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  1. Titre de l'album : Pumpkin night tomes 2 et 3 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima - Gussan Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kazuya finit par apprendre la vérité au sujet de l'incident qui a défiguré Naoko lors d'une nuit d'Halloween. Mais maintenant que la lumière est faite sur les raisons qui poussent la jeune fille à se venger, Kazuya et elle sont confrontés à une force contre laquelle même la police ne peut lutter...Au moment où Naoko passe de prédatrice à proie, elle reconnaît être l'invincible Pumpkin Night, qui apparaît au cœur de la nuit noire. Tandis qu'Halloween approche, une nouvelle menace s'avance dans les ténèbres...Un récit sanguinaire pour les amateurs de slasher movie, à ne pas mettre entre toutes les mains ! Critique : C’est gore, répugnant, horrible, écœurant et encore gore. Bref un vrai « délice » pour les yeux ! Mieux vaut avoir le cœur bien accroché quand vous lisez cette série. Si le second tome est dans la lignée du 1er, où il y a une surenchère de moments dégoutants, on est surpris dans ce 3e tome d’y trouver autre chose qu’une vulgaire vengeance. Oui, il y a de la dénonciation et cela ne se limite pas qu’au harcèlement scolaire ! On y parle de corruption et surtout d’un manque absolu de morale. Quand Kazuya demande les raisons d’un tel harcèlement et qu’on lui répond « y’a pas besoin de raison pour harceler quelqu’un ! On le fait parce que c’est marrant c’est tout ! » on sent que l’auteur souhaite marquer les esprits et c’est surtout la fin du tome 3 qui nous laisse penser que le manga porte peut-être un message. Il reste néanmoins, comme je l’avais souligné dans la chronique du 1er tome, un gros problème de réalisme. Autant les histoires de harcèlement et corruption sont plausibles, autant il y a des éléments complétement improbables qui ont tendance à nous sortir du récit (comme le fait par exemple que l’on laisse des scalpels et une multitude de seringues à la portée d’un malade dans une chambre d’hôpital…). Je comprends que l’objectif du manga soit de marquer les esprits mais je ne suis pas sûre que cela serve vraiment le propos si réellement il y a une volonté de faire passer un message. Quoi qu’il en soit, le livre est A RESERVER A UN PUBLIC ADULTE ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Quand j’ai vu le titre de cette série j’ai eu un peu peur de me retrouver dans une histoire comme La princesse maudite et son servant immortel, les deux titres se ressemblant un peu. Heureusement il n’en est rien, pas que l’autre série soit mauvaise mais l’humour étant particulier (vous pouvez retrouver la critique ici) cela se prend plutôt à petites doses. Dans le royaume de Justitia, Fréméa est une sainte capable de soigner les maladies mais comme elle est de basse extraction et qu’historiquement le pouvoir de la sainte se transmettait dans la famille royale, certains politiciens véreux décident de faire croire au monde que la princesse s’est fait voler ses pouvoirs de sainte par Fréméa. Du jour au lendemain, elle est reconnue coupable et chassée du royaume. Heureusement, le chevalier Roland lui est dévoué et décide de l’accompagner. Ils commencent une nouvelle vie ailleurs tandis que le royaume de Justitia sombre peu à peu. On est un peu dans la même gamme d’histoire que Le destin de Claire où une héroïne, après une injustice, va trouver le bonheur ailleurs. Pendant ce temps, c’est le chaos dans son pays d’origine, les coupables finiront par être punis et son statut sera rétabli. En attendant, on a des personnages secondaires pas très finauds et du coup très énervants : le prince, ex-fiancée, qui ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ; la princesse, tellement imbue d’elle-même qu’elle croit qu’elle a des pouvoirs… La série s’annonce sympathique et pleine d’aventures, 2 volumes en cours.
  3. Titre de l'album : La sainte déchue et son fervent protecteur tome 1 Scenariste de l'album : HINOKAGE Sora Dessinateur de l'album : AKEKO Suzu , CHUM Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Bannie, mais désormais libre ? Fréméa commence une nouvelle vie aux côtés de son fidèle chevalier ! Fréméa est la sainte du royaume de Justitia. Ce n'est qu'une fois tous les cent ans que l'une d'entre elles voit le jour. En tant qu'élue de ce centenaire, elle n'a que très peu de liberté, et en compagnie de son fidèle chevalier, Roland, elle guérit le peuple de tous les maux qui l'accablent. Un jour, une rumeur circule selon laquelle Fréméa est une usurpatrice. Elle se retrouve alors bannie du royaume. Cependant une nouvelle vie pleine de liberté s'offre désormais à elle, aux côtés de son fervent protecteur Roland, qui est le seul à croire en la jeune femme. Une histoire douce et paisible d'une sainte en exil et de son chevalier protecteur ! Critique : Quand j’ai vu le titre de cette série j’ai eu un peu peur de me retrouver dans une histoire comme La princesse maudite et son servant immortel, les deux titres se ressemblant un peu. Heureusement il n’en est rien, pas que l’autre série soit mauvaise mais l’humour étant particulier (vous pouvez retrouver la critique ici) cela se prend plutôt à petites doses. Dans le royaume de Justitia, Fréméa est une sainte capable de soigner les maladies mais comme elle est de basse extraction et qu’historiquement le pouvoir de la sainte se transmettait dans la famille royale, certains politiciens véreux décident de faire croire au monde que la princesse s’est fait voler ses pouvoirs de sainte par Fréméa. Du jour au lendemain, elle est reconnue coupable et chassée du royaume. Heureusement, le chevalier Roland lui est dévoué et décide de l’accompagner. Ils commencent une nouvelle vie ailleurs tandis que le royaume de Justitia sombre peu à peu. On est un peu dans la même gamme d’histoire que Le destin de Claire où une héroïne, après une injustice, va trouver le bonheur ailleurs. Pendant ce temps, c’est le chaos dans son pays d’origine, les coupables finiront par être punis et son statut sera rétabli. En attendant, on a des personnages secondaires pas très finauds et du coup très énervants : le prince, ex-fiancée, qui ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ; la princesse, tellement imbue d’elle-même qu’elle croit qu’elle a des pouvoirs… La série s’annonce sympathique et pleine d’aventures, 2 volumes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-sainte-dechue-et-son-fervent-protecteur-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Le palais des assassins tome 1

