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  1. Titre de l'album : Les tortues ninja - TMNT tome 17 - Lignes de front Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz & Bobby Curnow Dessinateur de l'album : Dave Wachter & Michael Dialynas Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Suite et fin pour les aventures cosmiques des Tortues désormais alliées avec... les Utroms, pour le meilleur comme pour le pire ? Plus déterminés que jamais à traquer et éradiquer toute présence extraterrestre sur la planète, l'agent Bishop et la F.T.P. mènent une attaque surprise sur l'île de Burnow. Les tensions explosent tandis que les Tortues Ninja rejoignent Burnow pour épauler Tricératons et Utroms dans une guerre sans merci qui ne laissera personne indemne... Critique : Ce tome conclut les intrigues des Tortues autour des ultroms et des tricératons avec une "fin" aux cycle des problématiques aliens sur terre. On est assez loin des meilleurs tomes de la série, cet arc ne m'ayant finalement que peu convaincu, mais cela reste une lecture qui sera agréable à tous les fans des tortues. A noter que seuls 3 chapitres sont consacrés à la fin de cet arc, le 4ème et dernier chapitre, dessiné par Michael Dialynas pour le coup étant une nouvelle dans l'univers des tortues centrée sur Maitre Splinter. J'espère que la suite nous recadrera un peu sur des aventures des tortues plus classiques dans leurs enjeux. A voir. Autres infos : Tortues Ninja Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-17-lignes-de-front?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Dark Ages

    Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la.....
  3. poseidon2

    Dark Ages

    Titre de l'album : Dark Ages Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Coello Coloriste : Coello Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Que se passe-t-il quand les super-héros perdent ? Le Gardien apparaît tout à coup, annonçant aux héros de la Terre que la planète vit ses derniers instants. Leurs efforts ne servent à rien, tout ce qui fonctionne à l'électricité tombe en panne et le monde tel que nous le connaissons est plongé dans l'obscurité. Sept ans plus tard, les héros existent toujours mais les vilains se sont organisés, sous la houlette d'Apocalypse ! Cette année, Marvel multiplie les évènements qui pourraient constituer à eux seuls un crossover, mais qui sont contenus dans des mini-séries dédiées. L'intégralité de cette saga, qui rassemble les plus grands héros Marvel face à une menace inédite, est donc recueillie ici. Critique : Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-ages?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    The scumbag t1 : cocaïnefinger

    Rick Remender est un des auteurs qui à le vent en poupe outre atlantique et cela lui permet de sortir des sentiers battus... pour nous proposer des histoires plus innovantes les unes que les autres. Et The Scumbag est monté directement dans le trio de tête des comics étranges. En effet, on a ici tout ce qui fait la définition de l'antihéros et même pire. Ernie est tellement "dégueulasse" qu'il ne réussit même pas à être attachant. C'est looser qui s'assume comme tel. Et cela rend le comics vraiment drôle. Si j'ai trouvé les aspects scato un peu trop poussés dans le non-respect de soi, le reste des aventures de notre drogué sont globalement tant décalées qu'elles en sont très drôles. Graphiquement très sympa malgré différents dessinateurs aux manettes des différents chapitres, ce Scumbag plaira aux amateurs de comics déjantés comme "The Loosers" mais laissera de côté les amateurs de comics plus sérieux. À vous de voir
  5. Titre de l'album : The scumbag t1 : cocaïnefinger Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Lewis LaRosa / Roland Boschi Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Être un motard analphabète, toxicomane, et possédant un QI équivalent à celui d'un enfant de primaire ne semble pas être les prérequis attendus pour sauver le monde. Et pourtant, malgré un CV peu reluisant, Ernie Ray Clementine est la seule chose qui nous sépare de l'Apocalypse. En ayant reçu accidentellement un sérum de surhomme, il est devenu l'espion le plus puissant du monde, et il semble impossible de s'en sortir sans son aide... Contenu vo : The scumbag #1-5. Critique : Rick Remender est un des auteurs qui à le vent en poupe outre atlantique et cela lui permet de sortir des sentiers battus... pour nous proposer des histoires plus innovantes les unes que les autres. Et The Scumbag est monté directement dans le trio de tête des comics étranges. En effet, on a ici tout ce qui fait la définition de l'antihéros et même pire. Ernie est tellement "dégueulasse" qu'il ne réussit même pas à être attachant. C'est looser qui s'assume comme tel. Et cela rend le comics vraiment drôle. Si j'ai trouvé les aspects scato un peu trop poussés dans le non-respect de soi, le reste des aventures de notre drogué sont globalement tant décalées qu'elles en sont très drôles. Graphiquement très sympa malgré différents dessinateurs aux manettes des différents chapitres, ce Scumbag plaira aux amateurs de comics déjantés comme "The Loosers" mais laissera de côté les amateurs de comics plus sérieux. À vous de voir Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-scumbag-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Raptor

