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  1. Titre de l'album : Batman : Year two Scenariste de l'album : Mike Barr Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À présent que le Romain et sa famille mafieuse ont vu leur règne s'achever suite à l'alliance de Batman et de James Gordon, la ville de Gotham peut à nouveau entrevoir un avenir radieux. Mais le retour d'un justicier du passé, le Faucheur, va mettre en péril l'amitié entre le jeune Chevalier Noir et le commissaire nouvellement nommé. Poussé à bout, Batman va même devoir s'allier avec l'homme qui a changé à jamais le cours de sa vie, et la deuxième année de Batman pourrait bien s'avérer être sa dernière. Contenu vo : Contenu : Detective Comics #575-578, Batman : Full Circle, DC Retroactive Batman 80s. Critique : Le principe de Batman année deux est assez sympa : ne pas faire encore une énième fois le début de la vie de Batman mais se pencher sur ce qu'il se passe dans les quelques semaines qui ont suivi. Car ce que ce tome montre bien c'est qu'une fois le rôle choisit, il faut l'assumer et que les tentations sur un mode de combat plus facile sont nombreuses. L'histoire et la psychologie de Bruce Wayne est vraiment bien pensée. On sent ses hésitations, ses peurs, ses doutes.... sur ce point la c'est une vraie réussite ! Le point un peu plus étrange concerne les deux histoires qui suivent ce year two. En effet Urban nous montre les autres histoires concernant le Faucheur, histoire qui sont chronologiquement étrange et surtout beaucoup moins poussées et crédibles. C'est dommage car la première était vraiment chouette, même les dessins qui n'ont pas trop mal vieillit. Bref une chouette histoire ressortit par Urban dans une Collection DC Confidentiel qui nous montre bien qu'il reste des parutions super sympas encore inédites chez nous. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-annee-deux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : Batman Mythologie : La Batcave Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Peu de temps avant l'assassinat de ses parents, le jeune Bruce chutait dans une crevasse de la vaste propriété des Wayne et découvrait accidentellement un réseau de grottes devenu le refuge d'une colonie de chauve-souris. De cette expérience traumatique, Bruce Wayne conserva cette peur primale qui distille désormais dans le coeur des criminels lorsqu'il. Base secrète et socle de son identité, la Batcave convoque à travers ses trophées toute l'histoire du Chevalier Noir. Critique : Bon allez sur celui-ci je m’abstiens de note. En effet ça dépendra vraiment de votre niveau d’intérêt pour Batman mais aussi de votre culture sur le chevalier noir. Car ce Batman Mythologie n'est qu'un recueil et chapitre provenant de tout l'univers DC qui nous montre les différents impact et fait marquant s'étant passé dans la batcave. On y retrouve un passage de la nuit des hiboux, de l'apparition du badge mais aussi des passages des années 50 à 80 sur cette même batcave. Le problème de ce recueil c'est qu'il est dédié uniquement aux nouveaux lecteurs en quête de détails. En effet les anciens lecteurs auront déjà lu ces histoires et les lecteurs occasionnels ne verront pas l’intérêt et seront perdus par les aspects old school des dessins des années 60. Bref un tome très spécifique... qui n'est pas pour moi du tout. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-mythology-la-batcave?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Batman Mythologie : La Batcave

    Bon allez sur celui-ci je m’abstiens de note. En effet ça dépendra vraiment de votre niveau d’intérêt pour Batman mais aussi de votre culture sur le chevalier noir. Car ce Batman Mythologie n'est qu'un recueil et chapitre provenant de tout l'univers DC qui nous montre les différents impact et fait marquant s'étant passé dans la batcave. On y retrouve un passage de la nuit des hiboux, de l'apparition du badge mais aussi des passages des années 50 à 80 sur cette même batcave. Le problème de ce recueil c'est qu'il est dédié uniquement aux nouveaux lecteurs en quête de détails. En effet les anciens lecteurs auront déjà lu ces histoires et les lecteurs occasionnels ne verront pas l’intérêt et seront perdus par les aspects old school des dessins des années 60. Bref un tome très spécifique... qui n'est pas pour moi du tout.
  4. Titre de l'album : Undiscovered country Tome 1 Scenariste de l'album : Charles Soule et Scott Snyder Dessinateur de l'album : Giuseppe Camuncoli Coloriste : Matt Wilson Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les USA sont devenues une terre mystérieuse et surtout dangereuse après s'être armée puis fermée au reste du monde, sans aucune explication, il y a plus de trente ans. Lorsqu'une équipe à la recherche d'un remède contre une pandémie mondiale franchit les frontières américaines, elle se retrouve rapidement acculée afin de lutter pour sa survie sur ce continent dorénavant perdu, étrange et mortel ! Les droits cinéma de cette nouvelle série signée Scott Snyder (Batman), Charles Soule (Daredevil, Dark Vador) et Giuseppe Camuncoli (Star Wars; Spider-Man, Green Valley) ont été acquis par New Republic Pictures. Critique : Undiscovered country est un titre attendu par les lecteurs de comics comme les deux scénaristes et le dessinateur sont très réputés dans l'univers des comics aux Etats-Unis. Scott Synder s'est construit une carrière solide de scénariste sur Batman ou American vampire. Charles Soules a scénarisé plusieurs Wolevrine et Star wars. Quant à Giuseppe Camuncoli, on ne compte plus ses nombreux projets sur des super-héros de chez Marvel ou DC. Snyder et Soules nous livrent une histoire de science-fiction avec une partie importante pour le fantastique. En effet, les Etats-Unis vivent depuis une trentaine d'année en autarcie derrière un mur, sans donner de nouvelles. Pendant ce temps dans le reste du monde, un virus décime toute la population. Une invitation inattendue va mettre en place une expédition pour visiter les Etats-Unis. Le scénario est intriguant et laisse beaucoup de possibilités pour la suite. Les six premiers chapitres nous délivrent un bon aperçu de l'histoire avec une ambiance à la Mad Max avec des animaux en pleine mutation et des groupuscules guerriers. On pourra reprocher un peu les nombreux dialogues avant et durant toutes les scènes d'action même si cela s'explique pour la compréhension de cette étrange histoire. La partie graphique est magnifique, il faut reconnaitre de Giuseppe Camuncoli dessine très bien ce monde fantastique. L'album se termine sur toutes les couvertures alternatives réalisées par d'autres dessinateurs. On peut reconnaitre que cette série est originale et efficace avec un premier tome porté sur l'action. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/undiscovered-country-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Suicide squad Renégats t1

