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  1. alx23

    Salamandre

    I.N.J. Culbard est un auteur notamment connu pour ses adaptations de HP Lovecraft en comics, avec les montagnes hallucinées ou l'abîme du temps. Aujourd'hui, on peut découvrir l'auteur dans un autre registre que le fantastique horrifique avec ce titre plus tendre autour d'un drame. Culbard s'inspire de sa jeunesse pour inventer tout un univers dans un régime autoritaire où un enfant va passer quelques vacances suite au décès de son père. Son père est aussi au centre de l'histoire en le dessinant en héros avec son travail de plongeur dans les eaux profondes. Ce jeune ado va vivre le deuil de son père dans un pays très conditionné sur toutes les formes d'art, seul la peinture de l'empereur est autorisée dans les maisons. Les dessins de Culbard ont gagné en détails depuis les adaptations de Lovecraft avec des personnes aux visages plus expressifs. L’album se termine sur plusieurs pages de recherches graphiques et des recherches pour les couvertures des comics VO. D’ailleurs la couverture de Salamandre donne vraiment envie d’ouvrir cet album avec les couleurs vives des fleurs. Salamandre jongle entre le drame familial avec une touche de fantastique pour décrire l’acceptation de la mort pour les enfants mais aussi l’importance de l’art dans la vie de tous les jours.
  2. alx23

    Salamandre

    Titre de l'album : Salamandre Scenariste de l'album : I.N.J. Culbard Dessinateur de l'album : I.N.J. Culbard Coloriste : I.N.J. Culbard Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Kaspar Salamandre est un jeune artiste endeuillé qui est envoyé vivre chez son énigmatique grand-père dans un pays gouverné par un régime oppressif, où il ne peut y avoir qu’un être adulé : l'Empereur. Dans ce pays où les fleurs sont des objets de contrebande où la musique est illégale et dans lequel l'art se crée dans la clandestinité, Kaspar découvre un monde peuplé d’artistes révolutionnaires, d’espions et de membres de la police secrète. Kaspar Salamandre est un jeune artiste endeuillé qui est envoyé vivre chez son énigmatique grand-père dans un pays gouverné par un régime oppressif, où il ne peut y avoir qu’un être adulé : l'Empereur. Critique : I.N.J. Culbard est un auteur notamment connu pour ses adaptations de HP Lovecraft en comics, avec les montagnes hallucinées ou l'abîme du temps. Aujourd'hui, on peut découvrir l'auteur dans un autre registre que le fantastique horrifique avec ce titre plus tendre autour d'un drame. Culbard s'inspire de sa jeunesse pour inventer tout un univers dans un régime autoritaire où un enfant va passer quelques vacances suite au décès de son père. Son père est aussi au centre de l'histoire en le dessinant en héros avec son travail de plongeur dans les eaux profondes. Ce jeune ado va vivre le deuil de son père dans un pays très conditionné sur toutes les formes d'art, seul la peinture de l'empereur est autorisée dans les maisons. Les dessins de Culbard ont gagné en détails depuis les adaptations de Lovecraft avec des personnes aux visages plus expressifs. L’album se termine sur plusieurs pages de recherches graphiques et des recherches pour les couvertures des comics VO. D’ailleurs la couverture de Salamandre donne vraiment envie d’ouvrir cet album avec les couleurs vives des fleurs. Salamandre jongle entre le drame familial avec une touche de fantastique pour décrire l’acceptation de la mort pour les enfants mais aussi l’importance de l’art dans la vie de tous les jours. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/salamandre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Ce titre est une parodie aux aventures de Conan le barbare pour héroïne une jeune femme barbare, prête à offrir son corps pour venir à bout de ses ennemis. Ce premier tome nous présente la jeune Connie qui vient en aide à un jeune homme dont la fiancée encore vierge a été kidnappée par une affreuse sorcière. Tout le bestiaire de l'heroic fantasy est présent dans cette série à l'univers érotique où les combats finissent en orgies. Les scènes de sexe représentent la grande majorité des aventures humouristes de Connie. Les dessins sont dans un style comics classique centré autour des personnages nus avec peu de décors. Humour et sexe sont les deux mots qui résument très bien ce premier tome de Connie la barbare.
  4. Titre de l'album : Connie, la barbare tome 1 : la nuit du gloriole Scenariste de l'album : Gianluca Maconi Dessinateur de l'album : Gianluca Maconi Coloriste : Gianluca Maconi Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Connie est la nièce d'un certain barbare (d'aucuns disent la fille illégitime du Cimmérien et d'une Hyrkanienne non moins célèbre). Elle quitte son pays désolé d'Hystéria pour vivre l'aventure à travers le monde Hyboirien... Ce premier volume de Connie, la barbare est composé de 4 chapitres : Le monastère de Salzikmu ; Le rituel de Gloriole ; L'ellipse de l'éclipse et C-Chozlà, le démon. Vous l'avez compris, Connie, la barbare, est un pastiche à peine dissimulé qui entraîne moult guerriers, démons, ogres et sorcières dans les aventures fantastiques d'un univers d'érotique-fantaisie, riche en humour, actions, et belles pépés Critique : Ce titre est une parodie aux aventures de Conan le barbare pour héroïne une jeune femme barbare, prête à offrir son corps pour venir à bout de ses ennemis. Ce premier tome nous présente la jeune Connie qui vient en aide à un jeune homme dont la fiancée encore vierge a été kidnappée par une affreuse sorcière. Tout le bestiaire de l'heroic fantasy est présent dans cette série à l'univers érotique où les combats finissent en orgies. Les scènes de sexe représentent la grande majorité des aventures humouristes de Connie. Les dessins sont dans un style comics classique centré autour des personnages nus avec peu de décors. Humour et sexe sont les deux mots qui résument très bien ce premier tome de Connie la barbare. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/connie-la-barbare-1-la-nuit-du-gloriole/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Assassin's Creed - Brahman

