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  1. Avant tout, ce roman graphique est un très bel objet réalisé dans une édition soignée avec une couverture où l'on peut se faire une idée des dessins et de l'histoire qui nous attend dans cet album. Le personnage de Glenn Ganges est une fiction de toute pièce puisque l'auteur a trouvé ce nom avec un panneau de sortie d'autoroute dans le Michigan qui annonçait deux directions, Glenn et l'autre Ganges. Pour l'histoire, Kevin Huizenga nous raconte les mésaventures de son héros qui a de troubles du sommeil. Sa consommation de café n'y est pas pour rien non plus. Glenn Ganges réfléchit et revient sur l'ensemble de sa vie, avec des questionnements, des réflexions avant de croire qu'il voyage dans le temps. Son imagination carbure à fond alors qu'il ne veut pas déranger et réveiller sa femme qui dort paisiblement à ses côtés. Il erre sans but précis, à jouer aux jeux vidéo et devient lui-même un personnage de jeu, ou alors se perd dans des lectures. La partie graphique est fantastique, l'auteur livre des planches minutieuses dans la mise en scène en utilisant la bichromie en colorisation de son histoire. On ne peut être que contemplatif devant ses effets de styles pour mettre en image les thèmes comme le voyage dans le temps, ou alors le temps qui défile. Kevin Huizenga a mis une vingtaine d'années pour terminer les aventures de Glenn Ganges dans le flot des souvenirs, mais le résultat est parfait entre la narration et les dessins.
  2. Titre de l'album : Glenn Ganges dans le flot des souvenirs Scenariste de l'album : Kevin Huizenga Dessinateur de l'album : Kevin Huizenga Coloriste : Kevin Huizenga Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Glenn Ganges ne sait plus à quel saint se vouer. Un soir qu'il discute avec sa compagne sur l'oreiller, il commence à faire le point sur sa vie de quarantenaire. Le dialogue aurait pu en rester là. Sauf qu'il médite, rêvasse, se remémore sa vie entière, du plus petit détail de la vie quotidienne à des décisions que tout père de famille, à un moment ou l'autre de sa vie, se doit de prendre. Critique : Avant tout, ce roman graphique est un très bel objet réalisé dans une édition soignée avec une couverture où l'on peut se faire une idée des dessins et de l'histoire qui nous attend dans cet album. Le personnage de Glenn Ganges est une fiction de toute pièce puisque l'auteur a trouvé ce nom avec un panneau de sortie d'autoroute dans le Michigan qui annonçait deux directions, Glenn et l'autre Ganges. Pour l'histoire, Kevin Huizenga nous raconte les mésaventures de son héros qui a de troubles du sommeil. Sa consommation de café n'y est pas pour rien non plus. Glenn Ganges réfléchit et revient sur l'ensemble de sa vie, avec des questionnements, des réflexions avant de croire qu'il voyage dans le temps. Son imagination carbure à fond alors qu'il ne veut pas déranger et réveiller sa femme qui dort paisiblement à ses côtés. Il erre sans but précis, à jouer aux jeux vidéo et devient lui-même un personnage de jeu, ou alors se perd dans des lectures. La partie graphique est fantastique, l'auteur livre des planches minutieuses dans la mise en scène en utilisant la bichromie en colorisation de son histoire. On ne peut être que contemplatif devant ses effets de styles pour mettre en image les thèmes comme le voyage dans le temps, ou alors le temps qui défile. Kevin Huizenga a mis une vingtaine d'années pour terminer les aventures de Glenn Ganges dans le flot des souvenirs, mais le résultat est parfait entre la narration et les dessins. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/glenn-ganges-dans-le-flot-des-souvenirs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    Sweet tooth tome 4 - The return

    Alors que la série était terminée depuis plusieurs années, Jeff Lemire décide d'apporter une suite à son chef d'œuvre quand il est sur le tournage de l'adaptation en série Tv de Sweet Tooth, comme il l'annonce dans une interview en préface de l'album. Le pari est énorme comme la série avait eu la fin qu'il avait souhaité depuis le début. Ce retour sur la série va se dérouler 300 ans après les événements du tome 3. Tout le génie scénaristique de Lemire se met en place pour construire une histoire prenante en six chapitres. Elle reste indépendante de la série mère mais reprend beaucoup d'informations et d'anecdote qui feront plaisir aux lecteurs. Après 300 années, les hybrides vivent en majorité sur la planète alors que des groupes d'humains survivent sous terre. Jeff Lemire réalise les dessins dans la continuité de la série avec son style particulier mais efficace pour dépeindre un monde post-apocalyptique. Il travaille de nouveau avec José Villarubia qui réalisait déjà les couleurs sur les tomes précédents. On sent bien que les deux auteurs étaient heureux de retravailler sur Sweet Tooth mais comme les lecteurs qui seront heureux de retrouver cet univers souvent sombre.
