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  1. Poseidon2 avait fait la critique du 1er tome de la série mais vu que cela fait un certain temps, un petit rappel sur la série n’est pas superflu. Le requiem du roi des roses c’est une revisite de la pièce Richard III de Shakespeare, elle-même inspirée par le destin tragique de ce roi d’Angleterre, mort à 33 ans après n’avoir régné que 2 ans et pour cause, il était le 4eme fils du duc d’York. Le contexte historique de l’époque est particulièrement houleux, deux maisons se disputent le trône : les York et les Lancaster, et chacun met tous ses efforts pour devenir roi, traitrise, alliance, complots, guerres sont le quotidien des protagonistes. Le manga est bien ancré dans l’histoire mais Aya Kanno, autrice de shojo à l’origine, revisite la réalité en apportent deux touches spécifiques : la 1ère c’est qu’elle fait du jeune Richard un enfant maléfique, maudit même car il est hermaphrodite. Le 2eme c’est qu’à cause de cette particularité physique, il a des relations avec des hommes (pour information, il n’y a pas de scènes de sexe, ce n’est pas un yaoi). Notre héros est donc torturé, rejeté par sa mère depuis sa naissance, hantée par un fantôme qui est probablement une représentation de son côté obscur, il n’aura de cesse d’obtenir le trône avec l’aide du duc de Buckingham, quitte à éliminer tous les obstacles sur son chemin y compris ses propres frères ! Ce 16eme tome est particulièrement réussi et on sent la fin approcher (série finie au tome 17). Buckingham a trahi Richard et a monté une révolte, les deux armées font route l’une vers l’autre mais en désespoir de cause et vue qu’il n’obtiendra pas ce qu’il veut plus que tout (à savoir partir avec Richard loin de tout), il se résigne à périr pour lui. Richard perd son plus précieux allié et ce n’est que le début, tout semble s’écrouler autour de lui, il est de plus en plus isolé alors que la tempête se lève : Henri Tudor, le dernier Lancaster est en chemin ! Pour être honnête, la série a parfois souffert de longueurs, il y a beaucoup de personnages et parfois, au milieu de tous ces complots on s’y perd un peu. Mais là, en plus de ressentir l’effondrement de tout ce qu’a accompli Richard et la folie qui commence à le gagner, on est pris d’une empathie à son égard d’autant plus que l’on sait que cela ne peut que mal se finir. Aya Kanno sait mettre de la force dans ses dessins, des encrages et des compositions qui augmentent la présence du mal et mettent en valeur le chaos et le drame.
  2. Titre de l'album : Le requiem du roi des roses tome 16 Scenariste de l'album : KANNO Aya Dessinateur de l'album : KANNO Aya Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Alors que Richard s'apprête à partir pour York en vue de son couronnement, le duc de Buckingham prend la surprenante décision de retourner dans son domaine. Hélas, le monarque n'est pas en grande forme, et l'examen effectué par Jane ne le rassure en rien... Bouleversé par ce qu'il vient d'apprendre, il court rejoindre son bras droit ! Mais leurs retrouvailles, loin de dissiper leurs doutes, ne font qu'accroître la faille qui s'est créée entre les deux amants : comprenant que l'avenir qu'il s'était imaginé n'est plus qu'une chimère, le faiseur de rois pose alors un ultimatum à son souverain, sous peine de nouveaux troubles dans le royaume ! Richard choisira-t-il l'amour ou la couronne ? Critique : Poseidon2 avait fait la critique du 1er tome de la série mais vu que cela fait un certain temps, un petit rappel sur la série n’est pas superflu. Le requiem du roi des roses c’est une revisite de la pièce Richard III de Shakespeare, elle-même inspirée par le destin tragique de ce roi d’Angleterre, mort à 33 ans après n’avoir régné que 2 ans et pour cause, il était le 4eme fils du duc d’York. Le contexte historique de l’époque est particulièrement houleux, deux maisons se disputent le trône : les York et les Lancaster, et chacun met tous ses efforts pour devenir roi, traitrise, alliance, complots, guerres sont le quotidien des protagonistes. Le manga est bien ancré dans l’histoire mais Aya Kanno, autrice de shojo à l’origine, revisite la réalité en apportent deux touches spécifiques : la 1ère c’est qu’elle fait du jeune Richard un enfant maléfique, maudit même car il est hermaphrodite. Le 2eme c’est qu’à cause de cette particularité physique, il a des relations avec des hommes (pour information, il n’y a pas de scènes de sexe, ce n’est pas un yaoi). Notre héros est donc torturé, rejeté par sa mère depuis sa naissance, hantée par un fantôme qui est probablement une représentation de son côté obscur, il n’aura de cesse d’obtenir le trône avec l’aide du duc de Buckingham, quitte à éliminer tous les obstacles sur son chemin y compris ses propres frères ! Ce 16eme tome est particulièrement réussi et on sent la fin approcher (série finie au tome 17). Buckingham a trahi Richard et a monté une révolte, les deux armées font route l’une vers l’autre mais en désespoir de cause et vue qu’il n’obtiendra pas ce qu’il veut plus que tout (à savoir partir avec Richard loin de tout), il se résigne à périr pour lui. Richard perd son plus précieux allié et ce n’est que le début, tout semble s’écrouler autour de lui, il est de plus en plus isolé alors que la tempête se lève : Henri Tudor, le dernier Lancaster est en chemin ! Pour être honnête, la série a parfois souffert de longueurs, il y a beaucoup de personnages et parfois, au milieu de tous ces complots on s’y perd un peu. Mais là, en plus de ressentir l’effondrement de tout ce qu’a accompli Richard et la folie qui commence à le gagner, on est pris d’une empathie à son égard d’autant plus que l’on sait que cela ne peut que mal se finir. Aya Kanno sait mettre de la force dans ses dessins, des encrages et des compositions qui augmentent la présence du mal et mettent en valeur le chaos et le drame. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-requiem-du-roi-des-roses-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Kengan ashura T17-18