    Assassin's Creed - Brahman est le préquel du jeu vidéo Assassin's Creed Chronicles : India, cette série de trois jeux sortis entre 2015 et 2016, intitulé China, India et Russia. Suite au succès remporté par ce comics, le personnage, Arbaaz Mir jouait un rôle dans le jeu et le roman Assassin's Creed Underworld. Ce one shot Brahman est certainement l'album le plus aboutie que j'ai eu l'occasion de lire sur les adaptations d'Assassin's Creed. L'histoire est prenante avec deux époques distinctes entre le présent à Bangalore avec le quotidien d'un couple et l'Inde exotique du 19ème siècle. Les transitions entre le passé le présent s'explique avec l'utilisation d'un casque virtuel permettant d'accéder aux souvenir d'Arbaaz Mir, un assassin. Les deux scénaristes Brenden Fletcher et Karl Kerschl propose une grande aventure avec beaucoup d'action comme on est en droit de l'attendre avec ce titre. Karl Kerschl et Cameron Stewart se partagent les dessins et certainement les époques. Les dessins de l'action présente sont dans un style réaliste et très détaillés. Au contraire, les dessins du passé sont dans un style comics, très colorés avec des divinités indiennes pour décors. Assassin's Creed - Brahman m'a agréablement surpris, on se prend dans l'histoire plus étoffées, avec une pagination plus importante.
  6. Titre de l'album : Assassin's Creed - Brahman Scenariste de l'album : Brenden Fletcher & Karl Kerschl Dessinateur de l'album : Karl Kerschl & Cameron Stewart Coloriste : John Rauch & Studio Lounak Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : De nos jours à Bangalore, le programmeur Jot Soora et sa fiancée, la célèbre actrice indienne Monima Das, accèdent via un dispositif expérimental de réalité virtuelle aux souvenirs d'Arbaaz Mir alors qu'il combat l'oppression et l'injustice dans l'Inde britannique du XIXe siècle. Découvrant qu'ils sont en fait des descendants de membres de la Confrérie des Assassins, ils se retrouvent plongés dans un monde de complot meurtrier à la recherche d'un artefact perdu... Critique : Assassin's Creed - Brahman est le préquel du jeu vidéo Assassin's Creed Chronicles : India, cette série de trois jeux sortis entre 2015 et 2016, intitulé China, India et Russia. Suite au succès remporté par ce comics, le personnage, Arbaaz Mir jouait un rôle dans le jeu et le roman Assassin's Creed Underworld. Ce one shot Brahman est certainement l'album le plus aboutie que j'ai eu l'occasion de lire sur les adaptations d'Assassin's Creed. L'histoire est prenante avec deux époques distinctes entre le présent à Bangalore avec le quotidien d'un couple et l'Inde exotique du 19ème siècle. Les transitions entre le passé le présent s'explique avec l'utilisation d'un casque virtuel permettant d'accéder aux souvenir d'Arbaaz Mir, un assassin. Les deux scénaristes Brenden Fletcher et Karl Kerschl propose une grande aventure avec beaucoup d'action comme on est en droit de l'attendre avec ce titre. Karl Kerschl et Cameron Stewart se partagent les dessins et certainement les époques. Les dessins de l'action présente sont dans un style réaliste et très détaillés. Au contraire, les dessins du passé sont dans un style comics, très colorés avec des divinités indiennes pour décors. Assassin's Creed - Brahman m'a agréablement surpris, on se prend dans l'histoire plus étoffées, avec une pagination plus importante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/assassin-s-creed-brahman?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Sandman : Nightmare country t1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Lisandro Estherren Coloriste : Lisandro Estherren Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Chaque nuit, lorsque vous dormez, le Seigneur des Rêves choisit le chemin emprunté par vos songes. Il peut tout aussi bien vous mener vers des contrées enchantées que dans le dédale de vos peurs les plus intimes. Parfois, il arrive aussi que le Rêve laisse ces dernières s'échapper de leurs sombres coursives pour s'égarer dans notre vaste monde. Aujourd'hui, le Corinthien, le plus redouté de tous les cauchemars, est de retour. Pourtant, si les morts se multiplient, ce n'est étonnamment pas de son fait. Il semblerait que le légendaire tueur en série ne soit pas le seul à parcourir la Terre en quête de victimes. Contenu vo : Contenu : The Sandman Universe: Nightmare Country #1-6. Critique : D'après vous, si on associe la référence actuelle du scénario d'horreur aux personnages chouchous des lecteurs d'une série à succès, ça donne quoi ? Et bien ça donne un succès et comic des plus savoureux. on avait tous été tristes lorsque que le précédent Dream avait "déconstruit" le corinthien. Enfin triste et content, car c'état un beau salaud. L'acteur (et sa performance) choisit par Netflix avait reboosté les fans et DC qui en ont donc fait le personnage central d'un album plus malin que l'on ne pourrait l'imaginer. n effet James tyrion IV joue avec brio avec la reconstruction du Corithien. En effet, il nous montre un cauchemar qui reste un cauchemar mais qui est aussi sensiblement différent de son prédécesseur. Et ce sont ces différences, couplé à un scénario à la James Tyrion IV plein de monstres et de méchants très méchants, qui font dépasser cet album de simple "bon albums" d'horreurs a un excellent spin off de Sandman. Vivement la suite et... vivement d'autre spin off de cette qualité. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-nightmare-country-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Sandman : Nightmare country t1

