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  1. poseidon2

    The nice house on the lake t1

    Voici l'une des lectures comics de l'année à n'en pas douter. Une lecture en deux tomes, mais dont le deuxième arrive dès le mois de mars ! Quelle claque nous met James Tyrion IV dans ce premier tome. Il réussit à mixer avec brio the thème du huis clos avec l'aspect horrifique d'une fin du monde arrivant sans crier gare. Imaginez un peu : un pote vous convie à un weekend retrouvaille entre amis dans une maison éloignée. Et une fois arrivée, vous vous rendez compte que vous êtes les seuls survivants de l'espèce humaine... Comment réagiriez-vous ? vis-à-vis des autres ? vis-à-vis du monde ? et vis-à-vis de celui qui vous a invité ici ???? Un premier tome génial, sublimement illustré, et une histoire qui promet de rester dans les annales des huis clos en bande dessinée !
  2. alx23

    Big under

    Big under est la deuxième créations des éditions 404 comics après le très remarqué Mundus et ses univers parallèles visités. Avec Big under, on plonge dans un récit fantastique se déroulant à Paris avec une bande de jeunes adolescentes à la recherche d'une amie absente lors de la rentrée scolaire. En parallèle, on suit un groupe de travailleurs descendants dans les sous-sols de la capitale pour comprendre les derniers éboulements ressentis dans certains quartiers qui touchent les fondations même de la ville. Comme on peut s'y attendre les deux récits vont se rejoindre à un moment donné. Le scénariste Virgil Iscan nous offre une histoire intéressante, comparable à la série Tv, Stranger things de par son genre et la bande de jeunes pour résoudre les problématiques fantastiques. On pourra cependant reprocher les dialogues des jeunes avec leurs expressions trop répétées comme "Frère" ou "boomers". Les dessins d’Alex Nieto sont de qualité avec un mélange d'influence de Bd européennes et de comics. Big under sera séduire avec cette histoire fantastique qui nous emmène dans les catacombes et les profondeurs de Paris. A noter aussi, qu'une fois de plus, la qualité de l'édition de l'album est irréprochable.
  3. alx23

    Big under

    Titre de l'album : Big under Scenariste de l'album : Virgil Iscan Dessinateur de l'album : Alex Nieto Coloriste : Fabiana Mascolo Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Paris, hiver 1774. La terre tremble. Rue d'Enfer, c'est un pâté de maisons entier qui s'affaisse pour laisser place à un cratère géant. Contraint par l'état catastrophique des galeries et des carrières souterraines, Louis XVI fonde l'Inspection Générale des Carrières. Paris, printemps 2021. Sophie, fille de Pierre-Guillaume Alain-Serré, directeur actuel de l'Inspection Générale des Carrière, a disparu. Sa seule amie, Sonia, remarque son absence du lycée. Elle décide alors de convoquer trois autres ami.e.s : Dez, Berry et Kim pour tenter d'élucider ce mystère dont les catacombes parisienne semblent être le point de départ. Simultanément, Antoine part avec trois collègues étudier les éboulements survenus dans les galeries souterraines, à des emplacements historiques bien particuliers. Ces deux groupes vont plonger au coeur du bassin parisien qui pourrait s'avérer être bien plus qu'un simple bassin géologique. Critique : Big under est la deuxième créations des éditions 404 comics après le très remarqué Mundus et ses univers parallèles visités. Avec Big under, on plonge dans un récit fantastique se déroulant à Paris avec une bande de jeunes adolescentes à la recherche d'une amie absente lors de la rentrée scolaire. En parallèle, on suit un groupe de travailleurs descendants dans les sous-sols de la capitale pour comprendre les derniers éboulements ressentis dans certains quartiers qui touchent les fondations même de la ville. Comme on peut s'y attendre les deux récits vont se rejoindre à un moment donné. Le scénariste Virgil Iscan nous offre une histoire intéressante, comparable à la série Tv, Stranger things de par son genre et la bande de jeunes pour résoudre les problématiques fantastiques. On pourra cependant reprocher les dialogues des jeunes avec leurs expressions trop répétées comme "Frère" ou "boomers". Les dessins d’Alex Nieto sont de qualité avec un mélange d'influence de Bd européennes et de comics. Big under sera séduire avec cette histoire fantastique qui nous emmène dans les catacombes et les profondeurs de Paris. A noter aussi, qu'une fois de plus, la qualité de l'édition de l'album est irréprochable. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/big-under-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Titre de l'album : Sandman : Nightmare country t1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Lisandro Estherren Coloriste : Lisandro Estherren Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Chaque nuit, lorsque vous dormez, le Seigneur des Rêves choisit le chemin emprunté par vos songes. Il peut tout aussi bien vous mener vers des contrées enchantées que dans le dédale de vos peurs les plus intimes. Parfois, il arrive aussi que le Rêve laisse ces dernières s'échapper de leurs sombres coursives pour s'égarer dans notre vaste monde. Aujourd'hui, le Corinthien, le plus redouté de tous les cauchemars, est de retour. Pourtant, si les morts se multiplient, ce n'est étonnamment pas de son fait. Il semblerait que le légendaire tueur en série ne soit pas le seul à parcourir la Terre en quête de victimes. Contenu vo : Contenu : The Sandman Universe: Nightmare Country #1-6. Critique : D'après vous, si on associe la référence actuelle du scénario d'horreur aux personnages chouchous des lecteurs d'une série à succès, ça donne quoi ? Et bien ça donne un succès et comic des plus savoureux. on avait tous été tristes lorsque que le précédent Dream avait "déconstruit" le corinthien. Enfin triste et content, car c'état un beau salaud. L'acteur (et sa performance) choisit par Netflix avait reboosté les fans et DC qui en ont donc fait le personnage central d'un album plus malin que l'on ne pourrait l'imaginer. n effet James tyrion IV joue avec brio avec la reconstruction du Corithien. En effet, il nous montre un cauchemar qui reste un cauchemar mais qui est aussi sensiblement différent de son prédécesseur. Et ce sont ces différences, couplé à un scénario à la James Tyrion IV plein de monstres et de méchants très méchants, qui font dépasser cet album de simple "bon albums" d'horreurs a un excellent spin off de Sandman. Vivement la suite et... vivement d'autre spin off de cette qualité. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-nightmare-country-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Sandman : Nightmare country t1

