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  1. Titre de l'album : La bibliothèque de Daniel Clowes - Patience Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Daniel Clowes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Patience est une histoire d'amour, un récit de science-fiction, une enquête sur un fond de thriller mais Patience c'est d'abord et avant tout une histoire mise en scène avec génie par Daniel Clowes et dont l'amour n'y est pas mièvre, la SF est élégante et l'enquêteur névrosé se révèle plus inquiétant que rassurant. Pourtant on ne lâche pas la lecture de ce roman graphique tant est maitrisé son scénario. Critique : La série la bibliothèque de Daniel Clowes propose toutes les rééditions des albums de Daniel Clowes ainsi que des albums inédits de l'auteur en version française. Daniel Clowes est un auteur majeur de comics indépendants aux Etats-Unis, avec de grands classiques du genre dont Patience. J'ai découvert Clowes avec la première édition de Patience qui reste pour moi la référence dans le genre SF, avec voyage dans le temps autour d'une histoire d'amour et d'un drame. Une fois commencé, il est impossible d'abandonner la lecture, pour découvrir la suite de l'aventure. On souhaite connaitre comment Jack le protagoniste éloigné d'un héros va résoudre les problématiques par amour. La couverture retranscrit très bien les dessins des planches intérieures dans un style entre classique pour rendre hommage et très moderne. Daniel Clowes au même titre que Charles Bruns sont des auteurs qui influencent beaucoup par leur style graphique ainsi que leur histoire souvent étrange et dure à mettre en image. Les couleurs de cette nouvelle édition sont plus éclatantes et proche de celles d'origines. Je n'ai pas encore lu toutes les parutions en français de Daniel Clowes mais patience reste pour le moment le titre le plus abouti de l'auteur et plus facile d'accès par rapport à Comme un gant de velours pris dans la fonte. Je ne peux que vous recommander la lecture de ce titre et de découvrir cette bibliothèques de Daniel Clowes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes-patience/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. La série la bibliothèque de Daniel Clowes propose toutes les rééditions des albums de Daniel Clowes ainsi que des albums inédits de l'auteur en version française. Daniel Clowes est un auteur majeur de comics indépendants aux Etats-Unis, avec de grands classiques du genre dont Patience. J'ai découvert Clowes avec la première édition de Patience qui reste pour moi la référence dans le genre SF, avec voyage dans le temps autour d'une histoire d'amour et d'un drame. Une fois commencé, il est impossible d'abandonner la lecture, pour découvrir la suite de l'aventure. On souhaite connaitre comment Jack le protagoniste éloigné d'un héros va résoudre les problématiques par amour. La couverture retranscrit très bien les dessins des planches intérieures dans un style entre classique pour rendre hommage et très moderne. Daniel Clowes au même titre que Charles Bruns sont des auteurs qui influencent beaucoup par leur style graphique ainsi que leur histoire souvent étrange et dure à mettre en image. Les couleurs de cette nouvelle édition sont plus éclatantes et proche de celles d'origines. Je n'ai pas encore lu toutes les parutions en français de Daniel Clowes mais patience reste pour le moment le titre le plus abouti de l'auteur et plus facile d'accès par rapport à Comme un gant de velours pris dans la fonte. Je ne peux que vous recommander la lecture de ce titre et de découvrir cette bibliothèques de Daniel Clowes.
  3. Dernier tome de la collection Star wars de Panini , centré une nouvelle fois sur Vador . De nouveaux ennemis pour le seigneur noir , mais pas ceux auxquels vous pouvez vous attendre , estampillés "rébellion" . Cette fois , vous découvrez (si ce n'est déjà fait dans d'autres séries comme Bounty hunters) Beilert Valance , un chasseur de primes , anti-héros comme on les aime et bien balafré . Ce dernier semble avoir un grief contre Vador et mettra en oeuvre tout ce qui est imaginable pour l'éliminer , y compris des alliances surprenantes ! Le scénario est le point fort de ce one-shot avec de multiples rebondissements ainsi que des trahisons en tout genre . Il est regrettable que le dessin soit scindé en deux , par un duo de dessinateurs assez opposés . L'un ayant un trait nettement plus précis et détaillé , pendant que l'autre fait dans la simplicité et s'épargne allègrement des cases chargées . Les visages restent reconnaissables mais cela dénature la qualité de l'histoire , car on attend de revenir au trait de Marc Laming avec impatience . C'est donc une dernière histoire de qualité ,néanmoins pénalisée par une partie graphique inégale , mais qui ravira les fans de Valance et Vador .