    D'après vous, si on associe la référence actuelle du scénario d'horreur aux personnages chouchous des lecteurs d'une série à succès, ça donne quoi ? Et bien ça donne un succès et comic des plus savoureux. on avait tous été tristes lorsque que le précédent Dream avait "déconstruit" le corinthien. Enfin triste et content, car c'état un beau salaud. L'acteur (et sa performance) choisit par Netflix avait reboosté les fans et DC qui en ont donc fait le personnage central d'un album plus malin que l'on ne pourrait l'imaginer. n effet James tyrion IV joue avec brio avec la reconstruction du Corithien. En effet, il nous montre un cauchemar qui reste un cauchemar mais qui est aussi sensiblement différent de son prédécesseur. Et ce sont ces différences, couplé à un scénario à la James Tyrion IV plein de monstres et de méchants très méchants, qui font dépasser cet album de simple "bon albums" d'horreurs a un excellent spin off de Sandman. Vivement la suite et... vivement d'autre spin off de cette qualité.
  9. poseidon2

    Retour sur : X of Swords

    Merci Monsieur Hickman. Merci de ne rien faire comme les autres et de nous offrir X of Swords. Car X of Swords n'est pas un crossover mutant comme les autres. C'est une récompense pour les amateurs des X-Men qui auront soutenu le développement de Dawn of X. Rien de moins. En effet, je déconseillerai même de lire ce crossover sans avoir lu rien de moins que les 16 numéros des Dawn of X. Car même si la narration est bien faite et la lecture dynamique, l'univers et le passif de chacun vous manquera, sans parler de la connaissance d'Outremonde, de l'histoire des Braddock ou encore des méandres de Krakoa. Cela vous paraitra surement égoïste de ne produire un crossover rien que pour les fans. Peut être. Mais cela permet à Hickman de fournir un crossover super dense, mais aussi très important, aux retombées majeures et au déroulement émotionnellement des plus intenses. De surprises en batailles, de retournement de situations en maitrise absolu de la part de la maîtresse d'outremonde, on fait des sauts émotionnels durant cette lecture comme rarement. Des sentiments qui sont en grandes parties dû à la lecture de Dawn of X qui nous à fait nous sentir partie prenante de la famille X-Men et qui nous fait nous sentir encore plus mal lorsque..... Quelque chose que seules les grandes sagas de comics peuvent offrir. Plus de que de marquer les premières fêlures dans la coquille de Krakoa, ce X of Swords est un tournant pour toutes les équipes, et un pur bonheur pour les fans de la saga débutée par House of X. Donc encore une fois merci monsieur Hickman, et que vienne… le Reign of X !
  10. Titre de l'album : Retour sur : X of Swords Scenariste de l'album : Johnatan Hickman et autres Dessinateur de l'album : Collectifs Coloriste : Collectifs Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Est-ce la fin des mutants ? Quand Apocalypse, contre l'avis du conseil de Krakoa, ouvre la porte vers le monde oublié d'Arakko, il déclenche un conflit qui ne pourra se régler que dans un tournoi gigantesque opposant les mutants les plus puissants aux habitants du mystérieux domaine. L'enjeu : rien de moins que la survie de l'espèce ! Qui seront les dix mutants choisis pour représenter les X-Men ? Avec X of Swords, Jonathan Hickman ainsi que d'autres scénaristes habitués des mutants, renouent avec la tradition des crossovers des années 90 (comme Le chant du bourreau ou Inferno) dans une saga qui se poursuit à travers toutes les séries mutantes. Les 22 chapitres du crossover seront ainsi publiés en quatre tomes impliquant tous les titres X-Men. Les deux premiers sortent en juillet, les deux suivants en août et septembre. Critique : Merci Monsieur Hickman. Merci de ne rien faire comme les autres et de nous offrir X of Swords. Car X of Swords n'est pas un crossover mutant comme les autres. C'est une récompense pour les amateurs des X-Men qui auront soutenu le développement de Dawn of X. Rien de moins. En effet, je déconseillerai même de lire ce crossover sans avoir lu rien de moins que les 16 numéros des Dawn of X. Car même si la narration est bien faite et la lecture dynamique, l'univers et le passif de chacun vous manquera, sans parler de la connaissance d'Outremonde, de l'histoire des Braddock ou encore des méandres de Krakoa. Cela vous paraitra surement égoïste de ne produire un crossover rien que pour les fans. Peut être. Mais cela permet à Hickman de fournir un crossover super dense, mais aussi très important, aux retombées majeures et au déroulement émotionnellement des plus intenses. De surprises en batailles, de retournement de situations en maitrise absolu de la part de la maîtresse d'outremonde, on fait des sauts émotionnels durant cette lecture comme rarement. Des sentiments qui sont en grandes parties dû à la lecture de Dawn of X qui nous à fait nous sentir partie prenante de la famille X-Men et qui nous fait nous sentir encore plus mal lorsque..... Quelque chose que seules les grandes sagas de comics peuvent offrir. Plus de que de marquer les premières fêlures dans la coquille de Krakoa, ce X of Swords est un tournant pour toutes les équipes, et un pur bonheur pour les fans de la saga débutée par House of X. Donc encore une fois merci monsieur Hickman, et que vienne… le Reign of X ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/x-men-x-of-swords-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Rogues

