une romance qui démarre entre le jeune soldat perturbé et la fille du capitaine. En parallèle, on suit le récit de ce soldat devenu âgé dans son lit d'hôpital, avec les jours affichés au calendrier pour suivre l'évolution de son état de santé. Les dessins sont dans un style classique et réaliste ainsi que la construction des planches. Maudite baleine est un album prenant avec quelques 150 pages de bande dessinée.
  14. alx23

    Maudite baleine

    Titre de l'album : Maudite baleine Scenariste de l'album : Walter Chendi Dessinateur de l'album : Walter Chendi Coloriste : Walter Chendi Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Durant la dernière guerre mondiale le jeune marin militaire Giovanni est affecté comme cuisinier sur un bien étrange paquebot commandé par un capitaine mystérieux. Des membres d'équipage ont mystérieusement disparu. Pour ne pas subir le même sort , il jure de garder pour lui tous les secrets de bateau et de son capitaine. Giovani est un marin traumatisé. Son vaisseau a subit de lourdes pertes et il a vu ses camarades mourir. Si son corps a guéri de ses blessures, il ne dort plus et fait des cauchemars éveillé. L'état-major l'affecte à une mission secrète à bord d'un vaisseau fantôme : un paquebot, fraîchement sorti des chantiers navals est mis en sécurité dans un bras de mer. Il y est affecté comme cuisinier. Le capitaine l'accueille et lui révèle certains secrets du bord qu'il doit jurer de garder sous peine de "disparaître". Une partie du bâtiment lui est interdite, mais il va toucher deux soldes : le sienne et celle d'un marin disparu... Petit à petit, il comprend le fonctionnement à bord et découvre des passagers inattendus. Critique : Lors de la seconde guerre mondiale, Maudite baleine est le surnom donné au paquebot qui stationne aux bords des côtes, par les habitants d'un petit village d'Italie. Le jeune cuisinier Giovanni vient d'y être affecté suite à ses blessures de guerres traumatisantes. L'auteur italien Walter Chendi réalise intégralement cette bande dessinée historique et dramatique. L'auteur nous emmène sur un paquebot maquillé en en navire infirmier pour éviter qu'il soit pris par les tirs ennemis. Très vite l'intrigue se met en place avec les mystères qui entourent l'équipage du paquebot avec une romance qui démarre entre le jeune soldat perturbé et la fille du capitaine. En parallèle, on suit le récit de ce soldat devenu âgé dans son lit d'hôpital, avec les jours affichés au calendrier pour suivre l'évolution de son état de santé. Les dessins sont dans un style classique et réaliste ainsi que la construction des planches. Maudite baleine est un album prenant avec quelques 150 pages de bande dessinée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maudite-baleine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Décidément Zidrou est un scénariste prolifique, voici déjà le tome 53 de Léonard, qui St Valentin approchant oblige va nous livrer sa palette de gags autour de l'amour. Bien leur en prend car l'apparente légèreté du traitement de ce thème universel permet de redonner un peu d'humanité, d'entrain, et de fraicheur à nos héros, où le côté masochiste du Disciple n'est plus le seul moteur de gags. J'aurais préféré cependant explorer un peu plus la piste de gags menant à l'amour de jeunesse de Léonard mais l'ensemble reste plaisant à lire. Difficile de dire quoi que ce soit du dessin dans le travail de Turk brille par sa régularité. C'est bien un Léonard.
  16. Titre de l'album : Léonard - Tome 53 - Un amour de génie Scenariste de l'album : Zidrou Dessinateur de l'album : Turk Coloriste : Kaël Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le saviez-vous ? Il fut un temps ? que les moins de quatre-vingts ans ne peuvent pas connaître ? où le coeur de Léonard vibra pour une autre que la Science. Mais le destin et le père de Giovanna en décidèrent autrement, et elle épousa un banquier plutôt que cet étrange jouvenceau. Heureusement, à coeur patient rien d'impossible : Giovanna est à présent veuve et orpheline. Il est donc temps pour notre Génie de s'attaquer sérieusement au plus profond des mystères : l'Amour ! Critique : Décidément Zidrou est un scénariste prolifique, voici déjà le tome 53 de Léonard, qui St Valentin approchant oblige va nous livrer sa palette de gags autour de l'amour. Bien leur en prend car l'apparente légèreté du traitement de ce thème universel permet de redonner un peu d'humanité, d'entrain, et de fraicheur à nos héros, où le côté masochiste du Disciple n'est plus le seul moteur de gags. J'aurais préféré cependant explorer un peu plus la piste de gags menant à l'amour de jeunesse de Léonard mais l'ensemble reste plaisant à lire. Difficile de dire quoi que ce soit du dessin dans le travail de Turk brille par sa régularité. C'est bien un Léonard. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leonard-tome-53-un-amour-de-genie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Le retour des super héroines collégiennes de Dupuis. Des super héroines qui ont maintenant un costume et commencent à expérimenter leurs pouvoirs. Pouvoir qui leurs serviront dans une obscure affaire de profs hypnotisés.... Bon alors si ma fille de 7 ans a bien aimé ce deuxième tome de Rainbow girl, je le trouve pour ma part en dessous du premier. En effet les pouvoirs des filles sont réduites à juste de l'espionnage avec de la miniaturisation et le fait de disparaitre. Et cet espionnage rend les filles très spectatrices de l'aventure. C'est donc un cran moins intense que le premier et donc moins intéressant d'un point de vue adulte. Meme ma grande de 13 ans ne l'a pas fini. Un tome deux a reserver donc au public cible des 7-10 ans.
