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  1. Titre de l'album : In the land of Leadale t1 Scenariste de l'album : Dashio Tsukimi Dessinateur de l'album : Dashio Tsukimi Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Réincarnée 200 ans plus tard dans le monde virtuel de Leadale ! Après avoir perdu la vie à la suite d'un terrible accident, Keina Kagami se réveille dans le corps d'une haute-elfe du nom de Cayna. Ce n'est autre que le personnage qu'elle s'était créé sur Leadale, un jeu de rôle en réalité virtuelle auquel elle était souvent connectée. Mais il semblerait que 200 ans se soient écoulés depuis l'époque où elle jouait...Sa première quête consiste donc à comprendre ce qu'il s'est passé durant toutes ces années, et elle n'est pas au bout de ses surprises ! Critique : C'est marrant car il n'y a pas longtemps de cela j'aurais juste écrit : c'est encore un autre Isekai. Mais là, après toutes ces variations possibles de l'Isekai qui nous ont été donnée, avec des mangas qui vont vites, des pouvoirs étranges et des héros pour qui cela semble naturel d'être dans un autre monde, je dirais plus : A cool un Isekai de base. Car c'est le cas. In the Land of Leadale est un Isekai de base. On retrouve une trame d'une fille paniquée d'être prisonnier dans un jeu et devant s'adapter à sa nouvelle condition. Ça parait bête mais j'ai trouvé cette simplicité reposante car, au final, bien plus normale. IL n'y a rien de nouveau ni d'original dans ce manga. Mais ce retour aux sources me rappelle mes premières lectures du genre. Et c'est déjà pas mal. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-the-land-of-leadale-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    The kingdoms of ruins t1

    Chic chic chic. Ca faisait longtemps que je n'avais pas été charmé par un manga fantastique pour ado/adulte. On a bien sur ici tout ce qui fait un manga standard. Mais on surtout tout d'extrêmement bien fait. Une vraie dramaturgie dès le début, des humains plus horribles et égoïstes que jamais, un héros complètement perdu à la limite de la folie et une jeune sorcière qui veut absolument le sauver. On se passionne pour cette aventure qui semble perdue d'avance Porté par un dessin dans le haut du panier des sorties actuelles, on a là l'exemple typique d'un très bon premier tome de série. Série déjà à 4 tomes au Japon.
  3. Titre de l'album : The kingdoms of ruins t1 Scenariste de l'album : Yoruhashi Dessinateur de l'album : Yoruhashi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les sorcières guidaient les humains, ces derniers ont fini par développer une technologie leur permettant de s'affranchir des sorcières. Pour mettre un terme définitif à cette relation de dépendance, les hommes décident alors de lancer une chasse aux sorcières. Chloé, merveilleuse sorcière, meurt pendant cette purge devant les yeux d'Adonis, un humain à qui elle apprenait la magie. Fou de douleur, Adonis jure de se venger. Pendant 10 ans il est enfermé en prison. Une jeune sorcière ressemblant étrangement à Chloé le libère. La vengeance commence... Critique : Chic chic chic. Ca faisait longtemps que je n'avais pas été charmé par un manga fantastique pour ado/adulte. On a bien sur ici tout ce qui fait un manga standard. Mais on surtout tout d'extrêmement bien fait. Une vraie dramaturgie dès le début, des humains plus horribles et égoïstes que jamais, un héros complètement perdu à la limite de la folie et une jeune sorcière qui veut absolument le sauver. On se passionne pour cette aventure qui semble perdue d'avance Porté par un dessin dans le haut du panier des sorties actuelles, on a là l'exemple typique d'un très bon premier tome de série. Série déjà à 4 tomes au Japon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kingdoms-of-ruin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Blue summer T1&2 (Fini)