  4. Titre de l'album : Sweet tooth tome 4 - The return Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Jeff Lemire Coloriste : José Villarubia Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a de cela de nombreuses années, une mystérieuse pandémie frappa la Terre et décima la quasi-totalité de la population. Aux mêmes instants, une nouvelle espèce - mi-homme mi-animale - faisait ses premiers pas. Gus, hybride livré à lui-même depuis la mort de son père, a traversé une Amérique hostile pour comprendre d'où il venait et qui il était. Il a vécu de nombreuses aventures, trouvé des amis fidèles, l'amour aussi, mais surtout la paix intérieure. Des années plus tard, l'histoire se répète. Un jeune garçon aux bois de cerf se réveille dans un monde qui lui est étranger et dans lequel l'humanité lutte pour sa survie. Cependant, avec le temps, les rôles se sont inversés : les hybrides ont pris leur revanche et les oppressés d'hier sont devenus les oppresseurs. Critique : Alors que la série était terminée depuis plusieurs années, Jeff Lemire décide d'apporter une suite à son chef d'œuvre quand il est sur le tournage de l'adaptation en série Tv de Sweet Tooth, comme il l'annonce dans une interview en préface de l'album. Le pari est énorme comme la série avait eu la fin qu'il avait souhaité depuis le début. Ce retour sur la série va se dérouler 300 ans après les événements du tome 3. Tout le génie scénaristique de Lemire se met en place pour construire une histoire prenante en six chapitres. Elle reste indépendante de la série mère mais reprend beaucoup d'informations et d'anecdote qui feront plaisir aux lecteurs. Après 300 années, les hybrides vivent en majorité sur la planète alors que des groupes d'humains survivent sous terre. Jeff Lemire réalise les dessins dans la continuité de la série avec son style particulier mais efficace pour dépeindre un monde post-apocalyptique. Il travaille de nouveau avec José Villarubia qui réalisait déjà les couleurs sur les tomes précédents. On sent bien que les deux auteurs étaient heureux de retravailler sur Sweet Tooth mais comme les lecteurs qui seront heureux de retrouver cet univers souvent sombre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-tooth-tome-4-the-return?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Alors la recette audacieuse d'un one shot fantastique qui marche : vous prenez Harry Potter, les mondes de Narnia, le magicien d'Oz et un soupçon de tapisserie de Fionnavar, vous mélangez le tout bien énergiquement. Avant de servir vous ajoutez une pincée de regard adulte sur une histoire qui semble pour ado et vous obtenez "The Magicians, l'histoire d'alice". Je ne saurais vraiment quoi vous dire de plus que cela. C'est vraiment ce qui ressort après lecture. En gros si vous êtes fan de ce genre de littérature, vous aimerez à n'en pas douter. Par contre SI ce genre d'apprentissage de la magie et d'aventure de jeune héros/magicien ne vous intéresse pas, passez votre chemin. On pourra bien dire que la narration est bien faites, les dessin sympa et que ce comic offre un long moment de lecture vu qu'il s'approche autant du livre illustré que de la bande dessinée, si vous n'aimez pas les titres suscités, pas la peine d'essayer. Moi ça m'a rappelé de bon souvenir de lecture de jeunesse. Et rien que ça c'est pas mal car ensuite c'est partis directement dans la bibliothèque de ma fille 🙂
  6. Titre de l'album : The magicians : L'histoire d'Alice Scenariste de l'album : Lilah Sturges Dessinateur de l'album : Pius Bak Coloriste : Pius Bak Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : En voyant son grand-frère, Charlie, partir pour son premier jour de cours à l'Université de Brakebills, Alice Quinn ne rêve que d'une chose : recevoir elle aussi la lettre tant attendue qui lui ouvrira les portes de cette prestigieuse école de magie. Malheureusement, les années passent, ne lui laissant que l'absence... Celle de cette convocation tant désirée, mais surtout celle de son frère, disparu sans laisser de trace durant ses années d'étude. Mais l'inaction ne fait pas partie du tempérament d'Alice. Si personne ne vient la chercher, c'est elle qui ira leur prouver de quoi elle est capable ; et si personne n'est en mesure de lui donner une réelle explication au sujet de son frère, c'est elle qui enquêtera et lèvera enfin le voile sur cette insoutenable omerta. Elle le sait, derrière sa façade envoûtante, la magie cache de sombres secrets, et ces huit années à la côtoyer de près ne feront que confirmer ses pires craintes. Critique : Alors la recette audacieuse d'un one shot fantastique qui marche : vous prenez Harry Potter, les mondes de Narnia, le magicien d'Oz et un soupçon de tapisserie de Fionnavar, vous mélangez le tout bien énergiquement. Avant de servir vous ajoutez une