    Il y a du nouveau à la suicide squad. Et pas forcement dans le bon sens pour nos anti-héros ! La suicide squad avait besoin d'un coup de nouveaux. En effet elle était portée à bout de bras par Harley Quinn et Deadshot. Mais première devenant une héroïne dans les séries parallèles et Deadshot se recentrant de plus en plus hésitant entre bien et mal, depuis que Will Smith l'a interprété dans le film Suicide Squad, cette suicide squad perdait de sa saveur avec plein de "faux méchants". Dans ce tome 1, un grand coup de pieds est mis dans l'équipe pour nous permettre de mettre à la "retraite" la plupart des personnages historiques de la suicide squad et nous offrir une nouvelle équipe, toute fraîche et pleine d'entrain. Mais une nouvelle équipe qui entend ne pas se faire manipuler comme l'ancienne et possède des moyens que l'ancienne n'avait pas. Bref un retournement de franchise bienvenue et étonnant bien fait. On regrettera juste que la plus bankable de l'équipe ne fasse plus que de la figuration.... mais a-t-elle vraiment fait autre chose ?
  6. Titre de l'album : Suicide squad Renégats t1 Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Bruno Redondo Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Changement drastique à la tête de la Suicide Squad : depuis des années, cette dernière était dirigée par l'implacable Amanda Waller, qui commandait d'une poigne de fer ces super-vilains en quête de remise de peine. Mais elle cède aujourd'hui sa place au non moins terrible Lok. Sa première décision ? Intégrer à la Suicide Squad les membres survivants d'une équipe de super-héros contestataires. Critique : Il y a du nouveau à la suicide squad. Et pas forcement dans le bon sens pour nos anti-héros ! La suicide squad avait besoin d'un coup de nouveaux. En effet elle était portée à bout de bras par Harley Quinn et Deadshot. Mais première devenant une héroïne dans les séries parallèles et Deadshot se recentrant de plus en plus hésitant entre bien et mal, depuis que Will Smith l'a interprété dans le film Suicide Squad, cette suicide squad perdait de sa saveur avec plein de "faux méchants". Dans ce tome 1, un grand coup de pieds est mis dans l'équipe pour nous permettre de mettre à la "retraite" la plupart des personnages historiques de la suicide squad et nous offrir une nouvelle équipe, toute fraîche et pleine d'entrain. Mais une nouvelle équipe qui entend ne pas se faire manipuler comme l'ancienne et possède des moyens que l'ancienne n'avait pas. Bref un retournement de franchise bienvenue et étonnant bien fait. On regrettera juste que la plus bankable de l'équipe ne fasse plus que de la figuration.... mais a-t-elle vraiment fait autre chose ? Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suicide-squad-par-tom-taylor-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Promethea integrale 1 Scenariste de l'album : Alan Moore Dessinateur de l'album : J.H. Williams III Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque Sophie Bangs a choisi son sujet de thèse - les différentes itérations de l'héroïne mystique Promethea -, elle ne se doutait pas que ce personnage de fiction allait devenir réel et que c'est elle, Sophie, qui deviendrait son nouvel avatar ! Parcourant les plaines d'Immateria, patrie des idées, des mythes et de l'imaginaire, cette nouvelle Promethea va rencontrer ses prédécesseurs mais également d'anciens adversaires comme Jack Faust, mage cynique et libidineux... Critique : Vous avez un membre de votre famille fan de comics ? Fan de Watchmen ou de Sandman ? Voir de Batman Metal ? En gros un amateur de scénario touffu et bien écrit ? Et il vous manque un cadeau de noël ? Et bien ne cherchez plus. Urban nous sort une sublime version de Promethea. Une couverture sublime qui en fait un cadeau parfait. Surtout que Promethea est une œuvre de Moore pas assez coté de notre côté de l'atlantique. En effet Promethea est une vraie œuvre de composition littéraire qui est à la mi-chemin entre Sandman et the Unwritten. Les textes sont bien écris, le scénario réfléchi et l'onirisme présent comme rarement (à part Sandman bien sûr). on est porté par le combat de cette divinité méconnue. Graphiquement c'est du très bon travail de la part de J.H. Williams III qui réussit à bien nous immerger dans l'imaginaire de Moore ce qui n'était pas gagné au vu que la complexité de l'Immateria. Une vraie œuvre que chaque fan de comics "compliqués/littéraire" devrait avoir chez lui... ou devrait se faire offrir ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/promethea-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Promethea integrale 1