    Les amateurs de Flash connaissent bien les Lascars, cette bande de super vilain mené par Captain Cold et qui sévissait à Central City. Ces amateurs doivent se jeter sur Rogues. Les autres peuvent aussi lire ce one shot comme une très belle ode aux vieux personnages. Car c'est exactement ce qu'est ce Rogues : une ode aux méchants. Des méchants devenus vieux et ayant été obligé de se ranger. Se ranger dans une vie ou ils ne sont plus rien. Voir moins que rien. Une vie qui leur fait tenter un dernier coup. Un coup "sur"... Joshua Williamson nous livre un récit très émouvant. Un récit sur l'acceptation de la vieillesse et la difficulté de la réinsertion. La ou Williamson est bon, c'est que l'on ne voit PAS Flash. Les Flashs sont occupés par des vraies menaces, et non pas le retour de vieux ennemis mal dans leurs peaux. A Lire !
  12. poseidon2

    Rogues

    Titre de l'album : Rogues Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Leomacs Coloriste : Leomacs Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 10 ans plus tôt, les Lascars se sont séparés et ont chacun suivi leur propre voie, mais le temps qui passe ne leur a pas fait de cadeau. Coincés dans un cycle incessant de prison, de cure de désintox et de petits boulots sans avenir, ces anciens criminels en ont assez de payer pour leurs crimes passés. Heureusement, Captain Cold a un plan. Un dernier casse, qui les rendrait riches au-delà de tous leurs espoirs et les libérerait de leur passé... s'ils en réchappent. Et quand ce plan implique de s'infiltrer à Gorilla City pour voler le trésor d'un Gorilla Grodd plus énervé que jamais, cela semble plus facile à dire qu'à faire. Critique : Les amateurs de Flash connaissent bien les Lascars, cette bande de super vilain mené par Captain Cold et qui sévissait à Central City. Ces amateurs doivent se jeter sur Rogues. Les autres peuvent aussi lire ce one shot comme une très belle ode aux vieux personnages. Car c'est exactement ce qu'est ce Rogues : une ode aux méchants. Des méchants devenus vieux et ayant été obligé de se ranger. Se ranger dans une vie ou ils ne sont plus rien. Voir moins que rien. Une vie qui leur fait tenter un dernier coup. Un coup "sur"... Joshua Williamson nous livre un récit très émouvant. Un récit sur l'acceptation de la vieillesse et la difficulté de la réinsertion. La ou Williamson est bon, c'est que l'on ne voit PAS Flash. Les Flashs sont occupés par des vraies menaces, et non pas le retour de vieux ennemis mal dans leurs peaux. A Lire ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rogues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    Big under

    Big under est la deuxième créations des éditions 404 comics après le très remarqué Mundus et ses univers parallèles visités. Avec Big under, on plonge dans un récit fantastique se déroulant à Paris avec une bande de jeunes adolescentes à la recherche d'une amie absente lors de la rentrée scolaire. En parallèle, on suit un groupe de travailleurs descendants dans les sous-sols de la capitale pour comprendre les derniers éboulements ressentis dans certains quartiers qui touchent les fondations même de la ville. Comme on peut s'y attendre les deux récits vont se rejoindre à un moment donné. Le scénariste Virgil Iscan nous offre une histoire intéressante, comparable à la série Tv, Stranger things de par son genre et la bande de jeunes pour résoudre les problématiques fantastiques. On pourra cependant reprocher les dialogues des jeunes avec leurs expressions trop répétées comme "Frère" ou "boomers". Les dessins d’Alex Nieto sont de qualité avec un mélange d'influence de Bd européennes et de comics. Big under sera séduire avec cette histoire fantastique qui nous emmène dans les catacombes et les profondeurs de Paris. A noter aussi, qu'une fois de plus, la qualité de l'édition de l'album est irréprochable.
  14. alx23

