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  1. Titre de l'album : Mélie et le monster maker club t1 Scenariste de l'album : Carbone Dessinateur de l'album : Thitaume / Gorobei Coloriste : Thitaume / Gorobei Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Mélie mène une vie plutôt cool, malgré le divorce de ses parents. Mais elle le devient encore plus lorsqu'elle rencontre Kréa, craquant fantôme qui lui révèle que dorénavant elle possède un super-pouvoir : donner vie aux dessins issus de l'imagination ! Incrédule, Mélie a maintenant le devoir de protéger des mondes en danger en compagnie des monstres qu'elle va créer. Génial ! Mais afin de compenser une imagination qu'elle juge limitée, Mélie va créer une team de dessinateurs de créatures en compagnie de son petit frère Max : le Monster Maker Club ! La voici prête à affronter mille dangers dans mille mondes étranges, épaulée par l'infinité de monstres qu'elle pourra invoquer ! Thitaume (Les Lapins crétins) et Carbone (La Boîte à musique) s'allient au formidable Gorobei pour une grande série jeunesse, véritable ode interactive à la créativité, à laquelle pourront participer les lecteurs ! Critique : Décidément j'aime bien cette époque ou les maisons d'édition font en sorte de mettre les moyens dans les livres jeunesses. Cela donne des livres intéressant pour les plus petits, comme ce très bon Mélie et le monster maker club. Des livres qui ont réussi leur mission chez moi : faire que ma fille de huit ans (grande lectrice) n'ait pas encore complètement succombé au manga ! Ça peut paraitre bête, mais c'est bien l'age ou ma grande a, elle, basculé. Et ça se comprend en lisant cette aventure de Mélie. Orientée 6-10 ans, cette aventure est pleine de couleur, de bon sentiment et d'héroïsme, tout en vilipendant les "vieux ado" et leur manque d'imagination. Il n'y a rien à jeter dans ce livre quand on a entre 6 et 10. On a des robots très méchants, des gentils très gentils et une héroïne très forte en caractère. Une BD qui ravira toutes les petites fans de Mortelle Adèle, à n'en pas douter ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/melie-et-le-monster-maker-club-tome-1-porte-emporte-moi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : Blancaflor - La princesse aux pouvoirs secrets Scenariste de l'album : Nadja Spiegelmann Dessinateur de l'album : Sergio Garcia Sanchez Coloriste : Lola Moral Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Blancaflor est une jeune femme ayant hérité d'extraordinaires pouvoirs de son père, un ogre méchant qui mange ses adversaires pour le dîner. Lorsqu'un prince tombe du ciel et se réveille sur ses genoux, elle tombe immédiatement amoureuse. Sur invitation de l'ogre, celui-ci est venu relever une série d'épreuves à l'issue desquelles il cédera son royaume ou remportera celui de son adversaire. Mais le jeune homme ne se doute pas qu'il s'agit là d'un plan imaginé par l'ogre, qui le mènera irrémédiablement à sa perte. Sans le lui faire savoir, Blancaflor remuera ciel et terre pour lui venir en aide, et donner une chance à leur histoire. Nadja Spiegelman et Sergio García Sánchez réactualisent avec brio un classique latino-américain vantant la force et l'ingéniosité des femmes. Critique : Cette bd est l'adaptation d'un conte populaire, que l'on retrouve dans plusieurs cultures et sur plusieurs continents différents. Ce conte a pour originalité de nous présenter une héroïne féminine toute en subtilité et nuances et des personnages masculins peu rusés sans pour autant sombrer dans le ridicule. L'univers présenté s'adapte a beaucoup de cultures et ne présente guère de singularité, mais la représentation graphique réalisée par Sergio Garcia Sanchez est plutôt créative et agréable. Blancaflor est un conte initiatique rafraichissant pour les enfants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blancaflor?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Cette bd est l'adaptation d'un conte populaire, que l'on retrouve dans plusieurs cultures et sur plusieurs continents différents. Ce conte a pour originalité de nous présenter une héroïne féminine toute en subtilité et nuances et des personnages masculins peu rusés sans pour autant sombrer dans le ridicule. L'univers présenté s'adapte a beaucoup de cultures et ne présente guère de singularité, mais la représentation graphique réalisée par Sergio Garcia Sanchez est plutôt créative et agréable. Blancaflor est un conte initiatique rafraichissant pour les enfants.