    Vous avez un membre de votre famille fan de comics ? Fan de Watchmen ou de Sandman ? Voir de Batman Metal ? En gros un amateur de scénario touffu et bien écrit ? Et il vous manque un cadeau de noël ? Et bien ne cherchez plus. Urban nous sort une sublime version de Promethea. Une couverture sublime qui en fait un cadeau parfait. Surtout que Promethea est une œuvre de Moore pas assez coté de notre côté de l'atlantique. En effet Promethea est une vraie œuvre de composition littéraire qui est à la mi-chemin entre Sandman et the Unwritten. Les textes sont bien écris, le scénario réfléchi et l'onirisme présent comme rarement (à part Sandman bien sûr). on est porté par le combat de cette divinité méconnue. Graphiquement c'est du très bon travail de la part de J.H. Williams III qui réussit à bien nous immerger dans l'imaginaire de Moore ce qui n'était pas gagné au vu que la complexité de l'Immateria. Une vraie œuvre que chaque fan de comics "compliqués/littéraire" devrait avoir chez lui... ou devrait se faire offrir !
  9. poseidon2

    Harley et Ivy

    Alors j'ai lu ce Harley et Ivy à reculons. En effet je l'ai pris pour ma fille (qui, dès que c'est une histoire de filles, est bon public) mais moi j'en ai un peu marre de Harley la fofolle de service. Et bien j'ai été agréablement surpris. Déjà ce tome est un vrai tome du monde DC. Il explique comment est revenue Ivy suite à sa disparition dans l'excellent Hereos in crisis. Déjà c'est un bon point. Ensuite Harley n’est pas trop insupportable. Elle cherche vraiment à tout faire pour aider sa copine et songe sérieusement à devenir gentille. L'histoire est bien menée, la surprise sur la fin est bien foutu et les petits clins d'œil au reste de l'univers DC sympa. Ce one shot est donc une vraie lecture sympathique. Une bonne lecture de vacances que vous pourrez partager avec votre ado de service.
  10. poseidon2

    Harley et Ivy

    Titre de l'album : Harley et Ivy Scenariste de l'album : Jody Houser Dessinateur de l'album : Adriana Melo Coloriste : Hi-FI Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a peu, Harley Quinn a bien cru qu'elle avait perdu Poison Ivy pour toujours... À nouveau réunies, elles ont maintenant la ferme intention de profiter de la vie. Imaginez donc la réaction de la reine de Coney Island quand sa meilleure amie devient la cible d'une nouvelle menace ! Ou plutôt... sa réaction quand elle réalise qu'Ivy a bien changé, et qu'elle fait plus que flirter avec le côté obscur ! Harley se laissera-t-elle séduire par cette nouvelle facette, ou saura-t-elle tenir tête à son alliée de toujours ? Critique : Alors j'ai lu ce Harley et Ivy à reculons. En effet je l'ai pris pour ma fille (qui, dès que c'est une histoire de filles, est bon public) mais moi j'en ai un peu marre de Harley la fofolle de service. Et bien j'ai été agréablement surpris. Déjà ce tome est un vrai tome du monde DC. Il explique comment est revenue Ivy suite à sa disparition dans l'excellent Hereos in crisis. Déjà c'est un bon point. Ensuite Harley n’est pas trop insupportable. Elle cherche vraiment à tout faire pour aider sa copine et songe sérieusement à devenir gentille. L'histoire est bien menée, la surprise sur la fin est bien foutu et les petits clins d'œil au reste de l'univers DC sympa. Ce one shot est donc une vraie lecture sympathique. Une bonne lecture de vacances que vous pourrez partager avec votre ado de service. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harley-ivy?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Wonder Woman Dead Earth

    En voilà un étrange album. Si c'était un film je dirais que c'est un film calibré pour les récompenses. Dessin style roman graphique. Scénario dur mais plein de promesses sur l'humanité. Des combats fait pour être mythique et des questionnements philosophiques sur la vie tout ça tout ça..... Le problème c'est que je n'ai jamais trop aimé les films trop récompensés (sauf gladiator). Et j'ai pourtant bien aimé ce tome ci même s'il... en fait trop à mon gout. Trop dans l’exagération en terme d'histoire, trop dans l’émotion et dans le bon sentiment. Il n'y avait pas besoin d'en faire trop. L'histoire de base est top. Wonder woman perdue comme jamais, un monde post apo bien gérer avec les humains aux bout de leurs vies. Mais il a fallu que Daniel Warren Johnson en rajoute une couche. Couche qui n'est pas aussi crédible que l'auteur ne le voudrait. Couche qui cherche à ajouter une dimension encore plus triste et émouvante à une histoire qui l'était déjà. La folie des hommes était largement suffisante à mon avis. Bref ce Wonder Woman partait d'une très bonne idée. Une bonne idée malheureusement poussée trop loin.
  12. Titre de l'album : Wonder Woman Dead Earth Scenariste de l'album : Daniel Warren Johnson Dessinateur de l'album : Daniel Warren Johnson Coloriste : Daniel Warren Johnson Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque Wonder Woman se réveille du sommeil séculaire dans lequel elle a été plongée, elle découvre que la Terre n'est plus qu'un vaste désert radioactif... Piégée au coeur de cette plaine stérile tapissée des cendres d'un passé ravagé par l'arme nucléaire, la Princesse Amazone se doit alors de protéger la dernière cité humaine de monstres titanesques et tâche tant bien que mal de découvrir les secrets cachée sous la poussière de cette terre morte et désolée. Critique : En voilà un étrange album. Si c'était un film je dirais que c'est un film calibré pour les récompenses. Dessin style roman graphique. Scénario dur mais plein de promesses sur l'humanité. Des combats fait pour être mythique et des questionnements philosophiques sur la vie tout ça tout ça..... Le problème c'est que je n'ai jamais trop aimé les films trop récompensés (sauf gladiator). Et j'ai pourtant bien aimé ce tome ci même s'il... en fait trop à mon gout. Trop dans l’exagération en terme d'histoire, trop dans l’émotion et dans le bon sentiment. Il n'y avait pas besoin d'en faire trop. L'histoire de base est top. Wonder woman perdue comme jamais, un monde post apo bien gérer avec les humains aux bout de leurs vies. Mais il a fallu que Daniel Warren Johnson en rajoute une couche. Couche qui n'est pas aussi crédible que l'auteur ne le voudrait. Couche qui cherche à ajouter une dimension encore plus triste et émouvante à une histoire qui l'était déjà. La folie des hommes était largement suffisante à mon avis. Bref ce Wonder Woman partait d'une très bonne idée. Une bonne idée malheureusement poussée trop loin. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonder-woman-dead-earth?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Sonata T1

