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  1. Titre de l'album : La petite faiseuse de livres - 2eme arc tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KAZUKI Miya Dessinateur de l'album : SUZUKA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : a suite des aventures d'Urano Motosu, jeune fille passionnée de lecture, réincarnée dans le corps de Maïn, dans un monde où le papier n'existe pas. Critique : Saison 2 de la série, 2eme période de la vie de Mai. Cette dernière atteinte par la dévorante, une maladie qui tue ceux qui ont trop de magie en eux et pas les moyens de l’en extirper à l’aide d’objets magiques n’a pas d’autre choix que de rejoindre le temple si elle veut survivre. Les négociations pratiques vont avoir lieu : l’argent qu’elle versera comme tribut, sa résidence, son activité avec son atelier pour fabriquer du papier et ses activités commerciales avec Benno. Le plus difficile pour elle est qu’elle va devoir agir comme une noble et apprendre l’étiquette, elle se voit également attribuer 3 servants, aucun vraiment motivés pour servir une roturière. Si La petite faiseuse de livres est un isekai, il n’a rien à voir avec la majorité d’entre eux, même si Mai a de la magie en elle, elle n’a pas de super pouvoirs, ne doit pas vaincre le roi des démons, c’est juste sa vie au quotidien, avec son ambition de fabriquer des livres et d’en faire un objet accessible à tous avec les moyens dont elle dispose du haut de ses 7 ans. Elle se heurte aux difficultés du quotidien, à ses devoirs en tant qu’enfant de famille modeste, aux règles qui régissent la société et aux différents statuts. Devenu apprentie prêtresse, elle est à présent confrontée à un univers qu’elle ne connaît pas du tout et ce qui est acquis dans notre monde n’est pas du tout vu de la même façon dans celui-là. C’est vraiment l’un de mes mangas préférés, car il n’y a pas trop de côté isekai (juste quand elle pense à de nouveaux objets ou recettes de cuisine), qu’il y a un juste équilibre entre tranche de vie et aventure et les personnages sont attachants. Un manga à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait, l’adaptation en anime est disponible sur crunchyroll sous le titre "ascendance of a bookworm". Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-faiseuse-de-livres-saison-2-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Rhhaaaa la déception. Il n'y a pas vraiment d'autre mot. Cela biaise forcement mon jugement. En effet avec une couverture superbe, le coté sorcière et librairie je m'attendais à une histoire de sorcière…. Et en fait on n’a pas une histoire de sorcière mais pleins d'histoires de sorcières.... Mais sans réelles rapports entre elles. Juste des petites histoires. Hop un Yokai sort d'un livre on l'attrape. Hope un deuxième on l'attrape aussi.... Ok un Tanuki malin. Hop on l'attrape aussi. Vous l'aurez compris je me suis... ennuyé. Si graphiquement c'est très joli, c'est trop redondant en termes d'histoires et trop plat en termes d'évolution pour me transporter dans l'univers. Et pourtant je suis un public facile. Certains fans de légendes de Yokai japonaises trouveront surement leur compte. Moi je ne suis surement pas assez féru de japon….
  3. Titre de l'album : Touhou : Forbidden Scrollery T1&2 Scenariste de l'album : Zun Dessinateur de l'album : Moé Harukawa Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans la plus étrange des librairies ! Nous avons tout en boutique : des livres du monde extérieur, des ouvrages rares... et bien sûr, des grimoires démoniaques ! Kosuzu Motoori tient la librairie " Suzunaan ", dans le village des humains, au coeur des terres illusoires. Elle est collectionneuse de "grimoires démoniaques", des livres ésotériques que personne ne peut déchiffrer. Un jour, Kosuzu parvient soudainement à les lire ! Pendant ce temps, l'ombre d'un dangereux yôkai plane sur le village... Découvrez la mystérieuse librairie des yôkais aux livres insolites... Suzunaan ! Critique : Rhhaaaa la déception. Il n'y a pas vraiment d'autre mot. Cela biaise forcement mon jugement. En effet avec une couverture superbe, le coté sorcière et librairie je m'attendais à une histoire de sorcière…. Et en fait on n’a pas une histoire de sorcière mais pleins d'histoires de sorcières.... Mais sans réelles rapports entre elles. Juste des petites histoires. Hop un Yokai sort d'un livre on l'attrape. Hope un deuxième on l'attrape aussi.... Ok un Tanuki malin. Hop on l'attrape aussi. Vous l'aurez compris je me suis... ennuyé. Si graphiquement c'est très joli, c'est trop redondant en termes d'histoires et trop plat en termes d'évolution pour me transporter dans l'univers. Et pourtant je suis un public facile. Certains fans de légendes de Yokai japonaises trouveront surement leur compte. Moi je ne suis surement pas assez féru de japon…. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/touhou-forbidden-scrollery-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Masked sheep tome 1