    Ça y est on a la fin du combat de Ohma contre Rainan le fou. Fin de combat épique qui voit Ohma revenir au style Niko et nous offrir une fin de combat moins bourrin mais tout aussi intense. Les combats qui suivent sont plus rapide mais les oppositions de styles toujours aussi intéressantes malgré une augmentation de la violence dans la plupart des combats. Ce qui est vraiment bien dans ce deuxième tour du tournoi Kengan, c'est que chacun des personnages est présenté de façon neutre. On connait les motivations de chacun mais aucun des combattant n'est présenté comme le favori ou le chouchou et on ne sait donc vraiment pas (mise à part Ohma et encore) qui va gagner le combat. Cela rend les combat plus intense et plus surprenant car ce n'est pas forcément le plus gentil qui gagne... Pourvu que cela continue comme cela !
  4. Titre de l'album : Kengan ashura T17-18 Scenariste de l'album : Sandrovich Yabako Dessinateur de l'album : Daromeon Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Groupe pharmaceutique Furumi Fondée la première année de l'ère Tenmei (1781), cette entreprise est l'un des plus anciens membres de l'association Kengan. Aujourd'hui, c'est l'un des 5 plus grands groupes pharmaceutiques du Japon, et le 2e en termes de chiffre d'affaires. Sa spécialité est les antihypertenseurs, mais il diversifie sa production depuis quelques années. Palmarès KENGAN : 812 victoires et 28o défaites. LA MEILLEURE DÉFENSE... C'EST L'ATTAQUE. Groupe industriel Iwami Fondé en 1950, ce groupe industriel est le plus grand de l'archipel. Si ses activités principales sont la construction navale, le commerce maritime et les moteurs, il produit tellement d'armes qu'on le surnomme parfois le " supermarché des flingues ". Sa devise est " La mort, c'est de l'argent. " Palmarès KENGAN : 111 victoires et 61 défaites. FAITES VOS PRIÈRES... L' ENVOYÉ DE LA MORT EST ARRIVÉ. Critique : Ça y est on a la fin du combat de Ohma contre Rainan le fou. Fin de combat épique qui voit Ohma revenir au style Niko et nous offrir une fin de combat moins bourrin mais tout aussi intense. Les combats qui suivent sont plus rapide mais les oppositions de styles toujours aussi intéressantes malgré une augmentation de la violence dans la plupart des combats. Ce qui est vraiment bien dans ce deuxième tour du tournoi Kengan, c'est que chacun des personnages est présenté de façon neutre. On connait les motivations de chacun mais aucun des combattant n'est présenté comme le favori ou le chouchou et on ne sait donc vraiment pas (mise à part Ohma et encore) qui va gagner le combat. Cela rend les combat plus intense et plus surprenant car ce n'est pas forcément le plus gentil qui gagne... Pourvu que cela continue comme cela ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kengan-ashura-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. 2eme titre de la collection XS (3.95€ le tome !) de Noeve Grafx, la série est en cours et compte 24 tomes pour le moment. Des mangas où humains et yokai doivent cohabiter, il y en a déjà eu et c’est toujours un peu difficile d’accès tellement on plonge dans le folklore japonais. En occident aussi, on a des contes et des croyances mais je crois que les japonais en ont vraiment beaucoup !! Suite à l’incendie de son internat, notre héros Yushi Inaba emménage dans une vielle demeure où de nombreuses créatures de tout genre habitent. Surpris au début, il va apprendre à les connaitre et les apprécier. L’approche est assez intéressante car Yushi n’est pas là pour combattre, ce n’est pas un médium ni un humain victime d’une malédiction, c’est juste un nouveau locataire dans une pension un peu particulière. Et ce sont des scènes de son nouveau quotidien que l’on va suivre. Alors bien évidemment, avec de tels voisins, il va forcément se passer des événements étranges, mais l’ambiance générale est positive : tout le monde cohabite dans la bonne humeur ! Du coup, comme les yokais ne font parfois qu’acte de présence et que l’auteur ne nous assomme pas avec des explications sur chacun d’entre eux, la lecture est agréable et fluide, pas la peine de se creuser les méninges pour comprendre chaque pensionnaire ! On a un manga sympathique, avec une dose de fantastique et surtout un bon état d’esprit pour s’ouvrir aux autres et regarder autour de soi : de la tolérance et de la bienveillance !
  6. Titre de l'album : Elegant Yokai apartment life tome 1 Scenariste de l'album : KOZUKI Hinowa Dessinateur de l'album : MIYAMA Waka Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Yûshi Inaba n’est pas le plus chanceux des adolescents. Orphelin recueilli par son oncle, il espère gagner son indépendance en vivant en internat… qui se retrouve ravagé par les flammes ! Il se dégote finalement un appartement à un prix (bien trop) intéressant, et pour cause : le lieu est hanté ! Cohabitant avec humains et yôkai, commence alors pour Yûshi une vie de paix, de raffinement et de voisinage pas piqué des vers Critique : 2eme titre de la collection XS (3.95€ le tome !) de Noeve Grafx, la série est en cours et compte 24 tomes pour le moment. Des mangas où humains et yokai doivent cohabiter, il y en a déjà eu et c’est toujours un peu difficile d’accès tellement on plonge dans le folklore japonais. En occident aussi, on a des contes et des croyances mais je crois que les japonais en ont vraiment beaucoup !! Suite à l’incendie de son internat, notre héros Yushi Inaba emménage dans une vielle demeure où de nombreuses créatures de tout genre habitent. Surpris au début, il va apprendre à les connaitre et les apprécier. L’approche est assez intéressante car Yushi n’est pas là pour combattre, ce n’est pas un médium ni un humain victime d’une malédiction, c’est juste un nouveau locataire dans une pension un peu particulière. Et ce sont des scènes de son nouveau quotidien que l’on va suivre. Alors bien évidemment, avec de tels voisins, il va forcément se passer des événements étranges, mais l’ambiance générale est positive : tout le monde cohabite dans la bonne humeur ! Du coup, comme les yokais ne font parfois qu’acte de présence et que l’auteur ne nous assomme pas avec des explications sur chacun d’entre eux, la lecture est agréable et fluide, pas la peine de se creuser les méninges pour comprendre chaque pensionnaire ! On a un manga sympathique, avec une dose de fantastique et surtout un bon état d’esprit pour s’ouvrir aux autres et regarder autour de soi : de la tolérance et de la bienveillance ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elegant-yokai-apartment-life-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    3 minutes de silence