    On va être honnête. En première lecture, j'étais très loin d'avoir tout compris. J'ai même failli arrêter au tout début tellement je ne comprenais rien. Rarement, je n'avais autant eu envie de relire un album dans l'unique but de vérifier que j'avais compris quelque chose. Le vrai pouvoir de Dave McKean est surement là : Réussir à faire quelque chose de vraiment différent, visuellement parlant que cela fait très peur en première lecture, mais de le faire tellement bien que l'on est envouté et qu'en terminant l'album, on les rouvre pour une deuxième lecture. Alors cela ne plaira pas à tout le monde, c'est clair. Mais il sera impossible de nier le travail et la qualité graphique. Je ne vous en dirais pas trop (en partie parce que j'ai toujours peur de ne pas avoir saisi toute la profondeur du récit) mais j'encourage toutes les âmes aventureuses et amatrices d'expérience graphique à foncer sur cet "album" de Dave McKean... et de venir me dire s'ils ont adoré... ou détesté.
  7. poseidon2

    Raptor

    Titre de l'album : Raptor Scenariste de l'album : Dave McKean Dessinateur de l'album : Dave McKean Coloriste : Dave McKean Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Raptor nous donne à voir tour à tour deux mondes et deux âmes en proie au conflit. Sokól erre dans un paysage féodal et fantastique, chassant les monstres pour le compte de ceux qui peuvent s'offrir ses services, tandis qu'Arthur, un auteur de contes fantastiques, qui pleure la mort de sa jeune épouse dans le Pays de Galles du XIXe siècle, s'en remet au surnaturel dans le vain espoir de la revoir. Tous deux vivent dans le crépuscule entre la vérité et le mensonge, la vie et la mort, la réalité et l'imaginaire. Véritable prouesse visuelle, Raptor entraîne le lecteur dans deux mondes à priori distincts, mais qui se font écho dans une même trame narrative. Critique : On va être honnête. En première lecture, j'étais très loin d'avoir tout compris. J'ai même failli arrêter au tout début tellement je ne comprenais rien. Rarement, je n'avais autant eu envie de relire un album dans l'unique but de vérifier que j'avais compris quelque chose. Le vrai pouvoir de Dave McKean est surement là : Réussir à faire quelque chose de vraiment différent, visuellement parlant que cela fait très peur en première lecture, mais de le faire tellement bien que l'on est envouté et qu'en terminant l'album, on les rouvre pour une deuxième lecture. Alors cela ne plaira pas à tout le monde, c'est clair. Mais il sera impossible de nier le travail et la qualité graphique. Je ne vous en dirais pas trop (en partie parce que j'ai toujours peur de ne pas avoir saisi toute la profondeur du récit) mais j'encourage toutes les âmes aventureuses et amatrices d'expérience graphique à foncer sur cet "album" de Dave McKean... et de venir me dire s'ils ont adoré... ou détesté. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raptor?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Toutes les morts de Laila Starr Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Andrade Felipe Coloriste : Andrade Felipe Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Mumbai, de nos jours. Mme Shah, en plein travail et coincée dans un embouteillage, hurle sur son mari au téléphone. Laila Starr, une jeune femme déjà fatiguée de tout, est allongée sur le rebord d'une fenêtre ouverte, plusieurs étages au-dessus du trafic. Et plus haut encore, bien au-delà des nuages, la déesse de la Mort est convoquée dans le bureau de son patron. Ces trois destins se rejoignent au moment où, simultanément Laila saute dans le vide, Mme Shah donne naissance à son fils Darius, et la Mort est renvoyée sans ménagement. Dans un futur, Darius est en effet celui qui découvrira le secret de l'immortalité et reléguera la Mort au rang de désagréable souvenir. Mais la Mort, incarnée dans le corps sans vie de Laila, compte bien retrouver sa place, même si elle doit pour cela éliminer le jeune Darius. Du moins, c'était le plan avant qu'un camion ne la fauche et qu'elle ne se retrouve à nouveau ressuscitée quelques années plus tard... Contenu vo : The Many Deaths of Laila Starr #1-5. Critique : Voilà mon deuxième coup de cœur comics de ce mois de mai : Toutes les morts de Laila Starr. Pourtant, je ne partais pas forcément confiant. Je dois reconnaitre que la mythologie indienne n'est pas une qui m'attire. Mais j'ai déjà été charmé par le graphisme et la mise en couleur. C'est beau, c'est aéré, c'est coloré et plein de vie. Et une fois ce regard posé, j'ai tout de suite été happé par le récit : L'idée de cette mort qui est rétrogradée à l'état de simple mortelle parce qu'un homme doit inventer l'immortalité..... c'est excellent. Tout comme le fait de faire découvrir à la morte elle-même ce que c'est que... mourir. Chance ou malchance, elle est ramenée à la vie par son ancien "collègue de bureau" et peu donc continuer ses vies. Vies qui croiseront toujours la route du même homme et qui changeront le point de vue de la mort sur son travail passé. Une très belle fable dans une édition sublime que je conseille, encore une fois, à tout le monde. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/toutes-les-morts-de-laila-starr?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Toutes les morts de Laila Starr

    Voilà mon deuxième coup de cœur comics de ce mois de mai : Toutes les morts de Laila Starr. Pourtant, je ne partais pas forcément confiant. Je dois reconnaitre que la mythologie indienne n'est pas une qui m'attire. Mais j'ai déjà été charmé par le graphisme et la mise en couleur. C'est beau, c'est aéré, c'est coloré et plein de vie. Et une fois ce regard posé, j'ai tout de suite été happé par le récit : L'idée de cette mort qui est rétrogradée à l'état de simple mortelle parce qu'un homme doit inventer l'immortalité..... c'est excellent. Tout comme le fait de faire découvrir à la morte elle-même ce que c'est que... mourir. Chance ou malchance, elle est ramenée à la vie par son ancien "collègue de bureau" et peu donc continuer ses vies. Vies qui croiseront toujours la route du même homme et qui changeront le point de vue de la mort sur son travail passé. Une très belle fable dans une édition sublime que je conseille, encore une fois, à tout le monde.
  10. poseidon2