    Le pitch du manga est assez intriguant pour que je ne fasse pas de résumé, d’ailleurs, j’aurais du mal à le faire sans rien dévoiler, la surprise est plus intéressante ! Le titre du manga signifiant mouton masqué pour ceux qui seraient nuls en anglais, ne vous donnera aucune indication non plus. Omaké est devenu l’éditeur principal des mangas sombres, une certaine horreur qui n’est pas forcément toujours gore. Encore une fois, ce qui se passe dans ce sous-sol a de quoi interpeller, peut-être plus psychologiquement que physiquement et franchement, je ne m’y attendais absolument pas ! L’histoire intrigue, interpelle, nous laisse sur des réflexions. Le graphisme est soigné et l’utilisation des trames accentue le côté glauque de l’endroit. Et une révélation finale que l’on voit arriver mais qui donne envie de poursuivre la lecture. La série est finie en 5 tomes.
  5. Titre de l'album : Masked sheep tome 1 Scenariste de l'album : FUNAKI Kyosuke Dessinateur de l'album : FUNAKI Kyosuke Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Si vous parlez, vous êtes mort ! RÉSUMÉ DE L'OEUVRE : L'absence d'un être cher vous rend malade ? Un proche décédé vous manque au point que vous vouliez mourir à votre tour ? Dans ce cas, entrez dans ce bâtiment et descendez au sous-sol. Une personne coiffée d'un étrange masque vous attend et devrait vous aider à trouver une solution à tous vos problèmes. Sa solution ? Chut, quand vous ressortirez, personne ne doit rien savoir... Critique : Le pitch du manga est assez intriguant pour que je ne fasse pas de résumé, d’ailleurs, j’aurais du mal à le faire sans rien dévoiler, la surprise est plus intéressante ! Le titre du manga signifiant mouton masqué pour ceux qui seraient nuls en anglais, ne vous donnera aucune indication non plus. Omaké est devenu l’éditeur principal des mangas sombres, une certaine horreur qui n’est pas forcément toujours gore. Encore une fois, ce qui se passe dans ce sous-sol a de quoi interpeller, peut-être plus psychologiquement que physiquement et franchement, je ne m’y attendais absolument pas ! L’histoire intrigue, interpelle, nous laisse sur des réflexions. Le graphisme est soigné et l’utilisation des trames accentue le côté glauque de l’endroit. Et une révélation finale que l’on voit arriver mais qui donne envie de poursuivre la lecture. La série est finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/masked-sheep-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    A Tire-d'Aile

    Adapté d’une nouvelle de Tatsuo HORI, écrivain et poète célèbre au Japon dont l’un de ses titres le vent se lève a inspiré Hayao Miyazaki, le manga est à la fois une réflexion sur les « rêves » des enfants et un hommage au personnage de Zigomar, apparu dans un film français de 1917. Quand je parle de « rêve » il s’agit plus particulièrement de cette capacité qu’ont les enfants à incarner leurs héros, à se projeter dans les aventures des films ou des livres, à vivre leurs jeux et leurs univers à fond. Suite au succès du film Zigomar, roi des voleurs, une bande d’enfants se prête au jeu. Mais quand un drame survient dans la vie de Gigi, il se pourrait bien que ce dernier se laisse un peu trop entrainer dans ce monde imaginaire. Le livre bénéficie d’un graphisme parfait, l’auteur s’est inspiré des illustrations parisiennes d’époque et de l’ambiance particulière des photographies de Brassai, Atget ou Doisneau, il a également tenu à représenter les costumes du début du XXeme siècle. Le résultat est là, on plonge directement dans l’ambiance ! L’agencement des images et la représentation de certaines scènes donnent l’impression d’être pris dans un tourbillon, un peu comme ces enfants qui sont entre réalité et fiction. Quant à l’histoire, ce one shot se suffit à lui-même. Je vous conseille de prendre le temps de lire la postface de l’auteur, c’est intéressant de voir comment la littérature française a laissé sa trace au pays du soleil levant. Un bien beau livre ma foi.
  7. Nickad