    Demi-frères par alliance, Saku et Aki éprouvent des sentiments l’un pour l’autre, sans jamais les avoir avoués à l’autre. Aki l’ainé, gêné a quitté le domicile familial pour aller travailler mais au moment où son frère commence ses études, ils vont devoir vivre à nouveau ensemble et les sentiments qu’ils avaient essayé de fuir vont ressurgir. Le plus flagrant dans ce manga c’est la gêne constante : chacun n’ose pas se déclarer de peur de gêner l’autre, Saku agit de façon exagéré avec les femmes à la fois pour oublier mais aussi pour attirer l’attention d’Aki et ce dernier est constamment sous les feux de la raison, une gêne vis-à-vis de la société, du quand dira-t-on. Ce n’est pas pour lui mais pour le bien-être de son frère adoré. On ressent vraiment que les mentalités n’ont pas encore complètement changées et que de faire son coming-out est encore problématique. Graphiquement parlant, on se trouve dans les clichés du manga destiné aux jeunes filles, des personnages aux traits fins, voire trop féminin ou enfantin, ce qui est toujours un peu perturbant car cela casse le réalisme. Côté histoire, si les états d’âme des personnages sont intéressants, la situation intermédiaire qu’ils vont choisir est prétexte aux scènes osées. Si je trouve l’idée bonne, le traitement ne m’a pas convaincue mais cela reste un yaoi des plus acceptables.
  8. Titre de l'album : 3 minutes de silence Scenariste de l'album : ICHINASHI Kimi Dessinateur de l'album : ICHINASHI Kimi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Suite au remariage de leurs parents, Saku, cadet playboy frivole, et Aki, aîné introverti haïssant les femmes, sont devenus des quasi-frères. Un jour, alors que Saku s'installe chez lui pour suivre ses études à l'université, Aki espère pouvoir retrouver sa bonne relation d'autrefois avec son mignon petit frère, étant donné que ce dernier l'évite clairement depuis quelques années. Saku est et restera son précieux petit frère... Du moins, c'est ce qu'il croyait... Critique : Demi-frères par alliance, Saku et Aki éprouvent des sentiments l’un pour l’autre, sans jamais les avoir avoués à l’autre. Aki l’ainé, gêné a quitté le domicile familial pour aller travailler mais au moment où son frère commence ses études, ils vont devoir vivre à nouveau ensemble et les sentiments qu’ils avaient essayé de fuir vont ressurgir. Le plus flagrant dans ce manga c’est la gêne constante : chacun n’ose pas se déclarer de peur de gêner l’autre, Saku agit de façon exagéré avec les femmes à la fois pour oublier mais aussi pour attirer l’attention d’Aki et ce dernier est constamment sous les feux de la raison, une gêne vis-à-vis de la société, du quand dira-t-on. Ce n’est pas pour lui mais pour le bien-être de son frère adoré. On ressent vraiment que les mentalités n’ont pas encore complètement changées et que de faire son coming-out est encore problématique. Graphiquement parlant, on se trouve dans les clichés du manga destiné aux jeunes filles, des personnages aux traits fins, voire trop féminin ou enfantin, ce qui est toujours un peu perturbant car cela casse le réalisme. Côté histoire, si les états d’âme des personnages sont intéressants, la situation intermédiaire qu’ils vont choisir est prétexte aux scènes osées. Si je trouve l’idée bonne, le traitement ne m’a pas convaincue mais cela reste un yaoi des plus acceptables. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/3-minutes-de-silence?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Sweet Konkrete t1

