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  1. Nickad

    Quand sonne la tempête tome 4

    Sohei Sakai rencontre la sœur de Kimura qui a une théorie sur la relation de ce dernier avec le Lieutenant, ce qui donne une nouvelle perspective aux événements. Coincé entre le gang du Kansai, les hommes du Lieutenant et le docteur vengeur, Sakai décide d’agir. Encore un tome qui va à 100 à l’heure, pas de répit pour Sakai, il a à peine le temps de souffler que tout repart en vrille ! Un dessin très dynamique dans les scènes d’action, des personnages qui ont de vraies « tronches », un scenario bien ficelé et un dénouement dans le prochain tome ! A lire.
  2. Titre de l'album : Quand sonne la tempête tome 4 Scenariste de l'album : ENJOJI Masaki Dessinateur de l'album : ENJOJI Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Shohei est à nouveau en mauvaise posture... Alors qu'il s'imaginait pouvoir piéger le lieutenant en s'alliant à un gang du Kansai, il finit en réalité par servir d'appât. Pris entre deux feux, le jeune homme n'hésite pas à impliquer ses proches pour trouver une issue qui lui permettrait de s'en sortir indemne. Mais il pourrait vite s'en mordre les doigts... Critique : Sohei Sakai rencontre la sœur de Kimura qui a une théorie sur la relation de ce dernier avec le Lieutenant, ce qui donne une nouvelle perspective aux événements. Coincé entre le gang du Kansai, les hommes du Lieutenant et le docteur vengeur, Sakai décide d’agir. Encore un tome qui va à 100 à l’heure, pas de répit pour Sakai, il a à peine le temps de souffler que tout repart en vrille ! Un dessin très dynamique dans les scènes d’action, des personnages qui ont de vraies « tronches », un scenario bien ficelé et un dénouement dans le prochain tome ! A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-sonne-la-tempete-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    My elder sister tome 4

    Sur la demande de Yuu, Chiyo laisse Haru tranquille, cette dernière s’incruste tranquillement dans la maison et peu à peu les 3 passent du temps ensemble dans la bonne humeur comme si la famille s’agrandissait. Mais quel est donc le lien qui existe entre Haru et l’oncle de Yuu ? Ce qui fait le charme de ce manga c’est le mélange entre la partie mystère, le côté bien-être et la touche de sensualité apportée par le personnage de Chiyo. Tout ce petit monde semble vivre des jours heureux mais en plus des petits commentaires de Yuu qui nous font comprendre que l’on est dans son passé, il y a des petites zones d’ombre. D’un côté on profite de ces moments paisibles qui nous font ressentir une certaine plénitude et de l’autre on attend l’instant où tout va changer. L’équilibre est subtil et c’est justement ce qui fonctionne. Ce 4eme volume est toujours dans la lignée des précédents, on avance à petit pas vers l’inéluctable, peut-être un peu moins d’érotisme et de passages ambigus qui font toute sa spécificité mais le manga reste sympathique et agréable.
  4. Titre de l'album : My elder sister tome 4 Scenariste de l'album : IIDA Pochi Dessinateur de l'album : IIDA Pochi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Que l'on soit Humain ou Dieu, c'est parfaitement naturel de chercher du réconfort auprès d'un autre. Les démons comme les dieux sont au-delà du bien et du mal. Critique : Sur la demande de Yuu, Chiyo laisse Haru tranquille, cette dernière s’incruste tranquillement dans la maison et peu à peu les 3 passent du temps ensemble dans la bonne humeur comme si la famille s’agrandissait. Mais quel est donc le lien qui existe entre Haru et l’oncle de Yuu ? Ce qui fait le charme de ce manga c’est le mélange entre la partie mystère, le côté bien-être et la touche de sensualité apportée par le personnage de Chiyo. Tout ce petit monde semble vivre des jours heureux mais en plus des petits commentaires de Yuu qui nous font comprendre que l’on est dans son passé, il y a des petites zones d’ombre. D’un côté on profite de ces moments paisibles qui nous font ressentir une certaine plénitude et de l’autre on attend l’instant où tout va changer. L’équilibre est subtil et c’est justement ce qui fonctionne. Ce 4eme volume est toujours dans la lignée des précédents, on avance à petit pas vers l’inéluctable, peut-être un peu moins d’érotisme et de passages ambigus qui font toute sa spécificité mais le manga reste sympathique et agréable. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-elder-sister-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Les écailles d'un dieu tome 1