    A Tire-d'Aile

    Titre de l'album : A Tire-d'Aile Scenariste de l'album : HORI Tatsuo Dessinateur de l'album : HATOYAMA Ikuko Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Au début du XXe siècle, le personnage de Zigomar, criminel masqué créé par Léon Sazie, déchaîne les passions et l'imagination des jeunes garçons. Gigi et Kiki sont de ceux-là, tout comme le reste de leur petite bande. Des gamins ordinaires. Mais Gigi est différent : plus fort, plus beau, plus charismatique, il suscite l'admiration et parfois la peur de Kiki, qui tente de le cerner... Critique : Adapté d’une nouvelle de Tatsuo HORI, écrivain et poète célèbre au Japon dont l’un de ses titres le vent se lève a inspiré Hayao Miyazaki, le manga est à la fois une réflexion sur les « rêves » des enfants et un hommage au personnage de Zigomar, apparu dans un film français de 1917. Quand je parle de « rêve » il s’agit plus particulièrement de cette capacité qu’ont les enfants à incarner leurs héros, à se projeter dans les aventures des films ou des livres, à vivre leurs jeux et leurs univers à fond. Suite au succès du film Zigomar, roi des voleurs, une bande d’enfants se prête au jeu. Mais quand un drame survient dans la vie de Gigi, il se pourrait bien que ce dernier se laisse un peu trop entrainer dans ce monde imaginaire. Le livre bénéficie d’un graphisme parfait, l’auteur s’est inspiré des illustrations parisiennes d’époque et de l’ambiance particulière des photographies de Brassai, Atget ou Doisneau, il a également tenu à représenter les costumes du début du XXeme siècle. Le résultat est là, on plonge directement dans l’ambiance ! L’agencement des images et la représentation de certaines scènes donnent l’impression d’être pris dans un tourbillon, un peu comme ces enfants qui sont entre réalité et fiction. Quant à l’histoire, ce one shot se suffit à lui-même. Je vous conseille de prendre le temps de lire la postface de l’auteur, c’est intéressant de voir comment la littérature française a laissé sa trace au pays du soleil levant. Un bien beau livre ma foi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-tire-d-aile-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Bucket list of the dead t4

    Le WTF manga de chez Kana continue sa route (c'est le cas de le dire) et prends un peu d'épaisseur. A l'instar de Grand Blue chez Meian, ce tome quatre commence à dépasser le simple WTF au milieu des zombies avec la rencontre avec les parents d'Akira et une fébrilité certaine entre lui et Shizuka. Pour amener un peu de nouveauté, un nouveau personnage débarque dans l'horizon de notre trio en la personne d'une belle blonde Allemande à forte poitrine. Mais une jeune fille fan de japon et pleine de dynamisme qui pousse Akira à suivre ces délires. Et c'est un changement de ce tome 4. En effet tous nos personnages se sont appropriés la liste d'Akira et tous le poussent à accomplir ses rêves. Même Shizuka. C'est court, c'est sympa, ça détend.... C’est un bon manga 🙂
  9. Titre de l'album : Bucket list of the dead t4 Scenariste de l'album : Haro Asô Dessinateur de l'album : Kotaro Takata Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Après avoir réussi à surmonter la relation abusive qui le maintenait sous le joug de son ancien supérieur hiérarchique, Akira se remet en route vers le village de ses parents. Mais le trajet n'est pas de tout repos, peuplé de zombies et semé de nouvelles missions à accomplir ! Sushis, sources chaudes, maison dans les arbres... Les occasions de s'émerveiller ne manquent pas pour Akira et ses compagnons, qui profitent à fond de leur voyage, tout en gardant un oeil sur les zombies ! Critique : Le WTF manga de chez Kana continue sa route (c'est le cas de le dire) et prends un peu d'épaisseur. A l'instar de Grand Blue chez Meian, ce tome quatre commence à dépasser le simple WTF au milieu des zombies avec la rencontre avec les parents d'Akira et une fébrilité certaine entre lui et Shizuka. Pour amener un peu de nouveauté, un nouveau personnage débarque dans l'horizon de notre trio en la personne d'une belle blonde Allemande à forte poitrine. Mais une jeune fille fan de japon et pleine de dynamisme qui pousse Akira à suivre ces délires. Et c'est un changement de ce tome 4. En effet tous nos personnages se sont appropriés la liste d'Akira et tous le poussent à accomplir ses rêves. Même Shizuka. C'est court, c'est sympa, ça détend.... C’est un bon manga 🙂 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bucket-list-of-the-dead-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Le souffle des légendes tome 1