    On parle beaucoup de la succes story Radiant mais plus ca va plus les auteurs de manga bien de chez nous prennent de la bouteille et palient au plu gros defaut qu'ils avaient : réussir à être au niveau des auteurs asiatiques sur le graphisme. C'est une chose faite sur ce Sweet Konkrete. SI tout n'est pas parfait, c'es quand meme graphiquement très bon et n'a pas à rougir d'un comparaison avec les mangas japonais. Et c'est tant mieux car on ne pouvait nier que les mangaka francais savent nous trouver des scenarios plus ambitieux et plus innovant que nos amis japonais qui ont tendance à se restreindre à des thematiques et des histoires qu'ils sont sur de vendre (Isekai, shonen de base...). il ne manquait souvent que le coté graphisme. Sweet Konkrete en est le parfait exemple avec un scenario jamais vu auparavant. Cette histoire policière dans un univers corrompus, mêle pouvoirs, enquetes et combats. Un manga qui garde le coté dynamique des références du shonen avec des combats bien réalisés tout en réussissant à ajouter une touche d'originalité bienvenue par l'humour et le passée de notre enquêtrice mais surtout une densité qui fait souvent défaut aux shonen japonais. En bref un premier tome réussi qui montre que les mangakas francais n'ont rien envier à leur homonyme asiatique. Vivement le suite.
  10. Titre de l'album : Sweet Konkrete t1 Scenariste de l'album : Senchiro Dessinateur de l'album : Senchiro Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Dans la mégalopole de Cielazur, pour préserver les apparences, la vérité est parfois étouffée. Asa, une jeune policière éprise de justice, voit sa curiosité piquée lorsqu'elle découvre l'arme de service de son défunt père avec un étrange symbole gravé sur le canon... Au fil de ses recherches, Asa comprend que pour découvrir la vérité sur le mystère qui entoure la mort de son père, elle devra se rendre à la Citadelle : un mystérieux ghetto où règne le crime et où les lois de la nature ne semblent pas s'appliquer. Critique : On parle beaucoup de la succes story Radiant mais plus ca va plus les auteurs de manga bien de chez nous prennent de la bouteille et palient au plu gros defaut qu'ils avaient : réussir à être au niveau des auteurs asiatiques sur le graphisme. C'est une chose faite sur ce Sweet Konkrete. SI tout n'est pas parfait, c'es quand meme graphiquement très bon et n'a pas à rougir d'un comparaison avec les mangas japonais. Et c'est tant mieux car on ne pouvait nier que les mangaka francais savent nous trouver des scenarios plus ambitieux et plus innovant que nos amis japonais qui ont tendance à se restreindre à des thematiques et des histoires qu'ils sont sur de vendre (Isekai, shonen de base...). il ne manquait souvent que le coté graphisme. Sweet Konkrete en est le parfait exemple avec un scenario jamais vu auparavant. Cette histoire policière dans un univers corrompus, mêle pouvoirs, enquetes et combats. Un manga qui garde le coté dynamique des références du shonen avec des combats bien réalisés tout en réussissant à ajouter une touche d'originalité bienvenue par l'humour et le passée de notre enquêtrice mais surtout une densité qui fait souvent défaut aux shonen japonais. En bref un premier tome réussi qui montre que les mangakas francais n'ont rien envier à leur homonyme asiatique. Vivement le suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-konkrete-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Radiant T16

    L'histoire avance d'un grand pas dans ce tome 16 avec la fin du statut quo et la libération de Seth. Libération qui rebat les cartes au sein de l'inquisition avec des troupes qui hésitent et d'autres qui changent de camps. L'évolution se poursuit aussi du coté des infectés avec des dissidences qui se forment et des némésis de plus en plus impressionantes. Un très bon tomes d'une série qui n'en finit plus de plaire ! vivement la suite !
  12. poseidon2