  4. Titre de l'album : Pas de baisers pour maman Scenariste de l'album : Mathieu Sapin Dessinateur de l'album : Mathieu Sapin Coloriste : Mathieu Sapin Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : S'il y a quelque chose que Jo n'aime pas, c'est d'être embrassé par sa tendre mère - Madame Chattemite - surtout si c'est devant les copains. « Des baisers ! Toujours des baisers ! » hurle Jo. « Je les déteste, je n'en veux pas ! Des baisers pour dire bonjour, bonsoir et merci ! Des baisers humides et poisseux, toujours des baisers ! » Comment Madame Chattemite s'y prendra-t-elle désormais pour témoigner sa grande affection maternelle ? En adaptant Pas de baiser pour maman en bande dessinée, Mathieu Sapin revisite un classique de la bibliographie de Tomi Ungerer, et rend hommage à une oeuvre ayant le plus marqué son enfance et orienté sa carrière. Critique : Avouons le d'emblée, je ne connais pas le livre originel de Tomi Ungerer. Dur donc de comparer ce "remake" ou cette adaptation en bande dessinée réalisée par Mathieu Sapin. Et je ne connaissais le travail de Tomi Ungerer que de réputation. Mon mea culpa d'ignare ainsi effectué, profitons de la chance de pouvoir jeter un regard neuf sur cette bd/roman graphique à destination des parents/enfants. En effet cette oeuvre mérite de s'y attarder car elle présente plusieurs grilles de lecture selon que l'on soit dans un cas ou dans l'autre. Elle fera nécessairement sourire et/ou grincer des dents par la justesse de certaines des situations qui se présentent. Le graphisme de Mathieu Sapin me semble pour ma part très très proche de celui de Tomi Ungerer, et personnellement ce n'est pas ce que je préfère. Il a néanmoins le mérite d'être très expressif et parlant et finalement je crois bien que c'est là le plus important. Autres infos : Adaptation du livre de Tomi Ungerer Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pas-de-baiser-pour-maman?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Pas de baisers pour maman

    Avouons le d'emblée, je ne connais pas le livre originel de Tomi Ungerer. Dur donc de comparer ce "remake" ou cette adaptation en bande dessinée réalisée par Mathieu Sapin. Et je ne connaissais le travail de Tomi Ungerer que de réputation. Mon mea culpa d'ignare ainsi effectué, profitons de la chance de pouvoir jeter un regard neuf sur cette bd/roman graphique à destination des parents/enfants. En effet cette oeuvre mérite de s'y attarder car elle présente plusieurs grilles de lecture selon que l'on soit dans un cas ou dans l'autre. Elle fera nécessairement sourire et/ou grincer des dents par la justesse de certaines des situations qui se présentent. Le graphisme de Mathieu Sapin me semble pour ma part très très proche de celui de Tomi Ungerer, et personnellement ce n'est pas ce que je préfère. Il a néanmoins le mérite d'être très expressif et parlant et finalement je crois bien que c'est là le plus important.
  6. The_PoP

    Séraphine

    Titre de l'album : Séraphine Scenariste de l'album : Marie Desplechin Dessinateur de l'album : Edith Coloriste : Edith Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Que faire de sa vie quand on a treize ans et qu'on est une fille pauvre, pas laide, sachant lire, sans autre protection que celle d'un vieux curé, d'une tante prostituée et d'une veuve ronchon ? Nonne ? Jamais. Séraphine est trop insolente. Couturière ? Non plus. Elle a trop envie de parler et de voir du monde. Peut-être qu'un jour les femmes pourront devenir juges, gendarmes ou avocats et faire de la politique... Peut-être même qu'un jour Dieu Lui-même sera une femme. Mais, pour l'instant, nous sommes en 1885, à Paris, ou plutôt à Montmartre. Le souvenir de la Commune est encore vif chez les uns. Les autres s'occupent de l'enterrer définitivement en bâtissant, là-haut sur la butte, le Sacré-Coeur. Et Séraphine ne voit qu'une solution pour mener la vie libre et sans misère dont elle rêve : s'en remettre à sainte Rita, la patronne des causes désespérées... Critique : Quelle jolie bd/roman graphique que ce Seraphine. Si l'histoire comme le dessin, sont très tendres et finalement peut être pas si marquants, le tout forme une belle histoire sociale dans le Paris d'après la Commune. Touchante, pleine de tendresse et de réalités sociales de ce petit peuple de paris, la réussite des auteurs est de parvenir à nous montrer la misère sans jamais tomber dans le misérabilisme. On y rencontre avant tout des personnages plus humains que jamais, toujours touchants, et souvent juste dans leurs travers comme dans leurs qualités. Le trait d'Edith nous dépeint tout cela à merveille, et cette bd fut un très beau moment de lecture d'avant Noël, puisque je rattrape ici un peu de mon retard. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seraphine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Séraphine

    Quelle jolie bd/roman graphique que ce Seraphine. Si l'histoire comme le dessin, sont très tendres et finalement peut être pas si marquants, le tout forme une belle histoire sociale dans le Paris d'après la Commune. Touchante, pleine de tendresse et de réalités sociales de ce petit peuple de paris, la réussite des auteurs est de parvenir à nous montrer la misère sans jamais tomber dans le misérabilisme. On y rencontre avant tout des personnages plus humains que jamais, toujours touchants, et souvent juste dans leurs travers comme dans leurs qualités. Le trait d'Edith nous dépeint tout cela à merveille, et cette bd fut un très beau moment de lecture d'avant Noël, puisque je rattrape ici un peu de mon retard.