    Chiharu, un jeune écrivain revient dans le village de son enfance pour y passer quelques jours, il se remémore sa grand-mère et notamment un conte qu’elle lui racontait d’une jeune fille promise à un dragon. C’est là qu’il rencontre Rin, un jeune homme un peu perdu, à la fois fort sympathique et fort ignorant des choses de tous les jours, il lui dit qu’il est venu pour le rencontrer. Chiharu est un jeune homme pas très sociable, un peu froid qui va se retrouver à cohabiter avec Rin, qui est très amical et respire la joie de vivre. Cette opposition amène de l’humour dans leur relation, tout est fort sympathique et bon enfant jusqu’à ce que le mystère s’en mêle… Car la grand-mère de Chiharu a fait une promesse à Rin qui n’est pas s’en rappeler celle du l’histoire de son enfance. Voilà que fantastique et conte s’invitent ! La lecture est fluide et agréable, le personnage de Rin est une véritable bouffée de fraicheur et de soleil, le graphisme est élégant. Un bon 1er tome tout public.
  6. Titre de l'album : Les écailles d'un dieu tome 1 Scenariste de l'album : HINOHARA Meguru Dessinateur de l'album : HINOHARA Meguru Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Il était une fois une grand-mère qui promit son petit-fils à un dragon divin... Des années plus tard, le jeune Chiharu s'éloigne de Tokyo, où il avait entamé sa carrière d'écrivain, bien décidé à passer des jours tranquilles dans le village de son enfance. À peine arrivé, il y rencontre Rin, un homme étrange aux cheveux blancs. Mais cet être exubérant n'est peut-être pas aussi humain qu'il n'y paraît, car il a en fait de bien grandes dents... et de bien belles écailles. Critique : Chiharu, un jeune écrivain revient dans le village de son enfance pour y passer quelques jours, il se remémore sa grand-mère et notamment un conte qu’elle lui racontait d’une jeune fille promise à un dragon. C’est là qu’il rencontre Rin, un jeune homme un peu perdu, à la fois fort sympathique et fort ignorant des choses de tous les jours, il lui dit qu’il est venu pour le rencontrer. Chiharu est un jeune homme pas très sociable, un peu froid qui va se retrouver à cohabiter avec Rin, qui est très amical et respire la joie de vivre. Cette opposition amène de l’humour dans leur relation, tout est fort sympathique et bon enfant jusqu’à ce que le mystère s’en mêle… Car la grand-mère de Chiharu a fait une promesse à Rin qui n’est pas s’en rappeler celle du l’histoire de son enfance. Voilà que fantastique et conte s’invitent ! La lecture est fluide et agréable, le personnage de Rin est une véritable bouffée de fraicheur et de soleil, le graphisme est élégant. Un bon 1er tome tout public. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-ecailles-d-un-dieu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Lovely friend zone t1

    Vous avez une fille au collège ? Et vous souhaitez lui faire un cadeau ? Sous la forme d'un manga ? Et bien Lovey zone est fait pour vous. Il y a tout ce qu'il faut dans ce Lovely Friend (zone) t1. Une jeune fille amoureuse, un garçon qui ne comprend rien, une amitié qui se transforme petit à petit et des bons sentiments à la pelle. Coté graphisme on est tout aussi dans la base du shojo. Des grands yeux qui brillent, des garçons charmants, des filles qui rougissent.... Tout pour faire un parfait shojo. Parfaitement classique mais aussi parfaitement mignon ce qui plaira forcement aux jeunes filles. Garantie sur facture !
  8. Titre de l'album : Lovely friend zone t1 Scenariste de l'album : Mamoru Aoi Dessinateur de l'album : Mamoru Aoi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : J'ai toujours rêvé que j'aurais un petit ami merveilleux lorsque je rentrerais au lycée. Cependant, m'y voici et pas un petit ami à l'horizon. C'est alors que je fais la rencontre des beaux garçons du club de foot. Et si parmi eux se trouvait mon futur copain ? Alors qu'elle passe son temps à rêver du jour où elle aura enfin un petit ami, Hacchi fait la connaissance de Mizuno, un des beaux gosses du club de foot. Elle ignore pourquoi, mais ce garçon qu'elle admire tant semble la traiter d'une manière particulière... La jeune fille n'a aucune expérience en amour, et là, entre les espoirs et les doutes, autant dire que c'est le chaos dans sa tête ! Comment son coeur peut-il s'emballer à ce point alors qu'ils sont censés n'être que des amis ? Un pas après l'autre, la jeune lycéenne va vite découvrir la complexité de l'amour ! Critique : Vous avez une fille au collège ? Et vous souhaitez lui faire un cadeau ? Sous la forme d'un manga ? Et bien Lovey zone est fait pour vous. Il y a tout ce qu'il faut dans ce Lovely Friend (zone) t1. Une jeune fille amoureuse, un garçon qui ne comprend rien, une amitié qui se transforme petit à petit et des bons sentiments à la pelle. Coté graphisme on est tout aussi dans la base du shojo. Des grands yeux qui brillent, des garçons charmants, des filles qui rougissent.... Tout pour faire un parfait shojo. Parfaitement classique mais aussi parfaitement mignon ce qui plaira forcement aux jeunes filles. Garantie sur facture ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lovely-friendzone-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Le conte des parias T6