  18. Titre de l'album : Rainbow girls t2 : le maigripnor Scenariste de l'album : Carbone Dessinateur de l'album : Canac Helene Coloriste : Canac Helene Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Maintenant qu'elles ont découvert que la morsure d'une plante carnivore leur avait donné des super-pouvoirs, Gwen, Lisa et Mel ? alias les Rainbow Girls ? relèvent un défi très terre-à-terre : faire un exposé ensemble ! Sauf qu'il se passe de drôles de choses au collège, avec des profs qui boivent en douce une étrange potion orange les faisant buguer et leur donnant les yeux rouges : le Maigripnotor, un breuvage nocif qui les pousse à se livrer à des actes de plus en plus étonnants... auxquels la police pourrait bien s'intéresser... Une nouvelle enquête pour les Rainbow Girls, dont les pouvoirs d'invisibilité, de changement de taille ou de communication avec les animaux ne seront pas de trop pour percer ce mystère ! Carbone, comme toujours, sort de son tiroir à idées une série jeunesse en phase avec les enfants d'aujourd'hui, où elle traite subtilement de thématiques de société actuelles. Complice parfaite, Canac lui apporte toute la fraîcheur de son trait. Critique : Le retour des super héroines collégiennes de Dupuis. Des super héroines qui ont maintenant un costume et commencent à expérimenter leurs pouvoirs. Pouvoir qui leurs serviront dans une obscure affaire de profs hypnotisés.... Bon alors si ma fille de 7 ans a bien aimé ce deuxième tome de Rainbow girl, je le trouve pour ma part en dessous du premier. En effet les pouvoirs des filles sont réduites à juste de l'espionnage avec de la miniaturisation et le fait de disparaitre. Et cet espionnage rend les filles très spectatrices de l'aventure. C'est donc un cran moins intense que le premier et donc moins intéressant d'un point de vue adulte. Meme ma grande de 13 ans ne l'a pas fini. Un tome deux a reserver donc au public cible des 7-10 ans. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rainbow-girls-tome-2-le-maigripnotor?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    La peau de l'autre t2

    Fin du diptyque de Serge Le Tendre sur la chirurgie esthétique hérité d'expérience de l'Allemagne nazie. Si le premier tome était orienté autour des gamins amené à notre héros par cette chirurgie esthétique et son absence de remords sur le coup que cela a, ce tome deux décrit l'inévitable descente aux enfers qui suit ce genre de crimes affreux. Je dois avouer que Le Tendre m'a bluffé sur ce deuxième tome. Si le premier se remarquait par une idée originale, le deuxième se démarque par une gestion du récit impressionnante et des choix de scénarios fort. Cette descente aux enfers est gérée de main de maitre. Premièrement le scenario réussit à nous offrir des retournements de situation alors même que je pensais avoir tout compris. Mais surtout le tendre s'autorise une fin tout sauf conventionnelle et c'est tant mieux. On se retrouve avec un bon diptyque qui, si ce n'est pas la lecture de l'année, est un super divertissement et ravira les fans des années d'après-guerre. A noter que les éditions Grand Angle sortent en même temps un "coffret" comprenant les deux tomes pour le prix des deux tomes.