  8. Titre de l'album : Le grimoire d'Elfie tome 3 : Malaventure en pain d'épice Scenariste de l'album : Arleston Dessinateur de l'album : Mini Ludvin Coloriste : Mini Ludvin Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Un conte de Noël gourmand et mouvementé, qui vient apaiser les secrets du passé. Alors que Noël approche, le bus-librairie d'Elfie et de ses soeurs est immobilisé par une panne, en Alsace. Là, Elfie partage pour la première fois son secret : Faustine, fille de la pâtissière du village, est aussi une petite sorcière ! Mais Faustine est surtout une miss catastrophe qui se fourre dans des situations impossibles et compte sur Elfie pour l'aider à s'en sortir... Entre une tempête de neige et des attaques de bonshommes en pain d'épices, Elfie va découvrir une énigme familiale datant de la seconde guerre mondiale, qui pourrait bien changer la vie du village. Un conte de Noël gourmand et mouvementé, qui vient apaiser les secrets du passé. Critique : J'ai attendu un petit moment avant de faire cette critique. Tout d'abord parce qu'elle coïncide avec le concours Twitter qui vous permet de gagner ce tome 3. Ensuite parce que ma fille de 8 ans l'a lu 4 fois et l'avait planquée dans sa chambre. Et dernièrement parce que ce tome est une vraie belle histoire de Noël. Une histoire à lire au chaud pendant les vacances. Un beau conte de Noël qui voit Elfie rencontrer d'autres sorcières et surtout une autre jeune sorcière qui a une tendance à la bêtise un peu exacerbée. Arleston nous livre une histoire très bien calibrée. Un nombre de pages important et un format one shot bien maitrisé. Comme à chaque fois, on découvre un nouvel environnement avec des nouveaux personnages. Arleston utilise à merveille l'aspect "journal intime" pour condenser le côté narratif et présentation pour concentrer la partie BD sur les mésaventures de notre petite sorcière. Mésaventures bien pensées et pleines de clin d'œil aux contes classiques. Même si l'on pourrait regretter un petit peu le fait que le crush de Louette ne soit pas plus exploitée, ce tome 3 frise tout de même la perfection du livre jeunesse de noël. Avis à tous ceux à qui il manquait une idée de cadeau pour les 8-12 ans ! Et les éditions Drakoo ont eu le bon gout de ne faire apparaitre nul par "tome 3". Le cadeau parfait en somme. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-grimoire-d-elfie-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. J'ai attendu un petit moment avant de faire cette critique. Tout d'abord parce qu'elle coïncide avec le concours Twitter qui vous permet de gagner ce tome 3. Ensuite parce que ma fille de 8 ans l'a lu 4 fois et l'avait planquée dans sa chambre. Et dernièrement parce que ce tome est une vraie belle histoire de Noël. Une histoire à lire au chaud pendant les vacances. Un beau conte de Noël qui voit Elfie rencontrer d'autres sorcières et surtout une autre jeune sorcière qui a une tendance à la bêtise un peu exacerbée. Arleston nous livre une histoire très bien calibrée. Un nombre de pages important et un format one shot bien maitrisé. Comme à chaque fois, on découvre un nouvel environnement avec des nouveaux personnages. Arleston utilise à merveille l'aspect "journal intime" pour condenser le côté narratif et présentation pour concentrer la partie BD sur les mésaventures de notre petite sorcière. Mésaventures bien pensées et pleines de clin d'œil aux contes classiques. Même si l'on pourrait regretter un petit peu le fait que le crush de Louette ne soit pas plus exploitée, ce tome 3 frise tout de même la perfection du livre jeunesse de noël. Avis à tous ceux à qui il manquait une idée de cadeau pour les 8-12 ans ! Et les éditions Drakoo ont eu le bon gout de ne faire apparaitre nul par "tome 3". Le cadeau parfait en somme.