  4. Titre de l'album : L'équilibre dans la force tome 6 - Cible Vador Scenariste de l'album : Robbie Thompson Dessinateur de l'album : Marc Laming , Stefano Landini Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Un syndicat cosmique du crime refuse de se plier à l'Empire, Dark Vador ne peut le tolérer. Mais les rôles s'inversent lorsque le syndicat engage les plus dangereux chasseurs de primes de la galaxie pour traquer Vador et l'éliminer une fois pour toutes. L'affrontement va être épique et une chose est sûre, il fera pas mal de victimes ! Deuxième nouvelle collection à petit prix dans la galaxie Star Wars ce mois-ci ! Après la collection anthologique centrée sur un protagoniste de la galaxie lointaine, nous vous proposons avec cette gamme, des récits dans le canon de l'histoire. Depuis 2015, Marvel publie des comics qui se déroulent dans le même univers que les films et les séries télévisées. Parce qu'on ne s'en lasse pas, voici un deuxième volume dédié au Seigneur Noir des Sith mais, à la différence de la série Dark Vador, cette histoire est un one-shot et il accorde une belle place aux chasseurs de primes ! On y suit notamment le fascinant Beilert Valance, (anti-)héros de la série Bounty Hunters. Critique : Dernier tome de la collection Star wars de Panini , centré une nouvelle fois sur Vador . De nouveaux ennemis pour le seigneur noir , mais pas ceux auxquels vous pouvez vous attendre , estampillés "rébellion" . Cette fois , vous découvrez (si ce n'est déjà fait dans d'autres séries comme Bounty hunters) Beilert Valance , un chasseur de primes , anti-héros comme on les aime et bien balafré . Ce dernier semble avoir un grief contre Vador et mettra en oeuvre tout ce qui est imaginable pour l'éliminer , y compris des alliances surprenantes ! Le scénario est le point fort de ce one-shot avec de multiples rebondissements ainsi que des trahisons en tout genre . Il est regrettable que le dessin soit scindé en deux , par un duo de dessinateurs assez opposés . L'un ayant un trait nettement plus précis et détaillé , pendant que l'autre fait dans la simplicité et s'épargne allègrement des cases chargées . Les visages restent reconnaissables mais cela dénature la qualité de l'histoire , car on attend de revenir au trait de Marc Laming avec impatience . C'est donc une dernière histoire de qualité ,néanmoins pénalisée par une partie graphique inégale , mais qui ravira les fans de Valance et Vador . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cible-vador-l-equilibre-dans-la-force-tome-6/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    The Blue Flame

    Après le surprenant Everything également aux éditions 404 Comics, le scénariste Christopher Cantwell revient avec un titre original surtout autour de la thématique des super-héros. L'histoire se focalise sur The Blue Flame un des super-héros membre de la team Brigade Nocturne. Suite à une tragédie, il est le seul survivant et doit faire face au monde qui découvre son identité sur le plan terrestre. On assiste à sa descente en enfers et comment il se reconstruit. En parallèle dans l'univers galactique, The Blue Flame devient le représentant des humains lors d'un procès pour répondre à la question, l'humanité mérite-elle d'être sauvée ? L'auteur gère très bien les deux parties traitant de sujets divers remettant en question le modèle ou rêve américain. Adam Gorham assure une partie graphique de grande qualité entre la réalité pour dépeindre le quotidien de notre époque aux Etats-Unis et les décors SF avec la partie spatiale. The Blue flame regroupe les dix chapitres de l'histoire dans un album à l'édition soignée comme d'habitude chez 404 Comics. D'ailleurs la couverture ne laissera pas indifférent et attirera les futurs lecteurs. L'album se termine sur une galerie de plusieurs couvertures alternatives d'autres auteurs. The Blue Flame est un album imposant par pagination pour nous emporter dans cette histoire complexe avec plusieurs intrigues imbriquées. The Blue Flame réussi à trouver de l'originalité dans un genre très exploité et codifié.
  6. alx23

    The Blue Flame

    Titre de l'album : The Blue Flame Scenariste de l'album : Christopher Cantwell Dessinateur de l'album : Adam Gorham Coloriste : Kurt Michael Russel Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Sam Brausam est un héros cosmique. Sam Brausam est un justicier des rues du Milwaukee. Sam Brausam est un réparateur de chaudière. Sam Brausam est l'avocat de l'humanité. Sam Brausam est The Blue Flame. À la suite d'une horrible tragédie, les frontières de l'identité de Sam Brausam s'effritent et avant un procès universel, il doit prouver que l'humanité vaut la peine d'être sauvée. Pour ce faire, Sam Brausam doit d'abord se sauver lui-même mais, le peut-il ? Critique : Après le surprenant Everything également aux éditions 404 Comics, le scénariste Christopher Cantwell revient avec un titre original surtout autour de la thématique des super-héros. L'histoire se focalise sur The Blue Flame un des super-héros membre de la team Brigade Nocturne. Suite à une tragédie, il est le seul survivant et doit faire face au monde qui découvre son identité sur le plan terrestre. On assiste à sa descente en enfers et comment il se reconstruit. En parallèle dans l'univers galactique, The Blue Flame devient le représentant des humains lors d'un procès pour répondre à la question, l'humanité mérite-elle d'être sauvée ? L'auteur gère très bien les deux parties traitant de sujets divers remettant en question le modèle ou rêve américain. Adam Gorham assure une partie graphique de grande qualité entre la réalité pour dépeindre le quotidien de notre époque aux Etats-Unis et les décors SF avec la partie spatiale. The Blue flame regroupe les dix chapitres de l'histoire dans un album à l'édition soignée comme d'habitude chez 404 Comics. D'ailleurs la couverture ne laissera pas indifférent et attirera les futurs lecteurs. L'album se termine sur une galerie de plusieurs couvertures alternatives d'autres auteurs. The Blue Flame est un album imposant par pagination pour nous emporter dans cette histoire complexe avec plusieurs intrigues imbriquées. The Blue Flame réussi à trouver de l'originalité dans un genre très exploité et codifié. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-blue-flame/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    Télépathes

    Le scénariste J. Michael Straczynski s'est forgé une bonne réputation avec d'excellents titres comme Midnight nation ou Rising star et sans compter ses nombreux récits de super-héros. Donc je reste toujours à l'écoute de ses nouveaux titres surtout quand il s'associe au dessinateur Steve Epting à qui l'on doit des incontournables comme Velvet ou Captain America, le soldat d'hiver. Les deux auteurs nous proposent un récit qui mélange fantastique et SF. En effet, suite perturbation électromagnétique dû à une éruption solaire, une partie non négligeable de la population mondiale se retrouve avec des dons télépathiques. La transition se fait dans le désordre totale puisqu'une demi-heure après l'évènement, les télépathes lisent dans les pensées de ceux dénués de pouvoirs. Très vite une course poursuite à la recherche d'autres compétences se fait et deux groupes de personnes s’affrontent avec des pouvoirs pendant que le gouvernement tente de comprendre et commence à prendre des mesures pour gérer la situation de crise. La partie graphique de Steve Epting est parfaite, son style est très réaliste et convient bien sur ce genre de récit. Ce premier tome regroupe les six premiers chapitres de l'histoire avec beaucoup d’action en attendant la suite à venir.