  20. Titre de l'album : La peau de l'autre t2 Scenariste de l'album : Serge Le Tendre Dessinateur de l'album : Gaël Séjourné Coloriste : Gaël Séjourné Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : La chirurgie esthétique va changer sa vie... et le visage d'Hollywood. Lorsque la guerre éclate, Harvey, compositeur new-yorkais, devient pilote et rencontre Jason, chirurgien esthétique radié de l'Ordre des médecins. Lors d'une mission, leur bombardier est abattu. Harvey sauve Jason de justesse avant que l'avion ne s'embrase, mais l'explosion le défigure. Un an plus tard, alors qu'il ne supporte plus la prothèse en cuir qui lui mange la moitié de son visage, Jason lui fait une proposition... Dans le Hollywood d'après-guerre, un nouvel acteur fait sensation. En réalité, derrière le comédien se cache Harvey qui, grâce au travail de Jason, peut duper le monde du cinéma. Mais instable et sous morphine, la supercherie pourrait bien se révéler dévastatrice pour le jeune acteur... Critique : Fin du diptyque de Serge Le Tendre sur la chirurgie esthétique hérité d'expérience de l'Allemagne nazie. Si le premier tome était orienté autour des gamins amené à notre héros par cette chirurgie esthétique et son absence de remords sur le coup que cela a, ce tome deux décrit l'inévitable descente aux enfers qui suit ce genre de crimes affreux. Je dois avouer que Le Tendre m'a bluffé sur ce deuxième tome. Si le premier se remarquait par une idée originale, le deuxième se démarque par une gestion du récit impressionnante et des choix de scénarios fort. Cette descente aux enfers est gérée de main de maitre. Premièrement le scenario réussit à nous offrir des retournements de situation alors même que je pensais avoir tout compris. Mais surtout le tendre s'autorise une fin tout sauf conventionnelle et c'est tant mieux. On se retrouve avec un bon diptyque qui, si ce n'est pas la lecture de l'année, est un super divertissement et ravira les fans des années d'après-guerre. A noter que les éditions Grand Angle sortent en même temps un "coffret" comprenant les deux tomes pour le prix des deux tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-peau-de-l-autre-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Après quelques de problèmes de retard, on peut enfin découvrir Xuthal la crépusculaire par la même équipe artistique que le premier Tarzan sortit aux éditions Soleil, il y a peu de temps. Christophe Bec se charge de l'adaptation de la nouvelle de Robert E. Howard. A la base, cette histoire se voulait alimentaire pour Howard, donc il mettait en scène des femmes peu vêtue pour être plus vendeur. Vous pourrez le découvrir en lisant la petite analyse de récit et historique qu'il y a en fin d'album. Natala qui accompagne Conan joue un rôle important dans l'histoire, même si elle est gémissante et apeurée au début, elle se montrera forte. On ressent bien l'inspiration de Lovecraft à travers le monstre tentaculaire. De l'exploration, des combats, des monstres et de la magie, voilà ce qui vous attend comme dans tout récit d'heroic-fantasy. Les dessins de Stevan Subic fonctionnent bien dans le genre sombre. Je trouve que la corpulence de Conan est trop poussée, ce qui rend étrange ce personnage à la limite de la bête. Sinon l'ambiance et le découpage sont parfait, surtout Thog très bien représenté. Encore un bon album dans cette série en attendant le bassin de l'homme par Raule et R.M. Guera.