  10. Autant vous le dire tout de suite, ma nièce est dingue de cette série, autant vous dire que je n'ai pas gardé ce tome 3 très longtemps en main. Son verdict est limpide : elle aime beaucoup. Mon verdict est dans la même lignée, c'est de la très belle BD jeunesse, avec un thème chouette et pas mal de niveaux de lecture. La période historique de la fin de l'apartheid en Afrique du Sud est propice à une belle pédagogie, d'autant plus quand elle est adoucie ici par la présence des enfants et des animaux. Le dessin d'Aurélie Neyret est du tout bon pour ce type de série, simple et riche, expressif, détaillé quand il le faut, j'ai trouvé ça vraiment agréable à lire. Inutile de vous dire d'aller chercher ce tome 3 si vous avez déjà lu les deux premiers tomes, car inévitablement vous attendiez ce tome 3 comme ma nièce. Par contre si vous avez raté cette série jeunesse, je ne peux que vous la recommander, ce tome 3 terminant à merveille cette trilogie.
  11. Titre de l'album : Lulu et Nelson - Tome 3 - La lionne blanche Scenariste de l'album : Charlotte Girard & Jean-Marie Omont Dessinateur de l'album : Aurélie Neyret Coloriste : Aurélie Neyret Editeur de l'album : Soleil - Metamorphoses Note : Résumé de l'album : À leur arrivée en Afrique du Sud, Lulu et son père ont été malmenés : ce dernier s'est fait arrêter pour avoir tenté de défendre un jeune garçon noir, Nelson. Depuis, Lulu a trouvé refuge dans la ferme de Mary, femme militante, de caractère. Sa rencontre avec Danny, qui sait parler aux lions, pourrait l'aider à recréer sa ménagerie, mais les menaces fusent de tous côtés... Critique : Autant vous le dire tout de suite, ma nièce est dingue de cette série, autant vous dire que je n'ai pas gardé ce tome 3 très longtemps en main. Son verdict est limpide : elle aime beaucoup. Mon verdict est dans la même lignée, c'est de la très belle BD jeunesse, avec un thème chouette et pas mal de niveaux de lecture. La période historique de la fin de l'apartheid en Afrique du Sud est propice à une belle pédagogie, d'autant plus quand elle est adoucie ici par la présence des enfants et des animaux. Le dessin d'Aurélie Neyret est du tout bon pour ce type de série, simple et riche, expressif, détaillé quand il le faut, j'ai trouvé ça vraiment agréable à lire. Inutile de vous dire d'aller chercher ce tome 3 si vous avez déjà lu les deux premiers tomes, car inévitablement vous attendiez ce tome 3 comme ma nièce. Par contre si vous avez raté cette série jeunesse, je ne peux que vous la recommander, ce tome 3 terminant à merveille cette trilogie. Autres infos : BD Jeunesse Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lulu-et-nelson-tome-3-la-lionne-blanche?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    The elusive samourai T4&5

    Le de notre Kingdom pour enfant continue son petit bonhomme de chemin en progressant dans son futur rôle de leader de l'insurrection. Cette fois-ci, il nous montre ses talents d'orateur dans une joute verbale intéressante avec Sandamune. Il nous montre aussi sa progression en tant que spécialiste de la fuite en servant de messager lors de la dernière escarmouche avant la grande rébellion. Cette série alterne agréablement les scènes de batailles et d stratégie militaire comme son grand frère qu'est Kingdom. Pour rester ouvert à un public enfantin, ces stratégies ne sont pas non plus trop détaillées ou compliquées. Si ces escarmouches sont intéressantes et permettent de découvrir de nouveaux alliés, on a quand même hâte de voir la révolte commencer pour sortir du : qu'est-ce qu'il fuit bien ce garçon, je vais le supporter plus tard.