    Nouveauté chez ki-oon et pour ceux qui connaissent Les carnets de l’apothicaire, on se retrouve un peu dans la même ambiance : des intrigues et des complots au cœur du palais impérial ! Ici l’empereur est un jeune garçon dont les deux demi-frères ont été assassinés, il est lui-même la cible de personnes cherchant à obtenir le pouvoir. Notre héroïne, Karin est la fille d’un haut-fonctionnaire influent et surtout effrayant, elle a hérité de lui toutes les techniques d’assassin mais prendre la suite de son père ne l’intéresse pas. Karin souhaite mener une vie tranquille et se faire des amies, c’est pourquoi elle cherche à se faire embaucher comme servante au cœur de la cour intérieure. Hélas, entre la réputation de sa famille et son regard un peu flippant, tout le monde s’éloigne d’elle. Malgré elle, Karin se retrouve au cœur de plusieurs évènements dramatiques, heureusement, elle a un sens de l’observation et des réactions hors du commun qui lui permettent d’agir rapidement et discrètement. Ce 1er tome est fort sympathique, il y a un côté sérieux avec tous les complots politiques, de l’humour avec Karin dont les agissements sont mal interprétés et de l’action avec les techniques d’assassin de sa famille. C’est peut-être sur ce dernier point que je mettrai un bémol : Karin est un peu trop douée et elle réussit à déjouer les pièges trop facilement (c’est limite un personnage cheaté), ce qui fait qu’on s’éloigne un peu du récit historique et qu’on se rapproche plus d’une fantaisie. Il reste que la lecture est agréable, le graphisme est maitrisé et le trame générale intéressante. Une série à suivre. Extrait
  5. Titre de l'album : Le palais des assassins tome 1 Scenariste de l'album : IORI Tabasa Dessinateur de l'album : IORI Tabasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Plus facile d'assassiner ses ennemis que de se faire des amis ! Karin vient d'entrer comme apprentie servante au quartier des femmes du palais impérial. Dans ce lieu à part, elle espère réaliser son voeu de toujours : se faire des amies ! Fille du haut fonctionnaire le plus craint de l'empire et considérée comme le bras armé de son conspirateur de père, elle a toute sa vie vécu isolée. Même si elle est experte dans l'art de l'assassinat, elle n'aspire qu'à une vie normale ! Pourtant, les efforts qu'elle fournit pour se rapprocher de ses camarades sont vains, car la peur qu'elle inspire fait d'elle une paria... Un soir de tempête, alors qu'elle est au bord du désespoir, un garçon s'approche pour lui offrir son parapluie avant de disparaître... Ce n'est autre que l'empereur lui-même ! Ce geste d'amitié inattendu redonne courage à la jeune fille, qui jure de prouver sa reconnaissance. L'occasion ne tarde pas : elle débusque un assassin infiltré qui cherche à atteindre le petit monarque et l'élimine grâce à ses talents cachés ! Tant de gens veulent la perte du souverain... mais Karin se promet de le protéger dans l'ombre ! Comment fraterniser dans un nid de vipères ? Le Palais des assassins vous entraîne dans l'univers d'une héroïne aussi habile au combat que maladroite en amitié ! Critique : Nouveauté chez ki-oon et pour ceux qui connaissent Les carnets de l’apothicaire, on se retrouve un peu dans la même ambiance : des intrigues et des complots au cœur du palais impérial ! Ici l’empereur est un jeune garçon dont les deux demi-frères ont été assassinés, il est lui-même la cible de personnes cherchant à obtenir le pouvoir. Notre héroïne, Karin est la fille d’un haut-fonctionnaire influent et surtout effrayant, elle a hérité de lui toutes les techniques d’assassin mais prendre la suite de son père ne l’intéresse pas. Karin souhaite mener une vie tranquille et se faire des amies, c’est pourquoi elle cherche à se faire embaucher comme servante au cœur de la cour intérieure. Hélas, entre la réputation de sa famille et son regard un peu flippant, tout le monde s’éloigne d’elle. Malgré elle, Karin se retrouve au cœur de plusieurs évènements dramatiques, heureusement, elle a un sens de l’observation et des réactions hors du commun qui lui permettent d’agir rapidement et discrètement. Ce 1er tome est fort sympathique, il y a un côté sérieux avec tous les complots politiques, de l’humour avec Karin dont les agissements sont mal interprétés et de l’action avec les techniques d’assassin de sa famille. C’est peut-être sur ce dernier point que je mettrai un bémol : Karin est un peu trop douée et elle réussit à déjouer les pièges trop facilement (c’est limite un personnage cheaté), ce qui fait qu’on s’éloigne un peu du récit historique et qu’on se rapproche plus d’une fantaisie. Il reste que la lecture est agréable, le graphisme est maitrisé et le trame générale intéressante. Une série à suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-palais-des-assassins-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Heart program tome 1

    La collection Moonlight nous propose toujours des histoires pleines d’émotions avec des graphismes délicats. Hinata Nakamura, découverte avec son titre De l’autre côté de l’horizon, revient avec Heart program, une série en 4 volumes. Dans un japon moderne mais pas très éloigné de notre époque, arrive dans les foyers des androïdes, afin qu’ils puissent s’adapter au mieux aux humains, ils doivent passer plusieurs années dans une famille d’accueil pour développer leurs sentiments. C’est ainsi que Ichiko, un robot jeune fille, débarque chez Kyû, un adolescent vivant seul avec sa mère. Ce dernier est très réticent quant à l’arrivée d’un robot chez lui mais peu à peu, il la laisse entrer dans sa vie. L’histoire est un peu classique, des sentiments se développent chez Kyû, mais également chez Ichiko qui ne sait pas encore bien identifier ce qu’elle ressent. Il y a aussi l’amie d’enfance, amoureuse, qui va commencer à être jalouse et tout un tas de préjugés sur les androïdes « ce n’est qu’un robot, elle ne ressent rien… ». Bref le développement semble être couru d’avance. Cependant, la narration est plutôt bien faite et le dessin est très rond et empli de douceur. On sent une légère mélancolie ambiante ainsi que le bourgeonnement des premiers émois. Un premier tome sympathique. Extrait
  7. Nickad

