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  1. Titre de l'album : En famille à tokyo Scenariste de l'album : Julie Blanchin Fujita Dessinateur de l'album : Julie Blanchin Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Visiter Tôkyô avec des ados ou des enfants en bas âge, c'est tout à fait possible ! Critique : Bon alors là, je suis sûr que quelqu'un nous espionne. En effet, cela fait 6 mois que l'on parle d'un voyage au Japon en 2025 quand... bim je reçois un super guide de Tokyo en Famille. Mais un guide vraiment super. Déjà il y a une carte qui regroupe l'ensemble du réseau de transport en commun de Tokyo ce qui semble assez rare Ensuite il y a plein de truc à voir, mais surtout plein de conseils pour préparer son voyage comme ne pas chercher à être "en ville" mais plus à trouver un logement le long du train qui faire le tour de Tokyo. Bref le guide à avoir pour visiter Tokyo. Autant dire que celui-là je vais le garder bien au chaud ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/en-famille-a-tokyo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    En famille à tokyo

    Bon alors là, je suis sûr que quelqu'un nous espionne. En effet, cela fait 6 mois que l'on parle d'un voyage au Japon en 2025 quand... bim je reçois un super guide de Tokyo en Famille. Mais un guide vraiment super. Déjà il y a une carte qui regroupe l'ensemble du réseau de transport en commun de Tokyo ce qui semble assez rare Ensuite il y a plein de truc à voir, mais surtout plein de conseils pour préparer son voyage comme ne pas chercher à être "en ville" mais plus à trouver un logement le long du train qui faire le tour de Tokyo. Bref le guide à avoir pour visiter Tokyo. Autant dire que celui-là je vais le garder bien au chaud !
  3. Titre de l'album : Red room tome 1 - Le réseau antisocial Scenariste de l'album : Ed Piskor Dessinateur de l'album : Ed Piskor Coloriste : Ed Piskor Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Goblin est un dérangé qui diffuse sur sa chaîne des actes de tortures innommables à l'abri dans les zones d'ombre du Dark Web. Son public le soutient à coup de Bitcoin et de commentaires salaces. Davis Fairfield, lui, enterre sa femme et sa cadette renversées par un ivrogne et se retrouve en charge de sa dernière fille, Brianna. Vous n'êtes pas prêts pour cette Amérique dépeinte par Ed Piskor... Critique : Red room est un titre à ne pas mettre en toutes les mains par sa thématique gore et très trash. Pour information, ce titre est interdit à la diffusion dans cinq pays. Je connaissais des interdictions pour les films mais pas pour les comics. Ed Piskor explique avoir été bercé par les auteurs d'horreur comme Stephen King, Clive Barker et bien autres encore dans le domaine de l'horreur mais aussi des films de genre à l'époque des magasins de location de films. L'auteur a pris le temps de réaliser ce titre choquant entre deux autres productions. Pour l'histoire, les red room sont des snuff movie réalisés en live où des tueurs en série se donnent en public devant des caméras sur un site du dark net. Ainsi, des gens peuvent suivre les exécutions ou tortures en échanges de paiement en bitcoins. Ce phénomène de red room est une légende urbaine du dark web et Piskor exploite à fond l’idée. Les lecteurs peuvent s'attendre à des histoires très violentes, en même temps la couverture en donne un bon aperçu. Les dessins de Piskor sont en noir et blanc avec des dégradés de gris, l'auteur explique ses influences de dessinateurs dans la préface. Le style est semi-réaliste avec des personnages souvent déformés ou avec des défauts exagérés. L'album se termine avec des bonus commentés par Piskor, une galerie d’illustrations et la première version de la première histoire en crayonné pour comparer. Vous l'aurez compris Red room est le titre le plus trash que j'ai eu l'occasion de lire, encore plus que la référence Crossed. Red room est réservé à un public plus qu'averti ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-room-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Red room est un titre à ne pas mettre en toutes les mains par sa thématique gore et très trash. Pour information, ce titre est interdit à la diffusion dans cinq pays. Je connaissais des interdictions pour les films mais pas pour les comics. Ed Piskor explique avoir été bercé par les auteurs d'horreur comme Stephen King, Clive Barker et bien autres encore dans le domaine de l'horreur mais aussi des films de genre à l'époque des magasins de location de films. L'auteur a pris le temps de réaliser ce titre choquant entre deux autres productions. Pour l'histoire, les red room sont des snuff movie réalisés en live où des tueurs en série se donnent en public devant des caméras sur un site du dark net. Ainsi, des gens peuvent suivre les exécutions ou tortures en échanges de paiement en bitcoins. Ce phénomène de red room est une légende urbaine du dark web et Piskor exploite à fond l’idée. Les lecteurs peuvent s'attendre à des histoires très violentes, en même temps la couverture en donne un bon aperçu. Les dessins de Piskor sont en noir et blanc avec des dégradés de gris, l'auteur explique ses influences de dessinateurs dans la préface. Le style est semi-réaliste avec des personnages souvent déformés ou avec des défauts exagérés. L'album se termine avec des bonus commentés par Piskor, une galerie d’illustrations et la première version de la première histoire en crayonné pour comparer. Vous l'aurez compris Red room est le titre le plus trash que j'ai eu l'occasion de lire, encore plus que la référence Crossed. Red room est réservé à un public plus qu'averti !
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