  13. Titre de l'album : The elusive samourai T4&5 Scenariste de l'album : Yusei Matsui Dessinateur de l'album : Yusei Matsui Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Kiyohara Shinano-no-kami est le nouveau légat que l'empereur Go-Daigo a nommé à Shinano. Son arbitraire se révèle si insupportable que Hoshina Yasaburô, fidèle du dieu de Suwa, organise une rébellion dont il sait ne pouvoir sortir gagnant. Tokiyuki se rend auprès de lui pour le convaincre de renoncer, mais il s'adresse à des guerriers pour qui la mort au champ d'honneur représente un idéal esthétique... Quelle sera l'issue du combat ? Critique : Le de notre Kingdom pour enfant continue son petit bonhomme de chemin en progressant dans son futur rôle de leader de l'insurrection. Cette fois-ci, il nous montre ses talents d'orateur dans une joute verbale intéressante avec Sandamune. Il nous montre aussi sa progression en tant que spécialiste de la fuite en servant de messager lors de la dernière escarmouche avant la grande rébellion. Cette série alterne agréablement les scènes de batailles et d stratégie militaire comme son grand frère qu'est Kingdom. Pour rester ouvert à un public enfantin, ces stratégies ne sont pas non plus trop détaillées ou compliquées. Si ces escarmouches sont intéressantes et permettent de découvrir de nouveaux alliés, on a quand même hâte de voir la révolte commencer pour sortir du : qu'est-ce qu'il fuit bien ce garçon, je vais le supporter plus tard. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-elusive-samurai-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Après une longue pause, voici venu un nouveau tome de la gamme "Kids" d'Urban et un tome bienvenue avant Noel pour les petits jeunes fans de comics. Ce tome nous présente le personnage de John Constantine, quand il était plus jeune bien sur. Un personnage qui permet de présenter aux plus jeunes l'univers magique de DC. En effet, outre John Constantine, on découvre le monde des démons, avec en Guest Star Etrigan mais aussi une certaine magicienne bien connue des grands qui aura un vrai impact dans la vie de John. Si, en tant que fan d'Hellblazer, on peut regretter le fait que l'action se pass aux USA, on comprend que cela permet de ne pas s'encombrer d'historique. Une belle découverte qui fera un beau on shot cadeau pour tous les jeunes amateurs de comics.
  15. Titre de l'album : Hellblazer - le mystère de la prof sans coeur Scenariste de l'album : Ryan North Dessinateur de l'album : Derek Charm Coloriste : Derek Charm Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Johnny Constantine, du haut de ses 13 ans, a déjà provoqué le courroux de plusieurs esprits hostiles en Angleterre. Pour s'en extirper, il convainc ses parents de l'envoyer aux Etats-Unis, à l'internat Junior Success de Salem dans le Massachussets. Mais, y faire sa place parmi les autres élèves n'est pas si facile et les soupçons du jeune magicien à l'égard de sa tyrannique professeure principale, Mme Kayla vont bon train. Ne serait-elle pas une sorcière ? C'est aux côtés d'une autre inadaptée nommée Anna et d'un démon fort sympathique que John va tenter de lever le voile sur le mystère qui plane dans cette école. Leur enquête sera épique et semée d'embûches ! Critique : Après une longue pause, voici venu un nouveau tome de la gamme "Kids" d'Urban et un tome bienvenue avant Noel pour les petits jeunes fans de comics. Ce tome nous présente le personnage de John Constantine, quand il était plus jeune bien sur. Un personnage qui permet de présenter aux plus jeunes l'univers magique de DC. En effet, outre John Constantine, on découvre le monde des démons, avec en Guest Star Etrigan mais aussi une certaine magicienne bien connue des grands qui aura un vrai impact dans la vie de John. Si, en tant que fan d'Hellblazer, on peut regretter le fait que l'action se pass aux USA, on comprend que cela permet de ne pas s'encombrer d'historique. Une belle découverte qui fera un beau on shot cadeau pour tous les jeunes amateurs de comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellblazer-mystere-prof-sans-coeur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Mickey Mouse, Terror-island Scenariste de l'album : Bruno Enna , Alexis Nesme Dessinateur de l'album : Alexis Nesme Coloriste : Fabio Celoni Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Rien n'est impossible pour nos apprentis détectives ! Depuis que M. Peppermint est parti explorer une mystérieuse île au trésor, son épouse s'inquiète. Lui est-il arrivé malheur ? Voilà une occasion rêvée pour les détectives Mickey, Dingo et Donald de reprendre du service ! Première étape, monter leur bateau, fourni en kit ! Une nouvelle aventure pleine de rebondissements commence pour nos apprentis marins. Mais ce voyage ne sera pas sans danger ! Sans parler de Maître Ratineau et Pat qui, appâtés par le butin, suivent le trio à la trace... L'arrivée