    Titre de l'album : Sonata T1 Scenariste de l'album : Brian Haberlin Dessinateur de l'album : David Hine Coloriste : David Hine Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Deux peuples et deux cultures s'affrontent sur une planète que chacun croit être sa terre promise. Les Rans sont un peuple épris de paix en phase avec la nature, mais les Tayans sont une race de guerriers qui cherchent à coloniser, à contrôler et à détruire. Les mystérieux géants endormis habitent aussi cet endroit, mais personne ne sait s'ils sont des monstres ou des Dieux de la légende. Au milieu de tout cela, une jeune femme nommée Sonata est prête à enfreindre toutes les règles pour trouver sa place au sein de ce monde. Critique : Delcourt, via Image comics, enchaine les bonnes sorties comics en ce moment. Et ce tome 1 de Sonata fait partie du lot. Il aurait pu faire partie de mes comics préférés de l'année. Il aurait pu car le scenario science fiction est vraiment excellent. Tout ce qui me plait : de la SF lointaine, des races extra-terrestres soit disant reculées, des monde hostiles, des humains beliqueux et une héroine forte en caractère. Le tout accompagné d'une bonne gestion des révélations et du suspens et on a la une super histoire de SF. Ca aurait donc pu... mais ca ne l'est pas... à cause de la coloration et du choix de la réalité augmentée. Cette réalité augmentée consiste à ajouter au dessin une surcouche "realiste". Mix entre photos et dessin réaliste..... Et je trouve que cela gâche le dessin. Surtout qu'en fin de tome on peut voir la qualité des planches encrées... et bien en voyant cela on preferait une version noire et blanche ! La realité augmentée rend le tout un peu trop sombre et, si c'est très éfficace sur les décors il faut le reconnaitre, fige les visages et rend le dessin très statique. Et je trouve ca dommage. Un style Ponzio qui ne m'a jamais plu. Pour le coup, et je ne le dis pas souvent, une édition Noire et Blanche aurait surement obtenu un beau 5/5 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sonata-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Sonata T1

    Delcourt, via Image comics, enchaine les bonnes sorties comics en ce moment. Et ce tome 1 de Sonata fait partie du lot. Il aurait pu faire partie de mes comics préférés de l'année. Il aurait pu car le scenario science fiction est vraiment excellent. Tout ce qui me plait : de la SF lointaine, des races extra-terrestres soit disant reculées, des monde hostiles, des humains beliqueux et une héroine forte en caractère. Le tout accompagné d'une bonne gestion des révélations et du suspens et on a la une super histoire de SF. Ca aurait donc pu... mais ca ne l'est pas... à cause de la coloration et du choix de la réalité augmentée. Cette réalité augmentée consiste à ajouter au dessin une surcouche "realiste". Mix entre photos et dessin réaliste..... Et je trouve que cela gâche le dessin. Surtout qu'en fin de tome on peut voir la qualité des planches encrées... et bien en voyant cela on preferait une version noire et blanche ! La realité augmentée rend le tout un peu trop sombre et, si c'est très éfficace sur les décors il faut le reconnaitre, fige les visages et rend le dessin très statique. Et je trouve ca dommage. Un style Ponzio qui ne m'a jamais plu. Pour le coup, et je ne le dis pas souvent, une édition Noire et Blanche aurait surement obtenu un beau 5/5
  15. poseidon2

    Death Metal t1

    Voilà le début du tant attendu Death Metal. La "fin" d'un run pensé de longues dates par les scénaristes de DC car aillant des bases... dans la cours des hiboux. Rien que ça. Et ce tome 1 est.... introductif. J'exagère un peu. Le début est vraiment sympa car il nous prend de court en présentant l'histoire bien après la fin de Doom War Epilogue. On nous épargne la "chute" des héros pour nous présenter la reconquête. Ça permet à Snyder de caler deux trois flash-back pour nous occuper avant le tome suivant. Car oui, même si c'est très sympa de découvrir des héros au fond du gouffre, on en apprend pas beaucoup plus sur ce tome ci. Snyder met les personnages en places, ressorts les vieux dossiers, montre Lobo (car Lobo c'est toujours un événement en soi. Ils ne sortent pas le mec plus ultra à chaque fois) et... nous dit qu'il se passera pleins de truc sympa au prochain tome. La preuve on a ici, pour combler, un recueil d’histoires courtes autour de la chute des héros en fin de tome. Histoires sympathiques mais ne faisant pas avancer le schmilblick. Bref il est urgent d'attendre pour lire cette intro plus la suite !
  16. poseidon2