  22. Titre de l'album : Conan le cimmérien - Xuthal la crépusculaire Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Stevan Subic Coloriste : Guilia Brusco Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Une cité tentatrice aux secrets morbides. Perdu dans l'infini d'un désert de sable, Conan avance accompagné de Natala, une esclave à la beauté sauvage. Les réserves d'eau et de nourriture sont dorénavant épuisées et sous ce soleil de plomb, cela ne signifie qu'une chose : la mort. Tandis que les dernières forces de Natala l'abandonnent progressivement, Conan aperçoit au loin, vers le sud, une cité aux allures de mirage. C'est Xuthal. À cet instant, elle symbolise la vie et le salut aux yeux des deux amants. Mais en pénétrant dans sa cour intérieure, le vide et le silence qui y règnent laissent présager du pire. Sur le sol, seul le corps d'un homme gît, froid et abandonné. Sans le savoir, Conan et Natala viennent de s'engouffrer dans la gueule d'un loup à la forme innommable : Thog, dieu de la mystérieuse et imposante forteresse. Critique : Après quelques de problèmes de retard, on peut enfin découvrir Xuthal la crépusculaire par la même équipe artistique que le premier Tarzan sortit aux éditions Soleil, il y a peu de temps. Christophe Bec se charge de l'adaptation de la nouvelle de Robert E. Howard. A la base, cette histoire se voulait alimentaire pour Howard, donc il mettait en scène des femmes peu vêtue pour être plus vendeur. Vous pourrez le découvrir en lisant la petite analyse de récit et historique qu'il y a en fin d'album. Natala qui accompagne Conan joue un rôle important dans l'histoire, même si elle est gémissante et apeurée au début, elle se montrera forte. On ressent bien l'inspiration de Lovecraft à travers le monstre tentaculaire. De l'exploration, des combats, des monstres et de la magie, voilà ce qui vous attend comme dans tout récit d'heroic-fantasy. Les dessins de Stevan Subic fonctionnent bien dans le genre sombre. Je trouve que la corpulence de Conan est trop poussée, ce qui rend étrange ce personnage à la limite de la bête. Sinon l'ambiance et le découpage sont parfait, surtout Thog très bien représenté. Encore un bon album dans cette série en attendant le bassin de l'homme par Raule et R.M. Guera. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conan-le-cimmerien-xuthal-la-crepusculaire/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Je dois bien avouer que les dernières productions Soleil m'ont plutôt plu, malheureusement cet Ouroboros est je trouve passé à côté du sujet. C'est diificile à expliquer car l'histoire en soi n'est pas mauvaise, les dessins de Ceyles (dessinateur de la série des Slohka à partir du tome 4) sont loin d'être vilains et présente quelques cases plutôt réussies. La gestion des couleurs est peut être pour moi un peu trop simple mais c'est un ressenti personnel. Par contre le positionnement de la bd m'interroge. On est à priori sur une cible d'un public jeune, mais l'histoire n'est je trouve ni assez dynamique ni sur des enjeux suffisamment clairs pour cette cible. De même l'histoire est globalement ambitieux mais cela interroge du coup pour un diptyque. Je n'ai pas été franchement convaincu par ma lecture d'Ouroboros.
  24. Titre de l'album : Ouroboros - Tome 1 - L'amulette de Saladin Scenariste de l'album : Olivier Pinard & Ceyles Dessinateur de l'album : Ceyles Coloriste : Lou Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans le désert, des bédouins veillent sur Xiao, un petit garçon dont les oracles prédisent qu'il provoquera la chute de la Reine des Dragons, sa mère. Aman, aventurier charismatique et énigmatique, a volé l'amulette de Saladin qui contient l'élixir qui permettra à Xiao de vaincre sa moitié dragon et de sauver le monde. Mais le vol de l'amulette a réveillé des êtres aux pouvoirs surnaturels... Critique : Je dois bien avouer que les dernières productions Soleil m'ont plutôt plu, malheureusement cet Ouroboros est je trouve passé à côté du sujet. C'est diificile à expliquer car l'histoire en soi n'est pas mauvaise, les dessins de Ceyles (dessinateur de la série des Slohka à partir du tome 4) sont loin d'être vilains et présente quelques cases plutôt réussies. La gestion des couleurs est peut être pour moi un peu trop simple mais c'est un ressenti personnel. Par contre le positionnement de la bd m'interroge. On est à priori sur une cible d'un public jeune, mais l'histoire n'est je trouve ni assez dynamique ni sur des enjeux suffisamment clairs pour cette cible. De même l'histoire est globalement ambitieux mais cela interroge du coup pour un diptyque. Je n'ai pas été franchement convaincu par ma lecture d'Ouroboros. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ouroboros-tome-1-l-amulette-de-saladin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Enfin un album sur une femme. Bon ok elles ne sont que 6 mais c'est important d'en parler. Et d'autant plus important que ces femmes ne sont pas, par définition à l'époque, des femmes de guerres. Elles sont entrées dans les compagnons de la libération sans avoir jamais été à l'armée comme la plupart des autres. Et cela nous montre une histoire qui nous parle plus. Car Simone pourrait être n'importe quel citoyen. Enfin plutôt n'importe quels citoyens, avec assez de volonté, pourrait être Simone. Car il en fallait du courage et de la volonté pour faire ce qu'elle a fait. Si ses "faits de guerre" sont moins visuel que ceux de Kieffer ou encore de Leclerc, ils n'en restent pas moins importants et décisifs pour la victoire des alliés. Voir même l'histoire de Simone est tellement dense qu'il est difficile de tout raconter dans un seul album. Heureusement qu'il y a le cahier de fin de tome pour nous permettre d'en savoir plus. Comme les autres ce tome reste super intéressant et rend hommage à une femme sans qui notre monde actuel ne serait pas le même.
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