pincée de regard adulte sur une histoire qui semble pour ado et vous obtenez "The Magicians, l'histoire d'alice". Je ne saurais vraiment quoi vous dire de plus que cela. C'est vraiment ce qui ressort après lecture. En gros si vous êtes fan de ce genre de littérature, vous aimerez à n'en pas douter. Par contre SI ce genre d'apprentissage de la magie et d'aventure de jeune héros/magicien ne vous intéresse pas, passez votre chemin. On pourra bien dire que la narration est bien faites, les dessin sympa et que ce comic offre un long moment de lecture vu qu'il s'approche autant du livre illustré que de la bande dessinée, si vous n'aimez pas les titres suscités, pas la peine d'essayer. Moi ça m'a rappelé de bon souvenir de lecture de jeunesse. Et rien que ça c'est pas mal car ensuite c'est partis directement dans la bibliothèque de ma fille 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-magicians-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Bleed them Dry

    Bon la description est plus qu'exacte : on a bien affaire à des Vampires, et pas nécessairement la version sympathique, à des Ninjas, bon ça c'est un peu plus opaque, et à une univers Cyberpunk avec un postulat de base assez réussi. Le tout a des allures de "Blade" le film assez troublante, mais en version un brin plus futuriste, et encore. Alors c'est sur-vitaminé, c'est très plaisant à lire, c'est plutôt beau, et les personnages comme les dialogues fonctionnent super bien. Alors pourquoi simplement 3 étoiles et demi me direz vous ? Et bien pour la sensation de potentiel pas assez exploité. On le referme avec une envie de plus, de détails, de réponses, parfois cela va un peu trop vite, certaines motivations sont plutôt très obscures, et la fin si elle plutôt construite garde un goût de facilité très très fort. Et puis il y a des situations ou des personnages qui se révèlent finalement inutiles car pas assez développés. Dommage. J'aurais aimé voir ce que ces auteurs avaient à nous raconter avec une vingtaine de pages supplémentaires pour éclaircir ce qui l'aurait mérité. Alors voyez ça aussi comme un gage de qualité, car mon intérêt pour ce Bleed Them Dry est suffisamment prononcé pour que ces manques soient durs pour moi. Ceci étant le tout a un peu le même parfum que Love Kills sortie récemment sous un format similaire et qui était fort bien aussi, Bleed Them Dry étant peut être plu fun et moins sérieux dans son ambiance... Hi Comics continue décidemment de nous épater avec une qualité de parutions sur le comics indépendant toujours remarquable, bravo !
  8. The_PoP

    Bleed them Dry

    Titre de l'album : Bleed them Dry Scenariste de l'album : Eliot Rahal Dessinateur de l'album : Dike Ruan Coloriste : Miquel Muerto Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Vampires et ninjas à la sauce cyberpunk ! Année 3333. Malgré la méfiance persistante de certains mortels à l'égard des vampires, voilà des siècles queles deux espèces cohabitent pacifiquement. Mais une série de meurtres visant les suceurs de sang vient briser le statu quo dans la mégalopole d'Asylum. L'inspectrice Harper Halloway se retrouve alors plongée dans une enquête qui la mène sur les traces d'un mystérieux complot d'envergure qui risque de modifier à jamais le destin de l'humanité.Hiroshi Koizumi, Eliot Rahal (Bloodshot,Divinity) et Dike Ruan (Gung-Ho,Spider-Verse,Black Cat) nous transportent dans un univers hors du commun et livrent avecBleed Them Dryun chef d'oeuvre hybride empruntant au polar, au fantastique et au cyberpunk. « J'ai toujours rêvé de faire se rencontrer culture japonaise et mythologies venues du monde entier, dans l'idée de créer des univers et des personnages jamais vus auparavant ». Hiroshi Koizumi, créateur de Bleed Them Dry. Critique : Bon la description est plus qu'exacte : on a bien affaire à des Vampires, et pas nécessairement la version sympathique, à des Ninjas, bon ça c'est un peu plus opaque, et à une univers Cyberpunk avec un postulat de base assez réussi. Le tout a des allures de "Blade" le film assez troublante, mais en version un brin plus futuriste, et encore. Alors c'est sur-vitaminé, c'est très plaisant à lire, c'est plutôt beau, et les personnages comme les dialogues fonctionnent super bien. Alors pourquoi simplement 3 étoiles et demi me direz vous ? Et bien pour la sensation de potentiel pas assez exploité. On le referme avec une envie de plus, de détails, de réponses, parfois cela va un peu trop vite, certaines motivations sont plutôt très obscures, et la fin si elle plutôt construite garde un goût de facilité très très fort. Et puis il y a des situations ou des personnages qui se révèlent finalement inutiles car pas assez développés. Dommage. J'aurais aimé voir ce que ces auteurs avaient à nous raconter avec une vingtaine de pages supplémentaires pour éclaircir ce qui l'aurait mérité. Alors voyez ça aussi comme un gage de qualité, car mon intérêt pour ce Bleed Them Dry est suffisamment prononcé pour que ces manques soient durs pour moi. Ceci étant le tout a un peu le même parfum que Love Kills sortie récemment sous un format similaire et qui était fort bien aussi, Bleed Them Dry étant peut être plu fun et moins sérieux dans son ambiance... Hi Comics continue décidemment de nous épater avec une qualité de parutions sur le comics indépendant toujours remarquable, bravo ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bleed-them-dry?