    Strange adventures

    Cette critique s'adresse aux amateurs de comics, aux amateurs de récit menés subliment, aux amateurs de BD tout court.... Le Strange Adventures de Tom King est la plus belle lecture et la plus belle composition scénaristique que j'ai pu lire depuis très longtemps. Comme souvent chez Tom King, il n'est pas nécessaire de connaitre l''univers DC ni même de savoir qui est Adam Strange. Il suffit de se laisser guider par le maitre King et de prendre une grosse claque de gestion d'histoire. Tom King construit son histoire en deux parallèles : le présent et le passé. Le passé étant la guerre menée par Adam Strange sur sa deuxième terre, Rann, et le présent étant le retour d'Adam Strange sur Terre après la victoire sur Rann. Victoire que certains trouve étrange et demande à Mr Terrific d'enquêter. Le premier succès de Tom King sur ce récit, c'est de réussir à écrire sur des personnages secondaires de l'univers DC en réussissant à les présenter au fil de l'eu et sans que cela gène du tout la lecture. Le deuxième, c'est sa gestion des temps forts et l'utilisation harmonieuse des voies off ou du style direct. Chaque personnage son propre style d'écriture et de narration. Le taiseux Mr Terrific s'approprie la voie off, Alanna les longs discours et Adam Strange les scènes d'actions et cris qui vont avec. Et le plus grand succès, c'est de réussir à nous surprendre. Mieux que cela. Il ne nous surprend pas. Il réussit à nous faire penser, petit à petit, que l'inimaginable au début de l'album peut se trouver être une vérité acceptable. Petit à petit, on en vient à se dire "Attends, mais en fait...." Pas de gros cliffhanger de folie. Pas d'effet wahou en mode : tadam c'était derrière la porte ! Non ici on suit les petits cailloux récupérés par Mr Terrific et King réussit à nous faire suivre sa réflexion pour que l'on arrive quasiment aux mêmes conclusions que lui en même temps. Et ça, c'est magique. Pour ne pas s'arrêter au scénario, cet ouvrage est aussi super bien pensé en termes de design. Le traitement graphique en "3 bandes" (une page divisée en 3 grandes cases qui font toutes la largeur) rend super bien. Cela permet de sublimes paysages, mais aussi des découpages innovants et des séquences de plan rapprochés tel que seul le cinéma réussit à nous offrir d'habitude. Franchement, pour moi il n'y a rien à jeter et je pense que ça peut être un comics qui plaira à tous ceux qui aiment les histoires bien racontées. Attention par contre ça contient l'intégrale des...12 numéros. Donc prévoyez 2 bonnes heures devant vous. Mais 2 heures de bonheurs. Monsieur King, j'en veux plus souvent des comme ca !
  11. Titre de l'album : Strange adventures Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Mitch Gerads / Mitch / Evan Doc Shaner Coloriste : Colllectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Adam Strange, héros victorieux des guerres de Rann?Thanagar, savoure une retraite bien méritée sur Terre en compagnie de sa femme Alanna. En pleine tournée pour la promotion de son autobiographie, il est violemment pris à partie par un lecteur qui lui reproche le massacre d'innocents durant le conflit galactique. Quelques heures plus tard, ce même lecteur est retrouvé assassiné, à coup de blaster. Il reviendra à Mr Terrific de faire toute la lumière sur cette affaire. Critique : Cette critique s'adresse aux amateurs de comics, aux amateurs de récit menés subliment, aux amateurs de BD tout court.... Le Strange Adventures de Tom King est la plus belle lecture et la plus belle composition scénaristique que j'ai pu lire depuis très longtemps. Comme souvent chez Tom King, il n'est pas nécessaire de connaitre l''univers DC ni même de savoir qui est Adam Strange. Il suffit de se laisser guider par le maitre King et de prendre une grosse claque de gestion d'histoire. Tom King construit son histoire en deux parallèles : le présent et le passé. Le passé étant la guerre menée par Adam Strange sur sa deuxième terre, Rann, et le présent étant le retour d'Adam Strange sur Terre après la victoire sur Rann. Victoire que certains trouve étrange et demande à Mr Terrific d'enquêter. Le premier succès de Tom King sur ce récit, c'est de réussir à écrire sur des personnages secondaires de l'univers DC en réussissant à les présenter au fil de l'eu et sans que cela gène du tout la lecture. Le deuxième, c'est sa gestion des temps forts et l'utilisation harmonieuse des voies off ou du style direct. Chaque personnage son propre style d'écriture et de narration. Le taiseux Mr Terrific s'approprie la voie off, Alanna les longs discours et Adam Strange les scènes d'actions et cris qui vont avec. Et le plus grand succès, c'est de réussir à nous surprendre. Mieux que cela. Il ne nous surprend pas. Il réussit à nous faire penser, petit à petit, que l'inimaginable au début de l'album peut se trouver être une vérité acceptable. Petit à petit, on en vient à se dire "Attends, mais en fait...." Pas de gros cliffhanger de folie. Pas d'effet wahou en mode : tadam c'était derrière la porte ! Non ici on suit les petits cailloux récupérés par Mr Terrific et King réussit à nous faire suivre sa réflexion pour que l'on arrive quasiment aux mêmes conclusions que lui en même temps. Et ça, c'est magique. Pour ne pas s'arrêter au scénario, cet ouvrage est aussi super bien pensé en termes de design. Le traitement graphique en "3 bandes" (une page divisée en 3 grandes cases qui font toutes la largeur) rend super bien. Cela permet de sublimes paysages, mais aussi des découpages innovants et des séquences de plan rapprochés tel que seul le cinéma réussit à nous offrir d'habitude. Franchement, pour moi il n'y a rien à jeter et je pense que ça peut être un comics qui plaira à tous ceux qui aiment les histoires bien racontées. Attention par contre ça contient l'intégrale des...12 numéros. Donc prévoyez 2 bonnes heures devant vous. Mais 2 heures de bonheurs. Monsieur King, j'en veux plus souvent des comme ca ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/strange-adventures?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Decorum t2