    J’ai lu ce livre le 11 février mais je n’ai pas écrit la critique dans la foulée, j’aime bien, quand j’ai le temps de procéder de cette façon, ça me permet de voir ce qu’il me reste du manga presque 1 mois plus tard. Pour le coup, je suis un peu embêtée, à la lecture le livre ne m’avait pas déplu mais j’avoue qu’il ne m’en reste pas grand-chose et ça ce n’est jamais bon signe… Dans un monde fantastique avec épées et créatures étranges, Lal Viento, chef responsable des archives du Sanctuaire accompagné de son assistante Gilet Kracht parcourent le monde à la recherche de légendes dans le but de démêler les faits de la fiction et d’écrire un nouvel ouvrage historique. Seulement, ils vont être amener à se mêler des problèmes des villes et villages où ils passent et en cherchant les origines des us et coutumes, ils vont aider malgré eux la population. Voici le récit de leurs aventures. Bien obligée de le parcourir une seconde fois… je peux vraiment dire que l’histoire est plutôt sympathique, il y a de l’aventure, du fantastique, des combats… Le livre comporte 3 aventures indépendantes, la dernière est assez tragique et montre en plus les vils côtés de la nature humaine. Il semble qu’il y est peut-être une quête ou un objectif particulier à atteindre pour Lal Viento mais peu d’informations là-dessus pour le moment. Hélas, et je pense que c’est la raison de mon oubli, les personnages ne sont pas attachants et il n’y a pas l’étincelle qui donne envie de savoir la suite à tout prix.
  11. Titre de l'album : Le souffle des légendes tome 1 Scenariste de l'album : HAZUMI Tsukasa Dessinateur de l'album : HAZUMI Tsukasa Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Lal Viento et son assistante Gilet Kracht sont deux agents du Sanctuaire. Leur mission : parcourir le monde pour compiler les vieux récits et les légendes de chaque région. Seulement, chaque histoire dissimule son lot de vérités et c'est au duo qu'il revient de faire le tri entre légendes et faits historiques. Critique : J’ai lu ce livre le 11 février mais je n’ai pas écrit la critique dans la foulée, j’aime bien, quand j’ai le temps de procéder de cette façon, ça me permet de voir ce qu’il me reste du manga presque 1 mois plus tard. Pour le coup, je suis un peu embêtée, à la lecture le livre ne m’avait pas déplu mais j’avoue qu’il ne m’en reste pas grand-chose et ça ce n’est jamais bon signe… Dans un monde fantastique avec épées et créatures étranges, Lal Viento, chef responsable des archives du Sanctuaire accompagné de son assistante Gilet Kracht parcourent le monde à la recherche de légendes dans le but de démêler les faits de la fiction et d’écrire un nouvel ouvrage historique. Seulement, ils vont être amener à se mêler des problèmes des villes et villages où ils passent et en cherchant les origines des us et coutumes, ils vont aider malgré eux la population. Voici le récit de leurs aventures. Bien obligée de le parcourir une seconde fois… je peux vraiment dire que l’histoire est plutôt sympathique, il y a de l’aventure, du fantastique, des combats… Le livre comporte 3 aventures indépendantes, la dernière est assez tragique et montre en plus les vils côtés de la nature humaine. Il semble qu’il y est peut-être une quête ou un objectif particulier à atteindre pour Lal Viento mais peu d’informations là-dessus pour le moment. Hélas, et je pense que c’est la raison de mon oubli, les personnages ne sont pas attachants et il n’y a pas l’étincelle qui donne envie de savoir la suite à tout prix. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-souffle-des-legendes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Grand Blue t7&8