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Sixième et avant dernier tome de l'édition spécial de Batman Death Metal. Avant dernier numéro qui marque l'histoire de Death Metal avec le dernier espoir de l'humanité et une Wonder Woman au sommet de son rôle de sauveuse de l'humanité. Un tome particulièrement sympa graphiquement avec des planches magnifiques de Greg Capullo. On est toujours dans l'objet de collection bien sur mais, sur celui-ci, j'y tiens particulièrement parce que le groupe mis en avant est Dreamtheater. Dreamtheater c'était LE groupe de dream metal de ma période lycée. De superbes souvenirs d'une époque que les moins de vingt ans ne connaissent pas. Mais même sans cet attachement particulier, l'équation est simple : Si vous avez déjà le reste des éditions spéciales, et bien vous prendrez celle ci. SI non... et bien il faut commencer par le premier tome car acheter juste ce numéro 6 ca parait un peu étrange. ET il en reste de dispo chez notre partenaire Bdfugue 😉
  10. Titre de l'album : Batman death Metal T6 Dreamtheater Scenariste de l'album : Scott Snyder / James Tynion IV Dessinateur de l'album : Greg Capullo / Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après sa défaite douloureuse contre la Légion Fatale de Perpetua et Lex Luthor, la Ligue de Justice a disparu de la surface de la Terre. De son côté, le Batman Qui Rit, toujours en liberté, a infecté plusieurs super-héros ainsi que le Commissaire Gordon qu'il garde comme sbire personnel. La confrontation entre Luthor et le Batman Qui Rit va conduire le monde dans un nouvel abîme de folie où des versions déformées des plus grands héros ne vont pas tarder à se soulever. Critique : Sixième et avant dernier tome de l'édition spécial de Batman Death Metal. Avant dernier numéro qui marque l'histoire de Death Metal avec le dernier espoir de l'humanité et une Wonder Woman au sommet de son rôle de sauveuse de l'humanité. Un tome particulièrement sympa graphiquement avec des planches magnifiques de Greg Capullo. On est toujours dans l'objet de collection bien sur mais, sur celui-ci, j'y tiens particulièrement parce que le groupe mis en avant est Dreamtheater. Dreamtheater c'était LE groupe de dream metal de ma période lycée. De superbes souvenirs d'une époque que les moins de vingt ans ne connaissent pas. Mais même sans cet attachement particulier, l'équation est simple : Si vous avez déjà le reste des éditions spéciales, et bien vous prendrez celle ci. SI non... et bien il faut commencer par le premier tome car acheter juste ce numéro 6 ca parait un peu étrange. ET il en reste de dispo chez notre partenaire Bdfugue 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-6-dream-theater-edition-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Tomorrow

    Peter Milligan est un scénariste réputé notamment avec ses titres à succès comme Human target ou Tank girl et bien d'autres encore. Tomorrow est sa dernière création qu'il assure en postface avoir écrit avant le début de la pandémie de Covid qui a frappé le monde en 2020. Bien évidement si l'auteur s’explique c'est que l'histoire de Tomorrow est sur une pandémie où tous les adultes morts subitement d'un virus. La seule nouveauté dans ce thème provient du virus en lui-même puisqu'il est informatique avant de toucher aux humains. Au niveau de l'intrigue, on suit plusieurs enfants et adolescents dans le monde privé d'adultes. Une sœur et un frère jumeau sont au cœur de l'histoire puisqu'ils ont été séparés avant le début de l'épidémie, ils veulent se rejoindre en affrontant les problématiques classiques aux thèmes. L'auteur ne réinvente pas le genre et l'on suit son histoire assez concentrée puisqu'elle tient en un album. Il faut signaler qu'il y a de nombreux raccourcis tout au long de l'histoire qui donne un effet de vitesse, pour traiter tous les aventures des personnages secondaires. La fin reste ouverte donc il y aura peut-être une suite mais rien de prévu pour l'instant. Les dessins de Jesus Hervas sont bien travaillés comme les dessins actuels des productions Image comics. Tomorrow ne surprend pas mais reste agréable à lire et peut-être à conseiller à un public ne connaissant pas ce genre.