    D'après vous, si on associe la référence actuelle du scénario d'horreur aux personnages chouchous des lecteurs d'une série à succès, ça donne quoi ? Et bien ça donne un succès et comic des plus savoureux. on avait tous été tristes lorsque que le précédent Dream avait "déconstruit" le corinthien. Enfin triste et content, car c'état un beau salaud. L'acteur (et sa performance) choisit par Netflix avait reboosté les fans et DC qui en ont donc fait le personnage central d'un album plus malin que l'on ne pourrait l'imaginer. n effet James tyrion IV joue avec brio avec la reconstruction du Corithien. En effet, il nous montre un cauchemar qui reste un cauchemar mais qui est aussi sensiblement différent de son prédécesseur. Et ce sont ces différences, couplé à un scénario à la James Tyrion IV plein de monstres et de méchants très méchants, qui font dépasser cet album de simple "bon albums" d'horreurs a un excellent spin off de Sandman. Vivement la suite et... vivement d'autre spin off de cette qualité.
  6. alx23

    Not a robots

    Mark Russell m'avait bien amusé et marqué avec le retour du messie sortie également aux éditions Delcourt, donc je surveillais les nouvelles parutions en français de cet auteur. Avec Not all robots, l'auteur nous propose une critique de notre société, sous la forme d'une histoire de science-fiction avec des robots et leurs problématiques. Les robots remplacent l’homme au travail sans se plaindre et en étant plus efficaces et sans fuite. De leur coté, les humains se sentent inutiles dans cette société en perdition. Un malaise commence à se faire ressentir aussi bien chez les robots dotés d’une conscience que chez les humains. Les robots travaillent de trop et doivent s’occuper de leur famille d’humains trop fragiles et les humains vivent dans la peur des bugs souvent mortels de leurs robots. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre ce monde futuriste dans un style très réaliste. Les robots forcément très nombreux dans ce récit sont très bien représentés. La couverture est assez amusante en reprenant un célèbre tableau américain avec des robots à la place du couple de paysan. Not a robot est un one shot intéressant est très bien pensé, avec des dialogues et réflexions qui sont bien trouvés pour les robots.
  7. alx23