    Ah le retour de mon manga de détente favoris. Avec cette fois un peu moins de déconne que d'habitude pour plus de relationnel. Si l'humour reste le principal trait du manga, ces deux tomes ci sont beaucoup plus orientés sur l'évolution de Iori. Que ce soit son passé avec la présence de sa sœur ou l'évolution des relations avec Chisa, on avance pas mal sur le personnage de Iori et plus uniquement sur la déconne entre copain. Et ce n'est pas un mal. Cela permet de voir que, mine de rien, les personnages murissent (un peu) et changent. Je vous rassure on rigole toujours mais c'est couplé avec une vraie évolution. Pile ce qu'il fallait pour éviter que l'on ne se lasse.
  13. poseidon2

    Grand Blue t7&8

    Titre de l'album : Grand Blue t7&8 Scenariste de l'album : Kenji Inoue Dessinateur de l'album : Kimitake Yoshioka Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Je suis prête à jouer la petite soeur trop attachée à son frère jusqu'au bout ! Shiori, la petite soeur de Iori, fait subitement irruption au Grand Blue. Déterminée à ramener son bon-à-rien de frère à la maison, elle va user de tous les stratagèmes ! Critique : Ah le retour de mon manga de détente favoris. Avec cette fois un peu moins de déconne que d'habitude pour plus de relationnel. Si l'humour reste le principal trait du manga, ces deux tomes ci sont beaucoup plus orientés sur l'évolution de Iori. Que ce soit son passé avec la présence de sa sœur ou l'évolution des relations avec Chisa, on avance pas mal sur le personnage de Iori et plus uniquement sur la déconne entre copain. Et ce n'est pas un mal. Cela permet de voir que, mine de rien, les personnages murissent (un peu) et changent. Je vous rassure on rigole toujours mais c'est couplé avec une vraie évolution. Pile ce qu'il fallait pour éviter que l'on ne se lasse. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grand-blue-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Look back

    L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher. L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent. Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser.
  15. Nickad

    Look back

    Titre de l'album : Look back Scenariste de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Fujino, adolescente surdouée, a une confiance absolue en son talent. Kyômoto, elle, se terre dans sa chambre et pratique sans relâche. Deux jeunes filles d'une même ville de province, qu'une passion fervente pour le dessin va faire se rencontrer, et unir par un lien indéfectible... Critique : L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher. L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent. Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/look-back?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Welcome to the ballroom tome 1