  12. alx23

    Tomorrow

    Titre de l'album : Tomorrow Scenariste de l'album : Peter Milligan Dessinateur de l'album : Jesus Hervas Coloriste : James Devlin Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Alors que la société d'effondre à cause d'un virus informatique qui a franchi la barrière des espèces, le prodige musical Oscar Fuentes est séparé de sa soeur jumelle, Cira. Parviendront-ils à se retrouver ou seront-ils tous deux perdus à jamais, dans une civilisation en pleine décadence qui remplace sans pitié le passé? Critique : Peter Milligan est un scénariste réputé notamment avec ses titres à succès comme Human target ou Tank girl et bien d'autres encore. Tomorrow est sa dernière création qu'il assure en postface avoir écrit avant le début de la pandémie de Covid qui a frappé le monde en 2020. Bien évidement si l'auteur s’explique c'est que l'histoire de Tomorrow est sur une pandémie où tous les adultes morts subitement d'un virus. La seule nouveauté dans ce thème provient du virus en lui-même puisqu'il est informatique avant de toucher aux humains. Au niveau de l'intrigue, on suit plusieurs enfants et adolescents dans le monde privé d'adultes. Une sœur et un frère jumeau sont au cœur de l'histoire puisqu'ils ont été séparés avant le début de l'épidémie, ils veulent se rejoindre en affrontant les problématiques classiques aux thèmes. L'auteur ne réinvente pas le genre et l'on suit son histoire assez concentrée puisqu'elle tient en un album. Il faut signaler qu'il y a de nombreux raccourcis tout au long de l'histoire qui donne un effet de vitesse, pour traiter tous les aventures des personnages secondaires. La fin reste ouverte donc il y aura peut-être une suite mais rien de prévu pour l'instant. Les dessins de Jesus Hervas sont bien travaillés comme les dessins actuels des productions Image comics. Tomorrow ne surprend pas mais reste agréable à lire et peut-être à conseiller à un public ne connaissant pas ce genre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tomorrow?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Avec la sortie du nouveau Suicide Squad, Urban remet à l'honneur Harley Quinn dans les parutions avec ce coup-ci un album qui rattrape le film. En effet le film nous avait livré des birds of prey sensiblement différentes de celles des comics de base (Black Canary, batgirl et Huntress), voulant mettre en avant la "méchante à succès" qu'est Harley Quinn. Cette albums sert donc à nous présenter toutes les "girls" de l'univers de Batman pour permettre de faire passer toutes ces filles dans le groupe des bords of Prey en fonction des volontés des scénaristes de ciné. Cela partait donc très mal de mon point de vue car je n'aime pas que les comics se plient au cinéma. Mais là je dois avouer que sur ce coup-ci c'est plutôt bien fait. Mise à part la couverture affreuse, le reste est pas mal fait. Que ce soit la partie sur le Joker ou sur la team de Birds of Prey, c'est bien rythmé, bien pensé et fera sans nul doute le bonheur de tous les ados. Je ne misais pas une cacahuète dessus mais au final ça fera une bonne lecture pour mes enfants. Et c'est déjà pas mal 🙂
  14. Titre de l'album : Harley Quinn and the birds of prey Scenariste de l'album : Amanda Conner Dessinateur de l'album : Jimmy Palmiotti Coloriste : Jimmy Palmiotti Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Depuis sa rupture avec le Joker, Harley Quinn s'est fait de nouveaux amis et a trouvé un foyer à Coney Island, bien loin de Gotham. Mais quand une occasion en or se présente, elle n'a d'autre choix que de retourner dans la ville de son ex, en espérant qu'il ne le découvre pas. C'est évidemment sous-estimer le Clown Prince du Crime qui a tôt fait d'envoyer tous ses sbires à ses trousses. Heureusement pour elle, Harley Quinn reçoit l'aide assez inattendue des... Birds of Prey ! Critique : Avec la sortie du nouveau Suicide Squad, Urban remet à l'honneur Harley Quinn dans les parutions avec ce coup-ci un album qui rattrape le film. En effet le film nous avait livré des birds of prey sensiblement différentes de celles des comics de base (Black Canary, batgirl et Huntress), voulant mettre en avant la "méchante à succès" qu'est Harley Quinn. Cette albums sert donc à nous présenter toutes les "girls" de l'univers de Batman pour permettre de faire passer toutes ces filles dans le groupe des bords of Prey en fonction des volontés des scénaristes de ciné. Cela partait donc très mal de mon point de vue car je n'aime pas que les comics se plient au cinéma. Mais là je dois avouer que sur ce coup-ci c'est plutôt bien fait. Mise à part la couverture affreuse, le reste est pas mal fait. Que ce soit la partie sur le Joker ou sur la team de Birds of Prey, c'est bien rythmé, bien pensé et fera sans nul doute le bonheur de tous les ados. Je ne misais pas une cacahuète dessus mais au final ça fera une bonne lecture pour mes enfants. Et c'est déjà pas mal 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harley-and-the-birds-of-prey?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    The worst of suicide squad