    JK Haru tome 5

    Bon vu les événements du tome 4 on se doutait que l’avenir de la belle Sikraso n’allait pas être aussi beau qu’elle l’avait espéré. Elle qui pensait partir pour remonter le moral des soldats avant la bataille en chantant s’est retrouvée malgré elle obligée de les contenter physiquement. L’influence du nouveau commandant sur ses hommes est tellement importante que ceux-ci sont passés de comportements « à peu près convenables » (pour ce monde) à complétement ignobles. Alors même s’il n’y a pas beaucoup d’événements dans ce volume, il reste intense et absolument horrifique. Le manga dénonçait des comportements sexistes et dégradants mais là, il a franchi un cap : le barbarisme comme s’il n’y a avait rien a sauvé chez les hommes. Quant à la fin du tome, on entre dans une phase plus liée à l’isekai, c’est-à-dire que l’on se retrouve avec une Haru qui a peut-être des compétences cachées et qui part chercher vengeance. Je reste un peu perplexe sur ce potentiel développement, il faudra attendre le tome 6 pour savoir vers quoi l’on tend.
  8. Nickad

    JK Haru tome 5

    Titre de l'album : JK Haru tome 5 Scenariste de l'album : HIRATORI Ko Dessinateur de l'album : YAMADA J-Ta Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Cet endroit aussi était un autre monde pour elle. Après un accident de la route, Haru, jeune lycéenne, s'est retrouvée dans un autre monde où elle est contrainte à travailler comme prostituée. Après de nombreuses aventures, elle décide de prendre la place de son aînée, Sikraso, partie en mission dans une caserne militaire. Critique : Bon vu les événements du tome 4 on se doutait que l’avenir de la belle Sikraso n’allait pas être aussi beau qu’elle l’avait espéré. Elle qui pensait partir pour remonter le moral des soldats avant la bataille en chantant s’est retrouvée malgré elle obligée de les contenter physiquement. L’influence du nouveau commandant sur ses hommes est tellement importante que ceux-ci sont passés de comportements « à peu près convenables » (pour ce monde) à complétement ignobles. Alors même s’il n’y a pas beaucoup d’événements dans ce volume, il reste intense et absolument horrifique. Le manga dénonçait des comportements sexistes et dégradants mais là, il a franchi un cap : le barbarisme comme s’il n’y a avait rien a sauvé chez les hommes. Quant à la fin du tome, on entre dans une phase plus liée à l’isekai, c’est-à-dire que l’on se retrouve avec une Haru qui a peut-être des compétences cachées et qui part chercher vengeance. Je reste un peu perplexe sur ce potentiel développement, il faudra attendre le tome 6 pour savoir vers quoi l’on tend. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jk-haru-sex-worker-in-another-world-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Aujourd'hui le futur tome 1