    Not a robots

    Titre de l'album : Not a robots Scenariste de l'album : Mark Russell Dessinateur de l'album : Mike Deodato Jr. Coloriste : Lee Loughridge Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En 2056, les robots ont remplacé les êtres humains sur le marché du travail. La coexistence est difficile entre les robots et les dix milliards de terriens. Chaque famille humaine dispose d'un robot dont elle dépend entièrement. Le robot des Walter, Razorball, passe - de façon assez inquiétante - tout son temps libre dans le garage à construire des machines conçues pour tuer sa famille d'accueil... Critique : Mark Russell m'avait bien amusé et marqué avec le retour du messie sortie également aux éditions Delcourt, donc je surveillais les nouvelles parutions en français de cet auteur. Avec Not all robots, l'auteur nous propose une critique de notre société, sous la forme d'une histoire de science-fiction avec des robots et leurs problématiques. Les robots remplacent l’homme au travail sans se plaindre et en étant plus efficaces et sans fuite. De leur coté, les humains se sentent inutiles dans cette société en perdition. Un malaise commence à se faire ressentir aussi bien chez les robots dotés d’une conscience que chez les humains. Les robots travaillent de trop et doivent s’occuper de leur famille d’humains trop fragiles et les humains vivent dans la peur des bugs souvent mortels de leurs robots. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre ce monde futuriste dans un style très réaliste. Les robots forcément très nombreux dans ce récit sont très bien représentés. La couverture est assez amusante en reprenant un célèbre tableau américain avec des robots à la place du couple de paysan. Not a robot est un one shot intéressant est très bien pensé, avec des dialogues et réflexions qui sont bien trouvés pour les robots. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/not-all-robots-one-shot-not-all-robots?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Comme un gant de velours pris dans la fonte est le second album à être réédité dans la nouvelle série La bibliothèque de Daniel Clowes. Après la chronique sociale avec Ghost World, on plonge dans un autre registre, avec une histoire fantastique et surtout très étrange. A la lecture de cet album, j'ai retrouvé l'ambiance des films de David Lynch pour vous donner un exemple de ce qui vous attend. Dès le démarrage, on comprend que le héros va nous emmener dans une aventure surprenante après avoir cru reconnaitre la femme de sa vie dans un film bizarre lors d'une projection dans un cinéma porno. Le héros va aller de rencontre déconcertante en rencontre surnaturelle. Les personnages sont tous particuliers et apportent au héros des indices ou des ennuis surprenants ou déstabilisants pour lui. Daniel Clowes nous emporte dans un récit surréaliste, angoissant et dérangeant tout en restant attirant en même temps. La partie graphique est maitrisé tout en noir et blanc. J'ai beaucoup apprécié la lecture Comme un gant de velours pris dans la fonte qui ne laisse pas indifférent. Daniel Clowes signe une œuvre décalée et intriguant avec une parfaite maitrise qui demandera plusieurs lectures afin de vraiment profiter du potentiel de ce titre.
  9. Titre de l'album : La bibliotheque de Daniel Clowes - Comme un gant de velours pris dans la fonte Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Suite au visionnage d'un snuff movie où il croit reconnaître son amour disparu, Clay part à la recherche des producteurs du film qui pourraient le renseigner sur le sort de la jeune femme. Seulement, ce dernier n'avait pas anticipé les rencontres hallucinatoires, les embûches sordides ni même la fascination qu'exerce un certain Mister Jones. Critique : Comme un gant de velours pris dans la fonte est le second album à être réédité dans la nouvelle série La bibliothèque de Daniel Clowes. Après la chronique sociale avec Ghost World, on plonge dans un autre registre, avec une histoire fantastique et surtout très étrange. A la lecture de cet album, j'ai retrouvé l'ambiance des films de David Lynch pour vous donner un exemple de ce qui vous attend. Dès le démarrage, on comprend que le héros va nous emmener dans une aventure surprenante après avoir cru reconnaitre la femme de sa vie dans un film bizarre lors d'une projection dans un cinéma porno. Le héros va aller de rencontre déconcertante en rencontre surnaturelle. Les personnages sont tous particuliers et apportent au héros des indices ou des ennuis surprenants ou déstabilisants pour lui. Daniel Clowes nous emporte dans un récit surréaliste, angoissant et dérangeant tout en restant attirant en même temps. La partie graphique est maitrisé tout en noir et blanc. J'ai beaucoup apprécié la lecture Comme un gant de velours pris dans la fonte qui ne laisse pas indifférent. Daniel Clowes signe une œuvre décalée et intriguant avec une parfaite maitrise qui demandera plusieurs lectures afin de vraiment profiter du potentiel de ce titre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Rogues

    Les amateurs de Flash connaissent bien les Lascars, cette bande de super vilain mené par Captain Cold et qui sévissait à Central City. Ces amateurs doivent se jeter sur Rogues. Les autres peuvent aussi lire ce one shot comme une très belle ode aux vieux personnages. Car c'est exactement ce qu'est ce Rogues : une ode aux méchants. Des méchants devenus vieux et ayant été obligé de se ranger. Se ranger dans une vie ou ils ne sont plus rien. Voir moins que rien. Une vie qui leur fait tenter un dernier coup. Un coup "sur"... Joshua Williamson nous livre un récit très émouvant. Un récit sur l'acceptation de la vieillesse et la difficulté de la réinsertion. La ou Williamson est bon, c'est que l'on ne voit PAS Flash. Les Flashs sont occupés par des vraies menaces, et non pas le retour de vieux ennemis mal dans leurs peaux. A Lire !
  11. poseidon2