    Un nouveau film arrive (le 28 juillet)! si vous avez réussi à ne pas le savoir, les sorties du mois de juillet sont la pour vous le rappeler ! Et surtout ce "the worst of the suicide quad". En effet il reprend, comme on peut le voir sur la couverture, tous les membres de la suicide squad "old school" qui apparait dans le film (et plus encore) et revient sur leurs génèses. En effet on retrouve ici un numéro sur chaque personnage : Du Peacemaker au Javelin en passant par d'autres méchants de seconde zone totalement inconnus, ce recueil nous éclair sur cette "nouvelle" team. J'ai toujours dit que je n'appreciais que moyennement ce genre de recueil de vieille histoire mais la il faut bien avouer que les personnages sont tellement incconus que c'est plutot bienvenue pour comprendre un minimum le film et d'ou ils viennent. Comme souvent le niveau des histoires est très variable mais comme dit plus haut l'intérêt pour ces personnages inconnus rends la lecture interessante. Bref un ouvrage à lire si vous compter aller voir le film. Un ouvrage inutile sinon 🙂 Moi je fais plus partie de la première partie, oui oui 😉
  16. Titre de l'album : The worst of suicide squad Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Bloodsport, Javelot, le Penseur, Ratcatcher, Peacemaker, Savant, la Fouine, Mongal, King Shark, et le terrifiant Polka-Dot-Man ! Voici les nouvelles recrues enrôlées par le gouvernement américain et placées sous les ordres d'Amanda Waller et de Rick Flag, au sein de la Force Spéciale X, la Suicide Squad ! Aux côtés des vétérans, Harley Quinn et Captain Boomerang, revivez les moments les plus mémorables de leurs carrières et découvrez les pires secrets de la plus déglinguée des équipes de l'Univers DC, révélés par les plus grands noms des comics, parmi lesquels : Jim LEE, John BYRNE, Dan JURGENS, Humberto RAMOS, Jeph LOEB, Geoff JOHNS ou bien encore Dave GIBBONS ! Critique : Un nouveau film arrive (le 28 juillet)! si vous avez réussi à ne pas le savoir, les sorties du mois de juillet sont la pour vous le rappeler ! Et surtout ce "the worst of the suicide quad". En effet il reprend, comme on peut le voir sur la couverture, tous les membres de la suicide squad "old school" qui apparait dans le film (et plus encore) et revient sur leurs génèses. En effet on retrouve ici un numéro sur chaque personnage : Du Peacemaker au Javelin en passant par d'autres méchants de seconde zone totalement inconnus, ce recueil nous éclair sur cette "nouvelle" team. J'ai toujours dit que je n'appreciais que moyennement ce genre de recueil de vieille histoire mais la il faut bien avouer que les personnages sont tellement incconus que c'est plutot bienvenue pour comprendre un minimum le film et d'ou ils viennent. Comme souvent le niveau des histoires est très variable mais comme dit plus haut l'intérêt pour ces personnages inconnus rends la lecture interessante. Bref un ouvrage à lire si vous compter aller voir le film. Un ouvrage inutile sinon 🙂 Moi je fais plus partie de la première partie, oui oui 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suicide-squad-the-worst-of?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Middlewest t2 : Fear

    Middlewest est en train de devenir le porte étendard de la nouvelle branche Urban Link de Urban Comics. Apres un Fauve d'or à Angoulême dans la catégorie 12-16 ans, le tome deux mais la barre encore plus haut et nous amène vers une sublime trilogie. En effet le premier tome était porté par les impressionnants dessins de Jorge Corona qui réussissaient à rendre ce tome d'introduction super vivant. Mais cela restait malgré tout un tome d'introduction ou le gros de notre histoire était la mise en place des personnages et la promesse d'une histoire intéressante dans les prochains tomes. Et bien ce tome 2 nous montre que les promesses sont tenues. Ici on en apprend beaucoup sur le passé de cette étrange famille mais on voit aussi les aventures d'Abel continuer et surtout prendre un tournant imprévu qui permet à nos auteurs d'enrichir encore plus leur monde. On est passionné du début à la fin par ce petit garçon dépassé par un pouvoir dont il ne veut pas. On est à fond derrière lui quand il ne veut pas démordre du fait que lui ne veut pas de cette "bénédiction" et on tremble à chaque fois qu'il se met en colère. Ne manque que la fin de l'histoire... mais elle arrive à grand pas !