    On vous le dit, l’année 2024 est placée sous le signe du yuri ! Annoncé à la Y/con, plusieurs éditeurs vont étoffer leur catalogue de girl’s love. Miku a le sens pratique et pas de temps à perdre, alors quand elle annonce à Kyôko, son amie depuis toujours qu’elle aime, elle lui donne deux consignes : « tu peux faire de moi tout ce que tu veux » et « c’est toi qui décideras de tout ce qui me concerne » mais attention Kyôko n’a que jusqu’à la fin du lycée pour se décider ! Après Miku considère que si Kyôko n’a pas accepté leur relation c’est qu’il sera trop tard, elle ne souhaite pas s’éterniser sur des espoirs et compte bien aller de l’avant. Mais Miku est maligne et au bout du compte c’est elle qui tire les ficelles ! Si la thématique principale est une évolution des sentiments et le passage parfois difficile de l’amitié à l’amour, le manga propose aussi une vision réaliste et positive pour prendre sa vie en main et profiter du moment présent. Miku sait ce qu’elle veut et se donne les moyens d’y arriver, pas de façon violente, elle propose, explique, donne des exemples. Peu à peu elle pousse Kyôko à agir, à aller sur des chemins différents. Tous se passe en douceur et cela ressort particulièrement bien dans la narration et dans le graphisme, on a un peu l’impression d’être hors du temps, comme lorsqu’on se prélasse au soleil et que l’on prend le temps de vivre. L’histoire est parfois un peu mielleuse, mélancolique et parfois un peu coquine… et puis par moment, il y a une réflexion qui nous interpelle, une franchise qui nous surprend et qui nous donne envie d’accompagner Miku et Kyôko dans leurs moments de complicité et d’intimité. Un joli début de série.
  10. Titre de l'album : Aujourd'hui le futur tome 1 Scenariste de l'album : YOSHITOMI Akihito Dessinateur de l'album : YOSHITOMI Akihito Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Kyôko et Miku sont amies d’enfance et fréquentent le même lycée. Un beau jour, Miku avoue ses sentiments à Kyôko : des sentiments qui dépassent la simple amitié. Elle n’exige pas de réponse immédiate : Kyôko a jusqu’à la fin du lycée pour décider de son avenir avec Miku. D’ici là, elle est libre d’agir comme elle le souhaite et d’essayer tout ce qu’elle veut avec Miku. C’est le début de nouvelles expériences sentimentales… Critique : On vous le dit, l’année 2024 est placée sous le signe du yuri ! Annoncé à la Y/con, plusieurs éditeurs vont étoffer leur catalogue de girl’s love. Miku a le sens pratique et pas de temps à perdre, alors quand elle annonce à Kyôko, son amie depuis toujours qu’elle aime, elle lui donne deux consignes : « tu peux faire de moi tout ce que tu veux » et « c’est toi qui décideras de tout ce qui me concerne » mais attention Kyôko n’a que jusqu’à la fin du lycée pour se décider ! Après Miku considère que si Kyôko n’a pas accepté leur relation c’est qu’il sera trop tard, elle ne souhaite pas s’éterniser sur des espoirs et compte bien aller de l’avant. Mais Miku est maligne et au bout du compte c’est elle qui tire les ficelles ! Si la thématique principale est une évolution des sentiments et le passage parfois difficile de l’amitié à l’amour, le manga propose aussi une vision réaliste et positive pour prendre sa vie en main et profiter du moment présent. Miku sait ce qu’elle veut et se donne les moyens d’y arriver, pas de façon violente, elle propose, explique, donne des exemples. Peu à peu elle pousse Kyôko à agir, à aller sur des chemins différents. Tous se passe en douceur et cela ressort particulièrement bien dans la narration et dans le graphisme, on a un peu l’impression d’être hors du temps, comme lorsqu’on se prélasse au soleil et que l’on prend le temps de vivre. L’histoire est parfois un peu mielleuse, mélancolique et parfois un peu coquine… et puis par moment, il y a une réflexion qui nous interpelle, une franchise qui nous surprend et qui nous donne envie d’accompagner Miku et Kyôko dans leurs moments de complicité et d’intimité. Un joli début de série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aujourd-hui-le-futur-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Ca y est c'est fini. Snif snif. Fini les aventures de Narumi, Masaru et Shirogane 😞 Mais une vraie belle fin. Une fin qui était encore indécise à la fin du tome 24 qui aurait très bien pu ne pas être aussi belle qu'elle ne l'est. Car Kazuhiro Fujita a réussi une très belle fin. Une fin qui traite bien tous les aspects qui ont été lancés durant l'histoire, que ce soit l'enfance de Masaru, le passé de Faceless ou l'amour entre Masaru et Shirogane. Et cela en gardant un rythme et une tension de tous les instants. En gardant de la dramaturgie, des retournements de situation et même de surprises. La fin d'une grande et belle aventure, innovante et émouvante, comme on aimerait en lire plus souvent. À lire pour tous amateurs de shonen, et peu importe leurs ages.
  12. Titre de l'album : Karakuri circus - perfect edition tome 25 et 26 (fin) Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le final grandiose d'une épopée enflammée, bourrée d'action et d'automates ! Poursuivis par les automates, le cirque Nakamachi n'a pas d'autre choix que de se battre contre eux ! Grâce à leur protection, nos héros se rapprochent petit à petit du train dans lequel se trouvent Éléonore et Narumi... Porté par l'amour de ses proches, Masaru se dirige quant à lui vers le lieu de l'affrontement final, bien décidé à mettre un terme aux agissements de Faceless ! La plus enflammée des épopées opposant humains et machines touche enfin à sa fin ! Critique : Ca y est c'est fini. Snif snif. Fini les aventures de Narumi, Masaru et Shirogane 😞 Mais une vraie belle fin. Une fin qui était encore indécise à la fin du tome 24 qui aurait très bien pu ne pas être aussi belle qu'elle ne l'est. Car Kazuhiro Fujita a réussi une très belle fin. Une fin qui traite bien tous les aspects qui ont été lancés durant l'histoire, que ce soit l'enfance de Masaru, le passé de Faceless ou l'amour entre Masaru et Shirogane. Et cela en gardant un rythme et une tension de tous les instants. En gardant de la dramaturgie, des retournements de situation et même de surprises. La fin d'une grande et belle aventure, innovante et émouvante, comme on aimerait en lire plus souvent. À lire pour tous amateurs de shonen, et peu importe leurs ages. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-26-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Pandora seven tome 1 Scenariste de l'album : KAYASHIMA Yuta Dessinateur de l'album : KAYASHIMA Yuta Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lia, une jeune humaine élevée par une mère dragon, est la seule de son espèce sur la petite île où elle vit paisiblement entourée de nombreuses créatures fantastiques. Mais ses jours heureux prennent fin quand une armée d'humains sanguinaires débarque pour dévaster son île dans le seul but de récupérer la boîte de Pandore ! Critique : Lia vit tranquillement sur une petite ile isolée du reste du monde, elle est la seule humaine au milieu de 6 autres races, tout le monde s’entend très bien et la grande fête de l’ile est sur le point de débuter quand un vaisseau arrive. Des magiciens et guerriers humains débarquent, détruisent tout sur leur passage afin de trouver la boite de Pandore. Lia voulant sauver sa mère adoptive, fusionne malencontreusement avec la boite. Méchants humains, gentils monstres et boite mythique qui fera basculer le destin du monde, voici les éléments de ce manga. Il y a Lia, une humaine ayant grandie entourée d’affection sur une ile sans haine ni discrimination qui va se retrouver brutalement confrontée à la dure réalité du monde : soif de pouvoirs, abus physique, racisme, violence… La transition entre le début qui semble être une aventure toute mignonne et l’attaque des humains est assez violente, notre héroïne va de désenchantement en désenchantement, même l’espoir de trouver de l’aide auprès d’une sorcière la renvoie au constat amer de n’être jugée que par ses origines sans avoir pu s’exprimer. Il y a un décalage très net entre le graphisme rond du manga et le propos. Côté univers, Pandora seven surfe sur plusieurs vagues, il y a de l’heroic fantasy, de la dark fantasy, un côté science-fiction provenant des équipements humains et parfois un peu de légèreté humoristique. Le manga propose donc une multitude d’éléments variés dans ce 1er tome, pour le moment le mélange fonctionne bien mais certains évènements se déroulent un peu vite. Reste à savoir si l’auteur ne se perdra pas en cours de route, la série est en cours et compte 4 tomes actuellement. A suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pandora-seven-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    My wife has no emotion tome 3