    Death Metal t1

    Titre de l'album : Death Metal t1 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La victoire du Batman Qui Rit est désormais totale. Seigneur d'une Terre cauchemardesque, transformée à son image grâce aux pouvoirs de la mère du Multivers Perpetua, il tient les héros survivants à sa merci et semble avoir anéanti toute résistance. Toute ? Dans l'ombre, le véritable Batman poursuit la lutte, bataille après bataille, contre l'oppresseur, alors que Wonder Woman, devenue cerbère des Enfers, rêve de renverser le tyran une bonne fois pour toutes. C'est à ce prix que l'espoir renaîtra de ses cendres... Critique : Voilà le début du tant attendu Death Metal. La "fin" d'un run pensé de longues dates par les scénaristes de DC car aillant des bases... dans la cours des hiboux. Rien que ça. Et ce tome 1 est.... introductif. J'exagère un peu. Le début est vraiment sympa car il nous prend de court en présentant l'histoire bien après la fin de Doom War Epilogue. On nous épargne la "chute" des héros pour nous présenter la reconquête. Ça permet à Snyder de caler deux trois flash-back pour nous occuper avant le tome suivant. Car oui, même si c'est très sympa de découvrir des héros au fond du gouffre, on en apprend pas beaucoup plus sur ce tome ci. Snyder met les personnages en places, ressorts les vieux dossiers, montre Lobo (car Lobo c'est toujours un événement en soi. Ils ne sortent pas le mec plus ultra à chaque fois) et... nous dit qu'il se passera pleins de truc sympa au prochain tome. La preuve on a ici, pour combler, un recueil d’histoires courtes autour de la chute des héros en fin de tome. Histoires sympathiques mais ne faisant pas avancer le schmilblick. Bref il est urgent d'attendre pour lire cette intro plus la suite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-tome-1-187846?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Urban Limited : Curse of White Night Scenariste de l'album : Sean Murphy Dessinateur de l'album : Sean Murphy Coloriste : Sean Murphy Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La collection Urban Limited propose de découvrir des récits majeurs de DC Comics dans un format hors du commun et une fabrication particulièrement luxueuse. Les tirages sont uniques, limités à 1500 exemplaires et numérotés à la machine à l'intérieur des ouvrages. Critique : Noel arrive. Et si la magie de Noel existe, c'est pour permettre d'offrir (ou de s'offrir) des ouvrages de ce genre... dans la mesure ou vous en trouvez encores de disponibles bien sur.... Car cette critique va bien uniquement parler de l'ouvrage lui meme et non de ce qu'il y a à l'intérieur. En effet Urban sort en Limited edition les 3 albums suivants : The Curse of the wight Night : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/batman-curse-of-the-white-knight-edition-nb-r244/ Doomsday clock : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/doomsday-clock-r331/ Batman : Last knight on Earth : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/batman-last-knight-on-earth-r38/ Je vous laisse jeter un coup d'oeil aux critiques pour vous faire une idée. Je parlerais ici du contenant. Du superbe contenant. Car le tout est superbe. Papier super épais, couverture orignal pour l'occasion, reliuire toilée, marque page et surtout des dimensions gigantesques. J'étais legerement sceptique sur ces dernières mesures. En effet tous les dessins ne s'adaptent pas forcement à un grand format. On peut le voir d'ailleurs sur les agrandissements de la partie consacrée à Von Freeze. En effet la partie de Klaus Janson passe un peu moins bien en grand format. Donne un peu l'effet Zoom dont j'avais peur (d'ou ma demi étoile en moins). Mais Heureusement ce qu'un petit chapitre. Mais pour ce qui est des dessins de Sean Murphy.... fiouuuu. ..On voit tout de suite que Murphy travaille de base sur des grandes planches. Les détails qui apparaissent en plus sont légions ! On se rend compte du travail apporté par Murphy à ses personnages encore plus que dans la version noir et blanc. Le plaisir de lecture est démultiplié tellement on prend le temps de disséquer chaque page .... La lecture se fait plus longue mais plus immersive. Niveau contenu supplémentaire, ne vous attendez pas à 250 pages de plus, ce n'est pas le propos. Ici on met l'accent sur le dessin de Murphy. On a donc droit, en plus de la prmeiere page numéroté à la main, à de sublimes illustrations de chacun des personnages principaux et d'une partie du story board. En pleine page....... Bref il ne reste plus qu'à parler du prix... Car oui un objet comme celui la à un coup. 49 pour le Last night on Earth, 59 pour ce Curse of the White night et 69 pour le Doomsday (le prix dependant du nombre de pages bien sur) Je trouve l'idée d'Urban intelligente en offrant 3 tomes pour 3 tailles de bourse. Apres est-ce que cela vaux la difference de prix ? Cela depend de ce que vous recherchez. De la lecture ni plus ni moins ? Don ce cas non. Un beau cadeau ou un objet que vous adorerez regarder, re-ouvrir, feuilletez, montrez à vos enfants.... dans ce cas dépêchez vous de regarder s'il en reste. Pour ma part une fois celui la recu, j'ai réservé Doomsday Clock chez mon libraire... c'était le dernier..... Car oui pour que ces éditions de luxe soit "rentables" pour le lecteur, elles sont limitées. 1500 par histoire... et je pense que beaucoups sont deja parties... Bonnes chassent ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/edition-luxe-batman-curse-of-the-white-knight?