de tout ce petit monde sur l'île ne va rien arranger ! Le capitaine Mickey devra faire preuve de sang-froid et de courage pour continuer son enquête et motiver ses troupes. Plus ils s'enfoncent dans la jungle luxuriante, moins Donald est rassuré ...Et si M. Peppermint n'était pas ici ? Perdus, loin de toute civilisation, les trois amis ne sont pas à l'abri d'un spectaculaire coup de théâtre... Critique : Je connaissais le trait de Nesme depuis son adaptation de Jules Verne : Les enfants su capitaine Grant , ainsi que son Mickey Horrifikland ; donc autant dire que j'étais plus que confiant en ouvrant les pages de ce nouvel écueil . Je suis depuis le début ces "Mickey vu par" tant de grands noms , Cosey , Loisel , Trondheim etc ... Et ici , on est dans le très haut du panier , peut-être même la meilleure version de la souris de Disney . Immense est le plaisir que j'ai eu à parcourir et admirer ces planches , tant est si bien qu'une fois fini , j'avais envie d'une relecture immédiate . Le dessin est précis , lumineux , les couleurs nous sautent au visage et nous mettent le "souris-re" , un rictus d'admiration , on garde les yeux écarquillés devant tant de splendeur . Chaque case fourmille de détails ET d'indices , car là aussi repose une des (trop?)nombreuses qualités du livre : l'histoire , avec un grand H . Certes ce qui peut apparaître comme une banale chasse au trésor , mais avec des références à Indiana Jones , les Goonies , King-kong entre autres , se transforme peu à peu en intrigue policière avec des questions tout du long , jusqu'à la révélation finale . Observez bien les détails , cherchez les indices , vous trouvez peut-être la solution . Sinon , laissez vous porter par les aventures ou mésaventures de Mickey , Donald et Dingo , et profitez ! L'humour est omniprésent , verbalement ou en finesse avec autant de situations cocasses . L'adulte que je suis n'a pu s'empêcher de se marrer , et je ne suis pas un grand adepte des BDs humoristiques . Si vous aimez ces adaptations de Glénat , un mot : FONCEZ . Si vous n'êtes pas fan : FONCEZ quand même et tentez de percer le mystère de l'île infernale et ses nombreux pièges 🙂 Par @Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terror-island-mickey-mouse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. VladNirky

    Mickey Mouse, Terror-island

    Je connaissais le trait de Nesme depuis son adaptation de Jules Verne : Les enfants su capitaine Grant , ainsi que son Mickey Horrifikland ; donc autant dire que j'étais plus que confiant en ouvrant les pages de ce nouvel écueil . Je suis depuis le début ces "Mickey vu par" tant de grands noms , Cosey , Loisel , Trondheim etc ... Et ici , on est dans le très haut du panier , peut-être même la meilleure version de la souris de Disney . Immense est le plaisir que j'ai eu à parcourir et admirer ces planches , tant est si bien qu'une fois fini , j'avais envie d'une relecture immédiate . Le dessin est précis , lumineux , les couleurs nous sautent au visage et nous mettent le "souris-re" , un rictus d'admiration , on garde les yeux écarquillés devant tant de splendeur . Chaque case fourmille de détails ET d'indices , car là aussi repose une des (trop?)nombreuses qualités du livre : l'histoire , avec un grand H . Certes ce qui peut apparaître comme une banale chasse au trésor , mais avec des références à Indiana Jones , les Goonies , King-kong entre autres , se transforme peu à peu en intrigue policière avec des questions tout du long , jusqu'à la révélation finale . Observez bien les détails , cherchez les indices , vous trouvez peut-être la solution . Sinon , laissez vous porter par les aventures ou mésaventures de Mickey , Donald et Dingo , et profitez ! L'humour est omniprésent , verbalement ou en finesse avec autant de situations cocasses . L'adulte que je suis n'a pu s'empêcher de se marrer , et je ne suis pas un grand adepte des BDs humoristiques . Si vous aimez ces adaptations de Glénat , un mot : FONCEZ . Si vous n'êtes pas fan : FONCEZ quand même et tentez de percer le mystère de l'île infernale et ses nombreux pièges 🙂 Par @Kevin Nivek
  18. poseidon2

    Les sisters T17

    Pour bien prendre en considération cette critique, il faut savoir que j'ai deux filles qui ont sensiblement le même age que nos deux sisters. C'est peut être ce qui fait que j'ai beaucoup rit durant la lecture de ce tome 17. Que se soit les cauchemars de la petites, les soirées pyjamas ou la petite cherche a se taper l'incruste, j'ai revu de instants qui se sont déjà passés chez moi. Et c'est ce qui est toujours très appréciable dans les tomes des Sisters : Christophe Cazenove réussit à chaque fois à ne pas être trop caricatural. Juste ce qu'il faut. Et concernant le sommeil et les rêves, le thème de ce tome 17, il continue sur la lancée de précédents pour nous faire rigoler sans nous moquer. Encore un tome pour toute la famille !