    Troisième tome de my wife has no émotion et tome entièrement tourné autour de leur petit robot d'adoption. Adoption étant le bon terme, car ce tome trois est entièrement tourné autour de la problématique d'avoir un enfant dans une relation entre robot et humain. Mais ce tome trois ne se consacre qu'à cela et délaisse un peu la relation entre nos deux amoureux. Un tome étonnant mais au final un peu lassant...
  15. Titre de l'album : My wife has no emotion tome 3 Scenariste de l'album : Jiro Sugiura Dessinateur de l'album : Jiro Sugiura Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ma femme robotique et moi avons un enfant ! Mina, le robot domestique, et Takuma, l'employé de bureau, forment un couple pour le moins insolite. Mais voilà que la famille s'agrandit avec l'arrivée de Mamoru. Critique : Troisième tome de my wife has no émotion et tome entièrement tourné autour de leur petit robot d'adoption. Adoption étant le bon terme, car ce tome trois est entièrement tourné autour de la problématique d'avoir un enfant dans une relation entre robot et humain. Mais ce tome trois ne se consacre qu'à cela et délaisse un peu la relation entre nos deux amoureux. Un tome étonnant mais au final un peu lassant... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-wife-has-no-emotion-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Avez-vous entendu parler de Webtoon ? Un phénomène qui monte en puissance et très prisé des adolescents ? Pour vous y retrouver un peu, je vous propose de vous éclairer sur le sujet. Origine : Devant la modernisation des téléphones, l’apparition des tablettes, les auteurs ont alors réfléchi à développer une application plus facile à lire surtout dans les transports. C’est ainsi qu’est apparu le webtoon : un webcomic développé pour être lu facilement sur mobile avec une lecture verticale : une case en largeur et un défilement facile avec le pouce, pas besoin de 2 mains ! On peut se tenir à la barre du métro et lire tranquillement ! Les premiers webtoons sont apparus en Corée, la première plateforme en 2003 mais c’est surtout NAVER en 2004 qui a permis sa démocratisation. Hélas pour les français, il faudra attendre 2011 avec l’arrivée de Delitoon pour avoir une plateforme officielle qui présente ces œuvres. Avant, il fallait se contenter de traductions faites par des sites de fans ou des lectures en anglais. Evolution : En 2019, le webtoon explose ! Les plateformes se multiplient (webtoon de Naver, verytoon de Delcourt, webtoon factory de Dupuis, Piccoma du japonais Kakao). La majorité de ces supports fonctionnent de la même façon : quelques épisodes gratuits pour découvrir la série puis un système de « coin » à gagner ou à acheter pour débloquer les chapitres suivants. Ou parfois, il suffit juste d’être patient pour avoir le nouveau chapitre gratuitement (1 semaine en général sur les plateformes webtoon et piccoma). Cet engouement ne passe pas inaperçu et les éditeurs s’activent pour sortir des versions physiques ; des labels ou éditeurs spécifiques apparaissent : Kbooks, VEGA (Dupuis), SIKKU (Michel Lafon), Koyohan (Matin Calme), Nazca, Kotoon, Kamondo books. N’oublions pas les éditeurs qui faisaient déjà quelques parutions de webtoon sans changer de nom : on retrouve Re:life chez Ki-oon et peut-être le 1er à avoir été édité en France, Bâtard et Sweet home chez Ki-oon, Tower of God chez Ototo, Killing Stalking chez Taifu. Format : Pour ceux qui se sont donc déjà lancé dans le webtoon papier, vous avez sûrement remarqué le format et le tarif : un format A5 avec un prix globalement de 15 euros le tome. Pourquoi est-ce si cher me direz-vous ? Tout d’abord, le webtoon est entièrement colorisé, ensuite il faut passer d’une lecture verticale ou tout le dynamisme se retrouve dans les espacements du défilement et les coupures des cases à une lecture (de gauche à droite comme les livres français) à plusieurs vignettes sur une largeur : un gros travail d’adaptation donc qui a un coût ! Pour ce qui est du format, c’est un accord entre les éditeurs pour garder une cohérence. Oui re:life, tower of God, TODAG, DICE sont des petits formats… pour le 1er, il est paru quand le webtoon n’était pas encore à la mode ! Pour les autres, une question de budget peut-être ? Qui est le lecteur type ? Il s’agit de la jeune fille de 17 ans : les garçons ont tendance à rester sur le shonen, alors que les filles lisent de tout. Cela se ressent aussi sur la partie création, sur webtoon factory par exemple, il y a beaucoup d’autrices. Webtoon et censure : En théorie, il n’y a aucune raison de se limiter au niveau des scenarii, seulement voilà, le webtoon est publié en informatique, et passe par des serveurs ou applications qui censurent automatiquement certains contenus. Donc aujourd’hui, les plateformes ne peuvent pas aller au maximum de ce qui est possible et se censurent elles-mêmes pour éviter d’avoir de problèmes. Quelques éditeurs webtoon : Lors de la Japan expo de 2022, a eu lieu une conférence au sujet du webtoon avec quelques acteurs du secteur : Webtoon Factory, Delitoon, Ankama et Koyohan étaient présents. Webtoon factory : Appartient au groupe Dupuis, favorise les webtoons de création française ou européenne. Leur objectif : proposer 60 nouvelles séries par an, cherche à préserver la qualité que ce soit au niveau graphique ou du scenario et aimerait aller plus loin que le webtoon coréen qui est parfois très codifié. Delitoon : Pionner de la plateforme webtoon en France, crée en 2011 par un homme tout seul. En 2017, il y a eu un essor avec un partenariat avec une entreprise coréenne Ankama : Existe depuis 2000 avec les jeux, ils ont déjà une grosse communauté qui les suit. Veulent se lancer dans le webtoon pour être présent sur tous les supports mais ils ont tout à construire sur le sujet. Koyohan : Son objectif est de plaire au plus grand nombre et pour cela reste sur le webtoon coréen Remarques diverses : Comme pour le manga, la grosse difficulté des créations françaises va être de séduire le public français habitué au webtoon coréen L’arrivée de la pandémie du covid a permis un essor du webtoon, des artistes de nombreux pays se sont mis à exploiter ce format, vous pouvez d’ailleurs mettre vos œuvres sur certains de ces sites. Bien sûr, l’un des objectifs serait d’exporter le webtoon français et la reconnaissance ultime serait de le faire connaître en Corée. Si ce projet n’est pas impossible (cf publication de radiant au Japon), cela reste encore compliqué : la Corée reste un pays assez fermé aux influences extérieures. Il y a encore 1 ans, les coréens n’étaient pas conscients de l’importance du webtoon dans le monde, ils ne comprenaient pas pourquoi des éditeurs voulaient en faire des exemplaires papier, maintenant qu’ils ont compris l’achat des droits a augmenté et cela se ressent dans le prix du livre.
  17. Nickad