    Ca y est la série se dirige vers sa fin prévue dans 2 tomes. Et pour ce faire l'action est le principe de base de ce tome 6. Que ce soit Marbas, Dantalion ou Cerebus, tous nos diables sont passés en mode "bataille" et gros combats. S'en suit un tome plein d'action qui réussit à entretenir le mystère sur la fin de l'histoire. Un bon tome pour une série atypique.
  10. Titre de l'album : Le conte des parias T6 Scenariste de l'album : Makoto Hoshino Dessinateur de l'album : Makoto Hoshino Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Londres, 19e siècle. Quand une jeune fille désoeuvrée lie son destin à celui d'un diable solitaire... Pour tuer le temps, deux grands diables immortels ont jeté leur dévolu sur des humains. Marbas a pactisé avec une faible jeune fille, et Dantalion avec un soldat fou. Peu à peu, les binômes se soudent- il ne s'agit plus simplement de tromper l'ennui. L'affrontement inévitable est d'abord un choc entre des fiertés exacerbées. De quel côté les liens seront-ils les plus forts? Critique : Ca y est la série se dirige vers sa fin prévue dans 2 tomes. Et pour ce faire l'action est le principe de base de ce tome 6. Que ce soit Marbas, Dantalion ou Cerebus, tous nos diables sont passés en mode "bataille" et gros combats. S'en suit un tome plein d'action qui réussit à entretenir le mystère sur la fin de l'histoire. Un bon tome pour une série atypique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-conte-des-parias-tome-6-229071?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Zoc

    Zoc c'est un Myasaki en BD. Un Myasaki dans sa forme Mon voisin Totoro. Hop la critique la plus rapide de l'année ! Vous pouvez rire (car je vous entends avant même que vous n'ayez lue cette critique !) mais c'est vraiment la meilleure des descriptions de Zoc. On retrouve tout ce qui fait de mon voisin Totoro un beau manga : Du fantastique, de l'humain, des dessins tout beau et pas trop chargée et une héroïne au caractère bien trempée. Cette fable sur la différence et la façon de tirer le meilleur de soi est un délice de lecture. Un moment de fraicheur et de bonheur dans un monde qui se durcit de jour en jour. Que vous soyez enfant ou adulte en recherche d'un peu d'évasion, ce Zoc sera là pour vous faire rêver !
  12. poseidon2

    Zoc

    Titre de l'album : Zoc Scenariste de l'album : Jade Khoo Dessinateur de l'album : Jade Khoo Coloriste : Jade Khoo Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Zoc est une jeune fille d'apparence normale. Elle ne sait pas quoi faire de sa vie, elle n'a pas de réelle passion, mais possède un drôle de pouvoir : capter et puiser l'eau avec ses cheveux ! Un pouvoir inutile et embêtant, dont elle va tout de même essayer de tirer parti. Quand un village près de chez elle subit une vaste inondation, elle décide rendre service en évacuant l'eau... Ce voyage lui permettra de faire une rencontre étonnante, et Zoc s'apercevra qu'en voulant aider des gens, elle peut créer... Critique : Zoc c'est un Myasaki en BD. Un Myasaki dans sa forme Mon voisin Totoro. Hop la critique la plus rapide de l'année ! Vous pouvez rire (car je vous entends avant même que vous n'ayez lue cette critique !) mais c'est vraiment la meilleure des descriptions de Zoc. On retrouve tout ce qui fait de mon voisin Totoro un beau manga : Du fantastique, de l'humain, des dessins tout beau et pas trop chargée et une héroïne au caractère bien trempée. Cette fable sur la différence et la façon de tirer le meilleur de soi est un délice de lecture. Un moment de fraicheur et de bonheur dans un monde qui se durcit de jour en jour. Que vous soyez enfant ou adulte en recherche d'un peu d'évasion, ce Zoc sera là pour vous faire rêver ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zoc?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Butterfly beast II tome 2