    Rogues

    Titre de l'album : Rogues Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Leomacs Coloriste : Leomacs Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 10 ans plus tôt, les Lascars se sont séparés et ont chacun suivi leur propre voie, mais le temps qui passe ne leur a pas fait de cadeau. Coincés dans un cycle incessant de prison, de cure de désintox et de petits boulots sans avenir, ces anciens criminels en ont assez de payer pour leurs crimes passés. Heureusement, Captain Cold a un plan. Un dernier casse, qui les rendrait riches au-delà de tous leurs espoirs et les libérerait de leur passé... s'ils en réchappent. Et quand ce plan implique de s'infiltrer à Gorilla City pour voler le trésor d'un Gorilla Grodd plus énervé que jamais, cela semble plus facile à dire qu'à faire. Critique : Les amateurs de Flash connaissent bien les Lascars, cette bande de super vilain mené par Captain Cold et qui sévissait à Central City. Ces amateurs doivent se jeter sur Rogues. Les autres peuvent aussi lire ce one shot comme une très belle ode aux vieux personnages. Car c'est exactement ce qu'est ce Rogues : une ode aux méchants. Des méchants devenus vieux et ayant été obligé de se ranger. Se ranger dans une vie ou ils ne sont plus rien. Voir moins que rien. Une vie qui leur fait tenter un dernier coup. Un coup "sur"... Joshua Williamson nous livre un récit très émouvant. Un récit sur l'acceptation de la vieillesse et la difficulté de la réinsertion. La ou Williamson est bon, c'est que l'on ne voit PAS Flash. Les Flashs sont occupés par des vraies menaces, et non pas le retour de vieux ennemis mal dans leurs peaux. A Lire ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rogues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Les éditions Delcourt nous offrent une réédition des romans graphiques de Daniel Clowes à travers la série La bibliothèque de Daniel Clowes. Ghost World et Comme un gant de velours pris dans la fonte sont les deux premiers titres à rejoindre la collection Outsider, avec une nouvelle traduction et une nouvelle numérisation spécialement pour cette réédition. D'autres rééditions de l'auteur devraient suivre dans les mois à venir dont l'excellent Patience. Pour revenir à Ghost world, cet album nous présente deux jeunes adolescentes dans leur quotidien. On retrouvera leurs différentes interrogations sur leur vie avant de devenir adulte. Plusieurs thématiques sont abordés par ces deux jeunes femmes dont leur première relation sexuelle. Daniel Clowes nous livre une chronique sociale des états-unis avec ces deux jeunes femmes qui observent leur quotidien dans une petite ville et s'ennuient donc critiques tout. Les dessins de l'auteur sont de qualité tout en bichromie avec du vert pour donner du relief à l'ensemble. Le résultat est intéressant dans un style comics indé comme on est en droit de s'attendre avec Ghost World. Les questionnements de ces deux adolescentes sont au cœur de cet album et Daniel Clowes illustre très bien leur quotidien.
  13. Titre de l'album : La bibliotheque de Daniel Clowes - Ghost world Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Daniel Clowes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ghost World dresse le portrait de deux adolescentes américaines dans les années 1990. Enid et Rebecca sont fusionnelles, cyniques, sensibles, intelligentes et désabusées. Leurs nombreux doutes à propos de leur avenir, du passage à l'âge adulte ou bien de leur orientation sexuelle tisse un récit naturaliste qui révolutionna la bande dessinée américaine indépendante. Critique : Les éditions Delcourt nous offrent une réédition des romans graphiques de Daniel Clowes à travers la série La bibliothèque de Daniel Clowes. Ghost World et Comme un gant de velours pris dans la fonte sont les deux premiers titres à rejoindre la collection Outsider, avec une nouvelle traduction et une nouvelle numérisation spécialement pour cette réédition. D'autres rééditions de l'auteur devraient suivre dans les mois à venir dont l'excellent Patience. Pour revenir à Ghost world, cet album nous présente deux jeunes adolescentes dans leur quotidien. On retrouvera leurs différentes interrogations sur leur vie avant de devenir adulte. Plusieurs thématiques sont abordés par ces deux jeunes femmes dont leur première relation sexuelle. Daniel Clowes nous livre une chronique sociale des états-unis avec ces deux jeunes femmes qui observent leur quotidien dans une petite ville et s'ennuient donc critiques tout. Les dessins de l'auteur sont de qualité tout en bichromie avec du vert pour donner du relief à l'ensemble. Le résultat est intéressant dans un style comics indé comme on est en droit de s'attendre avec Ghost World. Les questionnements de ces deux adolescentes sont au cœur de cet album et Daniel Clowes illustre très bien leur quotidien. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ghost-world-one-shot-ghost-world?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Dunce tome 2 - Presque l'apocalypse