    Céline, une vie parisienne tome 1

    XIXe siècle, Céline est une jeune fille de 14 ans qui est montée à Paris pour expérimenter la vie mais elle ne sait pas encore ce qu’elle veut faire. Le hasard la met sur la route d’un vieil homme chaleureux mais un peu étrange qui lui propose de devenir ses yeux : elle devra faire plein de petits boulots pour lui raconter la vie simple des parisiens afin d’écrire un livre. Céline semble un peu simple, un peu effacée, imperturbable et impassible mais c’est surtout parce qu’elle se pose des questions, elle découvre et observe un monde dont elle ignorait presque tout. Elle suit à la lettre les consignes que lui a laissée sa tutrice, personne que l’on ne voit pas mais qui est très importante pour Céline. Ce que M Fontaine veut montrer à Céline c’est ce que l'auteur veut faire découvrir au lecteur : le Paris de la fin du XIXe siècle à une époque de paix et de développement social et économique. Il nous parle de la ville, de ses quartiers mais surtout de ses habitants, tous les petits métiers qui existaient. A chaque fois, il y a une petite description du métier, la tranche de salaire, la pénibilité et l’évolution possible. L’auteur souhaitait parler du Paris qu’il avait découvert avec les impressionnistes et son manga est lui aussi comme un tableau. Il n’y a pas de jugement, c’est une rencontre, un regard doux posé sur une ville, une époque, sans extravagance ni drame. C’est à la fois un constat et une ballade, un moment agréable à partager.
  18. Titre de l'album : Céline, une vie parisienne tome 1 Scenariste de l'album : HINOSHITA Akame Dessinateur de l'album : HINOSHITA Akame Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Le quotidien des Parisiens comme vous ne l'avez jamais vu ! À Paris, une jeune fille de 14 ans, Céline, que l'on dit venir de la lune, cherche ce qu'elle aimerait faire dans la vie. Armée seulement des enseignements de sa tutrice, elle se rend à la capitale et tombe par hasard sur un vieux monsieur. Il lui propose de travailler dans un domaine qui lui permet de toucher diverses professions. Dans un Paris du XIXe siècle en plein essor, décrit tel un tableau, arrivera-t-elle à trouver sa voie ? Critique : XIXe siècle, Céline est une jeune fille de 14 ans qui est montée à Paris pour expérimenter la vie mais elle ne sait pas encore ce qu’elle veut faire. Le hasard la met sur la route d’un vieil homme chaleureux mais un peu étrange qui lui propose de devenir ses yeux : elle devra faire plein de petits boulots pour lui raconter la vie simple des parisiens afin d’écrire un livre. Céline semble un peu simple, un peu effacée, imperturbable et impassible mais c’est surtout parce qu’elle se pose des questions, elle découvre et observe un monde dont elle ignorait presque tout. Elle suit à la lettre les consignes que lui a laissée sa tutrice, personne que l’on ne voit pas mais qui est très importante pour Céline. Ce que M Fontaine veut montrer à Céline c’est ce que l'auteur veut faire découvrir au lecteur : le Paris de la fin du XIXe siècle à une époque de paix et de développement social et économique. Il nous parle de la ville, de ses quartiers mais surtout de ses habitants, tous les petits métiers qui existaient. A chaque fois, il y a une petite description du métier, la tranche de salaire, la pénibilité et l’évolution possible. L’auteur souhaitait parler du Paris qu’il avait découvert avec les impressionnistes et son manga est lui aussi comme un tableau. Il n’y a pas de jugement, c’est une rencontre, un regard doux posé sur une ville, une époque, sans extravagance ni drame. C’est à la fois un constat et une ballade, un moment agréable à partager. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celine-une-ville-parisienne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. On parle beaucoup de la Japan expo, on s’en fait une certaine idée mais au fait c’est quoi exactement ? La Japan expo est le plus grand événement européen autour de la culture du Japon, situé au parc des expositions de Villepinte au nord-est de Paris, pas très loin de l’aéroport Charles de Gaulle. L’exposition se déroule sur 4 jours (en général le 1er week-end de juillet) il s’étend sur plusieurs halls du parc des expositions, comme vous pouvez le voir sur le plan ci-dessous. Qu’est-ce qu’on y trouve ? - Une grosse partie est dédiée à l’univers du manga avec la présence d’une bonne partie des éditeurs français et quelques indépendants : chacun propose une partie librairie où vous pouvez obtenir des goodies inédits ou exclusifs, les éditeurs qui ont plus de moyens propose aussi des animations autour de leurs séries phares, vous pouvez aussi retrouver un espace dédicace et y rencontrer des auteurs. Il y a aussi certaines plateformes de webtoon avec événements cadeaux et dédicaces. - Une partie fanart où il y a des auteurs indépendants, des artistes qui font des illustrations originales ou dérivées de personnages connus, des créations kawaii… - Une partie merchandising où vous pouvez acheter figurines, produits dérivés, katanas, vêtements de cosplay, peluches… - Une autre grosse partie autour des jeux video avec des bornes pour tester les jeux, des quizzs avec des cadeaux à gagner… - Une partie autour de la musique avec des scènes où l’on peut voir des groupes K-pop ou des idoles japonaises - Un espace jeux et sports pour pratiquer des jeux de société traditionnels ou faire une initiation au sumo - Un village d’artisans japonais (ambiance très zen !) avec des objets et des artisans en provenance directe du Japon, on n’a notamment pu assister à un aiguisage de couteaux par un maitre coutelier selon les méthodes traditionnelles. Cet espace avait également une scène pour y entendre de la musique et y voir des danses traditionnelles (concert de shamisen par exemple) - Un espace détente pour découvrir le shiatsu, suivre un court enseignement ou profiter d’une séance de 30 minutes - Un espace autour du cosplay avec la possibilité de rencontrer des cosplayeurs célèbres, de faire réparer son costume si un problème est survenu pendant le salon, de se faire prendre en photo par des professionnels, de faire des photos de groupe autour d’un même thème et donc d’y faire des rencontres !! - Une zone était réservée pour la diffusion de films : épisodes d’anime en avant-première ou festival autour d’un metteur en scène le soir - Une scène avec des démonstrations de cuisine, une pour des conférences et je dois certainement en oublier ! - Un hall entièrement réservé pour l’ECG : l’European Cosplay Gathering pour un show exceptionnel le samedi soir et la sélection française le dimanche - Ensuite des stands qui n’avaient pas grand-chose à voir avec le Japon (genre Starwars et Harry Potter) mais qui ont toujours du succès - Et bien sûr, disséminés çà et là, de la restauration autour de l’Asie pour y déguster Onigiri, Omerice, Corn dog, Poulet Karage… Du coup devant tout ce qu’il est possible de faire ou de voir, il faut s’organiser un minimum, voici donc les conseils : - Réserver un hôtel dès que vous savez que vous venez, car certaines enseignes n’hésitent pas à augmenter considérablement leur prix (j’en ai vu un passer de 47 à 190 euros la nuit !!) - Ne prenez pas l’hôtel trop loin du parc des expo, envisager de pouvoir éventuellement vous y rendre à pied (j’ai dû revenir à pied un soir et j’ai mis 30 minutes) - Pensez que si vous devez reprendre des transports en commun pour vous y rendre, cela vous coutera de l’argent en plus, le RER est pratique mais il n’y en a pas tout le temps. Il y a pas mal de bus qui desservent le parc mais attention le week-end, il y en a moins et vu le nombre de visiteurs ils sont souvent blindés. Heureusement, les chauffeurs n’étaient pas regardant sur les titres de transports et beaucoup ont pris le bus gratuitement - Si vous pouvez, venez avec vos sandwichs, il est tentant de découvrir la nourriture sur place mais si vous restez 4 jours, cela peut vite devenir cher. Attention, les hôtels et supérettes sur place se sont vite retrouvés à sec. - Prévoyez de l’argent liquide, les petits stands ne prennent pas forcément la carte bleue et la consigne à l’entrée de la Japan pour laisser vos sacs ou valises ne prend que de l’espèce ! Pareil, les distributeurs sur place étaient à sec dès le 2eme jour ! - Si vous voulez absolument avoir certains goodies ou dédicaces, privilégiez ces endroits le matin en arrivant et même comme cela, il faut être au début de la file d’attente car les visiteurs qui ont les moyens achètent le pass zen et arrivent 1H avant les autres - Pareil pour les animations : certaines demandent du temps et les files d’attente s’allongent rapidement. Certaines activités (comme la séance de shiatsu) peuvent être réservées pour les jours qui suivent. N’hésitez pas à vous renseigner. - Pour les goodies éditeurs : ils sont normalement obtenus avec l’achat de mangas. Cependant, il y a aussi des goodies gratuits (comme des badges) que vous pouvez avoir en demandant à la caisse. Après tout dépend de la personne que vous avez en face de vous ! Certains goodies partent très vite alors prenez les en début de salon. Et dans la dernière heure du dimanche, certains stands donnent ce qui leur reste. - Pour le spectacle ECG, si vous avez un billet ou un star pass, vous aurez une file d’attente prioritaire et des chaises au plus près de la scène. Pour les autres, si vous faites la queue assez tôt, il y aura encore des chaises, sinon les autres sont assis par terre et voient le spectacle sur grand écran (à noter que la queue a commencé 2 heures avant le début du spectacle) - Et le plus important ; prenez conscience que vous ne pourrez pas tout faire, donc faites-vous un petit planning avec vos priorités et vous caserez le reste quand vous pourrez !!
  20. Nickad