  19. poseidon2

    Les sisters T17

    Titre de l'album : Les sisters T17 Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : William Coloriste : William Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Les deux tornades font souffler un vent de folie sur la BD ! Depuis qu'on a accroché un attrape-rêve dans sa chambre, Marine n'a plus que cette idée en tête : les attraper tous. Et si elle peut les choper pour les collectionner, il faut qu'elle s'entraîne à rêver les trucs les plus mieux du monde. De son côté, Wendy tente d'organiser une pyjama party. Mais avec le crampon qui traîne dans les parages, pour elle, la soirée va vite virer au cauchemar. Les deux Sisters reviennent mettre le bazar dans les librairies. Une chose est sûre : elles sont en forme !!! Critique : Pour bien prendre en considération cette critique, il faut savoir que j'ai deux filles qui ont sensiblement le même age que nos deux sisters. C'est peut être ce qui fait que j'ai beaucoup rit durant la lecture de ce tome 17. Que se soit les cauchemars de la petites, les soirées pyjamas ou la petite cherche a se taper l'incruste, j'ai revu de instants qui se sont déjà passés chez moi. Et c'est ce qui est toujours très appréciable dans les tomes des Sisters : Christophe Cazenove réussit à chaque fois à ne pas être trop caricatural. Juste ce qu'il faut. Et concernant le sommeil et les rêves, le thème de ce tome 17, il continue sur la lancée de précédents pour nous faire rigoler sans nous moquer. Encore un tome pour toute la famille ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sisters-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Klaw - Tome 14 - Walk

    Klaw poursuit son rythme de parution d'un tome par an, et Ozanam continue de dérouler sa trame principale en nous rapprochant un peu plus d'un dénouement final. Les choses se positionnent clairement sur ce tome, et un cycle devrait se terminer très prochainement. Cette série jeunesse continue son sans faute, et même si ce n'est pas celle qui m'a le plus impressionné ces dernières années, il faut lui reconnaitre le mérite de savoir durer sans lasser. Klaw est une belle série pour faire découvrir le fantastique à vos enfants/jeunes ados. Le dessin est une nouvelle fois très propre et il faut noter que les pages du "projet bd" à l'intérieur de l'histoire principale sont aussi très réussies dans un style différent et plus subtil avec leurs tons pastels. C'est un tome à ne pas manquer pour les amateurs de la série.
  21. Titre de l'album : Klaw - Tome 14 - Walk Scenariste de l'album : Ozanam Dessinateur de l'album : Joël Jurion Coloriste : Yoann Guillé Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Tout comme Line ou Paula, Ange s'accorde une accalmie amoureuse en compagnie de Makda, dans un décor tout droit sorti de son adolescence. Mais la vie, c'est comme les BD que sa protégée crée avec Max : chaque fois qu'on croit pouvoir s'abandonner à l'amour, il y a un oeil jaloux qui vous épie par-dessus votre épaule. Eternel recommencement dont l'héritier des Tomassini va devoir tirer les conclusions... Critique : Klaw poursuit son rythme de parution d'un tome par an, et Ozanam continue de dérouler sa trame principale en nous rapprochant un peu plus d'un dénouement final. Les choses se positionnent clairement sur ce tome, et un cycle devrait se terminer très prochainement. Cette série jeunesse continue son sans faute, et même si ce n'est pas celle qui m'a le plus impressionné ces dernières années, il faut lui reconnaitre le mérite de savoir durer sans lasser. Klaw est une belle série pour faire découvrir le fantastique à vos enfants/jeunes ados. Le dessin est une nouvelle fois très propre et il faut noter que les pages du "projet bd" à l'intérieur de l'histoire principale sont aussi très réussies dans un style différent et plus subtil avec leurs tons pastels. C'est un tome à ne pas manquer pour les amateurs de la série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/klaw-tome-14-walk?