    Après un premier tome complexe , nous ouvrant les portes d'un nouveau monde et nous laissant avec des tas d'interrogations , Hickman nous délivre enfin la suite tant attendue . On devinait (comme à son habitude scénaristique) une ou plusieurs petites histoires imbriquées dans une , plus globale, majeure . C'est effectivement le cas mais j'émets une petite réserve . Nous avions un groupe de robots très puissants , une société de soeurs religieuses protectrices , et notre héroïne (ou presque) découvrant le monde des assassinats commandités . Tout ceci au milieu d'une chasse à l'oeuf 🙂 . Et bien dans ce tome , tout se simplifie et de façon bien trop rapide . Les 3/4 du livre portent sur la formation de Neha , avec des pointes d'humour assez bienvenues , et la présence de Madame Imogen Smith-Morley toujours aussi appréciée . Tout ceci pour finir dans une apothéose , une débauche d'action et de bains de sang , mettant un terme aux intrications posées dans le tome 1 ! Clap de fin ... Certes ,une ouverture est posée , mais désire t'on nécessairement ? J'en viens à me poser la question du franc succès ou pas , rencontré par cette histoire dans le marché américain . Hickman me semble avoir bâclé son univers . Tout n'est pas à jeter fort heureusement , Huddlestone , nous délivre encore des planches d'une beauté à couper le souffle . Il maintient son degré d'exigence . On passe du NB à des couleurs photographiques , du pastel ..... Hickman a découvert un immense talent . Ma déception vient du fait qu'après avoir lu East of west , qui est bien développé , bien profond et sans raccourcis ; puis retrouvé ce style au sein du tome 1 de Décorum , j'espérais une histoire avec un grand H . Ce tome 2 clôt ce diptyque , voyons où Jonathan va nous mener , espérons ... Une critique de Kevin Nivek
  13. poseidon2

    Decorum t2

    Titre de l'album : Decorum t2 Scenariste de l'album : Jonathan Hickman Dessinateur de l'album : Mike Huddlestone Coloriste : Mike Huddlestone Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : S'il est vrai que le meurtre constitue un dénominateur commun entre toutes les espèces, il n'en va pas de même pour l'assassinat, qui relève plutôt de... la vocation. Contenu vo : Decorum #5-8. Critique : Après un premier tome complexe , nous ouvrant les portes d'un nouveau monde et nous laissant avec des tas d'interrogations , Hickman nous délivre enfin la suite tant attendue . On devinait (comme à son habitude scénaristique) une ou plusieurs petites histoires imbriquées dans une , plus globale, majeure . C'est effectivement le cas mais j'émets une petite réserve . Nous avions un groupe de robots très puissants , une société de soeurs religieuses protectrices , et notre héroïne (ou presque) découvrant le monde des assassinats commandités . Tout ceci au milieu d'une chasse à l'oeuf 🙂 . Et bien dans ce tome , tout se simplifie et de façon bien trop rapide . Les 3/4 du livre portent sur la formation de Neha , avec des pointes d'humour assez bienvenues , et la présence de Madame Imogen Smith-Morley toujours aussi appréciée . Tout ceci pour finir dans une apothéose , une débauche d'action et de bains de sang , mettant un terme aux intrications posées dans le tome 1 ! Clap de fin ... Certes ,une ouverture est posée , mais désire t'on nécessairement ? J'en viens à me poser la question du franc succès ou pas , rencontré par cette histoire dans le marché américain . Hickman me semble avoir bâclé son univers . Tout n'est pas à jeter fort heureusement , Huddlestone , nous délivre encore des planches d'une beauté à couper le souffle . Il maintient son degré d'exigence . On passe du NB à des couleurs photographiques , du pastel ..... Hickman a découvert un immense talent . Ma déception vient du fait qu'après avoir lu East of west , qui est bien développé , bien profond et sans raccourcis ; puis retrouvé ce style au sein du tome 1 de Décorum , j'espérais une histoire avec un grand H . Ce tome 2 clôt ce diptyque , voyons où Jonathan va nous mener , espérons ... Une critique de Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/decorum-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Joker Infinite t1