    J'avais bien aimé le premier tome de Dunce avec le quotidien de cet homme mis en situation dans des strips de quatre cases, avec une chute humoristique à la fin. Cette fois, les histoires s'enchainent malgré la chute, sur un nouveau strips et l'on s'amuse vraiment des situations assez classiques pour un homme de l'âge de Jens K. Pour citer quelques thématiques qui vous attendent dans cette suite, Jens K essaie d'arrêter son addiction à Facebook et le vit très mal alors que tous ces collègues et son fils continu. La boite où travaille Jens K perd un de ces plus gros client et le héros décide de retourner à la vie sauvage. Pour accompagner Jens K dans les délires, on retrouve son chien qui parle et philosophe sur les humains, son fils et ses collègues de travail. Une fois de plus l'auteur réussi à mettre en image son quotidien avec beaucoup d'humour. Les dessins sont dans un style minimaliste comme souvent dans ce registre précis. Ce n’est pas moins de 250 pages de strips qui vous attendent dans cette suite de Dunce intitulé presque l'apocalypse, si vous avez adoré le premier vous serez comblés pas cette suite et sinon c'est une très bonne occasion de découvrir cette série.
  15. Titre de l'album : Dunce tome 2 - Presque l'apocalypse Scenariste de l'album : Jens K Dessinateur de l'album : Jens K Coloriste : Jens K Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Les aventures déjantées des nordiques Jens, Gustave et Brego ! Dans ce tout volume, sobrement nommé " Presque l'apocalypse ", le chien Brego tombera amoureux, JensK perdra un client important et partira en retraite dans la nature, il reviendra juste à temps pour voir le monde entier mis sous cloche en raison d'une pandémie mondiale. Jens K. Styve symbolise le renouveau du comics strip norvégien, enfin disponible en France. Il connaît un grand succès avec Dunce. La série est diffusée tous les jours dans la presse norvégienne, et a remporté le prix Dagbladet en 2016, le prix Pondus en 2018, ainsi que le prix Sproing en 2019 ! Du même auteur chez 404 comics : Dunce, en roue libre? Critique : J'avais bien aimé le premier tome de Dunce avec le quotidien de cet homme mis en situation dans des strips de quatre cases, avec une chute humoristique à la fin. Cette fois, les histoires s'enchainent malgré la chute, sur un nouveau strips et l'on s'amuse vraiment des situations assez classiques pour un homme de l'âge de Jens K. Pour citer quelques thématiques qui vous attendent dans cette suite, Jens K essaie d'arrêter son addiction à Facebook et le vit très mal alors que tous ces collègues et son fils continu. La boite où travaille Jens K perd un de ces plus gros client et le héros décide de retourner à la vie sauvage. Pour accompagner Jens K dans les délires, on retrouve son chien qui parle et philosophe sur les humains, son fils et ses collègues de travail. Une fois de plus l'auteur réussi à mettre en image son quotidien avec beaucoup d'humour. Les dessins sont dans un style minimaliste comme souvent dans ce registre précis. Ce n’est pas moins de 250 pages de strips qui vous attendent dans cette suite de Dunce intitulé presque l'apocalypse, si vous avez adoré le premier vous serez comblés pas cette suite et sinon c'est une très bonne occasion de découvrir cette série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dunce-presque-l-apocalypse-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Retour sur : X of Swords