    Big under

    Titre de l'album : Big under Scenariste de l'album : Virgil Iscan Dessinateur de l'album : Alex Nieto Coloriste : Fabiana Mascolo Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Paris, hiver 1774. La terre tremble. Rue d'Enfer, c'est un pâté de maisons entier qui s'affaisse pour laisser place à un cratère géant. Contraint par l'état catastrophique des galeries et des carrières souterraines, Louis XVI fonde l'Inspection Générale des Carrières. Paris, printemps 2021. Sophie, fille de Pierre-Guillaume Alain-Serré, directeur actuel de l'Inspection Générale des Carrière, a disparu. Sa seule amie, Sonia, remarque son absence du lycée. Elle décide alors de convoquer trois autres ami.e.s : Dez, Berry et Kim pour tenter d'élucider ce mystère dont les catacombes parisienne semblent être le point de départ. Simultanément, Antoine part avec trois collègues étudier les éboulements survenus dans les galeries souterraines, à des emplacements historiques bien particuliers. Ces deux groupes vont plonger au coeur du bassin parisien qui pourrait s'avérer être bien plus qu'un simple bassin géologique. Critique : Big under est la deuxième créations des éditions 404 comics après le très remarqué Mundus et ses univers parallèles visités. Avec Big under, on plonge dans un récit fantastique se déroulant à Paris avec une bande de jeunes adolescentes à la recherche d'une amie absente lors de la rentrée scolaire. En parallèle, on suit un groupe de travailleurs descendants dans les sous-sols de la capitale pour comprendre les derniers éboulements ressentis dans certains quartiers qui touchent les fondations même de la ville. Comme on peut s'y attendre les deux récits vont se rejoindre à un moment donné. Le scénariste Virgil Iscan nous offre une histoire intéressante, comparable à la série Tv, Stranger things de par son genre et la bande de jeunes pour résoudre les problématiques fantastiques. On pourra cependant reprocher les dialogues des jeunes avec leurs expressions trop répétées comme "Frère" ou "boomers". Les dessins d’Alex Nieto sont de qualité avec un mélange d'influence de Bd européennes et de comics. Big under sera séduire avec cette histoire fantastique qui nous emmène dans les catacombes et les profondeurs de Paris. A noter aussi, qu'une fois de plus, la qualité de l'édition de l'album est irréprochable. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/big-under-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Not a robots

    Mark Russell m'avait bien amusé et marqué avec le retour du messie sortie également aux éditions Delcourt, donc je surveillais les nouvelles parutions en français de cet auteur. Avec Not all robots, l'auteur nous propose une critique de notre société, sous la forme d'une histoire de science-fiction avec des robots et leurs problématiques. Les robots remplacent l’homme au travail sans se plaindre et en étant plus efficaces et sans fuite. De leur coté, les humains se sentent inutiles dans cette société en perdition. Un malaise commence à se faire ressentir aussi bien chez les robots dotés d’une conscience que chez les humains. Les robots travaillent de trop et doivent s’occuper de leur famille d’humains trop fragiles et les humains vivent dans la peur des bugs souvent mortels de leurs robots. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre ce monde futuriste dans un style très réaliste. Les robots forcément très nombreux dans ce récit sont très bien représentés. La couverture est assez amusante en reprenant un célèbre tableau américain avec des robots à la place du couple de paysan. Not a robot est un one shot intéressant est très bien pensé, avec des dialogues et réflexions qui sont bien trouvés pour les robots.
  16. alx23