    Cool cool une série sur le Joker. Mais comment présenté une série sur un psychopathe ? Simple, en ne le faisant pas. Et oui pour ne pas vous surprendre je vais vous révéler un truc : Ce joker Infinite est en fait un Gordon infinite. Et c'est tout sauf un reproche car c'est beaucoup plus cohérent et globalement très bon. C'est juste étrange d'avoir mis en avant le joker alors que c'est l'histoire de Gordon... qui chasse le joker on est d'accord mais de Gordon quand même. On ne voit au final que très peu le joker. Presque moins que dans un batou standard. Apres ce premier tome de la chasse au joker est vraiment très bon. Une partie d'historique sur la famille Gordon et l'impact qu'a eu le joker pour ne perdre personne. Une partie sur la ligne historique actuelle avec l'impact du "jour A" sur le joker et une belle partie "Aventure" avec les tribulations de Gordon loin de chez lui et le retour des fans de bane ou encore l'intervention de la cour des hiboux. Bref un excellent spin off SANS aucun encapé. Pour être exhaustif, je dirais qu'il faut aimer les voies off et l'introspection car on est quasiment tout le temps dans l'esprit de Gordon. Bref du tout bon avec juste une tête de proue un peu mensongère....
  15. Titre de l'album : Joker Infinite t1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Guillem March / Mirka Andolfo Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si les trajectoires de Batman et du Joker sont intimement liées, il en va de même pour toutes les victimes collatérales du clown criminel. Parmi celles-ci, Jim Gordon figure parmi les plus sévèrement traumatisés. Depuis les événements qui paralysèrent sa fille Barbara, l'ex-commissaire reste hanté par la barbarie du Joker. Aussi, lorsque la représentante d'une mystérieuse organisation lui propose d'assassiner le Joker, Gordon y voit l'occasion de faire ce que Batman ne se résoudra jamais à faire et de débarrasser une bon fois pour toute le monde de cet avatar du Mal absolu. Critique : Cool cool une série sur le Joker. Mais comment présenté une série sur un psychopathe ? Simple, en ne le faisant pas. Et oui pour ne pas vous surprendre je vais vous révéler un truc : Ce joker Infinite est en fait un Gordon infinite. Et c'est tout sauf un reproche car c'est beaucoup plus cohérent et globalement très bon. C'est juste étrange d'avoir mis en avant le joker alors que c'est l'histoire de Gordon... qui chasse le joker on est d'accord mais de Gordon quand même. On ne voit au final que très peu le joker. Presque moins que dans un batou standard. Apres ce premier tome de la chasse au joker est vraiment très bon. Une partie d'historique sur la famille Gordon et l'impact qu'a eu le joker pour ne perdre personne. Une partie sur la ligne historique actuelle avec l'impact du "jour A" sur le joker et une belle partie "Aventure" avec les tribulations de Gordon loin de chez lui et le retour des fans de bane ou encore l'intervention de la cour des hiboux. Bref un excellent spin off SANS aucun encapé. Pour être exhaustif, je dirais qu'il faut aimer les voies off et l'introspection car on est quasiment tout le temps dans l'esprit de Gordon. Bref du tout bon avec juste une tête de proue un peu mensongère.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Le retour de nos deux Teen titans, leur renontre et le début de leur liaison. Tout ce qu'attendait ma fille ! Et qu'elle a eu raison d'attendre car, si j'avais trouvé les deux premeir trop simples et orientés ados, celui ci est vraiment sympa. En plus des deux personnages princpaux et de Slade "deathstorke" Wilson, la liaison entre les deux jeunes permet d'introduire Damian et les autres membres des futurs Teen Titans. Mais c'est aussi une super aventure de jeunes héros pourchassés pour leurs pouvoirs, pleine de rebondissement et de... sentiments. Pour etre quand meme très clair : cette série n'est pas non plus devenu Death Metal. Cela reste un comic pour adolescent. Mais dans le genre celui ci réussit à bien mieux allier l'aspect héros/aventures avec l'apsect sentimental et pas très refléchit des adolescents. Un bon mix qui ravira les ados !
  17. Titre de l'album : Teen titans : Beast boy loves raven Scenariste de l'album : Kami Garcia Dessinateur de l'album : Gabriel Picolo Coloriste : Gabriel Picolo Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : En quelques jours seulement, la vie de Raven Roth a basculé. Un accident, le décès de sa mère adoptive, une amnésie... Bien qu'elle recouvre peu à peu ses souvenirs, il lui faut désormais digérer l'idée d'être la fille du démon Trigon, prisonnier de l'amulette qu'elle porte autour du cou, et de posséder quelques dons surnaturels qu'elle peine encore à maîtriser. De son côté, Garfield Logan a du mal à réaliser que les tests effectués sur lui alors qu'il était enfant lui ont conféré des capacités extraordinaires mais imprévisibles : le pouvoir de se transformer en n'importe quel animal. Les questions se bousculent dans la tête des deux adolescents, et une seule personne semble être en mesure de leur apporter des réponses : un certain Slade Wilson. Le rendez-vous est pris à Nashville, où leurs destins se croisera pour la première fois. Critique : Le retour de nos deux Teen titans, leur renontre et le début de leur liaison. Tout ce qu'attendait ma fille ! Et qu'elle a eu raison d'attendre car, si j'avais trouvé les deux premeir trop simples et orientés ados, celui ci est vraiment sympa. En plus des deux personnages princpaux et de Slade "deathstorke" Wilson, la liaison entre les deux jeunes permet d'introduire Damian et les autres membres des futurs Teen Titans. Mais c'est aussi une super aventure de jeunes héros pourchassés pour leurs pouvoirs, pleine de rebondissement et de... sentiments. Pour etre quand meme très clair : cette série n'est pas non plus devenu Death Metal. Cela reste un comic pour adolescent. Mais dans le genre celui ci réussit à bien mieux allier l'aspect héros/aventures avec l'apsect sentimental et pas très refléchit des adolescents. Un bon mix qui ravira les ados ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/teen-titans-beast-boy-loves-raven?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Sandman : Dreaming t1