    Ocho ramasse par hasard un petit crucifix, elle le rend à sa propriétaire, une jeune femme de sa maison. En faisant ce geste elle se met en danger car à cette époque, les chrétiens étaient persécutés. Intriguée elle la suit sans se douter que tout cela est une mise en scène pour la piéger. Ce volume se penche sur un passage sombre de l’histoire du Japon : la persécution des chrétiens, et quand je dis persécution on était plus dans une politique d’éradication. Il est intéressant de voir à quel point les événements de cette période étaient extrémistes ! Ocho et son acolyte Raizo se retrouvent dans ce volume face à leur passé, chacun va devoir prendre des décisions qui pourraient bien changer leurs relations et leurs vies. En même temps, l’auteure revient sur la condition des femmes à cette époque en précisant bien que toutes celles qui vivaient dans ce quartier des plaisirs n’étaient pas là par choix. Le dessin de Yuka Nagate est toujours très soigné et détaillé, les personnages sont très expressifs et l’on ressent bien toute la tension qui règne. La fiction et l’histoire sont habilement mêlées sans apporter de lourdeur, le manga reste dynamique et intéressant.
  14. Titre de l'album : Butterfly beast II tome 2 Scenariste de l'album : NAGATE Yuka Dessinateur de l'album : NAGATE Yuka Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Continuant sa traque des shinobis dévoyés, Ochô doit faire face à une toute nouvelle menace. Dans un Japon où la doctrine de Dieu, alors interdite, se répand inévitablement, la chasseresse devra affronter le père Jihyoe, appelé le «tsuba d'or». Commence alors un combat contre un mouvement religieux et souhaitant la destruction du système! Critique : Ocho ramasse par hasard un petit crucifix, elle le rend à sa propriétaire, une jeune femme de sa maison. En faisant ce geste elle se met en danger car à cette époque, les chrétiens étaient persécutés. Intriguée elle la suit sans se douter que tout cela est une mise en scène pour la piéger. Ce volume se penche sur un passage sombre de l’histoire du Japon : la persécution des chrétiens, et quand je dis persécution on était plus dans une politique d’éradication. Il est intéressant de voir à quel point les événements de cette période étaient extrémistes ! Ocho et son acolyte Raizo se retrouvent dans ce volume face à leur passé, chacun va devoir prendre des décisions qui pourraient bien changer leurs relations et leurs vies. En même temps, l’auteure revient sur la condition des femmes à cette époque en précisant bien que toutes celles qui vivaient dans ce quartier des plaisirs n’étaient pas là par choix. Le dessin de Yuka Nagate est toujours très soigné et détaillé, les personnages sont très expressifs et l’on ressent bien toute la tension qui règne. La fiction et l’histoire sont habilement mêlées sans apporter de lourdeur, le manga reste dynamique et intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butterfly-beast-ii-tome-2-224277?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Les adaptations de Lovecraft par Tanabe deviennent des gages de qualité, c'est indéniable. J'avais dévoré les premières avec avidité, je dois bien l'avouer, et ces deux dernières démontrent une fois de plus tout le talent de cet auteur japonais. Le roman divisé en deux tomes nous permet de bien appréhender l'histoire et son déroulement. L'auteur prend le temps de situer le contexte et nous faire découvrir le personnage central. Nous allons l'accompagner tout du long dans ses déboires, et il va en rencontrer plus d'un ! A chaque expression d'un visage figé ou horrifié, fait suite une planche (souvent double page) nous exposant la situation. Nous sommes donc happés par la lecture et nous plongeons littéralement dans le récit. Le suspense est insoutenable dans le second tome car il ne s'agit ni plus ni moins que d'une chasse à l'homme dans les rues dévastées de cette ville cauchemardesque. Les recoins obscurs, les moindres bruits sont perçus et nous éprouvons une certaine crainte à tourner les pages. Tanabe réussit à nous faire peur, on s'interroge vraiment sur le devenir du protagoniste principal. Pour les avoir tous lus, je pense sincèrement qu'il s'agit de la plus violente et angoissante des adaptations, âmes sensibles s'abstenir Dois-je préciser que le dessin est comme à son habitude, superbe, incroyable, précis, lumineux, élégant, fin ... Les superlatifs manquent. Le travail éditorial est sans équivoque. Ces couvertures en cuir relié sont du plus bel effet. Je ne saurai que recommander ces livres, même aux non lecteurs assidus de mangas. Pour peu que l'on aime avoir peur. Ceci dit, on reste assez loin d'un Junji Ito sur l'épouvante et l'horreur, pour tout vous dire, la lecture de Spirale m'a gêné et ne m'a pas invité du tout à une relecture. Les adaptations de Tanabe, on les relit avec plaisir. Il doit rester quelques nouvelles encore de Lovecraft, je les attends avec impatience, vous aussi ? Une critique de Kevin Nivek