    Not a robots

    Titre de l'album : Not a robots Scenariste de l'album : Mark Russell Dessinateur de l'album : Mike Deodato Jr. Coloriste : Lee Loughridge Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En 2056, les robots ont remplacé les êtres humains sur le marché du travail. La coexistence est difficile entre les robots et les dix milliards de terriens. Chaque famille humaine dispose d'un robot dont elle dépend entièrement. Le robot des Walter, Razorball, passe - de façon assez inquiétante - tout son temps libre dans le garage à construire des machines conçues pour tuer sa famille d'accueil... Critique : Mark Russell m'avait bien amusé et marqué avec le retour du messie sortie également aux éditions Delcourt, donc je surveillais les nouvelles parutions en français de cet auteur. Avec Not all robots, l'auteur nous propose une critique de notre société, sous la forme d'une histoire de science-fiction avec des robots et leurs problématiques. Les robots remplacent l’homme au travail sans se plaindre et en étant plus efficaces et sans fuite. De leur coté, les humains se sentent inutiles dans cette société en perdition. Un malaise commence à se faire ressentir aussi bien chez les robots dotés d’une conscience que chez les humains. Les robots travaillent de trop et doivent s’occuper de leur famille d’humains trop fragiles et les humains vivent dans la peur des bugs souvent mortels de leurs robots. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre ce monde futuriste dans un style très réaliste. Les robots forcément très nombreux dans ce récit sont très bien représentés. La couverture est assez amusante en reprenant un célèbre tableau américain avec des robots à la place du couple de paysan. Not a robot est un one shot intéressant est très bien pensé, avec des dialogues et réflexions qui sont bien trouvés pour les robots. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/not-all-robots-one-shot-not-all-robots?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Comme un gant de velours pris dans la fonte est le second album à être réédité dans la nouvelle série La bibliothèque de Daniel Clowes. Après la chronique sociale avec Ghost World, on plonge dans un autre registre, avec une histoire fantastique et surtout très étrange. A la lecture de cet album, j'ai retrouvé l'ambiance des films de David Lynch pour vous donner un exemple de ce qui vous attend. Dès le démarrage, on comprend que le héros va nous emmener dans une aventure surprenante après avoir cru reconnaitre la femme de sa vie dans un film bizarre lors d'une projection dans un cinéma porno. Le héros va aller de rencontre déconcertante en rencontre surnaturelle. Les personnages sont tous particuliers et apportent au héros des indices ou des ennuis surprenants ou déstabilisants pour lui. Daniel Clowes nous emporte dans un récit surréaliste, angoissant et dérangeant tout en restant attirant en même temps. La partie graphique est maitrisé tout en noir et blanc. J'ai beaucoup apprécié la lecture Comme un gant de velours pris dans la fonte qui ne laisse pas indifférent. Daniel Clowes signe une œuvre décalée et intriguant avec une parfaite maitrise qui demandera plusieurs lectures afin de vraiment profiter du potentiel de ce titre.
  18. Titre de l'album : La bibliotheque de Daniel Clowes - Comme un gant de velours pris dans la fonte Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Suite au visionnage d'un snuff movie où il croit reconnaître son amour disparu, Clay part à la recherche des producteurs du film qui pourraient le renseigner sur le sort de la jeune femme. Seulement, ce dernier n'avait pas anticipé les rencontres hallucinatoires, les embûches sordides ni même la fascination qu'exerce un certain Mister Jones. Critique : Comme un gant de velours pris dans la fonte est le second album à être réédité dans la nouvelle série La bibliothèque de Daniel Clowes. Après la chronique sociale avec Ghost World, on plonge dans un autre registre, avec une histoire fantastique et surtout très étrange. A la lecture de cet album, j'ai retrouvé l'ambiance des films de David Lynch pour vous donner un exemple de ce qui vous attend. Dès le démarrage, on comprend que le héros va nous emmener dans une aventure surprenante après avoir cru reconnaitre la femme de sa vie dans un film bizarre lors d'une projection dans un cinéma porno. Le héros va aller de rencontre déconcertante en rencontre surnaturelle. Les personnages sont tous particuliers et apportent au héros des indices ou des ennuis surprenants ou déstabilisants pour lui. Daniel Clowes nous emporte dans un récit surréaliste, angoissant et dérangeant tout en restant attirant en même temps. La partie graphique est maitrisé tout en noir et blanc. J'ai beaucoup apprécié la lecture Comme un gant de velours pris dans la fonte qui ne laisse pas indifférent. Daniel Clowes signe une œuvre décalée et intriguant avec une parfaite maitrise qui demandera plusieurs lectures afin de vraiment profiter du potentiel de ce titre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Les éditions Delcourt nous offrent une réédition des romans graphiques de Daniel Clowes à travers la série La bibliothèque de Daniel Clowes. Ghost World et Comme un gant de velours pris dans la fonte sont les deux premiers titres à rejoindre la collection Outsider, avec une nouvelle traduction et une nouvelle numérisation spécialement pour cette réédition. D'autres rééditions de l'auteur devraient suivre dans les mois à venir dont l'excellent Patience. Pour revenir à Ghost world, cet album nous présente deux jeunes adolescentes dans leur quotidien. On retrouvera leurs différentes interrogations sur leur vie avant de devenir adulte. Plusieurs thématiques sont abordés par ces deux jeunes femmes dont leur première relation sexuelle. Daniel Clowes nous livre une chronique sociale des états-unis avec ces deux jeunes femmes qui observent leur quotidien dans une petite ville et s'ennuient donc critiques tout. Les dessins de l'auteur sont de qualité tout en bichromie avec du vert pour donner du relief à l'ensemble. Le résultat est intéressant dans un style comics indé comme on est en droit de s'attendre avec Ghost World. Les questionnements de ces deux adolescentes sont au cœur de cet album et Daniel Clowes illustre très bien leur quotidien.
  20. Titre de l'album : La bibliotheque de Daniel Clowes - Ghost world Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Daniel Clowes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ghost World dresse le portrait de deux adolescentes américaines dans les années 1990. Enid et Rebecca sont fusionnelles, cyniques, sensibles, intelligentes et désabusées. Leurs nombreux doutes à propos de leur avenir, du passage à l'âge adulte ou bien de leur orientation sexuelle tisse un récit naturaliste qui révolutionna la bande dessinée américaine indépendante. Critique : Les éditions Delcourt nous offrent une réédition des romans graphiques de Daniel Clowes à travers la série La bibliothèque de Daniel Clowes. Ghost World et Comme un gant de velours pris dans la fonte sont les deux premiers titres à rejoindre la collection Outsider, avec une nouvelle traduction et une nouvelle numérisation spécialement pour cette réédition. D'autres rééditions de l'auteur devraient suivre dans les mois à venir dont l'excellent Patience. Pour revenir à Ghost world, cet album nous présente deux jeunes adolescentes dans leur quotidien. On retrouvera leurs différentes interrogations sur leur vie avant de devenir adulte. Plusieurs thématiques sont abordés par ces deux jeunes femmes dont leur première relation sexuelle. Daniel Clowes nous livre une chronique sociale des états-unis avec ces deux jeunes femmes qui observent leur quotidien dans une petite ville et s'ennuient donc critiques tout. Les dessins de l'auteur sont de qualité tout en bichromie avec du vert pour donner du relief à l'ensemble. Le résultat est intéressant dans un style comics indé comme on est en droit de s'attendre avec Ghost World. Les questionnements de ces deux adolescentes sont au cœur de cet album et Daniel Clowes illustre très bien leur quotidien. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ghost-world-one-shot-ghost-world?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    Dunce tome 2 - Presque l'apocalypse