  18. Titre de l'album : Middlewest t2 : Fear Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Jorge Corona Coloriste : Jorge Corona Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Pour sauver sa peau, Abel n'avait qu'une seule solution : fuir la toxicité de Dale, son père. Mais tourner le dos à son passé n'était que la première épreuve d'un long et périlleux voyage. Le mal qui ronge le garçon semble si intense que même l'aide apportée au détour du chemin ne semble pas suffire à apaiser ses démons. Seule la stabilité offerte par les forains de la Hurst Family lui laisse entrevoir le bonheur car, pour la première fois de sa vie, Abel se sent aimé par cette famille d'adoption. Un sentiment inédit, puissant, à l'image de la colère qui anime toujours son père, furieux d'avoir vu son autorité remise en question. La traque a commencé, et le spectre de Dale se rapproche dangereusement. Critique : Middlewest est en train de devenir le porte étendard de la nouvelle branche Urban Link de Urban Comics. Apres un Fauve d'or à Angoulême dans la catégorie 12-16 ans, le tome deux mais la barre encore plus haut et nous amène vers une sublime trilogie. En effet le premier tome était porté par les impressionnants dessins de Jorge Corona qui réussissaient à rendre ce tome d'introduction super vivant. Mais cela restait malgré tout un tome d'introduction ou le gros de notre histoire était la mise en place des personnages et la promesse d'une histoire intéressante dans les prochains tomes. Et bien ce tome 2 nous montre que les promesses sont tenues. Ici on en apprend beaucoup sur le passé de cette étrange famille mais on voit aussi les aventures d'Abel continuer et surtout prendre un tournant imprévu qui permet à nos auteurs d'enrichir encore plus leur monde. On est passionné du début à la fin par ce petit garçon dépassé par un pouvoir dont il ne veut pas. On est à fond derrière lui quand il ne veut pas démordre du fait que lui ne veut pas de cette "bénédiction" et on tremble à chaque fois qu'il se met en colère. Ne manque que la fin de l'histoire... mais elle arrive à grand pas ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/middlewest-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Bon il y a définitivement deux mondes, et si je ne peux décemment pas prétendre être un fan des Tortues Ninja façon comics, je suis bien obligé d'essayer de faire la passerelle entre les fans et ceux qui n'imaginent même pas essayer un jour. Le monde développé par les auteurs au fil de ces 14 tomes finit par être aussi complexe, fouillé et tortueux que certains Marvel ou DC. Oui on reste dans le super héros, non on est aussi proche du dessin animé que les Batman en dessins animés de notre enfance le sont des comics de Miller. Oui c'est de l'action, du fantastique, quelques vannes, et des héros un peu particuliers. Mais ça fonctionne bien, et le cocktail est en plus servi depuis 14 tomes par des dessinateurs de talent. Ici Dave Wachter et Cory Smith nous livrent une nouvelle fois une partition inspirée sur les scènes d'actions, bien que bien plus classique que le fantasque Matteus Santolouco. Pour les non initiés, inutile d'espérer vous plonger dans l'univers via ce tome, cela n'aurait probablement que peu de sens. Pour les autres, ce tome continue d'ouvrir de nouveaux horizons qu'on imagine fournis.
  20. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Tome 14 - Le procès de Krang Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz & Bobby Curnow Dessinateur de l'album : Dave Wachter & Cory Smith Coloriste : Ronda Pattinson Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Les Tortues prennent une toute nouvelle dimension ! Leo, Raph, Donnie et Mike se téléportent dans la dimension X pour assister au procès de Krang. Mais le règne de terreur du plus cruel des utroms est-il définitivement fini ? Dans cet endroit étrange, un visage familier et de nouveaux ennemis mortels attendent les fils de Splinter, tandis qu'ailleurs, c'est tout le Panthéon qui se réunit pour décider du sort du monde... à commencer par celui des mutants ! Critique : Bon il y a définitivement deux mondes, et si je ne peux décemment pas prétendre être un fan des Tortues Ninja façon comics, je suis bien obligé d'essayer de faire la passerelle entre les fans et ceux qui n'imaginent même pas essayer un jour. Le monde développé par les auteurs au fil de ces 14 tomes finit par être aussi complexe, fouillé et tortueux que certains Marvel ou DC. Oui on reste dans le super héros, non on est aussi proche du dessin animé que les Batman en dessins animés de notre enfance le sont des comics de Miller. Oui c'est de l'action, du fantastique, quelques vannes, et des héros un peu particuliers. Mais ça fonctionne bien, et le cocktail est en plus servi depuis 14 tomes par des dessinateurs de talent. Ici Dave Wachter et Cory Smith nous livrent une nouvelle fois une partition inspirée sur les scènes d'actions, bien que bien plus classique que le fantasque Matteus Santolouco. Pour les non initiés, inutile d'espérer vous plonger dans l'univers via ce tome, cela n'aurait probablement que peu de sens. Pour les autres, ce tome continue d'ouvrir de nouveaux horizons qu'on imagine fournis. Autres infos : Tortues Ninja sans pizzas Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-14-le-proces-de-krang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    Texas Blood

    Dernièrement on avait pu découvrir le travail de coloriste de Jacob Phillips, le fils de Sean Phillips notamment sur la série Criminal. Aujourd'hui, on retrouve l'auteur en tant que dessinateur et coloriste sur une nouvelle série policière avec le Texas en fond de trame. En effet, l'état du Texas semble posséder ces propres règles et lois avec une population particulière proche des rednecks et autres grands exploitants fermiers. Dans ce contexte, Chris Condon un scénariste qui écrit sa première histoire ou du moins traduit en français. En introduction, on peut rencontrer le personnage principal qui est un shérif âgé puisqu'il fête ses 70 ans. Il connait bien les habitants de sa ville depuis tant d'années. Un matin, le cadavre d'un petit truand local est découvert, le shérif Joe Bob comprend que tout peut dégénérer d'un instant à l'autre. Les dessins de Jacob Phillips sont dans un style réaliste pour convenir au genre polar et pour décrire le Texas désertique. Il gère les couleurs de façon différentes par rapport à Criminal pour un rendu de qualité et original avec des traits verticaux. Texas blood commence très fort avec un premier tome très prenant et deux auteurs à suivre de près.