    Pandora seven tome 1

    Lia vit tranquillement sur une petite ile isolée du reste du monde, elle est la seule humaine au milieu de 6 autres races, tout le monde s’entend très bien et la grande fête de l’ile est sur le point de débuter quand un vaisseau arrive. Des magiciens et guerriers humains débarquent, détruisent tout sur leur passage afin de trouver la boite de Pandore. Lia voulant sauver sa mère adoptive, fusionne malencontreusement avec la boite. Méchants humains, gentils monstres et boite mythique qui fera basculer le destin du monde, voici les éléments de ce manga. Il y a Lia, une humaine ayant grandie entourée d’affection sur une ile sans haine ni discrimination qui va se retrouver brutalement confrontée à la dure réalité du monde : soif de pouvoirs, abus physique, racisme, violence… La transition entre le début qui semble être une aventure toute mignonne et l’attaque des humains est assez violente, notre héroïne va de désenchantement en désenchantement, même l’espoir de trouver de l’aide auprès d’une sorcière la renvoie au constat amer de n’être jugée que par ses origines sans avoir pu s’exprimer. Il y a un décalage très net entre le graphisme rond du manga et le propos. Côté univers, Pandora seven surfe sur plusieurs vagues, il y a de l’heroic fantasy, de la dark fantasy, un côté science-fiction provenant des équipements humains et parfois un peu de légèreté humoristique. Le manga propose donc une multitude d’éléments variés dans ce 1er tome, pour le moment le mélange fonctionne bien mais certains évènements se déroulent un peu vite. Reste à savoir si l’auteur ne se perdra pas en cours de route, la série est en cours et compte 4 tomes actuellement. A suivre. Extrait
  21. Nickad