    Une critique de @TheOtaku: Un Yaoi très mignon entre deux garçons qui ont pour seul point commun leur passion pour les films. Bien sûr comme la plupart des yaoi ça parle d'un garçon qui en aime un autre et puis l'autre qui ne sait pas s’il l'aime et puis la fin de base. Un classique ! Mais là, le fait de rajouter le thème du cinéma et une relation d'amis avec un amour à sens unique (mais qui reste quand bien même juste amis), dans le premier tome, donne un côté différent d'un yaoi de base. Sinon les deux tomes sont aussi bien l'un que l'autre entre leurs pèlerinages dans leurs lieux de tournage préférés qui font bien avancer leur histoire d'amour toute mignonne et leur passage du lycée à l'université qui leur font commencer une relation à distance, la série est bien. Et en plus elle est finie en deux tomes bien que la fin du tome 1 était suffisante. Mais le tome 2 reste bien et mignon. Une bonne série si on a envie de se reposer l'esprit et de ne pas commencer une série à rallonge !
  5. Titre de l'album : Blue summer T1&2 (Fini) Scenariste de l'album : Nagisa Furuya Dessinateur de l'album : Nagisa Furuya Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Chiharu Saeki et Wataru Toda sont deux lycéens passionnés de cinéma. C'est grâce à cet intérêt commun qu'ils sont devenus amis. Ils aiment passer du temps ensemble et se sentent à l'aise en compagnie de l'autre... Jusqu'au jour où une déclaration d'amour inattendue change la dynamique de leur relation. Lorsque Saeki demande à Wataru de l'accompagner faire un pèlerinage des lieux de tournage de son film préféré pendant les vacances d'été, celui-ci accepte, sans se rendre compte que le temps leur est compté... Pourquoi tombe-t-on amoureux ? Que faire lorsqu'il n'y a aucun espoir ? Plongez dans l'histoire tendre et émouvante de deux lycéens en proie à leurs sentiments, au coeur de l'été. Critique : Une critique de @TheOtaku: Un Yaoi très mignon entre deux garçons qui ont pour seul point commun leur passion pour les films. Bien sûr comme la plupart des yaoi ça parle d'un garçon qui en aime un autre et puis l'autre qui ne sait pas s’il l'aime et puis la fin de base. Un classique ! Mais là, le fait de rajouter le thème du cinéma et une relation d'amis avec un amour à sens unique (mais qui reste quand bien même juste amis), dans le premier tome, donne un côté différent d'un yaoi de base. Sinon les deux tomes sont aussi bien l'un que l'autre entre leurs pèlerinages dans leurs lieux de tournage préférés qui font bien avancer leur histoire d'amour toute mignonne et leur passage du lycée à l'université qui leur font commencer une relation à distance, la série est bien. Et en plus elle est finie en deux tomes bien que la fin du tome 1 était suffisante. Mais le tome 2 reste bien et mignon. Une bonne série si on a envie de se reposer l'esprit et de ne pas commencer une série à rallonge ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-summer-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Poison quotidien tome 1

    Ogino et Takai sont deux lycéens quelconques, ni beaux ni sportifs ni intellectuels… mais ils ont eu la malchance de tomber sous le joug des racailles de l’école qui les traite comme des esclaves. Harcelés et rackettés, Ogino se prend souvent des coups et Takai préfère payer vu que ses parents sont riches. Les deux garçons trouvent de l’évasion et de l’espoir dans les motos et préparent leur permis en secret. Poison quotidien est un portrait assez réaliste de la jeunesse japonaise, il y a le harcèlement, toujours très présent, la pression omniprésente qui peut venir des parents, de l’école, du système plus généralement qui fait qu’il y a un moule dans lequel rentrer et une conduite à tenir. Et puis il y a juste le fait d’être adolescent, de trouver sa voie, de prendre des décisions, d’éprouver des sentiments, se questionner sur l’amour, l’amitié. Vivre le quotidien et ressentir son poids avec des éléments qui vous empoisonnent l’existence et dont on ne peut se débarrasser. Le graphisme est à la hauteur du récit, un style réaliste, des physiques asiatiques... parfois ingrats. Le manga est une peinture sociale, pas la plus belle qui soit, pas la plus passionnante non plus, mais juste la plus répandue, celle du quotidien, celle qui nous ressemble où l’on pourrait se reconnaitre. Série finie en 6 tomes Lire un extrait
  7. Titre de l'album : Poison quotidien tome 1 Scenariste de l'album : FURUYA Minoru Dessinateur de l'album : FURUYA Minoru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : C'est la première fois de ma vie que je décide quelque chose par moi-même... Yusuke Ogino est un lycéen complètement ordinaire. Avec son meilleur pote, Takao Takai, il se fait sans cesse harceler, racketter. Et parce qu'il ne sait pas comment réagir, il est parfois plus simple de se laisser être la victime. Alors pour s'échapper, il rêve de liberté, de passer son permis moto et de rouler, pour être libre... Mais ce foutu quotidien, toujours, il revient, il vous étouffe, il vous empoisonne. Est-ce qu'un jour, enfin, le bonheur frappera à la porte ? Critique : Ogino et Takai sont deux lycéens quelconques, ni beaux ni sportifs ni intellectuels… mais ils ont eu la malchance de tomber sous le joug des racailles de l’école qui les traite comme des esclaves. Harcelés et rackettés, Ogino se prend souvent des coups et Takai préfère payer vu que ses parents sont riches. Les deux garçons trouvent de l’évasion et de l’espoir dans les motos et préparent leur permis en secret. Poison quotidien est un portrait assez réaliste de la jeunesse japonaise, il y a le harcèlement, toujours très présent, la pression omniprésente qui peut venir des parents, de l’école, du système plus généralement qui fait qu’il y a un moule dans lequel rentrer et une conduite à tenir. Et puis il y a juste le fait d’être adolescent, de trouver sa voie, de prendre des décisions, d’éprouver des sentiments, se questionner sur l’amour, l’amitié. Vivre le quotidien et ressentir son poids avec des éléments qui vous empoisonnent l’existence et dont on ne peut se débarrasser. Le graphisme est à la hauteur du récit, un style réaliste, des physiques asiatiques... parfois ingrats. Le manga est une peinture sociale, pas la plus belle qui soit, pas la plus passionnante non plus, mais juste la plus répandue, celle du quotidien, celle qui nous ressemble où l’on pourrait se reconnaitre. Série finie en 6 tomes Lire un extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/poison-quotidien-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Keiji tome 4