  8. alx23

    Télépathes

    Titre de l'album : Télépathes Scenariste de l'album : J. Michael Straczynski Dessinateur de l'album : Steve Epting Coloriste : Brian Reber Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : QUAND AUCUN SECRET NE PEUT ÊTRE CACHÉ, TOUT LE MONDE EST EN DANGER ! Dès les premières manifestations de ces nouveaux pouvoirs, la société s'effondre littéralement. Un policier et un condamné à mort vont devoir s'allier pour éviter le chaos, et l'avenir dépendra de la confiance qui peut s'instaurer entre eux. Critique : Le scénariste J. Michael Straczynski s'est forgé une bonne réputation avec d'excellents titres comme Midnight nation ou Rising star et sans compter ses nombreux récits de super-héros. Donc je reste toujours à l'écoute de ses nouveaux titres surtout quand il s'associe au dessinateur Steve Epting à qui l'on doit des incontournables comme Velvet ou Captain America, le soldat d'hiver. Les deux auteurs nous proposent un récit qui mélange fantastique et SF. En effet, suite perturbation électromagnétique dû à une éruption solaire, une partie non négligeable de la population mondiale se retrouve avec des dons télépathiques. La transition se fait dans le désordre totale puisqu'une demi-heure après l'évènement, les télépathes lisent dans les pensées de ceux dénués de pouvoirs. Très vite une course poursuite à la recherche d'autres compétences se fait et deux groupes de personnes s’affrontent avec des pouvoirs pendant que le gouvernement tente de comprendre et commence à prendre des mesures pour gérer la situation de crise. La partie graphique de Steve Epting est parfaite, son style est très réaliste et convient bien sur ce genre de récit. Ce premier tome regroupe les six premiers chapitres de l'histoire avec beaucoup d’action en attendant la suite à venir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/telepathes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Au tour du géant wookie d'être mis en avant par les éditions Panini lors de cette collection à petits prix . Connu et apprécié par les nombreux fans de la saga , il semblait nécessaire de réaliser un run sur ses aventures . Gerry Duggan , déjà à l 'oeuvre chez les X-men , s'est lancé dans cette histoire avec Phil Noto . Il propose un scénario assez convenu , une planète isolée , une mine souterraine théâtre d'un conflit entre pègre et opprimés sur fond de domination impériale , une jeune héroïne intrépide qui va rencontrer l'homme providence en la personne de Chewbacca , bref , vous l'aurez compris , on est dans un déjà-vu saisissant ! L'originalité , on peut la trouver dans certains passages où le wookie se remémore des souvenirs difficiles de son passé , moments imagés et intégrés dans le récit de façon subtile , car on le rappelle pour les "padawans" ou non initiés : Chewbacca ne parle pas , il ne s'exprime qu'à travers des borborygmes type "wwwrraah" ou encore whrhrhr" . Insérés en petites cases dans le découpage , ces moments sont rafraîchissants et novateurs . Le dessin de Noto est précis en matière de bestiaire et autres véhicules rencontrés dans l'univers SW , mais se montre particulièrement pauvre en détails ou arrière-plans . On est dans le néant sur certains plans ! Le sympathique wookie méritait-il un tel traitement ? Vous aurez cependant un début et une fin , ce qui n'est pas pour me déplaire tant les protagonistes entourant Chewie sont insignifiants . La suite de ses aventures débutera à l'ombre du faucon se posant sur sa planète Kashyyyk .