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Noel arrive. Et si la magie de Noel existe, c'est pour permettre d'offrir (ou de s'offrir) des ouvrages de ce genre... dans la mesure ou vous en trouvez encores de disponibles bien sur.... Car cette critique va bien uniquement parler de l'ouvrage lui meme et non de ce qu'il y a à l'intérieur. En effet Urban sort en Limited edition les 3 albums suivants : The Curse of the wight Night : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/batman-curse-of-the-white-knight-edition-nb-r244/ Doomsday clock : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/doomsday-clock-r331/ Batman : Last knight on Earth : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/batman-last-knight-on-earth-r38/ Je vous laisse jeter un coup d'oeil aux critiques pour vous faire une idée. Je parlerais ici du contenant. Du superbe contenant. Car le tout est superbe. Papier super épais, couverture orignal pour l'occasion, reliuire toilée, marque page et surtout des dimensions gigantesques. J'étais legerement sceptique sur ces dernières mesures. En effet tous les dessins ne s'adaptent pas forcement à un grand format. On peut le voir d'ailleurs sur les agrandissements de la partie consacrée à Von Freeze. En effet la partie de Klaus Janson passe un peu moins bien en grand format. Donne un peu l'effet Zoom dont j'avais peur (d'ou ma demi étoile en moins). Mais Heureusement ce qu'un petit chapitre. Mais pour ce qui est des dessins de Sean Murphy.... fiouuuu. ..On voit tout de suite que Murphy travaille de base sur des grandes planches. Les détails qui apparaissent en plus sont légions ! On se rend compte du travail apporté par Murphy à ses personnages encore plus que dans la version noir et blanc. Le plaisir de lecture est démultiplié tellement on prend le temps de disséquer chaque page .... La lecture se fait plus longue mais plus immersive. Niveau contenu supplémentaire, ne vous attendez pas à 250 pages de plus, ce n'est pas le propos. Ici on met l'accent sur le dessin de Murphy. On a donc droit, en plus de la prmeiere page numéroté à la main, à de sublimes illustrations de chacun des personnages principaux et d'une partie du story board. En pleine page....... Bref il ne reste plus qu'à parler du prix... Car oui un objet comme celui la à un coup. 49 pour le Last night on Earth, 59 pour ce Curse of the White night et 69 pour le Doomsday (le prix dependant du nombre de pages bien sur) Je trouve l'idée d'Urban intelligente en offrant 3 tomes pour 3 tailles de bourse. Apres est-ce que cela vaux la difference de prix ? Cela depend de ce que vous recherchez. De la lecture ni plus ni moins ? Don ce cas non. Un beau cadeau ou un objet que vous adorerez regarder, re-ouvrir, feuilletez, montrez à vos enfants.... dans ce cas dépêchez vous de regarder s'il en reste. Pour ma part une fois celui la recu, j'ai réservé Doomsday Clock chez mon libraire... c'était le dernier..... Car oui pour que ces éditions de luxe soit "rentables" pour le lecteur, elles sont limitées. 1500 par histoire... et je pense que beaucoups sont deja parties... Bonnes chassent !
  19. Titre de l'album : DC Confidential : Great Darknesse Saga Scenariste de l'album : Paul Levitz Dessinateur de l'album : Keith Giffen Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Au XXXe siècle, à l'époque de la glorieuse Légion des Super-Héros, une poignée d'êtres d'ombre particulièrement agressifs se mettent en quête d'artefacts magiques et affrontent différents légionnaires aux quatre coins de la galaxie. Ces créatures sont en réalité contrôlées par un être maléfique venu tout droit du XXe siècle : le seigneur d'Apokolips, Darkseid ! Critique : Bon je vais être très honnête, j'ai eu énormément de mal à finir de DC Confidential. Non pas parce que l'histoire est mauvaise. C'est même plutôt l'inverse. L'histoire est très prenante et tous ces nouveaux héros sont assez rafraîchissants. En fait j'ai eu un mal fou avec le coté 1980 de l'album. En effet c'est une époque où les comics étaient TRÈS verbeux, ou l'on ne faisait pas suffisamment confiance aux dessins pour être explicite. Il y a donc des tartine de textes, des tartines de personnages qui pense via des bulles et quand on est obligé de tout lire parce que cela concerne des personnages que l'on ne connait pas..... Ça fait bizarre. On est vraiment à mi-chemin avec le roman. Ce n'est pas forcément un reproche en soit, c'est juste qu'il ne faut pas prendre ce comics comme un comics de détente. L'histoire n'est pas compliquée comme un Batman Metal mais la lecture est plus "lourde" que les comics actuels. Donc comme les autres DC Confidential, vous pouvez y aller. Par contre vous êtes prévenus : prenez 3h et fermez la porte. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/legion-of-super-heroes-the-great-darkness-saga?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Bon je vais être très honnête, j'ai eu énormément de mal à finir de DC Confidential. Non pas parce que l'histoire est mauvaise. C'est même plutôt l'inverse. L'histoire est très prenante et tous ces nouveaux héros sont assez rafraîchissants. En fait j'ai eu un mal fou avec le coté 1980 de l'album. En effet c'est une époque où les comics étaient TRÈS verbeux, ou l'on ne faisait pas suffisamment confiance aux dessins pour être explicite. Il y a donc des tartine de textes, des tartines de personnages qui pense via des bulles et quand on est obligé de tout lire parce que cela concerne des personnages que l'on ne connait pas..... Ça fait bizarre. On est vraiment à mi-chemin avec le roman. Ce n'est pas forcément un reproche en soit, c'est juste qu'il ne faut pas prendre ce comics comme un comics de détente. L'histoire n'est pas compliquée comme un Batman Metal mais la lecture est plus "lourde" que les comics actuels. Donc comme les autres DC Confidential, vous pouvez y aller. Par contre vous êtes prévenus : prenez 3h et fermez la porte.
  21. poseidon2