    Keiji arrive à la capitale (Kyoto à l’époque), il se heurte dès la départ à un fils à papa qui fait la loi. Après lui avoir donner une bonne leçon, il rencontre son père qui n’est autre que l’un des conseillers du seigneur. Keiji se retrouve malgré lui au beau milieu d’un complot politique. Quelle que soit la situation et quelle que soit la personne qu’il a en face de lui, Keiji reste fidèle à lui-même et vit comme il l’entend, car un Kabuki-dono vit toujours à fond en mettant sa vie en jeu au moindre instant. Le manga est toujours plaisant, il y a d’un côté le fond historique qui permet d’en apprendre un peu plus sur le Japon et de l’autre la vie de Keiji entre humour et combat. C’est un personnage riche et intéressant auprès duquel l’ennui n’est pas possible. Pour le moment, le schéma fonctionne encore mais il va falloir un renouveau dans le déroulement pour ne pas lasser sur les 18 tomes que compte la série. Le dessin de Tetsuo HARA est toujours détaillé et réserve de belles surprises.
  9. Nickad

    Keiji tome 4

    Titre de l'album : Keiji tome 4 Scenariste de l'album : RYU Keiichiro Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Si la vie a une fin, la gloire, elle, est éternelle ! »1588. C'est accompagné d'Ofû et de Sutemaru, ninja rencontré à Tsuruga, que Keiji se rend à Kyôto, la capitale. Il y fait là-bas la rencontre des hommes les plus puissants du pays, dont Toyotomi Hideyoshi, successeur d'Oda Nobunaga, ou de Sen no Rikyû, connu sous le nom du «saint du thé». Mêlé à diverses intrigues politiques, Keiji parviendra-t-il à échapper à ses nombreux détracteurs?En 1582, la mort d'Oda Nobunaga vient attiser la flamme de la guerre qui embrase le Japon depuis plus d'un siècle. Voguant à contre-courant de la retenue et de la courtoisie de mise à l'époque, les kabuki-mono sont des guerriers outranciers, aux habits flamboyants et suivant leur propre code d'honneur. Critique : Keiji arrive à la capitale (Kyoto à l’époque), il se heurte dès la départ à un fils à papa qui fait la loi. Après lui avoir donner une bonne leçon, il rencontre son père qui n’est autre que l’un des conseillers du seigneur. Keiji se retrouve malgré lui au beau milieu d’un complot politique. Quelle que soit la situation et quelle que soit la personne qu’il a en face de lui, Keiji reste fidèle à lui-même et vit comme il l’entend, car un Kabuki-dono vit toujours à fond en mettant sa vie en jeu au moindre instant. Le manga est toujours plaisant, il y a d’un côté le fond historique qui permet d’en apprendre un peu plus sur le Japon et de l’autre la vie de Keiji entre humour et combat. C’est un personnage riche et intéressant auprès duquel l’ennui n’est pas possible. Pour le moment, le schéma fonctionne encore mais il va falloir un renouveau dans le déroulement pour ne pas lasser sur les 18 tomes que compte la série. Le dessin de Tetsuo HARA est toujours détaillé et réserve de belles surprises. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-4-224035?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Androgynous

    Jack est un botaniste qui s’est installé dans un village en plein cœur de la jungle, il cherche à découvrir de nouvelles espèces. Au lieu de ça, il va rencontrer un étrange jeune homme et tomber sous son charme. Mais quand il cherche à savoir qui c’est, personne ne semble le connaître. Quel secret cache le village et qui est celui qu'il a vu ? Androgynous aborde le sujet de l’androgynie ou hermaphrodisme dans les sociétés tribales, ici suite à d’anciennes croyances, l’enfant hermaphrodite devient la prêtresse de la forêt. Si à l’origine du mythe, qui est d’ailleurs raconté dans le 2eme partie du livre, cette prêtresse était vénérée car son sacrifice avait sauvé la forêt en déperdition ; c’est surtout devenu avec le temps un prétexte pour se débarrasser d’un être différent, ni homme ni femme. Le manga aurait pu exploiter cette différence, s’appesantir sur les croyances, les préjugés, raconter la souffrance des androgynes, leurs difficultés à s’intégrer et à être accepté. Ici, le sujet est survolé et l’auteure est plus intéressée par faire des scènes coquines. Et même de ce point de vue l’hermaphrodisme n’est pas vraiment exploité. Au bout du compte, il s’agit surtout d’un livre érotique, notons cependant que le graphisme est de qualité que ce soit dans le rendu de la jungle ou l’exotisme des membres de la tribu.
  11. Nickad