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Schtroumpfs - Tome 40 - Les schtroumpfs et les enfants perdus Scenariste de l'album : Alain Jost & Thierry Culliford Dessinateur de l'album : Miguel Diaz Vizoso Coloriste : Nine Culliford Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Y'aurait-il quelque chose de schtroumpf au royaume des Schtroumpfs ? Le Grand Schtroumpf est-il vraiment à la tête d'un trafic de sel de contrebande ?! Il a bel et bien plaidé coupable mais il faut se schtroumpfer des apparences... Si les lutins bleus ont agi ainsi, c'est pour protéger un groupe d'orphelins exploités par un couple peu scrupuleux. Et à présent, ils vont devoir trouver un moyen de confondre les véritables coupables sans priver leurs nouveaux amis du seul toit qu'ils aient. Critique : Les schtroumpfs, c'est comme Yakari, c'est un morceau de notre enfance, et ça continue pourtant. Ce tome 40 était donc une belle occasion pour moi de replonger, et je n'ai pas été déçu. C'est toujours aussi bien, entre humour bon enfant, situations bien amenées, scénario simple mais intéressant pour les enfants, et belles valeurs, on ne s'ennuie pas. Côté dessin ce n'est plus Alain Maury qui s'y colle mais Miguel Diaz Vizoso et c'est tout aussi réussi, le studio Peyo veillant au grain j'imagine. Et c'est tout aussi réussi, le cahier des charges des schtroumpfs ne laissant guère de place à l'improvisation cela reste tout de même du joli dessin. Cette série continue de nous apporter sa fraicheur et son intemporalité, et c'est tant mieux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/schtroumpfs-tome-40-les-schtroumpfs-et-les-enfants-perdus?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Les schtroumpfs, c'est comme Yakari, c'est un morceau de notre enfance, et ça continue pourtant. Ce tome 40 était donc une belle occasion pour moi de replonger, et je n'ai pas été déçu. C'est toujours aussi bien, entre humour bon enfant, situations bien amenées, scénario simple mais intéressant pour les enfants, et belles valeurs, on ne s'ennuie pas. Côté dessin ce n'est plus Alain Maury qui s'y colle mais Miguel Diaz Vizoso et c'est tout aussi réussi, le studio Peyo veillant au grain j'imagine. Et c'est tout aussi réussi, le cahier des charges des schtroumpfs ne laissant guère de place à l'improvisation cela reste tout de même du joli dessin. Cette série continue de nous apporter sa fraicheur et son intemporalité, et c'est tant mieux.
  24. Titre de l'album : Les petits mythos t13 A trois, on lâche tout Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : Philippe Larbier Coloriste : Alexandre Amouriq Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : La mythologie grecque revisitée par un humour légendaire ! Sale période pour Achille. La mère d'un des plus grands héros de la mythologie grecque a peur pour son fils car elle a appris qu'il ne reviendra pas de la guerre. Elle décide de le déguiser en fille et de le planquer sur une île habitée uniquement par des femmes. Il faudra toute la ruse d'Ulysse pour démasquer son copain et le traîner avec lui pour se préparer à ce qui deviendra, des années plus tard, la guerre de Troie... Qui a dit que Petit Mythos était un métier de tout repos ? Critique : J'adore l'histoire et encore plus la période de la Grèce antique. J'aime donc déjà bien la vulgarisation qu'offre les petits mythos aux enfants, leur ouvrant la possibilité de chercher à en savoir plus. En s'attaquant à la guerre de Troie, Christophe Cazenove s'attaque à un énorme morceau. Et le fait plutôt bien. Pour tout vous dire. J'ai même appris pas mal de truc. Si l'humour n'est pas forcément de l'humour fin pour adulte, le contenu est particulièrement intéressant et bien documenté. A ne surtout pas snober et classer dans la rubrique humour de comptoir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-petits-mythos-tome-13-a-troie-on-lache-tout?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. J'adore l'histoire et encore plus la période de la Grèce antique. J'aime donc déjà bien la vulgarisation qu'offre les petits mythos aux enfants, leur ouvrant la possibilité de chercher à en savoir plus. En s'attaquant à la guerre de Troie, Christophe Cazenove s'attaque à un énorme morceau. Et le fait plutôt bien. Pour tout vous dire. J'ai même appris pas mal de truc. Si l'humour n'est pas forcément de l'humour fin pour adulte, le contenu est particulièrement intéressant et bien documenté. A ne surtout pas snober et classer dans la rubrique humour de comptoir.
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