    Doomsday Clock

    Titre de l'album : Doomsday Clock Scenariste de l'album : Geoff Johns Dessinateur de l'album : Gary Franck Coloriste : Gary Franck Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a trente ans, sur une Terre où le cours de l'Histoire a évolué de manière bien différente, un justicier milliardaire nommé Ozymandias a tenté de sauver l'humanité d'une guerre nucléaire imminente en concevant une machination effroyable... et réussit. Mais, ses plans ayant été révélés, ce dernier dut prendre la fuite et tente à présent de retrouver le seul être capable de restaurer un équilibre sur sa planète : le Dr Manhattan, surhomme omnipotent. Un seul problème s'offre à lui : le Dr Manhattan a quitté sa dimension pour visiter celle de la Ligue de Justice et interférer avec le cours des événements, manipulant à leur insu les héros de cet univers. Mais pour Ozymandias, ce défi n'est qu'un obstacle de plus dans sa quête d'une paix éternelle pour son monde et ses habitants : résolu, il décide de franchir la barrière entre les dimensions quitte à y affronter ces métahumains. Critique : 4 ans. Il fallut 4 ans à Geoff Johns pour peaufiner son Doomsday Clock. 4 ans depuis la parution du DC Universe Rebirth : le badge et l'apparition de l'étrange badge du Comédien dans l'univers DC. Si l'attente fut longue (moi j'avais abdiqué pour tout dire) elle fut surement moins frustrante pour nous européens que pour nos amis américains qui ont vu les numéros s’étaler sur plus de 2 ans (soit un numéro tous les 2 mois !). Et je suis bien content d'avoir eu toute l'histoire d'un coup. Car pour ne rien vous cacher c'est la première fois depuis bien.... 5 ou 6 que j'ai lu un comics de 500 pages d'une traite. Sans interruption.... bon ok je me suis couché un peu tard. Mais qu'est-ce que c'était bon. Un excellent bon gout de Watchmen saupoudré d'un très léger gout de justice league. C'est le premier truc qui est excellent dans ce "crossover" (qui est plus une suite à Watchmen qu'autre chose) : les héros de l'univers DC sont complètement dépassés par l'arrivée des protagonistes de Watchmen. Mais à la ramasse. Aussi bien les héros que les méchants. Ils font de la figuration. Et ça c'est rafraîchissant. Mais ce n'est que la cerise sur un gâteau assez énorme. En prenant son temps Geoff Johns a réussi à vraiment prendre à bras le corps l'univers de Watchmen, pas juste l'histoire. Il le montre au travers d'une narration très proche de celle de Moore et des personnages vraiment conformes à leur version de base. Mais il le montre aussi avec des intermèdes entre les chapitre plein d’extrait de journaux, de photos, de carnet de notre de Rorschach ou d'autre détails qui densifie énormément le revit et l’inclut définitivement dans la ligne droite de Watchmen. Comme le récit de Moore, celui-ci n'est pas à mettre entre toutes les mains car il sera peut être compliqué pour un "béotien" et incompréhensible si vous n'avez pas lu Watchmen. Mais pour les autres.... c'est LE comic à lire en ce moment. Il est suffisamment bon pour qu'il m'ait automatiquement donné envie de relire Watchmen pour relire celui-ci dans la foulé. Et a tout ceux que la présence de Superman et Batman trouble, ne vous inquiétez pas, ils font vraiment de la figuration. Si l'histoire sert aussi d'explication à l'imbroglio temporel de DC, ça reste compréhensible et, au final, n'est que peu de chose par rapport au plaisir de retrouver Rorschach ! A Noter qu'une sublime édition de luxe (pas donnée par contre) est prévu pour la fin du mois. Avec noël qui arrive.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/doomsday-clock-watchmen?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Doomsday Clock