    Androgynous

    Titre de l'album : Androgynous Scenariste de l'album : ASHIHARA Akira Dessinateur de l'album : ASHIHARA Akira Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Au fin fond de la jungle, il existe une mystérieuse prêtresse " androgyne " dont le charme fascine. Il y a fort longtemps, la première prêtresse du nom d'Ester avait offert son corps en sacrifice au dieu de la forêt et apporté de l'amour à son existence solitaire. Le temps a passé et aujourd'hui, la prêtresse actuelle appelée Aura est tourmentée par sa fascination pour le monde moderne et son amour interdit pour un botaniste étranger ayant découvert son secret. Critique : Jack est un botaniste qui s’est installé dans un village en plein cœur de la jungle, il cherche à découvrir de nouvelles espèces. Au lieu de ça, il va rencontrer un étrange jeune homme et tomber sous son charme. Mais quand il cherche à savoir qui c’est, personne ne semble le connaître. Quel secret cache le village et qui est celui qu'il a vu ? Androgynous aborde le sujet de l’androgynie ou hermaphrodisme dans les sociétés tribales, ici suite à d’anciennes croyances, l’enfant hermaphrodite devient la prêtresse de la forêt. Si à l’origine du mythe, qui est d’ailleurs raconté dans le 2eme partie du livre, cette prêtresse était vénérée car son sacrifice avait sauvé la forêt en déperdition ; c’est surtout devenu avec le temps un prétexte pour se débarrasser d’un être différent, ni homme ni femme. Le manga aurait pu exploiter cette différence, s’appesantir sur les croyances, les préjugés, raconter la souffrance des androgynes, leurs difficultés à s’intégrer et à être accepté. Ici, le sujet est survolé et l’auteure est plus intéressée par faire des scènes coquines. Et même de ce point de vue l’hermaphrodisme n’est pas vraiment exploité. Au bout du compte, il s’agit surtout d’un livre érotique, notons cependant que le graphisme est de qualité que ce soit dans le rendu de la jungle ou l’exotisme des membres de la tribu. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/androgynous?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Mobuko no koi tome 1

    Nobuko est une jeune étudiante très discrète, trop même. Elle travaille depuis un an dans une supérette et elle éprouve des sentiments pour son collègue Irie, étudiant comme elle. Elle préfère être « le second rôle de sa propre histoire ». Ce n’est qu’avec l’arrivée d’une nouvelle employée Abe, une jeune fille franche et enjouée, que Nobuko va arriver à avancer petit à petit. Mobuko no Koi est une romance entre deux personnes timides et réservées. Malgré le manque de communication et d’expressions (verbales ou physiques), les personnages développent quand même une relation, il suffit d’un geste, d’une petite attention pour arriver à transmettre une intention. Le titre du manga « mobuko » est une référence au caractère de la jeune fille, mobuko désignant généralement une personne sans influence, de second plan. Le rythme du livre est à l’image des personnages, l’auteure prend son temps de faire découvrir les différentes facettes ou « manies » de notre héroïne, c’est une allure où l’on avance tout doucement, petit pas par petit pas. J’avoue que pour le moment je ne suis pas complètement convaincue, il n’est pas déplaisant, a une ambiance très apaisée mais manque un peu de piquant ; ce qui est certainement la volonté de l’auteure vu le caractère de ses personnages. J’attends la suite pour me prononcer, la série compte déjà 12 tomes au Japon.
  13. Titre de l'album : Mobuko no koi tome 1 Scenariste de l'album : TAMURA Akane Dessinateur de l'album : TAMURA Akane Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : La timide Nobuko Tanaka déteste se retrouver au centre de l'attention. Réservée, toujours en retrait, elle a l'impression d'être le second rôle de sa propre vie. Mais lorsque les sentiments d'un premier amour germent en elle, elle se découvre le courage de sortir de l'ombre pour avancer, pas à pas, vers l'élu de son cœur. Premier ou second rôle... quelle importance lorsque les sentiments sont là ? Après tout, même dans l'ombre, l'amour peut fleurir... Critique : Nobuko est une jeune étudiante très discrète, trop même. Elle travaille depuis un an dans une supérette et elle éprouve des sentiments pour son collègue Irie, étudiant comme elle. Elle préfère être « le second rôle de sa propre histoire ». Ce n’est qu’avec l’arrivée d’une nouvelle employée Abe, une jeune fille franche et enjouée, que Nobuko va arriver à avancer petit à petit. Mobuko no Koi est une romance entre deux personnes timides et réservées. Malgré le manque de communication et d’expressions (verbales ou physiques), les personnages développent quand même une relation, il suffit d’un geste, d’une petite attention pour arriver à transmettre une intention. Le titre du manga « mobuko » est une référence au caractère de la jeune fille, mobuko désignant généralement une personne sans influence, de second plan. Le rythme du livre est à l’image des personnages, l’auteure prend son temps de faire découvrir les différentes facettes ou « manies » de notre héroïne, c’est une allure où l’on avance tout doucement, petit pas par petit pas. J’avoue que pour le moment je ne suis pas complètement convaincue, il n’est pas déplaisant, a une ambiance très apaisée mais manque un peu de piquant ; ce qui est certainement la volonté de l’auteure vu le caractère de ses personnages. J’attends la suite pour me prononcer, la série compte déjà 12 tomes au Japon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mobuko-no-koi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Saotome t6