    J'avais bien aimé le premier tome de Dunce avec le quotidien de cet homme mis en situation dans des strips de quatre cases, avec une chute humoristique à la fin. Cette fois, les histoires s'enchainent malgré la chute, sur un nouveau strips et l'on s'amuse vraiment des situations assez classiques pour un homme de l'âge de Jens K. Pour citer quelques thématiques qui vous attendent dans cette suite, Jens K essaie d'arrêter son addiction à Facebook et le vit très mal alors que tous ces collègues et son fils continu. La boite où travaille Jens K perd un de ces plus gros client et le héros décide de retourner à la vie sauvage. Pour accompagner Jens K dans les délires, on retrouve son chien qui parle et philosophe sur les humains, son fils et ses collègues de travail. Une fois de plus l'auteur réussi à mettre en image son quotidien avec beaucoup d'humour. Les dessins sont dans un style minimaliste comme souvent dans ce registre précis. Ce n’est pas moins de 250 pages de strips qui vous attendent dans cette suite de Dunce intitulé presque l'apocalypse, si vous avez adoré le premier vous serez comblés pas cette suite et sinon c'est une très bonne occasion de découvrir cette série.
  22. Titre de l'album : Dunce tome 2 - Presque l'apocalypse Scenariste de l'album : Jens K Dessinateur de l'album : Jens K Coloriste : Jens K Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Les aventures déjantées des nordiques Jens, Gustave et Brego ! Dans ce tout volume, sobrement nommé " Presque l'apocalypse ", le chien Brego tombera amoureux, JensK perdra un client important et partira en retraite dans la nature, il reviendra juste à temps pour voir le monde entier mis sous cloche en raison d'une pandémie mondiale. Jens K. Styve symbolise le renouveau du comics strip norvégien, enfin disponible en France. Il connaît un grand succès avec Dunce. La série est diffusée tous les jours dans la presse norvégienne, et a remporté le prix Dagbladet en 2016, le prix Pondus en 2018, ainsi que le prix Sproing en 2019 ! Du même auteur chez 404 comics : Dunce, en roue libre? Critique : J'avais bien aimé le premier tome de Dunce avec le quotidien de cet homme mis en situation dans des strips de quatre cases, avec une chute humoristique à la fin. Cette fois, les histoires s'enchainent malgré la chute, sur un nouveau strips et l'on s'amuse vraiment des situations assez classiques pour un homme de l'âge de Jens K. Pour citer quelques thématiques qui vous attendent dans cette suite, Jens K essaie d'arrêter son addiction à Facebook et le vit très mal alors que tous ces collègues et son fils continu. La boite où travaille Jens K perd un de ces plus gros client et le héros décide de retourner à la vie sauvage. Pour accompagner Jens K dans les délires, on retrouve son chien qui parle et philosophe sur les humains, son fils et ses collègues de travail. Une fois de plus l'auteur réussi à mettre en image son quotidien avec beaucoup d'humour. Les dessins sont dans un style minimaliste comme souvent dans ce registre précis. Ce n’est pas moins de 250 pages de strips qui vous attendent dans cette suite de Dunce intitulé presque l'apocalypse, si vous avez adoré le premier vous serez comblés pas cette suite et sinon c'est une très bonne occasion de découvrir cette série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dunce-presque-l-apocalypse-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Retour sur Dawn of X (16 tomes)