    Tatara Fujita est un collégien qui n’a pas encore trouvé sa voie, il aimerait bien avoir un don, une passion, une motivation dans la vie, quelque chose qui pourrait lui faire ressentir qu’il est vivant, qu’il n’est pas vide et qui lui permettrait de changer, d’avancer. Un jour, suite à un concours de circonstances, il va découvrir le monde de la danse de salon (valse, salsa…) et pour la première fois, il va se sentir happé, fasciné et va décider de devenir danseur et faire de la compétition. Représenter la danse en dessins, pouvoir donner l’impression des mouvements, des enchainements, de la rapidité ce n’est jamais très facile à faire. Même si je n’ai pas été totalement convaincue par ces représentations, ce qui marche bien en revanche, c’est les sensations que la danse procure chez notre héros. On ressent bien l’éveil de son intérêt, sa fascination et son envie d’apprendre. Et puis, pour une fois, ce n’est pas de la danse classique, ni de la street, ici on parle de danse de salon : un genre souvent dénigré par les jeunes car souvent considéré comme obsolète. L’auteure joue donc l’originalité en choisissant ce style de danse et en prenant comme personnage principal un garçon, elle va donc à l’encontre des tendances et c’est très bien ! Une belle découverte, à suivre.
  17. Titre de l'album : Welcome to the ballroom tome 1 Scenariste de l'album : TAKEUCHI Tomo Dessinateur de l'album : TAKEUCHI Tomo Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Collégien, Tatara Fujita n'a ni talent ni passion et ne sait pas quoi faire de sa vie. Le hasard et une bande de caïds mal intentionnés l'amènent à rencontrer Kaname Sengoku, un danseur professionnel qui l'attire dans un studio de danse de salon. Tatara y découvre l'univers de la danse sportive. Critique : Tatara Fujita est un collégien qui n’a pas encore trouvé sa voie, il aimerait bien avoir un don, une passion, une motivation dans la vie, quelque chose qui pourrait lui faire ressentir qu’il est vivant, qu’il n’est pas vide et qui lui permettrait de changer, d’avancer. Un jour, suite à un concours de circonstances, il va découvrir le monde de la danse de salon (valse, salsa…) et pour la première fois, il va se sentir happé, fasciné et va décider de devenir danseur et faire de la compétition. Représenter la danse en dessins, pouvoir donner l’impression des mouvements, des enchainements, de la rapidité ce n’est jamais très facile à faire. Même si je n’ai pas été totalement convaincue par ces représentations, ce qui marche bien en revanche, c’est les sensations que la danse procure chez notre héros. On ressent bien l’éveil de son intérêt, sa fascination et son envie d’apprendre. Et puis, pour une fois, ce n’est pas de la danse classique, ni de la street, ici on parle de danse de salon : un genre souvent dénigré par les jeunes car souvent considéré comme obsolète. L’auteure joue donc l’originalité en choisissant ce style de danse et en prenant comme personnage principal un garçon, elle va donc à l’encontre des tendances et c’est très bien ! Une belle découverte, à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/welcome-to-the-ballroom-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Retour du manga sur le quotidien de cet homme et de ce chat qui étaient tous les deux seuls et tristes et qui se sont trouvés. Si on fait un petit récapitulatif des mangas sur les chats, nous avons ceux qui racontent leur quotidien du point de vue des chats comme Chi, Plum ou Choubi ; ceux qui racontent la vie avec des chats comme la gameuse et son chat, les livres humoristiques tels que nyankees, desperate housecat, ceux où le chat est présent mais pas vraiment impliqué comme walking cat, ceux où un humain se retrouve dans le corps d’un chat tel que chat malgré moi et j’en oublie beaucoup car c’est un thème apprécié par les japonais (il y a beaucoup moins de mangas avec des chiens…). Alors qu’est-ce-qui fait que le chat qui rendait l’homme heureux et inversement se démarque ? C’est clairement les sentiments. Si la partie « pensées du chat » s’appuie sur les comportements connus des félins mais est forcément interprétée, les pensées de l’homme, elles, sont justes. Plus que de montrer des mignonneries, et il faut y arriver avec ce chat pas spécialement kawaii, le manga se penche sur le ressenti des personnages, sur ce qu’apporte la présence d’un animal du point de vue affectif. Bien que ponctué de courtes histoires, le manga a quand même une trame générale qui suit l’évolution de Fuyuki Kanda après avoir perdu sa femme et adopté le chat Fukumaru. Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur son passé et son métier. Le manga apporte toujours une dose de tendresse et de chaleur, un pur moment de bien-être.
  19. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 3 Scenariste de l'album : SAKURAI Umi Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour. Critique : Retour du manga sur le quotidien de cet homme et de ce chat qui étaient tous les deux seuls et tristes et qui se sont trouvés. Si on fait un petit récapitulatif des mangas sur les chats, nous avons ceux qui racontent leur quotidien du point de vue des chats comme Chi, Plum ou Choubi ; ceux qui racontent la vie avec des chats comme la gameuse et son chat, les livres humoristiques tels que nyankees, desperate housecat, ceux où le chat est présent mais pas vraiment impliqué comme walking cat, ceux où un humain se retrouve dans le corps d’un chat tel que chat malgré moi et j’en oublie beaucoup car c’est un thème apprécié par les japonais (il y a beaucoup moins de mangas avec des chiens…). Alors qu’est-ce-qui fait que le chat qui rendait l’homme heureux et inversement se démarque ? C’est clairement les sentiments. Si la partie « pensées du chat » s’appuie sur les comportements connus des félins mais est forcément interprétée, les pensées de l’homme, elles, sont justes. Plus que de montrer des mignonneries, et il faut y arriver avec ce chat pas spécialement kawaii, le manga se penche sur le ressenti des personnages, sur ce qu’apporte la présence d’un animal du point de vue affectif. Bien que ponctué de courtes histoires, le manga a quand même une trame générale qui suit l’évolution de Fuyuki Kanda après avoir perdu sa femme et adopté le chat Fukumaru. Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur son passé et son métier. Le manga apporte toujours une dose de tendresse et de chaleur, un pur moment de bien-être. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-et-inversement-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Exposition TATSUKI FUJIMOTO à Angoulême

    jusqu’à
    Avec la sortie de Look back et l'arrivée de 2 autres de ses oeuvres "17-21" le 18 mai et "22-26" le 8 juin ne librairie, l'auteur de Fire Punch et Chainsaw Man est mis à l'honneur au festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême.
  21. Nickad