    4 ans. Il fallut 4 ans à Geoff Johns pour peaufiner son Doomsday Clock. 4 ans depuis la parution du DC Universe Rebirth : le badge et l'apparition de l'étrange badge du Comédien dans l'univers DC. Si l'attente fut longue (moi j'avais abdiqué pour tout dire) elle fut surement moins frustrante pour nous européens que pour nos amis américains qui ont vu les numéros s’étaler sur plus de 2 ans (soit un numéro tous les 2 mois !). Et je suis bien content d'avoir eu toute l'histoire d'un coup. Car pour ne rien vous cacher c'est la première fois depuis bien.... 5 ou 6 que j'ai lu un comics de 500 pages d'une traite. Sans interruption.... bon ok je me suis couché un peu tard. Mais qu'est-ce que c'était bon. Un excellent bon gout de Watchmen saupoudré d'un très léger gout de justice league. C'est le premier truc qui est excellent dans ce "crossover" (qui est plus une suite à Watchmen qu'autre chose) : les héros de l'univers DC sont complètement dépassés par l'arrivée des protagonistes de Watchmen. Mais à la ramasse. Aussi bien les héros que les méchants. Ils font de la figuration. Et ça c'est rafraîchissant. Mais ce n'est que la cerise sur un gâteau assez énorme. En prenant son temps Geoff Johns a réussi à vraiment prendre à bras le corps l'univers de Watchmen, pas juste l'histoire. Il le montre au travers d'une narration très proche de celle de Moore et des personnages vraiment conformes à leur version de base. Mais il le montre aussi avec des intermèdes entre les chapitre plein d’extrait de journaux, de photos, de carnet de notre de Rorschach ou d'autre détails qui densifie énormément le revit et l’inclut définitivement dans la ligne droite de Watchmen. Comme le récit de Moore, celui-ci n'est pas à mettre entre toutes les mains car il sera peut être compliqué pour un "béotien" et incompréhensible si vous n'avez pas lu Watchmen. Mais pour les autres.... c'est LE comic à lire en ce moment. Il est suffisamment bon pour qu'il m'ait automatiquement donné envie de relire Watchmen pour relire celui-ci dans la foulé. Et a tout ceux que la présence de Superman et Batman trouble, ne vous inquiétez pas, ils font vraiment de la figuration. Si l'histoire sert aussi d'explication à l'imbroglio temporel de DC, ça reste compréhensible et, au final, n'est que peu de chose par rapport au plaisir de retrouver Rorschach ! A Noter qu'une sublime édition de luxe (pas donnée par contre) est prévu pour la fin du mois. Avec noël qui arrive....
  23. Décidément cette série Urban porte bien son nom : les récits qui sont choisi sont assez hors normes et toujours très réussit. Sur celui-là on a une ode à l'Age d'or du comics. Un hommage à une période des comics bien spécifiques. On a ici un bon gout de Watchmen. Sincèrement cette utilisation de la voie off... Ce scénario compliqué ou les combats ne sont pas le centre de l'histoire et ces ramifications post guerre avec manipulation de la foule.... c'est tout une mise en place et un scénario qui prend le temps de se décanter comme les scénarios actuels ne prennent plus le temps de la faire. Ici on a quand même une histoire suffisamment dense pour que l'on réussisse à être surpris par le twist du milieu de l'album. On a des personnages eux aussi très denses, en proie au doute et à la résignation. Une histoire très lointaine de celles des héros d'aujourd’hui qui sont dans l'action permanente et dans la comparaison du plus grand méchant qu'il puisse battre. Un comics qui prend son temps. Un bon comics. Plus profond et peu intéressant que les actuels diraient certains esprit passéistes. Moi j'aime bien les deux et trouve qu'un comics qui ralentit comme ça, ça fait du bien. Idéalement si c'était une suite à Watchmen ça serait un 5/5 ..... A mais attendez ... on me glisse à l'oreille que....
  24. Titre de l'album : DC Confidential : JSA- l'Age d'or Scenariste de l'album : James Robinson Dessinateur de l'album : Paul Smith Coloriste : Paul Smith Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La fin des années 1940. Après la victoire des alliés lors de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis connaissent un boom économique prodigieux mais sombrent également dans la paranoïa anti-communiste. Dans ce contexte de guerre froide naissante, plusieurs justiciers masqués tentent de trouver leur place au sein de cette nouvelle société pleine de promesses d'avenir. Mais le retour au pays de l'un d'entre eux, Manhunter, va signaler le début d'une enquête tortueuse révélant les liens troubles entre la communauté des super-héros et le gouvernement ainsi qu'un complot visant à l'asservissement de ces anciens protecteurs de la nation. Critique : Décidément cette série Urban porte bien son nom : les récits qui sont choisi sont assez hors normes et toujours très réussit. Sur celui-là on a une ode à l'Age d'or du comics. Un hommage à une période des comics bien spécifiques. On a ici un bon gout de Watchmen. Sincèrement cette utilisation de la voie off... Ce scénario compliqué ou les combats ne sont pas le centre de l'histoire et ces ramifications post guerre avec manipulation de la foule.... c'est tout une mise en place et un scénario qui prend le temps de se décanter comme les scénarios actuels ne prennent plus le temps de la faire. Ici on a quand même une histoire suffisamment dense pour que l'on réussisse à être surpris par le twist du milieu de l'album. On a des personnages eux aussi très denses, en proie au doute et à la résignation. Une histoire très lointaine de celles des héros d'aujourd’hui qui sont dans l'action permanente et dans la comparaison du plus grand méchant qu'il puisse battre. Un comics qui prend son temps. Un bon comics. Plus profond et peu intéressant que les actuels diraient certains esprit passéistes. Moi j'aime bien les deux et trouve qu'un comics qui ralentit comme ça, ça fait du bien. Idéalement si c'était une suite à Watchmen ça serait un 5/5 ..... A mais attendez ... on me glisse à l'oreille que.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jsa-l-age-d-or?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : American jesus t1&2 Scenariste de l'album : Mark Millar Dessinateur de l'album : Peter Gross Coloriste : Peter Gross Editeur de l'album : Panini Comics Note : Résumé de l'album : Il faut admettre l'évidence : cet enfant de 12 ans, capable de transformer l'eau en vin et de guérir les infirmes est l'élu, le nouveau Jésus Christ. Mais comment peut-on si jeune, endosser une telle destinée ? Critique : La dernière création de chez Millarworld. Création destinée, depuis le rachat par Netflix des studios Mark Millar, à être transformé en série dans les années à venir. Voir même quasiment conçue pour être une série avant même d'être un comic. Ça se retranscrit un peu dans le comic. Mais pas de façon péjorative. Ça amène une gestion du suspens plutôt positive. Car si Mark Millar se sert du succès de Punk Rock Jésus et de Preacher pour lancer lui aussi sa série sur le christianisme et le retour de jésus, il y met la patte Millar avec un découpage et une gestion du suspens très proche d'un film ou d'une série. On utilise la voie off qui raconte des événements passés pour pouvoir inclure le lecteur dans l'histoire. On gère le suspens chapitre par chapitre, chaque chapitre correspondant bien à un futur épisode de série. Niveau histoire cela serait cruel de vous en dire trop. Je vous dirais juste que les dessins de Peter Gross (Fables entre autres) correspondent bien au style souhaité. Millar réussi à ne pas tomber dans l'apologie d'une religion plus qu'une autre et réussi la transposition de Jésus dans le corps d'un ado ! C'est aussi prenant qu’intéressant. Je ne saurais que vous conseillez de prendre les deux tomes en même temps. Deux tomes qui nous présentent le fils de dieu pour l'un et celui du diable pour l'autre. Le troisième tome qui marquera la confrontation entre les deux promet d’être....biblique 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/american-jesus-l-elu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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