    En préambule je dois vous avouer que je ne suis pas objectif sur Sandman. C’est pour moi la plus grande fresque ésotérique de l'histoire de la BD. Gaiman est un conteur de génie. Alors quand on me propose de retrouver tous les personnages qui ont fait le sel de Sandman dans une suite directe de la fin de "Veillée mortuaire" pour nous présenter ce qu'il advient du rêve, après la disparition de son maitre. Et ce fut pour moi un plaisir infini de retrouver Abel, Caïn, Matthew, Lucien, Merv et les autres. Un peu comme retrouver des amis disparus depuis longtemps. Et des amis qui seraient comme dans notre souvenir. Plus que cet aspect nostalgique cet album nous montre surtout la détresse des membres influant du rêve. En effet leur maitre est parti sans qu'ils ne soient au courant. Les personnages oscillent donc tous entre une attente du retour du maitre, une haine dû à l'abandon et une détresse sur la destruction de la structure même de Rêve. Un album qui réussit à concilier nostalgie et histoire intéressante dans l'univers de Sandman, il n'en fallait pas plus pour me faire coucher bien trop tard hier.... Quitte à lire les rêves plutôt qu'a ne les faire. Une lecture pour les fans et qui ravira les fans. Vivement la conclusion !
  19. Titre de l'album : Sandman : Dreaming t1 Scenariste de l'album : Simon Spurrier / Neil Gaiman / Dan Watter Dessinateur de l'album : Bilquis Evely / Max Fiumara / Sebastián Fiumara / Tom Fowler Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le Royaume des Rêves a été abandonné par son roi, ses frontières sont à feu et à sang, son gardien sombre dans la folie, ses sujets s'entredéchirent pour préserver ce qui peut l'être... Mais le vrai cauchemar est encore à venir. Une menace tapie dans l'ombre depuis plus d'un siècle émerge des ténèbres pour remodeler le Royaume des Rêves à son image, sombre et sanglante. Critique : En préambule je dois vous avouer que je ne suis pas objectif sur Sandman. C’est pour moi la plus grande fresque ésotérique de l'histoire de la BD. Gaiman est un conteur de génie. Alors quand on me propose de retrouver tous les personnages qui ont fait le sel de Sandman dans une suite directe de la fin de "Veillée mortuaire" pour nous présenter ce qu'il advient du rêve, après la disparition de son maitre. Et ce fut pour moi un plaisir infini de retrouver Abel, Caïn, Matthew, Lucien, Merv et les autres. Un peu comme retrouver des amis disparus depuis longtemps. Et des amis qui seraient comme dans notre souvenir. Plus que cet aspect nostalgique cet album nous montre surtout la détresse des membres influant du rêve. En effet leur maitre est parti sans qu'ils ne soient au courant. Les personnages oscillent donc tous entre une attente du retour du maitre, une haine dû à l'abandon et une détresse sur la destruction de la structure même de Rêve. Un album qui réussit à concilier nostalgie et histoire intéressante dans l'univers de Sandman, il n'en fallait pas plus pour me faire coucher bien trop tard hier.... Quitte à lire les rêves plutôt qu'a ne les faire. Une lecture pour les fans et qui ravira les fans. Vivement la conclusion ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-the-dreaming-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : the departement of truth t1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Martin Simmonds Coloriste : Martin Simmonds Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'agent spécial Cole Turner étudie depuis des années les théories conspirationnistes qui s'exposent sur les forums du monde entier et transmet ses enseignements à l'académie du FBI de Quantico. De l'assassinat du président Kennedy à l'alunissage de 1969, en passant par la crise des missiles de Cuba, l'information est sans cesse remise en question par les complotistes les plus fervents. Certain qu'il comprendra mieux leur fonctionnement et leur logique, Turner décide de s'immiscer au coeur d'une étrange réunion, une réunion qui le conduit à douter de la réalité même... Se pourrait-il que les classes dominantes soient à l'origine de faits qui n'ont jamais eu lieu ? Approché par le Département des Vérités, une agence gouvernementale occulte, Cole va rapidement être exposé à de nombreuses réponses bien différentes de ce qu'il imaginait. Des réponses qui ne manqueront pas de soulever de nombreuses autres questions. Contenu vo : Department of Truth vol.1 (#1-5). Critique : Il est quand même fort ce James Tyrion IV. Il réussit à nous faire croire à quelque chose de complètement aberrant : et si le monde était régi par une force qui le transformait en fonction de la croyance des foules ? Vous connaissez l'adage qui dit que ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoires. Et si c'était le plus grand nombre et se croyance qui réécrivait l'histoire ? N'avez-vous jamais eu l'impression que, à force de regarder des histoires glauques de tueur en série à la maison, vous aviez l'impression d'an croiser à chaque coin de rue ? Idem pour les agents du gouvernement ? ET bien James Tyrion IV nous montre un département qui est dédié à la lutte contre les fausses informations qui, si elles prennent trop d'ampleur, pourrait prendre la place de la réalité, sans que personne ne s'en aperçoive. Mais la question qui s'amène à notre héros : c'est quoi la vérité alors ? Malgré ma répulsion envers les complotistes et le refus de la réalité, j'ai été marqué par cette histoire. Cette histoire est dure et sans pitié. Sans pitié pour les optimistes qui croient que l'homme a forcément du bon en lui. Le dessin de ce premier tome est parfaitement en phase avec le scénario : sombre et torturé. Clairement cette série a pour moi tout pour être un must. Mais il mêle la complexité d'un Black Monday murders et le graphisme d'un arkham asylum. A 10 euros c'est une bonne affaire mais vous êtes prévenus. Et n'oubliez pas : le drapeau sur la lune, il flotte ou il ne flotte pas ? Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-department-of-truth-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    the departement of truth t1