  10. Titre de l'album : L'équilibre dans la force tome 5 - Chewbacca Scenariste de l'album : Gerry Duggan Dessinateur de l'album : Phil Noto Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Le copilote du Faucon Millénium dans une aventure solo ! Après la bataille de Yavin, Chewbacca réalise un atterrissage forcé sur une planète occupée par l'Empire. Il se trouve alors pris au milieu d'une rébellion. Deuxième nouvelle collection à petit prix dans la galaxie Star Wars ce mois-ci ! Après la collection anthologique centrée sur un protagoniste de la galaxie lointaine, nous vous proposons avec cette gamme, des récits dans le canon de l'histoire. Depuis 2015, Marvel publie des comics qui se déroulent dans le même univers que les films et les séries télévisées. Ce cinquième tome présente l'une des premières mini-séries lancées par la Maison des Idées. On y retrouve Gerry Duggan (X-Men, Deadpool) et Phil Noto (Star Wars, Poe Dameron). Critique : Au tour du géant wookie d'être mis en avant par les éditions Panini lors de cette collection à petits prix . Connu et apprécié par les nombreux fans de la saga , il semblait nécessaire de réaliser un run sur ses aventures . Gerry Duggan , déjà à l 'oeuvre chez les X-men , s'est lancé dans cette histoire avec Phil Noto . Il propose un scénario assez convenu , une planète isolée , une mine souterraine théâtre d'un conflit entre pègre et opprimés sur fond de domination impériale , une jeune héroïne intrépide qui va rencontrer l'homme providence en la personne de Chewbacca , bref , vous l'aurez compris , on est dans un déjà-vu saisissant ! L'originalité , on peut la trouver dans certains passages où le wookie se remémore des souvenirs difficiles de son passé , moments imagés et intégrés dans le récit de façon subtile , car on le rappelle pour les "padawans" ou non initiés : Chewbacca ne parle pas , il ne s'exprime qu'à travers des borborygmes type "wwwrraah" ou encore whrhrhr" . Insérés en petites cases dans le découpage , ces moments sont rafraîchissants et novateurs . Le dessin de Noto est précis en matière de bestiaire et autres véhicules rencontrés dans l'univers SW , mais se montre particulièrement pauvre en détails ou arrière-plans . On est dans le néant sur certains plans ! Le sympathique wookie méritait-il un tel traitement ? Vous aurez cependant un début et une fin , ce qui n'est pas pour me déplaire tant les protagonistes entourant Chewie sont insignifiants . La suite de ses aventures débutera à l'ombre du faucon se posant sur sa planète Kashyyyk . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chewbacca-l-equilibre-dans-la-force-tome-5/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Pour les non initiés , sachez que le guerrier sith rencontré dans La menace fantôme et découpé en deux par Obi-Wan , n'est finalement pas mort ! Ce tome 4 de la collection "petits prix" de Panini , nous fait découvrir cette seconde vie du fils de Dathomir , le dénommé Dark Maul . On y apprend comment il a survécu et surtout , comment il opère dans l'ombre pour se venger de Dark Sidious , son ancien maître qui l'a rejeté suite à sa défaite cuisante . En s'alliant aux différentes pègres de la galaxie telles le soleil noir et les huths , il va gravir les échelons et se constituer un empire , bien aidé par les mandaloriens qui font de lui leur leader . Il n'a plus son double sabre-laser , mais bel et bien le sabre noir , bien connu par les fans dans la série The mandalorian sur Disney+ . Dans un tourbillon de violence , il va déchainer sa haine et rencontrer d'autres illustres personnages durant cette guerre des clones , tels que Grivous et Dooku . Disons le de suite , on est pas dans un scénario savamment distillé par Aaron , ici tout est plus direct , mais avec un suspens ménagé , il faut le reconnaître . Le style graphique est très européen et dénote avec les autres sorties estampillées SW .Les protagonistes sont aisément reconnaissables par les amateurs , je mettrais juste un bémol sur certaines scènes d'action un peu brouillonnes . Si vous voulez en découvrir d'avantage sur ce personnage iconique ayant amené les combats au sabre-laser au rang d'art , plongez sans vergogne dans cette quête de vengeance qui va à 100 à l'heure .