    Sans préambule

    Sans préambule est une œuvre qu’Akane TORIKAI a réalisé entre le siège des exilées et saturn return. Ce qui frappe en premier c’est le rendu graphique, entièrement réalisé au crayon, on a parfois l’impression de n’avoir que des esquisses mais cela apporte au livre une certaine authenticité et rapproche plus l’œuvre du roman graphique que du manga. Le découpage des cases va également dans ce sens avec des images à cheval sur les deux pages et des points de vue jouant sur différents plans. Concernant l’histoire, il s’agit de 6 courtes histoires de lycéennes, des réflexions ou des pensées qu’elles ont sur leur avenir, leurs envies ou leur place dans la société. Comme toujours l’auteure met à l’honneur les femmes et elle est soucieuse d’en montrer différents aspects. Toutes ces héroïnes ont ce point commun de faire face à ce qu’elles sont à un moment donné et d’aller de l’avant. Je serai peut-être moins emballée que d’autres sur le récit, j’ai trouvé que la réflexion n’était pas toujours pertinente, un peu comme si on prenait une page au hasard d’un livre sans aller plus loin. Pas toujours compréhensible non plus car si les histoires sont indépendantes, certaines semblent se chevaucher par moment, j’ai parfois eu du mal à identifier les personnages et je pense qu’il va me falloir une relecture pour mieux appréhender le contenu. Le manga reste une œuvre intéressante, surtout dans sa conception graphique et Akata a pris le soin d’en faire une belle édition avec un format plus grand (A5) et une couverture cartonnée.
  22. Nickad

    Sans préambule

    Titre de l'album : Sans préambule Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Elles sont lycéennes, elles fréquentent le même établissement. Chacune d'entre elles, au quotidien, se pose des questions qui lui est propre. Sur son avenir, sur la vie, sur l'amour. Mais aucune, jamais, ne baissera les bras... Car toujours, il faut aller de l'avant. Avec son regard toujours unique, Akane Torikai croque (littéralement) le portrait de jeunes filles bien contemporaines. Critique : Sans préambule est une œuvre qu’Akane TORIKAI a réalisé entre le siège des exilées et saturn return. Ce qui frappe en premier c’est le rendu graphique, entièrement réalisé au crayon, on a parfois l’impression de n’avoir que des esquisses mais cela apporte au livre une certaine authenticité et rapproche plus l’œuvre du roman graphique que du manga. Le découpage des cases va également dans ce sens avec des images à cheval sur les deux pages et des points de vue jouant sur différents plans. Concernant l’histoire, il s’agit de 6 courtes histoires de lycéennes, des réflexions ou des pensées qu’elles ont sur leur avenir, leurs envies ou leur place dans la société. Comme toujours l’auteure met à l’honneur les femmes et elle est soucieuse d’en montrer différents aspects. Toutes ces héroïnes ont ce point commun de faire face à ce qu’elles sont à un moment donné et d’aller de l’avant. Je serai peut-être moins emballée que d’autres sur le récit, j’ai trouvé que la réflexion n’était pas toujours pertinente, un peu comme si on prenait une page au hasard d’un livre sans aller plus loin. Pas toujours compréhensible non plus car si les histoires sont indépendantes, certaines semblent se chevaucher par moment, j’ai parfois eu du mal à identifier les personnages et je pense qu’il va me falloir une relecture pour mieux appréhender le contenu. Le manga reste une œuvre intéressante, surtout dans sa conception graphique et Akata a pris le soin d’en faire une belle édition avec un format plus grand (A5) et une couverture cartonnée. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sans-preambule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Sexy cosplay doll tome 7