    Radiant T16

    Titre de l'album : Radiant T16 Scenariste de l'album : Tony Valente Dessinateur de l'album : Tony Valente Coloriste : Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Alors qu’Ocoho, Diabal et Lupa Lycco tentent de retrouver les domitors pour libérer Mélie, Grimm, en échange d’une entrevue avec Adhès, accepte de libérer Seth de l’Inquisition. Mais dans les geôles de Bôme, affaibli par l’argent noir, le jeune cornu a bien du mal à contenir les Némésis claustrés en lui. Critique : L'histoire avance d'un grand pas dans ce tome 16 avec la fin du statut quo et la libération de Seth. Libération qui rebat les cartes au sein de l'inquisition avec des troupes qui hésitent et d'autres qui changent de camps. L'évolution se poursuit aussi du coté des infectés avec des dissidences qui se forment et des némésis de plus en plus impressionantes. Un très bon tomes d'une série qui n'en finit plus de plaire ! vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/radiant-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Saturn return tome 2

    Après un flashback sur la rencontre de Kaji et de son mari et sur l’évènement qui les a réunis, on reprend la recherche sur le suicide de Nakajima. Kaji et son éditeur peinent à trouver des indices et surtout à trouver des personnes qui acceptent de leur parler sans contrepartie. Ce deuxième tome confirme l’impression du début, Akane Torikai a définitivement progressé dans sa façon de mener le récit, le lecteur est happé par l’histoire, pris dans la tourmente des personnages et il y en a ! On ne sait pas trop ce que recherche vraiment Kaji et plus on avance, plus on se rend compte que les personnages sont complexes, que leurs relations sont torturées. « Je veux juste vivre ma vie… » dit-elle, mais comment faire ? Est-ce qu’à trop chercher un sens à la vie ne va pas l’enliser encore plus ? Encore une fois, il y a beaucoup d’idées, beaucoup de pistes à explorer, chaque personnage semble se débattre dans sa propre existence au risque de s’y noyer. Une série à découvrir !
  14. Titre de l'album : Saturn return tome 2 Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis l’annonce du décès de son ami, la vie de Ritsuko Kaji a basculé : embarquée par son nouveau responsable éditorial, l’autrice va essayer de comprendre les véritables raisons qui ont poussé « Aoi » à mettre fin à ses jours. Et pour ça, elle devra trouver des réponses auprès des huit femmes qui ont reçu un étrange message de sa part, juste avant sa mort. Mais en se jetant à corps perdu dans cette quête, Ritsuko ne risque-t-elle pas de faire voler son monde en éclats ? Critique : Après un flashback sur la rencontre de Kaji et de son mari et sur l’évènement qui les a réunis, on reprend la recherche sur le suicide de Nakajima. Kaji et son éditeur peinent à trouver des indices et surtout à trouver des personnes qui acceptent de leur parler sans contrepartie. Ce deuxième tome confirme l’impression du début, Akane Torikai a définitivement progressé dans sa façon de mener le récit, le lecteur est happé par l’histoire, pris dans la tourmente des personnages et il y en a ! On ne sait pas trop ce que recherche vraiment Kaji et plus on avance, plus on se rend compte que les personnages sont complexes, que leurs relations sont torturées. « Je veux juste vivre ma vie… » dit-elle, mais comment faire ? Est-ce qu’à trop chercher un sens à la vie ne va pas l’enliser encore plus ? Encore une fois, il y a beaucoup d’idées, beaucoup de pistes à explorer, chaque personnage semble se débattre dans sa propre existence au risque de s’y noyer. Une série à découvrir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saturn-return-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Paris Fan Festival au parc de la Vilette

    jusqu’à
    Manga, jeux de rôle, super-héros, univers de films, comics... Seront au rendez-vous le week-end du 7 et 8 mai Editeurs présents : Ki-oon, Mangetsu, Hicomics, Bragelonne Plus d'infos ici : Paris Fan Festival - Evènement 7 et 8 Mai 2022
  16. Nickad

    Echoes tome 8

    Résumé de la série : Senri est un jeune homme assez sombre, ses parents ont été tués quand il était petit et son frère jumeau a disparu. Si tout le monde autour de lui pense que son frère Kazuto est mort, Senri est persuadé du contraire, il le sent grâce au lien très particulier qui lie les jumeaux : chacun était capable de ressentir les émotions de l’autre et de partager des visions. Cette capacité avait disparu après le drame mais depuis peu, Senri reçoit à nouveau des images qui vont lui permettre de partir à la recherche de son frère. Mais il n’est pas le seul sur le coup, car celui qui a enlevé Kazuto, « l’homme à la cicatrice » est poursuivi à la fois par la police et par des gangs mafieux, et Kazuto semble être devenu son complice. Ce 8eme tome marque un tournant dans la série ; il est riche en révélations, Senri se rapproche de son frère mais c’est une course contre la montre car d’autres sont à ses trousses. Ce qui est intéressant avec Kei Sanbe c’est que ses scenarios sont très bien ficelés, il y a toujours des rebondissements que l’on n’attendait pas et il est impossible de prévoir la suite. Son trait est facilement reconnaissable, surtout dans le faciès des personnages, il sait mettre le dynamisme et la tension quand il le faut. C’est un de mes auteurs préférés et j’avais un peu peur qu’il ne sache pas se renouveler après l’excellent Erased mais force est de constater qu’il réussit à nous présenter une nouvelle série forte et prenante. Laissez-vous tenter, 9 tomes en cours.
  17. Nickad