  16. Titre de l'album : Le cauchemar d'Innsmouth tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : H P LOVECRAFT Dessinateur de l'album : TANABE Gou Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : En 1927, le jeune Robert Olmstead débarque à Newburyport. En quête de ses origines, il n'a d'autre option, pour atteindre sa destination, que de prendre un bus qui passe par Innsmouth, ville voisine sur laquelle courent d'effroyables rumeurs : pacte avec les démons, habitants difformes, culte ésotérique d'un étrange dieu marin... La peur qu'elle inspire est telle que personne n'ose s'y rendre, et nul ne sait ce qui se cache derrière les façades de ses maisons délabrées... Pourtant, les mises en garde des résidents de Newburyport, loin de décourager Robert, le poussent au contraire à s'intéresser à ce lieu pestiféré : il décide d'explorer les méandres de la cité maudite ! C'est le début d'une descente aux enfers qui le mènera aux portes de la folie... Critique : Les adaptations de Lovecraft par Tanabe deviennent des gages de qualité, c'est indéniable. J'avais dévoré les premières avec avidité, je dois bien l'avouer, et ces deux dernières démontrent une fois de plus tout le talent de cet auteur japonais. Le roman divisé en deux tomes nous permet de bien appréhender l'histoire et son déroulement. L'auteur prend le temps de situer le contexte et nous faire découvrir le personnage central. Nous allons l'accompagner tout du long dans ses déboires, et il va en rencontrer plus d'un ! A chaque expression d'un visage figé ou horrifié, fait suite une planche (souvent double page) nous exposant la situation. Nous sommes donc happés par la lecture et nous plongeons littéralement dans le récit. Le suspense est insoutenable dans le second tome car il ne s'agit ni plus ni moins que d'une chasse à l'homme dans les rues dévastées de cette ville cauchemardesque. Les recoins obscurs, les moindres bruits sont perçus et nous éprouvons une certaine crainte à tourner les pages. Tanabe réussit à nous faire peur, on s'interroge vraiment sur le devenir du protagoniste principal. Pour les avoir tous lus, je pense sincèrement qu'il s'agit de la plus violente et angoissante des adaptations, âmes sensibles s'abstenir Dois-je préciser que le dessin est comme à son habitude, superbe, incroyable, précis, lumineux, élégant, fin ... Les superlatifs manquent. Le travail éditorial est sans équivoque. Ces couvertures en cuir relié sont du plus bel effet. Je ne saurai que recommander ces livres, même aux non lecteurs assidus de mangas. Pour peu que l'on aime avoir peur. Ceci dit, on reste assez loin d'un Junji Ito sur l'épouvante et l'horreur, pour tout vous dire, la lecture de Spirale m'a gêné et ne m'a pas invité du tout à une relecture. Les adaptations de Tanabe, on les relit avec plaisir. Il doit rester quelques nouvelles encore de Lovecraft, je les attends avec impatience, vous aussi ? Une critique de Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chefs-d-oeuvre-de-lovecraft-tome-1-le-cauchemar-d-innsmouth?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Le livre est un recueil de 3 histoires courtes mêlant amour lesbien et fantastique ! (et oui, c’est la série des mélanges de genre !). La première histoire se passe entre une sorcière et une chasseuse de sorcières, à force de s’affronter, chacune va développer des sentiments envers l’autre. La seconde parle d’une humaine qui a recueilli un ange (féminin bien que l’on dise que les anges sont asexués) et une démone, bien qu’étant ennemies, elles vont toutes les deux s’attacher à la jeune fille. La dernière histoire reprend les personnages du premier récit et revient sur leur relation après l’échange du premier baiser. Le manga est accessible à tous : il n’y a rien de plus osé qu’un baiser. Tous les personnages féminins sont mignons, naïfs parfois et rougissent dès qu’on parle d’amour. Les histoires sont traitées avec une certaine légèreté et une touche d’humour, le dessin est agréable, la lecture fluide. En conclusion, un manga sympathique et positif pour un moment de détente.
  18. Titre de l'album : 5 seconds before the witch falls in love Scenariste de l'album : ZENIKO Sumiya Dessinateur de l'album : ZENIKO Sumiya Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Une simple chasseuse de sorcières contre la Grande Sorcière Solitaire ! Meg, la Grande Sorcière Solitaire, et Lilith, la chasseuse de sorcières, sont des ennemies jurées, toujours en train de se chamailler ! Mais malgré les provocations et les espiègleries, elles s'apprécient. Leur adorable maladresse fait sourire ceux qui les observent... Mais voilà qu'un incident pousse l'une d'elles à révéler ses sentiments ! Dos au mur, laisseront-elles enfin parler leur cœur ? Ils servent à quoi mes pouvoirs si je peux pas changer mes sentiments ?! Critique : Le livre est un recueil de 3 histoires courtes mêlant amour lesbien et fantastique ! (et oui, c’est la série des mélanges de genre !). La première histoire se passe entre une sorcière et une chasseuse de sorcières, à force de s’affronter, chacune va développer des sentiments envers l’autre. La seconde parle d’une humaine qui a recueilli un ange (féminin bien que l’on dise que les anges sont asexués) et une démone, bien qu’étant ennemies, elles vont toutes les deux s’attacher à la jeune fille. La dernière histoire reprend les personnages du premier récit et revient sur leur relation après l’échange du premier baiser. Le manga est accessible à tous : il n’y a rien de plus osé qu’un baiser. Tous les personnages féminins sont mignons, naïfs parfois et rougissent dès qu’on parle d’amour. Les histoires sont traitées avec une certaine légèreté et une touche d’humour, le dessin est agréable, la lecture fluide. En conclusion, un manga sympathique et positif pour un moment de détente. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/5-seconds-before-the-witch-falls-in-love?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Boys of the dead