  22. alx23

    Texas Blood

    Titre de l'album : Texas Blood Scenariste de l'album : Chris Condon Dessinateur de l'album : Jacob Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Joe Bob Coates est le shérif vieillissant du compté d'Ambrose au Texas. Il n'est pas loin de raccrocher quand le chaos se déchaîne autour de lui, à la suite de la mort mystérieuse d'un petit voyou local. La tension monte encore d'un cran lorsque le frère du défunt refait irruption en ville après bien des années... Critique : Dernièrement on avait pu découvrir le travail de coloriste de Jacob Phillips, le fils de Sean Phillips notamment sur la série Criminal. Aujourd'hui, on retrouve l'auteur en tant que dessinateur et coloriste sur une nouvelle série policière avec le Texas en fond de trame. En effet, l'état du Texas semble posséder ces propres règles et lois avec une population particulière proche des rednecks et autres grands exploitants fermiers. Dans ce contexte, Chris Condon un scénariste qui écrit sa première histoire ou du moins traduit en français. En introduction, on peut rencontrer le personnage principal qui est un shérif âgé puisqu'il fête ses 70 ans. Il connait bien les habitants de sa ville depuis tant d'années. Un matin, le cadavre d'un petit truand local est découvert, le shérif Joe Bob comprend que tout peut dégénérer d'un instant à l'autre. Les dessins de Jacob Phillips sont dans un style réaliste pour convenir au genre polar et pour décrire le Texas désertique. Il gère les couleurs de façon différentes par rapport à Criminal pour un rendu de qualité et original avec des traits verticaux. Texas blood commence très fort avec un premier tome très prenant et deux auteurs à suivre de près. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/texas-blood-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Avant-avant dernier numéro spécial de Death Metal avec cette fois ci Sepultura en guise de guest star. A-t-on vraiment besoin de présenter le groupe de Metal brésilien ? Je ne pense pas. Depuis le début des années 80 ils sont un des piliers du Metal et ont permis au genre d'être reconnus sur la scène internationale. 40 ans de métal ça ne passe pas inaperçu. Et si vous voulez en savoir plus, je vous laisserai lire l'interview d'Andreas Kisser, guitariste du groupe, en fin de ce numéro. Concernant l'histoire elle-même il est venu le temps de l'attaque désespérée. Une attaque qui voit autant les vilains que les gentils s'allier dans le but de sauver ce qui peut l'être, sous réserve qu'il y ait quelque chose à sauver. Peut-être le numéro le plus émouvant tellement on a l'impression que nos héros se lancent dans une mission suicide. Mission qui va nous amener vers deux numéros de bataille dans les deux mois à venir.
  24. Titre de l'album : Batman Death Metal T5 - Sepultura Scenariste de l'album : Scott Snyder / James Tynion IV Dessinateur de l'album : Gabriel Picolo Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après sa défaite douloureuse contre la Légion Fatale de Perpetua et Lex Luthor, la Ligue de Justice a disparu de la surface de la Terre. De son côté, le Batman Qui Rit, toujours en liberté, a infecté plusieurs super-héros ainsi que le Commissaire Gordon qu'il garde comme sbire personnel. La confrontation entre Luthor et le Batman Qui Rit va conduire le monde dans un nouvel abîme de folie où des versions déformées des plus grands héros ne vont pas tarder à se soulever. Critique : Avant-avant dernier numéro spécial de Death Metal avec cette fois ci Sepultura en guise de guest star. A-t-on vraiment besoin de présenter le groupe de Metal brésilien ? Je ne pense pas. Depuis le début des années 80 ils sont un des piliers du Metal et ont permis au genre d'être reconnus sur la scène internationale. 40 ans de métal ça ne passe pas inaperçu. Et si vous voulez en savoir plus, je vous laisserai lire l'interview d'Andreas Kisser, guitariste du groupe, en fin de ce numéro. Concernant l'histoire elle-même il est venu le temps de l'attaque désespérée. Une attaque qui voit autant les vilains que les gentils s'allier dans le but de sauver ce qui peut l'être, sous réserve qu'il y ait quelque chose à sauver. Peut-être le numéro le plus émouvant tellement on a l'impression que nos héros se lancent dans une mission suicide. Mission qui va nous amener vers deux numéros de bataille dans les deux mois à venir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-5-sepultura-edition-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Et voici la nouvelle mouture de l'une des séries phares de Hi Comics : Rick & Morty. Ce tome est un peu particulier car il reprend à travers des histoires courtes certains des personnages secondaires emblématiques de la série. Rien de bien neuf cependant puisque l'on retrouve toujours l'humour acerbe, cynique et trash de la série mère, malgré la succession de scénaristes différents pour chaque nouvelle. J'ai été un peu déçu par le manque d'ampleur de ce tome là où les précédents, malgré un humour pas fait pour moi finissaient toujours par m'intéresser. Les fans ne passeront pas à côté, pour les autres, c'est trop ingrat pour démarrer la découverte de la série par ce tome
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