    Il est quand même fort ce James Tyrion IV. Il réussit à nous faire croire à quelque chose de complètement aberrant : et si le monde était régi par une force qui le transformait en fonction de la croyance des foules ? Vous connaissez l'adage qui dit que ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoires. Et si c'était le plus grand nombre et se croyance qui réécrivait l'histoire ? N'avez-vous jamais eu l'impression que, à force de regarder des histoires glauques de tueur en série à la maison, vous aviez l'impression d'an croiser à chaque coin de rue ? Idem pour les agents du gouvernement ? ET bien James Tyrion IV nous montre un département qui est dédié à la lutte contre les fausses informations qui, si elles prennent trop d'ampleur, pourrait prendre la place de la réalité, sans que personne ne s'en aperçoive. Mais la question qui s'amène à notre héros : c'est quoi la vérité alors ? Malgré ma répulsion envers les complotistes et le refus de la réalité, j'ai été marqué par cette histoire. Cette histoire est dure et sans pitié. Sans pitié pour les optimistes qui croient que l'homme a forcément du bon en lui. Le dessin de ce premier tome est parfaitement en phase avec le scénario : sombre et torturé. Clairement cette série a pour moi tout pour être un must. Mais il mêle la complexité d'un Black Monday murders et le graphisme d'un arkham asylum. A 10 euros c'est une bonne affaire mais vous êtes prévenus. Et n'oubliez pas : le drapeau sur la lune, il flotte ou il ne flotte pas ?
  22. Titre de l'album : Grendel Intégrale t1 Scenariste de l'album : Matt Wagner Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Romancier, mondain, escrimeur de génie et assassin. Telles sont les multiples facettes de Hunter Rose, un mystérieux écrivain qui a surgi sur la scène du tout New York sans crier gare tout en officiant dans l'ombre pour prendre le contrôle de la pègre sous le masque du mystérieux Grendel. Poursuivi par les forces de police et l'immortel loup-garou Argent, Hunter Rose ne se connaît qu'une faiblesse : son amour pour sa fille adoptive, Stacy. Une faiblesse qui pourrait bien lui être fatale. Contenu vo : Grendel Omnibus vol. 1 (Grendel: Devil by the Deed ; Grendel: Black, White, & Red #1-4 ; Grendel: Red, White, & Black #1-4 ; Grendel: Behold the Devil). Critique : Très étonnant cette intégrale de Grendel. Très étonnant car la façon de mener ces histoires, de varier les styles graphiques et les styles de narration est très à la mode dans le comics indépendant. Qu'est ce qui est étonnant me direz-vous ? Et bien tout simplement que ces histoires courtes ont été écrit entre 1982 et 1997. Et sincèrement on ne dirait pas du tout. A une époque où les comics étaient encore dans un moule bien calibré, on avait donc ce genre d'OVNI. Un ovni a plus d'un terme. Car en plus d'un niveau graphique étonnant et très changeant, il nous raconte l'histoire.... D’un méchant. Mais un vrai. Un qui ne cherche pas juste à attaquer les héros et à se faire reconnaitre. Un méchant qui règne dans l'ombre. Ce qui est très bon dans ce recueil, c'est que l'on commence... par tout savoir. Oui oui la première histoire est l'histoire de Hunter Rose. En mode livre illustré, on apprend l'histoire de Hunter Rose au travers du récit de se vie. Une fois cela fait, on se retrouve avec plein de petites histoires dans l'univers de Hunter Rose. Mais des petites histoires intéressantes car des petites histoires prises du point de vue du personnage lambda. Point de vue qui ne fait qu'appuyer la légende et le coté mystérieux et croque mitaine de Grendel. Le personnage créé par Matt Wagner s'en trouve entourée d'une aura mystique, aura qui nous fait dévorer le pavé et nous fait lui trouver des excuses et ce malgré toutes les preuves. Un syndrome de Stockholm appréciable pour une lecture énigmatique sur un personnage que je ne connaissais pas du tout. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urban-cult-grendel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    Grendel Intégrale t1