    Ca y est ! Je viens de terminer les 16 tome de Dawn of X. Je fais une petite pause avant d'attaquer les Swords of X et les Reign of X qui suivent. Pause qui me permet de faire un petit bilan sur Dawn of X. Un bilan que je vais commencer par le negatif : Le premier point étant assez simple : Ce n'est pas parce qu'il y a monsieur Hickman en tant que superviseur que c'est un gage de qualité absolu de toutes les histoires. Il est plus un gage de cohérence qu'un gage de qualité. Cela nous donne des séries très inégales. Il y en a de très bonne comme Helions ou Marauders et de bien moins intéressantes comme les anges déchus. Et bien sur cela ne permet pas de vraiment conclure Dawn of X. car il y a trop d'histoires en parallèles. Ce qui est un peu frustrant parce qu'on se doute bien qu'elles vont se mettre en pause durant Sword of X. Ensuite graphiquement, c'est forcément très hétéroclite avec de l'excellent et du très moyen. L'autre point que certain jugeront négatifs : ce Dawn of X n'est rien de moins qu'une très grande introduction et présentation de la très grande famille des mutants. Ce qui me permet de glisser sur les points positifs, car cette dernière phrase est pour moi un bon point, mais ne peut ne pas l'être pour beaucoup de lecteur. Hickman lance un vrai renouveau dans les mutants et nous présente un nombre impressionnant de mutants. Des classiques aux nouveaux mutants en passant par les méchants repentis, on voit des mutants partout et de toutes les couleurs. Moi, je dois vous avouez avoir retrouvé un parfum de Spécial Strange de quand j'étais petits. Tous ces héros qui vivent dans le même univers, ces histoires croisées, cet esprit de famille que dégage les X-Men et les mutants en général.... c'est tout ce qui fait que je préfère la famille mutante à l'univers Avengers. Si toutes les histoires ne sont pas aussi bonnes, la plupart sont intéressantes et permettent de découvrir des nouveaux visages. Ceux qui sont fan uniquement de l'équipe de bases seront déçus, car on ne les voit finalement pas beaucoup. Mais on apprend à connaitre les nouveaux mutants, mais surtout les anciens méchants omniprésents et qui n'ont pas forcément mit leurs méchancetés de côté. Cet ensemble prend de l'ampleur et nous livre un vrai univers complexe et bien pensé ou le monde entier est un nouveau terrain de jeu pour Hickman et ses scénaristes. Si la fin de l'aube des mutants est un poil décevante, la série nous aura quand même permis de nous remettre à jour niveau des X-Men et surtout nous aura permis de relancer une franchise globalement moribonde. Ce Dawn of X aura été un gros volume de lecture, mais un volume nécessaire pour bien entrer dans la famille mutante. A bientôt pour le retour sur la mini saga Sword of X. EdIt : il est, je trouve, impératif de lire les pages blanches des descriptions de conversation ou de mémo tout comme il est impératif de lire l'analyse faite par l'expert de panini en fin de volume. En effet, ces analyses reprennent l'historique des personnages principaux et donne énormément d'éléments de contexte
  24. Titre de l'album : Retour sur Dawn of X (16 tomes) Scenariste de l'album : Collectif Supervisé par Hickman Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Après house of X, Charles Xavier a lu dans l'esprit de Moira Mc Tagart qu'il n'y avait qu'une solution pour que les mutants puissent survivre : S'isoler et créer leur propre nation. Et l'ile mutante Krakoa leur a donné cette possibilité. Tous les mutants du monde, et seulement eux, ont maintenant accès à une ile ou tout leur est offert, la paix et le pardon et la résurrection en cas de besoin. Seule condition : ne plus jamais tuer d'humain. Critique : Ca y est ! Je viens de terminer les 16 tome de Dawn of X. Je fais une petite pause avant d'attaquer les Swords of X et les Reign of X qui suivent. Pause qui me permet de faire un petit bilan sur Dawn of X. Un bilan que je vais commencer par le negatif : Le premier point étant assez simple : Ce n'est pas parce qu'il y a monsieur Hickman en tant que superviseur que c'est un gage de qualité absolu de toutes les histoires. Il est plus un gage de cohérence qu'un gage de qualité. Cela nous donne des séries très inégales. Il y en a de très bonne comme Helions ou Marauders et de bien moins intéressantes comme les anges déchus. Et bien sur cela ne permet pas de vraiment conclure Dawn of X. car il y a trop d'histoires en parallèles. Ce qui est un peu frustrant parce qu'on se doute bien qu'elles vont se mettre en pause durant Sword of X. Ensuite graphiquement, c'est forcément très hétéroclite avec de l'excellent et du très moyen. L'autre point que certain jugeront négatifs : ce Dawn of X n'est rien de moins qu'une très grande introduction et présentation de la très grande famille des mutants. Ce qui me permet de glisser sur les points positifs, car cette dernière phrase est pour moi un bon point, mais ne peut ne pas l'être pour beaucoup de lecteur. Hickman lance un vrai renouveau dans les mutants et nous présente un nombre impressionnant de mutants. Des classiques aux nouveaux mutants en passant par les méchants repentis, on voit des mutants partout et de toutes les couleurs. Moi, je dois vous avouez avoir retrouvé un parfum de Spécial Strange de quand j'étais petits. Tous ces héros qui vivent dans le même univers, ces histoires croisées, cet esprit de famille que dégage les X-Men et les mutants en général.... c'est tout ce qui fait que je préfère la famille mutante à l'univers Avengers. Si toutes les histoires ne sont pas aussi bonnes, la plupart sont intéressantes et permettent de découvrir des nouveaux visages. Ceux qui sont fan uniquement de l'équipe de bases seront déçus, car on ne les voit finalement pas beaucoup. Mais on apprend à connaitre les nouveaux mutants, mais surtout les anciens méchants omniprésents et qui n'ont pas forcément mit leurs méchancetés de côté. Cet ensemble prend de l'ampleur et nous livre un vrai univers complexe et bien pensé ou le monde entier est un nouveau terrain de jeu pour Hickman et ses scénaristes. Si la fin de l'aube des mutants est un poil décevante, la série nous aura quand même permis de nous remettre à jour niveau des X-Men et surtout nous aura permis de relancer une franchise globalement moribonde. Ce Dawn of X aura été un gros volume de lecture, mais un volume nécessaire pour bien entrer dans la famille mutante. A bientôt pour le retour sur la mini saga Sword of X. EdIt : il est, je trouve, impératif de lire les pages blanches des descriptions de conversation ou de mémo tout comme il est impératif de lire l'analyse faite par l'expert de panini en fin de volume. En effet, ces analyses reprennent l'historique des personnages principaux et donne énormément d'éléments de contexte Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dawn-of-x-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Metamuta

    Bon bon bon, je n'ai pas du tout été enthousiasmé par ce one shot dans l'univers de Mutafukaz développé par Jérémie Labsolu. Il a bien été intronisé par Run, l'auteur du Comics d'origine mais je n'y ai pas retrouvé les ingrédients qui m'ont plus dans Mutafukaz. On est ici donc sur une réédition de one shot qui se lit en parallèle et en complément de la série mère, pas de colorisation et simplement le dessin brut de Jérémie Labsolu dans ce petit format presque manga mais tout de même bien épais. Vous l'aurez compris je n'y ai pas trouvé mon compte, et je vous recommande de l'ouvrir en librairie pour vous faire votre propre idée, notamment sur la partie graphique de ce titre un peu hors norme.
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