    Echoes tome 8

    Titre de l'album : Echoes tome 8 Scenariste de l'album : SANBE Kei Dessinateur de l'album : SANBE Kei Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : À travers une nouvelle vision partagée avec son frère, Senri découvre enfin le secret que Kazuto souhaitait tellement protéger et comprend mieux pourquoi ce dernier a repris contact avec lui après toutes ces années... Mais, s'il est plus que jamais déterminé à aider son jumeau, l'adolescent n'en oublie pas pour autant son enquête sur l'homme à la cicatrice, et en particulier sur l'imposteur qui se fait passer pour Trois-Yeux ! Parviendra-t-il à le démasquer ? Critique : Résumé de la série : Senri est un jeune homme assez sombre, ses parents ont été tués quand il était petit et son frère jumeau a disparu. Si tout le monde autour de lui pense que son frère Kazuto est mort, Senri est persuadé du contraire, il le sent grâce au lien très particulier qui lie les jumeaux : chacun était capable de ressentir les émotions de l’autre et de partager des visions. Cette capacité avait disparu après le drame mais depuis peu, Senri reçoit à nouveau des images qui vont lui permettre de partir à la recherche de son frère. Mais il n’est pas le seul sur le coup, car celui qui a enlevé Kazuto, « l’homme à la cicatrice » est poursuivi à la fois par la police et par des gangs mafieux, et Kazuto semble être devenu son complice. Ce 8eme tome marque un tournant dans la série ; il est riche en révélations, Senri se rapproche de son frère mais c’est une course contre la montre car d’autres sont à ses trousses. Ce qui est intéressant avec Kei Sanbe c’est que ses scenarios sont très bien ficelés, il y a toujours des rebondissements que l’on n’attendait pas et il est impossible de prévoir la suite. Son trait est facilement reconnaissable, surtout dans le faciès des personnages, il sait mettre le dynamisme et la tension quand il le faut. C’est un de mes auteurs préférés et j’avais un peu peur qu’il ne sache pas se renouveler après l’excellent Erased mais force est de constater qu’il réussit à nous présenter une nouvelle série forte et prenante. Laissez-vous tenter, 9 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/echoes-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Soul keeper tomes 1 et 2

    Riyon est un fantôme, afin d’acquérir de l’expérience, elle est envoyée sur terre pour servir d’esprit protecteur à un humain, voyant qu’il ne reste que 518 jours à vivre à cette personne, elle se dit que cela va être facile. Mais l’humain en question n’est autre que le 1er ministre du Japon, assailli de toute part par des personnes malveillantes, Riyon décide de l’aider quitte à transgresser quelques règles. Panini poursuit la réédition de ses titres et notamment ceux de l’auteur Tsutomu TAKAHASHI, Soul keeper a été écrit juste après Sidooh, sa dernière série Neun est toujours en cours. Peu de changement sur la présentation, la couverture est la même sauf qu’elle bénéficie à présent d’une légère mise en relief du titre et du personnage, l’édition est de qualité. Soul Keeper mélange habilement le fantastique et la politique, il y a tout un côté ésotérique (don de voyance, esprits…) et mystique (vision de l’au-delà et devenir des âmes) et toute la noirceur du monde politique avec ses complots de l’ombre, la dure réalité de ceux qui sont au pouvoir et l’ambition sans limite de ceux qui le veulent. Au milieu de tout ça, notre duo insolite va devoir faire face et Riyon devra lutter pour que le 1er ministre puisse aller au bout du temps qui lui reste. L’histoire est vraiment insolite, l’alternance des deux univers apporte un dynamisme au récit en évitant de tomber dans les clichés et la lourdeur. On est facilement pris par l’histoire et la lecture des 2 tomes s’enchaine rapidement, cependant je pense que le propos plaira plus aux adultes
  19. Titre de l'album : Soul keeper tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : TAKAHASHI Tsutomu Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Tsutomu Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Riyon est le fantôme d'une jeune fille indépendante et rebelle. Bien qu'elle soit censée suivre des cours pour bonifier son âme en vue de sa prochaine réincarnation, elle préfère passer ses journées à jouer à Othello. Afin de la ramener sur le droit chemin, le précepteur en chef de l'au-delà lui ordonne de descendre sur Terre et de devenir l'esprit protecteur d'une personne de son choix. Sans le savoir, Riyon jette son dévolu sur le Premier ministre du Japon, un homme gravement malade, à qui il reste à peine plus de 500 jours à vivre... Critique : Riyon est un fantôme, afin d’acquérir de l’expérience, elle est envoyée sur terre pour servir d’esprit protecteur à un humain, voyant qu’il ne reste que 518 jours à vivre à cette personne, elle se dit que cela va être facile. Mais l’humain en question n’est autre que le 1er ministre du Japon, assailli de toute part par des personnes malveillantes, Riyon décide de l’aider quitte à transgresser quelques règles. Panini poursuit la réédition de ses titres et notamment ceux de l’auteur Tsutomu TAKAHASHI, Soul keeper a été écrit juste après Sidooh, sa dernière série Neun est toujours en cours. Peu de changement sur la présentation, la couverture est la même sauf qu’elle bénéficie à présent d’une légère mise en relief du titre et du personnage, l’édition est de qualité. Soul Keeper mélange habilement le fantastique et la politique, il y a tout un côté ésotérique (don de voyance, esprits…) et mystique (vision de l’au-delà et devenir des âmes) et toute la noirceur du monde politique avec ses complots de l’ombre, la dure réalité de ceux qui sont au pouvoir et l’ambition sans limite de ceux qui le veulent. Au milieu de tout ça, notre duo insolite va devoir faire face et Riyon devra lutter pour que le 1er ministre puisse aller au bout du temps qui lui reste. L’histoire est vraiment insolite, l’alternance des deux univers apporte un dynamisme au récit en évitant de tomber dans les clichés et la lourdeur. On est facilement pris par l’histoire et la lecture des 2 tomes s’enchaine rapidement, cependant je pense que le propos plaira plus aux adultes Autres infos : Série finie en 8 tomes Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soul-keeper-tome-1-nouvelle-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Corps solitaires tome 6