  12. Titre de l'album : L'équilibre dans la force tome 4 - Dark Maul Scenariste de l'album : Jeremy Barlow Dessinateur de l'album : Juan Frigeri Coloriste : Wes Dzioba Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Coupé en deux par Obi-Wan Kenobi, sauvé par les sorcières de Dathomir mais rejeté par son ancien maître Dark Sidious, Dark Maul est prêt à tout pour se venger de ses ennemis. Quitte à affronter toute la galaxie ! À la tête du Collectif des Ombres et d'une armée de Mandaloriens, Maul attaque les généraux de Sidious : le Comte Dooku et le général Grievous. Critique : Pour les non initiés , sachez que le guerrier sith rencontré dans La menace fantôme et découpé en deux par Obi-Wan , n'est finalement pas mort ! Ce tome 4 de la collection "petits prix" de Panini , nous fait découvrir cette seconde vie du fils de Dathomir , le dénommé Dark Maul . On y apprend comment il a survécu et surtout , comment il opère dans l'ombre pour se venger de Dark Sidious , son ancien maître qui l'a rejeté suite à sa défaite cuisante . En s'alliant aux différentes pègres de la galaxie telles le soleil noir et les huths , il va gravir les échelons et se constituer un empire , bien aidé par les mandaloriens qui font de lui leur leader . Il n'a plus son double sabre-laser , mais bel et bien le sabre noir , bien connu par les fans dans la série The mandalorian sur Disney+ . Dans un tourbillon de violence , il va déchainer sa haine et rencontrer d'autres illustres personnages durant cette guerre des clones , tels que Grivous et Dooku . Disons le de suite , on est pas dans un scénario savamment distillé par Aaron , ici tout est plus direct , mais avec un suspens ménagé , il faut le reconnaître . Le style graphique est très européen et dénote avec les autres sorties estampillées SW .Les protagonistes sont aisément reconnaissables par les amateurs , je mettrais juste un bémol sur certaines scènes d'action un peu brouillonnes . Si vous voulez en découvrir d'avantage sur ce personnage iconique ayant amené les combats au sabre-laser au rang d'art , plongez sans vergogne dans cette quête de vengeance qui va à 100 à l'heure . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-maul-l-equilibre-dans-la-force-tome-4/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Troisième tome de cette collection à petits prix pour l'univers Star wars , avec en tête de proue : Obi-Wan et Anakin . On retrouve les jeunes héros durant la formation d'Anakin , répondants à un appel de détresse sur une planète hostile en proie à un conflit permanent entre deux factions , les réceptifs et les hermétiques . Au programme, des montagnes enneigées , un style empruntant les codes du steampunk pour les véhicules locaux , et un mystère : qui a envoyé ce message d'appel à l'aide en langue jedi ? Charles Soule , grand architecte sur plusieurs runs SW distille son scénario sur fond d'enquête policière et dévoile au fur et à mesure les informations permettant une narration fluide . Il parsème le récit de petits flashbacks sur Anakin et sa formation ,ses doutes , mais aussi sa relation naissante avec le sénateur Palpatine . Ces éléments du passé permettent de comprendre un peu mieux la relation entre le padawan et son maître choisi par Qui-Gon . Charles Soule est aidé du dessinateur Marco Checchetto , bien connu aussi de l'univers SW car il a réalisé des planches sur Les ruines de L'empire et Capitaine Phasma . Son trait académique et numérique convient bien à l'univers . Le découpage est dynamique et parvient à rendre grâce aux effets des sabres laser avec des effets lumineux et des couleurs assez vives . On reconnait aisément les personnages si l'on est coutumier des films de la prélogie . On y retrouve d'ailleurs de nombreux clins d'oeil et autres "easter eggs" au cours du récit , à travers les personnages rencontrés et autres races alien bien connues des fans . Un bon tome qui ravira les amateurs de la saga , voulant connaître les rapports unissant Anakin à son maître jedi .
  14. Titre de l'album : L'équilibre dans la force tome 3 - Obi Wan & Anakin Scenariste de l'album : Charles Soule Dessinateur de l'album : Marco Checchetto Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Le Maître Jedi Obi-Wan Kenobi a pris Anakin Skywalker comme Padawan, mais l'adolescent, influencé par Palpatine, doute de sa vocation. En mission sur une planète désolée, Obi-Wan et Anakin vont combattre côte à côte et apprendre à mieux se connaître. Critique : Troisième tome de cette collection à petits prix pour l'univers Star wars , avec en tête de proue : Obi-Wan et Anakin . On retrouve les jeunes héros durant la formation d'Anakin , répondants à un appel de détresse sur une planète hostile en proie à un conflit permanent entre deux factions , les réceptifs et les hermétiques . Au programme, des montagnes enneigées , un style empruntant les codes du steampunk pour les véhicules locaux , et un mystère : qui a envoyé ce message d'appel à l'aide en langue jedi ? Charles Soule , grand architecte sur plusieurs runs SW distille son scénario sur fond d'enquête policière et dévoile au fur et à mesure les informations permettant une narration fluide . Il parsème le récit de petits flashbacks sur Anakin et sa formation ,ses doutes , mais aussi sa relation naissante avec le sénateur Palpatine . Ces éléments du passé permettent de comprendre un peu mieux la relation entre le padawan et son maître choisi par Qui-Gon . Charles Soule est aidé du dessinateur Marco Checchetto , bien connu aussi de l'univers SW car il a réalisé des planches sur Les ruines de L'empire et Capitaine Phasma . Son trait académique et numérique convient bien à l'univers . Le découpage est dynamique et parvient à rendre grâce aux effets des sabres laser avec des effets lumineux et des couleurs assez vives . On reconnait aisément les personnages si l'on est coutumier des films de la prélogie . On y retrouve d'ailleurs de nombreux clins d'oeil et autres "easter eggs" au cours du récit , à travers les personnages rencontrés et autres races alien bien connues des fans . Un bon tome qui ravira les amateurs de la saga , voulant connaître les rapports unissant Anakin à son maître jedi . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/obi-wan-anakin-equilibre-dans-la-force-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Après un second tome sur Double-face , il est vrai assez décevant , voici un nouveau One bad day sur le Pingouin , qui est bien supérieur à son prédécesseur . On débute par la vision d'un Oswald Cobblepot méconnaissable , assis sur un banc avec Gotham city le narguant au loin . Une barbe de 3 jours , une tenue vestimentaire délabrée , plus un sou en poche , il se rapproche plus d'un clochard que du roi de la pègre qu'il a été . Au fil des pages ,on apprend qu'un dénommé Umbrella Man (son ancien homme de main) lui a spolié son empire et règne d'une main de fer sur la délinquance locale . Tel Napoléon remontant la France en gagnant de nouveaux partisans , il va petit à petit effectuer son retour en s'associant avec des petites frappes . Il va aussi découvrir pourquoi son empire s'est effondré , entre autres pour sa façon dédaigneuse d'évoluer avec ses pairs et autres "employés" . Il va ainsi effectuer un travail d'introspection personnelle , comme une psychanalyse, et se servir de cela pour changer , évoluer afin d'être un leader à nouveau respecté mais surtout , apprécié ! Mais on est à Gotham city , et un homme à la cape noire rôde dans l'ombre , va t'il laisser cette marche vers les sommets se concrétiser ?? Au delà d'un scénario judicieux et bien écrit , il est à noter le travail plus que sympathique du dessin à 4 mains des deux artistes . Un trait semi-réaliste , avec des couleurs ternes , vieillies , comme notre pingouin en fâcheuse posture . Un jeu de reflets lumineux , et des visages assez expressifs . Il se dénote un parfum de Killing joke en tournant ces pages , le trait se veut vraiment en digne héritier de l'oeuvre culte de Alan Moore . Un très bon opus que ce One bad day , épisode 3 . Le prochain du mois de juin sera centré sur Mr Freeze 🙂
  16. Titre de l'album : Batman - One bad day : Le pingouin Scenariste de l'album : John Ridley Dessinateur de l'album : Giuseppe Camuncoli , Can Smith Coloriste : Arif Prianto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Autrefois, le Pingouin avait un empire. Alors au sommet de la pègre de Gotham, il avait institué des règles strictes, s'était imposé des limites. Mais pour certains, les limites sont faites pour être franchies. C'est en tout cas ainsi que résonnait Umbrella Man, avant de prendre à son maître tout ce qu'il avait et de répandre le chaos dans la ville. Cobblepot est aujourd'hui un homme brisé, frayant à travers les rues poisseuses de Gotham, un revolver à la main. Muni d'une unique balle, il a bien l'intention de réagir, car l'heure de la vengeance a sonné. Contenu vo : Batman - One Bad Day: Pingouin. Critique : Après un second tome sur Double-face , il est vrai assez décevant , voici un nouveau One bad day sur le Pingouin , qui est bien supérieur à son prédécesseur . On débute par la vision d'un Oswald Cobblepot méconnaissable , assis sur un banc avec Gotham city le narguant au loin . Une barbe de 3 jours , une tenue vestimentaire délabrée , plus un sou en poche , il se rapproche plus d'un clochard que du roi de la pègre qu'il a été . Au fil des pages ,on apprend qu'un dénommé Umbrella Man (son ancien homme de main) lui a spolié son empire et règne d'une main de fer sur la délinquance locale . Tel Napoléon remontant la France en gagnant de nouveaux partisans , il va petit à petit effectuer son retour en s'associant avec des petites frappes . Il va aussi découvrir pourquoi son empire s'est effondré , entre autres pour sa façon dédaigneuse d'évoluer avec ses pairs et autres "employés" . Il va ainsi effectuer un travail d'introspection personnelle , comme une psychanalyse, et se servir de cela pour changer , évoluer afin d'être un leader à nouveau respecté mais surtout , apprécié ! Mais on est à Gotham city , et un homme à la cape noire rôde dans l'ombre , va t'il laisser cette marche vers les sommets se concrétiser ?? Au delà d'un scénario judicieux et bien écrit , il est à noter le travail plus que sympathique du dessin à 4 mains des deux artistes . Un trait semi-réaliste , avec des couleurs ternes , vieillies , comme notre pingouin en fâcheuse posture . Un jeu de reflets lumineux , et des visages assez expressifs . Il se dénote un parfum de Killing joke en tournant ces pages , le trait se veut vraiment en digne héritier de l'oeuvre culte de Alan Moore . Un très bon opus que ce One bad day , épisode 3 . Le prochain du mois de juin sera centré sur Mr Freeze 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-le-pingouin/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Killadelphia tome 1

    Ce premier tome de Killadelphia réunit le premier arc complet en six chapitres et installe le contexte avec les vampires qui sont de plus en plus nombreux à Philadelphie. Le scénariste Rodney Barnes propose un récit bien construit qui sort du lot malgré la thématique des suceurs de sang. On suit l'intrigue avec plaisir comme une enquête policière. La partie graphique est gérée par Jason Shawn Alexander et vaut à elle seule l'achat de ce titre. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'apprécier les dessins de l'auteur sur des séries comme Abe Sapien, Queen & country ou encore Spawn. Le trait réaliste et sombre de Jason Shawn Alexander apporte une ambiance bien particulière et réussie en générale. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives et la construction de planches avec explications de l'auteur. Killadephia commence bien une série sur les vampires.