    Merci Monsieur Hickman. Merci de ne rien faire comme les autres et de nous offrir X of Swords. Car X of Swords n'est pas un crossover mutant comme les autres. C'est une récompense pour les amateurs des X-Men qui auront soutenu le développement de Dawn of X. Rien de moins. En effet, je déconseillerai même de lire ce crossover sans avoir lu rien de moins que les 16 numéros des Dawn of X. Car même si la narration est bien faite et la lecture dynamique, l'univers et le passif de chacun vous manquera, sans parler de la connaissance d'Outremonde, de l'histoire des Braddock ou encore des méandres de Krakoa. Cela vous paraitra surement égoïste de ne produire un crossover rien que pour les fans. Peut être. Mais cela permet à Hickman de fournir un crossover super dense, mais aussi très important, aux retombées majeures et au déroulement émotionnellement des plus intenses. De surprises en batailles, de retournement de situations en maitrise absolu de la part de la maîtresse d'outremonde, on fait des sauts émotionnels durant cette lecture comme rarement. Des sentiments qui sont en grandes parties dû à la lecture de Dawn of X qui nous à fait nous sentir partie prenante de la famille X-Men et qui nous fait nous sentir encore plus mal lorsque..... Quelque chose que seules les grandes sagas de comics peuvent offrir. Plus de que de marquer les premières fêlures dans la coquille de Krakoa, ce X of Swords est un tournant pour toutes les équipes, et un pur bonheur pour les fans de la saga débutée par House of X. Donc encore une fois merci monsieur Hickman, et que vienne… le Reign of X !
  17. Titre de l'album : Retour sur : X of Swords Scenariste de l'album : Johnatan Hickman et autres Dessinateur de l'album : Collectifs Coloriste : Collectifs Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Est-ce la fin des mutants ? Quand Apocalypse, contre l'avis du conseil de Krakoa, ouvre la porte vers le monde oublié d'Arakko, il déclenche un conflit qui ne pourra se régler que dans un tournoi gigantesque opposant les mutants les plus puissants aux habitants du mystérieux domaine. L'enjeu : rien de moins que la survie de l'espèce ! Qui seront les dix mutants choisis pour représenter les X-Men ? Avec X of Swords, Jonathan Hickman ainsi que d'autres scénaristes habitués des mutants, renouent avec la tradition des crossovers des années 90 (comme Le chant du bourreau ou Inferno) dans une saga qui se poursuit à travers toutes les séries mutantes. Les 22 chapitres du crossover seront ainsi publiés en quatre tomes impliquant tous les titres X-Men. Les deux premiers sortent en juillet, les deux suivants en août et septembre. Critique : Merci Monsieur Hickman. Merci de ne rien faire comme les autres et de nous offrir X of Swords. Car X of Swords n'est pas un crossover mutant comme les autres. C'est une récompense pour les amateurs des X-Men qui auront soutenu le développement de Dawn of X. Rien de moins. En effet, je déconseillerai même de lire ce crossover sans avoir lu rien de moins que les 16 numéros des Dawn of X. Car même si la narration est bien faite et la lecture dynamique, l'univers et le passif de chacun vous manquera, sans parler de la connaissance d'Outremonde, de l'histoire des Braddock ou encore des méandres de Krakoa. Cela vous paraitra surement égoïste de ne produire un crossover rien que pour les fans. Peut être. Mais cela permet à Hickman de fournir un crossover super dense, mais aussi très important, aux retombées majeures et au déroulement émotionnellement des plus intenses. De surprises en batailles, de retournement de situations en maitrise absolu de la part de la maîtresse d'outremonde, on fait des sauts émotionnels durant cette lecture comme rarement. Des sentiments qui sont en grandes parties dû à la lecture de Dawn of X qui nous à fait nous sentir partie prenante de la famille X-Men et qui nous fait nous sentir encore plus mal lorsque..... Quelque chose que seules les grandes sagas de comics peuvent offrir. Plus de que de marquer les premières fêlures dans la coquille de Krakoa, ce X of Swords est un tournant pour toutes les équipes, et un pur bonheur pour les fans de la saga débutée par House of X. Donc encore une fois merci monsieur Hickman, et que vienne… le Reign of X ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/x-men-x-of-swords-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. The_PoP

    Metamuta

    Bon bon bon, je n'ai pas du tout été enthousiasmé par ce one shot dans l'univers de Mutafukaz développé par Jérémie Labsolu. Il a bien été intronisé par Run, l'auteur du Comics d'origine mais je n'y ai pas retrouvé les ingrédients qui m'ont plus dans Mutafukaz. On est ici donc sur une réédition de one shot qui se lit en parallèle et en complément de la série mère, pas de colorisation et simplement le dessin brut de Jérémie Labsolu dans ce petit format presque manga mais tout de même bien épais. Vous l'aurez compris je n'y ai pas trouvé mon compte, et je vous recommande de l'ouvrir en librairie pour vous faire votre propre idée, notamment sur la partie graphique de ce titre un peu hors norme.
  19. The_PoP

    Metamuta

    Titre de l'album : Metamuta Scenariste de l'album : Jérémie Labsolu Dessinateur de l'album : Jérémie Labsolu Coloriste : Editeur de l'album : Rue de sevres - Label 619 Note : Résumé de l'album : Après s'être pris une balle en pleine tête, Lino vit une expérience de mort imminente. En proie à de multiples hallucinations violentes et inquiétantes, il revisitera inconsciemment les mystères de son enfance. RUN, l'auteur de Mutafukaz, donne carte blanche à l'artiste Jérémie Labsolu pour revisiter l'univers de sa série à succès. Les mésaventures des héros Mutafukaz sont ici revues et corrigées par un récit introspectif où se mêlent rêve et réalité. Critique : Bon bon bon, je n'ai pas du tout été enthousiasmé par ce one shot dans l'univers de Mutafukaz développé par Jérémie Labsolu. Il a bien été intronisé par Run, l'auteur du Comics d'origine mais je n'y ai pas retrouvé les ingrédients qui m'ont plus dans Mutafukaz. On est ici donc sur une réédition de one shot qui se lit en parallèle et en complément de la série mère, pas de colorisation et simplement le dessin brut de Jérémie Labsolu dans ce petit format presque manga mais tout de même bien épais. Vous l'aurez compris je n'y ai pas trouvé mon compte, et je vous recommande de l'ouvrir en librairie pour vous faire votre propre idée, notamment sur la partie graphique de ce titre un peu hors norme. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/metamuta-mutafukaz-243578?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. alx23