    Ma femme est en train de lire Saotome après avoir parcouru ce tome 6. Cela vous parait peut être assez ridicule commme introduction mais c'est pour moi un gage de réussite. En effet ma femme est très livre mais que peu BD/Manga ou comics. Un comble je sais mais c'est comme ca. Alors quand je l'ai vu lire ce volume 6 puis aller piquer les 5 premiers dans la chambre de sa fille, je me suis dit que cela voulait dire que cette série était une réussite. Cela veut surtout dire que cette série décrit la vraie vie. Les vrais sentiments des deux ados qui sortent pour la premiere fois avec quelqu'un et qui sont empotés au possible. A contrario de beaucoup de shojo, Saotome nous montre ici à quelle point, dans la vraie vie, il est dure d'exprimer ses sentiments. Et ce tome 6 marque en cela une vraie avancée pour notre couple : Au travers du combat de boxe tant attendu, Satoru découvre depuis quand Saotome est amoureuse de lui. Une decouverte qui fait office de nouvelle étape pour notre mignon petit couple. Point de boxe officielle dans ce tome 6. Juste une avancée majeure dans les relations entre Saotome et Satoru. Encore une réussite pour une série qui restera, à n'en pas douter, une des plus mignonnes de la maison et une des rares à avoir été lue par tout le monde 😉
  15. poseidon2

    Saotome t6

    Titre de l'album : Saotome t6 Scenariste de l'album : Naoko Mizuguchi Dessinateur de l'album : Naoko Mizuguchi Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Une romance pleine de fraîcheur sur fond de boxe... Une ode aux couples maladroits et dépareillés ! Gagne ce combat et je te raconterai tout!Après s'être consacrée corps et âme à la boxe, Saotome, lycéenne au physique atypique, découvre maladroitement les premiers émois de l'amour...Saotome est prête à révéler ce passé un peu douloureux qu'elle cache à Satoru.Sa rivale, Milky Satsukawa, sera également de la partie!Doit-on s'attendre à un rapprochement entre les deuxboxeuses ?Ne ratez pas ce volume qui lève enfin le voile sur les véritables origines de cette romance qui fait battre le coeur de Saotome! Critique : Ma femme est en train de lire Saotome après avoir parcouru ce tome 6. Cela vous parait peut être assez ridicule commme introduction mais c'est pour moi un gage de réussite. En effet ma femme est très livre mais que peu BD/Manga ou comics. Un comble je sais mais c'est comme ca. Alors quand je l'ai vu lire ce volume 6 puis aller piquer les 5 premiers dans la chambre de sa fille, je me suis dit que cela voulait dire que cette série était une réussite. Cela veut surtout dire que cette série décrit la vraie vie. Les vrais sentiments des deux ados qui sortent pour la premiere fois avec quelqu'un et qui sont empotés au possible. A contrario de beaucoup de shojo, Saotome nous montre ici à quelle point, dans la vraie vie, il est dure d'exprimer ses sentiments. Et ce tome 6 marque en cela une vraie avancée pour notre couple : Au travers du combat de boxe tant attendu, Satoru découvre depuis quand Saotome est amoureuse de lui. Une decouverte qui fait office de nouvelle étape pour notre mignon petit couple. Point de boxe officielle dans ce tome 6. Juste une avancée majeure dans les relations entre Saotome et Satoru. Encore une réussite pour une série qui restera, à n'en pas douter, une des plus mignonnes de la maison et une des rares à avoir été lue par tout le monde 😉 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saotome-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    He came for learning "Love" tome 1

    Nayuta, un androïde venu du futur arrive dans la vie d’Ann une lycéenne qui gère une pension familiale. C’est un beau gosse et il vient à cette époque pour apprendre ce qu’est l’amour car dans le futur d’où il vient, si la technologie est à la pointe, les sentiments sont encore un domaine inconnu pour les androïdes et un chercheur essaye d’y remédier. Seulement Ann est éprise de Subaru qui l’a rejeté, elle n’y connaît pas non plus grand-chose en amour. Ce n’est pas la 1ere fois que l’on voit un beau gosse androïde dans un shojo, c’est un concept qui fonctionne bien. En plus d’être agréable visuellement (vous avez tous les codes du genre), le manga possède un scenario qui va au-delà de la romance : il y a un triangle amoureux, l’apprentissage de sentiments chez une Intelligence Artificielle, du fantastique avec la partie « futur » et un développement supplémentaire qui arrive sur la fin. C’est un bon 1er tome pour une série finie en 3 tomes. Agréable et distrayant. Extrait du tome 1
  17. Titre de l'album : He came for learning "Love" tome 1 Scenariste de l'album : SHOUOTO Aya Dessinateur de l'album : SHOUOTO Aya Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Ann est lycéenne et vit seule dans la pension de sa tante. Un jour, elle reçoit un étrange colis qui contient un androïde venant du futur ! Le robot, Nayuta Hibiki, fait plus vrai que nature, il ressemble à s'y méprendre à un véritable jeune homme. Sauf pour une chose : il ne sait pas aimer. La jeune fille va alors devoir lui apprendre l'amour Critique : Nayuta, un androïde venu du futur arrive dans la vie d’Ann une lycéenne qui gère une pension familiale. C’est un beau gosse et il vient à cette époque pour apprendre ce qu’est l’amour car dans le futur d’où il vient, si la technologie est à la pointe, les sentiments sont encore un domaine inconnu pour les androïdes et un chercheur essaye d’y remédier. Seulement Ann est éprise de Subaru qui l’a rejeté, elle n’y connaît pas non plus grand-chose en amour. Ce n’est pas la 1ere fois que l’on voit un beau gosse androïde dans un shojo, c’est un concept qui fonctionne bien. En plus d’être agréable visuellement (vous avez tous les codes du genre), le manga possède un scenario qui va au-delà de la romance : il y a un triangle amoureux, l’apprentissage de sentiments chez une Intelligence Artificielle, du fantastique avec la partie « futur » et un développement supplémentaire qui arrive sur la fin. C’est un bon 1er tome pour une série finie en 3 tomes. Agréable et distrayant. Extrait du tome 1 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/he-came-for-learning-love-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    BEM tome 1