  18. alx23

    Killadelphia tome 1

    Titre de l'album : Killadelphia tome 1 Scenariste de l'album : Rodney Barnes Dessinateur de l'album : Jason Shawn Alexander Coloriste : Luis NCT Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Lorsque le policier Jimmy Sangster rentre à Philadelphie pour enterrer son père assassiné, il se retrouve vite confronté à un complot surnaturel qui gangrène l'Amérique depuis des centaines d'années. Sa ville, qui était autrefois le symbole de la liberté, est devenue la proie de la corruption, de la violence, de la misère... et des vampires. BIENVENUE À KILLADELPHIE... Critique : Ce premier tome de Killadelphia réunit le premier arc complet en six chapitres et installe le contexte avec les vampires qui sont de plus en plus nombreux à Philadelphie. Le scénariste Rodney Barnes propose un récit bien construit qui sort du lot malgré la thématique des suceurs de sang. On suit l'intrigue avec plaisir comme une enquête policière. La partie graphique est gérée par Jason Shawn Alexander et vaut à elle seule l'achat de ce titre. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'apprécier les dessins de l'auteur sur des séries comme Abe Sapien, Queen & country ou encore Spawn. Le trait réaliste et sombre de Jason Shawn Alexander apporte une ambiance bien particulière et réussie en générale. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives et la construction de planches avec explications de l'auteur. Killadephia commence bien une série sur les vampires. Autres infos : Editions : Huginn & Muninn Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/killadelphia-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Deadly class t12 (fin)

    Voila, c'est finit. Dites au revoir à.... ceux qu'il reste à la fin de ce tome 12... autant vous dire que vous n'allez pas y passer la soirée. Ce tome douze clôture la série, mais clôture surtout la vie de nos héros. Une vie qui ne peut avancer et vraiment prendre un nouveau départ sans solder les anciens comptes. Un tome douze peut être un poil trop haché, qui saute d'une année à l'autre, mais qui permet de traiter la "fin" de vie des derniers de nos personnages survivant de l'académie. Une évolution des personnages super intéressante car chacun a une trajectoire qui lui est propre. Une trajectoire qui, comme beaucoup d'étoile filante, finit par s'écraser. Une bonne fin pour une série hors norme dans les parutions des 20 dernières années en comics....
  20. Titre de l'album : Deadly class t12 (fin) Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Craig Wes Coloriste : Craig Wes Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un retrait total de la réalité se pare de nombreux charmes, surtout en bonne compagnie. Un havre de paix loin de tout bruit, cupidité et haine. Mais un tel endroit tranquille existe-t-il vraiment ? Et si tel est le cas, n'est-il pas voué à bien des convoitises et une destruction très brutale ? Contenu vo : #53-57. Critique : Voila, c'est finit. Dites au revoir à.... ceux qu'il reste à la fin de ce tome 12... autant vous dire que vous n'allez pas y passer la soirée. Ce tome douze clôture la série, mais clôture surtout la vie de nos héros. Une vie qui ne peut avancer et vraiment prendre un nouveau départ sans solder les anciens comptes. Un tome douze peut être un poil trop haché, qui saute d'une année à l'autre, mais qui permet de traiter la "fin" de vie des derniers de nos personnages survivant de l'académie. Une évolution des personnages super intéressante car chacun a une trajectoire qui lui est propre. Une trajectoire qui, comme beaucoup d'étoile filante, finit par s'écraser. Une bonne fin pour une série hors norme dans les parutions des 20 dernières années en comics.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deadly-class-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Batman beyond the white knight

    Nouveau tome de la série Batman - White Knight avec un retour aux manettes de Sean Murphy lui-même, après un passage des commandes à Katana Collins pour le Harley Quinn. Ce tome marque un bon dans le temps et un hommage de Sean Murphy au dessiné animé Batman Beyond. On y retrouve les personnages de l'animé, mais surtout le bon temporel qui fait de notre Batman un vieux et de nos personnages principaux des parents. Si Sean Murphy garde le côté "gotham contrôlé par une super milice de policier", il fond intelligemment l'histoire dans celle du White Knight. White knight qui est pour moi le point un peu faible de ce volume. En effet, si l'on comprend la volonté de ramener Jack Napier sur le devant de la scène, et ce malgré sa mort, je trouve le procédé utilisé un peu facile et servant réellement de "Joker" tant pour le scénariste, lors de l'introduction des moments "historiques", que pour l'avancée du scenario. Reste que ce tome 4 de l'univers de the White Knight est graphiquement sublime, même si je vous conseillerais de prendre la version noir et blanc, la version couleur montrant ses limites sur les fonds de plan. On ne va quand même pas se mentir, des Batman de ce niveau-là on en mangerait tous les jours.