    L’objectif du manga est clair ; il s’agit de mélanger deux genres : le boys’ love et le zombie ! Au final on a un recueil de trois histoires qui montre chacune une certaine forme d’amour dans un monde chaotique. Il n’y a peut-être que la deuxième qui a un aspect un peu plus réfléchi, un jeune homme garde auprès de lui son ami zombifié car l’amour qui lui porte est plus fort que tout. Les deux autres étant des dérives de comportements avec un aspect assez malsain. Si côté graphisme on a bien l’aspect sombre « fin du monde » les histoires nous laissent sur notre faim, une impression de ne pas savoir ce qu’on fait là. Je n’ai absolument aucune idée de ce que l’auteure a essayé de transmettre et comme dans sa préface elle dit aussi que les histoires sélectionnées devaient répondre au public cible du magazine de prépublication, on a l’impression d’être plus dans l’accomplissement d’une commande que dans une envie débordante de raconter une histoire. Il demeure néanmoins que l’auteure a réussi son pari et qu’elle a eu le mérite d’essayer même si je ne suis pas convaincue du résultat.
  20. Nickad

    Boys of the dead

    Titre de l'album : Boys of the dead Scenariste de l'album : TOMITA Douji Dessinateur de l'album : TOMITA Douji Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Dans une Amérique dévastée, et tandis qu'une épidémie transforme les humains en morts-vivants, l'Humanité essaie, tant bien que mal, de survivre... Dans un monde en perdition, suivez le quotidien torturé, entre survie, amour, désespoir et séquestration, d'individus livrés à eux-mêmes, qu'ils soient fils, frère ou amants... Avec un style graphique unique, Douji Tomita livre un recueil de nouvelles étonnant. Grâce à son dessin poisseux, l'artiste dépeint un monde sale et sans espoir, à réserver aux amateurs de récits sombres et graphiques... Critique : L’objectif du manga est clair ; il s’agit de mélanger deux genres : le boys’ love et le zombie ! Au final on a un recueil de trois histoires qui montre chacune une certaine forme d’amour dans un monde chaotique. Il n’y a peut-être que la deuxième qui a un aspect un peu plus réfléchi, un jeune homme garde auprès de lui son ami zombifié car l’amour qui lui porte est plus fort que tout. Les deux autres étant des dérives de comportements avec un aspect assez malsain. Si côté graphisme on a bien l’aspect sombre « fin du monde » les histoires nous laissent sur notre faim, une impression de ne pas savoir ce qu’on fait là. Je n’ai absolument aucune idée de ce que l’auteure a essayé de transmettre et comme dans sa préface elle dit aussi que les histoires sélectionnées devaient répondre au public cible du magazine de prépublication, on a l’impression d’être plus dans l’accomplissement d’une commande que dans une envie débordante de raconter une histoire. Il demeure néanmoins que l’auteure a réussi son pari et qu’elle a eu le mérite d’essayer même si je ne suis pas convaincue du résultat. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boys-of-the-dead?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Frieren tomes 1 et 2