    BEM – humanoide monster Bem est à l’origine un anime sorti en 1968 qui a eu beaucoup de succès, le manga a été publié pour fêter les 50 ans de la licence. La ville de Libra-City est partagé en 2 zones : d’un côté l’Upper destiné aux riches et aux personnes importantes et de l’autre l’Outside correspondant aux bas-fonds avec son lot de parias et de malfaiteurs. Sonia Summers est une jeune policière qui choisit de muter dans l’Outside, elle découvre un monde où la violence règne, où elle ne doit faire confiance à personne et rencontre également un homme étrange souvent présent là où il a des méfaits. L’objectif de BEM c’est de mettre en avant la cruauté de l’homme sous toutes ses formes et c’est au travers des aventures de 3 êtres/monstres humanoïdes qu’il le fait. Tout repose sur cette opposition : d’un côté les 3 « yokai » qui cherchent à devenir humains et pensent y parvenir en aidant les autres et protégeant les faibles, de l’autre les humains qui sont monstrueux dans leurs actions. Et c’est bien de cette façon qu’il faut aborder cette lecture car sinon c’est un peu creux. Oui il y a de l’action, mais cette succession de scènes sans de liant véritable nous laisse un peu spectateur du récit. Même Sonia est un peu fade, on ne ressent pas d’empathie pour les personnages et du coup, on a un peu de mal à se laisser embarquer. La série est finie en 3 tomes, espérons que la suite s’améliore.
  19. Nickad

    BEM tome 1

    Titre de l'album : BEM tome 1 Scenariste de l'album : ADK Emotions Dessinateur de l'album : NOHARA Mosae Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : La ville portuaire de Libra-city est séparée en deux zones : la zone upper qui accueille les populations aisées, et la zone outside où vivent les pauvres. Les habitants d'upper se tiennent éloignés de l'outside ignorant tout de ce qu'il s'y passe. Libra-city est entre les mains d'une organisation criminelle appelée l'Assemblée invisible qui créé des « hommes-fantômes », des humains améliorés comme les héros de ce manga : Bem, Bela et Belo. Ces trois personnages principaux, contrairement aux autres fantômes et monstres qui pullulent dans la ville, œuvrent pour le bien en combattant leurs semblables. Critique : BEM – humanoide monster Bem est à l’origine un anime sorti en 1968 qui a eu beaucoup de succès, le manga a été publié pour fêter les 50 ans de la licence. La ville de Libra-City est partagé en 2 zones : d’un côté l’Upper destiné aux riches et aux personnes importantes et de l’autre l’Outside correspondant aux bas-fonds avec son lot de parias et de malfaiteurs. Sonia Summers est une jeune policière qui choisit de muter dans l’Outside, elle découvre un monde où la violence règne, où elle ne doit faire confiance à personne et rencontre également un homme étrange souvent présent là où il a des méfaits. L’objectif de BEM c’est de mettre en avant la cruauté de l’homme sous toutes ses formes et c’est au travers des aventures de 3 êtres/monstres humanoïdes qu’il le fait. Tout repose sur cette opposition : d’un côté les 3 « yokai » qui cherchent à devenir humains et pensent y parvenir en aidant les autres et protégeant les faibles, de l’autre les humains qui sont monstrueux dans leurs actions. Et c’est bien de cette façon qu’il faut aborder cette lecture car sinon c’est un peu creux. Oui il y a de l’action, mais cette succession de scènes sans de liant véritable nous laisse un peu spectateur du récit. Même Sonia est un peu fade, on ne ressent pas d’empathie pour les personnages et du coup, on a un peu de mal à se laisser embarquer. La série est finie en 3 tomes, espérons que la suite s’améliore. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bem-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    L'Iliade et l'Odyssée