    Quand d’autres élèves demandent à Gojô et Marine s’ils sortent ensemble, ce dernier nie farouchement, plus parce qu’il estime ne pas être à la hauteur de la jeune fille et ne voulant pas lui faire honte que par manque de sentiments. Marine, elle, ignorant le ressenti de son ami, est un peu dépitée par cette réaction. Il est temps que Gojô s’assume enfin, qu’il se montre tel qu’il est devant les autres et affirme ses choix, la fête du lycée va peut-être pouvoir l’aider : il y a un costume à confectionner et tout le monde apprends alors qu’il est doué dans ce domaine. Ce tome est donc consacré à Gojô, la façon qu’il a eu de se comporter par rapport aux autres à la fois en se mettant en retrait pour ne déranger personne et aussi en cachant sa passion. On est donc un peu plus sur sa psychologie et les traces que lui ont laissé les remarques blessantes de son enfance. L’histoire va donc enfin pouvoir avancer, tant que lui était bloqué, leur relation l’était aussi ! Un manga toujours agréable à lire, plus ou moins dosé en cosplay selon les tomes (pas trop dans celui-là). Si vous voulez vous en faire une idée, vous pouvez aller voir l’anime sur crunchyroll (titre : my dress-up darling)
  24. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 7 Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : "Gojô et Marine, est-ce que vous sortez ensemble ? ! " Comment Gojô et Marine vont-ils réagir à l'intervention de Nowa ? ! En tout cas, ils n'auront pas trop le temps de gamberger : le festival culturel du lycée approche à grands pas ! Marine trépigne à l'idée de participer au concours de beauté du deuxième jour : ce sera pour elle l'occasion de se cosplayer à l'école ! Sans compter que, cette fois encore, c'est une grande première qui l'attend. Critique : Quand d’autres élèves demandent à Gojô et Marine s’ils sortent ensemble, ce dernier nie farouchement, plus parce qu’il estime ne pas être à la hauteur de la jeune fille et ne voulant pas lui faire honte que par manque de sentiments. Marine, elle, ignorant le ressenti de son ami, est un peu dépitée par cette réaction. Il est temps que Gojô s’assume enfin, qu’il se montre tel qu’il est devant les autres et affirme ses choix, la fête du lycée va peut-être pouvoir l’aider : il y a un costume à confectionner et tout le monde apprends alors qu’il est doué dans ce domaine. Ce tome est donc consacré à Gojô, la façon qu’il a eu de se comporter par rapport aux autres à la fois en se mettant en retrait pour ne déranger personne et aussi en cachant sa passion. On est donc un peu plus sur sa psychologie et les traces que lui ont laissé les remarques blessantes de son enfance. L’histoire va donc enfin pouvoir avancer, tant que lui était bloqué, leur relation l’était aussi ! Un manga toujours agréable à lire, plus ou moins dosé en cosplay selon les tomes (pas trop dans celui-là). Si vous voulez vous en faire une idée, vous pouvez aller voir l’anime sur crunchyroll (titre : my dress-up darling) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Alpi the soul sender tome 6

    Dans l’univers de ce manga, les humains vivent sous la protection d’esprits divins qui leurs prodiguent leurs protections et les bienfaits de la nature. Quand un esprit vient à mourir, de son corps se dégagent des miasmes toxiques comme si une malédiction s’abattait sur terre. C’est à ce moment qu’interviennent les soul senders, des êtres qui par leurs prières peuvent pratiquer une cérémonie pour apaiser l’âme de l’esprit divin, l’envoyer dans l’au-delà et mettre fin aux miasmes. Alpi est une jeune soul sender partie à l’aventure avec son serviteur Pelenai à la recherche de ses parents disparus, eux-aussi soul senders. C’est la première fois qu’Alpi collabore avec d’autres soul senders pour apaiser l’esprit du grand serpent, seulement l’équipe se heurte à des esprits qui pensent que les humains doivent à un moment payer pour les bienfaits qu’ils demandent. C’est dans ce contexte tendu qu’Alpi découvre que Pelenai est en réalité un esprit gardien, venu eu monde pour la protéger. Il va alors lui raconter son passé. Alpi the soul sender est un manga d’aventure dans un contexte fantastique. Au travers de ce périple, elle apprend à connaitre la différence, découvre les différents rapports que l‘homme entretient avec la nature. Mais sans aller jusqu’à une analyse pointue, le manga peut juste être apprécié au 1er degré (côté aventure). Le graphisme est vraiment très soigné, que ce soit dans les décors, les tenues ou même les traits des personnages. C’est un manga agréable et dépaysant.
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