    Frieren est une elfe, avec ses compagnons, elle a combattu le roi des démons ; la paix revenue, après dix ans d’aventures, elle a repris son chemin. Mais le temps ne s’écoule pas de la même façon pour les elfes et cinquante ans plus tard, quand elle revoit ses compagnons, elle a à peine le temps d’échanger que Himmel le héros décède. C’est en entendant les remarques de la foule que Frieren se rend compte qu’elle ne connaissait rien de lui. Quelque chose se met à changer en elle, un début de prise de conscience de l’autre, un remord peut-être. Frieren est un manga d’heroic fantasy atypique, il y a tous les éléments fantastiques du récit habituel : la troupe de héros qui combat le mal, de la magie, des elfes, des nains… il y a aussi de l’aventure mais différemment. Car l’aspect le plus important de ce récit, c’est qu’il est raconté du point de vue d’une elfe, un être destiné à vivre des centaines voire des milliers d’années et pour qui la durée de vie d’un être humain ne correspond qu’à un court instant de son existence. Alors même si Frieren part en voyage, elle ne s’inquiète pas de rester au même endroit plusieurs années, elle se moque de passer un an à chercher une fleur, elle n’est pas pressée. Et quand tout à coup, elle réalise que pour les hommes le temps passe beaucoup plus vite, elle se dit qu’elle aurait dû faire quelque chose, prendre le temps de connaître mieux ses camarades, partager plus de moments avec eux. Et c’est globalement le message de ce manga : le rapport au temps. C’est avec une certaine subtilité, que l’auteur nous appelle à profiter de la vie, de tous les instants présents, des gens qui nous entourent, le fameux Carpe Diem. Dans le 1er tome de la série, le temps qui passe à toute vitesse est clairement mis en évidence, une succession de cases sans paroles où l’on voit la vie de l’elfe. Et puis, ensuite, elle continue son périple avec les disciples de ses compagnons, comme s’ils avaient prévu de laisser un peu d’eux pour qu’elle ne soit pas seule dans sa temporalité. C’est alors qu’un autre thème est abordé, celui du souvenir : une réflexion sur la trace qu’on laisse dans le monde et sur la façon de ne pas oublier ceux qui sont partis. Ce n’est que dans le second tome que le manga prend un côté un peu plus aventure, car Frieren part à la recherche d’un sort qui lui permettrait de pouvoir communiquer avec l’âme de ses compagnons disparus, pour pouvoir dire à Himmel ce qu’elle n’a pas eu le temps de lui dire. Le manga a un côté poétique et mélancolique sublimé par un graphisme de premier ordre. C’est beau, c’est sensible, c’est à la fois une histoire d’aventure et en même temps un plaidoyer pour prendre soin de nous et des autres, pour prendre le temps de vivre et de ne pas laisser de regrets. Une réussite. Ceux qui s’attendent à un manga d’action pourraient être déçus car il y a une sorte de langueur omniprésente et je pense qu'il faut un certaine maturité pour bien l'apprécier. 6 tomes en cours
  22. Titre de l'album : Frieren tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : YAMADA Kanehito Dessinateur de l'album : ABE Tsukasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le jeune héros Himmel et ses compagnons, l'elfe Frieren, le nain Eisen et le prêtre Heiter, rentrent victorieux de leur combat contre le roi des démons. Au bout de dix années d'efforts, ils ont ramené la paix dans le royaume. Il est temps pour eux de retrouver une vie normale... Difficile à imaginer après tant d'aventures en commun ! Frieren, elle, ne semble guère touchée par la séparation. Pour la magicienne à la longévité exceptionnelle, une décennie ne pèse pas lourd. Elle reprend la route en solo et promet de retrouver ses camarades un demi-siècle plus tard. Elle tient parole... mais ces retrouvailles sont aussi les derniers instants passés avec Himmel, devenu un vieillard qui s'éteint paisiblement sous ses yeux. Frieren est sous le choc... La vie des humains est si courte ! L'elfe a beau être experte en magie, il lui reste encore un long chemin à parcourir pour comprendre la race humaine... Son nouvel objectif : s'initier aux arcanes du cœur ! Critique : Frieren est une elfe, avec ses compagnons, elle a combattu le roi des démons ; la paix revenue, après dix ans d’aventures, elle a repris son chemin. Mais le temps ne s’écoule pas de la même façon pour les elfes et cinquante ans plus tard, quand elle revoit ses compagnons, elle a à peine le temps d’échanger que Himmel le héros décède. C’est en entendant les remarques de la foule que Frieren se rend compte qu’elle ne connaissait rien de lui. Quelque chose se met à changer en elle, un début de prise de conscience de l’autre, un remord peut-être. Frieren est un manga d’heroic fantasy atypique, il y a tous les éléments fantastiques du récit habituel : la troupe de héros qui combat le mal, de la magie, des elfes, des nains… il y a aussi de l’aventure mais différemment. Car l’aspect le plus important de ce récit, c’est qu’il est raconté du point de vue d’une elfe, un être destiné à vivre des centaines voire des milliers d’années et pour qui la durée de vie d’un être humain ne correspond qu’à un court instant de son existence. Alors même si Frieren part en voyage, elle ne s’inquiète pas de rester au même endroit plusieurs années, elle se moque de passer un an à chercher une fleur, elle n’est pas pressée. Et quand tout à coup, elle réalise que pour les hommes le temps passe beaucoup plus vite, elle se dit qu’elle aurait dû faire quelque chose, prendre le temps de connaître mieux ses camarades, partager plus de moments avec eux. Et c’est globalement le message de ce manga : le rapport au temps. C’est avec une certaine subtilité, que l’auteur nous appelle à profiter de la vie, de tous les instants présents, des gens qui nous entourent, le fameux Carpe Diem. Dans le 1er tome de la série, le temps qui passe à toute vitesse est clairement mis en évidence, une succession de cases sans paroles où l’on voit la vie de l’elfe. Et puis, ensuite, elle continue son périple avec les disciples de ses compagnons, comme s’ils avaient prévu de laisser un peu d’eux pour qu’elle ne soit pas seule dans sa temporalité. C’est alors qu’un autre thème est abordé, celui du souvenir : une réflexion sur la trace qu’on laisse dans le monde et sur la façon de ne pas oublier ceux qui sont partis. Ce n’est que dans le second tome que le manga prend un côté un peu plus aventure, car Frieren part à la recherche d’un sort qui lui permettrait de pouvoir communiquer avec l’âme de ses compagnons disparus, pour pouvoir dire à Himmel ce qu’elle n’a pas eu le temps de lui dire. Le manga a un côté poétique et mélancolique sublimé par un graphisme de premier ordre. C’est beau, c’est sensible, c’est à la fois une histoire d’aventure et en même temps un plaidoyer pour prendre soin de nous et des autres, pour prendre le temps de vivre et de ne pas laisser de regrets. Une réussite. Ceux qui s’attendent à un manga d’action pourraient être déçus car il y a une sorte de langueur omniprésente et je pense qu'il faut un certaine maturité pour bien l'apprécier. 6 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/frieren-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    AR/MS T1&2