    Fahrenheit 451

    Fahrenheit 451 est devenu avec les années un roman culte de Ray Bradbury avec sa thématique très particulière pour un récit d'anticipation. En effet, dans cette société proche de la nôtre, les livres sont devenus interdits comme jugés trop dangereux pour l'équilibre et la paix des nations. Les pompiers n'éteignent plus les feux mais les allument en brulant tous les livres conservés illégalement par quelques individus. Tim Hamilton se charge de cette adaptation en restant fidèle au récit de Bradbury. On suit donc un pompier qui commence à remettre en question son métier et le système dans lequel il vit. Plusieurs éléments et évènement le pousseront dans une réflexion et surtout à réfléchir. Cet album est divisé en trois parties distinctes avec de plus en plus d’action une fois le contexte donné. L'auteur se charge également des dessins avec des couleurs sombres pour accompagner à merveilles l'histoire angoissante de cette société privée de liberté. Les lecteurs ne connaissant pas ce classique de la littérature américaine pourront le découvrir par le biais de cette bande dessinée et les auteurs pourront se replonger dans ce récit d'anticipation culte. L'album s'ouvre avec quelques explications de Ray Bradbury et ses sources d'inspirations.
  21. alx23

    Fahrenheit 451

    Titre de l'album : Fahrenheit 451 Scenariste de l'album : Tim Hamilton Dessinateur de l'album : Tim Hamilton Coloriste : Tim Hamilton Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Dans un futur proche, Guy Montag est pompier. Mais dans cette société dystopique, les pompiers ont pour mission de brûler les livres ainsi que les maisons de leurs détenteurs : la détention de livre est un délit. 451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Guy Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé. Bradbury y critique les méfaits de l'émergence d'une culture de masse. Comme le décrit le pompier Beatty dans le roman, l'émergence d'une telle société n'a été rendue possible que par l'émergence d'une culture de masse, facilitée par la déliquescence du système scolaire : " Le cinéma et la radio, les magazines, les livres sont nivelés par le bas en une vaste soupe ". Les gens se sont désintéressés de la culture et ont préféré faire du sport ou regarder la télévision. Critique : Fahrenheit 451 est devenu avec les années un roman culte de Ray Bradbury avec sa thématique très particulière pour un récit d'anticipation. En effet, dans cette société proche de la nôtre, les livres sont devenus interdits comme jugés trop dangereux pour l'équilibre et la paix des nations. Les pompiers n'éteignent plus les feux mais les allument en brulant tous les livres conservés illégalement par quelques individus. Tim Hamilton se charge de cette adaptation en restant fidèle au récit de Bradbury. On suit donc un pompier qui commence à remettre en question son métier et le système dans lequel il vit. Plusieurs éléments et évènement le pousseront dans une réflexion et surtout à réfléchir. Cet album est divisé en trois parties distinctes avec de plus en plus d’action une fois le contexte donné. L'auteur se charge également des dessins avec des couleurs sombres pour accompagner à merveilles l'histoire angoissante de cette société privée de liberté. Les lecteurs ne connaissant pas ce classique de la littérature américaine pourront le découvrir par le biais de cette bande dessinée et les auteurs pourront se replonger dans ce récit d'anticipation culte. L'album s'ouvre avec quelques explications de Ray Bradbury et ses sources d'inspirations. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    Démons

    Pas besoin de présenter les deux auteurs Scott Snyder et Greg Capullo avec leurs nombreuses séries à succès et surtout leur dernière collaboration sur Batman la cour des hiboux. Dernièrement, Scott Snyder vient de créer son propre studio création appelé BJP, Best Jackett Press et Démons est le premier titre à sortir sur les huit annoncés. Nous aurons la chance de les avoir en français comme les éditions Delcourt sont en partenariat. Pour revenir à Démons, ce récit propose une histoire complète avec une guerre entre des démons et des protecteurs armés de lames spéciales. L'histoire n'est pas originale avec le combat entre le bien et le mal mais n'en reste pas moins efficace avec Snyder à l'écriture du scénario. Le rythme de l'album est assez intense en combats et révélations pour tenir en un tome, on ne s'ennuie pas un seul moment. Les dessins de Greg Capullo sont parfaits surtout pour représenter toutes sortes de créatures démoniaques et des scènes d'action musclées. L’album se termine avec les explications de Snyder sur son studio et des couvertures alternatives des comics VO et des phases de créations de quelques planches. Les lecteurs appréciant les récits fantastiques avec une pointe d’horreur et les comics des années 90 seront satisfaits avec Démons.
  23. alx23