    Très étonnant cette intégrale de Grendel. Très étonnant car la façon de mener ces histoires, de varier les styles graphiques et les styles de narration est très à la mode dans le comics indépendant. Qu'est ce qui est étonnant me direz-vous ? Et bien tout simplement que ces histoires courtes ont été écrit entre 1982 et 1997. Et sincèrement on ne dirait pas du tout. A une époque où les comics étaient encore dans un moule bien calibré, on avait donc ce genre d'OVNI. Un ovni a plus d'un terme. Car en plus d'un niveau graphique étonnant et très changeant, il nous raconte l'histoire.... D’un méchant. Mais un vrai. Un qui ne cherche pas juste à attaquer les héros et à se faire reconnaitre. Un méchant qui règne dans l'ombre. Ce qui est très bon dans ce recueil, c'est que l'on commence... par tout savoir. Oui oui la première histoire est l'histoire de Hunter Rose. En mode livre illustré, on apprend l'histoire de Hunter Rose au travers du récit de se vie. Une fois cela fait, on se retrouve avec plein de petites histoires dans l'univers de Hunter Rose. Mais des petites histoires intéressantes car des petites histoires prises du point de vue du personnage lambda. Point de vue qui ne fait qu'appuyer la légende et le coté mystérieux et croque mitaine de Grendel. Le personnage créé par Matt Wagner s'en trouve entourée d'une aura mystique, aura qui nous fait dévorer le pavé et nous fait lui trouver des excuses et ce malgré toutes les preuves. Un syndrome de Stockholm appréciable pour une lecture énigmatique sur un personnage que je ne connaissais pas du tout.
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    Nomen Omen T3/3

    Troisième et dernier tome de Nomen Omen et donc de notre série de magie ésotérique sur base de mythologies celtes. Et on peut déjà dire que... ce n'est pas vraiment une fin. Et oui.... Si l'histoire se clôture globalement et ce surtout grâce à une post face très intéressante de Marco Bucci, cette série ouvre la porte à une prochaine série nommée Arcadia qui devrait bientôt sortir en Italie et dont j'espère que Panini France nous fera le plaisir d'une sortie. Ça serait l'occasion de retrouver les dessins et la sublime coloration de Jacopo Camagni. Car c'est immanquablement ce qui marque encore une fois sur ce tome 3 : un dessin sublime et une coloration qui s'avère être encore plus efficace. La coloration prend encore plus son sens dans ce tome trois avec l'apparition d'Arcadia. On comprend que les couleurs vues par Becky étaient uniquement les couleurs issues du monde magique et que le monde "terne" est le monde des humains. Cela explique toute la vision de Becky depuis le début et nous invite à relire les 3 tomes depuis le début avec cette connaissance de l'histoire. On voit aussi que Becky n'est pas une héroïne standard mais bien un personnage complexe plein de contradiction. Cette trilogie est donc une superbe trilogie introductive à Arcadia, ce pourquoi j'espère que Panini FR nous livrera une traduction ! Amis fans de fantastique et fan de légendes magiques, je vous enjoins à lire cette trilogie et à pousser avec moi pour avoir la suite de cette fresque dantesque !
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    Nomen Omen T3/3

    Titre de l'album : Nomen Omen T3/3 Scenariste de l'album : Marco Bucci Dessinateur de l'album : Jacopo Camagni Coloriste : Jacopo Camagni Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : La fin approche ! Tandis que Becky, la sorcière, et Taranis, le Roi, s'affrontent, le rituel de Medea change à jamais le monde de Nomen Omen. Survivre à des changements si drastiques sera difficile, et la tragédie peut survenir au détour de chaque page. La mort, la culpabilité et la vengeance seront-elles au bout du chemin ? Après tout, c'est la fin de tout ! Ultime chapitre de l'épopée de Marco B. Bucci et Jacopo Camagni, une production Panini Comics publiée aux États-Unis chez Image Comics. Une réussite dans le style très particulier de l'Urban Fantasy. Critique : Troisième et dernier tome de Nomen Omen et donc de notre série de magie ésotérique sur base de mythologies celtes. Et on peut déjà dire que... ce n'est pas vraiment une fin. Et oui.... Si l'histoire se clôture globalement et ce surtout grâce à une post face très intéressante de Marco Bucci, cette série ouvre la porte à une prochaine série nommée Arcadia qui devrait bientôt sortir en Italie et dont j'espère que Panini France nous fera le plaisir d'une sortie. Ça serait l'occasion de retrouver les dessins et la sublime coloration de Jacopo Camagni. Car c'est immanquablement ce qui marque encore une fois sur ce tome 3 : un dessin sublime et une coloration qui s'avère être encore plus efficace. La coloration prend encore plus son sens dans ce tome trois avec l'apparition d'Arcadia. On comprend que les couleurs vues par Becky étaient uniquement les couleurs issues du monde magique et que le monde "terne" est le monde des humains. Cela explique toute la vision de Becky depuis le début et nous invite à relire les 3 tomes depuis le début avec cette connaissance de l'histoire. On voit aussi que Becky n'est pas une héroïne standard mais bien un personnage complexe plein de contradiction. Cette trilogie est donc une superbe trilogie introductive à Arcadia, ce pourquoi j'espère que Panini FR nous livrera une traduction ! Amis fans de fantastique et fan de légendes magiques, je vous enjoins à lire cette trilogie et à pousser avec moi pour avoir la suite de cette fresque dantesque ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nomen-omen-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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