    L’Iliade et l’Odyssée pour ceux qui ne connaissent pas c’est l’histoire de la guerre de Troie (aussi appelée Ilion) et le périple d’Ulysse pour rentrer chez lui. Chaque œuvre est composée de 24 chants, difficile donc de résumer l’histoire en 1 manga de 190 pages. La première moitié du manga concerne donc les origines de la guerre de Troie avec l’enlèvement d’Hélène par Pâris, la mobilisation de plus de 30 000 Achéens (comprendre grecs ici) pour aller récupérer Hélène et au passage faire tomber Troie qui était devenue trop importante. Mais ce qui est important et assez bien expliqué, c’est l’implication des Dieux : ceux par qui tout a commencé car Zeus souhaitait une longue guerre pour diminuer la population devenue trop nombreuse. Les points forts de cette guerre sont bien mentionnés : la dispute entre Achille et Agamemnon, la mort de Patrocle qui poussa Achille à aller affronter Hector et le cheval de Troie bien sûr. Puis arrive l’Odysée, le départ d’Ulysse et de ces hommes pour rejoindre Ithaque et là je trouve qu’il y a des manques : on parle bien de Charybde et Scylla, Circé et le Cyclope mais aucune mention sur les sirènes et la tapisserie de Pénélope qui sont quand même des éléments clefs du récit. Le point positif du manga : un résumé compréhensible de cette épopée avec une bonne explication sur l’intervention des Dieux. Les points négatifs : les manques (normal vu la taille du manga) et le graphisme, manga dessiné par le groupe Variety artworks / team Banmikas comme les autres œuvres de cette collection : un dessin correct, des visages assez simples, le minimum syndical comme on dit. Cette collection de classiques en manga a l’avantage de faire découvrir les œuvres et de donner une 1ere approche.
  21. Titre de l'album : L'Iliade et l'Odyssée Scenariste de l'album : HOMERE Dessinateur de l'album : Variety Artworks Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Il s'agit du temps des légendes, quand les Hommes et les Dieux tissaient ensemble la trame de l'Histoire. Sous le regard de Zeus, le père des Dieux, omniscient et omnipotent, se déclenche la Guerre de Troie qui allait durer dix ans. Bientôt, cette guerre atteint son point culminant avec l'affrontement décisif opposant les héros Achille et Hector... Critique : L’Iliade et l’Odyssée pour ceux qui ne connaissent pas c’est l’histoire de la guerre de Troie (aussi appelée Ilion) et le périple d’Ulysse pour rentrer chez lui. Chaque œuvre est composée de 24 chants, difficile donc de résumer l’histoire en 1 manga de 190 pages. La première moitié du manga concerne donc les origines de la guerre de Troie avec l’enlèvement d’Hélène par Pâris, la mobilisation de plus de 30 000 Achéens (comprendre grecs ici) pour aller récupérer Hélène et au passage faire tomber Troie qui était devenue trop importante. Mais ce qui est important et assez bien expliqué, c’est l’implication des Dieux : ceux par qui tout a commencé car Zeus souhaitait une longue guerre pour diminuer la population devenue trop nombreuse. Les points forts de cette guerre sont bien mentionnés : la dispute entre Achille et Agamemnon, la mort de Patrocle qui poussa Achille à aller affronter Hector et le cheval de Troie bien sûr. Puis arrive l’Odysée, le départ d’Ulysse et de ces hommes pour rejoindre Ithaque et là je trouve qu’il y a des manques : on parle bien de Charybde et Scylla, Circé et le Cyclope mais aucune mention sur les sirènes et la tapisserie de Pénélope qui sont quand même des éléments clefs du récit. Le point positif du manga : un résumé compréhensible de cette épopée avec une bonne explication sur l’intervention des Dieux. Les points négatifs : les manques (normal vu la taille du manga) et le graphisme, manga dessiné par le groupe Variety artworks / team Banmikas comme les autres œuvres de cette collection : un dessin correct, des visages assez simples, le minimum syndical comme on dit. Cette collection de classiques en manga a l’avantage de faire découvrir les œuvres et de donner une 1ere approche. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-iliade-et-l-odyssee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Chroniques des 7 cités tome 1