  22. Titre de l'album : Batman beyond the white knight Scenariste de l'album : Sean Murphy Dessinateur de l'album : Sean Murphy Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dix ans après que Gotham s'est interrogée sur l'efficacité réelle du Chevalier Noir, Derek Powers a pris le contrôle des actifs de la famille Wayne et utilise l'unité anti-terroriste de la ville pour protéger les citoyens... mais à quel prix ? Le justicier de Gotham est toujours en prison et, en son absence, c'est à Terry McGinnis de prendre la relève. Mais dans cette ville futuriste dystopique, seul le vrai Batman est conscient des dangers à venir... Critique : Nouveau tome de la série Batman - White Knight avec un retour aux manettes de Sean Murphy lui-même, après un passage des commandes à Katana Collins pour le Harley Quinn. Ce tome marque un bon dans le temps et un hommage de Sean Murphy au dessiné animé Batman Beyond. On y retrouve les personnages de l'animé, mais surtout le bon temporel qui fait de notre Batman un vieux et de nos personnages principaux des parents. Si Sean Murphy garde le côté "gotham contrôlé par une super milice de policier", il fond intelligemment l'histoire dans celle du White Knight. White knight qui est pour moi le point un peu faible de ce volume. En effet, si l'on comprend la volonté de ramener Jack Napier sur le devant de la scène, et ce malgré sa mort, je trouve le procédé utilisé un peu facile et servant réellement de "Joker" tant pour le scénariste, lors de l'introduction des moments "historiques", que pour l'avancée du scenario. Reste que ce tome 4 de l'univers de the White Knight est graphiquement sublime, même si je vous conseillerais de prendre la version noir et blanc, la version couleur montrant ses limites sur les fonds de plan. On ne va quand même pas se mentir, des Batman de ce niveau-là on en mangerait tous les jours. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-beyond-the-white-knight?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Second tome de l'opération Star wars de Panini avec le méchant le plus connu de la galaxie : Dark Vador . Ces épisodes 1 à 6 centrés sur les aventures de Vador sont bluffants . L'histoire se déroule entre les films Un nouvel espoir et L'empire contre-attaque , on y découvre un Vador rancunier après la défaite de Yavin et la chute de l'étoile de la mort . L'empereur lui fait les gros yeux et le menace clairement avec de possibles diminutions de son influence militaire . Ainsi , c'est un Sith calculateur et opérant dans l'ombre , n'hésitant pas à s'allier avec des mercenaires (certains bien connus des fans de la saga) qui prépare son retour au premier plan . Il cherche aussi à découvrir qui est ce mystérieux jeune homme manipulant un sabre laser et qui est à l'origine de la destruction de la station spatiale impériale . Tout un programme bien scénarisé par Kieron Gillen qui inscrit sa narration sur le long terme et profite des événements "officiels" des films pour y intégrer le côté "canon" avec la création de personnages , dont Docteur Aphra . Il est bien aidé par un dessinateur saisissant de réalisme en la personne de Salvador Larroca . Son trait , il est vrai numérique mais fin et empreint de reflets brillants , est parfait pour l'univers dépeint . Son découpage centré parfois sur les yeux de Vador laisse deviner toute la puissance et la rage qui l'anime . On est saisi et l'impression d'être dans un des films de la saga , est réel ! Ces sorties comics de 2015 sont vraiment de qualité , je ne peux que vous inviter à y plonger et tenter de découvrir la suite 😉
  24. Titre de l'album : L'équilibre dans la force tome 2 - Dark Vador Scenariste de l'album : Kieron Gillen Dessinateur de l'album : Salvador Larroca Coloriste : Salvador Larroca Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Dark Vador est le bras droit de l'Empereur, il est également l'un des seuls survivants de ce qui est la plus grande défaite de l'Empire : la destruction de l'Étoile de la Mort par l'Alliance Rebelle. Sa position affaiblie, il est temps pour le Seigneur Noir des Sith de montrer à quel point la Force est puissante en lui. Critique : Second tome de l'opération Star wars de Panini avec le méchant le plus connu de la galaxie : Dark Vador . Ces épisodes 1 à 6 centrés sur les aventures de Vador sont bluffants . L'histoire se déroule entre les films Un nouvel espoir et L'empire contre-attaque , on y découvre un Vador rancunier après la défaite de Yavin et la chute de l'étoile de la mort . L'empereur lui fait les gros yeux et le menace clairement avec de possibles diminutions de son influence militaire . Ainsi , c'est un Sith calculateur et opérant dans l'ombre , n'hésitant pas à s'allier avec des mercenaires (certains bien connus des fans de la saga) qui prépare son retour au premier plan . Il cherche aussi à découvrir qui est ce mystérieux jeune homme manipulant un sabre laser et qui est à l'origine de la destruction de la station spatiale impériale . Tout un programme bien scénarisé par Kieron Gillen qui inscrit sa narration sur le long terme et profite des événements "officiels" des films pour y intégrer le côté "canon" avec la création de personnages , dont Docteur Aphra . Il est bien aidé par un dessinateur saisissant de réalisme en la personne de Salvador Larroca . Son trait , il est vrai numérique mais fin et empreint de reflets brillants , est parfait pour l'univers dépeint . Son découpage centré parfois sur les yeux de Vador laisse deviner toute la puissance et la rage qui l'anime . On est saisi et l'impression d'être dans un des films de la saga , est réel ! Ces sorties comics de 2015 sont vraiment de qualité , je ne peux que vous inviter à y plonger et tenter de découvrir la suite 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-vador-l-equilibre-dans-la-force-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série.
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