    Michi et Niina ont passé un cap, ils ont réalisé qu’ils auraient dû parler à cœur ouvert à leur conjoint respectif et qu’ils ne s’étaient pas vraiment mis à leur place. Chacun, décide de faire des efforts. Michi décide de changer d’environnement, de passe un concours et de s’ouvrir à d’autres activités pour redonner du souffle à son couple mais si cela permet d’améliorer la relation avec son mari, ce dernier commence à se poser d’autres questions. Ce qui est fort dans ce manga, c’est la façon dont l’auteure traite le sujet : par moment, on a l’impression que c’est plus la faute du mari, puis on se dit que c’est la femme qui a tort… En fait, on ne peut pas prendre parti pour quelqu’un en particulier car ils sont tous touchants, qu’ils font tous de leur mieux et que personne n’est parfait. Et même s’il y a des tromperies par moment, cela n’a jamais été intentionnel ni dans le but de nuire, ils ont juste été happés par leur vie et par leurs tourments. Haru Haruno a l’art de raconter une histoire d’amours complexes avec tous ses tracas sans jamais émettre un seul jugement, c’est beau et émouvant.
  21. Titre de l'album : Corps solitaires tome 6 Scenariste de l'album : HARUNO Haru Dessinateur de l'album : HARUNO Haru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Michi Yoshino a 32 ans. Sa relation avec Yôichi, son mari, n'est pas mauvaise, mais une seule chose fait défaut : le sexe. Après sa rupture avec Makoto, Michi décide d'aborder de front ses problèmes avec son mari. Mais quand celui-ci, qui se sent soumis à une pression trop forte, lui fait part de ses tourments, Michi se sent démoralisée... Makoto, voyant qu'elle ne va pas bien, lui avoue qu'il n'arrive pas à l'oublier. Critique : Michi et Niina ont passé un cap, ils ont réalisé qu’ils auraient dû parler à cœur ouvert à leur conjoint respectif et qu’ils ne s’étaient pas vraiment mis à leur place. Chacun, décide de faire des efforts. Michi décide de changer d’environnement, de passe un concours et de s’ouvrir à d’autres activités pour redonner du souffle à son couple mais si cela permet d’améliorer la relation avec son mari, ce dernier commence à se poser d’autres questions. Ce qui est fort dans ce manga, c’est la façon dont l’auteure traite le sujet : par moment, on a l’impression que c’est plus la faute du mari, puis on se dit que c’est la femme qui a tort… En fait, on ne peut pas prendre parti pour quelqu’un en particulier car ils sont tous touchants, qu’ils font tous de leur mieux et que personne n’est parfait. Et même s’il y a des tromperies par moment, cela n’a jamais été intentionnel ni dans le but de nuire, ils ont juste été happés par leur vie et par leurs tourments. Haru Haruno a l’art de raconter une histoire d’amours complexes avec tous ses tracas sans jamais émettre un seul jugement, c’est beau et émouvant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corps-solitaires-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Tout au bout du chemin