    Je ne pensais pas dire ça un jour mais qu'est-ce que AR/MS a été une lecture rafraichissante. Pourtant en le feuilletant j'étais sûr que ça ne serait pas pour moi : une couverture avec des magical girls, des pages pleines de textes et une gamine en personnage principale. Ça sentait le manga pour gamin à 100 lieux. Et bien au final j'ai passé un super moment. Déjà on est dans un manga de combat qui ne SOIT PAS basé sur de la fantaisy/Isekai. Ici le gens joue à un battle royal par équipe ni plus ni moins. C'est brut et ça défoule En plus les personnages sont superbement bien choisit. Les deux "amis " de Himawari sont tout bonnement excellents ! Très drôle, leur relation avec Himawari est explosive mais aussi drôle qu'amicale. La quantité de texte qui me faisait peur est en fait un ensemble de conneries plus dispensable les unes que les autres mais marrantes quand on fait l'effort de les lire. Avec une évolution des personnages mais aussi un aspect sportif avec le tournoi inter lycée du battle royal, on a un rythme d'avancée de l'histoire soutenue, prévoyant des rencontres avec des équipes de plus en plus forte comme le fond les mangas de sport. Une vraie belle découverte à mi-chemin entre l'humour de Grand Blue et la gestion sportif du manga à la Slam Dunk. Encore 🙂
  24. poseidon2

    AR/MS T1&2

    Titre de l'album : AR/MS T1&2 Scenariste de l'album : Yuu-Yuu Dessinateur de l'album : Yuu-Yuu Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Personne ne m'avait dit que c'était ce genre de jeu ! Je voulais juste jouer à la magical girl, moi !!AR/MS est un jeu où épée et poings s'affrontent, où magie et armes à feu coexistent, où elfes, chevaliers, militaires et autres combattants se livrent à une lutte sans merci pour leur survie !Himawari Himukai, une grande fan de magical girl, fait son entrée au lycée, et espère pouvoir réaliser son rêve de le devenir en rejoignenant le club d'AR/MS !Découvrez ses aventures hilarantes dans ce premier volume !Let's survive !Avec son héroïne ingénue plongée dans un univers aussi macho qu'on peut l'imaginer, Yuu-Yuu joue sur les contrastes pour proposer une série à la fois drôle et pleine d'action ! Le style graphique de l'auteur se prête aussi bien à la comédie scolaire classique qu'aux séquences d'action déjantées, faisant d'AR/MS!! (Augmented Reality/Multiple Survival) un cocktail détonnant ! Critique : Je ne pensais pas dire ça un jour mais qu'est-ce que AR/MS a été une lecture rafraichissante. Pourtant en le feuilletant j'étais sûr que ça ne serait pas pour moi : une couverture avec des magical girls, des pages pleines de textes et une gamine en personnage principale. Ça sentait le manga pour gamin à 100 lieux. Et bien au final j'ai passé un super moment. Déjà on est dans un manga de combat qui ne SOIT PAS basé sur de la fantaisy/Isekai. Ici le gens joue à un battle royal par équipe ni plus ni moins. C'est brut et ça défoule En plus les personnages sont superbement bien choisit. Les deux "amis " de Himawari sont tout bonnement excellents ! Très drôle, leur relation avec Himawari est explosive mais aussi drôle qu'amicale. La quantité de texte qui me faisait peur est en fait un ensemble de conneries plus dispensable les unes que les autres mais marrantes quand on fait l'effort de les lire. Avec une évolution des personnages mais aussi un aspect sportif avec le tournoi inter lycée du battle royal, on a un rythme d'avancée de l'histoire soutenue, prévoyant des rencontres avec des équipes de plus en plus forte comme le fond les mangas de sport. Une vraie belle découverte à mi-chemin entre l'humour de Grand Blue et la gestion sportif du manga à la Slam Dunk. Encore 🙂 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ar-ms-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    L'enfant du dragon fantôme tome 2

    Eve et son gardien, l’âme de Dodo un vieux dragon, travaillent maintenant avec Yule et remplissent des missions. Cela leur permet d’avoir vent de toutes les rumeurs au sujet de dragons afin de pouvoir retrouver les enfants de Dodo. Je n’avais pas été convaincue par le 1er tome de la série, l’ayant trouvé sympathique mais pas exceptionnel. Ce deuxième tome est dans la même veine, il se lit bien, raconte les aventures de cette petite sorcière qui regarde le monde avec un regard d’enfant un peu naïf parfois. C’est mignon, bien dessiné, avec assez d’aventure et de fantastique mais encore une fois, j’ai du mal à accrocher plus que ça. Le livre se lit bien et est divertissant mais il n’a pas la petite touche palpitante qui le sortirait du lot. Un point intéressant, c’est qu’il n’a pas de violence excessive ni de scènes choquantes et peut donc être lu par les jeunes adolescents (je ne comprends pas trop pourquoi il est rangé en seinen). 2 tomes en cours.
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