    L’histoire se déroule en 2190 après que l’axe de la Terre ait basculé de 90 degrés entrainant l’extinction de l’humanité, les émigrés vivant sur la Lune sont alors retournés sur terre pour y fonder 7 cités. Mais l’homme étant ce qu’il est, les cités devinrent rivales et prêtes à faire la guerre pour l’obtention de nouveaux territoires et ressources. Ce 1er tome raconte l’affrontement qu’il va y avoir entre les cités d’Aquilonia et New Camelot. Comme le titre l’indique, il s’agit de chroniques sur les 7 cités, on verra donc les situations politiques et militaires de chacune d’entre elles avec l’émergence de personnages particuliers. Certains d’entre eux ont commencé à positionner leurs pions de façon à avoir un champ d’action plus large, qui mènera fatalement à un remaniement de l’ordre mondial. Ce qui est mis en avant dans le manga, c’est surtout l’importance d’avoir une stratégie et une vision à plus grande échelle. Je ne cours pas forcément après les histoires de guerre mais quand il y en a un qui est bien il faut le souligner et celle-là est réussie : un bon scenario écrit par Yoshiki Tanaka (les héros de la galaxie) et un graphisme soigné de Ikumi Fukuda que l’on a découvert sous le pesudonyme de Kotteri dans le très beau manga Veil. Un manga prenant où l’on apprécie les personnages à forte personnalité, les pointes d’humour et la tension qui règne pour savoir qui va s’en sortir et comment. Série finie en 5 tomes.
  23. Titre de l'album : Chroniques des 7 cités tome 1 Scenariste de l'album : TANAKA Yoshiki Dessinateur de l'album : FUKUDA Ikumi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : En 2088, l'axe de la Terre bascule de 90°, causant des catastrophes en chaîne qui laissent l'humanité au bord de l'extinction, la poignée de survivants réfugiée sur une colonie lunaire. Trois ans plus tard, certains reviennent peupler la Terre et y bâtissent sept cités, à des endroits stratégiques. Mais entre dispute des ressources, auto-défense et luttes de pouvoir, ce n'est pas vraiment l'unité qui règne sur le nouveau monde... Chaque gouvernement rivalise alors de stratégies militaires et d'intrigues politiques pour que sa cité tire son épingle de ce jeu dangereux. Critique : L’histoire se déroule en 2190 après que l’axe de la Terre ait basculé de 90 degrés entrainant l’extinction de l’humanité, les émigrés vivant sur la Lune sont alors retournés sur terre pour y fonder 7 cités. Mais l’homme étant ce qu’il est, les cités devinrent rivales et prêtes à faire la guerre pour l’obtention de nouveaux territoires et ressources. Ce 1er tome raconte l’affrontement qu’il va y avoir entre les cités d’Aquilonia et New Camelot. Comme le titre l’indique, il s’agit de chroniques sur les 7 cités, on verra donc les situations politiques et militaires de chacune d’entre elles avec l’émergence de personnages particuliers. Certains d’entre eux ont commencé à positionner leurs pions de façon à avoir un champ d’action plus large, qui mènera fatalement à un remaniement de l’ordre mondial. Ce qui est mis en avant dans le manga, c’est surtout l’importance d’avoir une stratégie et une vision à plus grande échelle. Je ne cours pas forcément après les histoires de guerre mais quand il y en a un qui est bien il faut le souligner et celle-là est réussie : un bon scenario écrit par Yoshiki Tanaka (les héros de la galaxie) et un graphisme soigné de Ikumi Fukuda que l’on a découvert sous le pesudonyme de Kotteri dans le très beau manga Veil. Un manga prenant où l’on apprécie les personnages à forte personnalité, les pointes d’humour et la tension qui règne pour savoir qui va s’en sortir et comment. Série finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-des-7-cites-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Kiss my broken heart

    Seto et Kurusu se croise par hasard devant une pâtisserie, un regard échangé puis s’en vont. Plus tard ils se croisent à nouveau, Kurusu intrigué par cette coïncidence décide d’en apprendre un peu plus, de fil en aiguille ils passent la nuit ensembles, une aventure d’un soir. Mais lors de son rendez-vous chez le dentiste, il découvre que Seto est son médecin, les deux hommes décident d’entamer une relation… temporaire, car Seto est en plein désarroi amoureux et Kurusu n’a jamais vécu de relation longue. Le manga est résolument une romance ni plus ni moins, une rencontre du destin entre un homme blessé par l’amour et un autre qui ne l’a jamais vraiment connu. Le premier hésite à s’engager de peur de souffrir, le deuxième est surpris de voir que cette relation devient sérieuse. Le déroulement est tout en douceur (côté sentiments, car ils consomment vite). Les personnages se posent des questions sans pour autant prendre la tête du lecteur sur des développements philosophiques à rallonge. Un manga agréable avec une histoire toute gentille (attention il y a quand même des scènes pour adultes).
  25. Titre de l'album : Kiss my broken heart Scenariste de l'album : AMAKI Io Dessinateur de l'album : AMAKI Io Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Alors que Seto pleurait à cause d'un chagrin d'amour, il rencontre un homme plein de charmes du nom de Kurusu. Les circonstances le mènent dans la luxueuse résidence de Kurusu, où il vient à parler de la raison de ses larmes... Ne voyant pourtant dans les mots doux et les avances de Kurusu qu'une simple aventure, cette relation va raviver les blessures de son amour passé. Quelques jours plus tard, les deux hommes se rencontrent de nouveau à la clinique dentaire où travaille Seto. Kurusu croit en cette rencontre du destin et demande à Seto de devenir son amant temporaire... Lui qui s'était juré de ne plus jamais retomber amoureux. Malgré tout, Seto est emporté par ses sentiments... Critique : Seto et Kurusu se croise par hasard devant une pâtisserie, un regard échangé puis s’en vont. Plus tard ils se croisent à nouveau, Kurusu intrigué par cette coïncidence décide d’en apprendre un peu plus, de fil en aiguille ils passent la nuit ensembles, une aventure d’un soir. Mais lors de son rendez-vous chez le dentiste, il découvre que Seto est son médecin, les deux hommes décident d’entamer une relation… temporaire, car Seto est en plein désarroi amoureux et Kurusu n’a jamais vécu de relation longue. Le manga est résolument une romance ni plus ni moins, une rencontre du destin entre un homme blessé par l’amour et un autre qui ne l’a jamais vraiment connu. Le premier hésite à s’engager de peur de souffrir, le deuxième est surpris de voir que cette relation devient sérieuse. Le déroulement est tout en douceur (côté sentiments, car ils consomment vite). Les personnages se posent des questions sans pour autant prendre la tête du lecteur sur des développements philosophiques à rallonge. Un manga agréable avec une histoire toute gentille (attention il y a quand même des scènes pour adultes). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kiss-my-broken-heart?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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