    #DRCL midnight children tome 1

    Voici la série Ki-oon tant attendue de ce début d’année, une revisite du mythe de Dracula ! Bien sûr le sujet a été vu et revu et on peut s’inquiéter d’une énième variante. Rassurez-vous cette version est réussie et elle est même très intrigante ! On a d’abord une rencontre visuelle, un premier chapitre fort qui nous met dans l’ambiance, le graphisme est détaillé, fin et précis mais surtout sait nous plonger directement dans une ambiance inquiétante, légèrement horrifique. Puis vient la seconde rencontre, celle des « héros » de l’histoire, des étudiants en médecine qui naviguent entre réalité de leur époque (notamment la place des femmes dans les sciences), blagues morbides, mystère et poésie. On reconnait tout de suite la pâte graphique de Shin’ichi Sakamoto, qui avait déjà fait sensation en France avec ses titres Nés pour cogner, Ascension ou encore Innocent / Innocent Rouge. Encore une fois, on retrouve son goût pour des personnages atypiques allant de Mina, la jeune fille forte décidée à dépasser les limites de son époque à Luke en proie à une double personnalité. Les dessins sont envoutants, oniriques et il nous appartient d’y trouver notre propre signification. L’œuvre se veut innovante, elle s’inspire de Dracula pour nous emmener ailleurs. Un premier tome qui ne nous laisse pas de marbre sans savoir vraiment où il nous conduira. Extrait
  22. Titre de l'album : The Idaten Deities know only peace tome 1 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : COOLKYOUSINNJYA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Voilà 800 ans que les Idaten, divinités protectrices, on scellé les démons et que le monde vit en paix. Les jeunes Idaten n’ont rien vécu des combats acharnés et des sacrifices de leurs ancêtres. Ils ne connaissent rien de la guerre, de la peine et de l’acharnement des combats. Si le sceau vient à se briser, sauront-ils accomplir leur devoir et protéger l’humanité ? Critique : Une critique de @Y_Kanzaki Les Idaten, ces divinités veillant sur les humains, n’ont plus rien à faire depuis que les démons menaçant de détruire le monde ont été scellés. A quoi bon passer ses journées à s’entraîner au combat lorsqu'il n’y a qu’un monde de paix qui se dessine à l’horizon ? De paix vous dites ? Ça, c’est sans compter sur les humains et leur insatiable envie de pouvoir ! Alors, que se passe-t-il lorsque des Idaten n’ayant aucun entraînement au combat se retrouvent à devoir affronter un démon que les humains ont ressuscité ? Au premier abord, on pourrait croire que cette histoire est un simple shonen où des dieux sans expérience doivent affronter des démons. Mais sous couvert de ce résumé, c’est en réalité la folie des Hommes qui est dépeinte: les démons sont ressuscités par des Hommes avides de pouvoir et de puissance. De plus, le rôle des Idaten est de protéger les humains, mais que faire lorsqu’ils se persécutent entre eux ? Doit-on intervenir alors qu’il faut juste protéger l’humanité en général et non chaque être humain ? Au niveau du graphisme, il y a un véritable contraste entre les traits des Idaten qui sont assez simples et enfantins et des passages où le dessin est bien plus franc et choquant. Cela fait bien ressortir la folie et la cruauté des Hommes. En conclusion, ce premier tome met vraiment l’accent sur le rôle des idaten et ce qu’ils considèrent comme un monde de paix. La deuxième moitié du tome introduit les dérives de l’Homme et sa cruauté, ce qui nous amène à nous demander qui sont les vrais démons. Un premier tome intéressant. ATTENTION ! Ce livre est destiné à un public adulte car certaines scènes sont choquantes et explicites ! Série finie en 9 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/idaten-know-only-peace-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. En voilà une série qui n'en finie pas de se bonifier. Après un deuxième tome qui densifiait l'histoire et offrait de beaux combats, ce tome trois mêle très habilement l'histoire courante avec des flashbacks de Manji sur les personnages qui ont écrit l'histoire de Manji. Des personnages que l'on connait et des comparaisons qui montre que Manji commence à se sentir vieux. Que les histoires qu'il a vécues lui pèse, tout immortel qu'il soit. Et cela sans oublier une montée en puissance de la folie des vers. La folie qui fait que toutes personnes qui en entendent parler ont envie de devenir immortel et qui font, encore une fois, de Manji une cible prioritaire pour tous ? Espérons que le t4 soit toujours sur cette superbe pente ascendante
  24. Titre de l'album : L'habitant de l'infini - bakumatsu tome 3 Scenariste de l'album : Hiroaki Samura | Kenji Takigawa | Ryu Suenobu Dessinateur de l'album : Hiroaki Samura | Kenji Takigawa | Ryu Suenobu Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : En 1864, quatre-vingts ans après la fin de son combat contre l'école du Ittôryû, Manji, samouraï immortel, mène une vie retirée, jusqu'au jour où il est rattrapé par le tumulte de la nouvelle époque qui s'annonce... Sur fond d'ouverture forcée du Japon à l'Occident après plus de deux siècles d'isolement, Manji se retrouve mêlé aux jeux de pouvoirs et à la guerre sanglante que se livrent les partisans de la restauration de l'empereur et les forces fidèles au shogun en place. De quel côté l'immortel fera-t-il pencher l'Histoire d'un pays sur le point de sombrer dans la guerre civile ? Critique : En voilà une série qui n'en finie pas de se bonifier. Après un deuxième tome qui densifiait l'histoire et offrait de beaux combats, ce tome trois mêle très habilement l'histoire courante avec des flashbacks de Manji sur les personnages qui ont écrit l'histoire de Manji. Des personnages que l'on connait et des comparaisons qui montre que Manji commence à se sentir vieux. Que les histoires qu'il a vécues lui pèse, tout immortel qu'il soit. Et cela sans oublier une montée en puissance de la folie des vers. La folie qui fait que toutes personnes qui en entendent parler ont envie de devenir immortel et qui font, encore une fois, de Manji une cible prioritaire pour tous ? Espérons que le t4 soit toujours sur cette superbe pente ascendante Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-habitant-de-l-infini-bakumatsu-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Un second au revoir tome 2

    Plus on avance dans cette série plus on s’engouffre dans une sorte de folie créative. L’art n’a sans doute pas de limites et les personnages talentueux semblent être inaccessibles. Alors, comment Hinata peut arriver à changer le passé et le destin de son ami si rien de ce qu’il découvre découle de comportements logiques ? En tout cas, il a trouvé un allié, un journaliste qui enquête sur le professeur d’arts plastiques mais encore une fois, tout se retrouve chamboulé. Difficile de faire un résumé ni de parler de ce second volume sans trop en dévoiler et ce serait vraiment dommage vu la tournure des événements. Sachez seulement que le second tome se termine comme le premier : sur un cliffhanger insoutenable. On sort de cette lecture frustré et excité, vivement la suite !
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