    C’est l’histoire de deux garçons qui se sont rencontrés enfants, ont été dans les mêmes écoles, ont partagé la passion du dessin, l’un dans la peinture et l’autre dans le manga. Deux garçons qui ont été proches à un moment donné et qui après un événement difficile se sont perdus de vue. Deux garçons qui se retrouvent et qui vont devoir faire face à l’autre. Un peu déroutant au départ, pas par son histoire mais par la construction, on commence en effet par un retour en arrière qui enchaine avec un 2eme flash-back mais pas consécutif, ensuite on repart dans le présent. Différentes temporalités se succèdent et il faut avancer un peu dans la lecture afin de pouvoir comprendre. Passé cet aspect, le livre est assez intéressant, il y a effectivement un amour entre les deux garçons mais ce n’est pas le sujet principal du livre, ce qui est mis en avant ce sont les relations et les blessures qui restent après un événement marquant, comment un tout petit moment d’une vie peut tout faire basculer et comment les protagonistes en subissent les conséquences. L’autrice, que l’on a découvert dans twilight outfocus et after image slow motion, a un trait fin et soigné et sait varier les points de vue. Les émotions passent bien, le manga a une certaine originalité dans l’approche de ses personnages et de leurs sentiments, c’est une lecture plaisante.
  23. Titre de l'album : Tout au bout du chemin Scenariste de l'album : JYANOME Dessinateur de l'album : JYANOME Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Jô Takeda et Minoru Osanai sont deux enfants passionnés d'art et surtout amoureux. Un jour, Minoru trahit son copain devant d'autres camarades de classe qui finissent par le lyncher. Jô quitte l'école et réalise son rêve de devenir mangaka , Minoru abandonne le sien et s'enfuit de la ville... Deux chemins de vie opposés qui vont pourtant se croiser à nouveau lors d'une réunion d'anciens élèves. Jô obtiendra-t-il enfin une réponse à ses questions ? Critique : C’est l’histoire de deux garçons qui se sont rencontrés enfants, ont été dans les mêmes écoles, ont partagé la passion du dessin, l’un dans la peinture et l’autre dans le manga. Deux garçons qui ont été proches à un moment donné et qui après un événement difficile se sont perdus de vue. Deux garçons qui se retrouvent et qui vont devoir faire face à l’autre. Un peu déroutant au départ, pas par son histoire mais par la construction, on commence en effet par un retour en arrière qui enchaine avec un 2eme flash-back mais pas consécutif, ensuite on repart dans le présent. Différentes temporalités se succèdent et il faut avancer un peu dans la lecture afin de pouvoir comprendre. Passé cet aspect, le livre est assez intéressant, il y a effectivement un amour entre les deux garçons mais ce n’est pas le sujet principal du livre, ce qui est mis en avant ce sont les relations et les blessures qui restent après un événement marquant, comment un tout petit moment d’une vie peut tout faire basculer et comment les protagonistes en subissent les conséquences. L’autrice, que l’on a découvert dans twilight outfocus et after image slow motion, a un trait fin et soigné et sait varier les points de vue. Les émotions passent bien, le manga a une certaine originalité dans l’approche de ses personnages et de leurs sentiments, c’est une lecture plaisante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tout-au-bout-du-chemin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Sôten no Ken tome 3

    Kenshirô a sauvé Pan Guanglin qui agit pour reprendre sa place de chef du syndicat de Jade, avec l’aide de de Guise, il va nettoyer la ville, seulement les 2 premiers dirigeants de l’Union sont encore en vie et représentent une menace. De son côté Kenshirô combat Longwang pour venger la mort de Yuling, l’affrontement entre deux maîtres du Hokuto va nous permettre d’en apprendre un peu plus sur leurs techniques. Sôten no Ken mélange toujours habilement la partie arts martiaux et histoire, sur fond de seconde guerre mondiale, le contexte politique est bien présent : la création du Mandchoukouo avec l’opposition des chinois et des japonais, la position des juifs, les intérêts de la France de la concession chinoise. Et puis, il y a tout l’univers des triades, les guerres de clans, le trafic d’opium, la loi du plus fort qui n’hésite pas à tirer dans le tas quitte à sacrifier des larbins… Le dessin de Tetsuo Hara est toujours très fourni en détails, l’histoire est également dense, il y a de quoi lire. Et puis Kenshirô n’est pas tout puissant et ça c’est bien, car cela emmène plus de tension et d’intérêt à l’histoire. Un manga d’action très bien mené !
  25. Titre de l'album : Sôten no Ken tome 3 Scenariste de l'album : BURONSON Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kenshirô apprend que Pan Guanglin, parrain du Syndicat de Jade, est toujours en vie ! Prêt à tout pour sauver son ami, il devra affronter un disciple du Hokuto Shinken, un adversaire redoutable dont la puissance semble atteindre celle de Yangwang... Critique : Kenshirô a sauvé Pan Guanglin qui agit pour reprendre sa place de chef du syndicat de Jade, avec l’aide de de Guise, il va nettoyer la ville, seulement les 2 premiers dirigeants de l’Union sont encore en vie et représentent une menace. De son côté Kenshirô combat Longwang pour venger la mort de Yuling, l’affrontement entre deux maîtres du Hokuto va nous permettre d’en apprendre un peu plus sur leurs techniques. Sôten no Ken mélange toujours habilement la partie arts martiaux et histoire, sur fond de seconde guerre mondiale, le contexte politique est bien présent : la création du Mandchoukouo avec l’opposition des chinois et des japonais, la position des juifs, les intérêts de la France de la concession chinoise. Et puis, il y a tout l’univers des triades, les guerres de clans, le trafic d’opium, la loi du plus fort qui n’hésite pas à tirer dans le tas quitte à sacrifier des larbins… Le dessin de Tetsuo Hara est toujours très fourni en détails, l’histoire est également dense, il y a de quoi lire. Et puis Kenshirô n’est pas tout puissant et ça c’est bien, car cela emmène plus de tension et d’intérêt à l’histoire. Un manga d’action très bien mené ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soten-no-ken-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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