    Démons

    Titre de l'album : Démons Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Greg Capullo & Jonathan Glapion Coloriste : Dave McCaig Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Depuis l'aube des temps, des légendes racontent le conflit éternel entre les anges et les démons. Lam Cullen, femme de science, n'y a jamais cru. Mais la perte d'un proche qui lui était très cher la conduit à découvrir un démon effrayant mais bienveillant nommé Hellor. Sa vie va alors prendre une toute nouvelle direction. Critique : Pas besoin de présenter les deux auteurs Scott Snyder et Greg Capullo avec leurs nombreuses séries à succès et surtout leur dernière collaboration sur Batman la cour des hiboux. Dernièrement, Scott Snyder vient de créer son propre studio création appelé BJP, Best Jackett Press et Démons est le premier titre à sortir sur les huit annoncés. Nous aurons la chance de les avoir en français comme les éditions Delcourt sont en partenariat. Pour revenir à Démons, ce récit propose une histoire complète avec une guerre entre des démons et des protecteurs armés de lames spéciales. L'histoire n'est pas originale avec le combat entre le bien et le mal mais n'en reste pas moins efficace avec Snyder à l'écriture du scénario. Le rythme de l'album est assez intense en combats et révélations pour tenir en un tome, on ne s'ennuie pas un seul moment. Les dessins de Greg Capullo sont parfaits surtout pour représenter toutes sortes de créatures démoniaques et des scènes d'action musclées. L’album se termine avec les explications de Snyder sur son studio et des couvertures alternatives des comics VO et des phases de créations de quelques planches. Les lecteurs appréciant les récits fantastiques avec une pointe d’horreur et les comics des années 90 seront satisfaits avec Démons. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/demons-242663?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. The_PoP

    Blue in green

    Dur de se prononcer sur cet ouvrage tant partie graphique que scénario sont particuliers. Ce qui est sûr c'est que si vous ne réussissez pas à vous laisser happer par ce drame Faustien sur fond de musique. Moi j'ai bizarrement accroché bien que maudissant régulièrement la partie graphique pour son manque de lisibilité. Le dénouement attendu ne m'a pas spécialement surpris ni bouleversé et pourtant, je crois bien que ce comics va rester sur mes étagères. C'est un OVNI et pour moi une réussite, car justement tout est souvent question d'ambiance. Je comprends ce que Hi Comics a décelé dans cette oeuvre, et pourtant j'aurais du mal à vous expliquer ce qu'elle a de si bien concrètement. Mais j'ai aimé cette lecture, qui m'a happé petit à petit. Une belle BD d'ambiance sur fond de musique pour les amateurs d'arts à la recherche de quelque chose d'un peu différent. Par contre attention, ouvrez là avant de la commander ou de l'acheter car graphiquement elle ne plaira pas à tout le monde.
  25. The_PoP

    Blue in green

    Titre de l'album : Blue in green Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Anand RK Coloriste : John Pearson Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Eisner Awards du Meilleur Artiste MultimédiaJeune prodige du saxophone, Erik Dieter n'a jamais percé et enseigne la musique, loin de sa famille et de ses ambitions passées. De retour dans la maison de son enfance suite à la mort tragique de sa mère, il tombe sur une vieille photographie d'un musicien de jazz dans d'étranges circonstances, et sa vie bascule. Désormais, Erik n'a plus qu'une idée en tête: découvrir l'identité de ce mystérieux saxophoniste. Mais cette quête réveille en lui les démons de son ambition... De clubs de jazz en révélations sur le passé de sa mère, Erik sombre peu à peu dans la folie, obsédé par la poursuite du génie créatif et de la reconnaissance... jusqu'à y laisser son âme? Whiplash meets William Burroughs meets James Baldwin. Ram V (These Savage Shores, The Many Deaths of Laila Starr, Swamp Thing) revient en force avec Blue In Green, thriller horrifique envoûtant et somptueuse ode au jazz. Un graphic novel d'une beauté incomparable porté par le style unique d'Anand RK (Grafity's Wall). Critique : Dur de se prononcer sur cet ouvrage tant partie graphique que scénario sont particuliers. Ce qui est sûr c'est que si vous ne réussissez pas à vous laisser happer par ce drame Faustien sur fond de musique. Moi j'ai bizarrement accroché bien que maudissant régulièrement la partie graphique pour son manque de lisibilité. Le dénouement attendu ne m'a pas spécialement surpris ni bouleversé et pourtant, je crois bien que ce comics va rester sur mes étagères. C'est un OVNI et pour moi une réussite, car justement tout est souvent question d'ambiance. Je comprends ce que Hi Comics a décelé dans cette oeuvre, et pourtant j'aurais du mal à vous expliquer ce qu'elle a de si bien concrètement. Mais j'ai aimé cette lecture, qui m'a happé petit à petit. Une belle BD d'ambiance sur fond de musique pour les amateurs d'arts à la recherche de quelque chose d'un peu différent. Par contre attention, ouvrez là avant de la commander ou de l'acheter car graphiquement elle ne plaira pas à tout le monde. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-in-green?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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